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#réintégrer
hetalianfrog · 1 month
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A little post in French bc I'm too lazy to write in English ~☁️
J'ai toujours remarqué quelque chose d'intéressant avec Francis. D'après les fans, il est un deredere, ou un hiyakasudere (je n'ai jamais été d'accord avec ce dere là ptdrrr) 😔
Mais vous voyez les chapitres d'Hws quand Arthur a quitté l'EU ? (j'ai oublié les numéros) 💀
Dedans on peut clairement voir Francis avoir un (très) léger côté yandere dedans... 😨 Surtout dans le chapitre où il a fait une tête flippante en gueulant qu'Arthur irait pleurer et le supplier de le faire réintégrer l'UE bahahahahahaha 💀
Non en vrai, j'ai peut-être l'air en train de me moquer, mais j'adore ce côté un peu ''sombre'' de Francis (je suis littéralement accro à ses têtes flippantes, j'en ai plein dans ma galerie photo) :
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Ptn j'aime trop quand il fait ça, il est trop chou 😔🤌❤️
(j'aime les choses flippantes, ok ? Et non, je ne suis pas une tarée dérangée)
Mais sachez que Francis est vraiment quelqu'un de bien et pas un pervers ou un violeur comme certains hetaliens peuvent penser... La preuve, c'est que dans certains épisodes et dans ses chara song, il parle à plusieurs reprises de l'amour en le décrivant déjà comme ''beau'', ''précieux'', ''unique'' et ''temporaire'' mais il dit aussi qu'il ne doit pas être forcé ou imposé, qu'il doit rester naturel et avec un consentement
C'est pour ça que c'est mon personnage préféré (car non, ce n'est pas mon perso préféré juste parce qu'il représente mon pays mais parce que je l'adore vraiment) 🤸‍♀️✨
Bref, désolée de vous avoir faîte perdre du temps avec ce post inutile 🐤
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gaby974love · 4 months
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Lancia pourrait réintégrer le rallye avec la nouvelle Ypsilon dès 2025
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aurevoirmonty · 1 month
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"Le monde est misérable parce que les hommes vivent en dessous d'eux-mêmes ; l'erreur de l'homme moderne est de vouloir réformer le monde sans avoir ni la volonté ni le pouvoir de réformer l'homme.
Cette contradiction flagrante, cette tentative de faire un monde meilleur sur la base d'une humanité dégradée, ne peut que se terminer par l'abolition même de ce qui est humain.
Réformer l'homme signifie le relier à nouveau au Ciel, rétablir le lien rompu ; cela signifie l'arracher au royaume des passions, au culte de la matière, des quantités et de l'artifice, et le réintégrer dans le monde de l'esprit et de la sérénité."
Frithjof Schuon
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shakeskp · 6 months
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Aujourd'hui, j'ai prononcé les mots "Je vais être sage et sérieuse et je vais écrire de l'omégaverse", et il y a des mots mis bout à bout qu'on n'imaginait jamais dire un jour
Sinon, j'ai avancé depuis la dernière fois !
Statut de l'omégaverse officiel : 13 259 mots (+ 3021 mots, et beaucoup de retravail !)
Statut de la Hanahaki 2.0 de la Procrastination où Alhaitham est cette fois la victime : 2240 mots (+75 mots)
Statut d'une Xiao/Aether avec side Zhongven de la Procrastination : 980 mots
Les autres n'ont pas avancé, ce qui est une bonne chose, et je suis lentement mais sûrement en train de réintégrer les éléments de l'Omégaverse de la Procrastination à l'officielle
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Cela faisait un long très long moment qu'un dragon était enfermer en lhades quand il entendit d'un coup les fondations de sa prison s'effondrait et quand il ouvrit les yeux il pu même y voir de la lumière il ce redressa et tira sur la chaîne qui le tenais cloué dans cette endroit une chaîne spécial pour tenir les dragons il siffla de frustration quand il vu une silhouette devant lui et il pencha la tête voyant les yeux de cette silhouette briller argenté
.
Morpheus : *il s'avança regardant le dragon en face de lui.*
- bonjour chère dragon
Morpheus s'avança doucement regardant le dragon en face de lui ayant lui aussi des dragons dans son monde il savait qu'il ne devait pas faire de mouvement brusque il tendit la main doucement et s'approcha du dragon touchant sa chaîne et celle ci partie en de nombreux petit grains de sable libérant le dragon
.
Le dragon de redressa sentant aucune menace venant de l'homme en face de lui il le laissa faire surprit que celui ci le libera et il etandit ses ailes avant de diriger sa tête en face de celle de morpheus soufflant sur son visage légèrement
- pourquoi vous embêtez a me libérer ?
.
Morpheus : - par ce que un dragon du monde des rêves te connait bien et qu'il m'a demander de t'aider
.
Le dragon leva la tête cette annonce oui dans ses rêves il avait un ami un dragon bleue a écaille et a plume autrement appeler dragon phoenix le genre de dragon qui exister que dans les rêves cela dit
- le dragon phoenix vous a parler de moi alors, comment ?
.
Morpheus : par ce qu'il s'agit de mon dragon ma création
.
Le dragon sourit légèrement voilà la raison l'homme en face posséder un dragon tout s'explique.
- je vois mais ce que votre dragon ne vous a pas dit c'est que je suis mort les dieux mon tuer
.
Morpheus : - si il me l'a dit justement si je suis ici c'est que j'ai eux une discution avec la mort. Nous n'avons comme projet de réintégrer certaines espèces dans cette nouvelles airs et les dragons ont trop souffert
Morpheus toucha le museau du dragon et tout deux fu téléporter dans le nouveau monde dans une plaine verdoyante en plein soleil. Morpheus avait eu avec mort et destin de long pourparlers afin de faire revenir la race des dragons et pour cela rien de mieux que de faire revenir le dieux dragon lui même cette expérience aller commencer maintenant.
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«Un père n’a droit au respect, sinon à l’amour, que si le dit respect, le dit amour, est, vous n’allez pas en croire vos oreilles, père-versement orienté, c’est à dire fait d’une femme, objet a qui cause son désir.» (Les non-dupes-errent, séance du 21 janvier 1975)
Rappelons que Lacan évoque trois conditions permettant à un homme d’être digne du mérite d'être "père": avoir fait d’une femme la cause de son désir, une femme qui lui fasse des enfants, et de ceux-ci qu'il prenne soin paternel.
Dans la dernière leçon du séminaire L’angoisse, Lacan énonce son programme consistant à passer du Nom-du-Père aux noms du père.
Il questionne alors le désir du père: «Dans la manifestation de son désir, le père, lui, sait à quel "a" ce désir se réfère. Contrairement à ce qu’énonce le mythe religieux, le père n’est pas causa sui, mais sujet qui a été assez loin dans la réalisation de son désir pour le réintégrer à sa cause.» (Jacques Lacan, Le séminaire, Livre X, L’angoisse)
Le père qui parvient à réintégrer le désir à sa cause se trouve en position de transmettre le Nom-du-Père ; ayant réuni les conditions de possibilité de la transmission. Cela met en évidence que l’effectuation de la métaphore paternelle n’est pas une opération qui dépend uniquement du désir maternel.
Que le père soit digne de respect sinon de l’amour n’est pourtant pas une condition unique, et parfois certaines conditions énigmatiques de discours permettent l’accès à ce signifiant.
C’est ce qui relève de l’insondable dans la structure du sujet…
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lounesdarbois · 10 months
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L'ordre public?
L'ordre public a eu le temps ces 20 dernières années de démontrer qu'il est pire que l'émeute de primitifs enragés: il est plus avilissant, plus déshonnorant, plus violent, beaucoup plus mortifère par suicides et obstacles à la reproduction que l'explosion sporadique de mugissements des cités. L'ordre public c'est quand les Blancs portent et nourrissent les non-Blancs occupés à chier sur eux. L'ordre public c'est de dépenser de la compassion pour des faux-mendiants qui une fois rétablis se vengent sur vous de vos largesses. L'ordre public c'est tolérer ce qui vous tue, c'est épargner ceux qui vous tuent. Mais soyons très concrets. L'ordre public c'est l'exploitation des Blancs catalysée pour engraisser, panser, favoriser des gens comme ça :
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des gens comme ça :
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des gens comme ça :
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Des "gens" qui ne rapportent rien aux vrais hommes, qui occupent des places sans améliorer les places, qui obtiennent les places par la pitié des vrais hommes et ne leur rendent aucune pitié une fois en place.
La république ce sont les franc-maçons. On se libère de la république seulement si l'on se libère des franc-maçons.
Les Décombres de Rebatet regorge d'exemples désastreux de restauration ratée par une bourgeoisie efféminée, crédule et parcimonieuse qui fait faire le travail par les autres. Or les rares réformateurs qui se lèvent aujourd'hui sont à deux doigts de recommencer tout ce qu'il ne faut pas faire.
L'ordre public? Éteindre des pétards pour que millions de répugnantes gueunons puissent à nouveau digérer au calme, dans un calme obtenu à nos frais, c'est cela le programme de sécession ? Tous les débats de civilisation depuis soixante ans en reviennent toujours à cette cochonnerie de "place de la femme" parce que la dondon artémisienne hurleuse qui a ses lunes est le vrai Surmoi de tous ces pseudos réformateurs de l'impossible quoi qu'ils en disent. La vraie réforme commence par une grande tarte dans la gueule aux Idoles de ce monde et déchéance de Personnalité Juridique selon les antiques lois des sagesses européennes. Réforme hors ces prémices minimales est chevalerie à la rose courtoise pour cocu materné content de l'être, sous cheftaine intrusive, sous vingt mille lieues sous les *.
Le féminisme n'est pas une idéologie mais une ontologie (Félix Niesche). Notre religion c'est la victoire du Père Éternel sur Mama Africa la sorcière et son écrasement en public dans sa crasse vaudou dont elle n'aurait jamais dû sortir, tout le reste c'est du compromis 50-50 "renégociable" pour cocu bientôt 10-90. C'est toute l'histoire de la Belgique par exemple et de son "l'union fait la force" entre catholiques et libéraux. On a vu comme le 50-50 à tourné en quelques années !
Une réforme sérieuse ? Alors évaluez le degré de méchanceté politique que devra assumer l'équipe de terrain "sale boulot" pour que les braves gens puissent vivre en paix. Évaluez le nombre de hiérarques des médias, des partis, des banques, des loges, des lobbys, des Parquets, des officines culturelles... qui devront "réintégrer l'arc républicain" lui-même "réajusté". Évaluez le nombre de livres scolaires qu'il faudra refaire, le nombre de bouches inutiles qu'il faudra licencier, le nombre de parasites qu'il faudra exposer en public aux travaux forcés, le nombre de colons qu'il faudra remigrer, le nombre de bobos gauchistes qu'il faudra détrousser de ce qu'ils ont volé, le nombre de putes qu'il faudra exiler dans un territoire-poubelle à définir outre-mer où elles iront vivre selon les vœux de leurs mœurs privées (grand moment de Justice), le nombre d'incapables qu'il faudra virer d'emplois où elles n'ont rien à faire, le nombre de "mariages" contre-Nature qu'il faudra annuler, le nombre de "normes" urbaines et sanitaires qu'il faudra supprimer, le nombre de parents de racailles qu'il faudra verbaliser puis dégager du pays, le nombre de panneaux descriptifs qu'il faudra ériger pour rééduquer la mémoire de la très dangereuse masse indifférente des cons et des inertes, le nombre d'écoles de commerce qu'il faudra fermer, le nombres de turbines à vent qu'il faudra démonter avec leurs antennes et leurs radars alentours, le nombre de "plate-formes de logistique" vastes comme trois villages qu'il faudra démanteler pour les regrouper de 10 en 1 seule, et enfin le nombre de volontaires qu'il faudra pour accomplir ce travail, sachant qu'il est juste un pré-requis à une possibilité d'embellissement.
Alternative : l'ordre public vers lequel on retourne tout droit, encore pour des années.
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profenscene · 1 year
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Mercredi 1er février
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Durant cette semaine d'absence, les petits mots ont fleuri sur la messagerie du collège. Le bahut connaît de nouveaux feuilletons quant à l'organisation, les élèves ont remis des devoirs en ordre dispersé, des gens m'ont souhaité bon courage...
Impression d'être parti des mois. Ma théorie se confirme à chaque fois, lorsque je m'éloigne des établissements dans lesquels j'exerce : Chaque collège est un monde, et chaque journée est emplie de suffisamment d'événements pour écrire dessus des semaines durant. Et il va me falloir réintégrer cet univers, pour une semaine et demie. Petite appréhension, comme au début d'une rentrée scolaire. Qui seront-ils devenus, les mômes, durant cette éternité de neuf jours ?
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jloisse · 1 year
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Coup de gueule de Julien au sujet de la non-réintégration des soignants suspendus
"Rappelons que la France est le dernier pays à n'avoir toujours pas réintégrer les non vaccinés ! Qu'attendent-ils ? Que font les oppositions ?! La Nupes et le RN ?! Français, réveillez-vous !"
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claudehenrion · 9 months
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Du Pouvoir... ou de ses défaillances
  Le Pouvoir semble être une des ''denrées'' les plus impossibles à conserver en son état natif, tel qu'en lui-même. Il ne se passe pas un seul jour sans que l'un ou l'autre d'entre nous, habitants de ce monde en pleine folie, ne constate –et ne déplore-- la multiplication des mauvaises utilisations qui sont faites de toute parcelle d'autorité confiée –en toute naïveté-- à tel ou tel des récipiendaires de ce cadeau, béni pour lui, empoisonné pour ceux qui l'ont imprudemment délégué : le Pouvoir, dès lors qu'il est confié à qui que ce soit et pour quoi que ce soit, semble être l'une des choses les plus impossibles à conserver dans la situation initiale où un ancien détenteur l'avait ''délégué, '' en tout ou partie, à un délégataire (?) qui, l'histoire le démontre à satiété, ne savait trop quoi en faire... sinon en abuser ou le confisquer.
Il est un peu tard et hors saison pour se demander s'il en a toujours été ainsi : ce qui compte, pour nous, c'est que tout détenteur de la moindre portion de cette ''chose'' pourtant si importante pour tous et pour chacun, se montre indigne de la confiance spontanée qui lui a été ainsi confiée. Et sans doute est-ce là qu'il faut chercher une des causes de ce gouffre si souvent évoqué partout, entre des soi-disant ''élites'' qui, nous le constatons pour le regretter, ne sont pas dignes (en tout cas : pas à la hauteur !) des attentes et des espoirs qui ont été placés en eux …
On en 'est en arrivé au point où  parler de l'immensité du ''gap'' qui sépare les administrés de leurs tyrans relève presque du lieu commun, et ce à tous les échelons de la structure sociale... ou de ce qu'il en reste. L'exemple –à peine caricatural-- qui suit peut être lu, et appliqué à presque tous les échelons des détenteurs de la plus petite parcelle d'autorité réputée ''officielle'' : un individu brigue vos suffrages pour obtenir un poste ou une fonction élective dont il rêve... Il se met à votre place (dit-il !), vous comprend, et partage vos soucis . La preuve ? Il trouve qu'il y a trop d'insécurité, il veut diminuer la ponction fiscale, il veut rendre enfin ''la France aux français'', il va réintégrer de vrais programmes dans la scolarité, va être très vigilent sur tout ce qui touche aux libertés individuelles, il va se montrer moins tatillon que ses prédécesseurs, va être plus ''normal'' dans son comportement avec les automobilistes, en finir avec les outrances sociétales, rétablir l'orthographe, le calcul, la littérature et –c'est promis-juré-- un regard redevenu honnête sur l'histoire de France, ses grandes heures, son formidable passé... et que sais je, encore.
Et c'est là que votre destin bascule vers un ''grand n'importe quoi'' dont les limites sont in-évaluables : tout et n'importe quoi risque de vous dégringoler sur la cafetière dans n'importe quel ordre et quelle direction, et vers les plus imprévisibles des résultats, tant est riche et vaste la palette des ''dérapages'' possibles. Car aussitôt le résultat proclamé, le même individu, une fois élu, celui-là-même qui était jusque là humain en apparence, va basculer dans l'univers de folie des abus de pouvoir, des dérives de la pensée et de la recherche effrénée de contraintes toutes inutiles, toutes mortifères, toutes absurdes … et toutes terriblement contraignantes !
Le nombre et la variété de ces ''dérapages'' est si énorme qu 'on se demande où ils vont chercher autant de mauvaises idées, toutes plus idiotes les unes que les autres. Votre ''ex-candidat'' tellement rempli de bonnes idées et prolixe en belles promesses, va tout-à-coup se transformer un tyran obsessionnel, et se mettre à employer un jargon dénué de tout sens et de toute raison, où vous allez avoir le désagrément de retrouver toutes les notions absurdes, susceptibles de faire le bonheur des gens contre leur gré : contraintes, obligations contre nature, ''défense de'' et interdictions injustifiables... Effaré, ''KO debout'', vous allez entendre cet individu qui vous paraissait normal se saouler de mots vides de sens , mais empruntés au jargon le plus éculé de ces idéologies da la gauche-magistère qui ont, tous sans exception, la particularité de n'avoir jamais fonctionné, en aucun lieu, en aucun temps, en aucune circonstance... mais que notre caste d'intellectuels encartés persistent à nous imposer comme étant les seuls souhaitables.
Alors,  votre ex-gentil va se transformer en machine à répéter les mêmes contre-vérités, mélange aberrant de climat mal analysé, de météo incomprise, de CO et de CO² mélangés avec ''El Niño'' et le Gulf-Stream comme seul le Giec est capable de le faire, d'incompréhension profonde de toute approche scientifique, de confusion entre les faits et les croyances, dans un discours abscons (je dis ''abs'' uniquement pour être poli !) où il est question de répression routière accrue, de pistes cyclables sans cyclistes, de voies rétrécies parsemées d'obstacles cachés et de radars vicieux, d'amendes sans raison, de ronds-points en série, de ZFE, ou  d'immigration devenant souhaitable (mais oui... Ils vont jusque là, ces idiots !), de stationnement interdit (''pour faciliter le commence’’ !), d'énergie et de décroissance, de lois sociétales plus perverses les unes que les autres  de racisme à tous les étages (succès garanti auprès des cons !), de la culpabilité exclusive de la race blanche (ou des seuls catholiques : ça marche aussi !) dans les malheurs du monde et la montée des températures. Reste :  l'augmentation de la ponction fiscale sur ''les riches''... (NDLR : une fois tout ce qui compte abandonné à Ursula Von der truc, il ne reste plus que le ''sociétal'' (sic !) pour exercer une autorité de carnaval !),
Le but poursuivi par toute caste dirigeante semble être l'acceptation por tous de l'obligation de soumission, fût elle douloureuse, liberticide et fort coûteuse, à cette nouvelle hydre qu'est ''l'administration'', au détriment du bonheur des pauvres gens qui persistent (en nombre réduits , on comprend pourquoi !) à croire au baratin de gens qui se fichent pas mal de leur état de satisfaction des services rendus (ou pas rendus... ou si mal rendus !). Mais que je sache, personne à ce jour ne s'est jamais intéressé aux raisons de cette dérive persistante qui transforme (ou déforme) tout Pouvoir institutionnel en son contraire insupportable... le comble el la matière étant constatable –avec regrets, mais il est trop tard !) à rechercher du côté de l'Europe-institution qui ne sait recommander que l'exact opposé à tout ce qu'il faudrait. Mais ceci est un autre sujet d'étonnement qui sortirait du cadre de cet ‘’éditorial’....
H-Cl.
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maaarine · 10 months
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Antoine Machut:
"Les marchés financiers se sont développés dans les années 1980 dans un contexte de la financiarisation de la société.
Ça a eu pour effet d'inciter les médias à réintégrer dans leurs colonnes des rubriques financières et boursières.
Pourquoi? Parce qu'il y avait une activité à couvrir, certes, mais surtout parce que ça attirait les annonceurs et de la publicité financière.
C'est lié à ce que Julien Duval a appelé "la dynamique des cadres," à partir de l'émergence de la catégorie sociale des cadres dans les années 1970, qui est une catégorie très prisée par les annonceurs.
Donc la presse a tout intérêt à attirer ce lectorat-là.
C'est ce qui explique aussi que ce qui domine dans le traitement de l'information c'est la logique gestionnaire de l'entreprise."
Michaël Lainé:
"Dès lors que les médias interprètent le fonctionnement des marchés financiers ou les questions de dette publique, il y a une forme de naturalisation du système économique.
On fait comme si le système économique résultait de la force des choses et non pas d'un choix de politique économique.
Donc typiquement on interprète l'économie en très grande majorité dans les médias selon une logique gestionnaire.
Ce qui en soi ne pose pas de problème, sauf que rabattre la logique gestionnaire sur la logique macroéconomique c'est ce qu'on appelle "le sophisme de composition".
On ne peut pas raisonner au niveau macroéconomique comme on raisonne au niveau microéconomique d'une entité.
Il est nécessaire d'avoir une logique gestionnaire pour gérer une entreprise, mais on ne peut pas transposer cette logique-là à l'analyse de l'économie.
Tout simplement parce que tout phénomène économique a toujours deux faces.
Si je me rends chez un commerçant et dépense quelque chose, c'est pour moi un coût, et pour le commerçant c'est un revenu.
La logique gestionnaire n'amène à voir qu'une seule des deux dimensions, alors que c'est les deux en même temps.
Source: Entendez-vous l'éco ?: La fabrique du discours économique — Épisode 3/3 : Quand les médias parlent d’éco
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ivoire-tv5 · 12 days
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Cette décision du Cameroun va plaire à l’Union Européenne
Dans un geste fort, le Cameroun vient de franchir une étape décisive pour réintégrer le ciel de l’Union Européenne. En signant un contrat de sécurisation avec la société britannique Westminster Group, le pays se rapproche des standards internationaux en matière d’aviation civile, une condition sine qua non pour être retiré de la liste noire de l’Union Européenne. Ce contrat porte sur la mise en…
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shalomelohim · 13 days
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La Parachah « Thazria » (sera ensemencée)
Pensée 
“Tout le temps que la plaie sera en lui, il sera impur ; il est impur ; il habitera seul, son habitation sera hors du camp.” (Lévitique 13:46)
“Et Yéshoua, l’ayant entendu, leur dit, ceux qui sont en bonne santé n’ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal ; Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.” (Marc 2:16-17)
Nous pensons-nous justes ou pécheurs ? Si nous sommes vus comme justes, c’est parce qu’IL nous a justifiés. Si nous sommes « dans le camp », c’est parce qu’IL est venu vers nous pour nous purifier. Si nous nous disons juste et sans péché, nous le faisons menteur et nous nous rendons coupables de « Lachon hara » de mauvaise langue, et notre place est hors du camp. 
Ne soyons pas confus ou prétentieux au regard de notre condition de pécheur, mais ne soyons pas davantage confus au regard de sa grâce.
“C’est pourquoi aussi Yéshoua, afin qu’il sanctifiât le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. Ainsi donc, sortons vers lui hors du camp, portant son opprobre ;” (Hébreux 13:10-13)
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Lectures Parachah : Vayyiqra / Lévitique 12:1 à 13 fin Haftarah : Mélakhiym B / II Rois 4:42 à 5:19 Bérith Hadachah : Yohanan / Jean 19:17-37
Résumé de la parachah Les chapitres 12 à 15 couvrant la parachah Thazria (ensemencée) et la parachah suivante Métsora (le lépreux ou le galeux), qui sont souvent lues ensemble, traitent de contamination qui émane du corps humain et de contamination qui se répand sur les tissus et les maçonneries.
L’ensemencée
« YHWH parle à Moshéh pour dire : parle aux enfants d’Israël pour dire : une femme qui sera ensemencée et enfantera un mâle est contaminée (impure) sept jours. Selon les jours de ses menstrues elle sera contaminée. » (Lévitique 12:1-2)
Voilà une « bonne maladie ». Cependant, la femme enceinte (ensemencée), qui met au monde la vie d’un enfant mâle ou femelle, sera néanmoins considérée en état d’impureté. Par la femme « ensemencée », la parachah Thazria nous apprend que l’impureté, la contamination, est déclarée dès qu’il y a perte du potentiel de vie, telle la perte de sang lors des menstrues.
La femme accouchée ne porte pas de culpabilité, au contraire, mais la naissance de l’enfant, « la sortie d’une vie », nécessite un acte de retour à la pureté.
La mitsvah fut respectée par Miryam, mère de Yéshoua homme, en plein accord avec son époux Yossef.
« Le huitième jour auquel l’enfant devait être circoncis étant arrivé, on lui donna le nom de Yéshoua. Et quand les jours de leur purification furent accomplis, selon la loi de Moshéh, Yossef et Miryam portèrent Yéshoua à Yéroushalaïm pour le présenter au Seigneur et pour offrir en sacrifice deux jeunes pigeons, comme cela est prescrit dans la loi de YHWH. » (Luc 2:21-24)
Miryam et Yossef suivirent avec soin la loi donnée à Moshéh. C’est au quarantième jour (7 + 33), les jours de sa purification accomplis, que Miryam présenta Yéshoua au sanctuaire, la purification rituelle lui permettant de réintégrer le sacré sans risque de contaminer.
Cet épisode de vie démontre que Yéshoua, circoncis le 8ᵉ jour, présenté au sanctuaire le 40ᵉ jour après la période d’impureté de sa mère, avec les sacrifices rituels, est bien fils d’homme, venu d’Élohim, Juif né au sein du peuple judéen.
La loi de Moshéh marquera toutes les étapes de sa vie terrestre jusqu’à Golgoltha. Yéshoua vécut dans le respect de la Torah et dans l’amour d’Élohim. Notre parachah de ce shabbat nous rappelle aussi cela.
Pourquoi l’impureté symbolique est-elle ainsi rappelée au sujet de la femme jusqu’à nécessiter cycliquement un rituel de purification ? Gardons cette première question en mémoire.
Le Galeux
« YHWH parle à Moshéh et à Aharon pour dire : un humain en qui sera sur la peau de sa chair, œdème, dartre ou une tache blanche, c’est sur la peau de sa chair une touche de gale (lèpre). » (Lévitique 13:1-2)
La maladie de peau décrite par notre parachah n’est sans doute pas la lèpre (maladie de Hansen). C’est dès le 3ᵉ siècle avant l’ère chrétienne, par la version dite « la septante », qu’il devint habituel de traduire par « lèpre ».
La lèpre des Grecs (2ᵉ siècle av.J.-C.) semble n’avoir été qu’une sorte de psoriasis.
Les anciennes traductions orientales rendent le mot hébreu tsara’at par garba (en akkadien garabu) terme qui désigne une maladie de peau indéterminée, mais sûrement pas la maladie de Hansen.
Parmi les centaines de squelettes de l’époque biblique découverts en terre d’Israël, il n’est pas fait mention de trace de la lèpre. Il apparaît qu’il faut effacer de nos bibles les mots « lèpre » et « lépreux » (d’après André Chouraqui qui a choisi de donner le mot « gale »).
La maladie de peau décrite par notre parachah serait bien particulière et spécifique d’une époque. Une maladie dont la cause serait liée à une souillure de l’être, et qui attesterait de la culpabilité du porteur contaminé.
« Écoutez et comprenez, ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme ; mais ce qui sort de la bouche, c’est là ce qui souille l’homme. » (Matthieu 15:11)
La cause des souillures, cause propre à l’intériorité de l’être, et notamment cette « gale », devait, par mesure de prévention, se voir à l’œil nu pour être « traitée » par les sacrificateurs.
Pourquoi ? Parce qu’Israël s’apprêtait à pénétrer en territoire de Kénaan, terre du Royaume alors promis. Les enfants d’Israël devaient sanctifier, purifier « la terre » par leur présence. Ils ne pouvaient le faire qu’à la condition d’être eux-mêmes intrinsèquement purs.
Les bénéy Israël devront donc se garder en état de pureté rituelle pour vivre en symbiose avec leur Élohim qui les gardera de la contamination. Toute racine de faute se révélera «visuellement» immédiatement et sera traitée. Le sacrificateur devra décider de la mise « hors du camp » momentanée de la personne contaminée.
Des actes de rejets immédiats par condamnation furent visibles aussi lors de l’entrée dans la Qéhiyllah de Jérusalem.
Hananyah et Shapira furent mis « hors du camp » par mort instantanée. Croyons donc que l’entrée en terre promise des bénéy Israël était aussi « gardée » par une sanction immédiate et visible.
« Si quelqu’un a méprisé la Torah de Moshéh, il meurt sans miséricorde sur la déposition de deux ou de trois témoins ; d’une punition combien plus sévère pensez-vous que sera jugé digne celui qui a foulé aux pieds le Fils d’Élohim, et qui a estimé profane le sang de l’alliance par lequel il avait été sanctifié, et qui a outragé le souffle de la grâce ? » (Hébreux 10:28-29)
La question ouverte est : quelle faute de culpabilité générait l’apparition « extérieure » d’un état de contamination ? Gardons cette seconde question en mémoire.
La médisance (lachon harâ)
L’origine « spirituelle » de la tsara'at / gale est la « mauvaise langue ». La personne est atteinte de cette affection car elle est supposée avoir tenu des propos diffamatoires en expérimentant le lachon harâ : langue mauvaise.
Le terme métsora (galeux) est intimement lié à l’expression « motsi shem râ » (littéralement : qui sort un nom mauvais).
Un commentaire établit cette relation de façon très explicite : « Que signifie : et ceci sera la loi du métsora ? Ceci sera la loi de celui qui sort un nom mauvais (propos calomnieux) » (Arakhin 15b).
Il y a deux parachiyoth dans la Torah où nous pouvons observer cette association « lachon harâ – tsara'at », la plus évidente étant celle où Miryam critiquant Moshéh est immédiatement atteinte de gale :
« Miryam et Aharon parlent contre Moshéh au sujet de la femme koushite qu’il avait prise. Ils disent, Miryam et Aharon : est-ce seulement par Moshéh que YHWH a parlé ? N’a-t-il pas aussi parlé par nous ? Adonaï Élohim entend. Sa colère brûle contre eux. Il s’en va. La nuée s’écarte de la tente et voici Miryam est galeuse comme neige. Aharon dit à Moshéh : nous avons déliré, nous avons fauté. Miryam reste sept jours hors du camp. » (Nombres 12:1-15)
La Torah donne de plus cet avertissement :
« Observe et exécute les prescriptions relatives à la gale. Souviens-toi de ce que YHWH a fait à Miryam à votre sortie de Mitsraïm. » (Deutéronome 24:8-9)
Qu’a fait Miryam, sœur de Moshéh, pour être marquée de la gale blanche ? Elle a murmuré, elle a commis la faute de la médisance contre Moshéh.
La médisance, lachon harâ, est une faute grave qui rend le coupable contaminé, impur, faute qui de proche en proche contamine. Toute faute grave peut provoquer l’apparition extérieure de la maladie. Mais le lachon harâ exprime le mal par la parole, la parole qui exprime les pensées du plus profond de l’homme. Si les pensées sont mauvaises, c’est qu’une perversion intérieure de la personnalité « entache » l’être.
Même si de nos jours les taches blanches n’apparaissent plus sur la peau, croyons que ces taches contaminent l’être en dégradant sa conscience. Prenons garde à ne pas pratiquer le mal de la parole, le lachon harâ, la médisance, car c’est avec cette impureté que nous aurions à comparaître devant Élohim.
C’est pourquoi l’Adon Yéshoua dit : 
« et moi je vous dis toute parole vaine que les hommes prononcent, ils doivent en rendre compte au jour du jugement. Oui sur tes paroles, tu es justifié et sur tes paroles tu es condamné. » (Matthieu 12 :36-37). 
Un autre passage met en relief cette relation « médisance-gale » : il s’agit de l'épisode du buisson ardent, au cours duquel Moshéh lui-même a été victime de cette affection. 
Après avoir affirmé que les hébreux ne le croiront pas lorsqu'il leur déclarera être un envoyé d’Élohim YHWH, il lui est demandé de mettre sa main « dans son sein ». Quand il la ressort, elle est recouverte de lèpre, « parce qu'il a tenu des propos calomnieux envers le peuple » expliquent les commentateurs. 
« Moshéh répondit et dit : Mais ils ne me croiront pas et ils n'écouteront pas ma voix. Il mit sa main dans son sein, il la sortit et voici sa main était galeuse comme la neige (Métsora'at kachalég). » (Exode 4:1-6)
Dans son sein … pour bien situer l’origine de ce qui se projette sur la main en gale, du cœur à la main … de la pensée à l’acte. À l’origine : la « langue du serpent » 
Reprenons nos questions laissées en suspens et joignons-y une question de cohésion du texte de la parachah : pourquoi la parachah parle-t-elle dans un même propos de l’impureté féminine et de la gale issue du « Lachon hara » ? Il est probable que les deux aspects sujets à un rituel de purification soient par ailleurs liés à la même cause. 
« Et le serpent dit à la femme, vous ne mourrez point certainement. » (Genèse 3:4)
Quand le serpent, le satan, profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur, et le père du mensonge. (Jean 8:44) 
Il est l’origine de la « mauvaise langue », il a menti, en attribuant à YHWH ce qui n’était pas dans ses intentions, ce qu’IL n’avait jamais dit. 
« Et YHWH Élohim dit au serpent, Parce que tu as fait cela, tu es maudit (…) et je mettrai inimitié entre toi et la femme, et entre ta semence et sa semence. Elle te brisera la tête, et toi tu lui briseras le talon. A la femme il dit, Je rendrai très grandes tes souffrances et ta grossesse ; en travail tu enfanteras des enfants, et ton désir sera tourné vers ton mari ; et lui dominera sur toi. Et à Adam il dit, Parce que tu as écouté la voix de ta femme et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’ai commandé, disant, Tu n’en mangeras pas, - maudit est le sol à cause de toi ; tu en mangeras en travaillant péniblement tous les jours de ta vie. Et il te fera germer des épines et des ronces, et tu mangeras l’herbe des champs. » (Ge. 3:14-18)
Les souffrances de l’enfantement seraient la conséquence du « relais féminin » au propos mensonger, au lachon hara proféré par le serpent. 
La femme devait donner la vie dans la joie, cette joie est la sienne dès la délivrance, mais par la faute d’avoir écouté et relayé le propos destructeur, donner la vie est devenue un « travail pénible » car la « mauvaise langue », celle du serpent, qui est une anti-parole, s’oppose à la vie. 
De la même manière le sol entaché par la faute d’Adam, qui a lui aussi écouté et fait sienne « la mauvaise parole », exprime une gale, une maladie qui rejette la bonne nourriture : les épines et les ronces, celles qui piquent, qui arrachent, qui portent l’amertume, qui repoussent sans cesse.
Mettre en doute la Parole d’Élohim,
Mettre en doute son dessein,
Mettre en doute ses clairs commandements,
Mettre en doute la valeur du sang de Golgoltha,
Mettre en doute la résurrection … 
sont autant de « langues de serpent » auxquelles nous devons nous opposer avec force.
Les menstrues féminines nécessitant cycliquement une purification marquent toujours le même rappel : ne pas se laisser séduire par le « lachon hara » la mauvaise langue, l’anti-parole. 
Car cette dernière est porteuse de mort. Les menstrues rappellent également à la femme comme à l’homme que notre purification est un travail constant qui trouve sa plénitude dans le « bain » de l’eau lustrale de la Parole.
Un autre épisode explique que la transgression de Lachon Hara (propos accusateurs) est précisément la marque du serpent. 
Élohim pardonnera tout, excepté la transgression du Lachon Harâ qui constitue la transgression originelle, de laquelle procèdent tous les autres.
Une confirmation de cette pensée ?
Pour se faire reconnaitre et accepter des Israélites encore esclaves de Pharaon, Moshéh – accompagné d’Aharon - accomplit tous les signes qu’il a préalablement reçus au buisson ardent. 
Il(s) montre(nt) aux anciens comment il leur est donné de maitriser le bâton-serpent. Puis, immédiatement dans le même signe, comment il leur est donné de maitriser leur propre gale / métsora issue de leur sein. Car s’il ne s’agissait que de vaincre le serpent « extérieur » sans vaincre ce qui lui concède potentiellement son pouvoir, « notre propre faute », cela ne serait guère efficace. 
Car faute d’éradiquer la racine du mal, dans peu de temps tout serait à recommencer, le serpent à peine vaincu réapparaitrait sous forme d’un dragon et avec la puissance.
Élohim a voulu que la guérison de la « métsora » soit l’une de ses signatures, officielle et reconnue de tous. Elle est le signe que la nature du « serpent » exprimée par le « Lachon harâ » est maitrisée. 
L’Adon Yéshoua a signé ses actes de la même manière et particulièrement par les « purifications des lépreux ». 
Puissions-nous reconnaitre cette même signature dans nos assemblées. Ainsi il ne sera plus permis au serpent de s’exprimer dans le Corps du Messie, ce qui équivaudrait selon la Torah à l’exclusion, de peur que la « calomnie » se répande et en contamine plusieurs et que le Satan s’introduise comme le loup dans la bergerie.
Une vision du Royaume 
L’entrée en Canaan, terre promise, devait être marquée par des signes forts.
Les conséquences du « lachon hara » pouvaient se propager sur les hommes, sur les tissus des vêtements et les maçonneries des maisons, en somme sur tout ce qui constitue un revêtement, une protection. 
Toutes ces impuretés devaient être éradiquées du peuple au risque de ne pas être en condition de la sainteté requise à la possession et au combat du Royaume. 
La Qéhiyllah de l’Adon Yéshoua, le tout Israël, doit être de même en état de sainteté pour purifier toute la création et instaurer le Royaume messianique.
Le Royaume est fait de pureté. Que vos demeures soient saintes, qu’elles soient des lieux où règne le Seigneur. Que vos vêtements soient purs, blancs, représentatifs des œuvres de la foi, comme le fin lin des sacrificateurs, comme les robes qu’obtiennent ceux qui se tiennent dans les lieux célestes en Apocalypse. Que votre corps soit saint et pur, car il est le Temple vivant, représentatif en toutes choses de votre sainteté intérieure, de votre cœur, là où la Seigneur fait sa demeure.
Par le symbole de la « gale » qui affecte autant la peau humaine que le vêtement et les maisons, c’est aussi la condition du Royaume qui nous est rappelée. Car c’est du cœur que viennent les bonnes et mauvaises pensées.
Mais une source de « vie » peut-elle faire jaillir de l’eau douce, fraiche, désaltérante et simultanément de l’eau amère, chargée de poison ?
Tel est un des enseignements de cette parachah qui, par le symptôme de la gale, convie les enfants d’Israël à faire téchouvah (retour à Elohim) et à recevoir le Mashiah Yéshoua, acteur de notre renaissance d’entre les morts, Lui qui fut en travail dans la souffrance en versant son sang et qui nous donne la vie éternelle.
Yéshoua nous convie à entrer, par l’homme régénéré, dans :
« une Qéhiyllah glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable. » (Ephésiens 5:27)
Shabbat shalom vé shavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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wiwsport · 16 days
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christophe76460 · 19 days
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OÙ PASSERAS-TU TON ÉTERNITÉ ???
Vous avez certainement lu, vécu ou entendu parler d'une histoire semblable à celle-ci.
Une personne décède et voit son âme s'élever au-dessus de son corps inerte, autour duquel se trouvent parents, amis et connaissances, pleurant et se lamentant au sujet de sa mort.
Ne comprenant pas ce qu'il se passe, l'âme du défunt tente d'interroger les siens, mais personne ne peut ni la voir, ni l'entendre, ni même la sentir.
Soudain, elle se trouve marchant dans un couloir sombre qui semble ne point se terminer, et au bout duquel elle aperçoit une lumière très vive qui l'attire d'une force irrésistible.
Au sortir du couloir, elle fait face à deux voies :
1°_ une voie qui conduit à un lac de feu, où se retrouvent toutes les âmes des personnes qui ont mené une mauvaises vie sur la terre et qui ne s'en sont jamais repentis de leur vivant.
2°_ une autre voie qui mène à un lieu de délices, où se réjouissent les âmes des personnes qui ont marché avec intégrité, dans la foi en Jésus-Christ.
À la vue de ce second lieu, l'âme du défunt veut à tout prix y accéder ; mais un être majestueux, tout de blanc vêtu et dont on ne peut fixer le visage d'un éclat éblouissant, lui dit que son heure n'est pas encore arrivée, et qu'il faut qu'elle retourne sur la terre pour témoigner de ce qu'elle a vu et entendu dans l'au-delà.
À ce moment précis, l'âme de la personne décédée effectue son chemin retour pour réintégrer son corps d'origine.
Le défunt reprend alors vie, à la surprise et à la stupeur totale de la famille éplorée.
Ce voyage dans l'au-delà, vécu par bon nombre de personnes à travers le monde, est confortée dans la Bible en Lu.16:19-31 par l'histoire émouvante du pauvre Lazare et du mauvais riche.
* Les versets 22 et 23 de Lu.16 confirment, en effet, l'existence d'un lieu de délices appelé le sein d'Abraham ou le paradis, et d'un lieu de tourments nommé le séjour des morts ou le scheol, ou encore l'enfer, observés de loin par tous ceux qui ont vécu l'expérience d'une vie après la mort.
En outre, le verset 26 de ce même chapitre nous enseigne qu'une fois décédée, il est impossible pour l'âme du défunt de transiter de l'enfer au paradis ou du paradis en enfer, quelles que soient les nombreuses messes de requiem que l'on peut dire à la faveur du défunt.
Par ailleurs, nulle part dans la Bible, il n'est fait mention d'un lieu appelé "le purgatoire" où transiteraient les méchants, pour subir une pénitence en vue d'obtenir le pardon de leurs péchés.
C'est pourquoi la Bible te met face à ton destin, pendant que tu es encore en vie ; car, après la mort vient le jugement (Hé.9:27).
Tu peux donc dès maintenant choisir de marcher sur le chemin qui te mènera au paradis, ou alors sur celui qui te mènera en enfer.
Mais Jésus-Christ nous dit : Large est la porte, spacieux le chemin qui mènent à la perdition (c'est-à-dire en enfer), et il y en a beaucoup qui entrent par là.
Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie (c'est-à-dire au paradis), et il y en a peu qui les trouvent. (Mt.7:13-14).
Si tu veux accéder au paradis, tu n'as que deux choses à faire : croire en Jésus-Christ et marcher selon ses préceptes ; car il est le seul chemin qui mène au Père (Jn.14:6).
PUISSE DIEU TE BÉNIR PAR CE PETIT ENSEIGNEMENT !!!
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yespat49 · 21 days
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Callac (22). Lettre à cette gauche haineuse et à cette droite intolérante qui veulent m’empêcher de sauver des vies et de réintégrer les pompiers [L’Agora]
La nausée. Le dégoût. La colère aussi en lisant l’article du journal local et militant (à gauche) Le Poher. J’étais au courant, que le mardi 2 avril, à Callac, lors d’un conseil municipal ouvert au public, quelques élus municipaux, Laure-Line Inderbitzin en tête (ancienne adjointe démise de ses fonctions) s’étaient livrés à un festival de diffamations, et de haine totale, me concernant. En…
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