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#résonance
aainaalyaa · 11 months
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“Soyez sélectif où que vous soyez sur les réseaux sociaux - ne vous laissez pas entraîner dans les cycles karmiques des autres — vous vous adressez à ceux avec qui vous socialisez.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Mille et Une Nuits
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natsoumi · 1 year
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bain chaud au japon dans la nature
piscine chlorée dans le désert
piscine olympique de seine saint denis
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dustedmagazine · 10 months
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Jürg Frey / Quatuor Bozzini / Konus Quartett — Continuité Fragilité Résonance (Elsewhere)
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Photo by Annette Boutellier
Continuité, fragilité, résonance by Jürg Frey (Quatuor Bozzini / Konus Quartett)
Sometimes a name is also an explanation, and so it is with Continuité Fragilité Résonance. The first word attests to the fact that the piece lasts 51 minutes without a break. The second admits that a listener’s engagement with the music is subject to interruption. The third acknowledges the vertical and spherical aspects of sound since in any moment, the phenomenon you hear might be experienced in ways that have nothing to do with the ongoing march of time, but might drop you into a layered experience or absorb you into an all-encompassing one.  
Jürg Frey is part of the Wandelweiser Group, a community of composers and musicians who share a philosophy of taking sound and its counterpart, silence, seriously as essential parts of music and the listening experience. It’s a group of people who seek to understand essences, and then apply that understanding to what they do. If you aren’t aware of that philosophy going into your encounter with this album, don’t worry; the music will teach you what you need to know. 
As long as we’re considering associations as engagement-facilitators, it’s worth noting that Continuité Fragilité Résonance was one of three records that Elsewhere released in the same month and which are united by their essential three-ness. While the other two, L’Occhio Del Vedere, by Giovanni Di Domenico, Silvia Tarozzi, and Emmanuel Holterback, and Circles, Reeds, and Memories, by Germaine Sijstermans, Koen Nutters, and Reinier van Houdt, were performed by three musicians each, this album was made by an octet performing another person’s music. But when one notes that the octet is actually composed of two very cohesive entities, the string quartet Quatuor Bozzini and the saxophone quartet Konus Quartett, and that the musicians had contact with Frey during the realization of this piece, its trio aspect takes shape. 
Frey’s music is the sort for which the often-abused term, “deceptively simple,” should be reserved. The musicians’ parts, which comprise mostly long tones played at a relaxed pace aren’t that hard. But the mutual attunement necessary to achieve the right balance of sounds requires a cohesion that just can’t happen without investments both in the amount of time to figure out how to play the piece together, and then to sit with it long enough for the players’ collective consciousness to comfortably contain the music’s long form. Nearly a year passed between the first performance of the piece and its recording for this CD, and that time contributed to the integrity of its web of sounds and spaces. It takes a lot of attention and contemplation to get the elements in balance, both moment-to-moment and over the arc of 51 minutes. 
A listener should come to this music prepared to have their sense of time gently but effectively disrupted. The titular Fragilité can manifest at any moment, as the listener’s ears grab ahold of a particular texture or quiet gesture and savor it, only to realize that the music has moved on while you have been lingering. So, you listen ahead, or listen more closely, effectively inhabiting varying combinations of past, present and future. Or maybe your experience will be completely different, but that’s a feature, not a bug, with music so matter-of-factly rich in just-rightness. Each sliding screen of string texture, each gleam of sounded brass, each intersection of sounds that merge and sounds that remain distinct, can be absorbed or fallen into depending on where you’re at in your relationship with the music and your own attention span.
Bill Meyer
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le-journal-catalan · 1 year
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Bach & Telemann / Résonances slaves : Découvrez les flûtes douces du nouveau récital signé Flauto Solo
Deux ans après ses dernières tournées dans le pays catalan, Aline Bieth sera de retour le samedi 11 mars à 16h, à l’Église du Soler (Entrée libre) pour présenter son nouveau récital Bach & Telemann. Résonances slaves. Au programme, des œuvres des célèbres compositeurs de musique baroque, J.S. Bach et Telemann, de la musique traditionnelle slovaque et des extraits des 5 pièces slovaques du…
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jeanmarcfraiche · 2 years
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7 points pour une cure de purification simple & facile !
7 points pour une cure de purification simple & facile !
Une cure de purification effectuée de manière approfondie apporte un meilleur sommeil, plus d’énergie et résout les maladies typiques de la civilisation ! Voici 7 étapes simples à suivre pour maximiser votre cure de purification 1 – Définissez un laps de temps bien défini : Pour une purification active prévoir 4 semaines. Si vous voulez perdre du poids, vous devez éventuellement prévoir plus de…
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wolfliving · 4 months
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"Moëbius Gymnopedy. Transposition de la 1ère Gymnopédie d'Erik Satie. Bande de métal ajouré, componium 19 touches, caisson de résonance en bois gravé et numéroté. Edité à 8 exemplaires. 35 x 25 x 40 cm. 2012."
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les-portes-du-sud · 1 month
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Le bleu ne fait pas de bruit...
(extrait)
Le bleu ne fait pas de bruit.
C'est une couleur timide, sans arrière-pensée, présage, ni projet, qui ne se jette pas brusquement sur le regard comme le jaune ou le rouge, mais qui l'attire à soi, l'apprivoise peu à peu, le laisse venir sans le presser, de sorte qu'en elle il s'enfonce et se noie sans se rendre compte de rien.
Le bleu est une couleur propice à la disparition.
Une couleur où mourir, une couleur qui délivre, la couleur même  de l'âme après qu'elle s'est déshabillée du corps,  après qu'a giclé tout le sang et que se sont vidées les viscères, les poches de toutes sortes, déménageant une fois pour toutes le mobilier de ses pensées.
Indéfiniment, le bleu s'évade.
Ce n'est pas, à vrai dire, une couleur. Plutôt une tonalité, un climat, une résonance spéciale de l'air. Un empilement de clarté, une teinte qui naît du vide ajouté au vide, aussi changeante et transparente dans la tête de l'homme que dans les cieux.
L'air que nous respirons, l'apparence de vide sur laquelle remuent nos figures, l'espace que nous traversons n'est rien d'autre que ce bleu terrestre, invisible tant il est proche et fait corps avec nous, habillant nos gestes et nos voix. Présent jusque dans la chambre, tous volets tirés et toutes lampes éteintes, insensible vêtement de notre vie.
Jean-Michel Maulpoix
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icariebzh · 1 month
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photos Marc Racineux "Ouessant"
"Nous ne sommes en rien des objets soumis à quelque destin, mais des passagers conscients et mortels, agissant sur cette planète. Nous sommes des dépositaires et passeurs d'expériences, de savoirs, échangeant en projections leurs questionnements, leurs ambitions, leurs idées, rêves et idéaux, leurs luttes et combats pour avancer en résonances, par nos unicités partagées" -Albert Jacquard-
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aainaalyaa · 1 year
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“Même si vous pensez que l'amour fait mal, le fait de remuer la tasse a une raison. La douceur du café est dans le brassage, et la dégustation. La résonance de la blessure, c'est de vous révéler les joies du non conventionnel, la sortie de votre zone de confort.. l'imprévisible.
L'étrangeté de l'inconnu.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Entre Nous
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Mon inspiration du soir... Tanka
Prélude de Bach
Te laisser jouer à moi
Charnel vibrato
Résonance de nos corps
En frissons symphoniques
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Thea Djordjadze, Caisse de résonance, 2008. 
 Sprüth Magers Berlin/London
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Demain ne me fait plus peur...
Désormais j'ai foi.
J'ai confiance en toi et moi.
Alors, quand viendra l'heure
Je sais qu'elle ne sonnera pas des adieux.
Plutôt des au-revoirs
Marquant la fin d'un cycle pour nous deux,
Le début d'autre chose, et je veux y croire !
Car nous ne sommes qu'Un...
Et je ne peux concevoir l'éloignement comme une fin.
Je crois en la vie et au destin,
Au sacré et au divin
Et aussi en nos âmes, enfin réunies
Qui s'épanouiront chacune, une fois guéries
En résonance, même à distance...
Qui sait encore ce que nous réservera la providence ?
LPS
06.09.23
© tout droits réservés-2023
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ellednorih · 4 months
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Elle s’avance, apparaît en habit de ciel. L’or de la lune. Elle s’avance au-devant d’elle-même, dans une élégance d’azur noir. Saisie d’un tressaillement très ancien. Elle est la poésie même, sidérée par tous les possibles, les marges oubliées – follement aimée des résonances lointaines. Elle s’avance et reconnaît l’espace de la scène pour ce qu’il est de toute éternité : un lieu privilégié de rencontre avec l’infini – la demeure des dieux.
Zéno Bianu, Petit éloge du bleu (2020)
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pupurpupull · 5 months
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Texte écrit en début d’année pour une revue qui semble en pause/abandon
Il y'a des redondances (résonances ça fait plus classe) avec le petit chapitre “Gâteau de pute” du livre l'etoile de mer car écrit au même moment sur les base des même notes
Voilou
***
Celle qui sort.
La nuit a été ma première et ma seule vocation, le lieu et le foyer de toutes mes rêveries enfantines. Dans la cour de récré se distribuent les rôles du papa, de la maman et j'annonce aux camarades que moi je ne veux être ni le père ni la mère : je suis la jeune adulte, celle qui sort la nuit. On m'assigne le rôle du bébé.
Durant de longues heures passées dans les salles de concert et les trajets nocturnes, ma peau subit les résilles des collants, le vent, la pluie, les tabourets. Le bitume et le béton martèlent la chair de mes pieds. Les salles de concert sont pleines de filles tristes au corps fatigué.
Je flâne entre les toilettes et le bar, je cherche des pièces de monnaie, je vis ma timidité le plus pleinement qu’il est possible de le faire, je trouve une ombre dans laquelle m’asseoir. J’attends que quelque chose se passe et vienne me modifier. Quand je bois suffisamment, j'accepte des mains dans mon slip et des ébats grotesques dans les buissons. La nuit brutalise mon corps et mes organes, elle m’ennuie, me désespère, elle me remplit de rien. Il n’y a rien de plus vide et plus bête que mes nuits. Cela tombe bien : j'aime le vide et j’aime la bêtise. La nuit est mon âme sœur.
Voilà quelques semaines que je me promène avec ce qui ressemble à un petit ami. C’est si rare que je renifle la moindre tendresse. Mon museau sombre dans des coudes, de la nuque, de l’oreille et des mailles de tshirt sans que jamais l’odeur de la mort ne vienne à poindre. Un tel réconfort n'est pourtant jamais gratuit.
Je dis “mon mec” dans les conversations et personne ne réagit. C’est donc que je suis normale ! et donc il est normal pour les gens de me voir faire des choses normales. Personne ne semble avoir compris de quelles horreurs est fait l’amour.
En classe de cinquième j’ai constaté que mes seins tombaient déjà, l'idée d’être aux yeux des garçons un thon intouchable s’est installée dans chaque cellule de ma peau. Les séries TV et les romans ont continué de faire naître divers songes de romances. Je les ai cultivés comme les bactéries secrètes d'un laboratoire hermétique.
Je dis “mon mec” dans les conversations et j’ai le sentiment de répudier mon monde. Le monde des cageots et leurs élevages de moisissures.
Il est 4h30 et mon mec me demande pourquoi on ne rentre pas, qu’est-ce que je trouve ici d'intéressant ? Nous sommes fatigués, je ne sais pas quoi lui répondre.
一 Je suis désolée, je ne veux pas rentrer. Je préfère rester c’est toujours ça qu’ils n'auront pas !
一 Qui ça “ils” ? Moi je vais rentrer toi tu restes ?
Je lui demande de m’attendre et rassemble lentement mes affaires.
Dans le tramway, Un mec met un coup de sac à dos sur ma tête, et mon voisin me défend :
一 Eh ! Oh !
一 Oh la la désolé
一 T'as mis un p'tit coup là ! mais allez c'est pas grave !
Les deux parlent très peu le français. Ils se sourient. Le voisin sort de son sac une barquette cellophanée de poulet Le Gaulois. Il murmure quelque chose qui semble le rendre heureux.
Je prends la main de mon mec avec l’impression de contaminer le monde.
Il me semble que si je rentre (chez moi, dans mon foyer, dans mon lit, dans les bras de mon petit ami) mes progénitures clandestines s’éteindront. J’aimerais que le chauffeur de tramway m’emmène au dépôt et me recouvre d’une vieille couverture sale. Tant que je reste dehors…
Je tourne la clé dans la serrure de mon studio et la nuit se dissout dans une orgie de produit à lentilles et de dentifrice. Sous la couette, mon mec se colle à mon corps que je fige ; il touche une peau que je crispe. «Tu es ma paresseuse préférée». Je simule les modulations de l’endormissement. J'entends l’emballage d’une capote se déchirer et son sexe comprimé de latex se faufile dans l’obscurité menaçante des draps. Je marmonne : «Tu vois, tu as fini par rentrer.»
Ce n’est pas grave, rien n’est grave. Tout est normal et je suis normale. La prochaine nuit me repêchera. Toujours ça qu’ils n'auront pas.
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du vrai relatif au vrai raisonnable,
du vrai sentimental au vrai scientifique
face à ce paysage aux grandes résonances, je devais réaliser avec peine que les montagnes traversées et admirées la veille n'étaient autres que les montagnes Métallifères ; je reconnaissais leur envoûtante silhouette ; quelques années auparavant, de la terrasse du palais papal de Pienza, un soir d'orage, elles m'avaient déjà tant fascinées, autant par leur forme, leurs couleurs que par leur nom, m'évoquant un monde mystérieux et profond, où l’or et l’argent, le cuivre et l’étain, devaient affleurer le long des sentiers de mille reflets, un monde ancien où les dieux devaient résonner ici plus qu’ailleurs ; depuis je n'avais eu de cesse de vouloir les visiter en leur cœur
j'avais donc, sans le savoir, parcouru leur pente et leur secret ; ignorant, j'avais réaliser ce rêve mais cette ignorance m'avait ôter tout le plaisir de sa réalisation ; je me sentais comme dépossédé d'un sentiment qui aurait dû m'appartenir me porter et m'emporter loin mais en même temps j'en retrouvais un autre né de ma mémoire qui me renvoyait les images du voyage de la veille
j'étudiais ma carte plus en détail. c'est alors qu'à nouveau tout s'écroulait dans mon esprit : les montagnes Metallifères n'étaient autres que le mont Amiata !
aucun rêve n'avait donc été réalisé ; je ressentais un premier soulagement mais à nouveau je devais trier en moi les sentiments de mon passé ; je devais retirer ceux qui n'avaient plus de sens, ceux de Pienza et ressentir de nouveaux au nom de cette vérité ; l'abandon de mes anciens sentiments qui m'avaient apporté tant de joie me rendait malheureux ; aussi je me demandais si cette relecture était bien utile à ma mémoire et à mon bonheur ; finalement je n'avais jamais vu les montagnes Metallifères et je ne les avais encore moins visitées ; cette dure réalité me privait soudain de tous les plaisirs liées à leur souvenir
devais-je vraiment y renoncer ?
plus que jamais je me posais la question du vrai et du faux ; le vrai ne devait-il pas résider seulement et simplement dans ce que l'on croit ?
© Pierre Cressant
(lundi 21 août 2006, Castelmuzio)
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