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#profondeur de champ
lecume-de-ces-jours · 2 months
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Summer in February
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La vida siempre sale mejor con una cerveza en primer plano.
Ana 🤍
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caroline-tsnt · 3 months
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7 règles de composition pour améliorer tes dessins
Si tu as fait du design graphique, de la photo ou toute autre forme d’art visuel, alors tu as sûrement entendu parler de quelques règles de composition comme la fameuse règle des tiers, l’utilisation de la symétrie ou encore des points de fuite… Après plusieurs recherches sur la composition et sur comment l’utiliser en dessin, je te propose dans cet article de faire un petit tour sur les…
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sylvainperrierfotografi · 5 months
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50mm vs 85mm et le 35mm - Le Duel des Objectifs en Boudoir
50mm vs 85mm et le 35mm – Le Duel des Objectifs pour la Photographie de Boudoir Dans le monde de la photographie de portrait, notamment en boudoir, une question revient souvent : quel est le meilleur objectif pour capturer l’essence d’un modèle, le 50 mm ou le 85 mm ? Chacun de ces objectifs a ses propres caractéristiques et avantages, et le choix dépend de nombreux facteurs tels que l’espace de…
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r-ludovic-r · 1 year
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Table de profondeur de champ pour appareil 6x9 avec objectif de 105mm 
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horyia · 18 days
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Idée forum :
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles etc).
Académie des Élémentaires : Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaires seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectués quelques centaines auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidés de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
J'aimerais, peut-être, me lancer dans ce projet. Toutefois, je ne veux plus faire de projet seule alors si certains d'entre vous sont inspirées par ce début de contexte n'hésitez pas à me contacter par mp ! Repartage très fortement apprécié ♥
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cheminer-poesie-cressant · 9 months
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source : @cheminer-poesie-cressant
parfois le champs des fleurs s’appuie sur la forêt, s’adosse à sa densité, investit ses marges, éclaircit et épuise sa profondeur ; et l’arme de muraille que déploie les fleurs enferme peu à peu la grande ville des arbres, une enceinte de l’instant qui s’extrait de la terre lourde à force d’éclosion ; apprivoiser le sauvage est aussi de leur capacité ; une improvisation qui provoque une ligne d’instabilité dans la nature conquérante ; la brèche des fleurs qui consolide le regard
© Pierre Cressant
(mardi 25 juillet 2023)
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Fields of gold 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Quand les mantes religieuses sont aussi petites, j'aime bien jouer avec la profondeur de champ. En se rapprochant et en ouvrant l'objectif au maximum, on arrive à donner l'impression que cette mante sort d'une brume dorée ! 🇬🇧 When the praying mantises are so small, I like to play with the depth of field. By getting closer and opening the lens to the maximum, I can manage to give the impression that this mantis comes out of a golden mist! https://ift.tt/P4QVIxl
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calydriarpg · 15 days
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Calydria
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles, etc).
Académie des Élémentaristes: Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaristes seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
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Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectué quelques centaines d'années auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidé de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
Informations complémentaires
Le jeu se situera uniquement sur le continent d'Erydor (une carte sera mise à disposition néanmoins pour, vous aidez à visualiser les frontières entre les deux continents et leurs provinces). Les académies seront le point central du jeu, toutefois ceux en dehors pourront également être jouable.
Pourquoi l'âge est à partir de 18 ans ?
Dans le contexte, la rentrée dans les académies se fait après les années d'école classique et cela se passe à dix-huit ans. Ce sera donc le minimum d'âge des personnages ! Le forum traitera forcément de sujet assez violent (tw : guerre, sang, mort).
En termes de contrainte, il n'y aura aucun minimum de mot ni de rp obligatoire par mois. Du loisir avant tout.
Recherche staff
Beaucoup d'idées pour ce forum qui m'inspire avec les thèmes abordés, malheureusement une grosse charge de réflexion, écriture sera nécessaire pour construire correctement cet univers (en gardant en tête que les annexes devront être assez claires et courtes, c'est souvent compliqué d'arriver sur un fantastique avec 15 annexes très longues). Le mot d'ordre, la simplicité ! J'aurais donc besoin d'aide pour la rédaction, je ne dis pas non pour le codage pour que ça aille plus vite tout simplement et surtout, il y aura tout ce qui est tâche administrative. N'hésitez pas à me contacter par mp si vous souhaitez vous lancer dans l'aventure avec moi.
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selidren · 8 months
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Champs-les-Sims - Eté 1908
5/10
La naissance de mes enfants a saisi notre maison d'une vive agitation. Toute la famille s'est présentée au demain de la naissance pour contempler les poupons avec ravissement bien que je n'en saisisse pas vraiment la raison. Il est vrai qu'il faut bien féliciter Albertine, pour avoir réussi à surmonter une telle épreuve, mais les enfants de cet âge sont complètement indistincts les uns des autres, en particulier Arsinoé et Cléopâtre, qui se ressemblent énormément. Chacun y est allé de son petit commentaire, décrétant qu'untel avait mon nez ou qu'unetelle avait les yeux d'Albertine. Grand-Mère est bien évidemment aux anges, et même ma soeur Juliette semble comblée. Nulle doute que cette naissance a éveillé en elle des instincts maternels et qu'elle n'en peut plus d'attendre de se marier pour avoir les siens.
Pendant qu'Albertine s'occupe de nos enfants, je prépare quand à moi ma prochaine expédition en Egypte. Adelphe m'a assuré que nous disposions largement des fonds nécessaires, et les appuis de Monsieur Hautbourg feront le reste. Il me tarde d'aller plus en profondeur dans le cénotaphe que j'ai découvert avec Albertine et d'en étudier le moindre bas-relief. A ce qu'il parait, plus au sud, le barrage d'Assouan est en train de noyer une partie des vestiges de la vallée. Quelle honte ! Mais j'imagine que le contrôle de l'irrigation est important pour la population. Monsieur Maspero espère pouvoir tout de même effectuer plusieurs campagnes de fouilles à l'aide d'autres confrères anglais. Espérons que tout ne soit pas noyé.
La lenteur de cette organisation ne tient pas seulement à la langueur classique de l'administration pour me délivrer un permis. En effet, j'attends que nos enfants aient un peu grandi (ils ont presque deux ans à présent) afin qu'Albertine puisse de sentir libre de m'accompagner si elle le souhaite. De mon côté, je le souhaite ardemment, j'aurai peine à me séparer d'elle pendant plusieurs mois.
J'espère pouvoir vous donner des nouvelles de ma nouvelle campagne au plus vite.
Votre cousin,
Docteur Constantin Le Bris
P.S. Je ne sais si cette information à quelque attrait pour vous, mais ayant communiqué avec Adelphe durant plus de dix ans, il me semble cohérent de vous faire part d'une information à son sujet. Il est en ce moment assez troublé, car il a eu vent du décès de son géniteur, Monsieur Maxence Barbois. L'homme est décédé en Angleterre en 1903. Contrairement à ce qu'il escomptait, cette perte l'affecte énormément car il aurait aimé confronté son géniteur et savoir ce qu'il s'est au juste passé avec sa mère et les événements qui ont conduit à sa conception.
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metacarpus · 9 months
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7 août - tomber, encore
Le temple se tenait aux confins d'un haut plateau, comme en équilibre au bord du précipice. Aucune harmonie n'était perceptible à l'oeil humain dans son dessein : tours, créneaux, corniches, reliefs, ce n'était qu'un amas de morceaux disparates, lisses et d'un noir d'encre, formant une façade accidentée dont il était même impossible de deviner l'entrée.
Mais KĂ©bir savait comment entrer.
Le pas long, elle avançait tout droit vers le temple, traînant derrière elle, par les cheveux, un homme à demi inconscient. Elle avait les yeux rivés sur son objectif et du sang maculait son visage dur. Autour, le vent sifflait sur le plateau. Le ciel était sombre, si bien qu'il était impossible de savoir s'il faisait jour ou nuit. Tout semblait figé, terne, éteint.
Pour pénétrer dans le temple-forteresse, il fallait s'agenouiller, et prier. Kébir ne l'ignorait pas.
Elle jeta devant elle son fardeau, l'homme balbutiant et terrifié qu'elle avait traîné jusqu'ici. Comme mu par une force extérieure, il se mit à genoux. Une dévotion inquiétante teinta son regard et la litanie commença--il priait.
KĂ©bir l'abandonna Ă  sa transe et poursuivit vers l'Ă©difice. Elle posa les deux mains sur la roche noire, Ă©norme bloc de lave refroidie, puis l'oreille.
D'abord, elle n'entendit que ses propres battements de coeur, mais bientôt la grave, lente, terrible pulsation se mit à résonner. A mesure que l'homme psalmodiait, les battements se faisaient plus clairs. Ils semblaient monter de la terre, l'ancien volcan réveillé. Doucement la terre sous ses pieds se fit meuble ; trembla ; céda. Kébir tomba dans les profondeurs du temple.
Elle ne révérait pas ces dieux, mais connaissait leur pouvoir. Il y avait longtemps qu'elle cherchait un passage vers l'envers du monde, où les tours symétriques se dressent blanches dans le soleil, où l'herbe pousse dans les champs et le vent n'écorche pas les joues. Comme elle tombait, elle sentait la chaleur de l'envers, sa douceur, et son visage se détendit. Cette fois-ci, ça marchait. Enfin, grâce à l'homme saint, elle passait, elle y arrivait. La lumière éclairait son visage.
Devant le temple, l'homme épuisé avait cessé de chanter. Les dieux avaient ouvert un passage, mais pas pour lui. Son heure n'était pas encore venue de fuir cet endroit stérile, le lieu désolé de son errance. Libre, Kébir gisait sans vie sur le sol rocailleux.
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RĂ©ussir ses photos avec un cellulaire, truc et astuces.
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La photo s’est démocratisée avec l’arrivée des appareils photo numériques, mais surtout avec celle des téléphones cellulaires. Aujourd’hui, on peut être passionné.e par la photographie et faire de très beaux clichés, même si on ne peut pas investir dans de l’équipement. Comment réussir ses photos avec un cellulaire, voici quelques trucs et astuces!
Les limitations.
“La technologie lève toutefois les limitations les unes après les autres.”
Pour commencer, il faut connaitre les limitations avec les cellulaires. Il sera difficile de faire de belles photos d’animaux sauvages, par exemple, avec ces appareils. Voici quelques limitations que vous aurez :
La focale.
Pour rappel, la focale est la « taille de l’objectif ». C’est-à-dire la partie de ce que vous voyez qui va « rentrer » dans la photo. Les focales des cellulaires sont souvent axées sur le grand angle pour l’objectif principal et le portrait pour l’objectif « selfie » du côté de votre écran. Ces objectifs sont donc prévus pour faire des photos de paysages ou de personnes. Il sera donc difficile de prendre en photo un objet lointain ou un animal sauvage, en particulier les petits animaux.
Le zoom.
À ma connaissance, tous les cellulaires ont la possibilité de zoomer pour les photos. Grâce à cette option, beaucoup se diront qu’ils vont pouvoir prendre un objet lointain ou petit en photo. Oui, mais… Le zoom à une grosse limitation technique, à savoir de diminuer énormément la qualité de la photo et le nombre de mégapixels au fur et à mesure qu’on zoom réduisant ainsi la qualité de la photo.
L’ouverture.
L’ouverture est le fameux f/x que l’on peut lire sur les objectifs. Pour résumer, plus le chiffre est petit, plus l’objectif laisse rentrer de la lumière et plus la profondeur de champs est petite (à focale égale). L’ouverture nous donnera donc plusieurs limitations. Pour commencer, elle jouera sur la qualité de l’image en basse lumière. Ensuite, la profondeur de champ limitera certains effets artistiques comme les bokeh, bien que de gros efforts des constructeurs soient faits ces dernières années.
Trucs et astuces
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Maintenant qu’on a vu les limitations, voici quelques trucs et astuces pour réussir de belles photos :
Les effets
Il y aura deux effets à l’augmentation de la sensibilité ISO, à savoir l’augmentation du bruit numérique et la diminution de la dynamique. Le bruit numérique, aussi appelé « grain » est toutes ces petites taches qui apparaissent sur la photo, dégradant sa qualité. Ces point parasites font diminuer la netteté des détails de la photo. Plus on l’augmente, plus le bruit augmente. Mais certains boitiers travaillent mieux à sensibilité élevée que d’autres. La dynamique, de son côté, est la différence entre les hautes et les basses lumières, c’est-à-dire les couleurs claires et les couleurs foncées.
Portrait ou paysage.
Il existe une appellation différente suivant si la photo est prise de façon verticale ou horizontale. « Verticale » (téléphone en position debout) est appelé portrait, tandis que « horizontale » (téléphone en position couchée) est paysage. Certaines personnes, de façon innée, ont tendance à toujours prendre leurs photos en format portrait. Pourtant, comme le nom l’indique, il serait préférable de prendre en photo un paysage (ou un groupe de personnes) en format horizontal et une personne en format vertical.
La grille.
Dans vos options de photo, il y a la grille. Formée de 9 rectangles, cette grille vous permet de faire de belles compositions, que vous choisissiez de centrer votre sujet ou de jouer avec la règle des tiers.
Les modes.
Certains téléphones récents, comme par exemple les derniers iPhones, possèdent des modes qui s’affichent sur l’écran lors d’une prise de vue, comme « Photo », « Portrait » ou « Panoramique ». N’hésitez pas à jouer avec ces modes. Par exemple, le mode portrait simulera un flou au niveau de l’arrière-plan.
Les applications.
Votre cellulaire est capable d’aller plus loin que les options de bases que vous avez avec la fonction photo. Certaines applications vous permettront de régler la profondeur de champ, les ISO ou encore le temps d’exposition!
Les retouches.
La retouche de photos, depuis le numérique, est un peu comme le développement à l’époque de la pellicule. Elle permet de corriger l’exposition ou d’accentuer les couleurs. À garder en tête : jouer avec les curseurs avec parcimonie!
Le HDR.
Le High Dynamic Range (HDR), était à l’origine créé grâce à 3 ou 5 photos du même sujet mais avec des expositions différentes afin d’accentuer les tons clairs et foncés. Cette option se retrouve souvent en un seul clic sur les cellulaires!
Avec les deux mains.
Afin de garder la meilleure stabilité possible, n’hésitez pas à tenir le téléphone avec les deux mains.
Ou sans les mains!
Les accessoires peuvent aider pour les photos. Le trépied vous aidera pour la stabilité.
Les accessoires.
Suivant votre type de photo, n’hésitez pas à investir dans quelques accessoires. Trépied, selfie stick, télécommande, objectifs additionnels sont des accessoires qui pourront vous aider à faire des photos hors du commun!
Est-ce que ces quelques conseils vous ont aidé? N’hésitez pas à arpenter la page « techniques de photos » pour d’autres astuces!
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simbelmyneswriting · 9 months
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Jour 3 - Bleu Lagon
Après ce qui lui avait semblé des jours de marche, Greda était arrivée à l’embouchure du fleuve, là où ses eaux tumultueuses et opaques se fondaient dans un bleu que l’orc n’imaginait pas si clair, si vif. Ce bleu si étrange, presque mystique, semblait à peine dérangé par l’afflux soudain d’eaux sombres. Un bleu si étrange, si vif comme un joyaux et pourtant, si l’on se concentrait bien dessus, ce bleu semblant devenir presque noir au centre, là où la profondeur était la plus grande. Un bleu lagon. Elle avait entendu cette expression avant, bleu lagon, probablement auprès des voyageurs dans les caravansérails que son clan avaient fréquentés… Ou peut-être dans la bouche de Sanni, lorsqu’elle racontait des histoires aux petits ? Ou bien les deux - sans doute les deux. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Est-ce que c’était cela, même, un lagon ?
Est-ce que tout cela en valait la peine ?, se demanda l’orc en s’appuyant contre le rocher le plus proche. Son outre était vide depuis plusieurs heures et elle n’avait mangé que quelques myrtilles et poires de terre depuis le lièvre d’il y a deux jours. Elle qui avait toujours été une excellente chasseuse, toujours apte à ramener de la gazelle pour son clan, se retrouvait démunie, presque une enfant dans ces conditions. “Père t’aurait mis à mort, pour être aussi faible et ridicule…” marmonna Greda en se laissant glisser au sol, les yeux fermés sur ses larmes et son moignon râpant durement contre la surface du rocher. C’était un miracle que la blessure ne se soit pas infectée, mais heureusement la coupure avait été nette - un avantage précieux des armes de fabrication naine, car leur tranchant était inégalé. Pourtant, ce n’était pas un nain qui lui avait coupé le bras, mais un cavalier à cheval, portant cet étrange soleil comme blason sur ses habits luxuriants.
A vrai dire, maintenant que Gerda y repensait, tous leurs attaquants portaient cette emblème sur leurs armures et chevaux. Une piste à creuser pour tenter de retrouver Sanni, la sauver des griffes de ceux qui l’avait enlevée. Libérée, avaient-ils dit, libérée de ces bêtes sanguinaires, ces sauvages, tels avaient été leurs mots exacts. Elle avait crié son nom, avec ce petit accent charmant même dans l’urgence et cela avait mis un peu plus de bravoure dans les gestes de l’orc. Un peu plus de désespoir aussi lorsque la jeune femme avait disparu de son champ de vision et que le cercle de cavaliers c’était refermé sur elle. Et beaucoup de désespoir, teinté de honte, lorsque tombée au sol et tentant vainement d’attraper une arme, on lui avait coupé l’avant-bras, avant de la laisser là, au milieu des cadavres. Le reste de son clan dispersé ou pire, capturé.
Elle s’était relevée après un moment, avait regardé son bras inerte, coupé net par l’impact de l’arme, pendant un certain temps, puis avait récupéré de quoi nettoyer la plaie. Elle avait ensuite déchiré une toile de tente qui tenait encore debout et l’avait enroulée autour de sa blessure, avant de ramasser quelques provisions et une lance et de se mettre en route vers leur destination : l’avant-poste du Bout du Fleuve, pour la Fête des Morts. Gerda n’était plus si loin, maintenant que l’océan était en vue et que le delta du fleuve s’étendait devant elle, pourtant elle n’arrivait pas à se relever. Elle était lasse, si lasse, de tout. D’avancer. De se battre. D’être forte. Parfaite guerrière mais qui n’avait pu sauver son clan, ni même son épouse. Ni même son bras, qui lui semblait maintenant irradier de chaleur - ou bien était-ce son esprit qui se perdait alors que les larmes s’écoulaient sur ses joues poussiéreuses.
Elle n’en savait rien. Elle ne savait plus rien, juste qu’elle avait lamentablement échoué dans toutes ses tâches de future cheftaine. D’un geste rageur, Gerda essuya ses larmes et força ses yeux ouverts. Gifla ses joues pour arrêter cette faiblesse indigne et plongea son regard sur la plaine qui s’étendait en dessous-d’elle, pour finir dans le bleu fascinant de l’océan. Un bleu lagon. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Une ombre se posa sur elle et l’orc pria, en son fort-intérieur, pour que ce soit la fin. Et qu’elle soit rapide et sans trop de douleur. “Gerda ? Gerda Longstooth ? Par Uruk, qu’est-ce que tu fiches là ?! Qu’est-il arrivé à ton bras ? Oh par Uruk ! Oh Uruk ! Oh non ?! Oh gamine tu m’entends ?” tonna l’ombre en s’agenouillant à ses côtés, détournant de force son visage du bleu lagon de l’océan pour vérifier que la jeune orc était toujours vivante.
Gerda cligna des yeux et l’ombre se précisa un peu plus, un orc à la barbe tressée et aux multiples cicatrices se tenait à ses côtés. Par certains traits, il ressemblait à son père, en plus compact. En plus rond et doux, comme souvent ceux qui vivaient près des avants-postes. “… Oncle Roth ?”
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sylvainperrierfotografi · 6 months
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Mode Manuel vs Modes Semi-Automatiques
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marie-chatelaine · 1 year
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Photographies en bleue
Une bonne photographie est une question de profondeur de sentiment,
pas de profondeur de champ.
- Peter Adams -
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claudehenrion · 4 months
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Relire l'Histoire, Ă  contre rythme des relectures actuelles...
La réécriture de l'Histoire était un passe-temps d'amateurs, avant que les pratiques de la Gauche, qui raffole de cet exercice, ne viennent polluer notre paysage politique. Le hollandisme puis la macronie lui ont conféré une sorte de ''sacralisation laïcarde'', parmi leurs autres idées mensongères... ce dont nous n'avons pas fini de payer les conséquences : l'addition est déjà lourde, et le pire est à venir... Heureusement, des historiens dignes de ce nom nous gratifient parfois d'hypothèses qui nous aident à mieux comprendre le monde moderne à travers les crises artificielles que fabriquent, pour nous perdre, les dirigeants du moment.
Un bel ouvrage de cette lignée vient de ''sortir'' ou plutôt de ressortir : c'est une réédition commentée de l’œuvre d'un historien belge, Henri Pirenne, jusque là totalement inconnu de moi, pour ma plus grande honte. Cet historien bien de son temps (col cassé, moustache et bouc bien peignés !) est mort à ma naissance --sans qu'on puisse établir de lien entre ces deux événements, d'ailleurs. Il avait écrit (donc dans les années 1930) de passionnants ouvrages qui ont été oubliés, dans l'anonymat du vulgum pecus (dont je revendique de faire partie, sans fierté ni arrogance !), mais qui ont été jugés majeurs par toute une école d'historiens ouverts, insoumis (si j'ose !) au stupide ''penser correct'' qui mène l'Occident –et le monde, avec lui-- à une perte qui semble irrémédiable.
Ce ''complotiste'' avant l'heure aux yeux des aveugles qui s'auto-proclament ''l’intelligentzia'' (et qui, donc, penchent à gauche, par mimétisme !) avait émis, dans un excellent ''Mahomet et Charlemagne'', publié après sa mort, en 1937, mais que je n'ai lu que très récemment, l'idée que c'est à cause des invasions arabes que le monde romain survivant à l'Imperium s'était divisé et avait disparu, et que ''Charlemagne (et donc le Saint Empire romain-germanique) n'auraient pas été possibles sans Mahomet''. La 2 ème guerre mondiale a arrêté net toute idée hors du champ politique. Pirenne est tombé dans l'oubli, et sa thèse fut jugée scandaleuse par la ''bien-pensance'', déjà myope à en être aveugle. On peut y adhérer ou pas (pour ma part, j'ai du mal avec certaines de ses déductions, qui me semblent ne pas avoir été démontrés par la suite du temps, mais cela est sans importance, même à mes propres yeux).
Car ce qui compte, c'est une explication ''qui se tient'' de toutes nos crises actuelles, qui étaient donc visibles dès les années '30, donc avant que la folie ne sorte des asiles, au point que la belle Collection Quarto de Gallimard a demandé à à trois historiens, A.Marchandise, Ph.Senac et G.Warland, de réunir les trois Essais majeurs d'Henri Pirenne dans un nouveau livre ''Histoires de l'Europe'', où l'on découvre que ni les invasions barbares, ni même la disparition politique de l'Empire romain n'ont eu une influence réelle sur son organisation sociale, sur sa foi chrétienne, sur son espace commercial, sur l'existence de sa ''Mare nostrum''. Le vrai basculement n'est devenu perceptible qu'avec l'explosion fulgurante de l'islam qui, détruisant les voies de communication, a repoussé le barycentre de l'Occident vers le nord de l'Europe –d'où le lien avec Charlemagne.
Pirenne démontre que le formidable Empire romain, qui allait de l'Ecosse aux confins du Sahara (en Libye et en Egypte) et de l'Espagne à la Syrie et à la Turquie actuelles) n'a pas été bouleversé en profondeur par les invasions dites ''barbares'', à part à Rome-même : les vainqueurs ont eu l'intelligence de comprendre le charme et les avantages de ''s'assimiler'' à une civilisation largement plus ouverte et plus prometteuse que la ou les leur(s). (NDLR – comme on aimerait que, dans leur propre intérêt plus encore que dans le nôtre, les barbares du XXI àme siècle soient capables de la même réflexion-adaptation... Passons). Notre roman national résonne de la fusion gallo-romaine : des francs de Clovis aux wisigoths et aux vandales, notre pays est encore très ''marqué en profondeur'' par les mœurs de l'ancien ''colonisateur'', par Rome et les survivances de sa catholicité... jusque à mon joli village de Mougins, où les ruines de la Via Julia et des ''castra'' de surveillance contre les ligures sont encore visibles, dans ma propre propriété.
Tout ce décor, harmonieux malgré les batailles et les guerres va être détruit, très vite, par l'arrivée des guerriers d'Allah, au VII ème siècle : ''Tandis que les germains, écrit Pirenne, n'ont rien à opposer au christianisme de l'Empire, les arabes, eux, sont exaltés par une foi nouvelle qui veut détruire le monde ancien et régner sur la Terre entière '' (NDLR : objectif clair et précis dont pas un iota n'a été modifié ni même n'a un tout petit peu évolué, dans le discours actuel de l'islam). De ''Mare nostrum'' unifiante, la Méditerranée va devenir de manière permanente un obstacle infranchissable --sauf pour de nouveaux envahisseurs infiltrés parmi de soi-disant ''migrants''!-- et le village de Mougins sera ''razzié'' à plusieurs reprises, comme tant d'autres.
 Pirenne fait découvrir à ses lecteurs que l'Empire romain (qui n'était pas ''issu d'Athènes et de Jérusalem'' pour rien !) était avant tout un art de vivre (j'en parlais récemment, à propos de Ravenne et de la Syrie et de la Jordanie actuelles --où je l'avais ''rencontré'', dans sa partie byzantine, lors de voyages ''initiatiques''). Il en déduit, avec près d'un siècle d'avance sur ce que nous vivons, une opposition ''de facto'' entre une Europe de l'ouest, marquée par un esprit de liberté, d'individualisme et d'altérité mélangés issus du christianisme et de sentiment d'appartenance à une ''Nation''... et une Europe orientale, plus impériale, autoritaire et disciplinée –il dit ''germanique'', et explique par là même, dès 1937, l'impossibilité chaque jour plus évidente d'une Europe unie : personne, jamais, n'a réconcilié l'huile et l'eau... ou le feu et l'eau.
Au moment où une métastase soudaine du conflit israélo-palestinien est en passe de bloquer le trafic du détroit erythréo-yéménite de Bab el-Mandeb qui n'a jamais si bien mérité son nom de Porte des lamentations (Il représente –on l'oublie trop souvent-- entre 25 et 40 % du commerce mondial, et sa fermeture risquerait de précipiter la Chine dans une crise économique majeure, déjà commencée, mais qui recevrait là un coup de grâce : un conflit y paralyserait l'équilibre économique du monde)... il faut absolument lire Pirenne : il n'y a rien de plus éclairant, en ce moment, puisque à défaut de résoudre les maux dont se meurt notre civilisation, cela permet –au moins-- de comprendre les raisons profondes des malheurs d'hier pour évaluer les menaces d'aujourd'hui ! Ce n'est pas tous les jours qu'il est possible de s'offrir une telle possibilité d'anticipation !
H-Cl.
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atelierclic64 · 5 months
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Histoire de Profondeur de champ St PĂ©e 2023
Photographie Claude LECONTE
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