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#shôjo manga
songedunenuitdete · 2 years
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We Must Never Fall in Love! T02 de Haru Tsukishima
🔥AVIS MANGAS🔥J'ai lu We Must Never Fall in Love! T02 de Haru Tsukishima/ @pikaedition ⭐Un manga que je prends grand plaisir à lire. J’apprécie beaucoup les dessins, la narration, l’histoire et la psychologie des personnages très bien amenée.
  Mon avis : Oh ! Ce manga est un véritable petit bonbon sucré tout doux que je prends beaucoup de plaisir à lire. C’est simple, dès que je l’ai eu entre les mains, je l’ai dégusté… non, dévoré serait plus juste et avec gourmandise ! L’histoire entre Kaede et Sakura est tellement bien présentée et toute douce. J’aime la manière dont la mangaka nous montre cette famille recomposée qui apprend à…
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spacechoo · 6 months
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Shojomangatisée: "shôjo manga" rendu adjectif
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yumi-tamura-fan · 1 year
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My top 3 90's shojo manga reccomendations (I'll try to keep them spoiler free as possible)
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1.Basara by Yumi Tamura (27 volumes)
Synopsis from Viz: Basara is a post-apocalyptic fantasy adventure series and one of the most popular shôjo manga of the 90s in Japan. It is the story of how a young girl becomes "the child of destiny" and finds the strength to free her people and seek revenge for the death of her brother.
Basara is a story that can't be classified into just one genre. It's a romance of course, but it could fit also fit into other genres such as fantasy or adventure, as well as tragedy. There's bloody battles throughout the manga, as well as political corruption and even pirate fights! It might sound like a shonen manga but we also get romance, forbidden romance at that. Think Romeo and Juliet. We get to see star crossed lovers fight for what they think is right all the while not knowing each others identities. Everyone in the series is fleshed out, with motivations, wants and needs. By the time you reach the end of the series, even the smallest characters will have you feeling for them.
The only criticism I can give is the art at the beginning of the series is subpar, but the quality of it picks up quickly and by the end of the series the author's art is undeniably gorgeous. My all time favorite shojo manga and whether you can hunt down all the out of print series like me (it took forever) or read the scans online, I think almost anyone would be drawn in to this series.
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Red River by Chie Shinohara (28 volumes)
Synopsis from Viz: Yuri, a pretty Japanese girl, is ecstatic after passing her college entrance exam and having her first kiss with her childhood friend-turned boyfriend. However, her luck soon changes. She starts to notice that water becomes agitated whenever she goes near it. One night, hands appear out of a puddle on the street and drag her into the water! Transported to an ancient village in the Middle East, she is then captured by armed troops and taken to the Queen's palace for a human sacrifice. Adventure and good-looking boys fill this great first volume!
I've always been fascinated by Ancient Egypt so this manga was right up my ally. It has beautiful art, an intriguing story, and unique side characters. I also didn't hate the fact that the author dropped details and facts about history into the manga.
Overall it's an amazing historal manga, with just enough action as there is romance. I would encourage anyone who enjoys history to check out this title (most likely through online scans as it is out of print).
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Angel Sanctuary by Kaori Yuki (20 volumes)
Synopsis from Viz: Why is Setsuna so mixed up? Despite his attempts to be noble, he'll fight anyone anytime; he ignores all authority; and he harbors feelings for his sister that can only be described as "incestuous." Why is he such a mess? The reason may be found with two demons from the underworld and their enemy, an insane angel who is distributing an insidious computer game called Angel Sanctuary.
Angel Sanctuary is about a female angel who rebelled against God, and in turn had her soul separated from her body, and sent to earth to endure tragic human lives until the end of time. The female angel currently inhabits the body of a teenage boy who is troubled by the love he has for his sister. Like Flowers in the Attic, incest is a common theme throughout it, however, it is never fetishized nor glamorized, and we don't see that much of the physical side of it (just go with it and it will all make sense in the end). The sinful love isn't the only focus, as there are also demons, sword battles, even angels with guns, as well as plenty of interesting side characters that add to the story.
I will say that the first few volumes are slightly mediocre, but Kaori Yuki quickly picks up in the later volumes, and by the time I finished the series, I could say it was one of the best ones I've ever read. I've never read a 20 volume manga series as fast as I have this one.
I wouldn't recommend Angel Sanctuary to everyone, since it has a warped view on religion, as well as incest, drugs, murder and genocide. But all in all, it's a excellent series for those with an open mind who enjoy beautifully drawn series with a complicated plot.
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lamangasserie · 11 months
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Semaine du shôjo 2023: La beauté dans Helter Skelter et In the clothes named fat
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Comme chaque année, Club Shôjo organise une « semaine du shôjo », un évènement interblog où chacun est invité à écrire sur une thématique donnée. C’est un évènement que je suis d’année en année, donc je suis honorée d’en être pour la seconde fois. Merci Club Shôjo ! Cette année, la thématique choisie est « Le shôjo abordant la condition féminine que vous préférez ». D’abord perplexe, je me suis remémoré l’angle un peu personnel que j’avais choisi pour écrire mon article l’année précédente. Il m’est apparu très clairement que je devais aborder le thème de la beauté, que je devais faire face à deux mangas qui me sont redoutables: Helter Skelter de Kyôko Okazaki et In the clothes named fat de Moyoco Anno. Il est intéressant de noter que ces deux mangas abordent des thématiques différentes, mais se faisant écho, et qu’ils ont été prépubliés quasiment à la même époque. De plus, Moyoco Anno fut l’assistante de Kyôko Okazaki jusqu’à l’accident de la route de cette dernière, en 1996, et la version définitive de Helter Skelter contient quelques corrections apportées par Moyoco Anno. À mes yeux, ce sont deux mangas aux racines communes, c’est pourquoi j’ai voulu les traiter ensemble. À travers Helter Skelter et In the clothes named fat, je souhaite montrer comment, étapes par étapes, la quête de la beauté et les diktats imposés par les industries de la beauté et de la mode détruisent le corps des femmes, qu’est-ce qu’il en coûte que de « souffrir pour être belle ».
Helter Skelter est un manga écrit et dessiné par Kyôko Okazaki, il a été prépublié dans le magazine Feel Young entre 1995 et 1996. En France, il est sorti aux éditions Casterman. À la traduction Marie Bach, Marie-Françoise Monthiers et Naomiki Satô, adaptation graphique réalisée par Kaoru Sekizumi. Helter Skelter suit Lili, une vedette à la fois actrice, mannequin et surtout it-girl. Lili a tout pour plaire, seulement, elle cache un secret: elle est refaite de la tête aux pieds et son corps commence à ne plus suivre. 
In the clothes named fat est un manga écrit et dessiné par Moyoco Anno, il a été partiellement prépublié dans la revue féminine Shuukan Josei entre 1996 et 1997. En France, il a été publié dans sa version complète par Kana, avec à la traduction Pascale Simon et à l’adaptation graphique Éric Montésinos. Ici, nous suivons Noko, une employée de bureau complexée par son poids. L’infidélité de son petit ami sera un déclic pour Noko, qui décidera d’entamer un régime drastique.
Avant d’aller plus loin, je souhaite prévenir toutes âmes sensibles que cet article abordera les troubles du comportement alimentaire et la grossophobie. Merci de continuer avec précautions ou de tout simplement fermer la page.
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Nous sommes entourés d’images. Que l’on prenne le métro, que l’on ouvre le programme télé, que l’on traîne sur Instagram ou que l’on regarde le dernier clip d’une chanteuse pop, elles sont omniprésentes. Les filles sur ces images sont grandes, minces (ou pour les entreprises les plus audacieuses, « voluptueuses » ), sans jamais un poil qui dépasse ni un seul pore visible. Si elles y arrivent, pourquoi pas moi ? Helter Skelter s’ouvre sur des jeunes filles entourées d’images de Lili et qui cherchent à lui ressembler. Lili est dans les magazines, à la télé, et dans la rue. Il y a de quoi devenir obsédé !
L’obsession, c’est une des premières choses que Kyôko Okazaki montre dans Helter Skelter à travers le personnage de Lili. Alors qu’elle admire son corps parfait dans le miroir, elle y découvre un défaut. À partir de ce moment-là, elle ne cesse de se scruter de très près dans le miroir, traquant le moindre défaut de son corps qui s’effondre. Cette attitude obsessionnelle, quasi-névrotique, est pour moi le point de départ de la quête de la beauté. C’est une attitude que l’on retrouve chez de nombreuses femmes, peu importe l’âge.
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Dans In the clothes named fat, Noko est obsédée par le fait de devenir mince. Alors qu’elle est tout simplement faible, elle pense que devenir mince résoudra ses problèmes. Après tout, on l’a toujours méprisée pour son poids, c’est que ce doit être ça le problème. Mais ce n’est pas la minceur en soi qui l’obsède, c’est bien le chemin de la minceur, qui traduirait selon elle une force de caractère. Les efforts et la souffrance, voilà ce qui mène à la beauté et donc au bonheur ! Vers la fin du manga, Noko reprend tout le poids qu’elle a perdu, car elle se rend compte qu’il ne lui ai rien arrivé de bien en étant mince. Pourtant, elle replonge dans un épisode boulimique où elle croit encore au bonheur de la minceur. Mona Chollet, dans son essai Beauté fatale, évoque l’autobiographie de Portia de Rossi. Celle-ci devient obsédée par l’exercice physique en vue de maigrir et dit donner l’image d’une femme « déterminée, en contrôle de sa vie » lorsqu’elle arrive à descendre enfin sous les 59 kg. Pour info, elle est descendue jusqu’à 37 kg. C’est cette illusion opérée par l’obsession de la minceur qui fera qu’à la fin de In the clothes named fat, Noko ne semble pas vouloir abandonner sa quête de minceur.
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S’ajoute ensuite l’aliénation. C’est selon moi la thématique la plus forte dans Helter Skelter, c’est la raison même de la folie de Lili. Parce-que elle est une vedette, son corps ne lui appartient jamais. Il appartient à Mamoune, il appartient au staff, y compris à sa manager Hada bien qu’elle soit aussi la victime de Lili, il appartient au docteur de la clinique de chirurgie esthétique qui l’utilise comme cobaye, puis enfin, il appartient au public, représenté par les jeunes filles que l’on voit apparaître sporadiquement tout au long du manga. Tout le monde dans l’entourage de Lili tire parti du corps de celle-ci. Tout le monde se soucie de ses propres intérêts sans jamais réellement se soucier de Lili. Le personnage de Mamoune, agente de Lili, illustre particulièrement cette aliénation. Non seulement, elle projette ses propres rêves sur Lili, mais en plus, elle la traite comme une machine à entretenir. À plusieurs reprises dans le manga, elle dit à Lili…
Tu coûtes cher en « maintenance ». Tu es un produit très cher à la fabrication.
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Dans In the clothes named fat, c’est le personnage de Saitô, le petit ami de longue date de Noko, qui représente cette aliénation. Son infidélité est la première raison pour laquelle Noko entame un régime drastique. Hors, Saitô finit toujours par revenir auprès de Noko, parce-qu’il est un homme lâche. Il n’est pas capable de faire face à une femme de caractère comme Mayumi, avec qui il trompe sa petite amie. Lorsque Noko perd du poids, il devient fou, et même violent avec elle. Il la préfère grosse. Outre le fait que ce soit la raison pour laquelle Noko reprend du poids par la suite, cela démontre qu’il a l’ascendant sur elle. Il la préfère grosse, car il sait qu’avec un physique pareil, aucun autre homme ne l’approchera. Faible, il a besoin de quelqu’un d’encore plus faible que lui pour ne pas se sentir totalement misérable.
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C’est aussi le caractère obsessionnel évoqué plus haut qui crée chez Lili comme chez Noko l’aliénation. La première, terrifiée à l’idée de devenir moche, d’être délaissée par le public, d’être seule, et en plus d’en être consciente, la plonge dans un état second. La dernière, en revanche, ne se rend compte de rien, et est tellement obsédée par sa quête de devenir mince qu’elle n’est pas capable de prendre le moindre recul sur sa situation désespérée. 
Ultime étape, la disparition. Après l’obsession et la folie, que reste-t-il à Lili et à Noko ? Il ne leur reste qu’à disparaître physiquement comme mentalement. À la fin de Helter Skelter comme de In the clothes named fat, Lili et Noko n’ont plus personne autour d’elles. Le monde qui gravitait autour de Lili gravite désormais autour de Kozué, et Saitô s’est fiancé avec une autre (une fille grosse, évidemment). 
Mona Chollet, toujours dans Beauté fatale, relève aussi dans l’autobiographie de Portia de Rossi ainsi que dans The Good Body d’Eve Ensler, la solitude engendrée par les troubles du comportement alimentaire. Les femmes se cachent pour manger comme elles se cachent pour vomir, jusqu’à se couper du monde. La seule relation qui subsiste étant celle avec leurs propres corps. Dès le début de In the clothes named fat, Noko s’isole pour succomber à ses fringales, prémices de sa boulimie. On peut aussi noter les absences de Lili du devant de la scène dû à la chirurgie esthétique. Alors qu’elle rompt avec son petit ami, elle disparaît et se fait refaire le visage. Dans l’incapacité d’apparaître en public couverte de bandages, la popularité de sa rivale monte en flèche durant ce laps de temps.
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Lili étant déjà un personnage monté de toute pièce, il était donc aisé de le faire disparaître. Dès le début du manga, on ne sait pas qui est Lili, on ne sait pas d’où elle vient, on ne sait jamais son véritable nom. Lili n’a pas d’identité. Lors de l’enquête visant la clinique de chirurgie esthétique, l’enquêteur découvre une photo de l’ancienne Lili, avant qu’elle ne passe sur le billard. Il dit qu’elle ressemble à sa sœur, que l’on voit apparaître étant comme grosse et moche. Mais jamais on ne voit ladite photo. Encore une fois, Lili n’a pas d’existence en dehors d’être Lili. Au sommet de son mal-être, elle est prête à se faire exploser la cervelle. Elle ne laisse à son entourage et au public qu’un globe oculaire baignant dans du sang. À la toute fin du manga, 5 ans après sa disparition, Lili se trouve à mille lieux du showbiz tokyoïte, elle est devenue un personnage de freak show au beau milieu du désert mexicain…
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Quant à Noko, elle se prend de plein fouet sa propre disparition. En plus d’occuper de moins en moins de place dans l’espace public à force de maigrir, Saitô n’est même plus capable de la reconnaître. Le lien le plus important se rompt pour Noko, et elle plonge dans la solitude. Lorsqu’elle cherche peut-être un ultime refuge auprès du salon de beauté, celui-ci a disparu. Elle pense:
Il avait disparu sans laisser de traces. Un peu comme moi, qui suis là sans y être.
Le récit s’achève avec Noko dans un lit d’hôpital, n’ayant pour seul compagnon que le lecteur… 
Avec ces deux mangas, Kyôko Okazaki et Moyoco Anno peignent un portrait peu reluisant de la beauté. Lili et Noko, bien que radicalement différentes, ont le point de commun de ne jamais se trouver assez bien, elles sont constamment à l’affût du moindre défaut. Dans Helter Skelter et In the clothes named fat, la quête de la beauté est une quête vaine qui ne mène qu’à la destruction aussi bien physique que mentale. On pourrait penser que ce sont des mangas de leur temps, du temps du règne de Kate Moss par exemple, cependant on peut observer ces dernières années non seulement une banalisation des régimes drastiques, mais aussi une forte hausse de la chirurgie esthétique. En témoigne ce genre de vidéos YouTube ou encore les rapports annuels de l’ISAPS (pour International Society of Aesthetic Plastic Surgery) qui démontrent qu’aux États-Unis, entre 2010 et 2021, le nombre d’interventions de chirurgie esthétique a plus que doublé, avec une explosion des interventions non-chirurgicales (comme des injections ou une épilation laser par exemple). Phénomène que l’on observe dans quasiment chaque pays étudié, du Japon à l’Allemagne en passant par le Mexique. Paradoxal quand on pensait vivre dans la grande époque du body-positivity, de l’acceptation de soi. Très sincèrement, je pense que les diktats que placardent sur chaque espace possible de nos vies les industries de la beauté et de la mode sont des violences passives faites aux femmes, et de plus en plus aux hommes. Pourtant, je veux aussi faire le distinguo entre les « artifices » que sont les vêtements ou le maquillage, et ces « modifications profondes » du corps. Je crois que les femmes réussissent davantage à s’approprier le maquillage pour en faire une force. Alors qu’il servait à masquer les défauts, il peut s’utiliser comme outil pour se célébrer soi-même, comme le montre la vague de mangas sur le sujet. Je pense que c’est ce distinguo qui a permis à Moyoco Anno de publier à quelques années d’intervalle In the clothes named fat et des essais sur la beauté dans lesquels elle donne des conseils et astuces. Toujours est-il que les artifices restent à double-tranchants. Du mascara, oui mais pourquoi ? Pour essayer d’allonger au maximum vos pauvres petits cils ou pour mettre en valeur vos beaux yeux ? Est-ce qu’un jour les femmes arriveront collectivement à se libérer de ces diktats imposés en masse ? Y aura-t-il une fin heureuse pour Lili ou pour Noko ? Malgré les chiffres, j’ose espérer que oui, il y aura une fin heureuse, et qu’enfin, on arrivera à s’approprier ces diktats pour mieux les détruire.
Pour aller plus loin dans la semaine du shôjo, voici plein d'autre article à lire:
Le bazar de Djado
Les blablas de Tachan
Le blog de l'Apprenti Otaku
Le blog Noissapé
Bright Open World
Bulle Shôjo
Le cabinet de McCoy
Les chroniques d'un ange
Fou Chapelier
Lasteve
Nostroblog
Le passeur lunaire
Thread Twitter par @tyraanik
Violette Scribbles
Et bien sûr, Club Shôjo !
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cutepresea · 4 months
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Symphogear getting collabs with everything in existence makes so much sense when you realize all the manga/anime genres they're taking after (both classic shônen + shôjo - demographic tropes + tokusatsu, mahou shôjo, idol, and so on). But getting to the point where a crossover with Nanoha and Kamen Rider/Tokusatsu was possible at all in a game is phenomenal imo considering how big of an influence these two had on the series on many aspects
It's so good. As you said, Nanoha and Kamen Rider were a few of the ones that made a lot of sense and I'm glad they both got to happen before it ended
I would claim to be amazed Nanoha's happened as early as it did, but Symphogear and Nanoha actually have a producer in common (Akio Mishima), plus Kaneko was credited with "total game design" on the Nanoha PSP games and Agematsu composed several of the OP themes for the series, so all sides being familiar with each other probably helped things
Kamen Rider was begged for by fans for years, Faiz in particular for the jokes about Kaixa/Hibiki/Mari, and oh boy, did they deliver on that one. Inoue watching Symphogear just to write the story for it was icing on the cake. Such a fitting final collab.
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rin07vargas · 1 year
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The difference between Manga, Manwha, and Manhua.
Manga are comics from Japan. Manga is typically read from right to left. Manga is most easily distinguished from manhwa and manhua by its monochromatic format. While full-color front covers are occasionally found, manga is almost always published in black & white. Known popular manga includes Naruto, Bleach, Chainsaw Man, One Punch Man, One Piece, Kimetsu no Yaiba (Demon Slayer) and more. As there are so many different manga genres, there is something for every reader, no matter their age or interests. Examples of such genre are Shônen, Shôjo, Shoujo-ai and Shounen-ai.
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Manwha are comics from South Korea. While these comics and visual novels have many of the same traits as Japanese manga, there are also some significant differences. One of the most significant ones is that manhwa is read from left to right, just as comics and graphic novels that are written in the English language. Western audiences, who are more acclimated to this format, find it easier as a result. Another significant distinction is that manhwa, unlike manga, is frequently made in full colour, especially when it is released online as a webtoon. Examples include Solo Leveling, The S Class That I Raised, Omniscient Readers Viewpoint, and Trash of Count’s Family.
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Manhua are comics from China, Taiwan, or Hong Kong. Depending on where they originate, manhua comics and graphic novels can be read either left to right or right to left. Manhua written in mainland China are typically read from left to right, while those from Hong Kong or Taiwan are commonly read from right to left. Manhua comics are typically created in full color as opposed to black and white, particularly in their more widely used electronic incarnations. Some known Manhua are Tiān Guān Cì Fú (Heaven Official’s Blessing) , Módào Zǔshī ( The Grandmaster of Demonic Cultivation) and Èr Hā Hé Tā De Bái Māo Shī Zūn (The Husky and His White Cat Shizun).
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The Japanese word “manga” and the Korean word “manhwa” are both derived from the Chinese “manhua,” which translates roughly as “impromptu sketches.”
Now why did I pick this as my topic for my blog? Well because I love reading. Which includes manga, manhwa, and manhua. I’ve been reading since I was really young, it started from fairy tales then evolved to manga, then manhwa and manhua. I also found this topic really interesting because people are confused on which is which.
In my perspective people should be aware of the differences between the three of these so that they would not be confused when they search about it. Back then I also didn’t know the difference of these three and often than not I thought I was going to read a manhwa then it turned out to be a manhua.
I hope that this blog could help the readers to further understand the differences between Manga, Manwha, and Manhua. So that the next time they try to find them, they could differentiate and categorize the three.
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anm-blog · 11 days
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rahmamustafa99 · 2 months
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Sekai meisaku dôwa manga shirîzu: Macchi uri no shôjo (1975)
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askcookierunacademyau · 3 months
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question for Shining glitter: do you like to read comics and manga, if so, what genre do you like?
Shining Glitter: Well, i do like to read those every once in a while. Even most of the students here like that kind of stuff! Well, i'm more of a manga girl. And i like to read shôjo manga; the kind of manga targeted towards teenage girls.
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songedunenuitdete · 2 years
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Sailor Moon Eternal Édition T09 de Naoko Takeuchi
⭐AVIS MANGA⭐ J'ai lu Sailor Moon Eternal Édition T09/ @pikaedition 💮J’ai été happée par cette suite et j’ai bien aimé l’arrivée de ces nouvelles Sailor qui nous font découvrir un univers plus large que celui que nous connaissions déjà.
Mon avis : J’ai vraiment aimé cette suite. J’admets avoir eu un peu peur que ça tourne en rond ou que ce soit redondant, mais on sent l’évolution de certains personnages et notamment avec celui d’Usagi. Je l’ai trouvé plus mûre ici. Alors, nous sommes dans un nouvel arc avec de nouveaux méchants, mais des vilains que je trouve plus ambivalents et moins manichéens qu’à l’accoutumée, même s’ils le…
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antonknightsblog · 1 year
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Nouveau roman signé Tetsuya Sano pour Akata
Nouveau roman signé Tetsuya Sano pour Akata
Après Rendez-vous au Crépuscule et son spin-off, ainsi que, Nos mondes i-maginés, Akata publiera un troisième roman signé Tetsuya Sano: Ao Haru Point (titre provisoire).
L'auteur poursuit son exploration du malêtre adolescent dans un nouveau récit ou le fantastique tient toujours une place importante dans l'histoire.
Sortie prévue au mois de mai.
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Synopsis
Aoki est un lycéen peu sociable. Il souffre d'une mauvaise image au sein de sa classe et est très isolé. Mais il cache un secret : il est capable de voir des "points" au-dessus de la tête des gens ! Ces chiffres indiquent des scores reflétant ce que vaut chaque personne aux yeux de la société. Mais son plus gros secret encore, c’est qu’il aime Naruse, une camarade qu’il a rencontrée grâce à son intérêt pour les shôjo mangas. Mais cette dernière est bien mieux noté que lui… Dans l’espoir d’augmenter son classement (et d’être au niveau de la fille qu’il aime), il décide de venir en aide à Kasuka, une camarade de sa classe encore moins bien notée que lui. Mais peut-on vraiment aider quelqu’un sincèrement quand on a des objectifs cachés ?
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otakuplayerfr · 1 year
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Le manga Two F/aced Tamon édité chez Crunchyroll
Après Takane & Hana, Yuki Shiwasu revient avec sa nouvelle comédie romantique à travers ce shôjo placé sous le signe de l’amour et de l’humour ! Une plongée trépidante et romantique au cœur du monde du divertissement en compagnie d’une star à deux facettes... source http://www.otakuplayer.fr/2023/01/le-manga-two-f/aced-tamon-edite-chez-crunchyroll.html
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lamangasserie · 1 year
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Salve de tomes 1: épisode 3
Seulement trois mois se sont écoulés depuis mon dernier article de tomes 1. Entre temps, j’ai enfin pu lire le tome 2 de Kageki Shojo, continuer les lectures du Requiem du Roi des Roses ainsi que de Ton visage au clair de lune, et même terminer Kids on the Slope (qui était génial !). J’ai consacré la fin de l’année 2022 à ce dernier, à Nakamura Asumiko dont j’ai relu All About J et Inheritance of Aroma puis, enfin, à la tannée qu’a été Vampires d’Osamu Tezuka. Depuis le début de cette année, je n’ai pas énormément lu. Je me suis plongée à corps perdu dans la huitième partie de JoJo’s Bizarre Adventure: Jojolion. J’ai aussi eu une fringale de BL donc j’en ai profité pour découvrir le travail de Scarlet Beriko dont je recommande vivement Jealousy ! J’ai aussi commencé Gals! (Mihona Fujii) que je prends le temps de lire tant c’est une lecture qui me fait chaud au cœur ! J’avoue m’être aussi investie dans le webtoon, en continuant Rumor Has It (sungA) à raison d’un chapitre par jour et en commençant le dernier titre de Soonkki, After School Lessons for Unripe Apples. Toujours est-il que trop de Jojo tuant le Jojo, je me suis dit qu’il était temps que je m’attaque un peu à ma pile à lire qui ne fait que de grandir. Ainsi, j’ai entamé la lecture de plusieurs mangas… Shôjo, josei, shônen, seinen, tout y passe !
Le premier manga à être passé entre mes mains est Yasha d’Akimi Yoshida. Pré-publié dans le magazine shôjo Betsucomi, le manga est disponible en France aux éditions Panini à 16,99€. Sei Arisue est un petit garçon, il vit paisiblement sur l’île d’Okinawa auprès de sa mère et de son meilleur ami, Toichi Nagae. Enfant aux capacités extraordinaires, il se retrouve kidnappé par un mystérieux groupe. Six années après, on retrouve Sei aux États-Unis, scientifique accompli travaillant pour le groupe pharmaceutique Neo Genesis.
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Akimi Yoshida ne fait pas vraiment partie de mes mangakas fétiches. Pourtant, quel plaisir ça a été de la retrouver avec Yasha ! La comparaison avec Banana Fish est inévitable: l’ambiance et les personnages sont similaires et la maestria de narration de la mangaka reste la même d’un manga d’action à un autre. Pourtant, j’ai trouvé à Yasha suffisamment de points de divergence dans l’histoire avec Banana Fish pour que le titre ne souffre pas de cette comparaison. C’est un nouveau contexte, et les ramifications de l’histoire sont différentes. Évidemment, j’ai aimé les passages d’action ! Tout d’un coup la tension monte grâce à un jeu de trames redoutable, et le manga bascule dans l’action d’une page à l’autre. Akimi Yoshida vient casser les angles droits de ses cases rigoureusement rectangulaires, amenant ainsi du mouvement, et n’hésite pas à mettre la dose de lignes de vitesse pour nous embarquer au cœur de l’action ! Ce type de découpage a beau être le fondement d’un passage d’action, il n’en demeure pas moins super efficace. La mangaka utilise très justement, avec un certain équilibre, chaque élément pour que ces passages convoquent le sentiment d’importance lié aux situations au sein de l’histoire. Je ne saurai mettre exactement le doigt dessus, mais il y a quelque chose de redoutablement percutant chez Akimi Yoshida. De plus, les personnages de Yasha, et particulièrement les jumeaux (car c’est une histoire de jumeaux !) ont quelque chose de très fascinant. À chaque fois qu’on pense être proche de Sei, dans les moments comiques notamment, il nous échappe. Je crois que cet aspect, avec un personnage principal insaisissable et grandement fascinant, participe au plaisir que j’ai ressenti en retrouvant Akimi Yoshida avec Yasha. Au fil des pages, les mystères entourant Sei s’épaississent, l’histoire nous échappe. Il me tarde de lire la suite pour découvrir jusqu’où Akimi Yoshimi m’emmènera avec Yasha !
Le second manga de la liste est Toilet-Bound Hanako-kun d’AidaIro. Étiquetté shônen par l’éditeur français Pika, le manga est en cours de publication au sein du magazine à la cible éditoriale mixte: G-Fantasy. Le manga est disponible dans toute bonne librairie pour un prix de 7,70€. Nene Yashiro a un crush… à sens unique. Désespérée, elle décide de s’en remettre à la légende de Hanako, un esprit qui hanterait les toilettes de l’école. Cependant, tout vœu formulé auprès de Hanako a un prix… Nene se retrouve à devenir l’assistante de Hanako ! Ainsi débutent les aventures d’Hanako et de son assistante Nene au sein de l’école Kamome !
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Est-ce que vous vous attendiez à un avis sur Toilet-Bound Hanako-kun de ma part ? Moi non ! Mais de nombreux passages en librairies m’ont rendue curieuse ! Je trouve chacune des couvertures de ce manga superbes. J’aime beaucoup l’ambiance mystérieuse et fantasque qui se dégage de ces illustrations. Je trouve aussi le travail de AidaIro autour de la couleur très beau, que ce soit dans le rendu de la technique et des outils employés que dans la palette choisie pour chaque tome. Mais ai-je bien fait de me fier aux couvertures ? Eh bien, je dis que oui ! J’ai été ensorcelée par ce premier tome ! Je suis complètement sous le charme du dessin de l’auteur et de l’univers qu’il a réussi à développer. Fourmillant de détails, je suis retrouvée totalement immergée dans cet univers cabalistique fait d’esprits, de fantômes et de légendes urbaines japonaises. De plus, le style moe, accompagné de la souplesse du trait, fait de Toilet-Bound Hanako-kun un manga aux graphismes irrésistibles. Je suis aussi très charmée par le côté épisodique du manga, chaque chapitre est comme une nouvelle aventure à la découverte d’un nouvel esprit. Un fil rouge commence aussi à se mettre en place, notamment autour des origines de Hanako-kun et de l’apparition du personnage de Minamoto qui s’ajoute au duo formé par l’esprit et Nene. À l’image d’un Détective Conan, c’est un manga qui peut durer très longtemps grâce à son côté épisodique, et dont le fil rouge ne viendra tisser la toile de fond que de manière très sporadique. Seuls les tomes suivants me le diront !
Le troisième manga de cette salve de tomes 1 est Entre les lignes de Tomoko Yamashita. Pré-publié dans l’excellant magazine Feel Young, Entre les lignes est publié en France par les éditions Kana et est disponible au prix de 7,55€. Le manga commence avec le personnage adolescent d’Asa qui, après avoir perdu ses parents dans un tragique accident de voiture, emménage chez sa tante écrivaine Makio. Les deux, parentes mais distantes, vont devoir apprendre à vivre ensemble.
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Enfin ! Après tout mon cercle Twitter, je me lance dans Entre les lignes ! Je ne sais pas si je peux dire que j’ai aimé ce premier tome, si je le prends simplement comme un tome isolé des suivants. Cependant, il m’a donné envie d’en apprendre plus sur Asa et Makio. C’est un premier tome qui pose les bases, qui nous indique les problématiques qui se noueront ou se dénoueront dans les tomes suivants. Tout de suite, on en apprend beaucoup: le mystère autour de la relation d’Asa avec ses parents, la mésentente entre Makio et sa sœur, ou encore, le travail et les relations extérieures de Makio. Bien sûr, aussi, le cœur de l’histoire: les liens à nouer entre Asa et Makio, comment elles vont cohabiter et comment leurs individualités vont s’entrechoquer. J’ai trouvé ingénieux de faire ces premiers chapitres en deux temps. Le tout premier chapitre est un chapitre qui se passe au présent, puis les suivants, jusqu’à la fin du tome, sont un flash-back de l’arrivée d’Asa chez sa tante. Ce sont ces deux temps qui me rendent curieuse vis à vis de la suite, que s’est-il passé entre le premier chapitre, où Asa est en terminale, et le reste, où elle est en 3ème ? Graphiquement, on retrouve bien le côté minimaliste de Tomoko Yamashita. La mangaka utilise aussi des techniques classiques de ce genre de récit centré sur les relations sociales: le fond noir pour les souvenirs, et beaucoup de jeux de regards entre les personnages. La mangaka utilise aussi de manière brillante la métaphore du désert pour le vide intérieur ressenti par Asa. « C’est sûrement la solitude. » dit Makio. Dans ces moments de vide, Asa n’est même plus dans le lieu présent, elle est dans le désert de son être. Plutôt qu’être une lecture qui m’aura passionné, le premier tome d’Entre les lignes m’a laissé un sentiment de grande curiosité. Que se passera-t-il pour Asa et Makio, qu’on t-elles au fond d’elles ? Comment est-ce que leur relation va évoluer ? Si je suis curieuse de connaître la suite, je pense que c’est un manga que je ne lirai qu’avec parcimonie, afin d’en profiter au maximum.
Le quatrième manga à m’être passé entre les mains est Mon Petit ami Genderless de Tamekou. Lui aussi pré-publié dans le magazine Feel Young, il est publié dans nos contrées par les éditions Akata, et est disponible pour un prix de 8,05€. Wako est une jeune femme travaillant pour une maison d’édition. Son petit ami, Meguru, est un homme genderless travaillant dans une boutique de vêtement, et est très populaire sur les réseaux sociaux. Couple hétéro défiant les conventions, on suit leurs aventures au quotidien. Avant d’aller plus loin, il convient de dire que genderless, ici, ne veut pas dire non-binaire, mais se réfère davantage à un style vestimentaire défiant la règle des vêtements genré.
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Intéressée par la mode, les styles alternatifs, j’avais eu hâte de découvrir Mon Petit ami Genderless ! Puis par manque de moyens, je l’ai laissé filer jusqu’à finalement le trouver en occasion. J’avoue que ce n’est pas plus mal, car j’en suis ressortie assez mitigée. Commençons par le positif ! J’adore le dessin de Tamekou, il est assez fin, pop et acidulé. Malgré l’absence de couleur dans le manga, ce côté acidulé se retrouve notamment dans les trames utilisées par l’auteur: étoiles, cœurs, carreaux, dentelles ou encore pois sont omniprésents. J’ai aussi beaucoup aimé les moments comiques, notamment le malentendu avec la collègue de Wako qui, après avoir croisé cette dernière et son petit ami genderless dans la rue, est persuadée que celle-ci est lesbienne. Ce qui est comique ce n’est pas que Wako soit potentiellement lesbienne, mais qu’elle laisse croire à sa collègue que c’est vrai, alors que tout le monde sait que c’est faux. Globalement, le manga aborde les rôles de genre sous différents angles (comment on doit s’habiller, qui fait quoi à la maison) d’une manière tellement naturelle et légère que c’en est presque imperceptible. Pour ça, Mon Petit ami Genderless est une véritable bouffée d’air frais. Cependant, ce n’est pas un manga qui m’a véritablement intéressée ou fait ressentir quoique ce soit d’excitant. Je n’aime pas vraiment la dynamique du couple principal où on a l’impression que Wako est une fangirl de son propre petit ami. J’ai été déçue de la mode dedans. Pour le peu qu’il y a, j’ai trouvé ça assez moche… Surtout, je crois qu’il manque à Mon Petit ami Genderless une direction vers laquelle aller. Wako et Meguru sont déjà en couple, et tout se passe pour le mieux entre eux. Quoi de plus ? J’ai bien compris que Tamekou avait l���ambition de faire un manga slice of life mignon, qui réchauffe le cœur, mais je ne vois pas dans quelle direction le manga va. Rien n’a su attiser ma curiosité. Pour l’instant, je n’ai pas l’intention de continuer, à voir si j’y repense dans les mois à venir.
Enfin, l’ultime manga de cette liste est Du mouvement de la Terre de UOTO. Pré-publié dans le très bon magazine Big Comic Spirits, le manga est publié en France par les éditions Ki-oon pour un prix de 7,95€. Dans l’Europe du Moyen Âge, Rafal est une jeune garçon prodige, futur théologien, et passionné d’astronomie. Il rencontre Hubert, un hérétique repenti qui va le pousser à se poser une question alors contraire au dogme religieux: où se place la Terre parmi le monde ? Est-elle au centre du monde, comme l’a démontré Ptolémée et comme le voudrait Dieu, ou non ? Au contact de Hubert, la vie de Rafal bascule. Contre tous, il décide de dédier sa vie à la théorie de l’héliocentrisme.
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En bonne fan de récit historique, Du mouvement de la Terre était une des nouveautés que j’attendais le plus cette année, et je ne suis pas déçue ! De prime abord, on pourrait penser que le sujet de l’héliocentrisme est bien vaste, pas franchement intéressant. Pourtant, c’est un sujet que je trouve passionnant, et qui en dit long sur le passé de l’humanité, sur comment l’humanité s’envisageait au sein de l’univers. Malgré le sujet complexe, le manga est tout à fait accessible et ne cherche pas à nous expliquer en détails la théorie de l’héliocentrisme. Plutôt que de choisir un angle rigoureusement historique et scientifique, UOTO s’attache davantage à nous livrer un récit d’aventures. En effet, plus qu’un conflit d’idéologies, c’est une véritable poursuite entre l’Église, représentée par le personnage de Novak l’inquisiteur, et les sciences, représentées par Rafal, qui se dessine. Au niveau graphique, j’ai trouvé ça plutôt chouette. Il y a de très belles pages et de bonnes idées de mise en page. J’ai notamment aimé les pages où l’auteur insiste sur le regard du jeune Rafal, puisqu’après tout, l’astronomie n’est qu’une question d’observation. Je peux tout de même lui reprocher d’être un poil cliché façon « seinen mature se déroulant au Moyen Âge ». On y trouve des moments de violence graphique ou encore des doubles pages d’une extrême puissance soudaine par exemple. Le manga reste dans l’ambiance « Moyen Âge sombre et violent ». UOTO est un auteur encore jeune, et je suis persuadée qu’il emmènera ce récit très haut et très loin. Du mouvement de la Terre promet d’être un récit passionnant, aussi bien dans le fond que dans la forme.
Cet article touche déjà à sa fin ! Mon préféré de la liste est de loin Du mouvement de la Terre. Est-ce vous avez lu ces titres ? Si oui, vous en avez pensé quoi ?? Dites-moi tout sur Twitter ! Vous avez peut-être remarqué, mais j’ai changé le titre de ces articles consacrés aux tomes 1, je ne pouvais plus me voir « …comme s’il en pleuvait ». Pour terminer, merci encore de m’avoir lu jusqu’ici, une nouvelle fois, et on se retrouve sur Twitter, Ko-fi (oubliez de jeter un œil à mon super marque-page !!) et, pourquoi pas sur Anilist. Portez-vous bien, des bisous.
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mangacultes80 · 1 year
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Orange (13 Set)
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Noms: Orange
Type du Set: Série
NB De Fichiers: 13 Fichiers
Taille du Fichiers : 902 Mo
NB Images: 6.083 Imgs
Taille des Images: 1920x1080
Date de Publication : 05.10.2022
Genres: Drame - Mystère - Romance - School Life - Shôjo - Slice of Life - Surnaturel
Age conseillé : Tous Public
Liens des Téléchargement du Set Images : Orange (13 Set)
Découvrez cette série en Streaming sur Le Groupe de OK "Zen Manga 'et encore bien d'autre Série en Streaming voici les Lien de "Orange" en Streaming Direct Gratuit...
La Full chaine de Orange sur Ok (13 Épisodes de la Série en Streaming) : Ici
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Un jour de printemps, Naho Takamiya, âgée de 16 ans, reçoit une étrange lettre signée de son propre nom, datant de dix ans dans le futur. Elle croit d'abord bien sûr à une plaisanterie. Cependant, en commençant à lire la lettre et les détails qui y sont écrits, elle se rend compte au fur et à mesure que des évènements relatés se sont réalisés tels que l'arrivée du nouvel étudiant, Kakeru Naruse, qui est assis à côté d'elle en classe. Dans la lettre, la Naho du futur parle de ses nombreux regrets, sous-entendant à la Naho du présent de prendre de meilleures décisions, en particulier concernant Kakeru. En effet, le jeune garçon n'est plus de ce monde dans le futur. La Naho du futur lui demande donc de veiller sur lui...
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peachesandmilktea · 2 years
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Hey sunny!! What’s your top 5 on anime?
Not necessarily in order but !
Akatsuki no Yona
Asobi Asobase
Gekkan Shôjo Nozaki-kun
Angel Beats
Kimetsu no Yaiba
To be very honest, I read manga way more than I watch anime! And I tend to be more into humor and comedy hehe. The reason I put Kimesu no Yaiba is mostly for the quality of the animation, I think it's gorgeous! I haven't read the manga yet though!
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anm-blog · 2 months
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