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#proposition visuelle d'écriture
les-toupies-h · 9 months
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---> Seule passait la lumière d'août
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Marguerite Bornhauser
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justforbooks · 6 years
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Naissance du projet
C'est l'ancier monteur de Jean Becker, Jacques Witta, désormais à la retraite, qui a parlé au metteur en scène du roman de Jean-Christophe Ruffin, "Le Collier Rouge". Witta était persuadé que le livre plairait à Becker et que ce dernier y verrait un sujet de film. Le réalisateur se rappelle :
"En lisant, je me disais que les scènes de guerre seraient compliquées à mettre en scène pour un réalisateur de mon âge ! Mais après réflexion, en effet, l’histoire m’a touchée et j’ai décidé de me lancer, en sachant qu’il y aurait des gens qui m’aideraient dans les moments plus compliqués, comme Yves Angelo qui a été bien plus qu’un chef opérateur ou Louis mon fils, qui a été bien plus qu’un producteur. Il m’a soutenu avec beaucoup de force ... Et à l’arrivée, ça me fait plaisir quand on me dit que le résultat fait penser au travail d’un jeune metteur en scène !"
35 ans après...
François Cluzet collabore à nouveau avec le réalisateur Jean Becker 35 ans après L'Été meurtrier. Le comédien confie :
"Jean a été un de ceux à l’époque à m’avoir pour la première fois confié un rôle très intéressant, qui a beaucoup compté pour moi en tant qu’acteur. Le temps a passé et j’avoue que la proposition de ce rôle trente cinq ans après a été une excellente surprise."
Facilité d'écriture
Ce qui a séduit Jean Beckerdans le roman réside dans la facilité d'écriture de Jean-Christophe Ruffin.
"J’ai dévoré «Le collier rouge» d’un trait, en me disant à chaque page que cette histoire était extrêmement visuelle tout en étant très simple à comprendre. J’aime ça aussi au cinéma : s’asseoir dans une salle, être entraîné jusqu’à la fin du film sans s’ennuyer...", confie le réalisateur.
Le choix Sophie Verbeeck
Jean Becker a choisi Sophie Verbeeckpour incarner Valentine après l'avoir vue dans A trois on y va.
"Elle n’avait pas le rôle principal mais elle y était très attachante. Sa voix, son attitude m’avaient bluffé... Il a fallu convaincre les producteurs car elle n’est pas encore très connue au cinéma mais je suis certain qu’elle va le devenir !", se souvient le cinéaste.
Physiquement éprouvant pour Jean Becker
Jean Becker se rappelle du tournage du Collier rouge comme ayant été très éprouvant pour lui et notamment à cause des scènes de guerre où il devait diriger beaucoup de figurants dans les tranchées. Le réalisateur raconte :
"Physiquement, pour moi, ç’est un tournage qui a été difficile... Ma récompense, ce sont justement les témoignages de ces figurants dont vous parlez, des gens de la région où nous avons tourné en Charente, près de Montbron. J’étais dans ma petite cahute avec mes écrans pour regarder ce que nous venions de filmer, sous la pluie, dans la boue et quand ils passaient près de moi épuisés et crottés, ils me remerciaient... Alors non pas de leur avoir fait le cadeau empoisonné de ces conditions de tournage, mais simplement d’avoir fait ce film. Tous ces figurants étaient juste heureux d’avoir vécu quelques jours dans la peau de Poilus de la guerre 14-18 ! Ca m’a beaucoup touché..."
Pas un film de guerre
L’histoire du Collier rouge met en parallèle une confrontation entre deux hommes avec une histoire d’amour. Ainsi, pour Jean Becker, ce long métrage n'est pas un film sur la guerre. Il précise :
"Il y a la dualité entre ces deux types, qui peut faire songer à Garde à vue ou Le Juge et l'assassin, avec une sorte d’enquête policière dans laquelle Lantier du Grez essaye de mettre à jour la vérité. Il y a également en effet une histoire sur la relation compliquée entre une femme et un homme, qui pense avoir été trompé par celle qu’il aime... Ce couple a lui aussi été malmené par la guerre : sans 14-18, Jacques et Valentine n’auraient jamais connu cette épreuve."
Une histoire moderne
L'histoire du Collier rouge se déroule en 1919 après la Première Guerre mondiale et, cent ans après, les thèmes du film sonnent d’une manière très moderne. La notion de héros, le rapport à la justice, le couple et la place de la femme dans la société... Jean Becker précise :
"J’ai eu l’impression que le roman était déjà dépoussiéré sur le plan de l’époque ! Ce que raconte cette histoire est franchement révolutionnaire avec une attaque contre la manière dont on a traité les hommes de la guerre 14-18. C’étaient des héros, des vrais... J’adorais mon grand-père, qui avait vécu l’enfer des tranchées en étant blessé. Il m’avait parlé de la guerre et je me suis beaucoup documenté avant de faire le film. Quand on connaît le sujet, on comprend que l’Etat et les généraux ont envoyé des millions de gens à la boucherie. Où est l’aspect héroïque dans tout cela ?"
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jefcaro · 7 years
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Utopia – Bernadette Mayer
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Traduit de l’anglais (américain), édité par <o>future<o>, publié par BAT, 2016.
Ensemble de textes qui définit l'utopie comme un vaste ensemble d'expérimentations, de genres et de propositions théoriques existant uniquement dans le langage, Utopia s'offre comme une synthèse des utopies historiques et un instantané de la scène poétique des années 1970-1980. L'utopie de Bernadette Mayer est ponctuée d'un voyage dans le temps, d'un séjour dans une communauté, d'un court passage sur un îlot  rocheux flottant dans les airs et transportant des poètes marxistes  autoritaires, d'une prison pour les propriétaires et de sexe en  lévitation. Dans ce livre publié par United Artists Books en 1984, l'auteure nous parle autant de politique que de rapports à la   propriété ou d'amour libre, tout en interrogeant la littérature   utopique classique et contemporaine. Sa forme particulière est  d'abord celle du style caractéristique de Bernadette Mayer, avec le flux poétique déjà présent dans Studying Hunger (1975) et Memory (1976), mais aussi celle d'une volonté d'écriture collective.  Chacun des chapitres du livre est composé d'un texte principal  accompagné de notes rédigées aussi bien par Mayer que par d'autres  poètes, argumentant contre elle, affirmant une affinité de pensée  ou proposant leur propre vision utopique et poétique. On y croise  Charles Bernstein, Joe Brainard, Rochelle Kraut, Lewis Warsh, Anne  Waldman, Hannah Weiner, Diane Ward ou Greg Masters, tous membres de  la même « New York School ». Utopia agit  donc comme une forme d'instantané de la scène poétique des  années 1970-1980. Le lecteur découvrira aussi Mayer convoquer et  pasticher les figures tutélaires du genre, de Thomas More à André  Breton en passant par Charles Fourier, Samuel R. Delany, Buckminster  Fuller, Doris Lessing, Platon ou encore Jonathan Swift. Écrivaine d'avant-garde associée aux poètes de la New York School, Bernadette Mayer est née en 1945 à Brooklyn, New York, où elle vit toujours. Elle obtient en 1967 un B.A. de la New School for Social Research, et commence peu de temps après à y enseigner à temps partiel. De 1967 à 1969, elle publie avec l'artiste Vito Acconci la revue expérimentale 0 to 9, où se mêlent des textes d'écrivains et des œuvres d'artistes visuels conceptuels basées sur l'utilisation du langage. On y rencontre alors les noms des poètes contemporains (Ted Berrigan, Clark Coolidge, Hannah Weiner, Aram Saroyan) et historiques (Novalis, Gertrude Stein, Guillaume Apollinaire), associés à des artistes, chorégraphes et musiciens prédominants tels que Robert Smithson, Dan Graham, Morton Feldman ou Sol LeWitt. En 1967, elle fonde aussi avec Lewis Warsh la maison d'édition United Artists Books, et publie un grand nombre d'écrivains influents tels que Robert Creeley, Anne Waldman, Hannah Weiner, James Schuyler, Ted Berrigan et Alice Notley, ainsi que certains de ses propres livres comme The Golden Books of Words en 1978 ou Utopia en 1984. Connue pour son usage innovant du langage, Mayer accède à la notoriété avec son exposition « Memory », qui combinait photographies et narration. Au cours du mois de juillet 1971, Mayer prend chaque jour une pellicule de photos et enregistre ses pensées. Ces matériaux serviront de base à l'exposition, puis au livre éponyme qui sera publié en 1975. Au cours des années 1980, Mayer fut directrice du Poetry Project de la St. Mark's Church à New York où elle dirigeait aussi des ateliers d'écriture (dont les instructions ont été publiées dans la revue L=A=N=G=U=A=G=E et traduites en français en 1997 par Un Bureau sur l'Atlantique). Elle fut aussi à l'initiative de la Poetry Project's Reading Series, projet qui continue encore aujourd'hui sous d'autres auspices. La position de Mayer dans cette institution et la réception de son œuvre ont fait d'elle une figure centrale de la communauté d'artistes et d'écrivains qui se rassemblait alors dans le Lower East Side à New York. En tant qu'écrivain, Mayer est le plus souvent associée à la New York School, dénomination qui se réfère à une « école » de poésie, mais aussi à des compositeurs, peintres, artistes visuels, artistes conceptuels et chorégraphes. L'usage par Mayer de méthodes de composition telles que la « chance operation » (opérations aléatoires), le collage et le cut-up l'identifie comme une artiste poursuivant des but similaires à ceux d'artistes comme John Cage, Jackson Mac Low ou Frank O'Hara – figures centrales de la New York School – tout autant qu'aux figures plus contemporaines associées à la revue L=A=N=G=U=A=G=E. L'œuvre de Mayer est toutefois aussi influencée de manière significative par des figures modernistes telles que James Joyce, Gertrude Stein et les écrits dadaïstes ou par des auteurs classiques qui l'ont par exemple menée à une traduction informelle du poète romain Catulle.
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les-toupies-h · 11 months
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---> C'était un type très spécial
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Chris Alleaume
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les-toupies-h · 9 months
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---> C'est l'été
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Marguerite Bornhauser
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les-toupies-h · 1 year
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---> Nous venions de quitter le terrain vague
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Eduard Sánchez Ribot
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les-toupies-h · 10 months
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---> Ce ciel apportait la promesse de l'été
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Marine Raimbaud
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les-toupies-h · 9 months
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---> Il attendait de gravir le ciel
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Harry Gruyaert
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les-toupies-h · 1 year
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---> Un matin, il prit l'autocar, et elle ne le revit plus
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Jacques Sonck
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les-toupies-h · 10 months
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---> Elle attendait on ne sait trop quoi
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Emmanuelle Margry
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les-toupies-h · 1 year
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---> Ceux qui vieillissent sont pleins d'images
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Chris Killip
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les-toupies-h · 1 year
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---> Je m'égare en eux
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Antoine Henault
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les-toupies-h · 1 year
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---> Les adieux sont des paroles inutiles
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Thomas Jordan
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les-toupies-h · 1 year
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---> Chez eux, il se dégageait la calme certitude du quotidien
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Tom Wood
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les-toupies-h · 1 year
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---> Il ne savait plus s'il avait bien fait de revenir
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Marvin Bonheur
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les-toupies-h · 1 year
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---> Il y avait de la beauté dans cette alliance
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Francesco Lopazio
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