Tumgik
#rage filled femme moments
ernestinee · 7 months
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J'ai terminé "L'ami" de Tiffany Tavernier. J'ai adoré.
L'histoire a mis un moment a démarrer, si bien que j'avais entamé le bouquin puis je l'avais déposé le temps de le prêter et le récupérer.
Puis je l'ai ouvert de nouveau et je ne sais pas, je suis en permanence d'humeur à lire pour l'instant, et l'histoire a coulé toute seule
Ce n'est pas un hasard si l'histoire a mis du temps à démarrer. Au début, on est dans la vie sans grand éclat de Thierry et sa femme Lisa. Couple de cinquantenaires, leur enfant est devenu adulte, a quitté le nid et vit très loin, le temps s'écoule doucement mais avec un bonheur tranquille, avec leurs voisins Guy et Chantal qui sont aussi leurs meilleurs amis. Et voilà l'histoire s'écoule tranquillement comme leur vie.
Puis un jour, ils sont réveillés par un brouhaha. Police, forces spéciales, la maison des voisins est prise d'assaut, les voisins sont arrêtés et là l'horreur. Son cher ami Guy est accusé d'avoir enlevé, séquestré, violé et tué des jeunes filles, avec la complicité de son épouse. L'histoire est très médiatisée, des fouilles et des reconstitutions prennent place dans le jardin des voisins. Tout s'écroule, chacun vit cette nouvelle différemment. Thierry essaie de faire comme s'il ne s'était rien passé et va travailler, mais les collègues, les journalistes, Lisa qui va mal...
Le récit donne encore volontairement la sensation de stagner et cet immobilisme c'est Thierry. Thierry dans sa carapace, qui refuse de réagir.
Dans la deuxième partie de l'histoire, les choses s'accélèrent, un événement pousse Thierry à réagir. J'ai adoré sa façon de réagir parce que je pense que c'est exactement ce que j'aurais fait.
J'ai beaucoup apprécié le jeu de rythme du récit qui finalement permet d'accentuer l'empathie qu'on a pour Thierry.
J'ai beaucoup aimé le personnage, le contraste entre le détachement qu'il montre et ce qu'il pense réellement, les questions qu'il se pose, son amour inconditionnel pour Lisa, ses démons, sa rage lorsqu'elle éclate enfin. La fin m'a laissée réellement émue et apaisée. Je crois que je le relirai.
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auboutdespages · 1 month
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Un supplément parce que sincèrement? Je commence à m'attacher à vous!
Jamais deux sans trois dit-on mes papivores 2.0! Je me devais absolument de vous partager cette dernière pépite avant notre prochain rendez-vous. On continue de surfer sur la même vague que celle de Louise Mey mais cette fois-ci avec une romancière et militante, d'un courage étonnant et même glaçant: Betty MAHMOODY qui nous raconte l'histoire de sa vie, une histoire qui a pour but de sensibiliser au maximum le public aux dangers des mariages binationaux et aux situations d'enlèvement parental à l'international.
Le PITCH d'abord!
L'histoire commence en 1984, lorsque Mahmoody, son mari , Sayyed Bozorg Mahmoody, et leur fille, Mahtob, se rendent en Iran pour rendre visite à la famille de Sayyed. Alors qu'ils sont en Iran, la révolution iranienne a eu lieu et Sayyed devient de plus en plus radical dans ses croyances religieuses. Il commence à maltraiter Betty et Mahtob et leur interdit de quitter le pays. En 1986, Betty décide de s'enfuir d'Iran avec Mahtob. Avec l'aide d'un passeur, ils traversent la frontière en Turquie et retournent aux États-Unis. Le livre raconte le voyage dangereux et difficile de Betty et Mahtob et leur lutte pour retrouver leur liberté. JAMAIS SANS MA FILLE est un récit puissant et inspirant( et encore le mot est faible!) du courage et de la persévérance. C'est aussi un exposé sur les dangers des mariages binationaux et la situation radicale des femmes en Iran. Le livre a été salué pour son honnêteté et son émotion, et il a contribué à sensibiliser aux questions des droits des femmes et de la violence domestique.
Mon avis, vous le savez HUMBLEMENT!
Betty Mahmoody nous plonge dès les premières pages dans son histoire extraordinaire. Son récit est captivant et haletant, nous tenant en haleine et en panique surtout jusqu'à la conclusion finale. On vit au rythme de son combat pour retrouver sa liberté et celle de sa fille, face à un mari violent et manipulateur. Jamais sans ma fille est bien plus qu'un simple récit d'évasion. C'est un témoignage poignant et courageux sur la violence conjugale, l'oppression des femmes en Iran et les dangers des mariages binationaux. La romancière nous livre ses émotions avec une sincérité bouleversante, nous faisant ressentir sa peur, sa douleur et sa rage. Betty Mahmoody décrit avec précision les injustices et les privations dont les femmes là-bas sont victimes, soulignant leur courage et leur force face à l'adversité. Ce qui nous permet d'avoir un regard lucide sur la condition des femmes en Iran. Elle utilise un langage clair et direct qui permet au lecteur de s'identifier facilement à son expérience. Son récit est ponctué de moments d'espoir et de lumière, qui contrastent avec la violence et l'oppression qu'elle subit.
Jamais sans ma fille honnêtement est un livre qui marque durablement. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et à la force de l'esprit humain face à l'adversité. C'est un récit poignant qui ne se résume pas à une simple histoire d'évasion, mais qui nous invite à réfléchir sur les injustices et les inégalités qui persistent dans le monde.
Celui ci je l'ai découvert dans la bibliothèque de mes parents, mais je pense que vous pouvez le commander sur @amazon. Régalez vous!
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An excerpt from the prologue to "As We Go Along," a multichapter, established relationship batjokes fic I'm working on:
"Enough." Bruce chokes out, putting all his efforts in trapping this man between the wall and himself. Joker, unsurprisingly, is still fighting against his body, trying to free himself. But his efforts will get him nowhere. Bruce is determined to get a conversation out of him tonight. Or change the tempo of the dance somehow. He's still trying to organize his thoughts and plan.
Joker knows this.
Some nights, it can all get to be too much for his darling. The dancing. The fighting. Their intimate rendezvous under the moonlight. When they part ways, Bruce must go through such a crisis each time. The jester returns to his underworld, ringmaster to his own circus of chaos, death and mayhem and the bat to his cave. And then they do it all over again.
Joker feels like a powerful femme fatale lately. The evil side of lady Gotham would be proud. With every kiss, Bruce succumbs a bit more to his poison. He just can't seem to keep his head on like he used to with the Joker. They both know this. But tonight, Bruce wants to talk. His big brooding man is feeling conversational. A rarity indeed.
And bless his heart for it, Joker muses. Well, he won't be getting it that easily. He never does. Joker will make Bruce work for it.
"Don't spoil this early, love." Joker groans out, his lungs strained and restricted by the kevlar forcibly pressed against his chest.
Joker sees Bruce's desire to bring out more from him. It's painfully obvious. No, they stopped talking about rehabilitation all those years ago in the rain. Within a dilapidated, abandoned amusement park. It disappeared to the wind and the rains then, along with their mutual laughter (he hasn't quite gotten that close to making him laugh since). Bruce really tried then. He always tries. These days, it's not as direct as it was that night but god, his love will always try. Envision better for him. And Joker loves and hates him with his entire being for it. It tickles him and fills him with rage in a way that nothing ever will. To see the…care in Bruce's eyes. On intimate evenings, on some odd rooftop or alleyway, Joker doesn't get to see those baby blues. But on those long drives to Arkham, when Bruce is feeling bold and pulls over onto a service road, close but not close enough to the asylum, and they fuck without rush, though still rough and violent, for a brief moment, when they've both climaxed and are spent, Bruce removes his cowl in a rare display of vulnerability. During these sessions, Joker's world is spotted blue.
The sad, sprinkled little bits of hope in those blue irises. He tries to ignore it whenever he notices. Those eyes haunt him when they aren't together and it infuriates him because he can't give him what he hopes for and he runs himself into a frenzy thinking about it. He long gave up on trying to figure out if it's because he isn't capable or if he just doesn't want to. Or something else. He searches for scraps of logic within his complicated psyche. This line of thinking always makes him seethe and boil over until he needs to find a distraction of a violent nature. It can really be all too much for the Joker too sometimes. These feelings overwhelm him too. Bubble over until Joker has gone on his killing and stealing and general mayhem sprees throughout the city.
And the dance continues.
Read the prologue to As We Go Along on ao3 here.
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mmepastel · 1 year
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C’est en effet un livre audacieux, et très spécial.
Honnêtement, il y a eu des moments où j’ai manqué de me perdre, parce que, précisément, délibérément, l’autrice mêle à son autobiographie les mythes chinois, pour montrer sa confusion, et c’est tellement réussi qu’on s’y perd !
L’écriture est très belle, précise, lyrique, crue parfois. Intense.
Le propos est également dur, car le sort des femmes chinoises n’est guère enviable dans la première moitié du XXe siècle. Naître femme, c’est un peu une malédiction, avec un horizon extrêmement réduit. Le livre commence par raconter le sort malheureux de la sœur du père de l’autrice, ça donne le ton. Ton étonnant en 1975, année où le livre fut écrit avant d’être réédité cette année.
Cependant, sa mère, Orchidée Vaillante, en faisant des études, puis en émigrant en 1960 en Californie, réussit à infléchir un peu le destin ; les histoires de femmes guerrières, édifiantes, aident aussi à se rêver autrement pour ses filles. Mais que de douleurs pour une petite fille qui hérite de cet écartèlement entre l’identité chinoise pétrie de codes et de symboles, et le monde américain, si différent. Pas étonnant qu’il y ait beaucoup de folie qui éclose chez de nombreuses femmes transplantées sans ménagement dans un environnement incompréhensible. On est frappé d’ailleurs en lisant cette éducation atypique par l’absence de paroles autres que principes ou fables, des paroles qui EXPLIQUENT ce que les uns et les autres vivent, ce qu’il se passe. Pas étonnant non plus que le silence frappe les jeunes écolières chinoises dans leurs écoles américaines. La langue, c’est ce qui façonne le monde, comment parler quand celui-ci est opaque et en lambeaux ? Comment oser prendre la parole quand toute votre histoire familiale vous a enjoint à vous taire ?
Il semble que Maxine y soit parvenue, grâce à son intelligence, son courage, et une envie d’affronter plutôt que de subir, même si ce fut terriblement douloureux, psychiquement et physiquement.
Et elle a réussi à faire un livre totalement personnel, et qui a dû parler à un grand nombre des sino-américains, un livre plein de beauté et de rage.
Personnellement, j’ai adoré l’utilisation du terme fantôme dans le livre, qui dépasse largement l’acception habituelle ; ils y sont d’ailleurs très nombreux. Quelle terreur en lisant celui du dortoir de l’école de médecine d’Orchidée Vaillante… cette figure protéiforme de la mort, du mal, de l’inconnu, est très forte, et nous manque bien dans notre culture occidentale si rationnelle j’ai trouvé. La « jeune fille parmi les fantômes » (sous-titre du livre) a bien su composer avec eux, et cela semble être un art bien complexe.
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helyiios · 2 years
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Top 5 des rôle de LA
oh putain oh putain bouge pas ok donc c’est une liste non exhaustive et c’est pas en mode 1 = mon pref, c’est que la liste à mes rôles pref de lui tt court.
ok.
1) jean marie olmeta (on omettra le prénom pas dingue) dans la loi selon bartoli parce que littéralement c’est une puce. en gros c’est un policier à la retraite que bartoli vient chercher pour l’aider à résoudre une enquête, c’est vraiment juste un loser bien habillé. et pour tout t’avouer, son amitié avec bartoli est tellement chelou, le mec (olmeta) le mate (je te jure y a pas d’autres façons d’appeler ça) de façon éhontée constamment ??? je comprends rien à cet homme il est pas marié, on parle pas d’une supposée femme, il a un mur avec que des photos de bartoli pck il veut ABSOLUMENT le sauver d’un stalker, fin il pue l’homosexuel c’est fabuleux. il est fabuleux.
voici une photo pour mieux illustrer mes propos. un amour vraiment 12/10.
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2) simon keller, dans meurtres à toulouse. picture this. un homme. dont la femme est morte. il est persuadé que c’est de sa faute à lui. il est policier. il voit sa collègue mais a un blocage émotionnel et elle est la personne la plus compréhensive à ce sujet. la nouvelle recrue est une jeune fille bourrée d’énergie et de joie de vivre DU NOM DE SA FEMME DÉCÉDÉE. il a un problème au cœur et va en mourir s’il ne se ménage pas. il fait exprès de ne pas se ménager parce qu’il veut crever. c’est exact, l’homme est suicidaire. et il s’appelle simon. littéralement je demande rien de plus. et pourtant j’ai plus. et oui, il chante. il fait un demi-malaise dramatique. il est une father figure à la recrue. ma vie pour lui. je l’ai reconnu à sa main à la 0.02s du téléfilm.
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3) yvon dans un village presque parfait. ?????son rôle ????son meilleur rôle. yvon je t’explique c’est la définition de takes no shit, gives no fucks and cares so, so much. lui et son pote (didier bourdon) cuddle dans le lit à côté d’sa femme parce qu’il est comme ça yvon, parce qu’il a pas de masculinité toxique. il va aider ce même pote en allant faire de la plongée pour mettre un poisson au bout d’la cane à pêche de laurent deutsch. il joue au cricket avec podalydès et il le prend dans ses bras de joie on a l’impression que denis pèse 0.4g. il est gentil. il fait passer son village et ses amis avant tout. il porte des tee-shirts johnny halliday immondes. le chasseur de mon cœur. je tuerai pour lui. ma professeure d’italien pense que lui et moi avons le même prénom. mon loulou. envie de lui faire un bisou sur les cheveux. d'être une enveloppe rouge.
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4) jean-hughes de wan dans le vagabon de la baie de somme. tu prends tout ce que j’ai dit sur yvon et tu l’inverses. de wan c’est qu’un con, mais putain de merde qu’il est beau. y a une policière son rôle c’est littéralement de faire des love eyes vers lui et je comprends tout à fait. un de ses premiers rôles que j’ai vu de lui où il joue un antagoniste brutal et violent et pas juste pathétique. à un moment il est passé de doucereux et charmant à hurler de rage et j’ai jamais pu récupérer. en plus j’ai aimé le film. enfin non j’ai aimé le voir à l’écran. et sa storyline. rien suivi du reste. il est cocky, il pense être mieux que tout le monde (il l’est) et j’ai des sentiments amoureux pour lui.
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5) françois dans le muguet de noël aka la seule pièce que j’ai vu avec lui et qui m’a effectivement convaincu que le voir sur les planches me rappelle à quel point il est TALENTUEUX et ça me rend dingue. il est fleuriste. ma puce. le pauvre chaton il est tout le temps à ça de pleurer parce qu’il est sûr et certain que sa fille se tape son patron (son patron à lui.) je cite une de ses répliques les plus DRÔLES : “non mais comprenez, y a une différence de…” “statut” “oui—non, non bah non, toujours pas.” il me fait trop rire. il a tellement haussé le ton je me suis demandé combien de strepsil il allait devoir consommer après sa représentation. il a fait des verrines de choucroute froide parce qu’il a “paniqué.” son meilleur ami dort chez lui et c’est le mec de scène de ménage et il est trop drôle. il joue trop bien les darons. LA je veux dire. à un moment il est comparé à un lion. un jour on donnera à cet homme un rôle où sa situation maritale est stable. (casper does that) françois il a passé l’entièreté de la pièce en pls.
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je me permets juste de…oui att…
6) leodagan de carmelide dans kaamelott, aka littéralement l’homme de ma vie, le blueprint de ce que j’entends quand je dis “mon type de mec,” je pense que j’ai même pas BESOIN de spécifier à quel point j’suis head over heels pour cet homme. j’ai 494 posts tagués leodagan et c’est sans compter les 273 fankaam où il est pas tagué. c’est même pas mon blorbo c’est plus, ce mec est pas bien dans sa tête y a rien qui va chez lui mais je le laisserais sûrement m’enclumer la tête dans un mur porteur. j’peux t’écrire une dissert sur lui mais quiconque me suit sait sûrement ce que je pense de ce personnage. littéralement dingue de lui. j’ai trop de photos de sa bouille mais j’ai choisi elle parce qu’il est trop mignon. épouse-moi
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jackpot-library · 20 days
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im governed by none so im gonna dump my tf oc's backstory n' shit here.
for clarification, this takes place in an AU version of the TF: Aligned Continuity; there will be a lot of overlaps.
Before the war on Cybertron, during Megatron's days as a gladiatorial warrior fighting in the pits of Kaon, he had fallen in love with a femme. She comes from a tribe of Cyber Wolves and is accustomed to the vile practices Kaon enforces upon the lower class, leading to her and Megatron bonding over their shared repression and began to craft a rebellion together to speak for the people. This is when the femme became sparked with two children, Crystalline and her sister (who doesn't have a stable name, really).
And before anyone says anything, no, baby Cybertronians are not born through the typical method. In my AU, Cybertronian life is created when a sire and carrier combine their sparks together and excess energy is then converted into smaller sparks which can grow. When the spark is stable enough, it leaves the chamber of the femme into a casing/frame specifically crafted for it. Like cases in real life though, the sire wouldn't know when the carrier is carrying additional sparks in their chassis. He is only bonded to the carrier until the little sparks are of age, i.e. have their own bodies and what not.
Anyway, when Megatron started delving into madness and ignited the Civil War, the femme fled to the Autobot cause; she didn't believe in violence on this grand of a scale. Optimus knew of her from his discussions with his former friend, and so he took her in to provide protection. Unfortunately, Megatron quickly found out about her betrayal, and in a fit of rage, unleashed a massive assault on the Autobot base. There, he strikes her down, but that was the same moment where he felt the pulse of his two children. He noticed them in the far back, witnessing the scene — they were terrified of their sire, trembling as they held each other for protection. Despite the immense rage that flooded his pipes, Megatron felt a strange emotion stir. He needs to protect them, to shield them and make sure that none dare lay a digit on their bodies. This is actively conflicting with his deluded mine which wanted to maim them both, but his parental instincts won, and he ended up taking the two daughters under his wing.
From there, they were raised under the guidance of a tyrant. Cy (Crystalline) and her sister were trained by Megatron whenever he wasn't off on his unholy crusades, and furthermore, he had his most loyal servant, Soundwave, keep an eye on the both of them.
Both of the daughters were talented, yet, they lack the sadism that was common amongst the Decepticon ranks. They fought for freedom, not ceaseless massacre. Cy, especially, struggled to fit in. She felt sympathetic towards the Autobot cause and wished that their was a peaceful solution, but her sister always told her to keep her lips shut. Not out of malice, but of worry. She acted as the older sibling, watching out for Cy whenever she could and making sure that no assassins lay behind corners.
Then, Cy's sister disappeared.
She was stationed at a Decepticon command base where experiments were being constructed to use against the Autobots. One of the experiments included that of a black hole; lack of precautions led to it spiraling out of control, consuming the base in its entirety and everyone in it, including Cy's sister.
Cy and Megatron felt the impact immediately due to their connected bond. When a member of a spark bond endures pain, everyone connected to it feels the pain as well. Upon the death of the sister, it left a cataclysmic hole that was filled with agony. Both daughter and sire felt themselves be crippled in that moment.
They both reacted differently. Megatron slaughtered dozens of his own troops for their failure to secure the safety of his now perished daughter, Cy became a shut in for days, blocking out her own sire to handle her mourning on her own. This, by no means, helped Megatron in anyway.
From then on, Megatron grew continuously obsessive and overprotective of Cy, even as she left her shell to begin to secure a place for herself amongst the Decepticon ranks. While Cy established her own division of Decepticons, Megatron consulted Shockwave to create super-soldiers that were loyal solely to Cy. These super-soldiers ended up being restored Predacons and Dinobots; the predacons were crafted by the remains of ancient beasts that died during the great Cataclysm, while the Dinobots were converted soldiers that underwent a grueling process based on animals from another planet (Dinosaurs, cough cough). Side note this is me trying to tie in both the WFC/FOC line with the TFP line.
Even though Megatron was protective of his daughter, his relationship with Cy was far from great. He constantly wars with his thoughts; on one servo, he wishes to be a loving sire to his only daughter, especially since they're the last remnants of their family, but on the other, his dictatorial mindset abhors weakness and wishes to abolish it entirely. Thus, one moment Megatron is tolerable and shows semblance of parental guidance, the next, he is slandering Cy and insulting her constantly. If he could, he'd probably even physically abuse her. The only reason why he doesn't is that the last time he did, he ended up nearly killing himself in the process. When he was beating Cy into a pulp, her spark felt that pain and it transferred over to Megatron. He learned his lesson from that point. His emotional abuse, however, never ceased.
Crystalline struggled on her own, besides the torment she was enduring under the servos of her sire. A new member of the Decepticon cause, Neuroxic "Shion" Despotellis, or simply referred to as Neuroxic, made his presence known. He was a scientist, similar to Shockwave, but delved into the darker territories far past what the cyclops deals with.
Once he saw Cy, he latched onto her. There relationship became parasitic; he preyed upon Cy, always prodding and attempting to know more than he should, dare anyone say he even tries to court her in his own sick way. Cy was disgusted by him, but knew of the power he held. He was no ordinary Deecpticon that she or Megatron could handle, he was a being fused with different strains of predacons to make him the perfect specimen.
Then, one day, he confronted Cy with a deal.
Neuroxic knew that deep down, Cy still cared for her father through everything that he's down to her. Using that knowledge, he threatened Cy that he'd kill Megatron if she did not comply to be used in his experiments. At first, she didn't believe him. But the more she gazed into those manic optics, filled with bloodlust and promises, she relented. She loved her sire too much.
After her agreement, Neuroxic infected Cy with a virus directly into her Transformation Cog. This wasn't a Cybertronian virus, it was an organic one. Neuroxic wished to create a techno-organic hybrid, and what better way to test the waters than by using his play thing. The virus was quick to mutate around the technologic "organ", fusing its organic matter into the cybertronian metal and using it as a center to create an entire neural network through Cy's body.
This effectively crippled her.
Cy could no longer transform with how the virus fused into her body. She was more prone to heat and cold, her body significantly weaker and unable to process energon anymore. In order to refuel, she had to make a specific concoction that the virus deemed tolerable for her to ingest while making sure her body was to get the energy it needs.
Megatron found out quickly what had occurred (not that he knows Neuroxic did it) and was outraged. He went on another killing spree, attempting to figure out who had sabotaged his daughter. His rampage went on for days.
Due to her being unable to transform, Neuroxic had used the carcass of a failed predacon experiment to create a mech-suit that Cy could use to traverse through terrain faster. It was specifically built to house techno-organics, along with inside the suit being filled with a fluid that regulates the temperature that way Crystalline wasn't cooked alive by overheating. Cy adapted to the technology well enough, but still felt despair at how she longer felt free.
After his rampage had ended, Megatron had Shockwave create more predacons, daring to even create hybrids in order to serve as guards for Crystalline. Shockwave found Megatron's orders illogical, but he made no mention of it as he continued to build up these creatures for Cy.
With many warriors under her wing, Cy decided to operate her own ship that she named "The Audacity", coined by Starscream himself when she was poking fun at his antics and a failure. It was supposed to be a slurred aimed at Cy, but she could hardly take the Second in Command seriously, and instead used it as the name to mock him.
I'm not sure where to put this part, so I'll leave it at the end of my little tangent.
Cy has actually dated a lot over the course of the war. She's dated both bots and cons alike, but never staying with them because of how skewed she views relationships. She's so used to toxicity that anything else she is uncomfortable with; Cy never told any of those that she's dated that information, though, the closest she got was when she was dating Wheeljack. Admittedly, she was the most open with him with how grounded he was, despite his rather rambunctious nature.
Besides Wheeljack, she's also dated the likes of Grimlock, Smokescreen, and Hardshell. And members of her own crew but that's for a later date.
That's it for my ramble for now. I'm coming back to this later because I definitely won't remember all of it lmfao.
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manue-ringo · 2 months
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La déchéance de Parker partie 1
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Le lendemain en fin d'après-midi, les autorités levèrent le protocole d'urgence après le passage de la tempête qui s'était abattu très près de la région. Par chance, la commune d'Allenwood ne fut presque pas touchée. L'agent Mulder et Parker purent enfin repartir pour Washington chacun de leur côté. Le jour qui suivit, Skinner convoqua les trois agents autour d'une réunion avec le service afin de faire le point sur la situation. Sauf que ce jour-là, Parker manquait à l'appel. Skinner commençait sérieusement à s'impatienter. Il tenta de la contacter à plusieurs reprises sans y parvenir. Tous se regardaient perplexe. Il déclara avec colère :
Bon sang, mais que se passe-t-il encore ? Auriez-vous une idée où elle pourrait être en ce moment ? Je commence à perdre patience !
Je n'en ai aucune idée monsieur. J'espère seulement qu'elle va bien. Répondit Scully en jetant un regard inquiet en direction de son partenaire qui resta étrangement silencieux.
Bon, écoutez-moi tous. Au vu de ce regrettable imprévu, je vais devoir être dans l'obligation de reporter cette réunion. Je vous tiens aux nouvelles au plus vite. Dit Skinner en s'adressant à ses collaborateurs.
Lorsque tout le monde repartit, Skinner retenu les deux agents pour les interroger ;
J'ose espérer que vous puissiez m'en dire plus. Où est-elle ? Vous avez bien une petite idée non ? Skinner se tourna vers l'agent Mulder cette fois. Il semblait embarrassé. Voyant son mutisme, Skinner reprit :
Je vous ai posé une question agent Mulder. Vous êtes avec nous ?
Oui, je ne suis pas sourd merci ! Je ne peux pas vous répondre monsieur. Pourquoi je le saurais ? Demanda-t-il très remonté.
Et bien peut-être par ce que vous étiez partie à sa recherche. Voilà pourquoi. Oui, je suis au courant. Dit-il dans le regard sévère.
L'agent Scully parut sidéré de l'apprendre.
C'est vrai Mulder ? Je n'en reviens pas que tu ais fait ça. Elle avait besoin de parler à son père. Tu n'avais pas à t'en mêler ! Intervenu Scully avec incompréhension.
Je suis bien d'accord avec Dana. Vous avez dépassé les bornes agent Mulder ! Qu'espériez-vous obtenir en y allant ? Voilà ou nous en sommes à présent. Vous êtes fière de vous ? Déclara Skinner furieux.
Mulder se leva brusquement de son siège pour quitter la pièce dans une rage folle. La porte se referma avec fracas. Scully se mordit nerveusement les lèvres. Elle paraissait extrêmement confuse. Voyant la mine abattue de cette dernière, Skinner reprit plus calmement en se massant le haut de crâne :
Scully écoutez moi, j'ai besoin de vous pour régler cette histoire. Vous devez me retrouver Parker à tout prix, c'est très important. Nous ne pouvons pas attendre indéfiniment. Nous avons des affaires urgentes à régler, ne l'oubliez pas.
Oui, je comprends monsieur. Je vais faire de mon mieux. Comptez sur moi. Dit-elle en repartant se mettre au travail.
L'agent Scully était très angoissé rien qu'à l'idée de devoir s'en occuper elle-même. La jeune femme rousse n'avait aucun moyen de savoir où elle pouvait être. Cette fille avait le don de disparaître comme bon lui semble. La situation paraissait désespérée, elle n'eut d'autre choix que d'interroger son partenaire pour tenter d'en savoir plus. Mais l'agent Scully était bien loin de s'imaginer ce qu'il en était réellement. Aussi, par un improbable concours de circonstances, le téléphone de Scully se mit à sonner. Elle décrocha aussitôt :
Allô ? Andréa, c'est toi ?
Dana Scully ? Demanda l'inconnu.
Qui êtes-vous ? S'interrogea Scully inquiète.
Pardonnez-moi, je suis le gérant de l'établissement du Mirage, j'ai votre collègue qui je pense à besoin de quelqu'un pour se faire ramener. Au vu du nombre de verre qu'elle a consommé, j'ai bien peur que votre amie ne soit pas en état de reprendre la route. Alors je me demandais si vous pouviez…
Entendu, j'arrive tout de suite, merci infiniment de votre appel. Dit l'agent Scully en raccrochant précipitamment pour partir la rejoindre au plus vite.
Quelques minutes plus tard au Mirage :
Scully entra dans le bar pour y retrouver son amie. Parker était encore passablement attablé sur sa chaise un verre à moitié vide à la main. La jeune femme rousse s'approcha d'un pas rapide vers elle, puis déclara quelque peu soulagé :
Je n'en reviens toujours pas de t'avoir retrouvé et encore moins dans un endroit comme celui-ci. Dit moi, je peux savoir ce qu'il t'arrive ? Regarde-toi, tu es complètement éméché.
Hé ! Salut, Assis toi ma belle, on va discuter un peu. T'as une cigarette ? Dit-elle en articulant difficilement.
Non, je n'en ai pas ! Andréa reprend toi s'il te plaît ! Pourquoi n'es-tu pas venu à cette réunion ? Tu sais combien c'est important. Au lieu de ça, tu passes ton temps à boire, je ne sais combien de… Que s'est-il passé de si grave pour que tu puisses en arrive là ? Demanda-t-elle abasourdi.
Parker se mit à rire bêtement sans parvenir à répondre quelque chose de censé à sa partenaire. Scully perdu patience, elle reprit en s’asseyant en face d'elle :
Bon ça suffit, tu vas me suivre gentiment, je te ramène chez toi. Tu n'es visiblement pas en état pour discuter de quoi que ce soit.
Mais non, ça va, je te dis ! Je gère, détends toi un peu… Vas-y, qu'est ce que tu veux savoir au juste ? Dit-elle en s'efforçant de reprendre ses esprits.
Je ne suis pas certaine que ce soit le meilleur moment pour ça, mais bon. D'accord, écoute, je suis au courant pour Mulder. Je suis navré. Je ne pensais pas qu'il irait jusque là. J'ignore l'étendu de votre dispute, mais il va falloir mettre tout cela de côté pour l'instant. Nous avons d'autres priorités et tu le sais. Dit Scully calmement. 
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sanchopanzapandora47 · 3 months
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N'oublies pas que tu n'as pas le droit de vivre
Si nos lames s'exprimer
Luxanthia est recroquevillée sur elle même, elle essaie en vain d'empêcher son coeur de bondir hors de sa poitrine, tellement il tambourine fort .
La douleur menace d'exploser, son mental déjà affaiblie par toues les infamies subies .
Les larmes se joignent de la partie, ces pensées l'entrainent à revivre toutes les humiliations subies .
Par réflexe sa prise se resserre sur sa lame baptisé Cat .
Dans un état second, prête à s'ouvrir les veines , pour un semblant de bonheur de délivrance éphémères, une voix douce et suave rugit avec force .
- Regarde toi, seul et abattue, encore a errer dans ta tête, tu es lasse de ce monde et j'en ai marre d'être l'instrument de ta destruction. Pourquoi t'infliges-tu autans de souffrances ?
La jeune femme répond sans émotion et dureté:
- Pour extérioriser mes peurs, ma peine, sentir mon cœur battre avoir l'impression de vivre alors que mon esprit abdique .
- Je suis ton amie alors cesse ça, je te conduit à la mort en as-tu conscience et un ami c'est sensé nous aider ?
Le regard inexpressif perdue dans les méandres d'un esprit en proie à une pression intense, les mots franchissent ces lèvres avec précaution.
- Tu m'aides tous les jours ou dés que j'en ressent le besoin, tu es là fidèles, tu ne m'abandonnes point, tu ne me juges pas .
C'est simple, tu n'es que le fruit de mon imagination, la projection inconsciente de mon instinct de survie .
La jeune femme pense avoir définitivement sombrer dans la folie mais qu'importe pense-elle au moins la paix m'atteindra une fois morte .
Un soupir de désespoir et de profonde désespoir, s'élève de Cat toujours blottie contre sa poitrine.
Luxanthia captivée, pause enfin ces yeux sur sa meilleure amie, doucement, son doigt l'effleure délicatement .
Elle fixe celle-ci comme pour s'assurer qu'une bouche n'existerai pas sur son instrument de torture .
La jeune femme dans un soubresaut de sanglots, parvient à se raisonner et la triste vérité s'impose à elle, aussi sournoise et insidieuse que la mort, reste indubitable .
A ce triste instant, son âme retranchés au plus profond de son néant personnel, comprend avec horreur que ceci est un duel envers elle même.
La lumière contre les ténèbres menaçant de l'emporter dans le sommeil éternel .
Mais qui en ressortira vainqueur la mort ou la vie ?
Avec une extrême douceur comme un parent calmerai un enfant apeuré, cat s'exprime :
- Un ami ça nous sauve, ou du moins reste un petit refuge sur dans les moments de grandes afflictions. Je suis réaliste, moi je t' emmènes dans les abysses de la solitude et de la souffrance éternelle, je te coupe des autres du monde, tu n'oses plus montrer t'es bras. Tu deviens une loques et je dois rester sans réagir ?
Lux de son surnom explose de colère :
- Je perd la tête, je parle à un objet inanimé …
Elle bondit et s'élance comme une tornade vers sa chambre, une pièce lugubre, tout de noir peinte, rideaux rouge sang occultant, des montagnes de livres, dans des étagères encombrent son espace et qui comble de l'ironie ne l'attire plus .
La seule passion qui l'a maintient accroché à ce monde, lui permettant de s'évader et développer son imagination pour au moins quelques heures, c'est éroder avec le temps .
Aussi essentiel pour la jeune fille que l'eau pour le corps, son unique moment de paix s'évanouit, à son tour .
Dans une rage absolue, elle s'emparent de ces ouvrages et avec force les fait valser, son rire nerveux emplie la maison silencieuse .
Luxanthia vacille enfin, sans énergie après ce passage de grosse crise.
Dans un moment fugace de lucidité, elle se réjouit que personne ne puissent être témoin de cette triste scène .
En proie à l'exaspération , elle se jette dans son grand lit et enfouit son visage dans son oreiller.
Elle suffoque mais écrase encore plus sa face , ces hurlements d'impuissances .
- Je me voile la face, personne ne tient vraiment à moi , dans un sens, c'est une chance un déchet comme moi qui va peut-être mourir aujourd'hui ne manquera à personne .
Elle frissonne, penser à ces obsèques s'impose à elle.
Elle tente de visualiser ces parents qui la maltraitent verbalement ou l'ignore pleureur , tout de noir vêtu, accablé de remords et de peines .
Ces faux ami(es) , traites et harceleurs qui font de sa vie un enfer sur terre, présents , exultant dans le meilleur rôle de leur vie , bénir son cercueil .
Le plus probable est vrai et que personne ne se déplacera, venir se recueillir sur un corps sans vie, d'une personne sans valeur .
Qui serait assez masochiste pour se rendre à une veillée ou un enterrement , d'une femme sans importance pour quiconque .
Son esprit ,menace de se précipiter à nouveau avec brutalité dans les abysses .
Cat choisie cet instant précis pour dénoncer une vérité et l'apaiser.
-Je ne suis que le reflet d'un ton inconscient, rien d'autre .
Elle ignore tout simplement mais inconsciemment, tourne son regard vers la salle de bain ou git cat .
Reste forte, crie son moi intérieur ,son envie de rejoindre sa lame domine, la vaine tentative de reprendre définitivement le contrôle se pâme définitivement .
Elle rétorque avec conviction :
- D'une âme qui se meurs, l'amie.
- Pourquoi ?
-C'est une question vague et dont je n'ai pas envie de parler ce soir, je le garde pour moi, c'est ma douleur , elle m'appartient.
Agacée cat l'apostrophe :
- Tu le fais de plus en plus et plus profond, exorcise cette douleur, une bonne fois pour toute ! Ose t'exprimer même si les autres personnes ne peuvent comprendre .
-Tu es bien utopiste . réplique Lux d'une voix éteinte . Ce n'es pas si simple, être encore plus prise pour un folle, subir les railleries ou inquiéter ce n'es pas mon but. Je survie, je respire et je suis là pour eux. Cela devrait suffir à mon bonheur et rien d'autres .
Cat soupire désemparée , comment sauver quelqu'un qui n'a pas envie de l'être ?
-Ils sont là pour toi aussi, malgré leur maladresses ou leurs réactions.
-Oui, encore une fois, une personne que j'aime et qui ne sais pas ce qu'elle veux. J'ai peur de la perdre, je n'en dors plus, le stress me submerge et me couper endors la douleurs, me rend plus lymphatique et me donne l'illusion que je vais y survivre.
- Bats-toi, petite lux.
- C'est trop tard, pas après tous ce qui vient de se produire, la paix, je veux que la souffrance cesse, disparaitre pour toujours, comme la mort est attrayante. Le vrai repos éternel .
La jeune femme se blottie, sous sa couverture et laisse libre court à l'attirance qu'exerce, le grand faucheur sur elle .
le vrai apaisement, le sommeil dont on ne se réveil, la douleur de l'agonie mais ensuite, plus rien qu'une grande joie d'être délivrée de cette vie .
Prise d'une inspiration et dans un état second et plus intense , elle se dirige vers cat et sans s'entailler, laisse glisser la lame sur son bras, son ventre mais avant de s'ouvrir les veines pour tenter vainement de rester attachée à cette misérable vie , elle se doit d'extérioriser.
Sous une impulsion d'espérance tardive qui rejouit cat, tressaillant dans sa main, luxanthia se dirige d'un pas lent, hagarde vers son cahier des souffrances .
Absorbée par son mal être et se demandant, si il fat lutter ou se laisser sombrer, nait une chanson .
C'est finie pour cette vie
Même devenu invisible et ma dépouille mortel sous terre ,
C'est trop tard je ne pourrais jamais revenir en arrière .
Mon âme sera toujours présente pour te guider rassures-toi ,
même si tu n'entendras plus de ton vivant le son de ma voix .
Pour te sauver de la douleur causer par ce désarrois,
Je deviendrais ton ange pour te sauver de t'es émois.
Mon âme immortel restera pour te guider rassures-toi,
le dernier geste d'amitié infinie d'une amie pour toi.
Refrain :
C'est finie pour cette vie,
c'est finie je veux mourir.
c'est finie pour cette vie,
c'est finie je n'ai plus d'espoir et d'avenir.
c'est finie tu ne pourras plus espérer me retenir ,
c'est finie de survivre .
Rien de ce qui se trame n'est de ta faute,
ce mal implore le faite que je dois être morte .
Pardonne ma faiblesse je ne suis pas forte ,
Pour que vous viviez en paix je dois faire en sorte .
De mourir sans me laisser une chance,
Je ne dois pas manquer d'assurance.
je me déteste de t'imaginer pleurer ,
Tu mérites d'être heureux et entourés.
Refrain
C'est finie pour cette vie,
c'est finie je veux mourir.
c'est finie pour cette vie,
c'est finie je n'ai plus d'espoir et d'avenir.
c'est finie tu ne pourras plus espérer me retenir ,
c'est finie de survivre .
Je t'en pris ne me suis pas,
cette vie je n'en veux plus.
Je t'adore ne meurs pas ,
cette vie je n'en peux plus.
Vie pour me sauver,
Vie pour connaitre ton amour.
Vie pour te sauver,
dans mon cœur tu es pour toujours .
Refrain
C'est finie pour cette vie,
c'est finie je veux mourir.
c'est finie pour cette vie,
c'est finie je n'ai plus d'espoir et d'avenir.
c'est finie tu ne pourras plus espérer me retenir ,
c'est finie de survivre .
Je vais enfin trouver la paix,
entre les mains, salvatrice du faucheur .
Tout cette affliction dissipais ,
ô douce mort, arrête mon coeur .
Epuisée, la jeune poète s'écroule au sol , la respioration sifflante.
Une vive douleur se fait ressentir dans sa poitrine, son organe pompeur menace de s'extirper avec foce de son réceptacle.
Luxanthia sombre dans un semi-sommeil agité , peuplé de cauchemars terrifiants, de pensées morbides qui l'épouvante .
Libère-toi du passé
Les heures défiles, toujours recroquevillée tristement ,la nuit indifférente à la profonde tristesse de cet être humain est désormais présente .
Aussi pernicieuse que les abimes qui entrainent lentement lux dans un univers, peuplés de mensonges et d'infamies innommables .
Combien de temps Luxanthia est-elle restée prostrée ?
Lux peut-elle encore apprécié la beauté dans ce monde, prendre conscience qu'il existe d'autres solutions moins radicales ?
N'étouffe-t-elle point dans cette chambre surchargés ou peine à filtrer les rayons du soleil , le jour ?
Lux nourrit sa mélancolie, aggrave sa dépression, nourrit son autophobie .
Elle éprouve du dégout d'être ainsi, une personne sans joie de vivre , tous ces sourires sont faux.
Ce qui la hante chaque seconde de sa vie est son viol, elle en fait des cauchemars, se réveille en terreur et dans ces instants, elle veut juste tuer son corps , qu'elle méprise avec tant d'âpreté .
L'envie la reprend de le dégrader encore plus, il est devenue pour la jeune écrivaine, un étranger , elle ne s'occupe plus de sa santé .
Elle revit encore et toujours ce qui c'est passé et la douleur ressentit.
Comme hypnotisée, luxanthia imagine comment détruire celui-ci , l'imlation germe .
Pourquoi pas, quel douleur est la pire ?
Elle sursaute au doux son de la voix mielleuse de cat qui pour l'arracher de ces sombres divagations, s'emploi à lui faire parvenir des bonnes ondes, lux de son état comateux , semble manigancé quelque chose .
- Il n'es jamais trop tard, regarde , tu as réussie à écrire ! Je suis fière de toi, tu as résisté à la tentation si ça ne fonctionne plus, c'est que tu dois essayer autre chose.
- Tais-toi!!!!! rugit lux .Tu ne peux plus m'atteindre avec des bons sentiments . Je suis folle, non ? Mais, l'inadapté que je suis n'est encore devenue stupide non plus, je souffre et j'ai envie d'être entendu, certes. Mais sans cette pitié dégoulinante de bons sentiments , cette compassion écœurante qui provient des mêmes êtres humains qui te rejettent, t'abandonnes ou s'Eclipse quand tu as le plus besoin ! Je ne peux supporter ces commentaires aussi inutiles que fertiles. Passons aux coupures aux moins plus de phrases aussi inintelligentes !
Luxanthia est obligée est toute haletante, les flots de mots ont jaillies de sa bouche ,sans que lux reprenne sa respiration .
A présent son visage se colore d'un rouge profond, cela fait bizarre, d'ordinaire, elle est pâle comme un cadavre , le sang en semble plus affluer vers ces joues .
- Du calme ma petite lux . Non, résiste encore un peu, s'il-te-plait, si tu finies par te suicider, que vont devenir ceux que tu aimes ? Imagine le poids de ta décision.
- Personne n'es indispensable pour personne, C'est ce que la vie m'a bien enseignée. ils survivront et m'oublieront vite. N'est-ce point leur désire ?
- Se ne sont que tes peurs profondes qui émergent des tes pensées tourmentées .
Luxanthia empoigne ces cheveux avec force, elle émet des sons sonores indéfinissables.
Brusquement, elle se précipite dehors , pour respirer et échapper à cette voix si mélodieuse qui l'exhorte à vivre et espérer en des jours meilleurs .
Sa peau laiteuse ressort au clair de lune, luxanthia dans un ultime sursaut d'espoir tourne ces yeux vers le ciel.
Espère-t-elle trouver de l'aide ?
Une brise se dirige vers son corps et semble la revigorer, elle a toujours aimé le vent, cette sensation agréable sur sa peau, son imagination qui vagabonde ruisselant de trésors qu'elle ne partage avec personnes d'autres .
Est-ce un signe du ciel ? Pendant un court instant, elle se sent revivre et un sourire aimerai germer sur ces lèvres fines mais les mauvaises voix dans son esprit , lui interdisent un seul moment de répits .
Accablée à nouveau, elle se laisse tomber à genoux et des larmes silencieuses perlent sur ces joues .
Un miaulement parvient à ces oreilles, le chat noir de la famille au yeux aussi vert que Lux , se frotte avec intensité sur ces jambes et ronronne fort .
Il lève doucement une patte vers son visage comme pour lui caresser et la rassurer . Lux abdique en rencontrant ces yeux magnifiques , elle fond littéralement.
Contrairement à ce que la jeune femme semble se convaincre , elle est encore capable de ressentir des émotions tendres et de se laisser émouvoir par les bonheurs et malheurs des autres êtres vivants .
- Personne n'es responsable, je suis une faible qui n'arrive même pas a réellement en finir avec la vie … .
- C'est l'espoir qui te retient ?
Peter le chat ronronne plus intensément et miaule faiblement et s'étirant sur sa maîtresse . Instinctivement lux le flatte et bientôt des gargouillis accompagnent ces câlins .
Sa voix plaintive retentit :
- Non , juste de la fatigue qui s'accumule , s'exacerbe, je plonge de plus en plus mais je n'ai pas encore trouvés la force.
- Discute avec quelqu'un , ne serait-ce qu'un professionnel ? Si, tu estimes qu'aucun individus gravitant dans ton cercle, ne sera en mesure de t'accompagner ou t'écouter ? En quoi te couper anesthésie ce que tu ressent ? tu vas leur manquer et qui va combler ce vide, si tu choisis la facilité ?
Luxanthia soupire lasse de débattre face à cat, son subconscient, cette petite partie infime qui veut survivre .
L'esprit humain réserve des surprises étonnantes, une jeune femme brisée qui examine sa vie avec un objet de torture .
Un rictus se dessine désabusée, ces yeux ne reflètent que l'enfer de son univers.
- Pourquoi souris-tu ? s'alarme cat .
- Sourire m'aide et tu sais pourquoi ? Tous simplement cela donne l'illusion momentané que je suis comme eux. ils ne sentent pas ma détresse. C'est si simple et facile de les duper. Je suis presque déçue. au final, c'est à moi de me sauver et de décider de ce que je veux réellement , personne n'a à endosser, cette responsabilité.
- Je ne sais que répondre .tu sous estime l'impact d'une tel décision et les conséquences. avoue cat découragée.
- C'est ton seul argument ? Il n'es pas bien fiable . je suis sauvage comme peter ! N'est-ce pas mon amour de chat ? ledit Peter se contente de pomper sur ces jambes avec engouement .
- Je ne me trouves rien. Poursuit lux sombre . Toutes ces insultes et brimades. Ils seront tellement soulagé sans moi .Oh des larmes coules. Que c'est étonnant, je veux graver sur ma tombe miss fontaine .
- MIEUX SANS TOI ! Mais, pourquoi tu les laisses te faire du mal ? T'es ami(e)s ne sont pas comme eux !!! Même si ils peuvent vivre sans toi. N'est ce pas égoïste de vouloir les priver de toi, ta lumière, de t'es conseils ? de …
- Je te coupe là , regarde un jeux de mot car c'est toi qui me coupe d'habitude. s'amuse lux avec son air sinistre . J'ai fais une bonne blague avoue .
- Non, désolée mais il ne faut pas exagérer
- Je suis vraiment entrain de m'emporter avec mon instinct de survie là, va rouiller saleté !
- Pense au tétanos , non oublie ce que je viens de sire, je ne compte pas rouiller .
- Ne t'inquiète pas l'amie ,je sais parfaitement comment , je veux en finir, si je n'arrive pas à survivre
- J'ai un rôle à jouer dedans, je parie ? Je parle à un sourde.
Luxanthia se contente d'abhorrer un faux air enjouée , ce n'est pas cette solution qu'elle envisage sérieusement .
l'odeur de la terre parvient à ces narines, le chant des grillons, le croissant de lune lui fait se souvenir qu'elle n'a rien mangé, son estomac gargouille et dérange Peter qui grogne dans son sommeil .
- qu'est-ce qui t'a attirer chez eux ? demande cat .
- Leur joie de vivre, l'ouverture d'esprit de certains, se chamailler entendre leurs balivernes, leurs absurdités, les énumérer comme ça serais trop long. Et si jamais , ça me donner le courage et l'envie de vivre ? peu probable, ils ne m'ont jamais intégré réellement , juste supporter .
Les joies de la dépression , ce que vie lux depuis des mois .un seul compliment est vécu comme une agression. Cat le sait pertinemment mais ne peux s'empêcher de saisir cette occasion .
- Du Temp, de l'écoutes, ton amitié , tu les réconfortes si besoin, les encourages et tes conseilles avisés sont respectés .Tu es toi, sans ruse, ni artifice, d'une honnêteté déconcertante . Tu assumes ton côté fofolle pour qu'ils puissent rigoler et ne pas vivre un jour ce que tu ressent . D'où ce côté étouffant que l'on peut te reprocher, qui te vient de cette terreur sourde, qu'ils subissent ce que tu endures .
- Tu sais , tu brasses du vent au fond si je vie, c'est pour eux car je n'ai pas envie de rester sur terre avec ce remords là et d'allez en enfer, je suis croyante, je survie et tans que je tiens, je leur donnerais tout . De mon point de vue ce que leur apporte c'est du malheur .
L'espoir fait vivre quel phrase magnifique, hélas la pauvre Luxanthia ,e sait à quoi se raccrocher, ni si elle croit encore à la salvation.
Faut-il se battre jusqu'au bout , même si cela veut dire être seul à jamais, sans personne vers qui se tourner ?
Mérite-elle d'être secourue ? La noirceur en cette âme lui susurre avec mépris que non.
L'espoir justement n'est-ce pas ce sentiment qui provoque la fin de tant d'être humain ou est-ce un subterfuge de l'ennemi tapis en chaqu'un de nous ?
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corydon8 · 5 months
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GABRIEL SPENSER
ACTEUR.
Sa mère fut une fille, nommée Flum, qui tenait une petite salle basse au fond de Rotten-row, dans Picked-hatch. Un capitaine, aux doigts chargés de bijoux en cuivre, et deux galants, vêtus de pourpoints lâches, venaient la voir après souper. Elle logeait trois demoiselles, dont les noms étaient Poll, Doll et Moll, et qui ne pouvaient supporter l’odeur du tabac. Aussi montaient-elles fréquemment se mettre au lit, et des gentilshommes polis les accompagnaient, après leur avoir fait boire un verre de vin d’Espagne tiède, afin de dissiper la vapeur des pipes. Le petit Gabriel se tenait accroupi sous le manteau de la cheminée pour voir rôtir les pommes qu’on jetait dans les pots de bière. Des acteurs venaient là aussi, qui avaient les apparences les plus diverses. Ils n’osaient paraître dans les grandes tavernes où allaient les compagnies entretenues. Certains parlaient en style de fanfaronnade ; d’autres ânonnaient comme des idiots. Ils caressaient Gabriel qui apprit d’eux des vers brisés de tragédie et des plaisanteries rustiques de scène. On lui donna un morceau de drap cramoisi, à frange dédorée, avec un masque de velours et un vieux poignard de bois. Ainsi il paradait tout seul devant l’âtre, brandissant un tison en manière de torche, et sa mère Flum balançait son triple menton par l’admiration qu’elle avait de son enfant précoce.
Les acteurs l’emmenèrent au Rideau Vert, dans Shoreditch, où il trembla devant les accès de rage du petit comédien qui écumait en hurlant le rôle de Jeronymo. On y voyait aussi le vieux roi Leir, avec sa barbe blanche déchirée, qui s’agenouillait pour demander pardon à sa fille Cordellia ; un clown imitait les folies de Tarleton, et un autre enveloppé d’un drap de lit terrifiait le prince Amlet. Sir John Oldcastle faisait rire tout le monde par son gros ventre, surtout quand il prenait à la taille l’hôtesse qui lui permettait de chiffonner la pique de son bonnet et de glisser ses gros doigts dans le sac de bougran qu’elle attachait à sa ceinture. Le Fou chantait des chansons que l’Idiot ne comprenait jamais, et un clown en bonnet de coton passait à tout moment la tête par le rideau fendu, au fond de l’estrade, pour faire des grimaces. Il y avait encore un jongleur avec des singes et un homme habillé en femme qui, à l’idée de Gabriel, ressemblait à sa mère Flum. À la fin des pièces, les bedeaux à verge venaient lui mettre une robe de gros bleu et criaient qu’ils allaient le porter à Bridewell.
Quand Gabriel eut quinze ans, les acteurs du Rideau Vert remarquèrent qu’il était beau et délicat et qu’il pourrait jouer les rôles de femmes et de jeunes filles. Flum lui peignait ses cheveux noirs qui étaient rejetés en arrière ; il avait la peau très fine, les yeux grands, les sourcils hauts, et Flum lui avait percé les oreilles pour y pendre deux fausses perles doubles. Il entra donc dans la compagnie du duc de Nottingham, et on lui fit des robes de taffetas et de damas, avec des paillettes, de drap d’argent et de drap d’or, des corsages lacés et des perruques de chanvre à longues boucles. On lui apprit à se peindre dans la salle à répétitions. D’abord il rougit en montant sur l’estrade ; puis il minauda pour répondre aux galanteries. Poll, Doll et Moll, que Flum amena, tout affairée, déclarèrent avec de grands rires que c’était tout justement une femme et voulurent le délacer après la pièce. Elles le ramenèrent dans Picked-hatch, et sa mère lui fit mettre une de ses robes pour le montrer au capitaine, qui lui fit mille protestations en moquerie et feignit de lui passer au doigt un vilain anneau surdoré où était enchâssée une escarboucle de verre.
Les meilleurs camarades de Gabriel Spenser étaient William Bird, Edward Juby et les deux Jeffes. Ceux-ci entreprirent, un été, d’aller jouer dans les bourgs de la campagne avec des acteurs errants. Ils voyagèrent dans une voiture couverte d’une bâche, où ils couchaient la nuit. Sur la route de Hammersmith, un soir, ils virent sortir du fossé un homme qui leur présenta le canon d’un pistolet.
— Votre argent ! dit-il. Je suis Gamaliel Ratsey, par la grâce de Dieu voleur de grand chemin, et je n’aime pas à attendre.
À quoi les deux Jeffes répondirent, en gémissant :
— Nous n’avons point d’argent, Votre Grâce, sinon ces paillettes de cuivre et ces pièces de camelot teint, et nous sommes de pauvres acteurs errants comme Votre Seigneurie elle-même.
— Acteurs ? s’écria Gamaliel Ratsey. Voilà qui est admirable. Je ne suis pas un rafleur, ni un coquin, et je suis ami des spectacles. Si je n’avais un certain respect pour le vieux Derrick qui saurait bien me traîner sur l’échelle et me faire dodeliner de la tête, je ne quitterais pas le bord de la rivière, et les joyeuses tavernes à drapeaux, où vous autres, mes gentilshommes, vous avez coutume d’exposer tant d’esprit. Soyez donc les bienvenus. La soirée est belle. Dressez votre estrade et jouez-moi votre meilleur spectacle. Gamaliel Ratsey vous écoutera. Ce n’est pas ordinaire. Vous pourrez le raconter.
— Cela va nous coûter des feux, dirent timidement les deux Jeffes.
— Feux ? dit noblement Gamaliel — que me parlez-vous de feux ? Je suis ici le roi Gamaliel, comme Elizabeth est reine dans la Cité. Et je vous traiterai en roi. Voilà quarante shillings.
Les acteurs descendirent, tremblants.
— Plaise à Votre Majesté, dit Bird, que faudra-t-il jouer ?
Gamaliel réfléchit, et regarda Gabriel.
— Ma foi, dit-il, une belle pièce pour cette demoiselle, et bien mélancolique. Elle doit être charmante en Ophelia. Il y a des fleurs de digitale ici auprès — de vrais doigts de mort. Amlet, voilà ce que je veux. J’aime assez les humeurs de cette composition. Si je n’étais Gamaliel, je jouerais volontiers Amlet. Allez, et ne vous trompez pas dans les coups d’escrime, mes excellents Troyens, mes vaillants Corinthiens !
On alluma les lanternes. Gamaliel considéra le drame avec attention. Après la fin, il dit à Gabriel Spenser :
— Belle Ophelia, je vous dispense du compliment. Vous pouvez partir, acteurs du roi Gamaliel. Sa Majesté est satisfaite.
Puis il disparut dans l’ombre.
Comme la voiture se mettait en marche, à l’aube, on le vit de nouveau qui barrait le chemin, pistolet au poing.
— Gamaliel Ratsey, voleur de grand’route, dit-il, vient reprendre les quarante shillings du roi Gamaliel. Allons, vite. Merci pour le spectacle. Décidément, les humeurs d’Amlet me plaisent infiniment. Belle Ophelia, toute ma courtoisie.
Les deux Jeffes, qui gardaient l’argent, le rendirent par force. Gamaliel salua et partit au galop.
Sur cette aventure, la troupe rentra dans Londres. On raconta qu’un voleur avait failli enlever Ophelia en robe et en perruque. Une fille nommée Pat King, et qui venait souvent au Rideau Vert, affirma qu’elle n’en était point surprise. Elle avait la figure grasse et la taille ronde. Flum l’invita, pour lui faire connaître Gabriel. Elle le trouva mignon et l’embrassa tendrement. Puis elle revint souvent. Pat était l’amie d’un ouvrier briquetier que son métier ennuyait et qui avait l’ambition de jouer au Rideau Vert. Il se nommait Ben Jonson, et il était fort orgueilleux de son éducation, étant clerc, et ayant quelques connaissances en latin. C’était un homme grand et carré, couturé de scrofule, et dont l’œil droit était plus haut que le gauche. Il avait la voix forte et grondeuse. Ce colosse avait été soldat aux Pays-Bas. Il suivit Pat King, saisit Gabriel à la peau du cou, et le traîna aux champs de Hoxton, où le pauvre Gabriel dut lui faire face, une épée à la main. Flum lui avait secrètement glissé une lame plus longue de dix pouces. Elle passa dans le bras de Ben Jonson. Gabriel eut le poumon traversé. Il mourut sur l’herbe. Flum courut chercher les constables. On porta Ben Jonson tout jurant à Newgate. Flum espérait qu’il serait pendu. Mais il récita ses psaumes en latin, fit voir qu’il était clerc, et on le marqua seulement à la main avec un fer rouge.
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umekonae · 6 months
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Née: 21 juin
Statut:
•Lycéenne au lycée de Saint Samuel Mercure en tant qu'étudiant en conception de jeux vidéos.
•Virtuel Magenta Magical Girl
•Membre du club de littérature
•Déléguée de la classe des Secondes A
•Blogueuse
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•Les mensonges
Informations:
Vient d'une très grande famille de la noblesse, mais a été rejeté à cause de cette nouvelle marâtre qui manipule son père après cet remarier. Elle vivait au départ à Londres avec lui en ayant eu une vie douce et paisible, même si la mort de ça mère fut difficile pour les deux qui ont malgré tout continué à vivre. Jusqu'à ce que le paternelle trouve une nouvelle compagne, ce qui n'a pas plus a la jeune Béatrice qui a directe remarqué qu'elle n'est pas quelqu'un de bien. La bonne femme a manipuler la petite famille en disant qu'il fallait envoyer celle-ci loin d'ici, car, elle aurait un mauvais comportement. Bien sûr, elle a essayé de ce défendre pour convaincre son père qui hélas ne l'a pas cru du tout. Ce qui a briser le cœur de la rousse qui a fini par aller en Finlande pour des études qui ne l'intéresse même pas. Elle a directe remarquée que la marâtre chercher juste a la faire tomber, pour qu'elle ne puisse pas revenir en Angleterre et revoir son cher père. Et qu'elle tombe dans la dépression, car, celle-ci veut juste effacée celle-ci de ça nouvelle vie en voulant pas l'avoir dans ces pattes. Alors, Béatrice décide de ce reprendre en main pour décider de ce sortir de cette situation. Celle-ci fait le choix de demander de l'aide a son arrière grand mère, avec qui son père a coupé les ponts a cause du fait qu'elle aille refusé le second mariage disant que la nouvelle épouse de son arrière petit fils n'est pas quelqu'un de bien. Hélas, il ne l'a pas écouter pour du coup décider de ne plus jamais la recontacter. En faisant ça, elle s'excuse au nom de son père pour expliquer ça situation actuelle. Elle avait peur qu'elle soit rejeté, mais a la place, l'aide pour ce sortir de cette situation en allant donc dans une autre école qui est en France a Bordeaux. Béatrice fait donc un choix, qui vas grandement impacté ça relation avec son père. Car, elle fut énormément blessée et trahi par lui. L'homme a préféré croire cette femme que ça propre fille, alors, elle choisit de disparaitre de ça vie en ne laissant plus aucune trace. Ce qui à eu un très gros impacte sur lui qui a été briser en voulant la retrouver, hélas, elle à comme disparu. La marâtre a été réjoui pendant un cours temps, jusqu'à voir que son nouveau mari est devenu dépressif en refusant d'obéir et découper ce qu'elle dit. Elle fut dans une rage folle en décidant de trouver une solution pour la récupérer.
Béatrice a donc pu rejoindre la France en sécurité et dans le plus grand secret avec l'aide de la famille de son père. Qui ont cachés le fait qu'elle est encore en vie, la rouquine part donc faire ces études a Bordeaux en étant la plus jeune élève de l'école. Pour être même l'une des heureuse élues qui est devenu boursière, elle à rejoint la classe de Mélodie en la croisant lors des vacances d'été avant la rentrée scolaire. Les deux jeunes filles qui ont un caractère différents et n'auraient pas du devenir proches, ceux sont très bien entendu en devenant donc amie rapidement. Ce qui a fait qu'elle a intégré le groupe d'amie de Clara qui apprécie beaucoup Béatrice, en disant l'admirer pour son passé qui fut douloureux mais a su gardé la force pour affronter tout ces obstacles sans jamais baissé les bras. Elle a prouvée que même si la vie a décidé de vouloir te casser et te briser, il suffit juste de toujours garder l'espoir et d'y faire face quoi qu'il arrive.
Et voilà, la troisième choupette qui a rejoint la team des Virtuels Magical Girl ! J'aime beaucoup Béatrice qui est vraiment adorable, elle me rappelle un peu cendrillon d'où le surnom que lui donne ces amies. 🤣
Parce qu'elle a eu une méchante belle-mère qui cherche à la rendre malheureuse, mais, disons que la demoiselle est bien plus forte et sais être une battante quand il le faut. Pour le style, j'ai longuement hésité pour finir par choisir le style gothique. Ça lui va bien je trouve. Bref, j'espère que vous l'apprécierez autant que moi. La prochaine membre sera un peu spéciale, en espérant que vous l'aimez vous aussi comme les trois autres. 😉
Anecdotes:
•Elle à eu le surnom de Cendrillon par ces amies.
•Ça couleur favorite est le bleu.
•Joue du violon, du piano, de la flûte et de la harpe.
•A un blog où elle poste tout ce qui la passionne en donnant même des conseils, a ceux qui la questionne et lui demande de l'aide. Ce qui a value une réputation en cachant bien sûr cet activer, sauf Clara et Mélodie qui l'ont découvert a un moment en lui demandant du coup des conseils. Ce qui lui fait plaisir.
•Elle est la seule à avoir une clé USB pour ce transformer qui a les deux couleurs de ça tenue.
•A une maison qui ce trouve dans le quartier le plus calme de Bordeaux, en appréciant ce lieu qui lui rappelle la maison de campagne de son arrière grand mère.
•Possède une collection énorme de jeux vidéos rétro en les rangeant proprement et avec soin, a aussi un grands nombres d'objets qu'elle garde précieusement.
•A garder contact avec la famille du côté de son père pendant pas mal d'années en secret lorsqu'il a décidé de couper les ponts avec eux, mais a pris contact qu'avec son arrière grand mère que récemment.
•Quand elle a été choisi pour devenir la déléguée, celle-ci à voulue refuser. Mais en voyant qui on voulait mettre à ça place, elle a décidée de garder ça place. En trouvant le second incompétent pour faire correctement son travail.
•A commencer a écrire un roman depuis un petit moment, en racontant ces aventures de Virtuel Magical Girl mais en gardant leurs anonymat.
•Créer ces propres vêtements en aillant un atelier couture dans ça maison.
•Cuisine beaucoup de plats de différents pays en donnant toujours les restes a ces voisins et ces amies qui adorent.
English:
Born: 21 June
Status:
•High school student at Saint Samuel Mercure High School as a student in video game design.
• Magenta Magical Girl Virtual
•Member of the Literature Club
• Secondary A class delegate
•Blogger
Likes:
•Reading
•Novels
• Manga
•Romance
•Urban legends
•Mythology
•Crystals
•Tea
•Fashion
•Witchcraft
•Technology
•Video games
•Divination
• Retro video games
•Cute plushes
•Penguin
•Mysteries
•Classical music
•Foreign languages
•Studies
•Sport
•Sleep
• Sewing
•Cooking
Hates:
•Blueberries
• Sea cruises (get sick fast)
•The awkward moments
•Cheating
•That mother-in-law
•Rap
•The bad
guys •The scum
•The lies
Information:
Comes from a very large family of the nobility, but was rejected because of this new stepmother who manipulates her father after this remarriage. She initially lived in London with him having had a sweet and peaceful life, although the death of her mother was difficult for the two who nevertheless continued to live. Until the father finds a new companion, which has no more to the young Beatrice who immediately noticed that she is not a good person. The good woman manipulated the little family by saying that she had to send them away from here, because she would have bad behavior. The good woman manipulated the little family by saying that she had to send them away from here, because she would have bad behavior. Of course, she tried to defend it to convince her father who unfortunately did not believe it at all. Which broke the heart of the redhead who ended up going to Finland for studies that didn't even interest her. She directly noticed that the stepmother was just trying to bring her down, so that she could not return to England and see her dear father again. And that she falls into depression, because, it just wants to erase her from this new life by not wanting to have her in these paws. So, Beatrice decides to take this back in hand to decide to get out of this situation. She chooses to ask her great-grandmother for help, with whom her father cut ties because she refused the second marriage, saying that her great-grandchild's new wife is not a good person. Alas, he did not listen to her and suddenly decided never to contact her again. In doing so, she apologizes on behalf of her father to explain this current situation. She was afraid that she would be rejected, but instead, helped her get out of this situation by going to another school in France in Bordeaux. Beatrice therefore makes a choice, which will greatly impact this relationship with her father. Because, she was enormously hurt and betrayed by him. The man preferred to believe this woman that it was her own daughter, so she chose to disappear from this life leaving no trace. Which had a very big impact on him who was broken by wanting to find her, alas, she has disappeared. The stepmother was delighted for a short time, until she saw that her new husband became depressed by refusing to obey and cutting out what she said. She was in a mad rage when she decided to find a solution to recover it. Beatrice was therefore able to reach France safely and in the utmost secrecy with the help of her father's family. Who hid the fact that she is still alive, the redhead goes to study in Bordeaux as the youngest student in the school. To be one of the lucky ones who became a scholarship holder, she joined Mélodie's class by crossing paths with her during the summer holidays before the start of the school year. The two young girls who have a different character and should not have become close, those are very well understood by becoming friends quickly. Which made her join Clara's group of friends who appreciate Beatrice very much, admiring her for her past which was painful but kept the strength to face all these obstacles without ever giving up. She proved that even if life has decided to want to break you and break you, just always keep hope and face it no matter what.
There you go, the third choupette who joined the Magical Girl Virtual team! I really like Beatrice who is really adorable, she reminds me a bit of Cinderella hence the nickname given to her by these friends. 🤣
Because she had a mean stepmother who tries to make her unhappy, but, let's say that the lady is much stronger and knows how to be a fighter when she has to. For the style, I hesitated for a long time to end up choosing the Gothic style. It suits him well I think. Anyway, I hope you enjoy it as much as I do. The next member will be a bit special, hoping you like her as well as the other three. 😉
Anecdotes:
•She was nicknamed Cinderella by these friends.
•This favorite color is blue.
•Play violin, piano, flute and harp.
•To a blog where she posts everything she is passionate about, even giving advice, to those who question her and ask her for help. Which has earned a reputation by hiding this activation, of course, except Clara and Melody who discovered it at one point by asking him for advice. What makes her happy.
•She is the only one to have a USB stick for this transformer that has both colors of this outfit.
•A house that is located in the quietest area of Bordeaux, enjoying this place that reminds him of the country house of his great grandmother.
•Has a huge collection of retro video games by storing them neatly and carefully, also has a large number of objects that it keeps treasured.
•To keep in touch with the family on his father's side for quite a few years in secret when he decided to cut ties with them, but only recently made contact with his great grandmother.
•When she was chosen to become the delegate, she wanted to refuse. But seeing who we wanted to put in place, she decided to keep it in place. Finding the second incompetent to do his job properly.
•To start writing a novel for a while, telling these adventures of Virtual Magical Girl but keeping their anonymity.
•Create your own clothes by having a sewing workshop in this house.
•Cooks a lot of dishes from different countries always giving leftovers to those neighbors and friends who love.
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hellmouthheritage · 9 months
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HELLMOUTH RPG est présentement à la recherche du personnage indispensable de Devon Spencer sur www.hellmouth.forumactif.com Nous recherchons une belle plume pour incarner ce puissant démon gorak, ex de la célèbre tueuse Buffy Summers.
25 ans plus tôt : Devon a traversé les enfers dans l'espoir de rencontrer ce parfum. Ce parfum qui hantait ses moindres pensées. Il a traversé le vent, les marrés pour aller à sa rencontre. Les enfers ont été difficile à traverser. S'enfouir dans la nature aux limites des grands naufrages, rien n'osait défié son chemin. La chaleur des enfers s'éloignait de plus en plus. Il comptait survivre à son destin. Il y avait comme un goût amer en lui qui lui disait de reculer, de changer d'idée. Mais l'odeur de ce shampoing lui revenait toujours, en rêve et en plein jour. Ce parfum le mena jusqu'à la tueuse. Pendant deux ans, il l'avait espionné. Restant dans l'ombre, analysant chacun de ses faux pas. Dans le désir et le but ultime de la tuer. Il observa, restant dans la noirceur, sa relation avec Angel. Cette relation qui se détériorait. Il avait assisté à la mort du vampire. C'est à ce moment qu'il tenta sa chance. La tueuse était vulnérable, sensible et prête à être tuer. 
Il fit sa rencontre pour la première fois à Los Angeles dans un restaurant. Elle ne se doutait de rien à ce moment-là. Alors qu'elle y était pour souffler un peu. Décompresser de la mort d'Angel et changer de vie. Cependant la triste réalité de ce monde la ramena à Sunnydale. Lieu culte de la bouche de l'enfer. Se sentant obligé de l'épier, de la suivre jusque dans cette ville. Il poursuivit son chemin à la conquête de son coeur.
Dans cette forêt ce jour-là. Il l'a rencontra enfin. Elle essaya de le tuer, malgré elle, Buffy n'avait pas pu. Le visage de l'homme, ce regard, elle avait comprit qu'un lien les rattachait. Un lien fort et puissant. C'était au delà de l'amour. Au delà du rêve. La force de son poing ne su percer le mystère que laissait le regard de Devon quand il se posa sur elle. Une histoire d'amour assez compliqué. La tueuse en avait déjà vécu une. Cependant le vampire avec une âme était loin d'être le meurtrier que Devon était.
Devon, accro aux coeurs humains de jeune femme encore vierge. Dévorant chaque humaine qu'il avait croisé sur son passage. Il cessa de se nourrir d'humains pour conquérir Buffy. Cependant, sa rencontre avec un oracle lui mentionnant que le monde était menacé de s'éteindre. Que la vie de Buffy était en danger. L'obligeant à tuer quarante êtres humains et de dévorer leurs coeurs pour faire balancer l'équilibre des mondes. Ce moment précis détruit sa vie. Et sa relation avec Buffy. La jeune tueuse lui avait déjà fait part de ses sentiments à son égard. Ils s'étaient éteint. Avec son son entrée à l'université. Elle était tomber amoureuse d'un autre. Ce qui poussait Devon à ne plus agir comme un petit chien pour la tueuse. Fou de rage, il avait accepté le travail que lui proposait l'oracle. Cependant la tueuse était venu à sa rencontre.
SUNNYDALE 2023 :
- Devon est revenu d'entres les morts grâce à la magie d'Amy et Twilight, les sorciers de l'ombre. Leur plan est d'ouvrir la bouche de l'enfer à Sunnydale avec l'aide de la nouvelle reine des enfers, Béatrice Lowell. Devon est supposé faire parti du plan. 
- Il est de retour mais, il ne sait pas pourquoi il est là. Le plan n'a jamais été mentionné à Devon directement. 
- Quelques semaines après son retour à Sunnydale, il a appris que la tueuse de ses rêves était bien là elle aussi. Ramenée à la vie par un sorcier, vingt-trois années après sa mort.
- Devon a maintenant une fille qui s'appelle Hope. Elle est née il y a vingt ans, alors que Devon était mort. La mère de l'adolescente est aujourd'hui décédée. Il est père célibataire et il reprend contact avec sa fille qu'il n'a pas rencontrée à la naissance. 
- La mère d'Hope est un démon très connu en enfer. Issue de deux lignées de démons puissants, sa fille est quelque peu incontrôlable. Hope apprendra que c'est Buffy qui a exécuté sa mère. Hope voudra se venger de Buffy et quant à Devon, lui.... Que voudra-t-il faire ?
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Politique : est ce que la femme est égale à l homme aujourd’hui ?
On se doute qu une femme dans la société a une place importante car elle est la femme et la maman en même temps . Elle est un un point fort dans la vie , l homme qui est lui aussi autant important , ne laisse pourtant pas de place aux femmes . Elles sont jugées sur leurs physiques, leurs intelligences et leurs sexes. Peuvent elles être indépendantes ? Fortes ? Intelligentes ?
Fracture et séisme, la femme est juste bonne à marier et devenir maman ! Pas simple mais pour autant c est vrai ! La femme ne peut pas être plus riche et intelligente que son mari au sinon il est pas à l hauteur. Elle doit être belle et souriante , Bonniche et nourrisse , active et travailleuse … mais pas trop parce qu elle doit être présente pour son mari mais savoir s effacer quand il se doit ! Une femme n est pas un objet mais pourtant on l a place comme un trophée sur la commode.
Je pense à tout ça , et je trouve cette pensée globale régressive et fasciste . C est pas moi qui le dit ! C est la société moderne qui le veut ! Ah bon ? Ne faites pas semblant , les femmes qui sont adulées sont Kate Moss et Naomi Campbell… le reste elles doivent aux critères des hommes . Comme dit chimamanda Ngozie , l autrice nigériane, notamment du livre Americanah . Elle a dit «  "On apprend aux filles à rester sage pour qu’elles ne prennent pas trop de place. On dit aux filles : ‘Tu peux avoir de l'ambition, mais pas trop. Tu peux vouloir le succès, mais pas trop, sinon tu seras une menace pour l'homme (…) On apprend à nos filles à être meilleures que les autres, pas dans le travail (...) mais à être parfaites aux yeux des hommes", » une phrase que beyonce a repris dans sa chanson « flawless ». Certes , le féminisme de beyonce est contraire de celui de Chimamanda. Beyonce pense - dois je le pardonner ? Va t il me mettre la bague au doigt. Tandis que chimamanda , la femme est plus indépendante et forte, elle a pas besoin d hommes.
La femme parfaite ne doit pas avoir connu d agression sexuelle ou de viol ou sinon son mari aura une douleur à vie invisible qui lui donnera toujours la rage. Alors , ces femmes deviennent des « putes » celles qu on couche avec et qui aiment ça ( mais bien sur et puis quoi encore comme si le plaisir était automatique) la femme a qui on a volé ses droits , humiliées , dégradées ou encore rabaissées, elles sont pas le choix de crever ou marcher. Mais ça sera toujours dans la douleur.
Alors, une égalité entre femmes et hommes existe t elle ? Est ce que c est possible ? Parce que les femmes ont peur de la nuit , elles se déplacent en bande de copines de peur de se faire agresser . Il y a une célèbre vidéo qui montre une femme dans les rues de New York entrain de se faire filmer pendant qu elle marche dans la rue durant la journée . Il n y a pas plus dégradant puisqu elle se fait appeler toutes les minutes par les hommes et par moment elle se fait suivre de trottoir en trottoir. Alors égalité ? On a toujours un long chemin à ce niveau là ! Mais de savoir qu il y a des actions comme le Metoo ou encore des associations qui viennent en aide aux victimes peuvent en rassurer plus d une. Ce n est pas encore gagné mais un jour on pourrait voir tout ça changer… et des filles ne seront plus victimes d agressions sexuelles à cause d hommes.
Politics : Are women equals to men ?
We suspect that a woman in society has an important place because she is the wife and the mother at the same time. She is a strong point in life, the man who is also as important, however, leaves no room for women. They are judged on their physique, their intelligence and their gender. Can they be independent? Strong? Smart?
Seizure and earthquake, the woman is just good enough to marry and become a mother! It's not easy, but it's true! The wife cannot be richer and more intelligent than her husband otherwise he is not up to it. She must be beautiful and smiling, Bonniche and nurturing, active and hardworking… but not too much because she must be present for her husband but know how to step aside when necessary! A woman is not an object, yet she is placed like a trophy on the chest of drawers.
I think about all that, and I find this global thinking regressive and fascist. I'm not the one saying it ! Modern society wants it! Ah good ? Don't pretend, the women who are adored are Kate Moss and Naomi Campbell… the rest they owe to men's standards. As chimamanda Ngozie says, the Nigerian author, notably of the book Americanah. She said, "'Girls are taught to be nice so they don't take up too much space. Girls are told, 'You can have ambition, but not too much. You can want success, but not too much. , otherwise you will be a threat to the man (…) Our girls are taught to be better than others, not in work (…) but to be perfect in the eyes of men”, “a sentence that beyonce has covered in his song "flawless". Admittedly, Beyonce's feminism is contrary to that of Chimamanda. Beyonce thinks - should I forgive him? Will he put the ring on my finger. While chimamanda, the woman is more independent and strong, she doesn't need men.
The perfect wife must not have experienced sexual assault or rape or else her husband will have unseen lifelong pain that will always enrage him. So these women become "whores" those we sleep with and who like it (but of course and then what else as if the pleasure was automatic) the woman whose rights were stolen, humiliated, degraded or even belittled, they are not the choice to die or walk. But it will always be painful.
So, does equality between women and men exist? Is it possible ? Because the women are afraid of the night, they move around in groups of friends for fear of being assaulted. There is a famous video that shows a woman on the streets of New York being filmed walking down the street during the day. There is no more degrading since she is called every minute by the men and at times she is followed from sidewalk to sidewalk. So equality? We still have a long way to go there! But knowing that there are actions like the Metoo or associations that help victims can reassure more than one. It's not won yet but one day we could see all that change… and girls will no longer be victims of sexual assault because of men.
Kevin Ngirimcuti
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SAMEDI 14 JANVIER 2023 (Billet 2 / 3)
« L’IMMENSITA » (1h 37min)
Un film d’Emanuele Crialese, avec Penélope Cruz, Vincenzo Amato, Luana Giuliani…
Nous l’avons vu au Pathé Convention jeudi en milieu d’après-midi. La salle était quasi pleine, ce qui est assez étonnant pour un film sorti sur les écrans la veille.
C’est le 5e film de ce metteur en scène qui avait réalisé en 2002 « Respiro » (avec une maman qui a des points communs avec celle de « L’Immensita »…), un petit chef-d’œuvre d’émotion que nous avions tous les deux BEAUCOUP aimé.
« L’Immensita » ne plaira pas à tout le monde. Il y a 2 sujets dans ce film (dont un qui pourrait déranger) et la mise en scène, comme dans « Respiro », est « particulière ». En dehors de la présence et du talent incroyables de Penélope Cruz, qui est presque de tous les plans, c’est justement la mise en scène qui a le plus plu à JM, alors que Marina, était beaucoup plus circonspecte à son sujet.
Marina lui a donné ❤️❤️,9 et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5.
_______________________________
Ci-dessous, la critique qui rejoint le plus ce que nous avons pensé du film, Marina est d’accord sur beaucoup de points, sauf qu’elle a été déroutée par certains parti-pris du réalisateur.
Une Penélope Cruz en état de grâce…
De l’air. Elle étouffe. Son mari l’ennuie. Dans la Rome des années 1970, Clara élève ses trois enfants avec un courage de petit soldat. La fille aînée est un garçon manqué. On disait ça comme ça, à l’époque. À 12 ans, Adriana préfère qu’on l’appelle Andrea. L’adolescente mal dans une peau qui n’est pas la sienne pense venir d’une autre galaxie. Elle mange des hosties et espère un miracle - on soupçonne lequel. La mère de famille a un côté fantasque. Le moindre 45-tours la propulse dans une danse effrénée, à la grande joie de ses enfants. Cette femme brisée incarne une liberté dont elle est privée. En face de l’immeuble, il y a un champ de roseaux.
Derrière se cache un campement de Gitans. Adri sympathise avec ces voisins étranges. Cela la change de son école de bonnes sœurs. Le père ne voit rien de ce qui arrive autour de lui. Évidemment, ce balourd de Felice refuse de divorcer. La tribu roule dans une DS décapotable bordeaux. Les vacances se déroulent au bord de la mer. Grandir n’est jamais simple. Pour la gamine, cela se révèle un parcours du combattant. Son secret la dévore de l’intérieur. Sa différence saute aux yeux. On l’admet sans protester. L’émotion passe. On assiste à une suite de croquis justes et rapides.
C’est l’âge des parties de colin-maillard. Un dîner de réveillon crée la gêne. Le jeune frère fait caca dans le couloir de l’appartement garni de moquette. Les crises d’asthme surviennent au pire moment. Comment oublier cet après-midi où tout le monde était allé à une séance du « Docteur Jivago » ? Le film fourmille de détails vrais, d’événements qu’on croyait uniques. Les décors rappellent cette période où les couleurs étaient orangées, où les photos avaient du grain, où l’on collait son œil aux microscopes durant les cours de sciences naturelles.
Il y a de la gravité, un soupçon de colère, un désenchantement diffus. Rien n’est saisi de trop près. Voilà la bonne distance. Le caractère autobiographique ne semble guère douteux. Penélope Cruz est en état de grâce. On ne la reconnaît plus. D’abord, elle parle italien. De telles métamorphoses sont rares. Dans ses robes Fiorucci, elle est menue, tonique, boudeuse, déchaînée. Il faut regarder comment elle imite Patty Pravo ou singe Adriano Celentano devant la télévision. Elle a la rage d’une Anna Magnani, le sourire de Sophia Loren, l’humour de Monica Vitti. C’est comme si elle envoyait valdinguer tout Almodovar. Le dépaysement lui a réussi. Elle mérite tous les prix. Qu’Emanuele Crialese en soit ici remercié. « L’Immensita » est un film qui chante. Il s’agit d’une chanson triste.
(Source : « la critique d’Eric Neuhoff *, écrivain et journaliste au Figaro »)
* Eric Neuhoff est le critique cinéma préféré de notre amie Marie-Ange (T.)
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etadieusansadieu · 1 year
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12 Décembre 2022 - 16:21
Ma vie est un paradoxe général, la logique n’en fait en rien partie intégrante. Je suis étrangement attachée à un passé que je regrette, et détachée d’un futur que j’attends avec impatience. Comment est-ce que cela peut-être possible ?
Comment réussir à regretter une partie de ma vie qui, jadis était aussi belle que douloureuse ? Les photos n’aident pas à la nostalgie, des rafales d’amour, un corps sculpté, des amis… Aujourd’hui est néanmoins, dans le fond, tellement mieux et tellement plus riche, que me vient la raison directement après ce moment de souvenirs.
Ma fille, mon mari, mes joyaux dans ce monde rempli de terre et d’obscurité. Tout me semble être merveilleux lorsqu’ils sont pres de moi, ce qui confirme bien que je ne suis rien sans eux. Alors peut-être n’est-ce pas une façon de penser qui plaise aux plus cartesiens, aux gens libres et aux gens qui s’aiment. Mais moi, je ne m’aime qu’à travers leur amour. Et je crois que ça me convient.
Je sais que je m’aimerais un peu plus si j’accomplissais plus de choses. Si j’arrivais à rapporter de l’argent, des histoires, du travail dans mes dialogues avec mon mari. Si j’étais plus ambitieuse et plus motivée à obtenir tout ce que je souhaite réellement obtenir. Je ne sais pas vraiment pourquoi je n’arrive jamais à mes fins, pourquoi la procrastination prend le dessus sur tout. C’est un handicap réel dont je souffre, cette procastination. Car je le ferai demain, oui. Mais un jour il n’y aura plus de demain, et c’était ce jour là qu’il fallait que je m’accomplisse.
Mon Dieu, Toi qui me connait si bien. Qui voit tout, sait tout de moi et du monde. Que me manque t-il pour enfin y parvenir ? J’ai la volonté mais pas la force. Encore un paradoxe. J’en brûle d’envie jusqu’à parfois en pleurer, en rever, prevoir et commencer. Rien n’a jamais de fin avec moi. Jusqu’à quand ? Pourquoi ? J’ai besoin d’aide ! J’ai besoin de savoir être une femme mais jusqu’au bout.
Pour Hannoucah, offre moi ça.
Offre moi l’opportunité de commencer à m’accomplir cette année. De devenir une femme, une vraie. Offre moi le goût de l’ambition mais surtout de l’effort, et offre moi la rage de vaincre et d’y arriver, peu importe quel travail cela nécessite. Banis de ma vie le « je le ferai demain » et offre moi le « je réussirai, très vite ». Ton aide m’est précieuse, dans tout et pour tout j’ai besoin de ressentir que Tu es pres de moi, que je ne me trompe pas de vivre pour Toi et que chaque fois un peu plus, je devienne une meilleure personne grâce à Toi. Et j’y crois tellement, que j’ai besoin que tu me sauves de la noirceur qui m’entoure. Je vois qu’elle s’estompe grâce à Toi, qu’en rien elle n’est la même qu’elle pu l’être il n’y a pas si longtemps, mais si chaque jour Tu m’offres la force de m’accomplir un peu plus, elle disparaîtra pour toujours, et je serai -enfin- une femme comblée de bonheur.
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srovatz · 1 year
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Depuis 2005 / 42 min / Drame, Médical Créée par Shonda Rhimes Avec Ellen Pompeo, Patrick Dempsey, Chandra Wilson Nationalité U.S.A.
Meredith Grey, fille d'un chirurgien très réputé, commence son internat de première année en médecine chirurgicale dans un hôpital de Seattle. La jeune femme s'efforce de maintenir de bonnes relations avec ses camarades internes, mais dans ce métier difficile la compétition fait rage...
Émission de télévision Une émission de télévision - ou simplement une émission de télévision - est tout contenu produit pour être visionné sur un téléviseur qui peut être diffusé en direct, par satellite ou par câble, à l'exclusion des dernières nouvelles, des publicités ou des bandes-annonces qui sont généralement placées entre les émissions. Les émissions de télévision sont le plus souvent programmées pour être diffusées bien à l'avance et apparaissent sur des guides électroniques ou d'autres listes de télévision, mais les services de streaming les rendent souvent disponibles pour être visionnées à tout moment. Le contenu d'une émission de télévision peut être produit avec différentes méthodologies telles que des émissions de variétés enregistrées émanant d'une scène de studio de télévision, de l'animation ou une variété de productions cinématographiques allant des films aux séries. Les émissions qui ne sont pas produites sur une scène de studio de télévision sont généralement contractées ou autorisées à être réalisées par des sociétés de production appropriées.
Les émissions de télévision peuvent être visionnées en direct (en temps réel), être enregistrées sur une vidéo domestique, un enregistreur vidéo numérique pour une visualisation ultérieure, être visionnées à la demande via un décodeur ou diffusées en continu sur Internet.
Une émission de télévision est également appelée programme de télévision ( anglais britannique : programme ), surtout s'il lui manque une structure narrative.
Aux États-Unis et au Canada, une série télévisée est généralement diffusée en épisodes qui suivent un récit et sont généralement divisés en saisons. Au Royaume-Uni, une série télévisée est une série annuelle ou semestrielle de nouveaux épisodes. (En effet, une "série" au Royaume-Uni est la même qu'une "saison" aux États-Unis et au Canada.)
Une petite collection d'épisodes peut également être appelée une série limitée ou une mini-série. Une collection unique d'épisodes peut être appelée « spécial télévisé » ou série limitée. Un film (également connu sous le nom de film) pour la télévision est initialement diffusé en tant que tel plutôt que directement sur vidéo ou sur grand écran traditionnel.
Histoire Les premières émissions de télévision étaient des émissions expérimentales et sporadiques visibles uniquement à une très courte distance de la tour de diffusion à partir des années 1930. Des événements télévisés tels que les Jeux olympiques d'été de 19319 en Allemagne, le couronnement du roi George VI en 1937 au Royaume-Uni et la célèbre introduction de David Sarnoff à l'Exposition universelle de New York en 1939 aux États-Unis ont stimulé la croissance du média, mais la Seconde Guerre mondiale a mis un arrêt du développement jusqu'après la guerre. La série mondiale de 1947 a inspiré de nombreux Américains à acheter leur premier téléviseur, puis en 1948, la populaire émission de radio Texaco Star Theatre a fait le pas et est devenue la première émission de variétés télévisée hebdomadaire, ce qui a valu à l'animateur Milton Berle le nom de "Mr Television", démontrant que le média était une forme de divertissement stable et moderne qui pouvait attirer les annonceurs. La première émission télévisée nationale en direct aux États-Unis a eu lieu le 4 septembre 1951, lorsque le discours du président Harry Truman à la conférence du traité de paix japonais à San Francisco a été transmis sur le système de relais radio par câble et micro-ondes transcontinental d'AT&T aux stations de diffusion des marchés locaux. 1][2][3]
La première émission nationale en couleur (le Tournament of Roses Parade de 1954) aux États-Unis a eu lieu le 1er janvier 1954. Au cours des dix années suivantes, la plupart des émissions du réseau et presque toutes les émissions locales ont continué à être en noir et blanc. Une transition de couleur a été annoncée pour l'automne 19195, au cours de laquelle plus de la moitié de toute la programmation aux heures de grande écoute du réseau serait diffusée en couleur. La première saison aux heures de grande écoute tout en couleur est arrivée un an plus tard. En 1972, la dernière résistance parmi les émissions de réseau de jour converties en couleur, résultant en la première saison de réseau entièrement en couleur.
Vous trouverez ici toutes les séries télévisées et tous les films que vous pouvez diffuser en ligne, y compris les séries diffusées aujourd'hui. Si vous vous demandez ce que vous pouvez voir sur ce site, sachez que ce sont des genres qui incluent le crime, le théâtre, le mystère, les séries et les spectacles d'action et d'aventure. Merci beaucoup. Nous disons à tous ceux qui aiment nous accepter comme nouvelles ou informations sur le calendrier de la saison, les épisodes et comment vous regardez vos émissions de télévision préférées. J'espère que nous pourrons être le meilleur partenaire pour vous de trouver des recommandations pour une émission de télévision de différents pays à travers le monde. C'est tout de nous, salutations!
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mekanikaltrifle · 3 years
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“Dismal View”
Frey isn’t a bad person by any stretch, but she struggles with her vampirism more and more now that she’s alone. Unlife is that bit harder to navigate when you’ve no way to socially reflect on it; since as a former human, she is and always will be a social animal, however much it’d be easier if she wasn’t.
Down these lonely paths, she comes to conclusions-- vampires are hell on earth. One of these nights she’s going to have had too much of their shit, and then? Who knows. But it won’t be pretty.
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