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#s'envoyer en l'air
grandboute · 1 year
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Learning to fly - s'envoyer en l'air
Surfing spirit !
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lemondeabicyclette · 11 months
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⚡ Près de 5 millions de personnes étaient dans le ciel en même temps, selon Flightradar24. Le service de suivi des vols a enregistré un nombre record de 22 000 vols à un moment donné le 26 mai.
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gravehags · 3 months
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for the last two weeks there's been some italian dude haunting my tiktok fyp having a breakdown about how utterly nonsensical french slang is and to me it's basically copia if someone me told him there's like 30 more or less convoluted ways to say you're making love in that fucking language (my personal favorites being 's'envoyer en l'air' and 'tringler' because they're kinda underrated)
-unhinged family anon
honestly copia would have a breakdown about that like using a different word every time you’re talking about it would make the poor man insane
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thierryguimard · 10 months
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Près à s'envoyer en l'air
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semena--mertvykh · 7 months
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Le nom-du-père
1.
J'appréhende la délivrance du jury de fin d'année, son affreux décalage si instructif et déroutant et plein de dérision, chacun convoyant son propre espace-temps, chacun avec son poids d'affects sur la table : toi qui reviens de l'autre bout de l'univers, avec toute la poussière des espaces interstellaires sur ton sac à dos et tes dix mois sans dormir sur les paupières - et ta galaxie d'émotions qui a condensé le vécu d'un siècle dans une seule année, faisant de toi une balise folle qui s'est mise à émettre tous azimuts
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et lui, pour qui tu es juste un nom sur une liste.
Qui pense à son problème de livebox, ou à réserver un week-end avec son cher et tendre pour fêter la nomination d'icelui et leur installation ensemble.
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Et la possibilité qu'au moment où ils faisaient leurs cartons en se roulant des pelles, puis qu'ils baptisaient frénétiquement chaque pièce de leur petit nid d'amour, mon père délirait sous morphine et ne me reconnaissait plus et me demandait très courtoisement : "S'il vous plaît, pouvez-vous m'aider ?" parce qu'il s'était renversé du lait malté sur lui - des petites bouteilles que je lui ramenais parce qu'il n'arrivait plus à prendre autre chose - et sa joue était maculée de sang séché parce qu'en essayant de se redresser, il s'était arraché sa perfusion, et j'avais du mal à respirer hébétée de chaleur et de chagrin sur le parking de l'hôpital de Longjumeau, et le soleil se couchait derrière les peupliers de la moche cité HLM adjacente, et tout l'univers suffoquait de concert en se demandant comment j'allais faire pour reprendre la route, comment j'allais faire pour rentrer, comment j'allais faire pour continuer à vivre normalement - oui, cette perspective de eux deux s'envoyant en l'air ivres de prospérité au pire moment de mon existence adulte - laquelle a pourtant connu plus d'abysses que de sommets - a quelque chose d'hilarant vu d'une certaine distance. Les dieux doivent bien s'amuser avec nos espoirs, çà c'est c'est sûr.
2.
Tout est devenu circulaire et cohérent, cohérent comme la vie n'est jamais, tout, le deuil de l'université, qui est l'adieu à Sexy, qui porte la mort du père, laquelle n'aboutit qu'au renoncement à la vocation, qui mène au mauvais sort maternel, et on reprend tout depuis le début comme une révolution.
Éberluée devant cette nouvelle réalité que je n'arrive tout simplement pas à intégrer : un univers où mon père n'est plus là.
Pour le deuil je ne dépasse pas le stade de l'animal domestique, je continue à guetter le pas de l'autre dans l'escalier, mois après mois après mois après mois, sans me décourager.
3.
Dans mes poumons une collection de tracts, une année de tracts à rassembler sous l'intitulé :
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Le vrai prénom est un génie dans sa bouteille ; il reste prisonnier et garde ses vœux en pleine charge sous un pseudonyme en bouchon.
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spoonietimelordy · 1 year
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No but seriously, am I the only one seeing the hiden sex metaphore here? Like is it just my perverted french mind? Is there an english equivalent to "s'envoyer en l'air" and "atteindre le 7eme ciel"? Like that plus they're eating ice-cream. Tell me if this is only a sex pun in french?
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Street art "S'envoyer en l'Air" de l'artiste Les Murs Ont Des Oreilles dans Le Marais, Paris, juin 2022.
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divinamuse · 2 years
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Y'a pas d'âge pour s'envoyer en l'air ! ☮️🕊️❤️‍🔥🌹
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janelher · 1 month
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Printemps
Un moineau attend que la pluie s'arrête
Mais par torrents la pluie s'entête 
Même son bec affûté se noie
Un moineau n'attend pas comme ça 
Il n'attend pas, et sous les gouttes
Il plonge et m'accroche un sourire 
Il quitte sa branche, les gens s'en foutent
Est-ce aussi facile de partir ?
Un moineau s'envole car la mort le guette
C'est pas une averse qui l'arrête 
Ni la famine ni la guerre
N'empêchent de s'envoyer en l'air
Il n'arrête pas d'y croire, il recommence
Et jour et nuit chante sa chance 
Un coup de gomme sur cet hiver 
Le printemps sent bon et me serre
Je n'attends pas et sur ma route 
Je sautille entre deux soupirs
Petit moineau, toi qui m'écoutes
Est-ce aussi facile de partir ?
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societascriticus · 3 months
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Comment faire l'amour / How to have sex
The English version follows below
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-01 : www.societascriticus.com
En salle au Québec le 9 février !
Le film sera présenté en version originale anglaise avec sous-titres français au Cinéma du Parc, à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma Le Clap St-Foy.
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Comme des centaines d'autres, trois adolescentes britanniques sont venues faire la fête dans la ville crétoise de Malia, baignée de soleil : « les meilleures vacances de tous les temps! » En effet, il s'agit d'un rite de passage supposé être le meilleur été de leur vie. En attendant les résultats de leurs examens, les filles sont prêtes à se lâcher, à vivre, à boire et à s'envoyer en l'air.
Contrairement à Skye (Lara Peake) et Em (Enva Lewis), Tara (l'envoûtante Mia McKenna-Bruce) est encore vierge. Les bikinis et le gloss sont à peine déballés que Tara aperçoit deux Britanniques un peu plus âgés qui habitent à côté. L'un d'eux est un sympathique imbécile (Shaun Thomas, qui a grandi depuis The Selfish Giant) qui partage l'humour ringard de Tara. L'autre est un bellâtre imbu de lui-même (Samuel Bottomley)... Vous voyez le genre… Au début, on s'amuse, on chante faux au karaoké… Puis les choses changent.
Alors que les adolescents naviguent dans les complexités du sexe, du consentement et de la découverte de soi, l'ambiance du film change également – on passe des couleurs au néon et de la musique électronique aux teintes plus discrètes et au silence. Même la relation entre les filles évolue, Skye s'en prend un moment à Tara et Em est obligée d’intervenir.
Le film est le premier long métrage de la scénariste et réalisatrice britannique Molly Manning Walker, qui s'est inspirée de ses propres vacances au lycée et de la pression exercée sur les jeunes pour qu'ils aient des relations sexuelles. Son premier court métrage Good Thanks, You? a été présenté dans le cadre de la Semaine de la critique à Cannes en 2020.
How to Have Sex (Comment faire l’amour) est distribué au Québec par Métropole Films Distribution.
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-02-08)
Ah, la jeunesse. Il y en a pour qui c’est de déconner. Mais, après? On oublie tout. Pas sûr, car cela peut laisser des marques et des conséquences psychologiques. Ça dépend des expériences de chacun, mais certaines peuvent être plus traumatisantes pour les unes que pour les autres. Et, que dire des conséquences physiques, car il me semble que je n’ai pas vu la promotion du condom dans ces fêtes.
En Europe, une des places pour ces folies est la ville crétoise de Malia. (1) On y fait probablement son pain et son beurre des fêtes de fin d’année scolaire. Tout y est organisé, avec des concours parfois dégradants, mais si les jeunes s’amusent et que ce côté « sex » de la fête rapporte, c’est sûr qu’on l’exploite. Comme le dit une des trois filles dans une scène de soir : « Du business. Tout est business, maintenant. Tout. Tout le temps. » (± 11 m 13s)
Les trois amies sont donc là pour fêter, mais aussi pour encourager, voire pousser, Tara à perdre sa virginité, car c’est le temps et la place pour le faire. Elle subit donc de la pression de ses deux amies, mais elle s’en met elle aussi.
Pour elles, plus vite cette étape sera passée, mieux sera la vie. Cependant, cela peut avoir des conséquences, surtout si on tombe sur la mauvaise personne. Ce n’est pas juste de déverrouiller une porte. Cette vision mécanique de la chose est une utopie, car ces choses que sont la virginité, la sexualité et l’acte de la perdre sont intimes et psychologiques tout à la fois pour la fille.
Dans une soirée bien arrosée comme les autres, Tara perdra de vue ses amies, mais verra un de ses deux voisins d’hôtel, Paddy. Elle voulait retourner à sa chambre, mais il lui proposera plutôt d’aller à la plage. (± 41 m 49 s) Pour lui, ce fut un coup comme un autre et tout s’est bien passé dans sa tête. Mais, ce n’est pas ce que la fille voulait. C’est encore moins ce dont elle rêvait pour sa première fois. Elle n’a pas besoin de parler, ça se voit. (2)
Mais, lui ne s’en rend même pas compte, car, pour lui et plusieurs jeunes hommes, leur vision de la chose est probablement plus sportive ou mécanique que pour les filles. Quant à la notion de consentement, pour lui comme pour certains autres, si elle reste là, c’est qu’elle doit bien le vouloir même si elle dit non une fois ou deux. Comme si c’était un jeu et que non veut parfois dire oui.
Le consentement n’est vraiment pas clair pour Paddy. C’est une notion à enseigner dans des cours de sexualité pour les jeunes à l’école. Mais, la droite s’y oppose souvent, trop souvent, pour des questions de morale. (3) Mais, quelle morale y-a-t-il à ainsi refuser d’éduquer les jeunes à la sexualité? Voilà la question.
Après, Tara retournera à la fête et rencontrera d’autres jeunes plus bienveillants que ses amies. Elle ne reviendra que le lendemain matin. Quand elle leur dit, l’important fut qu’elle a enfin couché. Elles ne voient pas la détresse qu’elle cache du mieux qu’elle peut. Pourtant c’est clair, mais elle parle trop peu et elles ne lui demandent même pas comment ça s’est passé; comment elle se sent ? C’est comme si c’était tout simplement un « check » de fait sur la liste des étapes initiatiques à passer dans la vie d’une fille.
Autre jour, autre nuit, c’est toujours la fête. Mais, Tara revient plus tôt que les autres avec Bagger qui l’a ramenée et couchée (± 1h10) de façon bienveillante.
Quand ses amies arrivent en faisant encore la fête au petit matin de leur départ, elle ne dit rien et continue à vouloir dormir. Mais, Paddy va alors la rejoindre au lit en disant « Je dors ici ». (± 1h12m30s) On voit qu’elle ne veut pas, mais il s’incruste. Et, quand Bagger, qui est plus bienveillant, va la voir (± 1h12m50s), Paddy lui dit « Je suis plus tout seul, tu vois? » (± 1h13m05s) et elle ne dit rien encore une fois. Il continuera donc son manège.
Elle aurait pu lui demander de sortir, se lever et s’en aller ou appeler ses amies juste à côté? Mais, elle ne le fait pas, alors, pour lui, elle est consentante. Puis, Skye et Bagger viennent les rejoindre au lit et elle lui dira « Je savais que tu le ferais. Je t’aime, meuf. » (± 1h15m25s)
Non consentante, endormie plus qu’éveillée, elle se sera laissé faire comme si c’était une étape obligée (un rite de passage) de son voyage de fin d’année scolaire. Em ne comprendra que sur le chemin du retour que les choses ne se sont pas si bien passées pour elle et en est désolée. Tara lui dira qu’elle aurait dû parler, mais elle ne l’a pas fait...
Ce film soulève donc des questions intéressantes comme la notion de consentement est-elle bien comprise? Et, la pression sociale dans tout ça? Le marketing des corps et du plaisir, quel rôle y joue-t-il? La femme est-elle une marchandise dans le marketing de ces fêtes de fin d’année scolaire? Ce sont des questions que soulève ce film sans en dire un mot, car les images parlent d’elles-mêmes.
Un film qui devrait être diffusé dans les écoles secondaires n’en déplaise aux conservateurs, car l’éducation doit passer avant les idéologies.
Notes
1. « It is mainly visited by young people from the United Kingdom and Northern Europe. The prominence of Malia as one of the leading spots for nightlife in Europe is cemented by the attraction of big name DJs and events. The Main Strip is home to many bars, clubs, taverns and restaurants. This is supported by the many close-by hotels and apartments in Malia and the immediate area. » (https://en.wikipedia.org/wiki/Malia,_Crete#Malia_resort)
2. C’est la première des deux scènes de sexualité du film, toutes les deux avec Tara et Paddy. Sobrement tournée et explicite même si on ne voit pas de nudité. Mais ici, comme dans la seconde scène de sexualité plus loin dans le film, il n’y a aucune référence à l’usage du condom. De quoi ajouter au traumatisme de la fille, car cela peut avoir des conséquences sur sa santé et sa vie future.
3. Justement, La Presse du 7 février nous apprend ceci :
« Une candidate républicaine au poste de secrétaire d’État du Missouri suscite la controverse après avoir brûlé au lance-flammes un livre québécois jeunesse traitant de questions reliées à la sexualité. »
Henri Ouellette-Vézina, Sexualité chez les jeunes. Une candidate républicaine brûle un livre québécois avec un lance-flammes, La Presse, 7 février 2024 :
How to Have Sex
THEATRICAL RELEASE DATE : Friday, February 09, 2024
Three British teenage girls go on a rites-of-passage holiday, drinking, clubbing and hooking up in what should be the best summer of their lives. As they dance their way across the sun-drenched streets of Malia, they find themselves navigating the complexities of sex, consent and self-discovery. Captured with luminous visuals and a pitch-perfect soundtrack, Manning Walker’s directorial debut paints a painfully familiar portrait of young adulthood, and how first sexual experiences should – or shouldn’t – play out.
CAST :
Mia McKenna Bruce
Lara Peake
Samuel Bottomley
Shaun Thomas
DIRECTED BY :
Molly Manning Walker
Comments by Michel Handfield, M.Sc. sociology (2024-02-08) - translated by Google translate
Ah, youth. There are some for whom it’s messing around. But after? We forget everything. Not sure, because it can leave marks and psychological consequences. It depends on each person's experiences, but some can be more traumatic for some than others. And, what can we say about the physical consequences, because it seems to me that I did not see the promotion of condoms at these parties.
In Europe, one of the places for these madnesses is the Cretan town of Malia. (1) We probably make our bread and butter for the end of the school year celebrations there. Everything is organized there, with sometimes degrading competitions, but if the young people have fun and this “sex” side of the party is profitable, it is sure to be exploited. As one of the three girls says in an evening scene: "Business. It's all business now. All. All the time." (± 11m 13s)
The three friends are therefore there to celebrate, but also to encourage, even push, Tara to lose her virginity, because this is the time and place to do so. She is therefore under pressure from her two friends, but she puts it on herself too.
For them, the sooner this stage is passed, the better life will be. However, this can have consequences, especially if you come across the wrong person. It's not fair to unlock a door. This mechanical vision of things is a utopia, because these things: virginity, sexuality and the act of losing it are intimate and psychological at the same time for the girl.
In a drunken evening like any other, Tara will lose sight of her friends, but will see one of her two hotel neighbors, Paddy. She wanted to go back to her room, but he suggested she go to the beach instead. (± 41 m 49 s) For him, it was a blow like any other and everything went well in his head. But, that's not what the girl wanted. It’s even less what she dreamed of for her first time. She doesn't need to talk, it shows. (2)
But he doesn't even realize it, because, for him and several young men, their vision of things is probably more sporting or mechanical than for girls. As for the notion of consent, for him as for certain others, if it remains there, it is because she must want it even if she says no once or twice. As if it were a game and sometimes no means yes.
Consent is really not clear to Paddy. This is a concept to be taught in sexuality classes for young people at school. But the right often opposes it, too often, for questions of morality. (3) But what morality is there in refusing to educate young people about sexuality? That's the question.
Afterwards, Tara will return to the party and meet other young people who are more caring than her friends. She won't come back until the next morning. When she told them, the important thing was that she finally had sex. They do not see the distress she hides as best she can. Yet it's clear, but she speaks too little and they don't even ask her how it went; how does she feel? It’s as if it was simply a “check” on the list of initiatory steps to take in a girl’s life.
Another day, another night, it’s always a party. But Tara returns earlier than the others with Bagger who brought her back and put her to bed (± 1h10) in a kind manner. When her friends arrive still partying in the early morning of their departure, she says nothing and continues to want to sleep. But, Paddy will then join her in bed saying “I’m sleeping here”. (± 1h12m30s) We see that she doesn't want to, but he gets in there. And, when Bagger, who is more benevolent, goes to see her (± 1h12m50s), Paddy says to him "I'm not alone anymore, you see?" (± 1h13m05s) and she says nothing again. He will therefore continue his merry-go-round. Could she have asked him out, gotten up and left, or called her friends nearby? But, she doesn't do it, so, for him, she is consenting. Then Skye and Bagger come to join them in bed and she tells him "I knew you would. I love you, girl." (± 1h15m25s)
Not consenting, asleep more than awake, she will have allowed herself to be done as if it were an obligatory step (a rite of passage) of her end-of-school-year trip. Em only realizes on the way home that things didn't go so well for her and is sorry for that. Tara will tell her that she should have spoken, but she didn't…
This film therefore raises interesting questions such as is the notion of consent well understood? And, the social pressure in all this? The marketing of bodies and pleasure, what role does it play? Are women a commodity in the marketing of these end-of-school year celebrations? These are questions that this film raises without saying a word, because the images speak for themselves.
A film that should be shown in secondary schools is no offense to conservatives, because education must come before ideologies.
Notes
1. « It is mainly visited by young people from the United Kingdom and Northern Europe. The prominence of Malia as one of the leading spots for nightlife in Europe is cemented by the attraction of big name DJs and events. The Main Strip is home to many bars, clubs, taverns and restaurants. This is supported by the many close-by hotels and apartments in Malia and the immediate area. » (https://en.wikipedia.org/wiki/Malia,_Crete#Malia_resort)
2. This is the first of two sexual scenes in the film, both with Tara and Paddy. Soberly shot and explicit even if we don't see any nudity. But here, as in the second sexual scene later in the film, there is no reference to condom use. This adds to the girl's trauma, because it can have consequences on her health and her future life.
3. Precisely, La Presse of February 7 tells us this :
"A Republican candidate for Secretary of State of Missouri is sparking controversy after burning a Quebec children's book dealing with issues related to sexuality with a flamethrower."
Une traduction de ce passage :
« Une candidate républicaine au poste de secrétaire d’État du Missouri suscite la controverse après avoir brûlé au lance-flammes un livre québécois jeunesse traitant de questions reliées à la sexualité. »
Henri Ouellette-Vézina, Sexualité chez les jeunes. Une candidate républicaine brûle un livre québécois avec un lance-flammes, La Presse, 7 février 2024 : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2024-02-07/sexualite-chez-les-jeunes/une-candidate-republicaine-brule-un-livre-quebecois-avec-un-lance-flammes.php
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edlim-sims · 3 years
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Caleb termine la construction de la fusée.
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Et maintenant? Il faut s'en servir! Donc, pour l’inauguration, Caleb invite Zacharie à bord pour s'envoyer en l'air.
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📢Embarcation dans la fusée de l'amour! Direction le 7e ciel!😂❤️‍🔥
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grandboute · 5 months
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Learning to fly - S'envoyer en l'air
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L'étrange façon de s'envoyer en l'air
Crédits : Jean-Luc Mercier
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beatlesonline-blog · 1 year
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norbert-b · 1 year
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"Face à la fronde des joueuses et la probable démission de Le Graët, Diacre est sur un fil - L'Équipe" https://www.lequipe.fr/Football/Article/Face-a-la-fronde-des-joueuses-et-la-probable-demission-de-le-graet-diacre-est-sur-un-fil/1382864
La cellule de crise de l'Elysée en veut-elle à la réussite du football français ?
L'équipe de France féminine a le potentiel pour un jour, pourquoi pas un jour prochain, être championne du monde. Il manque un petit quelque chose, un détail important, le soutien de ces messieurs non surjoue. Cette affaire tombe au plus mal et pas seulement pour la FFF.
L'équipe de France au masculin est capable de devenir triple championne du monde, cela ne plaît pas à tout le monde, au monde entier !?
On en veut au football français !
Emmanuel Macron veut être un grand président dans un petit pays, plutôt qu'un petit président dans un grand pays.
Le président, conseillé (?) par Alexis Kholer, veut "baiser" la France et s'envoyer en l'air.
Est-ce cela qu'il faut faire pour sauver la république d'elle-même ?
Je rappelle qu'il y a une crise de l'autorité en occident jadis triomphant : nos progrès nous sont contestés, nos valeurs de démocratie nous sont disputées, notre autorité mise en doute...
La culture d'occident est en recul, l'occident en retrait dans le monde.
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semena--mertvykh · 11 months
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La fille qui n'aimait pas être amoureuse
Tout commence et tout finit en musique ici, aussi ai-je cherché des titres qui parlent de toutes ces choses lourdes et noires que j'ai traversées ces derniers temps, des chansons qui parlent de rancœur, de rage, de dépit, de frustration, d'autoaccusation / autodépréciation / autodestruction...
Et, étonnamment, j'en ai trouvé beaucoup moins que des chansons d'amour.
Un artiste en tout cas ne déçoit jamais quand il s'agit d'être grinçant, cynique et brutal, c'est Sa Majesté des Mouches Marylin Manson.
On avait été le voir à l’Élysée Montmartre, juste avant que "Antichrist Superstar" ne devienne LE gros truc dont on parlerait même au Congrès, au point que MM allait devenir à son tour une superstar à qui des cohortes de fans allaient hurler : "Hey, Mr Superstar, I'LL KILL YOU IF I CAN'T HAVE YOU".
Je me revois dans la fosse, perchée sur les épaules de Fred, c'était une fête et c'était l'étuve, MM vociférait le refrain de 1996 dans notre direction et on lui renvoyait tous ses phrases d'un geste large des poings, index et petits doigts dressés, comme un répons à l'église, et j'adorais ce type, j'adorais son personnage de monstre de foire échappé d'un cauchemar de David Lynch, et je crois même que tous les deux avaient dit la même chose, à quelques années d'intervalle : "Je montre l'Amérique que personne ne montre ailleurs" - en substance, celle des cadavres et des asticots. Je me sentais de cette famille-là - Marylin Manson, Lynch et son plan fameux sur l'oreille coupée, et "Eraserhead" qui m'avait inspiré, ado, la même fascination nauséeuse que les revues pornos que le mari de ma nourrice me montrait quand j'étais petite fille. 
Angel With the Scabbed Wings, autre époque, autre ambiance, je suis en train de rouler à 160 sur l'A11, quelque part entre Le Mans et Chartres, la banane jusqu'aux oreilles, prenant mon pied dans la vitesse et le déluge de saturation sonore, c'est l'année de la Licence Pro et je me dépêche parce que je sais que Khaled m'attend à Paris et qu'on va passer le weekend à s'envoyer en l'air, et il a beau me répéter au téléphone : "Sois prudente sur la route", il sait que je vais exploser les compteurs parce que c'est dans ma nature.
Des putains de bons souvenirs, ouais.
J'ai réécouté "Antichrist Superstar" dans la voiture, en allant sur mon lieu de stage ; un vendredi à 10h, la circulation était fluide et je n'étais plus dans le même espace temps que les autres : comme un film où tout le monde serait coincé dans une marmelade de carrosseries à chaque intersection, et quand j'arrive une brèche se dégage par miracle, et sans même avoir besoin de rétrograder je glisse comme une loutre devant des dizaines de placards d'affiches appelant à la grève générale contre le projet de loi sur les retraites.
Le Périph intérieur, un rêve.
The Beautiful People était une petite bombe qui fonctionnait toujours à 25 ans d'écart ; en silence, je l'ai dédicacée à Sexy et à son fan-club de collégiennes, supposant que pour tous ces Beautiful People-là, je ne devais sans doute pas dépasser le stade du Quasimodo rampant ; leur souhaitant bien du bonheur dans leur monde tout lisse de gagnants, leur monde merveilleux qui ne connaît ni la vieillesse, ni la souffrance, ni l'humiliation
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parce que, quoi qu'il arrive, je reste l'enfant du métal que j'étais à 19 ans - le métal du carter des moteurs trois-temps, le métal des guitares, celui des carlingues de F-16, celui du canon d'un 9 mm, le métal du couteau qu'un forain m'avait planté dans le dos, un soir, pour une embrouille dérisoire, le métal de la chevalière que portait le type qui m'a envoyée valser d'un coup de poing à travers la pièce, à 18 ans, et qui m'a éclaté le tympan avant de m'étrangler.
J'ai passé le semestre à les écouter soupirer, critiquer tout ce qui bouge, parler des gens de ma génération comme si on était des Untermenschen - y  compris devant moi - les filles avec leur tête toute pincée, les mecs blasés comme des vieilles putes ; tous plus aigris qu'un quarteron de syndicalistes en rade du Grand Soir ; et pendant ce temps, moi je m'embrasais pour de vrai, sans faire de bruit et à l'insu de tous. Mais çà, vous ne l'auriez même pas vu, même pas si on vous l'avait mis sous le nez - oui, oui, çà vaut aussi pour toi, fringuant quinquagénaire - tellement c'est évident dans vos têtes qu'une femme de cinquante ans, c'est pas censé tomber amoureux et c'est pas censé pleurer, c'est même pas censé être jaloux, amer, ou furieux ; tellement pour vous, l'amour et le désir, c'est permis seulement si elle est jeune et belle, et si on ne vous le montre pas dans une série télé ou une publicité, vous ne croyez même pas que ce soit possible en vrai.
Vous n'êtes même pas capable d'imaginer ce qu'on ne vous met pas en scène, et c'est moi que vous avez regardée de haut toute l'année ?
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