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#santé mentale
sam-ben · 9 months
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Voilà mon nouveau texte poétique sur notre vie en boucle
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J'aimerais être l'ami des animaux sauvages
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roiallard123 · 11 months
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Dans le haut de ton château
Je veux nager dans ton bateau
Tes photos sont magnifiques
La météo qui t’entoure
Elle entoure l’irrésistible personne
Tu n’es qu’un inconnu
L’étrange matelot que je n’ai jamais vu
Les nuages semblent si loin de toi
Le coup de foudre n’est que chez moi
Tu me donnes l’esprit d’un éclair
Tu m’envoies ces satanés nuages
Mais la pluie, ce n’est que dans mes yeux
Une paire d’ensemble brun
Qui ne voulait pas plus qu’une petite lueur
Celle du bleu que tu me prends
C’est original d’aimer un étranger
J’ai toujours trouvé ça inutile
Mais maintenant que tu existes
J’ai envie d’y croire
C’est en sanglot que je te dirai
Prend connaissance de mon existence
Au verso de ta vie, il y en a un qui t’observe
Quand j’ai vu qui tu étais
J’ai crié bingo
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fleurdusoir · 2 years
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N’oublions pas que ce n’est pas le nombre et la longueur de ses branches, mais la profondeur et la santé des racines qui font la vigueur d’un arbre.
Gustave Thibon, L’équilibre et l’harmonie
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stripnblues · 6 days
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La sombre, sombre histoire des escaliers, partie 1
Dans mon précédent post, j’avais évoqué l’idée de narrer les mésaventures qui ont conduit à mon changement de psychiatre. Je m’étais laissé, je cite, « la liberté de choisir » d'en parler. 
HAH. Quel genre de personne serais-je pour laisser pour laisser mon lectorat sur sa faim (laissez-moi croire que j’ai autant de followers que Baptiste Beaulieu ou Pénélope Bagieu, s’il vous plaît). 
Puis, pour tout vous dire, j’ai un peu honte d'être passée à côté de ces mots doux de Tibo InShape, qui m’auraient donné TELLEMENT de grain à moudre dans le papier précédent :
Merci pour ta contribution, mec. Si tout le monde t’écoutait, l’industrie pharmaceutique serait en PLS et les psys au chômage.
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Je crois aussi qu’une partie de moi a besoin de coucher tout ça sur le papier. Parce que ça a été un sacré calvaire et que, quelques mois plus tard, même si j’ai envie d’en rire, c’est d’un rire encore forcé.
Je consultais cette psychiatre depuis deux ans. J’avais laissé tomber la précédente après une énième soirée à patienter deux putains d’heure dans la salle d’attente jusqu’à m’en aller sans l’avoir vue, la rage au ventre mais sans ordonnance. Dans l’urgence, parce qu’il fallait bien que je chope mes médocs, j’en ai trouvé une nouvelle via Doctolib. Elle me paraissait compétente, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Même si, parfois, ses questions semblaient sortir tout droit du manuel pour psychiatres débutants : « Est-ce qu’en ce moment, vous avez des idées tristes ? »
Euh… Ça dépend de ce qu’on entend par “idée triste”. Si ça veut dire « penser que même Nicolas Sarkozy et Marlène Schiappa publient plus de livres que moi », alors oui, j’ai des idées tristes.
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Si vous avez des idées tristes après avoir lu ce résumé, c'est normal.
Même si elle avait souvent du retard dans ses rendez-vous. Mais ça, je sais que c’est tirer sur une ambulance passablement déglinguée. L’état de la psychiatrie en France n’est un secret pour personne. Manque de moyens, plus de patients en détresse, moins de soignants, une pression grandissante… Tout cela, sans doute, joue sur un quotidien certainement bien agité entre les urgences du jour, la patientèle à gérer, etc. Jusqu’ici, j’étais plutôt indulgente.
Et puis… Et puis il y a eu un épisode particulièrement difficile. L’anxiété me submergeait, toute tentative de discernement relevait d’un marathon avant d’être balayée par une vague d’incertitudes, je me retrouvais plus bas que terre, à essayer de faire bonne figure auprès de mes proches avec un sentiment d’imposture qui me rongeait le ventre. Pas la joie, pour résumer. C’est donc dans un état peu glorieux que j’ai vu ma psychiatre pour notre rendez-vous mensuel. Un génocide de mouchoirs plus tard, elle me propose de remplacer un anxiolytique dans mon traitement, et de voir si celui-ci sera plus efficace. Et, notez bien, c’est important pour la suite, elle me précise : « Tenez-moi au courant des effets dès le lendemain. Si ça ne va toujours pas au bout de quelques jours, prévenez-moi et on trouvera une solution au plus vite. »
Je ressors avec l’ordonnance et l’envie de croire que les choses vont s’arranger grâce à cette bidouille chimique. Je vous épargne le suspense, c’est tout le contraire qui s’est produit. Les crises d’angoisse ont persisté tout comme le moral au fond des chaussettes. En plus de ça, je me traînais une chape de fatigue. J’étais devenue incapable de réfléchir. Chaque tâche somme toute banale devenait une épreuve impossible. Dès que je tentais une sortie pour faire ne serait-ce que des courses, j’étais prise d’une douleur face à l’effort. Presque tout de suite, je voulais fondre en larmes et retourner me terrer chez moi. Toutes mes émotions étaient sapées, fondues en un brouillard d’abattement. Heureusement que je ne travaillais pas, à ce moment-là. Peu ou prou, j'étais devenue ça :
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Bien sûr, je l’ai tenue au courant le lendemain. Pas de réponse. Bon, ok, elle doit être occupée… J’ai attendu que le traitement fasse son effet. Un, deux, trois, quatre, cinq jours s’écoulent. Ça n’a l’air de rien mais, avec une santé mentale chaotique et un traitement qui semble empirer la chose, cinq jours, c’est très long. Ma seule envie, c’était que les journées s’écoulent pour que je puisse enfin dormir. M’affranchir quelques heures de mon calvaire qui, de toute façon, allait reprendre dès mon réveil. Il me fallait me changer les idées par tous les moyens, des bouquins, Netflix, YouTube… Je m’abrutissais pour mieux me prendre mon mal-être en pleine gueule ensuite, malgré la môman et l’amoureux en soutien à distance, et le Kraken à mes côtés.
Entre-temps, ma thérapeute, qui voit mon état se dégrader, m’encourage à prévenir la psychiatre. Alors j’essaie de l’appeler, je lui envoie des textos, un mail où je détaille les effets du médicament et qu’on pourrait résumer par « please help »… mais pas de réponse. Que couic.
Je suis d’autant plus désespérée que, dans quelques jours, je dois partir dans ma famille pour les fêtes. Parce que oui, tout ça se déroulait peu de temps avant Noël et autres célébrations. 
Qui c’est qui, en plus d’être pas bien, culpabilise à l’idée de pourrir les réjouissances à venir avec sa santé mentale en carton ?
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Gné...
Donc, parce que chaque journée à macérer dans cette bouillasse noire est d’une longueur infinie, parce que je ne veux pas rester comme ça et que, visiblement, la psychiatre est aux abonnés absents, je me retrouve sur Doctolib pour prendre rendez-vous avec elle. Ben oui, elle n’a pas de secrétariat, donc comment vous dire. J’arrive à choper un créneau la veille de mon départ en famille. Après plus d’une heure d’attente (parce qu’évidemment, il y a eu une couille avec Doctolib et qu’on s’est retrouvés à plusieurs sur le même horaire et qu’il a fallu gérer le bazar…), je la vois, et là, c’est l’occasion de dire que des idées tristes, j’en ai à la pelle, et que le nouvel anxiolytique est un poil daubé du cul. Je me suis renseignée sur ses effets indésirables et, oh bah tiens donc, on est en plein dedans.
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Remplacez « agneau » par « anxio », et le tour est joué.
Je glisse au passage que j’ai voulu la prévenir, que je n’ai pas eu de nouvelles, etc. Curieusement, elle élude, plaide la surcharge de textos de tous les côtés, et me conseille de la spammer les prochaines fois. Mais avait-elle bien reçu mon mail ? Avait-elle pris le temps de le lire ? À cela, elle ne me donne pas de réponse claire. Je trouve ça bizarre, mais bon. On réajuste le traitement, on revient à ce que j’avais avant en plus léger, parce que sinon, je serais en surdosage. Ce qui me fait tiquer, parce que mes psychiatres précédents n’hésitaient pas à y aller yolo sur les anxios. Okay, ça fait plaisir de savoir que les confrères ne sont pas forcément au fait niveau posologie et état de la recherche sur ce qu’ils prescrivent. Mais soit. Elle me file aussi l’adresse des urgences psychiatriques de Saint-Anne si jamais ça ne va vraiment, vraiment pas. Ce qui ne me rassure paradoxalement pas, je dois l’avouer. Je repars avec l’adresse, le traitement changé et l’espoir, cette fois, que les choses vont vraiment revenir à la normale.
Alors… Passé les deux-trois jours de soulagement post-traitement daubé du cul, j’ai dû me rendre à l’évidence : ça n’allait toujours pas. Sauf que, andouille que je suis, j’ai préféré ATTENDRE de rentrer de vacances pour en parler à ma thérapeute et reprendre rendez-vous avec la psychiatre. Quand j’y repense, j’ai envie de me secouer très fort comme un prunier. 
« So, il y a une météorite qui te fonce tout droit sur la gueule, tu devrais peut-être changer d’endroit ou demander à Bruce Willis de te filer un coup de main pour empêcher la catastrophe. — Euh mais je sais, mais là, je suis avec des potes et j’ai pas trop envie d’y penser… Je vais plutôt faire ça quand je serai rentrée. »
Des fois, je m’auto-saoule d’une force…
Arrive donc le rendez-vous avec la psychiatre (en visio, car les transports avaient décidé de faire de la merde, bref, c’était une journée du caca absolue). Ma tête de blob larmoyant lui permet de déduire que le traitement n’est pas très efficace (euphémisme). Elle me propose une nouvelle solution. Or elle n’est pas anodine, c’est plutôt du type « ajouter un médoc lourd avec plein d’effets secondaires pour personnes à la santé mentale façon puzzle, youhou ». J’appréhende, mais elle m’assure que ça peut tout à fait convenir dans ma situation. Elle doit juste faire quelques recherches pour s’assurer que c’est compatible avec le reste de mon traitement, mais promet de m’envoyer l’ordonnance dans la journée. Et que je n’hésite pas à la relancer le cas échéant.
Devinez quoi ? L’ordonnance n’est jamais arrivée. J’ai spammé, j’ai appelé, laissé des messages. Que dalle. Nichts. Un jour passe, deux jours, trois jours… 
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Alors je connaissais le ghosting sentimental (souvenez-vous, le gaufrier), amical (soit c’est ça, soit le pote est mort ou parti dans un monastère sans téléphone cellulaire, je ne vois pas d’autre explication). Mais par une professionnelle de santé, c’était tout nouveau. Hésitez pas à me proposer d’autres plans foireux à tester, hein, je crois que j’ai un potentiel là-dedans.
En parallèle, je m'apprête à commencer un nouveau boulot, toujours avec l’impression de passer mes journées dans l’équivalent psychique du Mordor. Même ma psy, qui pourtant en a vu d’autres avec moi, trouve que quelque chose cloche. À force de ne pas avoir de nouvelles, je sens ma confiance s’éroder. On m’encourage à peut-être consulter quelqu’un d’autre. Je fatigue, je tiens tant bien que mal. J’arrive à obtenir une liste de praticiens recommandés. Je me résous à reprendre rendez-vous avec la psychiatre pour tenter d’élucider tout ce bordel, et lui dire que j’en ai légèrement marre de me faire traîner en bateau. Sauf que j’appréhende. Dans mon état, je ne me sens pas sereine pour me confronter seule à cette personne. Je sens que j’ai peur. Et ça, face à quelqu’un qui est censé vous aider à aller mieux, malgré mon sale état, je sens que ce n’est pas normal. Dans la détresse, j’appelle ma mère. 
Faisons une pause dans le récit, le temps que je vous présente ma môman. Si je devais la résumer en un personnage, c’est Brienne of Tarth dans Game of Thrones (sans le crush pour ce couillon de Jamie Lannister).
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Eh ui c'est ma MÔMAN À MOI.
Loyale, valeureuse, elle est l’une des personnes les plus fortes et courageuses que je connaisse. Mais, pour rester dans le même univers, dès qu’on ose toucher à sa précieuse progéniture, ma mère se transforme en Daenerys (la vibe cryptonazie de la saison 8 en moins) :
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L’un de ses adages, c’est « Don’t mess with my kids ». Mais vraiment. S’il vous prend la folie de mess with ses kids, vous pouvez être sûr de finir la journée au fond d’un lac, les pieds dans un bloc de béton armé. Et peut-être pas en un seul morceau, en fait. 
Je vous laisse donc vous mettre à la place de ma môman lorsqu’elle reçoit un appel de sa fille aînée aux prises avec une psychiatre qui la ghoste après lui avoir proposé des traitements chelous. 
Alors que je finis à peine de bredouiller « est-ce que tu voudrais m’accompagner à mon rendez-vous sitoplé ? », ma mère me répond d'emblée à l’affirmative : « Mais bien sûr, ma chérie. Ça tombe bien, j'avais besoin d'aiguiser mon épée de feu. »
And this is where the fun begins. Ah oui, parce que tout ça n’est que le contexte de l’aventure à laquelle mon post doit son titre fabuleux.
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À plusse pour la suite, les p'tits choux !
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lafemani · 2 months
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ecriremonbonheur · 8 months
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roroelcapybara · 14 days
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Je viens de faire un cauchemar, j'ai rêvé que je me faisais poursuivre par le s**cide et depuis que je me suis réveillé j'ai l'impression d'être observer jvais pas bien mentalement mdrrr
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vabazeri · 19 days
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Jour 39
Ouai, ouais ouais ouais... Les traumas hein, toujours pareil pfff.. Le pire c'est que je m'en rend compte après que c'est ridicule, que ça ne devrais pas me rendre comme ça mais j'arrive pas à contrôler cette merde, j'arrive pas à comprendre le truc qui fait disjoncter mon cerveau et pourtant ça fait un moment que j'étudie la question, que je cherche. Quand je suis pas dedant, c'est OK. Je comprend, j'analyse, je trouve la solution et c'est good. Mais des que ça reviens, tant que je stoppe pas la crise, c'est un chaos infernal dans ma tête et impossible de connecter 2 neurones... Rien de pire que de savoir qu'on a pas le contrôle de soit.
Cette fois c'est 2 choses : la peur de parler à quelqu'un et de se sentir jugé + le fait d'avoir été mis involontairement à l'écart sur un sujet ou j'estimais être un peu concerné et qui m'as clairement fait me sentir moins que rien.
J'ai pris un tsunami dans ma confiance en moi, déjà pas bien haute et hop, une crise 👌
MAIIIIIS, demi victoire, j'ai réussi à la stopper avant qu'elle détruise tout et quelle aille trop loin ! 🥳 (mais je l'ai vu arrivé là connasse)
Oui j'en ai parler à Hades, oui il a écouté comme il a pu, oui je pense qu'il a quand même compris malgré qu'on ai discuté brièvement. Je le sais grâce à quelques mots en fait
"on en discute demain à tête reposée... J'ai besoin de comprendre ce que tu ressens pour t'aider à mettre des pensements la ou ça fait mal"
Voilà.
Non mais j'ai beau me saboté FORT FORT, je reste persuadé qu'il est quand même hyper vaillant d'affronter tout ce que je lui fait involontairement endurer et que putain, j'ai ptetre trouvé reelement l'homme qu'il me faut quoi. Genre celui avec qui j'ai reelement envie de finir ma vie mais avec qui c'est vraiment possible (surtout la deuxième partie qui est importante)
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Ah oui, sinon j'écris un livre depuis 1 semaines et il est bien entamé, voilà bisous !
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lueurmentale · 1 month
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J’ai tellement grandi, tellement vieilli.
Je ne comprends pas cette engouement pour la jeunesse, la vie d’un jeune humain d’une jeune vie est pleine de désarroi,de tristesse et de frustration.
Peut être est ce seulement moi.
Peut-être est ce notre génération.
Peut-être est ce notre société.
Peut-être est ce le monde.
Devons nous toujours fixer un sens étriqué aux choses?
Je veux dire cette manie de courir après des événements passés et futur. La glorification d’instant précis nous empêche de les vivres et nous permet pas d’être.
Sous emprise c’est la réelle constance de ma vie jusqu’à présent.
Je déconstruit mes croyances, mes idées; mon prisme sur la vie. J’ai jamais autant alimenté ma force et ma personnalité.
Je suis seule, pourtant la violence de la solitude je l’ai vécue entourée.
Mon parcours est un chaos: j’ai pas fait les choix attendus, eu les réactions appropriées, aimé les bonnes personnes, j’ai choisi de vivre quand je n’avais pas l’autorisation et de mourir quand on m’attendait ailleurs.
Je comprends la beauté de la vie, et aussi de celle qui vient d’éclore. Néanmoins je pense pas que la jeunesse est sur le podium du film d’une vie. Survivre. Ne pas douter de son instinct, ne pas laisser ton environnement quel qui soit t’engloutir dans une définition de ce qu’est être en vie ou non.
Il n’y a pas de règles, rien n’a de sens et d’importance. Nous n’en avons pas besoin, c’est souvent effrayant, au début seulement. Ce qui s’ouvre ensuite est une liberté, l’assurance que ta conscience ne porte pas le poids de l’univers mais qu’il en est le fruit.
Après il faut dormir aussi. C’est tout pour moi.
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sam-ben · 10 months
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Réconfort matinal
Est-ce un café ou les bras d'un amant ? Un sourire ou une joie d'enfant ? Le doux baiser d'une fille amoureuse ? La sensation tiède d'une couverture sur l'éveil ?
Nul réconfort n'est vrai, sinon celui d'être, soi, celui qui se comprend, soi.
On rêve d'amour et de bien-être, et on ne s'aime pas, soi. Le réconfort, c'est de ne pas trop se dire entre-soi une solitude évidente.
C'est de dire, je suis là, moi, pour moi. Avant tout. Et au delà, pour tous.
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roiallard123 · 8 months
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J’ai arraché des pages pour toi
J’ai gribouillé dans un carnet des phrases insensées
Le mal m’atteint quand j’y repense
Dans une nuage de chaos
Un voyage de cendres
Ceux de mon corps brûlé
Des pensées envolées
Détruites par du rose
Je voulais chasser le rose ce soir
Mais à mon arrivé, le ciel était noir
La nature me fait de bonnes leçons
Même si je pourchasse ce qui est immobile
La terre continuera de tourner
De m’éloigner des couleurs
D’approcher la nuit
Celle froide et affamée
Celle qui mange mes os
Peut-être par jalousie du Soleil qui ne mange que ma peau
Ou par hypocrisie
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hayden-univ-lorr · 2 months
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Vent Familial (/neg)
Je n'en peux plus des conflits permanents.
De ma mère qui crie, qui s'énerve, n'explique pas pourquoi, fait mine d'ignorer le conflit pour le relancer deux minutes plus tard, et fait subir la punition du silence.
Et cette fois, ce n'est même pas envers moi, mais envers ma sœur.
Pour la faire courte, mon petit frère ne se sent pas très bien et il est allé prendre une douche. Ma mère a déposé sa serviette sur le radiateur de la salle de bain, et quelques minutes après ma sœur l'a décalée, par souci de praticité.
Ma mère s'est énervée après elle, lui demandant pourquoi elle "repassait sans cesse derrière [elle]" et faisait tout à son inverse, en lui "parlant comme de la merde" (parce qu'elle se justifie et comprend pas pourquoi elle s'en prend plein la gueule pour rien. Ma sœur a expliqué qu'elle avait pas vu que la serviette était mise là exprès, que c'était pas "dans le but d'aller à l'encontre de [ma mère]", et qu'elle avait rien fait de mal, rien qui justifie de se faire hurler dessus.
Ma mère a dit "aller c'est bon", puis "si tu me réponds comme ça tu peux aller te faire foutre", et ma soeur a refermé la porte de la salle de bain pour finir de se brosser les dents, ma mère est partie (genre 'la discussion est finie, t'es une ingrate, j'arrête là').
Puis à peine 30sec après, elle s'énerve dans le salon, puis dans la cuisine, et dit ''Je suis tout le temps là pour vous, 24/24H, 7/7J, 365j dans l'année, et on me parle comme de la merde, ça me casse les burnes ! vraiment je commence à en avoir marre ! Il y a un moment où je vais vraiment m'énerver et vous allez pas comprendre pourquoi ! (elle dit ça presque chaque semaine, et s'énerve presque chaque jour, du moins de ce que j'en vois quand je suis à la maison)".
Avant ça, elle disait les mêmes choses en parlant de ma sœur à la troisième personne, comme si elle n'entendait pas. Elle le lui a donc dit ''tu sais que je suis là hein ? je t'entends parler de moi''.
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J'ai écrit ça hier soir, je n'ai pas eu le temps de le terminer, mais en bref : Les conflits j'en peux plus. Je fais tellement d'effort pour les éviter en permanence, et quand je suis avec mes ami.es je me rend compte que je ne devrais pas avoir besoin de le faire ; que mon environnement actuel n'est simplement pas sain pour moi. Ou en tout cas, ne l'est plus.
Vivement que je trouve un travail, que je puisse partir en colocation avec mon amie <3
Hayden.
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qamar40 · 11 months
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لا شيء أسوأ من أن يُعاد شعور قديم حاربته اكثر من اي شيء 🖤
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