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indianaclems · 2 years
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Raya : sommeone said food ???🤤🤩
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streamingvfsblog · 3 years
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SYNOPSIS ET DÉTAILS Bruce Wayne est déterminé à faire en sorte que le sacrifice ultime de Superman ne soit pas vain; pour cela, avec l'aide de Diana Prince, il met en place un plan pour recruter une équipe de métahumains afin de protéger le monde d'une menace apocalyptique imminente. La tâche s'avère plus difficile que Bruce ne l'imaginait, car chacune des recrues doit faire face aux démons de son passé et les surpasser pour se rassembler et former une ligue de héros sans précédent. Désormais unis, Batman, Wonder Woman, Aquaman, Cyborg et Flash réussiront-ils à sauver la planète de Steppenwolf, DeSaad, Darkseid et de leurs terribles intentions ?
18 mars 2021 / 4h 02min / Fantastique, Action, Aventure De Zack Snyder Avec Ben Affleck, Henry Cavill, Gal Gadot
Raya et le dernier dragon : tout ce qu’il faut savoir sur la nouvelle version du film Deux heures pour la version cinéma, quatre heures pour le Snyder Cut (découpé en six parties, plus un épilogue) : Justice League déborde sans surprise de scènes rajoutées, rallongées, modifiées, remontées, et bien sûr retirées. Beaucoup de mauvaises choses ont été coupées, beaucoup de scènes attendues (et vues dans la promo en 2017) sont revenues, et beaucoup d'éléments nouveaux rectifient le tir dans l'intrigue. De quoi transformer un film médiocre en grande réussite ? Non.
Zack Snyder et le studio n'ont pourtant pas lésiné sur les moyens pour recoller les morceaux (70 millions pour reprendre la post-production et tourner quelques nouvelles scènes, sur un budget estimé à 300 millions pour la version cinéma). Mais Raya et le dernier dragon garde les cicatrices d'une bataille perdue d'avance, et d'une défaite programmée. Entre le projet d'origine d'un Justice League en deux parties, et l'ambition affichée dans le Snyder Cut d'un univers étendu rangé depuis au placard, cette version longue devrait donner autant de raisons de se réjouir que de se lamenter.
Car tout n'a pas été sauvé dans le chantier de cette version longue, qui restera comme un cas d'école. L'intrigue des Boîtes-mères reste très plate, malgré un Steppenwolf moins transparent et débilos. Le scénario ne brille toujours pas par sa subtilité, malgré pas mal de problèmes réglés. Les personnages sont globalement sous-exploités, même si la réparation de Cyborg rééquilibre les choses. La direction artistique a été harmonisée, mais il y a des effets visuels et choix musicaux qui laissent songeurs. Il y a moins d'humour et plus de gravité, mais il y a encore des moments qui prêtent à sourire ou lever les yeux au ciel.
Raya et le dernier dragon est-il moins pire, ou véritablement mieux que Justice League version cinéma ? C'est la question qui plane sur ces quatre longues heures, et pas sûr que la réponse soit celle espérée.
QU’EST-CE QUE LA SNYDER CUT DE JUSTICE LEAGUE ? À l’origine de la Snyder Cut, on retrouve une campagne de lobbying orchestrée par des fans, et soutenue par les acteurs de Justice League pour obtenir réparation après la sortie en salle du film. En l’occurence : le Justice League tel que l’avait imaginé Zack Snyder, et pas celui rafistolé par Joss Whedon à la demande de Warner Bros.. Mieux, le réalisateur a obtenu une enveloppe de quelques millions de dollars pour tourner de nouvelles scènes et affirmer un peu plus sa vision (plus de 70 millions de dollars selon Screen Rant, soit un budget énorme pour une version Director’s Cut).
À l’origine, Raya et le dernier dragon devait être découpé en quatre portions d’une heure. Ce format a finalement été abandonné et c’est bien un (très) long métrage de quatre heures qui sera proposé aux spectateurs. Un record pour un film de superhéros.
QUELS SONT LES PRINCIPAUX CHANGEMENTS INTÉGRÉS PAR LA SNYDER CUT DE JUSTICE LEAGUE ? Les quelques images de Raya et le dernier dragon confirment qu’il n’aura rien à voir avec le Justice League original, hormis peut-être sur les bases de l’intrigue. La version de Joss Whedon aborde les enjeux avec un ton plus léger, là où Zack Snyder entend offrir un souffle divin, quasi mythologique, à l’alliance entre Batman, Superman, Wonder Woman, Flash, Cyborg et Aquaman. Le blockbuster sera plus sombre et plus violent, avec des affrontements qui devraient gagner en fureur et en intensité.
Autre changement de taille, Raya et le dernier dragon va intégrer l’antagoniste Darkseid à l’équation. Dans le Justice League de Joss Whedon, il est à peine mentionné et les superhéros doivent combattre Steppenwolf, un lieutenant d’Apokolips qui sera dans la version de Snyder aux côtés de DeSaad. Dans l’univers DC Comics, il n’est pas interdit de penser que Darkseid est l’équivalent de Thanos chez Marvel — c’est dire la tâche qui attend les justiciers.
Par ailleurs, l’intrigue devrait se recentrer sur certains personnages très mal mis en avant. Par exemple, Cyborg sera beaucoup plus important dans l’histoire.
CRI DU CŒUR Raya et le dernier dragon démarre sur un cri de douleur qui résonne à travers la planète : celui de Superman à la fin de Batman v Superman : L’Aube de la justice. Cette vague donne la première note mélancolique d'un film qui, cette fois, assume plus simplement la noirceur de la situation. L'Homme d'Acier a disparu et avec lui, une certaine idée de l'espoir s'est envolée. Ce désespoir ronge Lois et Martha, motive Bruce à réparer ses erreurs, et ouvre une brèche pour Steppenwolf : sans kryptonien à l'horizon, sans union entre les peuples et les héros, l'émissaire de Darkseid a un boulevard pour terrasser la Terre.
Dans les meilleurs moments, Zack Snyder s'attarde sur la tristesse de ce monde. Dans un simple effet de montage qui relie un chant islandais mélancolique à un silence de Martha, ou dans un frisson collectif lorsque le plan des méchants touche à sa funeste fin, il installe un univers entier, et connecte des points un peu partout sur le globe pour créer une symphonie entre ces personnages, humains ou surhumains. C'est la solitude qui les relie (ils sont tous orphelins ou presque, au fond), et c'est elle qui doit être vaincue pour affronter Steppenwolf (les inévitables tensions dans le groupe, malheureusement à peine plus creusées ici).
Si la durée de ce Snyder Cut pourra largement être remise en question, elle permet ainsi une chose trop rare dans ce type de programme : s'arrêter sur des regards et des visages, pour laisser un peu d'espace aux silences.
Au jeu des bonus, Cyborg est évidemment le grand gagnant de la version longue. De carrosserie de luxe encombrante, il passe à personnage à part entière, avec un passé, un présent et un futur contrarié. Au-delà du flashback attendu sur le terrain de football sous la neige, Victor Stone gagne une dimension humaine grâce à sa rage et sa douleur. L'étendue dangereuse de ses pouvoirs est explicitée, tout comme sa relation avec son père.
Et Silas Stone, incarné par Joe Morton, est largement remis sur le devant de la scène dans le Snyder Cut : le père du héros a un rôle majeur dans l'intrigue, ce qui permet de rectifier au moins une aberration de la version cinéma.
Steppenwolf est l'autre vainqueur de la version longue. Le vilain n'a pas simplement gagné un relooking ferrailleux pour habiller sa tronche de cake à moitié cuit (qui reste bien là) : il a désormais une identité, et une autre dimension que celle du guignol de série B, avec même quelques babioles pour avoir plus de caractère. L'oncle de Darkseid dans les comics est encore trop générique pour marquer les mémoires, mais il a au moins une raison d'exister dans Justice League. Il gagne des motivations plus personnelles (qui passent largement par des conférences Zoom avec la dimension des enfers), et a droit à un climax digne de ce nom pour remplacer l'odieux sketch de la version cinéma.
Du côté des héros Batman, Wonder Woman et Aquaman, rien de très notable hormis quelques répliques nouvelles. Flash a droit à des changements plus notables, et pas juste avec le personnage d'Iris, interprété par Kiersey Clemons : pas mal de petites choses qui accentuaient son inexpérience ont été retirées, et surtout il a un rôle différent dans plusieurs moments-clés.
Superman, lui, devra se contenter d'un lissage. Hormis son joli costume noir, le super-héros reste en arrière-plan, et bénéficie surtout de quelques mauvaises scènes en moins. Plus sobre, plus simple, plus efficace.
L'HISTOIRE SANS FINESSE Mais même rafistolé avec des rustines de tous les côtés, le scénario reste un problème. Cette histoire de Boîtes-mères que les héros doivent protéger, et que les méchants doivent voler, avance sur un chemin trop classique et tranquille pour réellement emballer. Malgré quelques gros changements et ajouts (notamment dans le climax), cette partie de l'aventure reste la moins excitante. La formule a les mêmes limites qu'avec Avengers : Infinity War (les gentils veulent protéger les Pierres d'infinité, Thanos veut les récupérer).
Entre ces étapes, Zack Snyder empile les scènes autour des héros : Aquaman célébré par la population locale, Barry qui sauve Iris, Mera qui se défend bien contre Steppenwolf, ou encore l'apparition d'un autre super-héros classique de DC. Mais trop souvent, il y a la sensation que tout ça ne sert pas le film dans sa globalité. Comme si ces parties étaient d'abord des bonus et des cadeaux (plus d'action, plus sur les personnages, plus de visions apocalyptiques), avant d'être les parties d'un récit.
Zack Snyder abuse en plus des flashbacks, posés comme de gros pavés dans le film. Un long cours d'histoire de Diana à Bruce avec une voix off théâtrale, un long flashback sur le passé de Victor et un autre sur les origines d'une Boîte-mère offrent une foule de détails et d'images fortes, mais sans toujours servir le dessein global. Que le film montre deux accidents de voiture, aussi ordinaires l'un que l'autre, donne l'impression que les parties ont été collées les unes après les autres, et rien de plus.
Ce sentiment de non-harmonie est accentué (ou assumé) par le découpage en chapitre, mais aussi par l'humour. Car Joss Whedon ou pas, Justice League a une part de légèreté particulièrement lourde. Barry qui va déposer un CV et récupère une saucisse en plein moment héroïque, Bruce qui frôle la main de Diana en prenant la souris de son super-ordi, Alfred qui panique en voyant Diana se préparer un thé, le scientifique qui raconte une blague sur son érection le soir du bal de promo, sans oublier un paquet de répliques gardées de la version cinéma (notamment avec Flash) : la drôlerie est en place, souvent pour le pire - et parfois dans des endroits inattendus, comme avec un placement de produit Mercedes quasi parodique.
Enfin, le film n'évite pas les pires écueils du genre. Plusieurs personnages ont des problèmes avec papa ou maman lourdement explicités pour leur donner un peu de consistances, et beaucoup de scènes sont écrites à la truelle (notamment la niaiserie de Wonder Woman et la colère “Fuck the world” de Cyborg). Réécrit ou pas, Justice League reste globalement dans le moyen.
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indianaclems · 3 years
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English version :
Namaari : Mother, I'm rayasexual
Virana : Hello, Rayasexual
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indianaclems · 3 years
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indianaclems · 3 years
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English version :
Namaari : Mother I'm rayasexual, you're sure we can't leave her alive?
Virana : My morning mist, we are in a Disney, we will never let you assume your homosexuality and have a sweet love relationship.
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indianaclems · 3 years
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indianaclems · 2 years
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🇬🇧v.en
Namaari and Raya have had a long day, and are happy to be able to rest. When they enter the room they discover a ball under the flag of the now unmade bed. Raya points to little feet sticking out of the curtain. It's hard for both women not to laugh. After a knowing look at his wife, Namaari approaches his prey, with no serlots.
Raya: It's a hard day đẹp lạ, I'm happy to be able to go to bed, all like our children, they're lucky to be already asleep. She said very loudly.
The ball under the sheets then starts to giggle and move. And the curtain trembled. Raya makes a mental note to teach them stealth and learn to find better hiding places...
Namaari and Raya are now next to their prey, taking one last look at each other to silently coordinate their attack.
Namaari throws herself like a feline on the "ball" while Raya pulls the curtain.
Her two-year-old son blench and pouts.
Long: My how you found me ?
Raya: You still have some progress to make, little dragons, she said, showing him protruding feet.
Long suddenly has a sparkle in his eyes that Raya knows only too well, and before he can even start running around, his mother grabs him non-chalantly and throws him like a sack of rice on the fluffy bed and bouncing next to his sister who was being tickled by their other mother, Nur struggling without success and crying with laughter. Long barely had time to straighten up to see his mother above him reserving the same fate for him.
In the corridor two guards smiled at the hearty bursts of laughter that emanated from the royal room, obviously the two future leaders were perhaps not that tired or perhaps it was the love they had for their children that still gave energy.
🇨🇵 vf
Namaari et Raya ont eu une longue journée, et sont contentes de pouvoir allée se reposer. En entrant dans la chambre elles découvre une boule sous le drapeau du lit désormais défait. Raya pointe des petits pieds qui dépasse du rideau. Il est difficile pour les deux femmes de ne pas rire. Après un regard complices sa femme, Namaari s'approche de sa proie, à pas de serlots.
Raya : Qu'elle dure journée đẹp lạ, je suis contente de pouvoir me coucher, tous comme nos enfants, ils en ont de la chance de déjà dormir. Dit-elle bien fort.
La boule sous les draps se met alors à glousser et bouger. Et le rideau a trembler. Raya note mentalement de leur apprendre la discrétion et à apprendre à trouver de meilleures cachettes ...
Namaari et Raya sont désormais à côté de leur proie elles se jettent un dernier coup d'œil pour coordonner silencieusement leur attaque.
Namaari se jette comme un félin sur la "boule" tandis que Raya tire le rideau.
Son fils de de deux ans, sursaute et fait la moue.
Long : Ma, comment tu m'as trouvé?
Raya : Tu as encore des progrès à faire petit dragons, dit-elle en lui montrant ses pieds qui dépassent.
Long à tout un coup une étincelle dans le regard que Raya ne connais que trop bien, et avant même qu'il ne puisse commencer à courir partout, sa mère l'attrape non-chalement pour le jeter comme un vulgaire sac de riz sur le lit moelleux, rebondissant à côté de sa soeur qui était attaquée de chatouilles par leur autre mère, Nur se débattant en vain et pleurant de rire Long eu a peine le temps de se redresser pour voir sa mère au dessus de lui lui réservant le même sort.
Dans le couloir deux gardes souriaient aux éclats de rire chaleureux qui émanant de la chambre royale, visiblement les deux futures cheffes n'étaient peut être pas si fatiguées que cela ou peut être était ce l'amour qu'elles portaient à leurs enfants qui leur donnait encore de l'énergie.
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