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#rentrée des classes
fidjiefidjie · 8 months
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Bon Jour 💙✒️ 📖 💙
Renaud 🎶 Les mots
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littlefrenchsims · 7 months
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Monday September 4, 2023 🪻
It's back to school! And not least, Maribel's first return to school.
Early this morning, finally at 7:50 a.m. we set out for 30 minutes of walking/strolling, for this first return to school.
Maribel; looking forward to being there, a little bit of stress when she saw all the children and their parents arriving in front of the school gate. 🏫
But she moved forward without looking back and without fear, arriving in front of the classroom door, she gave me a kiss, after asking for it, and left without looking back towards the other children. 👧
Robyn; ah baby Robyn, very good throughout the journey, on the way there asleep, on the way back smiling, she looked at the landscape around her laughing. Big round eyes when she heard the world around her, she felt out of place. 😤
Me; what can I say 😆 more stress than Maribel, the stress of the organization, of the road, of the behavior of her and Robyn.
Arrive and see all his parents, tears in his eyes were present because I would have liked to share this with my other half, unfortunately Batman was at work, present in thought and behind the messages.
I knew we would go together to pick up Maribel in the evening, but a little feeling ached in my heart. More tears appeared when I saw my little red head enter the classroom and the door close behind her. 🫣
A feeling of pride finally appeared. Maribel does it without crying, Robyn is the perfect baby, a loving man who supported and encouraged me, and I did it, I managed to accompany her. 👨‍👩‍👧‍👦
Lundi 4 Septembre 2023 🪻
C'est la rentrée ! Et pas des moindres , la première rentrée de Maribel .
Tôt ce matin, enfin à 7h50 nous nous sommes mise en route pour 30 minutes de marche / poussette , pour cette première rentrée.
Maribel ; hâte d'y être, petit coup de stress quand elle a vu tous les enfants ainsi que leurs parents arrivaient devant la grille de l'école. 🏫
Mais elle avançait sans se retourner et sans peur , arrivé devant la porte de la classe , elle m'a fait un bisous, après l'avoir réclamer, et est parti sans se retourner vers les autres enfants . 👧
Robyn; ah bébé Robyn, très sage sur tout le trajets, à l'allée endormi ,au retour souriante , elle regardait le paysage autour d'elle en rigolant . De grands yeux ronds quand elle a entendu le monde autour d'elle, elle ne se sentait pas à sa place . 😤
Moi ; que dire 😆 plus de stress que Maribel , le stress de l'organisation, de la route , du comportement d'elle et Robyn .
Arriver et voyons tous ses parents , les larmes aux yeux étaient présente parce que j'aurais aimé partager ça avec ma moitié, malheureusement Batman était au travail, présent par la pensée et derrière les messages. Je savais qu'on irait ensemble chercher Maribel le soir mais un petit coup au cœur s'est manifesté.
D'autres larmes sont apparut quand j'ai vu ma petite tête rousse entrer dans la classe et la porte se refermer derrière elle . 🫣
Un sentiment de fierté à finalement fait son apparition .
Maribel la fait sans pleure, Robyn est le bébé parfait , un homme aimant qui m'a soutenue et encouragé, et moi je l'ai fais, j'ai réussi à l'accompagner . 👨‍👩‍👧‍👦
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presslakay · 7 months
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Éducation | Une rentrée scolaire perturbée malgré les “mesures” prises par le MENFP
Depuis le lundi 11 septembre, la rentrée scolaire a eu lieu mais sans doute pas comme l’avait tant prônée le ministre de l’éducation Nationale, Dr Nesmy Manigat. Avec très peu d’élèves dans les rues de la capitale pour le peu d’établissements scolaires qui ont ouvert leurs portes, cette année académique ne sera pas différente comme les précédentes et ce, malgré les “mesures” qu’avaient annoncées…
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fredandrieu · 2 years
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Jacques Nicolaou
Septembre 1978
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yoga-renaissance · 8 months
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Conseils pour une rentrée et un retour au travail sans stress
Il y a un peu plus d’un mois, je vous ai sollicité à travers un évènement interbloggeur sur le thème du « Retour au travail sans stress ». En effet, la rentrée approche et cela est souvent synonyme de tensions accrues pour toutes les personnes proches de l’épuisement professionnel, celles qui se sentent prêtes à reprendre ou tout simplement, les personnes de nature anxieuse. Quel que soit votre…
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netalkolemedia · 1 year
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Ministè edikasyon nasyonal prezante yon kalandriye remanye pou ane akademik 2022-2023 a
Ministè edikasyon nasyonal prezante yon kalandriye remanye pou ane akademik 2022-2023 a
Ministè Edikasyon Nasyonal ak Fòmasyon Pwofesyonèl prezante ayè vandredi 16 desanm lan yon nouvo kalandriye remanye pou ane akademik 2022-2023 a k ap kouvri mwa janvye pou rive mwa dawout ak egzamen ofisyèl yo. Parapò ak divès kriz sosyopolitik dènye mwa sa yo ki fè gwo enpak sou aktivite eskolè yo anndan peyi a, MENFP prezante yon nouvo kalandriye eskolè ki adapte ak sitiyasyon an kote anpil…
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juliette-s-diary · 2 years
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Comment ne pas préparer la rentrée !
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juno7haiti · 2 years
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Collectif Catherine Flon et Fanm Angaje Pou Ayiti apportent leur soutien aux parents pour la rentrée des classes
Collectif Catherine Flon et Fanm Angaje Pou Ayiti apportent leur soutien aux parents pour la rentrée des classes.- #Juno7 #J7Sep2022
Des organisations féminines dont le Collectif Catherine Flon, Fanm Reveye et Fanm Angaje Pou Ayiti apportent leur solidarité aux parents à l’occasion de la rentrée des classes. Les organisations Collectif Catherine Flon, Fanm Reveye et Fanm Angaje Pou Ayiti ont organisé ce samedi 3 septembre 2022, à Delmas 75, une activité pour des enfants et femmes à l’occasion de la rentrée des classes pour…
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plexussolaire · 8 months
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Détresse d'une bonne prof
31.08.2023
Cette année, c’est ma cinquième rentrée.
Je suis arrivée en 2019 en tant que professeure de français. Je ne pense pas avoir fait le mauvais choix, en passant ce concours et en faisant ce métier. Les débuts ont été effrayants et difficiles, faute de formation convenable. Je suis tombée sur des classes compliquées dès la première année, et puis il y a eu le covid. J’ai longtemps eu peur de ne pas réussir, j’étais exigeante envers moi-même et un peu timorée pour croire en mon autorité naturelle. Mais le métier s’est fait, l’expérience s’est construite, maintenant je suis le mirador qui voit tout (ou croit tout voir), je répète en boucle les règles et les limites, les élèves m’ont dit qu’ils se sentaient bien avec moi et que j’expliquais bien. Certains trouvent mon cours intéressant, je peux leur parler sans qu’il y ait de tension et c’est déjà ça. Les petits fauteurs de trouble m’apprécient dans l’ensemble, parce que je ne les laisse pas tomber. Je suis reconnue comme une bonne prof, à mon échelle. Déjà puisque je suis pleinement là, avec toute mon énergie, avec le plaisir de chercher à donner le meilleur de ce que j’ai, et de leur montrer comme j’aime parler de littérature.
Je ne fais pas mille projets par an, je n’ai pas l’ambition de devenir inspectrice, je ne fais pas des jeux, je ne crée pas d’escape game ni ne plastifie des quizz de toutes les couleurs. Je suis vieux jeu, mais pour les petits loups que j’accompagne, parfois c’est rassurant et cadrant. Ils apprennent des choses, ils se souviennent d’informations l’année d’après pourtant très loin de leurs vies quotidiennes. Ils peuvent rire dans ma classe, ils peuvent s’exprimer, ils sont parfois remuants mais reviennent toujours au calme quand c’est nécessaire. Les ados sont différents d’il y a dix ans et je leur souhaite d’embrasser ces changements qu’on voudrait les empêcher d’incarner, sous prétexte qu’ils ne sont “plus au niveau”, et qu’on ne leur répétera jamais assez. Et puis je les aime, inconditionnellement et sans attente, et ça c’est déjà quelque chose.
Le problème c’est de dire immédiatement, comme présupposé, que ça aurait pu être un mauvais choix. Plus à aucun moment on ne parle de bon choix d’être prof. On finit prof. C’est ma cinquième rentrée demain, je vais retrouver mes collègues chouettes, ce collège que je connais faute de l’apprécier vraiment, étant donné qu’il tombe en ruine (littéralement, il penche) et sue le béton, dans un quartier moche et au milieu des cités. Je vais retrouver les élèves et faire mieux que l’année dernière. Je vais développer mes activités syndicales et apprendre plein de choses, car moi aussi j’apprends tous les jours quand je vais au collège. Je suis une vieille prof, maintenant. Je fais partie des murs, comme on dit. Mais cette année encore, je suis terrorisée.
Mais ça il faut bien que je me garde d’en parler à tout ceux qui ne sont pas prof. Personne ne regarde cela d’un bon oeil et quand on raconte ce qu’on vit vraiment au quotidien, on est juste pénibles. On se plaint alors qu’on a des vacances. On se plaint alors qu’on est fonctionnaire, et qu’on ne doit “que 18H”. J’ai commencé de préparer mes cours le 1er août. C’est un choix, je peux organiser mon travail comme je veux. Au début c’était une heure par jour, puis deux, puis trois, puisque c’est un travail infiniment long, qui demande de faire une tâche en plusieurs heures, parfois plusieurs jours, et qu’on n’est pas sûr qu’elle fonctionnera auprès des élèves. Cela fait une semaine et demi que je travaille plus de sept heures par jour. Je n’arrive pas à me rendre compte du résultat obtenu. Certaines choses vont être abandonnées, car je ne connais pas encore le profil de mes classes ou le caractère de mes élèves, leur rythme, ou leurs difficultés. J’ai peut-être deux mois de prêt. Je travaillerai pendant tous les weekend et toutes les vacances. Ce travail est invisible. Dans le privé, on vous parlerait de télétravail. Je compterai le nombre de jour de “vacances” réels que j’ai cette année, mais je pense qu’ils sont moins impressionnants que prévus, et cela avec 5 ans d’expérience et des cours un peu rodés.
Je travaille, et je ne gagne pas grand chose pour tout ce que je fais, pour la fatigue accumulée et les problèmes de santé mentale que mon travail me cause. Souvent la dernière semaine avant les vacances, je pleure. Je pleure de fatigue et de désespoir. Ça dépend des périodes, parfois c’est dès la deuxième semaine. Des fois je me contente d’arrêter de vivre et de serrer les dents en attendant les vacances. Car corriger, préparer, diriger, punir, encourager, parler, parler, écouter, consoler, répéter, parler, répéter encore, dix fois, vingt fois, s’interrompre, exiger, appeler, parler encore, et fort, toute la journée, ça brûle à petit feu toutes les réserves.
C’est le bruit surtout qui vous roule dessus. Le bruit des cris, le bruit des disputes, le bruit cours de travaux en groupe à 30, le bruit des couloirs qui résonnent, plus puissant qu’un moteur d’avion par période, le bruit de la salle des profs plein d’enseignants encore dans le flux de stress et de bruit. Le bruit des sonneries, le bruit de la ville, et tous les bruits ensuite qui vous assaillent jusque chez vous. Chaque jour, même quand vous n’avez pas la force, vous devez affronter ce bruit et parler, assurer le silence pour qu’ils soient 30 à vous écouter, du haut de votre mètre cinquante huit, dans une salle trop longue et mal prévue pour accueillir ces bruits. Parfois, dans ces salles, il fait 40°C et il n’y a pas de limite légale qui nous autorise à ne pas assurer le cours quand on sent qu’on a chaud à en vomir.
Parfois, le président nous dit qu’il faudrait qu’on revienne bosser le 20 août, donc par 40°C, avec des gosses qui se révolteront car déjà ils n’aiment pas l’école et vous êtes là pour les torturer. Parfois il nous dit qu’il faudrait bosser plus, et faire nos formations pendant les vacances et le mercredi après-midi, sans prendre en compte que l’on bosse déjà plus, depuis longtemps. Nous avons besoin du mercredi pour préparer les cours, et des formations en semaine pour faire une pause de nos élèves et apprendre à être meilleure à ce que l’on fait. On est seul dans sa classe, sans retour ni commentaires, parler en formation fait parfois du bien. Prendre du recul est essentiel.
Et puis il nous promet le pacte. Un moyen d’encadrer des actions pédagogiques que l’on fait déjà en heure supplémentaire. Comprenez bien que le plus précieux dans notre métier, c’est la liberté pédagogique que nous devons à notre statut si privilégié de fonctionnaire. Le droit de choisir comment l’on enseigne, selon une durée légale, que l’on peut augmenter moyennant des heures supplémentaires en remplaçant des collègues pendant leurs absences, afin d’assurer un suivi qui nous semble pertinent. Le pacte veut obliger les professeurs à faire ce qu’ils font déjà. Le pacte retire la liberté pédagogique. Si l’on ne remplace pas 18H d’absence de nos collègues (moyennant 36H de présence obligatoire au collège), nous ne pourront pas assurer les autres missions qui nous tiennent à coeur, et qui monteront nos heures supplémentaires bien au-delà de ce que nos corps pourront souffrir. Nous gérons notre temps, car la pédagogie demande du calme et de la clarté d’esprit. 50h supplémentaires par an, c’est subir des heures et nous mettre en colère pour le moindre mouvement de table, ou le moindre cahier oublié par mégarde. C’est briser petit à petit le lien qui nous unit aux élèves, faute d’énergie pour maintenir la confiance.
Le pacte veut nous offrir plein d’argent en échange. Mais attendez, pas trop vite. Cela dépendra de votre ancienneté, plus vous êtes ancien, moins vous aurez besoin d’argent pour vous donner l’envie de rester. On vous pousse plutôt vers la sortie. Sans compter que ce ne sont que des primes, qui ne seront pas prises en compte pour la retraite. Sans les primes REP et autres primes d’activité que je dois à mon jeune âge, je ne toucherais presque rien. En fait, dire que tous les profs seront payer 2000€ dès le début de leur carrière, reviendront à dire qu’ils seront payés pareil au bout d’un an et au bout de 8 ou 9 ans de carrière. Grâce au pacte, les dix ans de carrière vont même voir leur salaire baisser. Les mères n’auront pas cette possibilité d’avoir les primes et n’auront plus l’occasion de se former, puisque ce sera le mercredi après-midi. Pourquoi les professeurs ne veulent pas du pacte, demande Léa Salamé à Gabriel Attal sur France Inter la veille de la rentrée, et bien parce que c’est une réforme profondément injuste et méprisante.
Le plus dur de ce métier, c’est l’absence de respect. J’allais dire l’absence de reconnaissance, mais ça c’est le salaire le plus rare du système capitaliste. Depuis que j’ai commencé, il n’y a pas eu un mois, que dis-je, une semaine, sans l’annonce d’un projet menaçant qui nous promettent un avenir encore plus lugubre que le présent déjà morne et hostile. Pas une semaine sans une parole, un mépris de notre institution et de leurs gouvernants. C’est cela qui me terrorise. C’est de retourner affronter à bout de bras une situation très difficile qui repose sur la chance ou non d’avoir des élèves sympa, sans aucune chance de réussir à faire correctement mon travail, puisque je n’en ai pas les moyens matériels, (salle, matériel de qualité, salaire. En plus de cela, il faut espérer avoir une direction juste et compétente. Et cette dernière situation est très rare : on ne compte plus le nombre de cas de harcèlement ou d’abus des principaux que le pacte voudrait également rendre tout-puissants et transformer en néo-manager.
Ce qui me terrorise, c’est de retourner avaler jour après jour les directives injustes, les solutions indignes du terrain, les manques de l’institution que nous essuyons poliment sans faire de vague. Affronter cela en entendant le rejet de nos revendications au respect d’avoir un salaire qui nous permettent de supporter les mois d’inflation, qui nous permettent de retrouver un niveau de salaire, gelé depuis vingt-cinq ans, décent pour un fonctionnaire de catégorie A ayant fait 5 ans d’études. Ce qui me terrorise, c’est de voir que leurs réponses à tous les problèmes c’est d’engager sur une simple lettre de motivation et d’un CV des générations de professeurs contractuels non formés, parfois idéalistes, qui finissent par souffrir terriblement et se casser les dents, qu’on peut virer comme ça nous chante et surtout en juillet pour ne pas les payer de l’été. Mais vous comprenez, il faut bien garder les enfants pendant que les parents vont travailler, alors on a besoin de quelqu’un devant la classe pour garder les mômes. Peu importe si on lui balance des stylos ou s’il fait mordre par le petit loup autiste qui n’a plus d’AESH parce qu’il n’y a personne sur le poste et que c’est normal de le laisser au milieu de 27 neurotypiques qui se demandent pourquoi, très stressé, il pousse des cris en plein cours. Peu importe, puisque la garderie nationale est là pour ça. On voudrait juste du respect, pour nous et pour les gamins. Mais vraiment, simplement, demander la grâce de ne pas rendre notre métier plus difficile qu’il n’est et de nous foutre la paix pendant une semaine.
Quand je parle de tout cela, je suis sans cesse interrompue car il y a trop à dire et que c’est éprouvant pour celui qui écoute. Chacun a ses problèmes, et certains font semblant de comprendre, tout en méprisant un propos qu’ils jugent un petit peu abusé. Ah ces profs qui n’ont jamais été dans le privé, qui sont restés à l’école. Et puis tout le monde a son mot à dire sur la question, sur notre travail, ils sont passés par là. Ils ont été élèves, donc ils savent ce que c’est, le collège. Il y a des profs qui ne font rien vous comprenez, qui n’en foutent pas une. Une fois que tu as préparé tes cours, c’est bon t’as plus rien à faire. Tout le monde vous envie vos vacances mais pour rien au monde on ne voudrait devenir prof. C’est trop mal payé, et puis c’est horrible d’être face à des adolescents qui foutent le bordel toute la journée et ne vous respectent pas. Mais bon, vous comprenez. Vous avez beaucoup de vacances alors ne vous plaignez pas, jamais. Dire “je suis prof” ouvre la porte à tout un tas d’insanités en soirée, chez le coiffeur, partout où vous allez, je vous laisse faire l’expérience si ça vous chante.
Mais en attendant, si vous croisez un professeur, faites lui un câlin. Si vous êtes parent et que votre enfant vous en dit du bien, faites lui savoir par un petit mot. Pour l'aider, plutôt que l'enfoncer, à persévérer pour des enfants qui méritent une éducation qui les libère et leur ouvre l'esprit à d'autres horizons. Faites leur sentir qu'ils ne sont pas juste là pour garder les gosses, mais qu'ils servent à quelque chose, quand ils motivent un enfant et lui font découvrir le bonheur d'ecrire une histoire et de la lire à leurs camarades, quand ils lisent une nouvelle à chute et s'extasient des pouvoirs de la littérature. Parce que c'est gratuit. Parce que ça aide. Le moral des profs s'effondre, les congés maladie pour burn out se multiplient. Faites lui un câlin, ecoutez-le. Demain, il doit y retourner, avec son petit sac sous le bras, dire bonjour avec le sourire, faire le plus beau métier du monde que personne au monde ne voudrait faire.
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valentine1994 · 12 days
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Une semaine après le déménagement : d’un coup, comme ça, je vis avec lui. On a emménagé dans un appartement à l’aveugle, sans en avoir vu de photos avant, et maintenant on dort dans un petit lit tous les soirs, tous les deux, et le matin on se réveille dans une cuisine ensoleillée, on boit notre petit café, on déjeune, de façon pas très coordonnée, chacun de notre côté la plupart du temps, encore sous l’emprise de nos habitudes de vie tous seuls. On révise aussi chacun de notre côté, on part au travail de notre côté, notre quotidien a pas trop changé au final. Quand on a le temps, on vide les cartons, il classe nos livres, minutieusement et par ordre alphabétique. Je le vois s’impliquer à 200% dans le classement des livres, et je comprends qu’il aime travailler comme bibliothécaire. Hier, il est venu vers moi avec Le Petit Prince dans la main, l’air embêté. Il m’a demandé comment on faisait en France : c’est « D » comme De Saint-Exupéry ou « S » comme « Saint-Exupéry » ? Cet après-midi, je suis rentrée des cours et il avait fait la vaisselle, monté un meuble IKEA et m’avait fait un petit Tupperware pour le travail ce soir :o
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fidjiefidjie · 8 months
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👩‍🏫 "Separation Anxiety"
Illustration 🖍💼 🖌de George Hughes de 1948
Bel après-midi 👋
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coolvieilledentelle · 8 months
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C'est la rentrée ! Ahhh le 1er jour de classe !! Un moment intense, la rencontre avec tous les p’tits enfants qui vont partager cette année scolaire ..
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ernestinee · 7 months
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Nuit blanche. L'ado tousse depuis 15 jours. Il a raté une semaine d'école. Il a repris depuis une semaine et a été envahi d'interros. Il a encore toussé toute cette nuit, des grosses quintes de toux jusqu' à 4h et j'ai pas su m'endormir après. J'ai pas envie de le mettre à l'école ce lundi, il va être ko.
Mais ils ont eu l'excellente idée de mettre tous ses cours de sciences le même jour. Le lundi. Et il a une interro dans chaque. Du coup je réfléchis. Je l'y mets et il est ko et il rate ses interros. Je ne l'y mets pas et il doit les refaire la semaine prochaine (donc + de temps pour étudier) + se remettre en ordre sur ce qui aura été fait aujourd'hui (sans doute pas beaucoup vu qu'ils vont passer une partie du temps sur les interros). Bon je n'hésite pas trop du coup.
En plus ils font un truc insupportable chaque année fin septembre : ils changent les horaires. L'horaire était parfait et maintenant c'est un horaire de merde. Et cette année ils ont aussi changé les classes. Il était dans une classe avec les élèves de son option langues et quelques élèves d'option sciences éco. Sauf que là ils ont rassemblé les "éco" et dispersé les "langues" du coup il se retrouve tout seul dans une classe avec les sciences éco, qu'il ne connait pas et donc à qui il ne sait pas demander les feuilles pour se remettre en ordre. En plus c'est une classe absolument pas studieuse et lui il a besoin de calme pour se concentrer donc il râle. En plus c'est trop chiant pcq c'est sa dernière année dans cette école, ils vont faire des sorties scolaires et il n'en n'a rien à foutre de sortir avec eux, c'est avec ses potes qu'il veut faire des sorties. Putain j'ai pas dormi et il est 6h et je bosse et puis j'ai cirque je suis pas rentrée avant 21h30.
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carraways-son · 13 days
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Mardi
Au Japon, la rentrée des classes a lieu en avril, quand les cerisiers sont en fleur. C'est une bonne idée d'inaugurer l'année au printemps. Pour leur photo de classe, les deux kids se sont faits beaux. Ici, lilas et jasmins embaument les rues de mon quartier. Après quelques heures passées aujourd'hui en clinique, il semble bien que je sois une fois encore passé à travers le cancer ; ça me redonne soudain des ailes.
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clhook · 8 months
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Je suis allée à la réu de pré-rentrée du collège l'autre jour pour présenter à l'équipe pédagogique nos futures animations, notamment la possibilité pour les profs d'avoir une intervention d'auteur dans leur classe. À la fin un mec vient me voir, il me dit :
"vous avez des auteurs espagnols parfois ou pas du tout ?"
moi : ah généralement on a des francophones mais ça peut arriver oui
lui : ou un auteur qui parle de l'Espagne dans ses livres, peu importe
moi : oui ça peut être possible aussi
lui : parce que je suis prof d'espagnol en fait
bah merci j'avais compris lol
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aisakalegacy · 1 month
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Automne 1917, Hylewood, Canada (6/9)
Cette été, Agathon a eu sept ans et a fait sa rentrée des classes à l’école de Gan, où il a rejoint Marie. Il est très petit pour son âge, mais il démontre une belle intelligence. Il a appris tout seul à lire il y a un an, avant même de commencer l’école. Il se montre curieux et enthousiaste, et l’école publique ne semble pas lui suffire. Ma femme me supplie de l’envoyer au pensionnat avec Lucien, mais je n’en vois pas bien l’intérêt. L’école de Gan est très bien, d’ailleurs c’est son frère qui y enseigne, donc je ne vois pas bien de quoi elle se plaint. On paiera un précepteur à Agathon quand il aura douze ans, et il sera bien plus heureux ici qu’à Belleville. J’ai moi-même très bien réussi sans faire de grandes études, mon père aussi. Par ailleurs, nous n’avons pas les moyens d’envoyer tous nos enfants au pensionnat, et je préfère garder des fonds pour des éventuelles nécessités futures plutôt que les dépenser dans des études futiles qui n’auront pour but que d’épater les familles de l’île.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Jules, demain je chus pas à la mason. Je vas en ville, j’ai des commissions à fare à Kingston. Maria demande un gaufrier et un grille-pain. Jules Le Bris : Cela me parait être des gadgets superflus. Aucune bonne n’en a jamais eu besoin avant, comment faisaient-elles ? Agathon Le Bris : Papa, c’est où le désert de Libye ? Eugénie Le Bris : Agathon, Papa et Maman sont en train de parler. Jules Le Bris : C’est en Afrique du Nord, à l’ouest l’Egypte. C’est là que je fais mes fouilles. Agathon Le Bris : Tu vas y retourner bientôt ? Jules Le Bris : Je vais bien finir par y retourner, oui. Eugénie Le Bris : … Jules Le Bris : … Mais pas tout de suite ! On va d’abord attendre que le bébé soit né. Et puis, avec ma jambe, c’est compliqué. Agathon Le Bris : Tu m’emmèneras ? Jules Le Bris : Peut-être, oui, mais il va falloir que tu grandisses un peu davantage avant. Agathon Le Bris : Et on verra Orion ? Jules Le Bris : Orion, et bien d’autres qu’on ne peut voir qu’au sud, comme le Toucan, le Phénix et le Paon. Marie Le Bris : Pourquoi tu connais toutes ces étoiles ? Jules Le Bris : Ces constellations, Marie. Il est nécessaire de les connaître pour se repérer quand on est dans le désert ou au milieu de l’Arctique. Mais bien sûr, ici, ça ne sert à rien…
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