Tumgik
#poudreuse
grandboute · 6 days
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c'est le WE !!
Let's go to the mountains !
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fucknewsfrance · 3 months
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#IleDeFrance : Jusqu’à 3 cm de #neige prévus, la vitesse limitée à 30 km/h sur les pistes bleues
L'article sur bit.ly/3BpAdZO
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random-brushstrokes · 2 months
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Frederick Carl Frieseke - La Poudreuse (1913)
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La vie selon les gens.
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Acte 1.
Ma journée a commencé très tôt vers deux heures du matin, quand j'ai été extirpé de mon sommeil paisible par des complaintes lancinantes de mon voisinnage. Il semblait s'agir d'une souris bionique courant sur le toit de Patochimbo. Après des investigations poussées par -15 degrés Kelvin, je découvris qu'il s'agissait en réalité d'une malheureuse sangle mal attachée. Ce problème enfin résolu, je pus retourner à la quiétude de mon sommeil sans rêves.
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Au matin, je pouvais admirer El Chalten dans toute sa splendeur matinale (et son absence du nuages. D'ailleurs El Chalten signifie pour les Telhuelche "la montagne fumante", d'où les nuages flottant perpétuellement au dessus de celles-ci.)
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S'ensuivit une belle journée durant laquelle le soleil nous ne nous quitta plus-ou bien nous fuyions la pluie, tout dépend du point de vue-. Nous marchions gaiement, et de superbes paysage succédaient à des panoramas de carte postale. Seule déconvenue, il était interdit de sortir du sentier (cependant, le temps que je m'en rende compte, j'avais ravagé la moitié des zones protégées du parc). Au final, ce fut un jour de plus vécu dans l'insouciance post-doctorale que le ciel sud-américain a bien voulu m'accorder.
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Acte 2.
Patochimbo et moi avons tout de suite noué des liens très forts. Lorsque la conduite nerveuse de Cothésard lui projette de féroces gravillons sur sa douce tôle, je couine de douleur de concert avec notre van. Et à mon image, il craint la pluie,le vent et le froid. Tout deux ce matin ,nous étions frigorifiés, inapte au moindre mouvement tant que les doux rayons du soleil ne se soient pas posés sur nos corps transis.
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Acte 3.
Après avoir été réveillée à 2h du matin par un énergumène bondissant sur le coffre de toit, puis à 3h par mon corps frigorifié atteignant le stade de rigidité cadavérique, je me résignai à utiliser un second sac de couchage par dessus le mien, pleurant par avance pour le trek du W que nous effectuerons la semaine prochaine. Ayant réussi à passer une fin de nuit tout à fait décente, c'est nullement perturbée par le nième décès de la batterie de Patochimbo que j'entame la journée, d'autant plus que l'attraction principale arrive bientôt : IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE !
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Dr Rathatton passera bien évidemment la journée à couiner, son mode humidité binaire activé : au premier flocon de neige, c'est terrible, elle est trempée ! Après trois heures à observer en gloussant ses épluchages successifs et sa transformation en oignon géant, je finis par commettre l'erreur fatale : je m'approche de la bête durant l'opération... Elle profite d'un moment d'inattention pour effectuer une manchette sauvage à la pommette, tirant avantage de mon étourdissement passager pour me voler gants et bonnet.
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Nonobstant cet événement marquant, IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE. Du coup on lui pardonne. Tout est pardonné quand on fait Schkrounch dans la poudreuse. Et puis le paysage est quand même sacrément beau toute la journée 🥰
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En chemin, nous croisâmes (oh que je sonne érudite) un petit oiseau au déjeuner semblant bien plus concluant que notre restaurant de ce soir.
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Conclusion
A vous de voir quel protagoniste a rédigé quel acte de l'histoire.
Des bizoux 😘
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alexar60 · 7 months
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Avis de tempête
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La météo avait prédit qu’il y aurait des orages localisés. En effet, je voyais le ciel se noircir brusquement. Cette noirceur assombrit rapidement la rue. Il faisait affreusement chaud. Je restai sur le seuil de la porte à observer cet orage qui, logiquement, devait refroidir l’atmosphère.
Mais l’horreur arriva très vite. Une forme sombre se propagea dans la rue provoquant un vacarme strident. Des centaines, des milliers de rats abandonnaient les égouts et couraient dans la même direction. Je fermais la porte pour les empêcher d’entrer. Puis, j’observais cette horde de rongeurs envahir la route. Certains passaient sous les portiques afin de fuir par les jardins. En face, mes voisins regardaient la scène avec des regards ébahis remplis de terreur.
Le calme revint jusqu’au premier grondement. Je compris qu’ils voulaient échapper à l’orage. Ils sentaient certainement qu’il se changeait en tempête ou en tornade. Le silence régnait entre deux éclairs. Le ciel devint tout-à-coup noir. La pluie commença de tomber en averse avant de se transformer en grêle.
Des grêlons de la taille d’une boule de pétanque fracassaient les pare-brise ainsi que les toits des voitures garées dans la rue. Un orage ? Non, je n’avais jamais vu une pareille pluie ! J’entendais les vitres exploser, les tuiles des toits éclater au choc des boules de glace. Moi qui me plaignais de cette chaleur, j’eus subitement froid. Je montais prendre un pull tout en vérifiant les dégâts sur le vasistas de la salle de bain. Il n’était que fêlé en plusieurs endroits. La grêle ne dura que cinq longues minutes. Cinq longues et terrifiantes minutes. Je pensais que cela se finirait bientôt.
L’orage grondait de plus en plus. Les éclairs allumaient un ciel si noir qu’on crut être en pleine nuit. Il n’était pas encore dix-sept heures quand soudain, des flocons tombèrent à profusion. La poudre blanche recouvrit rapidement la rue, les toitures ainsi que les carcasses de voitures sur les trottoirs. Nous étions le vingt août et il neigeait. L’orage tonnait encore et il neigeait en même temps. Je n’en croyais pas les yeux, pas plus que certains voisins qui sortirent regarder cette étrange tempête de neige. De plus, un froid glacial apparut rapidement, envahissant la rue. Je pouvais voir la buée sortir de leur bouche et de leurs narines avant qu’ils ne rentrent.
L’orage grondait toujours. On avait l’impression d’être au milieu d’un concert de déchainement de la nature. La poudreuse tombait tellement que je ne voyais plus les maisons en face. Je commençais à greloter alors que j’étais protégé chez moi. Je fus heureux que ma femme et les enfants soient en vacances chez mes beaux-parents.  Je pris mon portable pour les prévenir du temps dérèglé dont j’étais témoin. Seulement, le réseau était coupé. Alors, je me contentais de quelques photos.
La neige arrêta de tomber comme elle était arrivée. Par contre, le tonnerre continuait de hurler dans le ciel. Il était de plus en plus fort, de plus en plus proche. Je regardais les éclairs continuer d’illuminer le ciel. Et c’est là que j’ai vu ce que je n’aurais jamais cru voir. J’avais lu des articles à son sujet. J’ai écouté des podcasts. Je me suis intéressé à son histoire, à sa légende. Mais jamais, je pensais la voir en personne.
Cela commença par des silhouettes lointaines encore plus noires que la nuit. Elles avançaient à un rythme effréné. Grâce aux éclairs, j’aperçus d’abord la forme des chevaux, puis celle des cavaliers. Mais c’était bien elle, la chasse sauvage ! Elle fendait l’air déjà abimé par l’orage qui persistait. Elle passa au-dessus des premières maisons de la rue. Je compris que les sabots des chevaux noirs provoquaient ce bruit de tonnerre. Je vis les yeux des cavaliers sans percevoir leur visage. Ils étaient jaunes tels des étoiles dans le ciel. La forme de leur corps ne ressemblait à rien de comparable. C’était une fumée scintillante et opaque. Elle laissait une trainée de poudre derrière le passage des chevaliers.
Je fus saisi de terreur en entendant le hennissement des montures. Ils me glacèrent le sang. Mais ce n’était rien à côté du haro crié par chef de la horde. La chasse passait et je n’avais pas vu le gibier. Ce ne pouvait être les rats ! Non, cette troupe macabre chasse le maudit ou le criminel mais pas un animal si méprisable qu’un rongeur. Je regardais passer cette chasse volante, me demandant si je risquais ma vie en sortant pour la contempler. L’orage passa aussi vite que le groupe de chasseurs. Déjà, il s’éloignait, me laissant abasourdi. Un voisin ouvrit sa porte. Il marcha dans la neige qui commençait à fondre. Il regarda l’état de sa voiture. J’allais le rejoindre lorsqu’un bruit de neige écrasé résonna dans la rue.
Un homme courait d’un pas fatigué. Il gardait la bouche ouverte cherchant à reprendre son souffle. Comme vêtements, il portait des haillons. Il courait au milieu de la route cherchant à fuir. Ses yeux contenaient énormément de tristesse, et on ressentait l’épuisement sur ses épaules. Il courait pieds nus sans s’arrêter, sans parler. Tout-à-coup, le tonnerre revint.
La chasse était derrière ce pauvre homme. Elle le traquait sans merci, sans se reposer. C’était son calvaire, sa punition. Et d’après les légendes, cela ne s’arrêtera jamais. L’orage résonna en même temps que le galop des chevaux. Je remarquai leur aspect squelettique. J’espérais qu’ils n’aperçoivent pas mon voisin. Ce dernier leva la tête pour les regarder passer au-dessus de lui. Mais un chasseur descendit et le transperça d’un coup de lance le thorax. Il s’effondra net. La chasse s’éloigna, le grondement aussi. Puis, le silence arriva en même temps que le soleil.
Nous sortîmes en même temps, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Nous nous précipitâmes pour aider notre voisin. Mais c’était trop tard. Il n’avait aucune trace de perforation, seulement des marques noires sur les vêtements. Plus tard, nous apprenions qu’il avait officiellement été touché par la foudre.
Personne n’oublia cette tempête extraordinaire. Toutefois, personne n’en parla par peur des superstitions....par peur que la chasse réapparaisse et nous traque en représailles…jusqu’à la nuit des temps.
Alex@r60 – août 2023
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mauxpourdesmots · 8 months
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Souvenirs d'une autre vie
L'odeur du poêle dans le salon
Le crépitement du feu dans la cheminée
Le bruit des conserves qui tombent dans le buffet
La neige qui camoufle les bruits la nuit
La lueur scintillante de la poudreuse le matin
Et l'été, les marmottes qui sifflent
Les fleurs un peu partout
Les jeux d'eau innocents
Et les rires en pagaille, partout, tout le temps
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claudehenrion · 1 month
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Vacances …
Très chers Amis-lecteurs,
un peu mis ''hors jeu'' par quelques problèmes dentaires (pas graves, mais vraiment douloureux...), j'en ai oublié le début des vacances de Mardi Gras dans la zone ''C'', période pendant laquelle j'arrête traditionnellement de vous embêter avec mes éditoriaux quotidiens pour vous laisser profiter pleinement de vos familles... et des joies de la poudreuse ou de paysages envoûtants.
Pour ce coup-ci, j'ai vraiment raté mon coup ! Je crois que c'est la première fois, depuis notre n°1, le 15 novembre 2013... (ce qui fait donc plus de 10 ans... un âge respectable !). Mais puisque ''perseverare diabolicum''... je vais vite arrêter ces parutions déplacées...
Je vous souhaite d'excellentes vacances, et si Dieu le veut, je vous donne donc rendez-vous ce 28 février 2024 --date à reporter, selon notre formule devenue désormais rituelle, dans vos agendas.
En espérant vous retrouver dans une quinzaine de jours, je vous remercie très sincèrement de votre bonne volonté à me lire, et de votre persévérance… que j'espère ne pas trop souvent décevoir...
Très fidèlement à vous,
H-Cl.
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justineportraits · 1 year
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Frederick Frieseke La Poudreuse (Woman Selecting a Necklace) ca.1913
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marie-chatelaine · 1 year
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Le sapin qui grelote
Le sapin qui grelote, est-il sur le chemin Que parcourt notre cher père Noël sans craindre Qu'il ne soit délaissé dans la ruelle à geindre Ou est-il déjà à l'heure du citadin. Le sapin qui grelote est si blanc et si fin Dans la poudreuse où il remet son col pour feindre La venue tardive où les cadeaux iront se plaindre Alors que la jeunesse en cachera l'écrin. N'avez-vous jamais ouï le fond de mélodie Qui vient du traîneau en vitesse et furie Jusqu'à rendre visite à tous les habitants? Et chez ces habitants un sapin fait l'esquive A tous ces beaux cadeaux qui comblent les instants Pour faire du partage une offre qu'on dirige.
- par De Lesquivir -
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tournevole · 1 year
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Chacun sa chimère
Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés. Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain. Mais la monstrueuse bête n’était pas un poids inerte ; au contraire, elle enveloppait et opprimait l’homme de ses muscles élastiques et puissants ; elle s’agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture ; et sa tête fabuleuse surmontait le front de l’homme, comme un de ces casques horribles par lesquels les anciens guerriers espéraient ajouter à la terreur de l’ennemi. Je questionnai l’un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu’il n’en savait rien, ni lui, ni les autres ; mais qu’évidemment ils allaient quelque part, puisqu’ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher. Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n’avait l’air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos ; on eût dit qu’il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d’aucun désespoir ; sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d’un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours. Et le cortége passa à côté de moi et s’enfonça dans l’atmosphère de l’horizon, à l’endroit où la surface arrondie de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain. Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.
Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose.
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gaboushkabzbz · 10 months
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J'ai bien reçu votre email désespéré et désespérant. J'en suis au même stade et je ne suis plus stagiaire dans mes souffrances, la vie m'envoie des coups de poings comme un dessin animé looping dans lequel on est coincé pour l'éternité. Si vous saviez. Le temps passe si doucement lorsque le dépérissement vous assène. Heureusement, je me dissocie avec facilité. 
J'aimerais poursuivre mes rêves dans le big bang individuel que vous me vendez, le reste n'est que du superflue. Sauf bien sûr les falaises. Celles-ci me font toujours l'effet d'un premier pétard, d'un orgasme moyen-plus. Pas l'orgasme qu'on reçoit avec un vieux porno vous savez, plutôt avec un humain moyennement intéressant. Mais revenons aux falaises; elles m'inspirent, et le vide qu'elles expirent est si sourd et profond. Quand je les regarde, c'est l'espoir d'un monde nouveau qui se soulève sous mes paupières bleutées.
TOUT DÉFILE SI VITE LORSQUE NOUS CHOISISSONS DE DÉFIER LES LOIS DE L'APESANTEUR.
Magnifiques falaises, d'une roche comme on les aime, presque poudreuse, douce caresse ensablée, dans les tons orangers et rougeâtres; elles exposent le vide comme une œuvre d'art inatteignable, à part pour celui qui osera le rencontrer. Magnifiques falaises riches de pouvoir; à elles seules, elles peuvent dans un mouvement de pitié, faire venir la sympathique mort, l'hirondelle qui vole au dessus du défunt, l'issue fatale et fatalement apaisante. Paysages magnifiques, rochers pointus, limpides et purs. Une solution sans conditions. Une réponse quand les questions ne tiennent plus
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grandboute · 1 year
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Splitboard avec les potes du CAF
On remet ça ce WE !!
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Le 17 septembre 2022 premières neiges ici à St Anton am Arlberg
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Haut Jura Prénovel (39) 1ère gelée célébrée
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🇨🇭 Suisse la neige est revenue ces dernières heures dès 1700m dans les Alpes
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Ici, le Col de Klausen est sous 30cm de poudreuse
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mayasterieuze · 1 year
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Mon espoir est Rêve
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J’ai beaucoup pensé.
Tu étais là, nous marchions main dans la main, comme deux qui se sont toujours aimés, pourtant nous étions deux parfait inconnus. Moscou, ma capitale, était belle comme toujours ! Qui n’est jamais tombé amoureux du chant « Katioucha » ? Ce soir, tout le monde l’aimait et tu m’as accompagné. Je sentais ta présence quand ils m’ont applaudi. En sortant du théâtre, Rêve, tu venais me guider, je suivais tes pas imaginaires dans la neige. Il faisait froid, les échardes de mon vieux violon me sciaient les doigts, mais j’avais chanté et joué et toi, tu me regardais, invisible. Orpheline, tu es devenu mon compagnon. Avec mon âme, vous m’aviez fais croire que l’amour existait, mais qu’il faisait si mal que finalement, on en voulait plus. Ah ce monde infâme ! Mais je repense à mes misérables chaussures trouées dans la poudreuse cette nuit là, à mes pieds glacés, à la délicieuse brûlure du froid et quand j’ai su que rien était perdu. J’étais sûre que la vie éternelle était un endroit où vivre seule, mais dans cette rue, où mes émotions et mes maux étaient piégés, j’ai compris. Dieu m’avait apporté l’espoir et toi Rêve, tu étais devenu avenir dans ce vent de novembre.
Je ne t’oublierai jamais.
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┃­ Patin à glace
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✉ - Evénement du Calendrier de l'Avent 2022.
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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Tartaglia
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ Fem!Reader | Première amour | Se déroule avant la tram du jeu | ♥ Crush réciproque | ♥ Douceur | ♥ Fluffy
─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S. A part que Tartaglia est magnifique dans son uniforme des fatuïs, je simp dessus depuis le teaser avec l'enterrement de Rosaline.
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Tartaglia ─ ­ ❝ 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞 𝐒𝐢𝐫𝐞 ❞
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Le vent s'amusait drôlement avec tes [L/C] cheveux [C/C] alors que le froid hivernal gelait, ou du moins glaçait le bout rougit de ton nez. Pourquoi faisait-il si froid ? Peut-être, car tu te trouvais au royaume même de l'hiver permanant, l'ennemi naturel de ton corps surtout avec toutes ses couches de neige à perte de vue. À chaque pas, tu te demandais si un jour tu n'allais pas disparaître sous l'épais manteau blanc, comme un taupiqueur dans son trou. Bien que tes pas tassaient l'immense étendue blanche, c'était un combat de tous les instants pour ton gabarit, ne voulant pas finir lamentablement la tête la première dans la poudreuse. 
Un peu râleuse sur les bords, à cause de ton accompagnateur qui se moquait royalement de ta difficulté à avancer dans ce paysage enneigé, un sourire railleur au coin des lèvres, alors que tu ne pouvais t'empêcher de redécouvrir les scènes calmes de Snezhnaya de ton enfance. C'était le regard brillant que tu admirais le décor naturel de la région, appréciant sa couleur pure et enchanteresse. Du coin de l'œil, tu apercevais les couches de neige perlant des branches de sapins sous son poids, ou encore les plaines complètement uniformes où à l'orée de leur entré se cachait de petits animaux au pelage polaire immaculé. Ça faisait si longtemps que tu n'avais pas mis les pieds dans cette nation, et même si tout semblait comme avant, tu avais cette impression que tout était différent, comme venant d'un autre monde.
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─ ­ ­ ­ « Tu as la tête dans les nuages, [T/P]. Heureusement que je suis là pour te protéger. » Se moqua le roux alors qu'il t'attrapait le bras d'une main, manquant de te prendre une branche pendante un peu trop bas. « Tu ressembles à une enfant, à croire que tu n'as jamais vu de neige. »
─ ­ ­ ­ « Moque-toi. Quelle chance ai-je d'avoir un homme aussi fort à mes côtés. » Lui lanças-tu un sourire aux lèvres, légèrement moqueuse, vous voyant toujours comme des enfants, même si son regard océan te semblait très différent d'avant. « Il n'y presque pas de neiges à Sumeru, je te ferais dire Ajax. »
─ ­ ­ ­ « Si tu n'étais pas partie pour tes études, ça aurait été ton quotidien... »
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Ses mots furent pratiquement étouffés par l'épaisse écharpe rouge de son uniforme au fur et à mesure que sa voix faiblissait. À tes yeux, il te semblait presque bouder, pourtant la vérité était toute autre. Un sourire attendri se plaça sur tes lèvres, bien caché par les rebords large de l'écharpe prêtée par ton ami. L'homme semblable à un renard se contenta de hausser les épaules, passant à autre chose comme si ces mots n'avaient pas besoin de réactions, tandis que ton regard [C/Y] commençait à le détailler, remarquant à quelque point il ressemblait à son lui enfant. Même si dans ses habits, il te semblait plutôt majestueux ou du moins mature. Sans que tu ne t'y attendes, Ajax te tendit sa main gantée de cuir noir. Ses yeux océans, légèrement ternes, ne te ménagèrent pas, t'incitant à la prendre en te fixant avec intensité.
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─ ­ ­ ­ « Nous sommes presque arrivés. » T'apprit le jeune homme, tournant un regard en direction du lac où vous vous rendiez. « Évitons de rester trop longtemps sans bouger, tu ne voudrais pas devenir un glaçon... »
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Sa voix sérieuse, calme et prévenante te fit presque rougir, enfin, si tes joues n'étaient pas déjà rosées par le froid mordant de l'hiver. Sans le faire attendre plus longtemps, bien qu'il ne te regardait pas, tes doigts incertains glissèrent sur les siens, laissant une faible chaleur t'étreindre alors qu'ils firent sursauter ton ami. Qu'était-il arrivé à ton Ajax enfantin ? Où était passer l'enfant espiègle et légèrement bagarreur sur les bords ? Déstabilisée par sa subite maturité, vraiment séduisante et loin de t'en plaindre même peu habituée, tu te sentais légèrement timide face à lui. Et, ce fut bien pire quand son bras s'enroula autour de ta taille et que son autre main retira les épines d'un pin emmêlées à tes cheveux.
­
─ ­ ­ ­ « Ne t'éloignes pas de moi, d'accord ?»
­
Son visage te semblait si proche et sa voix si adulte alors qu'il venait toujours de murmurer ses mots à ton oreille, son souffle glissant sur ton lob. Il était devenu un homme. Ton regard s'arrondit de surprise, retenant ton souffle tandis que tu hochas la tête dans un réflexe incontrôlé. "Ajax était devenu un homme", c'est à ce moment-là que tu percutas, te prenant la réalité de plein fouet. C'était évidant, pourquoi ne l'avais-tu pas remarqué plutôt ? Ces mêmes traits que tu avais pris pour acquis avaient tant changé et sa carrure s'était développée. Ta main dans la sienne, le tout jeune exécuteur reprit son chemin, gardant précieusement ce contact qui vous reliait ensemble au cœur de cette forêt millénaire.
Du coin de l'oeil tu l'observais, pourtant, tu ne remarquas pas ce sourire enfantin qui couvrait adorablement ses lèvres depuis le moment où il avait vu ton air changer. Depuis combien de temps attendait-il cette expression sur ton visage ? Il ne comptait plus. Un feu chaleureux et longtemps oublié s'était bousculé dans sa poitrine dès l'instant où il t'avait vu descendre du bateau et mettre pied à terre. C'était aussi exaltant qu'un combat, voir même bien plus excitant, et l'incertitude qui nouait son ventre l'était d'autant plus aussi, mais comme pour tout ce pourquoi il s'était battu, il gagnerait ce combat aussi.
Les bottes couvertes de neige, les cheveux poivrés de flocons blancs, vous arriviez enfin devant le petit lac gelé. Le lieu était tranquille, encerclé d'arbres et de fougère, comme s'ils s'agissaient d'un paysage secrètement bien gardé par des créatures féeriques. Un endroit parfait pour un rendez-vous romantique. À peine cette pensée te traversa l'esprit, que tu te sentis rougir comme une adolescente avec son premier amour, ce qui n'était pas loin de la vérité, serrant sans faire exprès la main d'Ajax.
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─ ­ ­ ­ « [T/P] ?» T'interrogea le jeune homme à ton geste incontrôlé, légèrement soucieux.« Quelque chose ne va pas ?»
─ ­ ­ ­ « Non. Non. Tout va bien, j'ai perdu l'équilibre à cause de la neige. » Marmonnas-tu gênée, essayant de cacher ton malaise. « Allons-nous pêcher, comme avec ton père ?»
─ ­ ­ ­ « Pas aujourd'hui, nous allons patiner. » T'apprit ton ami qui avait toujours été imprévisible, te laissant pantoise devant ses révélations, incertaines de comprendre son idée. « Teucer veut apprendre à patiner. »
─ ­ ­ ­ « Oh. Et tu ne veux pas te ridiculiser devant ton petit frère, c'est ça ? » L'interrogeas-tu à moitié en plaisantant, le regard faussement moqueur en le regardant dans les yeux. « C'est assez mignon. »
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Le temps changeait les gens et les éloignait, mais pourtant entre vous, c'était comme si tout pouvait être naturel tant que vous restiez honnête l'un avec l'autre. Même si toutes ces années vous avaient séparé, vous preniez silencieusement le temps de vous redécouvrir l'un comme l'autre, acceptant ces nouvelles expressions et cette évolution de l'autre sans jugement. Ajax ne trouva rien à redire, se contentant de réfréner son évite de caresser tendrement la rondeur rougie de ta joue, bien trop adorable pour son propre bien, sa retenue à deux doigts de fondre dans ce désert de glace. L'océan de ses yeux te sembla immense, comme une éternité sans fin, alors que pendant quelques minutes dans toute votre vie, vous profitiez du regard tendre de l'autre, sans vous soucier d'être surpris.
Ce fut le feulement doux d'un renard des neiges qui vous ramena à la réalité, câlinant de sa truffe la jambe du natif de Snezhnaya, cherchant pour une raison quelconque son attention. De nouveau coupé dans sa contemplation, Ajax laissa son sac tomber par terre, retirant avec précaution deux paires de patins à glace bien évidemment solidement protégé pour ne pas vous couper avec leur lame. L'une trouva refuge dans ta main tandis que l'autre resta dans celle du roux qui s'installa comme un enfant dans la neige pour les enfiler. De ton côté, tu fus un peu plus "exigeante", prenant place sur l'une des souches au bord du lac gelé, observant un instant l'étendu brillante à la lueur du soleil, tu te perdis dans tes pensées. Ajax termina bien avant toi de lasser ses patins, alors que tu n'avais même pas encore commencé, lui tirant un sourire, presque comme s'il s'y attendait.
­
─ ­ ­ ­ « Dit donc, tu ne sembles pas très coopératrice aujourd'hui, belle jeune femme. »
─ ­ ­ ­ « Belle jeune femme ? » L'interrogeas-tu, ces mots ayant directement percuté ton esprit, surprise de les entendre de la bouche de ton ami. « Attends, tu as déjà terminé ? Mais comment ? »
─ ­ ­ ­ « Contrairement à toi, je ne me laisse pas distraire. » Te taquina-t-il, prenant un de tes futurs patins en main. « Laisse-moi faire. »
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Faussement vexée par ses insinuations, toutes sauf légitimes, tu le laissas faire. Il ressemblait à un prince charmant, un peu comme celui dans Cendrillon, enfilant délicatement tes nouvelles chaussures pour les lacer à la perfection, sûrement à cause de ses frères et sœurs. Tu ne pus empêcher un air tendre prendre place sur ton visage, observant de tes yeux [C/Y] son profil concentré, le trouvant particulièrement séduisant pour une quelconque raison. Aimais-tu l'Ajax en uniforme un air sérieux au visage ? Bien plus que tu n'osais l'admettre. Tes doigts gantés glissèrent dans ses mèches rousses, figeant instantanément l'exécuteur sur place, alors que dans un geste délicat, tu les agitas pour en faire tomber les quelques flocons s'y étant logés. Prise dans ton action, tu ne remarquas pas le regard océan du jeune homme se redresser jusqu'à ton visage, ayant terminé de lasser tes patins à glace. 
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─ ­ ­ ­ « Aurais-tu une dent contre ma magnifique chevelure, [T/P] ? C'est de la persécution. »
─ ­ ­  ­« Il y avait des flocons dedans. » Te défendis-tu, amusée par sa remarque, bien qu'assez embarrassée d'avoir été prise sur le fait. « Est-ce de la persécution de prendre soin de toi ? Ou serais-tu en train de m'accuser injustement ? J'attends des excuses jeune homme. »
─ ­ ­ ­ « Excuse-moi, excuse-moi. ~ »
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Vous étiez comme des enfants, gloussant comme des adolescents alors que votre complicité revenait comme avant votre séparation. Pour te prouver sa bonne foi, le roux embrassa tendrement la rondeur de ta joue en signe d'excuse, replaçant ensuite correctement ton écharpe aussi rouge que la sienne, veillant à ne pas tirer une de tes mèches [C/C] dans le processus. Maintenant tous les deux prêts, les protections des patins retirées, il était désormais temps de rejoindre la glace épaisse du lac, pouvant sans problème supporter le poids d'une flopée de chef brutogivré en train de danser leur meilleur flamenco.
Échangeant un regard incertain, Ajax fut le premier à rentrer sur la glace accompagnée d'un équilibre approximatif comme seule arme. Tu aurais bien ri en le voyant faire si tu ne te trouvais pas exactement dans la même situation. Puis ce fut ton tour. Prenant ton courage à deux mains, tu posas tes patins sur le sol lisse, glissant dessus presque instantanément. Vous vous sentiez tous les deux comme des faons venant à peine de naître et tentant de diable sans préparation au préalable. Il vous fallu quelques minutes d'adaptation, maîtrisant parfaitement la "T pose" comme vous l'aviez si bien appelé, avant d'arriver à glisser sur l'étendue gelée de votre plein gré.
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─ ­ ­ ­ « Je ne pense pas qu'on soit fait pour ça... » Marmonnas-tu manquant de t'asseoir de façon non-désiré et violente sur la glace. « Peut-être devrions-nous influencer ta mère et Teucer sur autre chose, comme de la luge par exemple. C'est bien de la luge. »
─ ­ ­ ­ « Complètement d'accord. Pêcher sur glace est bien plus divertissant et moins dangereux. »
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Vous le saviez, l'un comme l'autre, vous saviez votre niveau catastrophique sur la glace avec des patins désormais, manquant de faire plus d'une fois un câlin au sol. Maintenant, le plus dur vous attendait : " Sortir du lac gelé sans tomber". Autant dire que le combat était loin d'être gagné d'avance... Bien plus à l'aise que toi sur la glace, Ajax passant par-là, attrapa délicatement ton poignet pour t'amener jusqu'à lui dans un geste assez lent. Dès que tu fus à sa portée, ses bras s'enroulèrent chaudement autour de ta taille, soupirant de soulagement une fois complètement stable sur la glace. Votre équilibre durement gagné, un sourire pour l'autre, vous aviez enfin un court instant pour vous détendre, chaleureusement en sécurité dans votre étreinte. C'était apaisant de t'avoir enfin entre ses bras après que tu aies disparue pour l'académie, il était si content de te revoir, que tu sois enfin de retour auprès de lui et il ne put s'empêcher de l'exprimer.
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─ ­ ­ ­ « Je suis heureux que tu sois rentré. »
─ ­ ­ ­ « Je suis heureuse d'être de retour. » Soufflas-tu avec émotion à deux doigts de fondre dans sa tendre étreinte, bien plus affective que celle entre deux simples amies. « Tu m'as manqué, Ajax. » ­
Ta confidence ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd, apportant un éclat de sincérité et de joie dans le regard tantôt terne de l'homme que tu aimais. Tu te devais d'être honnête, si quand tu étais partie ton amour brûlait pour l'enfant qu'était Ajax, pas une seule fois la flemme s'était éteinte, pourtant, tu avais fait tes classes avec Al-Haitham ou encore Kaveh. Même aujourd'hui, délicatement étreinte par l'un des hommes les plus dangereux de Teyvat, l'un des onze exécuteurs Fatuï, tu ne pouvais que l'aimer. Au plus profond de toi, tu en avais conscience, ton amour était presque aveugle pour ce renard addict aux combats et au frisson du défis quitte à mettre sa vie en danger.
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─ ­ ­ ­ « Ajax, je suis désolée d'être partie aussi loin, mais je devais - » 
─ ­ ­ ­ « Je comprends. »
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Son regard océan plongeant dans le tient te laissa sans voix. Est-ce vraiment Ajax en face de toi ? À deux doigts de te croire dans un rêve, tu fus soufflée par la bienveillance et l'amour essayant de réveiller son regard terne, bien qu'une pointe de tristesse veillait en fond. Tu ne pus empêcher un sourire tout aussi triste de prendre place sur ton visage caressé tendrement par l'une de ses mains gantées, ne sentant presque pas la morsure froide qu'elle apportait. Si le temps vous semblait suspendu, loin de cette forêt ou encore du froid abyssal de Snezhnaya, son regard glissa inconsciemment sur tes lèvres. Ce feu ne s'était jamais éteint dans son cœur, même s'il avait essayé de l'étouffé, il ne pouvait plus se tromper et ignorer la chaleur brillante dans chaque recoin de son être. Il avait besoin de toi et il en brûlait de passion. Tes lèvres rougies par le froid ne l'aidaient pas, voulant les réchauffer des siennes. Sans même s'en rendre compte, il les quémandait presque, cachant son courage derrière sa retenue pour ne pas y céder, essayant de garder son désir muet.
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─ ­ ­ ­ « Ajax. » Murmuras-tu presque submergé par le regard inconsciemment intense de ton premier amour. « Je le veux aussi. »
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Fébrile à ta réponse, le jeune exécuteur s'interrogea à tes mots. De quoi parlais-tu ? À peine il rencontra l'éclat [C/Y] de tes yeux, la réponse lui fut aussitôt plus que claire. Il avait ton consentement. Fiévreux, il céda à votre envie commune, posant sans hésitation ses lèvres sur les tiennes, goûtant à la fraîcheur de tes croissants de chaire qu'il avait tant attendu. Si au début votre échange fut tendre et remplit de timidité s'assurant bien que l'autre le voulait aussi, celui-ci devient rapidement bien plus passionné, vous submergeant de chaleur, ravageant vos cœurs de passion. Tu te sentais fondre à chacune de ses attentions, accueillant son muscle de chaire entre tes lèvres avec un délice non contenue, jouant avec sa chaleur ardente. Tu n'aurais pas pu rêver mieux comme premier baiser, qui se métamorphosa en une pluie, dégustant tes lèvres comme s'il ne pourrait plus jamais le refaire.
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─ ­ ­ ­ « Ajax, une sec - »
─ ­ ­ ­ « Je suis désolé, [T/P]. Encore une fois. »
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Comment avait-il pu résister à t'embrasser pendant tout ce temps ? Le jeune exécuteur l'ignorait et ne voulait plus s'en rappeler. À peine avait-il prononcé ses mots, que ses lèvres se perdirent une nouvelle fois sur les tiennes, les caressant avec une délicatesse sans nom, t'emportant avec lui dans une spirale ardente d'amour. Sa main glissa le long de ta joue, observant de son regard océan ton visage rougi par sa faute, ça faisait si longtemps qu'il souhaitait faire ça. Bien décidé à profiter de son nouveau statut pour te câliner longuement au coin du feu dans l'intimité de son appartement, il ne vous restait maintenant plus qu'une chose à faire : "Arriver à sortir de cette patinoire". Une dure épreuve, autant pour lui que pour toi, mais la chaleureuse récompense qui vous attendait au final valait bien plus que ce défi des plus glissant.
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Masterlist ・ Christmas Calendar 2022
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catherine-geoffray · 6 days
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22–03–24 Des jeunes gens escaladent une cascade de glace. Ceux qui redescendent s’amusent parfois à se laisser glisser pour se rattraper au dernier moment à des prises ou à défaut à ceux qui s’y sont accrochés, au risque de les emporter avec eux. Chemin faisant ils constituent ainsi des grappes humaines qui s’écrasent au sol miraculeusement indemnes. De la poudreuse s’amasse sur leur cheveux et leurs barbes. Lasse de les regarder se mettre en danger, je me dirige vers le métro avec des amies. Nous discutons du meilleur itinéraire. Je plaide pour la ligne deux dont le quai est situé à l’extérieur un peu à l’écart. La rame arrive constituée uniquement de barques vite remplies, en quantité insuffisante pour charger tous les passagers. Je me précipite sur l’une d’elles en même temps qu’un homme et nous nous empoignons pour expulser l’autre de son siège. Nous finissons par exploser de rire devant cette situation ubuesque. Placardée sur le quai, une bouche rose fermée sur un fond de glace bleutée, nous regarde. 
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