Tumgik
#si ça se trouve dans une semaine je poste un truc qui sait
bourbon-ontherocks · 1 year
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(Previously, on the HPI rewatch...)
Bon là on est clairement  sur le début de la fin, aka l'épisode où j'ai commencé à perdre toute santé mentale.
Déjà la gêne COLOSSALE de la scène d'introduction je meurs
eLLe a dEmaNDé à dOrMiR chEz lUi... 🥹
IL LUI A TENU LES CHEVEUX 😭😭😭
Non mais je sais pas si vous vous rendez bien compte, là. Il lui a tenu les cheveux pendant qu'elle vomissait. A deux heures du mat. Après avoir été la chercher au poste ou on ne sait où alors qu'il avait sûrement mieux à faire. Mr. "C'est SALE" qui se lave les mains dix fois par jour a tenu les cheveux de Morgane bourrée. C'est -- j'ai même plus les mots, à ce stade c'est une déclaration d'amour et c'est la chose la plus romantique qu'il ait jamais faite pour elle 😱
NON je m'en suis toujours pas remise
"Vous m'avez tenu les cheveux, c'était gentil..." je la vois TELLEMENT lui sortir ça bourrée, retenez-moi... 😩
Pour rappel, c'est littéralement et uniquement cette phrase qui est à l'origine de Show you where it's dark. Just saying.
LE FICUS 🪴🪴🪴
Morgane qui bloque en boucle sur Karadec à poil c'est beaucoup trop drôle, girl, your obsession is showing
"Vous et moi on a mis un peu de temps avant de trouver une manière de travailler ensemble, je voudrais pas que cet incident vienne tout gâcher..." vous croyez que c'est aussi ce qu'il lui a dit dans la voiture entre Calais et Lille ? 😢
"On attend la PTS" suivi de Morgane qui déchiquète le punching ball, elle n'essaye même pas, je l'adore
"Vous allez faire la gueule toute la semaine ?" "Ouais" La synchronisation de Gilles et Daphné est absolument parfaite 😂
Bon par contre c'est quand-même la troisième enquête de la saison avec une mère qui a perdu son fils, faudrait se renouveler un peu, là...
"Non mais sérieux vous avez cinq ans, quoi.." Morgane ? Morgane ?! Heu, hôpital, charité, tout ça, ça te dit quelque chose ?
On a le droit de prendre sa voiture en Ehpad ? Non parce que là Henri nous apprend que sa mère est morte au volant, mais dans l'épisode suivant il nous dit qu'elle était en Ehpad depuis des années, I'm confused.
Morgane qui vit dans sa voiture et qui se fait virer du parking tout en mentant à Théa, c'est quand-même un des trucs les plus déprimants du monde 💔 ...
... Par contre Morgane qui s'incruste au dîner en tête-à-tête d'Adam et Roxane, c'est hilarant.
J'ADORE la subtilité de Roxane qui sort "Non mais y'a vraiment des gens sans gêne" en parlant totalement de Morgane sans que Morgane s'en rende compte, en vrai elle est beaucoup trop cool pour Adam 😅
Et puis ça me fait mourir de rire que globalement Roxane soit plus amusée qu'autre chose par le débarquement de Morgane, alors que Adam est au bout de sa vie
Et c'est LUI qui passe son temps à s'excuser, comme s'il était responsable du fait que sa collègue s'incruste, this speaks volumes about him tbh 😆
"C'est délicieux, mais c'est vrai que c'est un petit peu fade" Pahahaha, cette femme manie l'oxymore d'un façon magistrale 🤣 mais du coup est-ce que ça veut dire que sans Morgane elle aurait subi en silence ? Donc au fond, elle la remercie pour son initiative ketchup-mayo ?
Allez, rien que pour le plaisir, je vous mets petit goret Morgane qui s'en fout partout en imax
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"Je le trouve vraiment craquant quand il s'énerve" et bah NOUS AUSSI
Bon, j'le dis ou j'le dis pas ? Karadec is officially a slut, c’est juste dommage que pour une fois qu’on a l’occasion de voir cet aspect de sa personnalité, ça soit pas avec Morgane... 😏
Mais sinon c'est juste adorable que ce soit lui qui décide de rogner sur les horaires pour prolonger les câlins, Mr. “le meilleur moyen d'être à l'heure c'est d'être en avance” ? 🥰
Morgane qui débarque à littéralement une seconde et demie d'une scène de sexe explicite 🤭😘
Roxane qui est morte de rire pendant l'intervention de Morgane, j'arrive pas à savoir si c'est Clotilde qui a pas gardé son sang-froid ou pas, mais elle est tellement plus chill qu'Adam, good for her
Et aussi, pourquoi Adam est aussi stressé à l'idée que Morgane fouille dans son pantalon ? Elle risque d'y trouver quoi, des capotes ?
HPI 🤝 Kaamelott => grumpy trouple energy
Vous pariez que Karadec les reverra jamais ses vingt balles ?
"J'étais jalouse des autres femmes, j'ai compris que j'étais en train de m'attacher, etc..." non non non, c'est pas DU TOUT on the nose haha
Céline et Daphné qui veulent aller draguer en mode non mais c'est un super plan et on y va absolument pour le boulot... LOL
Le "Pardon !" vénère de Daphné quand elle se casse après avoir suggéré à Morgane de s'excuser me fait toujours autant rire 😅
PAR CONTRE
Le fait que ça catalyse Morgane qui va s'excuser auprès de Ludo parce qu'elle réalise qu'elle va le perdre comme elle a perdu tout le monde dans sa vie, ça me 😭
Les explications sur la piste de danse... Encore une occasion manquée de voir Céline sortir à Morgane qu'Adam a failli démissionner pour elle 😢 Sinon vous avez remarqué que Céline danse la macarena ?
Le CHAOS absolu de cette sortie, quand-même, entre Céline et Morgane qui sont passées à ça 🤏 de se pécho sur un suspect pendant que Daphné vit sa meilleure vie sur la piste de danse 😅
La voix de Morgane qui déraille quand elle s'excuse auprès de Ludo gets me every fucking time 💔😰 Audrey Fleurot sait tellement bien jouer quand elle veut...
J'y crois pas, elle continue à sortir des bobards à Adam sur son soi-disant hôtel, et lui pas dupe il dit rien mais il sait très bien qu'elle ment c'est TELLEMENT mignon
Il lui a gardé une assiette, hello 😍
"Vous vous brossez réellement trois minutes ?" oh putain je commence à faire des palpitations 🙊
POURQUOI ils se brossent les dents ensemble comme un vieux couple, d'abord ??? Qui fait ça ? Vous faites ça quand vous hébergez un collègue en galère, vous ? Genre Adam était TELLEMENT pressé d'aller se coucher, il a pas pu attendre trois minutes ? Mais enfin 😆
Et Morgane qui remet sur le tapis le fait qu'elle l'a vu à poil
LE BROSSAGE DE LANGUE 😱😱😱   
Sérieusement, si on m'avait dit qu'un jour je shipperais des gens qui se brossent la langue je l'aurais pas cru
La naissance de 💫 Brosse Adam 💫 , ladies and gentlemen
"Vous vous lavez la langue ?"
Le SOURIRE de Morgane
Elle se fout de sa gueule mais en même temps on voit la vulnérabilité et l’attirance qui percent sous le masque, et je --- 😩😩😩
la GÊNE ABSOLUE
Adam qui sait plus où se mettre 🤣
"Vous avez des projets, ou...?" c'est pas DU TOUT parce qu'elle l'a vu sur le point de mettre lesdits projets à exécution avec Roxane, non non non
LA TENSION 🥹🥹🥹
Ce moment où ils n’ont PAS PU ne pas penser à s’embrasser
On ne m’ôtera pas de l’esprit qu’ils en mouraient tous les deux d’envie 🫠
Leurs regards dans le miroir, ils peuvent même plus se regarder en face oh my god 😩
Morgane qui geint "éteindre la lumière" comme si elle était au bout de sa vie (she probably is)
(Local Woman Just Hit On Her Very Not Single Boss, etc)
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Hold on I need a minute
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J'adore, parce que l’argument massue de Morgane c’est "le mec a réservé ses billets d'avion vachement à l'avance et il choisit la place à côté des toilettes", heu, deux semaines avant pour un vol international, vous appelez ça à l'avance, vous ?
"Au début il m'agaçait mais petit à petit... [...] c'était plus fort que nous" La façon dont Adam regarde Morgane pendant tout ce passage me tue. C’est l’épisode où elle réalise qu’elle est amoureuse, mais on dirait que c’est LUI qui se sent concerné, j’en peux plus 🥵
"Je tombe enceinte à chaque fois que je suis amoureuse" Ah non, hors de question. Leave Morgane’s uterus alone 2k23
Je rêve, ils ont même pas pris la peine de créer un fil WhatsApp crédible, là on dirait que la conversation vient de démarrer avec Ophélie alors que c'est sa cliente depuis trois mois 😅  l’amateurisme technologique de TF1 me surprendra toujours
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"Et Gilles qui a fait... sans doute un tas de trucs" 😂😂😂
La façon dont Adam est complètement obsédé par Morgane dès qu'elle ne vit plus chez lui ça me rend dingue. Je le vois. Roxane le voit. Les acariens dans sa moquette le voient. Lui, non, il voit pas.
Tu m’étonnes que Roxane fasse des recherches sur Morgane, après...
Morgane qui hallucine Adam en train de se brosser la langue dans la cellule du commissariat -> poetic cinema 😍
ELLE LUI A PIQUE SA BROSSE A DENTS EN BAMBOU
La révélation finale de Morgane est absolument magique, pas parce qu’elle prend conscience de ses sentiments, mais parce que ce show s'auto-fanvid c'est extraordinaire 😅 
Ce montage de tous leurs petits moments 😘😘😘 Les moments où elle fait rire Adam... leurs câlins... leur complicité 🥹🥹🥹
Et mention spéciale aux petits bébés chats qui se font des léchouilles, ça me fait mourir de rire à chaque fois et c’est exactement comme ça que je veux les voir en saison 3 (ouais je sais c’est mal barré, BUT STILL, gimme my kittys 😻😽)
Oh ! Pour une fois je finis pas un épisode avec le cœur en miettes dis-donc !
M’enfin c’est juste histoire de reprendre des forces avant la suite, hein...  😏
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subito-texto · 6 years
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désolée j’avais un peu oublié ce blog et en fait j’ai pu trop envie de l’utiliser mais je le garde pour les références et pour y revenir peut-être un jour
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lucileaa · 3 years
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POST KV1 (fanfic)
Après avoir vu le film, il fallait que je comble “les trous” de l’histoire d’Arthur et Guenièvre. Je n’ai écrit que des moments qui les concernent. Je suis même allée un peu plus loin pour la fin... Certains diront trop, mais peu importe ! :) Bonne lecture.
1.    INT. TOUR DU ROI BAN – NUIT
ARTHUR et GUENIÈVRE échangent un baiser. Ils entendent du bruit à l’étage. ARTHUR prend GUENIÈVRE par la main et ils s’enfuient.
2.    EXT. FORÊT – NUIT
ARTHUR et GUENIÈVRE courent et s’enfoncent dans la forêt.
GUENIÈVRE (essoufflée) : On peut faire une pause ?
 Ils s’assoient côte à côte.
ARTHUR : Venez là, vous tremblez de froid.
GUENIÈVRE : Je peux vous poser une question ?
ARTHUR : Allez-y.
GUENIÈVRE : Vous avez eu pitié, c’est ça ?
ARTHUR : Pitié ? De ? … Attendez, pas du tout.
GUENIÈVRE : Alors, vous avez voulu me faire plaisir.
ARTHUR : Quoi ? Absolument pas. Enfin si, mais c’est pas…
Cris d’animaux.
GUENIÈVRE : C’était quoi, ça ?
ARTHUR : C’est rien, c’est un ours. Écoutez…
GUENIÈVRE : Mon dieu, un ours ?
ARTHUR : Oui, ou un loup, ou les deux, peu importe.
GUENIÈVRE est terrorisée.
ARTHUR : Qu’est-ce qu’il y a, vous voulez rentrer ?
GUENIÈVRE acquiesce, inquiète.
ARTHUR : Allez, venez… Vous avez vu, je râle pas.
3.   INT. CHÂTEAU DE CARMELIDE – NUIT
Le lendemain, après la fuite de LANCELOT. GUENIÈVRE est dans sa chambre, devant sa coiffeuse. On frappe.
GUENIÈVRE : Qui est-ce ?
ARTHUR : C’est moi.
GUENIÈVRE : Entrez… Vous non plus, vous arrivez pas à dormir ? (Timidement) Vous voulez qu’on discute ?
Ils s’assoient sur le lit.
ARTHUR : Quand vous étiez dans la tour, comment vous avez fait pour pas…
GUENIÈVRE : Pour pas devenir folle ou pour pas me jeter par la fenêtre ?
ARTHUR : Oui. Enfin, les deux, quoi.
GUENIÈVRE : Je sais pas trop. Je me récitais des poèmes, je lisais. Je discutais avec la petite. Je pensais à ma famille, à la Carmélide, à… (elle le regarde) À des choses. Et vous, là où vous étiez, vous pensiez à quoi ?
ARTHUR : À rien. Je tannais des peaux, je graillais, je dormais. C’est tout. Je réfléchissais pas.
GUENIÈVRE : Vous vous êtes jamais dit que, peut-être, vous pourriez revenir ?
ARTHUR : Non. Je vais pas vous mentir.
GUENIÈVRE : À aucun moment ?
ARTHUR secoue la tête.
GUENIÈVRE : Et maintenant ?
ARTHUR : Maintenant, je sais pas... Ce qui est sûr c’est qu’il va me falloir du temps.
GUENIÈVRE : Oh vous savez, je sais ce que c’est d’attendre, j’ai eu des années pour m’habituer.
ARTHUR : Justement, après tout ce que vous avez vécu, vous avez pas envie de, je sais pas, moi, de tout envoyer balader et de ficher le camp ?
GUENIÈVRE : Vous savez de quoi j’ai envie ?
ARTHUR (déglutit) : Dites toujours.
GUENIÈVRE : J’ai envie de vivre comme je l’entends, de me lever le matin et d’aller où bon semble, de parler à qui je veux, de faire ce que je veux, sans avoir peur, ni la gorge nouée. Je veux plus avoir à m’inquiéter pour quelqu’un. J’ai envie de faire des choses utiles, d’avoir des responsabilités, de rendre service aux gens. Mais surtout, j’ai envie de faire des choses pour moi, pour une fois.
ARTHUR : Vous avez raison. Je sais qu’on peut pas tout effacer ni revenir en arrière. Par contre, on peut aller de l’avant. On peut essayer, en tout cas. A notre rythme.
GUENIÈVRE : Ensemble ?
ARTHUR : Ensemble.
Ils se sourient.
GUENIÈVRE : Bon, ben je… Je vais aller me coucher.
ARTHUR : Oui, oui. Tout à fait. Moi aussi.
Ils se lèvent d’un bond, un peu intimidés.
GUENIÈVRE : Vous…
ARTHUR : Je… ?
GUENIÈVRE : Non, rien.
ARTHUR : Vous voulez que je parte ?
GUENIÈVRE : Non. Vous pouvez rester. Enfin, si vous voulez, je vous oblige pas.
ARTHUR : Non, non. Mais oui, je peux rester. Si c’est ce que vous voulez aussi, bien sûr.
GUENIÈVRE : Oui, vous… Vous pouvez peut-être m’aider à dénouer ma robe ?
ARTHUR : Je peux.
Il défait les lacets de sa robe, embrasse son épaule et l’enlace, de dos.
ARTHUR : Vous avez un truc dans les cheveux, là.
GUENIÈVRE (se retournant) : Ah bon, où ça ?
ARTHUR l’embrasse. GUENIÈVRE se laisse aller. Ils s’allongent sur le lit.
4.   INT. CHÂTEAU DE KAAMELOTT – JOUR
Deux semaines plus tard, les anciens et les nouveaux chevaliers attendent le roi autour de la Table Ronde.
LEODAGAN : Mais qu’est-ce qu’il fabrique encore celui-là, nom de nom ? C’est pas possible. Ça fait trois plombes qu’on attend.
LIONEL : En effet, avec tout le respect que je dois au Roi Arthur, ce serait bien qu’il se hâte.
CALOGRENANT (à Merlin) : Dites, on va devoir encore attendre longtemps ?
MERLIN : J’en sais rien, moi. Il m’a juste dit qu’il venait aujourd’hui.
CALOGRENANT : Non, parce que j’ai promis à ma femme que je rentrerais ce soir. On prépare les festivités d’hiver.
LEODAGAN : Y a des fêtes chez vous, maintenant ?
CALOGRENANT : Oui, enfin moi, j’y vais juste pour picoler.
YVAIN  : Ça commence sérieusement à me saouler d’attendre.
BOHORT : Notre bon Roi a beaucoup à faire. Il est occupé.
LEODAGAN : Vous rigolez ? Occupé à quoi, à pioncer ?
MERLIN : C’est vrai que ça fait deux semaines qu’on l’a pas vu. Il sort pas de sa piaule.
BOHORT : Il est avec la reine. J’imagine… (gêné) qu’ils ont beaucoup de choses à se dire.
LEODAGAN : Ah ben, c’est nouveau ça ! C’est vrai que ma fille non plus, je l’ai pas vue depuis 15 jours…
KARADOC : L’autre jour, on est allés frapper à la porte de leur chambre. On s’est fait carrément rembarrer. Arthur nous a dit d’aller voir ailleurs s’il y était.
PERCEVAL : Et il y était pas.
MERLIN : La 5e fois, il nous a même balancé une bassine en pleine tronche.
LEODAGAN : C’est dingue cette histoire, qu’est-ce qu’il fichent tous les deux ? Ils écrivent un bouquin ou quoi ?
GAUVAIN : Mon oncle compose peut-être un recueil de doux poèmes en l’honneur du retour de la reine.
BOHORT (romantique) : Ils rattrapent certainement le temps perdu…
PERCEVAL : Ou alors, ils rédigent les règles d’un nouveau jeu. Une fois, mon frère a mis deux mois à m’expliquer les règles de la Tariscouète. Ça se joue avec une balle et on doit décaniller 328 pots en terre.
KARADOC : Ou alors, ils parlent de bouffe.
HERVE DE RINEL : Non, mais je les ai vus sortir y a une heure. Ils allaient dans le jardin.
ARTHUR entre enfin, décoiffé, des fleurs dans les cheveux.
LEODAGAN : Ah ben, enfin ! C’est pas trop tôt. On a failli attendre.
LIONEL : Bonjour, Sire.
ARTHUR : Excusez le retard. J’avais une affaire urgente à régler.
BOHORT (lui faisant des signes) : Sire, vous avez… des pétales de rose dans les cheveux.
ARTHUR : Ah, oui. C’est rien, ça. Laissez. Alors, de… De quoi vous causez ?
LEODAGAN : Ben, ce serait plutôt à vous de nous le dire, non ? C’est pas comme si ça faisait une heure qu’on vous attendait.
GUENIÈVRE entre. Elle aussi est décoiffée, avec des fleurs dans les cheveux.
GUENIÈVRE : Bonjour, bonjour ! Pardonnez-moi d’interrompre la séance, mais vous avez oublié ça et quand on… discutait, j’ai cru comprendre que c’était important.
ARTHUR (prenant le parchemin) : Ah oui, merci.
Tous se regardent et sourient, sauf LEODAGAN.
GUENIÈVRE : Bon, ben, j’y vais. Travaillez bien !
GUENIÈVRE sort.
LEODAGAN : C’est moi ou on dirait deux ados complètement idiots ?
ARTHUR : Ça va bien aller, oui !
LEODAGAN : Bon, vu que vous daignez enfin nous faire l’honneur de votre présence, on pourrait peut-être commencer ?
ARTHUR : Vous, vous avez de la chance que je sois de bonne humeur ce matin.
MERLIN : On sait pourquoi…
Ricanements.
ARTHUR : Bon, allez, allez. Au boulot !
5.   EXT. CLOÎTRE DE KAAMELOTT – JOUR
Trois ans ont passé. ARTHUR revient d’une bataille. Un petit garçon court à sa rencontre.
LOHOT : Papa ! Papa !
ARTHUR : Eh ! Comment ça va, mon grand ?
L’enfant se jette dans ses bras.
ARTHUR : Tu vas bien, mon chéri ?
LOHOT dodeline de la tête.
ARTHUR : Où est maman ?
LOHOT montre du doigt GUENIÈVRE qui vient vers eux en souriant.
GUENIÈVRE : Il court plus vite que moi ! Vous voilà enfin de retour…
ARTHUR et GUENIÈVRE s’embrassent. LEODAGAN et SELI marchent pour les rejoindre.
LEODAGAN : Je sais pas si je préférais pas quand ils se gueulaient dessus jour et nuit.
SELI : Ben, quand même. Vous êtes heureux de l’avoir, votre petit-fils, non ?
LEODAGAN : Oui, bien sûr, ça, je dis pas ! Mais toutes leurs embrassades sucrées et leurs roucoulades mielleuses, ça me file du diabète. J’ai envie de gerber. Pas vous ?
SELI : Bof, non. J’ai enfin quelqu’un qui apprécie mes tartes et qui les mange.
LEODAGAN grimace.
6. INT. CHÂTEAU DE KAAMELOTT – NUIT
Quelques semaines plus tard. ARTHUR se prépare à aller se coucher. Alors qu’il entre dans sa chambre, il trouve GUENIÈVRE appuyée contre une commode, en robe de nuit.
ARTHUR : Ah ben, vous êtes là ? Je croyais que vous deviez partir quelques jours en Carmélide avec le petit ?
GUENIÈVRE : Ma mère est déjà là-bas avec Lohot. Je partirai demain. Je me suis dit qu’on pourrait passer une nuit tous les deux tranquilles, sans le petit. Ça fait longtemps qu’on n’a pas eu un moment rien qu’à nous.
ARTHUR : C’est vrai. Mais là, honnêtement, je rentre de mission, je suis crevé.
GUENIÈVRE : Vous êtes fatigué ?
ARTHUR : Je suis mort.
GUENIÈVRE (riant) : Non, pas encore… Il vous reste bien encore un peu de forces, non ? Oh non, zut, j’ai déchiré ma robe.
GUENIÈVRE dévoile ses jambes.
ARTHUR : OK, bon… Je peux peut-être faire un tout petit effort. Mais vraiment un tout petit…
ARTHUR caresse ses jambes et fait asseoir GUENIÈVRE sur la commode. Celle-ci ferme les yeux et quand elle les réouvre, une lumière étrange brille dans son regard. Elle ne sourit plus. Le visage d’ANNA apparaît l’espace d’un instant.
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stripnblues · 3 years
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La sombre, sombre histoire du couvercle de casserole
Aujourd’hui, je vais vous parler de rupture. Eh ouais, ça me prend, comme ça. Je cherchais un thème pour ce premier article de 2021 et je me suis dit “pourquoi pas”. Après avoir parlé de voisins pénibles et de chats mourants, il fallait un peu de joie et de gaudriole en ce bas monde. 
Avant toute chose, il faut savoir que je suis de ces personnes qui pensent que la vie est matière à littérature, et que tout ou presque vaut la peine d’être raconté, même les épisodes sous le signe de la Lose. Et qui y croient en permanence. Y compris quand ça ne va pas. Ce détail est important à retenir pour la suite de ce récit.
L'anecdote que je veux conter ici me trottait dans la tête depuis un bout de temps, et j’estime avoir assez de recul à présent sur la période qui l’entoure.
En effet, pour parler pudiquement, ma relation amoureuse venait de s’achever. 
De cette histoire et des raisons de la rupture, il ne saurait être question, n’en déplaise aux commères. C’est somme toute classique. On rencontre quelqu’un, on se découvre des points communs, des affinités, on se découvre dans tous les sens du terme. Il y a émulsion sur une durée plus ou moins longue, des mots d’amour, des moments précieux partagés. Puis tout cela s’affadit, s’évanouit, disparaît, se brise brutalement, peu importe mais il y a une fin. Fin qui entraîne une séparation, parfois d’un commun accord, parfois avec le sentiment que l’un est plus d’accord que l’autre. Peu importe. Et l’on se retrouve comme deux couillons, assis sur un banc, les larmes aux yeux, à se rendre nos affaires laissées chez l'un et l'autre, tandis que la vie continue autour de nous. Les enfants jouent, les passants défilent, indifférents à cette micro-tragédie. Une rupture comme une autre.
Ici, je veux plutôt évoquer la phase juste après la rupture, après l’instant R. La phase où on se vide de toute sa morve dans une boîte de mouchoirs ou sur une épaule compatissante (épaule qui recueillera vos complaintes et doléances par ailleurs). La phase où l’on écoute plein de morceaux tristes. La phase où l’on passe par tous les états d’esprit possibles et des sommets d’absurdité, souvent à cause de la rupture. Comme le dit si bien Titiou Lecoq : “Une rupture amoureuse, ça s’apparente à une maladie auto-immune. Vous vous retrouvez à lutter contre un élément qui était naturellement constitutif de votre vie - le couple.”
Autant le dire, je luttais sévère.
La phase, illustration :
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Sachant que les éléments constitutifs de cette phase (la morve, les chansons tristes, le bazar émotionnel) n’ont rien de passager pour moi et font partie de ma vie à intervalles réguliers. Non pas que j’enchaîne les relations sentimentales. Seulement, je suis un être sensible et un poil anxieux, du genre à me demander au moins une fois par semaine quel est le sens de mon existence, qui suis-je et dans quel état j’erre. Alors les phases de rupture… Disons que je ne les gère pas très bien (comme tout un chacun, me direz-vous, mais laissez-moi croire que je suis unique, s’il vous plaît). Cette anecdote en est le parfait exemple. 
Advient donc la rupture.
Deux semaines plus tard, on se fait confiner nos gueules pour la deuxième fois. Oui, parce que tout ceci se déroulait évidemment dans un contexte de pandémie mondiale propice à la joyeuseté et à la bamboche, pas du tout anxiogène au quotidien. J’ai pu relativiser en me disant que, vivant seule, je n’allais pas cohabiter avec l’ex juste après s’être séparés. Une autre chose qui a aidé, c’est que peu de temps après le début du Confinement 2e édition, j'ai appris que j’aurai un nouvel appart. Une nouvelle que je n’attendais plus. J’allais pouvoir quitter mon studio-boîte à chaussures. 
D’un point de vue calendaire, on était pas mal. D’un point de vue émotionnel, même en étant coutumière des montagnes russes, j’avais un peu de mal.
Séparation-confinement-déménagement-à-préparer. En soi, c’était chouette. J’avais l’occasion de prendre un nouveau départ. D’aller de l’avant, de faire un bon ménage dans mes affaires et dans ma tête pour partir légère. Mais quand même. Je n’étais pas tout à fait sortie des Marais de la Désolation de la Rupture.
Advient le jour de l’anecdote.
J’étais d’humeur massacrante et massacrée, la faute au cumul de l’Après-Rupture, des élections présidentielles américaines et d'une overdose de PowerPoints à préparer (les joies du télétravail en confinement). S’ajoutaient à cela les voisins, eux-mêmes confinés, dont l’un avait pris l’initiative douteuse de faire des travaux. Travaux qui, conséquemment, résonnaient dans tout l’immeuble.
On comprendra que je n’allais pas très bien.
Dans ma tête, c’était Earth Died Screaming. Je traînais des pieds. Même le gâteau que je m'étais préparé le matin ne me redonnait pas le sourire.
J’essayai néanmoins de me ressaisir. Je devais trouver quelque chose de constructif. Trier mes affaires, par exemple. Comme j’étais censée changer d’appartement, ça pouvait être bien de s’y mettre. En plus, mes journées de non-travail me laissaient un peu de temps, autant le mettre à profit.
Pour me dégourdir, j’allai faire un petit tour dans la (petite) cuisine. Je commençai à regarder ce dont je pouvais me débarrasser. Allez, les merdes en plastique, ça dégage, les emballages vides, pareil. Puis j’examine l'étagère des casseroles. J’y trouve un couvercle de poêle que je ne reconnais pas. Je le fixe. Il est large, mal nettoyé. Il ne va avec aucune de mes casseroles. 
La lumière se fait. Me revient en mémoire la veille du premier confinement. Mon mec se dit à la dernière minute que ce serait pas mal de se confiner ensemble, je le regarde préparer sa valise. Par-dessus ses affaires, il met un couvercle de poêle. Et de m'affirmer : “Tu verras, il sera très pratique pour la cuisine, je m’en sers tout le temps”. Fin du flash-back. Me voilà de retour dans ma cuisine, ledit couvercle à la main. Visiblement, son propriétaire l’a oublié, tout comme moi.
Je soupire. 
Il va falloir prendre une décision. 
Je refuse de le garder chez moi, hors de question que ce truc prenne de la place dans mes futurs cartons.
Trois options me viennent en tête :
1) Se voir pour rendre le couvercle.
En plus, l'ex-copain tout frais a encore mon mètre-ruban et, déménagement imminent oblige, je risque d’en avoir besoin. Mais je n'ai pas envie de revivre l'étape "rendre ses affaires à son ex". La première était déjà assez pénible, alors une deuxième, très peu pour moi. Toute interaction est inenvisageable. De toute façon, avec le confinement, ça l’est de facto. Donc nope, option rayée.
2) Jeter le couvercle.
La solution est expéditive, en plus de constituer un exutoire à court-terme. Mais ce n'est pas mon genre, je me dis que l’ex en aura peut-être besoin. J’imagine déjà le moment où l’on reprendra contact (l’optimisme post-rupture). On discute, tout se passe bien, jusqu’à ce qu’il me dise : “Au fait, je n’ai jamais retrouvé mon couvercle de casserole, il ne serait pas chez toi ?”  Mon sang se glacerait dans mes veines. Que ferais-je alors ? Je serais pétrifiée de honte. 
3) Envoyer le couvercle.
Un bureau de poste se trouve à une dizaine de minutes de chez moi. Comme j’avais prévu d’y passer, je n’ai qu’à emporter le couvercle, trouver une enveloppe ou un carton, me fendre d’un petit mot poli et faire partir tout ça. Et, par la même occasion, je tirerai un trait définitif sur cette histoire. La rupture sera pour une dernière fois concrétisée et j’irai de l’avant, le cœur fier. On cherche la symbolique où l’on peut, y compris dans les couvercles de casserole.
Arrive la pause déjeuner. 
Je pars pour la Poste, mon Couvercle de la Rupture dans un sac. J’ai un doute, car il est assez large. Mais je me dis qu’il y aura là-bas ce qu’il faut, je me débrouillerai. J’étais naïve.
Sur le chemin, je suis bougon. C’est tout de même triste d’en arriver là. La passion et les sentiments heureux se voient remplacés par le silence, l’amertume, l’espoir de l’indifférence pour soigner les cœurs blessés, et les trajets pour poster des objets.
Mais bon.
Je vois l’enseigne de la Poste et, à l’entrée, une demi-douzaine de personnes. Je panique. Si en plus, je dois attendre trois plombes pour poster ce putain de couvercle… Mais les personnes sont à l’extérieur à cause des restrictions sanitaires. La file avance relativement vite, me voilà à l’intérieur. Et re-panique. Les enveloppes et les cartons ont l’air bien petits, en plus de coûter un rein. Il va falloir que je sorte le couvercle de son sac pour les essayer. Devant tout le monde. Angoisse. J’imagine les réactions des autres, entre moquerie, perplexité et jugement, leurs regards me collant à la peau. Un peu comme dans ce fameux rêve où vous sortez sans pantalon et vous le réalisez trop tard. Double angoisse. Je pense à ceux qui attendent leur tour dehors, pestant contre ceux à l’intérieur qui prennent leur temps pour faire leurs envois, y compris la folle avec son couvercle de casserole. Triple angoisse. Je tourne autour du présentoir, cherchant un employé du regard.
Une bonne âme remarque mes coups d’oeil apeurés et vient s'enquérir de ma requête. “Euh… Je veux poster ça et je voulais savoir si vous aviez un carton ou un truc du genre”, je bafouille, en montrant le sac et l’arme du crime. L’employée, qui en a vu d’autres, réfléchit sérieusement. Elle me présente son modèle le plus large. Rien à faire, le couvercle ne rentre pas. Elle me conseille d’aller trouver un carton dans un magasin de bricolage. Sauf que je n’ai pas beaucoup de temps devant moi. Puis je n’ai pas envie de dépenser plus de thunes et de faire 15 000 aller-retours à cause d’un couvercle à la con laissé par un mec qui ne veut plus de moi dans sa vie. Mais ça, l’employée ne le sait pas et n’y peut rien. Je sors de la Poste quelque peu dépitée. Pas de temps à perdre, je dois trouver une solution. Tout d’un coup, au loin, j’aperçois des cartons usagés. L’un d’entre eux paraît convenir, même s’il est déjà ouvert. Au pire, me dis-je, ils auront du scotch ou du gaffer à la Poste. Même après ces péripéties du pauvre, ma naïveté n’était pas entamée. A ce stade, je relevais du déni. 
Je retourne à la Poste avec couvercle et carton. L’employée me congratule. “Ah ben c’est bien ! Mais vous devez le fermer.” Je la regarde, l'œil larmoyant. “Et vous n’avez pas de scotch ?” “Non, désolée.”
Je crois qu’à ce moment-là, mon esprit s'est affranchi de toute notion de rationalité. Envoyer ce putain de couvercle était devenu une obsession. À vrai dire, elle se formulait ainsi : je ne rentrerai pas chez moi tant que je n’aurai pas envoyé ce foutu couvercle. Il n’était pas question que je rentre avec, auquel cas cela aurait symbolisé non seulement l’échec de cette relation, mais aussi mon échec de la gestion de cette rupture, mon échec en tant qu'adulte, mon échec existentiel, mon échec face à la Vie. Tout cela ne tenait qu’à un rouleau de scotch.
Certains diront que je me prends un peu trop la tête. 
Je sortis de la Poste encore plus dépitée, mais résolue. Je devais me mettre en quête du Gaffer Sacré. Après tout, j’allais déménager bientôt. J’aurais bien besoin de scotch à ce moment-là. D'une pierre deux coups, tout ça. Sauf que vu le raisonnement évoqué plus haut, je devais avoir reçu plus d'une caillasse en pleine poire. 
Je tentai le Franprix d’en face, puis le Casino. Deux grandes surfaces, pas un seul rouleau de scotch ou de gaffer dans les rayons. Pas de doute, notre pays occidental riche faisait face à une pénurie qui ne disait pas son nom. Je me rabattis sur une quincaillerie loin de la Poste. Tout cela, bien sûr, avec mon pauvre carton et mon Couvercle de la Rupture sous le bras. Lorsque je sortis de quoi payer mon rouleau, j’étais loin d’être fière.
Je finis par trouver un banc où je m’affalai avec mes trésors durement acquis. Mes clés firent office de ciseaux pour couper le gaffer. 
Et je retournai à la Poste, prête à en finir avec ces conneries. 
C’était oublier la malice de l’adversité. Comme je voulais faire partir la chose avec accusé de réception, je dus remplir un formulaire sur la borne d’affranchissement. Ce fut la dernière étape de mon calvaire. Je bataillai contre un clavier tactile récalcitrant sur un écran soviétique pour taper  mon adresse, celle du destinataire, nos coordonnées respectives. Ce fut laborieux, mais j’y parvins. Je confiai le couvercle empaqueté et mon cœur en miettes aux bons soins de l’employée, qui en avait vu d’autres. Et je rentrai à l'heure pour reprendre ma journée de non-travail. 
Deux jours plus tard, je reçus une notification. Le colis était bien arrivé, chez le gardien de l'immeuble.
Et ce fut tout. Aucune nouvelle du couvercle. Peut-être est-il encore chez le gardien. Ce dernier s’est pris d’affection pour lui et, à présent, ils mènent une vie faite de soirées devant la télé et de plats mijotés. Puisse ce couvercle de casserole connaître le bonheur qu’il mérite... Mais je m’égare. Son sort n’est plus lié au mien, désormais.
Le temps s’écoula et je décidai de coucher cette histoire sur le papier. Me venaient des bouts de phrase, des mots. Autant de petites choses à rassembler en un récit.
Forte de cette épreuve franchie avec succès et de ma volonté d’en faire du matériau à écriture, je voulus en vérifier le bien fondé en contant le tout à un ami. Celui-ci a littéralement hurlé. “Quoi, mais t’as fait ÇA ?! Mais MEUF ! Pourquoi t’as fait ça ? Pourquoi tu te respectes pas, putain ?”
Avant d’ajouter : “T’intègres ce que je viens de dire dans ton texte, hein ?”
Le test était concluant.
La prochaine fois, je vous raconterai comment j'ai monté mes étagères.
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sojariel · 4 years
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🎶🌺🖤💎🍹: Conclusion Personnelle : 💚💙🖤💗💜
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...Eeeeh c’est bon vazy @Bee’tch’moov ranges tes armes ! Je t’ai annoncé mon Menu, tu m’as annoncé le tien. Donc en attendant : 💥 It’s Pop Corn Time ! 💥
Quand je me relis je me dis d’une part que oui, là vous aviez eu de la Provocation. Je devais donc être sanctionnée pour ça. Et j’assume toujours ! ...parce que ça s’est passé à NOËL x’) !!!! Il y a une différence entre péter un câble à NOËL parce qu’on t’a gâché Noël et dire ça dans une autre période.
Je pense juste que gâcher Noël en te bannissant deux semaines pour avoir été gentille envers une $alope devrait être un crime. A mes yeux ça l’est.
SIX ANS que j’étais sur Eldarya ! SIX ANS. Et JAMAIS en SIX ANS je n’ai rencontré de tels problèmes à cause d’un Maillon Faible dans la Modération.
...c’est pour ça qu’aujourd’hui je ne vais pas reparler de Synder. Ni de Loplo.
Je vais plutôt dire ce que je n’ai pas assez dit envers quelqu’un qui le mérite :
💙 MERCI @LaFéeBleue d’exister ! Aka : Chupalovely 💙
Je t’ai pas assez remercié, et pourtant tu mérites d’être remerciée, car moi en SIX ANS sur Le Jeu Eldarya (littéralement, sa section) je n’ai JAMAIS eu aucun problème avec Chupalovely ! Au contraire même, elle m’aidait à me démerder quand j’en avais besoin, moi, ainsi que plein d’autres personnes. 
C’est qui Chupalovely et qu’est-ce qu’elle fait ?! Chupalovely c’est juste la Meilleure Modératrice de tous, clairement. Il en faudrait une armée plutôt que des Cendrillons qui font de la merde devant toi ET derrière toi, et après ça fait l’étonnée parce qu’elle n’assume pas ses conneries. Breeef~ j’en reparlerai.
En six ans quand même, moi ça me choque de voir que “bizarrement” sur la section de Chupalovely, ma façon d’être ne semblait déranger personne (à part les wesh wesh de “Ma Découverte du Jour” et j’en reparle de suite !) mais par contre quand j’ai décidé d’aller m’aventurer ~dans d’autres Champs~ là j’ai affaire à une Cendrillon Discount qui n’a rien à voir avec La Fée Bleue.
Moi ce que je reproche au Champ des Ludi, c’est déjà la présence illicite de Synder, mais aussi le manque d’amusement. Sorry Not Sorry mais perso après une journée chiante moi j’ai juste envie de faire la folle sur un JEU !
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Donc d’où on vient me casser les couilles en fait... moi ça me casse les couilles concrètement de devoir “faire comme tout le monde” parce que “apparemment c’est mieux”, sorry not sorry clairement. Je t’ai épluché tes règles à la loupe, donc à toi d’accepter ma manière de jouer, et si t’es pas contente moi je vais voir tes Supérieurs et je leur répéterai en face ton Incompétence clairement.
Bref. Tout ça pour dire qu’il y a une énorme Différence entre Le Jeu Eldarya et Le Champ des Ludi, et moi ça m’a choqué. Et je ne trouve pas ça Normal. EN SIX ANS, je traînais surtout sur la section de Chupalovely - EN SIX ANS - mais comme j’ai vu que l’Activité commençait à manquer (malgré mes propres efforts) je me rend donc chez Synderella et là on veut me tuer. 
C’est quoi le délire ? ...car il n’y en a pas justement.
Ça c’est de la discrimination clairement. On sait tous qu’il y a des habitués des sections, et donc des “délires habituels”, moi je suis venue avec mes nouvelles idées, POSITIVES, histoire de varier les jeux...et on veut me tuer. 
Ya la Miss @RavenQueen-là par exemple qui me dit des trucs du style “eeeeuh ce n’est pas pertinent ce que tu dis, donc je répond pas x)” ...mais on est où ?! ...parce que perso je pensais être sur un Jeu pas dans ta salle de cours.
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Bref. A coté on a donc la section du Jeu Eldarya, il y a aussi les habitués - dont moi - mais bizarrement, moi je n’ai JAMAIS entendu dire que Chupalovely faisait de la merde dans sa façon de gérer sa section en SIX ANS.
Au contraire même ! Moi je vois bien tout ce qu’elle faisait dans sa manière de préserver l’Harmonie de sa section, et ce mot est super bien choisi :
Chupalovely c’est cette Modératrice qui, dès qu’on lui signale un truc, elle va pas sanctionner directement, voire pas du tout. Elle s’accorde un temps pour analyser le problème, et ensuite elle vient sur le topic, non pas pour sanctionner mais souvent pour rappeler les règles à la personne qui est problématique, et en SIX ANS, je n’ai jamais vu de sanctions. Il y en a forcément eu, quand un commentaire était trop négatif ça c’est normal qu’il soit supprimé... mais pas des trucs dingues du style “ouaaaais Cindy, ya le bonbon rose-là qui m’a donné de l’amour, mais comme je n’en veux pas, et que je ne lui ai JAMAIS dis que je n’en voulais pas (mais chuuut...elle a les screens !) tu peux aller lui gâcher Noël ?!” “Coucuuuuuuu...ouiii je fais ça de suite Loulou ♥”
x’) ...NON clairement. Je ne comprends pas qu’une Synder n’agisse pas comme une Chupalovely. Un jour on m’a signalé à cause d’un de mes posts sur “Ma Découverte du Jour”, j’ai directement contacté Chupalovely, et elle a fait exactement ce qu’elle fait toujours : Modérer avec Modération !
Parce que oui, logiquement si on avait le temps de s’expliquer plutôt que de “constater” que notre Noël a été gâché par une Princesse Discount et se prendre - EN PLUS - juste après un “Bonne Soirée” qui pue... ben si tous les Modérateurs agissaient comme Chupalovely, je pense qu’il y aurait moins de Dramas. Et la section de Chupalovely est LA preuve.
Jamais son pseudo n’a été associé à un truc dégueulasse. On est jamais venu me voir pour me dire “REGARDE CE QU’ELLE DIT SUR DISCORD !” on est jamais venu me dire que Chupalovely faisait-ci et ça, ça n’existe pas.
En six ans sur ce phoquing jeu, je suis cleane quelque part mais ailleurs ça passe pas. Nope, c’est clairement pas possible. Surtout que la Synderella en question, en plus de pas faire les choses bien, elle fait pire que ça derrière toi.
C’est donc pour ça que si vous relisez bien, je dis bien en rouge qu’il ne faut pas s’en prendre à Chupalovely, car le vrai problème c’est le Système.
📣 Donc merci encore à LA Modératrice qui m’a permis de m’amuser sur ce jeu, celle qui m’a compris, m’a accepté, moi, mais aussi tout le monde en fait : Chupalovely 💙
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Autant je peux enfoncer quelqu’un dans sa propre merde autant je suis aussi du genre à fée-liciter les gens qui le méritent. *clin d’oeil aux Miss Eldarya* x’) .!.
Fun Fact Littéraire : “Chupalovely” ça veut dire littéralement “Chupachups” (Chupa) ainsi que “aimable/joli” (Lovely) 💙 tout est dans le pseudo là encore.
Amen.
...dans le prochain épisode de Screen Queen The Remake, nous parlerons justement de "Ma Découverte du Jour”, où règne Le Grand Méchant Loup~
PS : Faites plus les étonnés. Je suis totalement ce genre de personne qui dit ce que tout le monde veut dire mais n’ose pas. Donc j’ose pour vous. @Balek.
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Dimanche 22 mars 2020
Cela fait maintenant une semaine que nous sommes confinés, que nos corps sont contraints à l’enfermement, à la promiscuité, et ce contre tout ce que nous dicte notre instinct.
Je pense que les gens ne se rendent pas compte de ce que c’est que d’être enfermé avec des enfants. Certes, le manoir principal, où nous logeons, est plutôt grand, mais le calme total est un luxe auquel nous avons dû renoncer, et nerveusement, c’est un calvaire. Même lorsque les enfants sont dans les chambres à l’étage, nous entendons la rumeur de leurs jeux. Il faudra que je réfléchisse à déménager leurs chambres au second.
Je commence à me demander si je ne serais pas mieux en prison. Je risquais hier une comparaison entre cet encloisonnement-là et celui que nous vivons actuellement, mais je me rends compte qu’à bien des égards, pour une personne comme moi, ce serait sans doute moins désagréable que ce que je vis actuellement.
La vie d’ascète, j’en suis certaine, m’aiderait à écrire de façon plus apaisée. Et puis c’est de notoriété publique : les cellules pénitentiaires d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec l’idée que l’on s’en fait à cause de la désinformation. Ces gens-là ont tout le confort matériel possible et imaginable. Tout cela grâce à nos généreux impôts, d’ailleurs.
Avec tout ce que Victor et moi donnons à l’État, nous aurions bien le droit d’en profiter un peu. Quoi qu’à choisir, si je devais m’autoriser une retraite artistique, je pense que j’opterais pour un couvent médiéval avec un beau jardin, et des nonnes jardinières qui auraient fait vœu de silence. J’ai l’œil esthète, et j’ai ceci de particulier que lorsque je peux à loisir contempler le beau, ma productivité et mon talent s’en trouvent décuplés.
J’aurais voulu écrire, aujourd’hui, mais c’était sans compter sur mon entourage, qui m’a mis des bâtons dans les roues.
D’abord, sans grande surprise, ma mère. Il faudra, un jour, que je revienne sur l’enfer qu’elle m’a fait vivre depuis toujours. Ce qu’elle a fait aujourd’hui n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan de sa malveillance.
En début d’après-midi, alors que nous avions déjeuné sur la terrasse chauffée et que nous laissions les premiers rayons de soleil de la journée venir apaiser notre angoisse, elle a osé sortir de la dépendance. Et pour quelle obscure raison ? Pour nous signaler que la voisine allait passer lui apporter des masques qu’elle avait confectionnés elle-même.
De quel droit cette voisine vient-elle coloniser notre espace ? J’étais légitimement scandalisée, je l’ai fait savoir à ma mère avec autant de diplomatie que possible, mais elle a insisté, m’apprenant que sa voisine était déjà en chemin.
– Eh bien rappelle-là, lui ai-je lancé de loin. Elle a un portable, non ? Dis-lui de rester chez elle !
– On en a pour cinq minutes, Ludivine, cinq minutes. Et elle ne s’approchera même pas à moins de cinquante mètres du manoir et de la terrasse ! Je disais juste ça pour te prévenir, vous pouvez rester où vous êtes.
Mais cela, il n’en était pas question ! Et puis quoi encore ? Je n’allais pas risquer la contamination par cet électron libre que nous ne connaissons ni d’Ève ni d’Adam. Et puis nous ne sommes pas chez les ploucs, que je sache. Il est hors de question que cette personne que je ne connais pas voie la table avec la vaisselle sale que cette gourde de Dolores n’avait pas encore débarrassée.
Nous sommes donc rentrés tous les quatre dans le manoir, et de mon côté, le stress était à son comble. Et si cette personne venait contaminer mes parents ? Et s’ils nous contaminaient ensuite ?
J’ai regardé la scène par la fenêtre pour surveiller que ma mère ne s’approchait pas trop près d’elle. J’ai ouvert l’oscillo battant pour laisser l’air printanier se frayer un chemin jusqu’à ma chevelure indomptable et, heureux hasard, j’ai pu écouter quelques bribes leur conversation pour voir un peu quelle genre de personne ma mère côtoyait en mon absence.
Ce fut édifiant.
Cette femme, qui devait avoir environ quarante ans mais paraissait plus, tenait des propos très extrémistes politiquement. Selon elle, la pénurie de masques est due à une mauvaise gestion des stocks. Alors que tout le monde sait que c’est à cause des pauvres qui les volent dans les hôpitaux !
Elle a parlé à ma mère d’un article qu’elle aurait lu je-ne-sais où et qui raconte qu’un hôpital de province aurait reçu des masques de la part d’un groupe de Gilets jaunes. C’est bien la preuve que toute la presse est à la solde de l’extrême gauche, d’autant que l’hypothèse la plus probable, c’est qu’ils ont en fait rendu ceux qu’ils avaient volé. Je suis sûre qu’elle en fait partie, d’ailleurs, des Gilets jaunes. Elle en a tout à fait le profil, avec ses mains d’homme et sa sur-chemise épaisse.
Mais en cette période de crise, je trouve un peu mesquin de rentrer comme elle le fait dans de bêtes querelles partisanes. Il me semble que ce dont la France a besoin aujourd’hui, c’est de l’Union sacrée.
Tandis que je réfléchissais à l’avenir de la Nation, je vis cette personne poser au sol un sac en plastique et le vaporiser ad nauseam d’un produit dont j’ignorais la composition.
– C’est un désinfectant utilisé dans l’alimentation, qu’j’avais au restaurant, aboya-t-elle de sa voix épaisse. Il vient à bout d’tous les pires trucs, comme e-coli, etc. Normalement tout est clean, j’me suis désinfecté les mains avant d’toucher tout ça et d’mettre dans le sac, et j’avais lavé les masques à 60 degrés, mais on sait jamais. Il faut l’laisser agir 15 minutes, donc venez récupérer l’sac par terre dans un quart d’heure.
J’ai ri intérieurement. Comme c’est drôle, quand des esprits limités se prennent d’un seul coup pour Louis Pasteur. Je l’ai regardée partir avec soulagement.
Pendant tout le temps de leur conversation (qui a duré non pas cinq minutes mais dix, évidemment), Dolores n’a cessé de s’agiter dans tous les sens. J'ignore quelle mouche l’a piquée, mais elle désinfecte tout en permanence. Poignées de portes, interrupteurs, appareils tactiles... elle passe tout le temps après moi. Elle est peut-être en train de nous développer un TOC. Cette fille est vraiment bizarre.
Quant à moi, je crois que je suis en période de déveine. J’ai éternué je-ne-sais combien de fois depuis ce matin. Si le retour du printemps est une source de joie pour la majeure partie de la population, pour moi, il constitue donc un malheur de plus à ajouter au compteur. Et bien entendu, je n’ai pas d’anti-histaminiques. Je suis épuisée de toutes ces choses auxquelles j’ai à penser.
Dire à Dolores quoi préparer pour le repas, lui rappeler de laver les enfants, de les aider avec leurs activités scolaires, la manager un peu toute la journée, et en plus, ouvrir Skype tous les jours pour les cours de chinois d’Edouard et Henri, qu’en plus ils ne prennent pas à la même heure... ça et tout le reste. Ça, et en plus, cette sortie à la pharmacie qu’il va falloir que je planifie pour aller chercher des anti-histaminiques.
D’ailleurs, je dois également penser à demander à Victor de me faire une ordonnance. Il faut bien qu’il y ait quelques avantages à vivre avec un médecin. C’est un métier très stressant, et vraiment trop peu rémunéré par rapport aux responsabilités qu’ils ont.
Je ne parle pas du petit médecin de campagne qui joue au docteur ou du médecin du public qui pourra toujours se cacher derrière la structure hospitalière qui l’emploie. Victor a sa propre clinique de chirurgie plastique, et le stress auquel il est confronté chaque jour est incommensurable et me contamine, moi aussi. Je suis en première ligne ! 
Association d’idées. Pensée fulgurante. Il faut aussi que je pense à rappeler mon professeur de yoga pour qu’il me donne des cours à distance.
Penser.
Penser.
Penser.
Je n’en peux plus de consacrer ma pensée à toutes ces choses si basses et si futiles. Ma pensée mérite tellement mieux que cela.
Les enfants sont couchés. Édouard a fait sa demi-heure de lecture obligatoire ce matin, mais cet enfant aime tellement lire qu’il reprend toujours son livre le soir pendant un petit quart d’heure. Je crois que j’ai su lui transmettre un certain nombre de gènes supérieurs.
Petite joie à cette humble pensée.
J’entends Victor, dans le bureau, qui essaye tant bien que mal de discuter par Skype avec l’un de ses associés, mais la communication s’interrompt sans cesse. Ma mère a le chic pour choisir les opérateurs avec la pire des connexions. J’entends à la voix de Victor qu’il s’agace.
Il faut le comprendre : depuis quelques jours, son emploi du temps est alourdi du handicap logistique auquel nous condamne cette maladie. Chaque petite tâche, chaque rendez-vous avec le comptable, chaque call avec son banquier d’investissement, chaque rappel post-op...
Toutes ces petites obligations consignées par avance dans nos agendas Montblanc se sont envolées comme des papillons, nous laissant malgré notre bonne volonté et notre expertise indispensable comme des réformés du service militaire – des réformés qui auraient pourtant tout sacrifié pour combattre en héros.
J’imagine que pour beaucoup, cette désertion est source de joie. Mes enfants sont heureux de faire l’école buissonnière – mais ils ne sont que des enfants. Et par ailleurs, ils font leurs devoirs avec assiduité.
Mais quand je pense à tous les indolents qui aiment se laisser assister !
Leur rêve se réalise enfin, ils peuvent rester chez eux, dans leur mesquinerie confinée, à regarder leurs séries abrutissantes, à jouer à leurs jeux idiots.
Panem et circenses.
Victoire ! Victoire de la paresse ! Victoire de la lâcheté !
Je m’interroge longuement sur les leçons que nous tirerons, à titre individuel et collectif, de cette pandémie.
Inutile de dire que je les appréhende.
—Ludivine de Saint Léger
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sch-vhs · 5 years
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Vendredi était le dernier jour de mon ancien boss. Je n’aime pas cracher gratuitement sur la hiérarchie, mais pas de souci pour lui : il mérite toutes mes glaires. Florilège ���
• L’une des premières mesures qu’il a prises a été de supprimer le café gratuit. Je n’aime pas trop le café, par contre j’aime la caféine. Et le café gratuit, c’est un truc d’entreprise, ça améliore les capacités cognitives, ça stimule. Du coup on le file gratuitement aux employés pour améliorer leur productivité. Mettons qu’on consomme pour 7 euros de café par semaine. Carte d’Or bio, mettons. 4 semaines dans un mois, 4*7 = 28. 12 mois dans l’année, 12*28 = 336 euros par an. Sans compter les périodes de congé, donc on est en-dessous de ça. Pour 336 euros par mois, on fait plaisir aux petits employés tout en augmentant leur productivité. Prétexte invoqué pour la suppression : “il faut faire des économies”. Un jour, en regardant les comptes de plus près, je vois que monsieur fait passer ses notes d’hôtel et de restaurant sur le budget de la structure. Sans prendre la peine de se cacher d’ailleurs. On comprend mieux la nécessité des économies.
• Il fallait racheter des ordinateurs. Monsieur s’en charge, sans consulter personne ou réellement prendre en compte les besoins de chacun en informatique. Pour situer, le type n’est pas capable de trouver le lecteur CD sur son PC ou de se reconnecter à Windows après que l’ordinateur se soit mis en veille. Et ce gars allait faire des achats en informatique. Soit. Il investit 600 balles pour deux PC, “J’ai pris du neuf.”, qu’il nous dit. Les ordinateurs arrivent : le bouton d’allumage a suffisamment servi pour que le signe soit à moitié effacé, la corbeille n’est pas vide, l’un des deux ne s’allume simplement pas, pour l’autre, il a fallu qu’un informaticien vienne le retaper. Du neuf, donc. On signale à Monsieur Bill Gates que les ordinateurs ne fonctionnent pas, il nous dit qu’il va contacter le vendeur et “s’expliquer avec lui” parce que “maintenant, ça va”. Le vendeur vient. Il entre dans nos locaux, le type est anxieux, limite craintif. Je récapitule : un arnaqueur qui a flairé le bon pigeon mais s’est finalement fait gaulé et le pigeon en question, un boss véreux et incompétent. Une belle brochette de bâtards en somme. Mon boss me demande d’aider le type à transporter les PC jusqu’à la voiture du vendeur, qui s’est garé loin, évidemment. J’ai la tour dans les bras, le soleil tape. On sort des locaux, le vendeur me fait :
“Où est-ce qu’on va maintenant ?”
“…aucune idée, je ne sais pas où vous êtes garé.”
Je n’en revenais pas de sa question. Bref, le type se rappelle. Sur le chemin, je le cuisine un peu :
“C’est vous qui nous avez vendu les ordinateurs ?”
Le gars, apeuré, me répond :
“Oui, pourquoi, c’est vous qui les avez démarrés ? Il y avait un problème ?”
“Oui c’est moi qui les ai démarrés, entre autres personnes…”
On revient dans nos locaux. J’entends mon boss discuter avec le vendeur. Ils parlent de racheter d’autres ordinateurs. Le vendeur part, je vais le voir :
“Tu…comptes racheter des ordinateurs à ce type ?”
“Oui, pourquoi ?”
“Parce qu’il nous a arnaqués.”
“Il nous a pas arnaqués.”
“Il nous a arnaqués.”
“Non, il nous a pas arnaqués.”
“D’accord. Il t’avait dit qu’ils étaient neufs ?”
“Oui.”
“Eh bien ils ne l’étaient pas. La corbeille était pleine, le bouton d’allumage était usé. Même l’informaticien qu’on a fait venir l’a reconnu.”
“De toutes les façons c’est moi qui gère.”
“Oui oui, c’est toi qui gères.”
Le vendeur nous a refilé les mêmes tours, avec deux trois composantes modifiées. Aussi, les claviers fournis avec fonctionnent à moitié. Je suis entouré de professionnels.
• Il y avait le bilan de notre structure à défendre, avec nos financeurs. Pour un tas de raisons il était catastrophique et mon boss, évidemment, le savait. Monsieur Je Gère, Monsieur J’Assume, allait, comme il nous l’avait dit, “défendre son équipe” lors de cette réunion, défendre les choix qui ont été faits par la direction actuelle et essayer de mettre en avant l’expérience de terrain de l’équipe. La veille de la réunion de bilan avec les financeurs, je vais le voir dans son bureau pour une broutille et il me sort :
“Ah je sais pas ce que j’ai, j’ai mal au pied.”
Ça me passe par-dessus la jambe mais soit.
“Hm, courage.”
Le type boite. Aucune idée de ce qu’il s’est fait pour en arriver là, je le questionne, curieux. Lui-même ne sait pas. Il va voir l’un de mes collègues, je retourne dans mon bureau. Mon collègue m’interpelle un peu plus tard :
“Il y a un truc bizarre avec R…”
“Qu’est-ce qu’il y a ?”
“Je l’ai vu boiter, il m’a dit qu’il a mal au pied.”
“Ouais, il m’a dit ça aussi.”
“Mais après il est retourné dans son bureau et là, un peu plus loin, quand j’ai regardé, il marchait normalement.”
“Oh…”
Plus tard, mon boss dit qu’il rentre chez lui. Avant la fermeture. Dans notre structure les directeurs ont un régime d’heures de travail à justifier différent du nôtre. Ce régime spécial a été mis en place parce que les directeurs font généralement plus que les 35h prestées par les employés. Mon abruti d’ancien boss faisait - et ça n’est pas lié à son “““efficacité””” - moins de 35h par semaine, je pourrais y mettre ma main à couper. Au début il nous balançait des excuses pour partir une demi heure plus tôt (”J’ai pas de train pour rentrer sinon…” → j’ai vérifié, il a des correspondances jusqu’à 21h pour son train, ce qui va bien au-delà des horaires de bureau), puis il rentrait de plus en plus tôt et a cessé de prendre la peine de se justifier. Tout ça pour dire que ce magistral chien galeux rentrait plus tôt chez lui pendant qu’on faisait le taff. Il sort des locaux, en boitant. Je sors m’en allumer une et qui est-ce que je vois marcher tout à fait normalement 20 mètres plus loin ? Le lendemain, il a posé un jour pour “maladie” à cause de son “pied”. Mon collègue, qui m’est hiérarchiquement supérieur,est allé à la réunion de bilan à sa place avec le DRH. Ils se sont faits défoncés. Merci de nous avoir défendus, Ducon. Plus que les autres cette histoire m’a enragé. On a un système hiérarchique ultra pyramidale, où des bouffons qui se pensent sortis de la couille de Dieu croient qu’ils méritent leur place alors que ce sont, dans mon cas, des boomers qui ont pris du galon quand l’ascenseur social était plus souple et les exigences moins hautes. Du coup ils pensent avoir le droit de traiter tous leurs subordonnés comme de la merde et si tu réponds - ce que je ne manque pas de faire - on essaye de t’écraser. On veut justifier un système injuste. On pourrait tous travailler sur un pied d’égalité, réfléchir à des solutions communes, mais on a concentré trop de pouvoir et de responsabilité entre les mains d’une seule personne. Du coup, l’une des seules et uniques putain de choses qu’on lui demande en échange de son salaire de directeur, de ses avantages de directeur, de son prestige de directeur, c’est d’assumer sa place de directeur, avec les emmerdes qui vont avec. Tu veux être au-dessus des autres ? c’est bien, lève la tête, tu seras le premier à savoir quand il pleut. Mais même pas. Cette petite raclure veut le beurre et l’argent du beurre en fuyant ses responsabilités. C’est misérable.
• La mère d’une de mes collègues est subitement tombée malade. Quelque chose de grave, je ne sais plus quoi exactement, mais sa mère était hospitalisée, entre la vie et la mort. Ma collègue a pas mal d’heures à récupérer. Elle demande à mon boss de lui laisser poser quelques jours pour aller au chevet de sa mère.
“Ce n’est pas possible désolé, je veux que toute l’équipe soit là.”
Il n’y avait pas de matière urgente à régler au travail. On était en effectifs complet. Il n’a jamais donné la raison pour laquelle il voulait l’équipe au complet. Il lui a finalement donné ses quelques jours. Il les lui a donnés, deux semaines plus tard. La mère de ma collègue vivant loin d’elle, elle ne pouvait pas aller la voir directement après le boulot, ni se permettre de perdre son travail. Pendant deux semaines elle s’est rongé les sangs, à se demander si elle ne ratait pas les derniers moments de sa mère. Monsieur je Gère, humaniste et empathique par-dessus le marché.
• Avant, on se faisait livrer des paquets de feuilles A4 pour le photocopieur. C’était toujours un truc administratif, réglé par le directeur. J’appelle Bill Gates pour lui dire qu’on est à sec, que je lui pisserais bien dans les yeux mais ça je le garde pour moi, et il me fait :
“Va en chercher au Géant.”
Bien sûr. Tout de suite Bwana, avec plaisir Bwana, c’est un honneur, Bwana.
“Écoute R, il y a quelque chose que tu as du mal à comprendre alors je vais prendre le temps de te l’expliquer. Je ne suis pas ton putain de livreur. Aller chercher des feuilles A4, c’est pas dans ma fiche de poste. Ça me dérange pas hein, mais il faut que tu comprennes que si je fais quelque chose qui n’est pas dans mon contrat, c’est pour le boulot et pas parce que tu me le demandes. C’est important que tu comprennes ça, d’accord ?”
“Je t’ai dit d’aller chercher ces feuilles.”
“Et moi je t’ai dit non. Il se passe quoi ?”
“Si ça n’est pas fait avant demain il y aura des conséquences.”
“Pas de souci.”
Le con m’a convoqué pour une petite séance assise avec le DRH. Ils m’ont tapé un blâme pour “insubordination”. Pour ça, et parce que j’ai regardé mon portable à une ancienne réunion. Bill Gates m’avait demandé de l’éteindre, je l’ai regardé et je lui ai fait :
“Pourquoi ?”
“Parce que c’est impoli.”
“C’est pas interdit de regarder son portable en réunion. Et c’est toi qui trouve ça impoli. Ça le serait si je ne suivais pas ce qui se dit en même temps. Or, j’arrive à faire les deux.”
Le DRH était là à cette ancienne réunion, il m’a avoué, lors de mon blâme, qu’il “fulminait” quand il a vu ma réaction. L’insolence, c’était le truc. Ils n’avaient encore rien vu.
• Un jour il a fait une “note” (→ un mail envoyé au DRH pour signaler un problème avec un employé, ça n’a pas le même poids que le blâme et, surtout, le DRH a mieux à foutre que de lire ça j’imagine) à ma collègue (celle dont la mère était malade) parce qu’elle s’était…assise sur une table. Le type a pris son clavier, cherché pendant 5 minutes comment allumer son ordinateur, rédigé un e-mail bourré de fautes d’orthographes (c’est directeur, ça représente l’équipe et le type fait des fautes d’orthographe à chaque putain de phrase mais passons) pour signaler au DRH qu’une employée a posé son cul sur une table pour discuter. Kaf-ka-ïen. Ma collègue était atterrée, toute l’équipe l’était. La semaine passée, qui est-ce que je vois avec son cul posé sur une table, à discuter ? Indice : ça commence par “R” et ça finit par “sac à merde incompétent doublé d’un faux jeton”. J’ai fait une photo, ma collègue a fait une photo. On a bien rigolé.
Jeudi passé, la veille de son départ donc, Bill Gates annonce à mon collègue qu’il va nous “payer un verre” le lendemain. On est tous moyennement chaud mais l’idée de le faire raquer est séduisante (en prime il avait du mal à lâcher des thunes pour le boulot, c’était un enfer pour travailler, le gars a été jusqu’à refuser qu’on rachète des gobelets pour la fontaine à eau avant que le prochain budget nous soit alloué). On était dans nos locaux, attablés pour son speech merdique, on avait entendu chaque élément une dizaine de fois. Et là, il lève sa bouteille de Cristalline et nous fait, dans le plus grand des calmes :
“Voilà le verre que je vous avais promis !”
Il est parti en disant au revoir à tout le monde, sauf à moi. Je pensais que pour sa dernière journée il irait jusqu’au bout. Au lieu de ça il est parti en douce, après son speech, sans prévenir qu’il partirait. Dommage, je l’aurais bien allumé une dernière fois.
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lejourjemens · 5 years
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(Texte chiant à ne pas lire)
J’ai eu un élan de mieux, de compréhension, de confiance, de projection. Il s’est brisé. Sur l’ilot de mes envies avortées. Je suis reparti 4 ou 5 mois en arrière. J’attends qu’un événement extérieur m’aide à trouver de l’énergie, de l’espoir, mais je ne vois pas bien quel événement pourrait subvenir puisque j’ai si peur de tout. Je dois répondre à mes potes depuis des semaines, mais chaque interaction sociale m’angoisse. Certaines me font du bien, me remettent dans un cours qui s’apparente à celui de la vie. D’autres me plongent dans un désarroi complet et presque inattendu. J’ai honte quand je parle de moi. Un rideau s’est abattu et me protège de tout amour qui essaie de rentrer. Pourtant je sens les choses plus nettement que jamais et le moindre signe de défiance m’anéantit. J’ai besoin que quelqu’un me prenne par la main et me dise que ça va aller et comment faire. J’ai besoin d’une famille en fait. Où peut-on acheter ça ?
Ma mère a trouvé un de mes journaux intimes que j’ai eu la stupidité d’oublier chez elle. Quand je m’en suis rendu compte cela m’a mis dans une colère noire car je sais déjà qu’elle a tout lu. Je me suis dit que ça mériterait bien que je me coupe une main.
Ma mère est vraiment stupide. Comme un poulet ou un lapin, elle est incapable de remettre en question son comportement, d’avoir un retour réflexif sur ce qu’elle fait pour éventuellement changer d’attitude ou de manière de voir les choses. On ne peut pas lui en vouloir, c’est sociologique. Elle vient d’un milieu trop pauvre et trop peu éduqué pour avoir appris ça, mais parfois j’ai l’impression qu’elle fait partie d’une espèce d’humanité moins évoluée. Elle peut uniquement processser des idées simples qui lui permettent de renforcer ses tropismes naturels. On dirait Fréderic Lordon. Tout ça pour dire que j’ai déjà essayé de lui expliquer que son rôle de mère ne lui donnait pas le droit de fouiller dans mes affaires, d’ouvrir mes lettres, d’aller regarder dans mon ordinateur ou dans mes cahiers. Mais le fait qu’il y ait quelque chose de son fils qui puisse ne pas lui appartenir lui semble loufoque au possible. Dans sa gentillesse naïve elle me répond : « oh mais je suis ta mère j’ai bien le droit de savoir ça ». Comme elle sait que rien de ce qu’elle peut trouver n’entamera son amour, que fondamentalement elle n’en fera rien de mal contre moi, elle pense qu’il n’y a aucun dommage pour moi à ce qu’elle lise tout ce qu’elle trouve. Sans comprendre que je vis ça comme un viol moi qui ne laisse d’ordinaire personne entrer en moi ou mes pensées. Je lui ai demandé de me renvoyer le carnet et cette conne m’envoie une carte avec des chats avec une phrase à la con dedans, une blague, qui fait mention à un truc écrit du carnet « a mon narrateur » ou un truc du genre. Elle est si bête qu’elle me prouve en toute innocence qu’elle l’a lu (je lui ai demandé par texto explicitement de ne pas le faire 2 jours avant - ce qui s’est soldé par un « oh mon fils tu n’as pas l’air en forme tu es énervé ».) Bref, je ne compte pas réellement en tant que personne pour elle, je ne suis que l’objet de son amour maternel infini qui est la seule chose qui donne un sens à sa vie et faute de quoi elle se laisserait sûrement mourir. Réification de l’autre comme objet de plaisir. La définition de la perversion en fin de compte, camouflé par un simulacre d’amour complètement pathologique. Et du coup je crois qu’elle n’a jamais rien su d’important sur moi. Elle n’a que des faits, elle ne connaît aucun de mes goûts ou de mes idées. Elle n’a donc absolument rien de moi en quelque sorte. Toujours est-il que j’ai très envie de ne plus jamais lui adresser la parole. Mais bon je n’en ferai rien. Même malgré cet unique défaut envahissant, elle reste quand même l’une des personnes les plus pures que je connaisse.
Dans mon bouquin sur la dépression l’auteur explique que le fait de se sortir de sa maladie lorsque l’on n’a pas d’emploi est presque mission impossible. C’est le seul moment du livre où il s’exprime en avouant une forme d’angoisse ou d’imprécision. Son point de vue c’est qu’il faut absolument travailler d’abord sinon on ne guérira jamais (le travail apporte structure, estime et réalisation de soi) et que tous les jours on doit faire prioritairement quelque chose de concret qui nous permette de retravailler. Bon. Ça doit faire 7 mois que je n’ai pas fait quelque chose qui me permette un jour de retravailler. Si j’avais décroché un téléphone un jour. Et depuis je ne réponds plus à aucun appel. Je ne saurais pas quoi dire, quel mensonge inventer, quel poste chercher, quelle vie enfiler. Dimanche c’est la fête des pères. Je pense qu’il mourra avant qu’on n’ait parlé. Il faut accepter que certaines personnes ne peuvent pas comprendre. Il n’a aucune idée de ce qu’est le fait d’être un père, il n’en sait juste rien. Il n’y peut rien il n’a pas eu de père lui-même, et le père de son père a abandonné ses enfants qui ont franchi seuls la frontière française avec leur mère. Pour que ce que je lui dise lui parle un peu il faudrait qu’il arrive à affronter tout son égoïsme primaire et fondamental et ça serait trop dur à voir pour lui donc il ne s’y autorisera jamais. Je vais lâchement lui envoyer un message insignifiant pour sa fête, de peur que le fait de ne pas le faire n’ouvre la voie à des messages appels etc. Bref, je vais donner la gamelle au chien pour ne pas qu’il meurre de faim non plus parce que je n’ai pas envie d’avoir à m’occuper de l’incinération.
Tout ceci n’est pas franchement joyeux.
Je sens que mon cerveau ramollit. Je ne sais plus qui j’ai vu l’autre jour et je me suis dit, tiens il a eu une idée complexe et juste que je n’aurais pas pu avoir et je me suis dit en même temps que ça faisait longtemps que je n’avais pas éprouvé ce sentiment et que cet état intellectuel végétatif m’ennuyait.
De nouveau eu la sensation que tout était peut-être fini. Que je n’allais pas avoir la force de repartir pour quelque chose de neuf. De toute façon je me suis promis de ne pas m’autoriser à repartir pour quelque chose de médiocre.
Même ma psy fait désertion. Après avoir raté le dernier rdv - ce pour quoi je me flagelle encore soirs et matin - elle a annulé notre rdv d’hier moins de 20h avant l’heure dite. Je me demande si elle va oser me faire payer le rdv que j’ai raté du coup. Lui payer 80 balles pour une consultation que j’avais ratée alors qu’elle se permet de m’annuler en dernière minute oklm ne me semble pas très juste. Je me rappelle combien ça m’a fait de peine qu’elle annule ce rdv. C’est le seul point fixe, la seule espèce de structure que j’avais dans mon agenda et voilà plus d’un mois que pas de rendez-vous. Même payer qqn 100€ de l’heure pour parler devient galère, life is a true bitch.
Bon quoi dire d’autre. Il faut que je taffe et que j’arrête de réflechir. Tout ça c’est juste des trucs de plasticité cérébrale. Ndlr ou alors ce sont des trucs de plasticité cérébrale juste parce que c’est la seule chose que la science peut mesurer pour l’instant. Mais en fin de compte je sais bien que rien ne va bouger sans action mais je n’ai toujours aucune idée de comment faire pour initier le moindre mouvement tbh de toute façon tout ce que je fais va foirer alors autant me toucher tranquillement le poupou en continuant d’écumer tout le catalogue netflix canal et arte. J’ai encore des réserves. Je dois en être à 12 - 13h d’écrans par jour seulement. C’est à se demander ce que je fais le reste du temps.
Ah ouais et aristote c’est cool je sais pas pourquoi je ne m’étais pas intéressé à lui plus tôt. C’est le premier à avoir voulu poser des Champs, opérer des dichotomies efficientes pour penser le monde en système. Platon ouvre le monde et ferme le corps, Aristote classe sans états d’âme.
Aucune idée de pourquoi je publie ça mais bon au moins voilà un truc qui est fait.
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bnjsld · 5 years
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Ce soir ça va pas. Tu sais ce genre de soir où un flot de pensées te submerge tellement que tu dois tout vider pour ne pas finir complètement fou.
Je me souviens que c'étais toi qui m'a donné le goût d'écrire pour me faire du bien, et je t en remercie pour tout le bien que ça m'a fait pour toutes ces fois où je me sentais très mal. J'ai décidé d'arrêter Tumblr après que tu m'ais quitté; cette application était beaucoup trop liée à toi. Mais maintenant je reviens car j'en ai besoin.
J'en ai besoin car je viens de constater quelque chose, que je me sentais mal, mais surtout que je n'avais personne pour en parler. Et au moment où tu te rends compte qu'autour de toi, tu n'as absolument personne pour te confier, dire ce que t as sur le coeur, beh putain ça fait attrocement mal.
Avant je t'avais toi, certes je ne te disais pas tout, j arriverai jamais à me confier à 100% à quelqu'un, mais toi je te fesais confiance, je sentais qu avec toi je pouvais me libérer d'une part de mon fardeau, comme tu l'as faut avec le tien.
Pour revenir à ce qui fait que je viens de me réinscrire, le constat d'être vraiment seul n'étant que la goutte d'eau qui a fait deborder le tonneau, c est encore dû au fait que mon coeur et mon cerveau n'arrivent pas à se coordonner, et moi qui me trouve au milieu je suis devenu qu'un spectateur de cette lutte.
Une des choses qui me troublent le plus ce soir c'est cette fille. On s'est rencontré au nouvel an, on se connaissait vite fait de nom, mais ça a été une rencontre qui m'a débloqué de beaucoup de choses. Elle était avec son copain a la soirée, qu elle avait depuis 3 ans, moi je m'en branlais j'étais déjà content d avoir un endroit où faire un réveillon avec mes amis. La soirée avance, je voyais que son copain en avait rien a fouttre d elle durant la soiree, et je sentais que ca la fesais peter un câble. Jusqu'au moment où elle a craquer et péter un câble contre lui, ses amies et leurs copains se sont emmêlés et ca a fini en grosse embrouille générale, pendant que moi et mes potes on mangeais des chips en les regardant. Au final, les deux se cassent separement dans la rue. Je decide d aller la chercher elle, elle pleurait sur un trottoir, je l ai donc porter jusqu a la maison. Puis j ai chercher son gars, qui etait entrain de marcher dans la rue énervé. Le calme plus ou moins revenu la soiree reprend, les deux se parlant plus. Au fil de la soiree elle et moi on sympathise beaucoup, on delire bien, et tout se passe super. Jusqu a ce qu elle me demande de me parler a part, je la suis, et elle me demande si elle peut m embrasser. Comment elle me plaisait beaucoup, et que l alcool montait un peu j ai dit oui sans reflechir, et on s est embrasser un long moment; malgré que je pouvais apercevoir son mec dans la piece a coté avec tous les autres. Elle me dit qu elle est heureuse de m avoir rencontré, je lui reponds que je le suis aussi. Elle me dit qu'elle lui faudrait vraiment un mec comme moi, je lui réponds qu'elle ne sait pas de qui elle parle. Elle me dit que ce soir elle doit dormir toute seule ici dans une chambre, le message est reçu. Je reste la nuit ici, et le lendemain il ne restait plus qu elle, moi, et des potes communs a elle et aux miens. Malgré que ce qui s est passer hier est grandement du à l alcool, le lendemain matin, on s est rembrasser encore, le courant passait toujours super bien. Puis vient le moment ou je retourne chez mon pote qui n etait pas rester dormir.
Cette soiree a l air banale, un reveillon qui derape un peu et se fini bien pour ma part. Mais cette soiree m a fait ouvrir les yeux sur beaucoup de choses.
Quand tu (je m'adresse à la seule personne qui pourrait lire ce post si jamais elle trouve la page avant que je la supprime encore, et aussi c est plus facile pour moi de m'addresser a toi pour me vider) m'as quitté pour la premiere fois, que t avais dormi avec un autre gars car tu disais que je m etais pas occupé de toi pendant que tu allais mal, sachant que j ai fait une tentative de suicide ce soir là (vive la communication), avec cette soirée j ai pu comprendre comment tu as pu aussi vite partir pour un autre, et en avoir été témoin direct, si ce n est le rôle de batard, ben putain ca fait drôle. Après coup je me dis que je peux pas en vouloir a ce mec, il a bien joué son coup ce fdp, au bon endroit au bon moment.
Un autre truc que cette soirée m'a fait me rendre compte, et c est plus important a mes yeux : c est que je pouvais plaire, et qu une rencontre peut arriver a tout moment.
2018 a été la pire année de ma vie en absolument tous les points, mais a aussi celle qui m a permis de profondément me remettre en question. Ce réveillon avait quelque chose de symbolique pour moi. C etait la fin d un calvaire. La fin d une depression ayant duré toute l année, ayant entraîné entre autre des idées noires et une forte consommation de drogue et d alcool.
Cette rencontre avec cette fille, c etait comme un coup de pouce du destin, histoire de me dire que a tout moment la roue peut tourner, qu un jour je pourrais rencontrer a nouveau une personne avec qui je connaitrais le bonheur.
C est ce qui m a conforter dans l idée de ne pas me remettre avec toi maintenant. J etais pret à céder au desespoir : te voyant enchainer mec sur mec et moi n ayant eu personne d autre cette année a part toi, et avoir couché avec une pote 2 ou 3 fois, je me disais que je devais avoir un problème, que ca allais pas, que j etait pas un mec normal. J etais presque à me dire qu il faudrait que je me remette avec toi, non pas par envie, mais par défaut, mais jamais je l aurais fait car c est totalement irrespectueux envers toi, qui représente une grosse partie de ma vie. Ce qui m a amené a ma deuxieme tentative de suicide quelques temps avant de te revoir a noel.
Cette fille, qui a été la clé pour tout ça, j ai gardé contact avec elle. Et là on commence a arriver a ce que je ressens aujourd hui.
En parlant, on s est découvert énormément de points communs, et sur des trucs où il m etait impossible d imaginer que d autres gens soient dans le meme délire que moi, mais cette fille representait ça. Trop pour etre vrai, ca me fait bizarre. J essayais de prendre du recul sur tout ca, mais mon attirance pour elle je ne pouvais plus la nier.
Sauf qu on se parlait pas si souvent que ça pour des gens qui se tchatche, c etait peut etre 2 ou 3 fois par semaines a peine. Mais il y a la distance, encore, et surtout qu elle bosse a l hopital et moi j ai mes concours tres tres bientot, donc rien d anormal.
Mais il y a des choses bizarres. Sinon ca serait pas drole voyons. Deja j ai appris par un ami a moi qu elle avait embrasser son mecavant qu il parte au reveillon. Sauf qu a ce moment la on s etait deja bien chauffer contre le mur juste avant. Ca ok je m en fiche. Puis elle s est remise avec 1 semaine apres que je sois retourné a Pau. Ca, je l en fichais aussi, je me disais que tant pis je continue ma vie. Un soir on s appelle sur skype, on discute, puis son tel arretait pas de sonner et elle raccrochait direct, je demandais en rigolant si c etait un demarcheur telephonique, elle m a repondu que c etait son mec, qu elle l avait quitté la veille car il lui a encore pris la tete pour rien. J ai proposé de la laisser lui repondre, ce qu elle a accepter. Lorsqu on se parlait par la suite, c etait sur un autre ton. Je sentais quand meme de la drague de son coté, ce qui me fesait plaisir. Mais je pourrais pas dire quand mais a un moment il n y avait plus la meme tonalité lorqu on se parlait, plus froid, discussions plus courtes, assez bizarre. Ce soir, j ai cru voir en la testant un peu (cimer Fabien Olicard) qu elle a un autre gars en vue. Rien de grave encore.
Alors où est le problème ?
Ben je me suis attaché. À qui ? Une fille que j ai choper a une soiree il y a 3 mois.
C est la que ca sonne faux. C est la que je me dis qu il y a un probleme. Je prends du recul : pourquoi cet attachement, outre le fait que ce soit une fille qui me plait beaucoup ? Si effectivement cette fille etait la clé pour me rendre compte que tu n etais pas la seule fille avec qui je pourrais me voir (alors que toute notre relation je te considérais vraiment comme ma femme, quelqu un de ma famille, tu etais ma famille), alors pourquoi le schema se reproduit avec elle ? Bien sur je suis toujours conscient que a tout moment je peux faire une rencontre. Mais pourquoi maintenant je me suis attaché a elle ?
J ai peut etre quelques brides de reponses, mais elle remettent encore d autre problemes en jeu.
Une de ces raison et que j ai rien d autre sous la main. Quand je regarde mes messages, les derniers envoyés sont a elle, les autres conversations datant d'au moins plus de 2 semaines. La solitude refait surface est j ai peur.
Suite a mon concours blanc, je me suis racheté de la beuh. J avais besoin de me vider la tete. De ne plus penser a rien. Ca m a fait du bien, vraiment. Mais je ne veux pas retourner la dedans pour un bonheur illusoire et éphémère.
Peut etre que ce que je recherche en elle, c est qu elle prenne ta place, ou du moins qu elle comble le vide que tu as laissé derriere toi.
Je me souviens que mon meilleur ami me disais : "En gros, toi tu es une fontaine d'amour, qui jaillit en permanance, et il faut que tu le donne a quelqu un. Si tu n as personne a qui le donner, tu te detruis petit a petit."
Cette metaphore est boulversante, car sous de nombreux angles de lectures et d experiances personnelles, elle est bien vrai. J ai de l amour a donner et je cherche desesperement quelqu un a qui le donner. Cette fille, je me suis attaché à elle, mais en attendant rien en retour. Je me rends compte qu elle peut possiblement partir avec quelqu un d autre, et moi j ai mes signaux qui s alertent. Et me voilà là où j en suis.
Je sais pas si j ai parler de tout ce que je voulais dire au depart, ca fait 1h30 que j ecris et je me lève dans 3 heures pour finir un DNS et aller en cours. En tout cas ça m'a fait tellement de bien d ecrire, de raconter ce que j ai sur le coeur, meme si je n ai qu un interlocuteur fictif représenté par mon ex.
Faut que je vois un psy un jour je pense.
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nelielombrelune · 5 years
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Avis sur l’épisode 23
L’avis complet est >>ici<<, je vous fait un petit résumé. Je ne crois pas que j’aurais la motivation de tout traduire.
                                                 °~ Aloa ~° J'ai par contre un peu la flemme de le structurer donc ce sera  en vrac, comme ça me vient. Et ce post sera sponsorisé par Kaamelott parce que ça me fait rire.
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                                         >> Points positifs << - Pour moi le point positif majeur c'est vraiment les décors. Les images de Memoria pendant les visions, l'apparition du dragon, c'est sublime. L'univers est toujours un véritable émerveillement, dommage que le reste ne soit pas à la hauteur (j'y reviendrai plus tard). - L'histoire avance enfin, les origines de la gardienne sont au premier plan et on a enfin de nouveaux éléments. Après avoir terminé cet épisode je confirme ma théorie que la gardienne est un Aengel, la part "lumineuse" du Daemon, et est donc complémentaire de Leiftan et non pas opposée. [...] - On en sait d'avantage sur les membres de la Villain Squad, notamment le fait qu'ils se servent d'un otage pour faire chanter Ykhar, ce qui explique son comportement étrange depuis quelques épisodes [...]  Je ne suis pas très étonnée pour Enthraa qui, en plus d'être un personnage au look badass et ne semblant pas très adapté socialement (en même temps qui aurait envie de cotôyer cette bande de naze), explique le fait qu'Ash ait eu accès à la prison sans qu'elle ne donne l'alarme. [...]
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- Le familier de Miiko est très joli, tellement qu'elle ne le mérite même pas. [...]                                             >> Points négatifs << Allez, installez-vous confortablement, c'est parti.
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- La gardienne, comme d'hab. Elle est vraiment trop stupide, en plus d'être moche, elle me sort par les yeux. [...]
(En voyant le spoiler où elle arborait un carré "moins pire" je me suis dit "ENFIN BON SANG" et en fait non, [...] je sais bien que ce n'est pas possible d'intégrer nos propres gardiennes dans les épisodes mais vraiment, sa tronche me gâche l'expérience du jeu, PITIÉ faites quelque chose.) C'était la parenthèse physique, passons maintenant à sa stupidité sans limites. Bon sang, Miiko lui confie qu'elle soupçonne la présence d'une taupe et qu'il ne faut faire confiance à personne et elle elle balance oklm devant tout le monde “Oh mon Dieu j'ai vu un daemon, un dragon, il faut que j'accomplisse une épreuve”. C'est quoi que t'as pas compris dans "ne faire confiance à personne" ? 
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Bon sang j'ai envie de lui mettre des tartes.
-  L'écriture. Sérieux je ne sais même pas pas où commencer tellement c'est mauvais. La narration est mauvaise, les changements de registres de langage (du soutenu au familier en 1 ligne) entravent la fluidité de la lecture, les dialogues sont souvent irréalistes et ne reflètent pas la personnalité des protagonistes. Il y a des fautes de grammaires, de ponctuation, des fautes d'orthographe, ce qui pour une jeu de votre envergure est simplement inadmissible. Mais le pire reste la narration en elle-même. Les scènes de sexe sérieux même le Marquis de Sade décrivait ses ébats de façon moins lourdingue. " Je poussais des cris d'extase libérateurs" mais QUI en 2019 s'exprimerait de cette façon ? Si vous ne savez pas comment écrire une scène d'amour ce ne sont pas les fanfictions érotiques qui manquent pour vous inspirer !! L'écriture c'est le cœur du jeu, vous ne pouvez pas continuer dans cette voie. Embauchez un véritable auteur et des béta-readers ! - Le racket de 800 maanas [...] il y a des joueuses pour qui ça représente une fortune et on n'a aucun choix de ne pas accepter, quitte à louper l'illu, je ne trouve pas ça normal. On a toujours eu le choix jusqu'ici, pourquoi nous forcer la main (et avec un prix aussi exorbitant) cette fois ? - J'ai regardé sur Youtube les versions des autres mecs (je suis avec Leiftan, le seul qui vaille la peine dans tout ce merdier) et j'ai été outrée de la scène avec Karenn, sérieux, il faut la cramer celle-là. Elle est ultra toxique, pour Chrome, pour Nevra, pour la gardienne etc (vous avez compris le concept). Elle est manipulatrice, égoïste, menteuse et je ne comprends toujours pas pourquoi personne ne lui a encore mis son poing dans la figure.
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Je n'en peux plus de subir cette pseudo amitié forcée alors que JE LA DÉTESTE et qu'elle ne mérite pas d'être un membre de la garde, ni d'être entourée de personnes bienveillantes telles que son frère (et nous parce qu'on n'a pas le choix). Cela fait longtemps qu'ils auraient du l'enfermer dans sa chambre comme l'enfant gâtée qu'elle est ou plutôt en prison tant elle a enfreint les règles du QG et outrepassé les limites. Genre elle a MORDU la gardienne et elle s'en sort avec une tape sur la main ! "Ouh c'est pas bien". Bien-sûr que Nevra n'aurait pas dû la frapper mais elle était en train d'exsanguiner sa meuf quoi ! Quand tu te fais agresser la première réaction c'est DE RIPOSTER et pas de t'excuser, de compatir et de plaindre l'agresseur parce que Ouin Ouin la pauvre petite princesse n'est pas le centre de l'univers. Je crois que je n'ai pas autant détesté un personnage fictif depuis Dolores Ombrage. - Je n'en peux plus que vous discréditiez Eweleïn dans ses fonctions médicales, sérieux arrêtez de raconter autant de co... bêtises. [... explications médicales chiantes...] Pourquoi vouloir trouver une explication médicale aberrante plutôt qu'utiliser le potentiel magique d'Eldarya en disant simplement que la douleur était telle que son cœur ne l'a pas supporté, ce qui rend plausible une guérison par la magie contrairement à un syndrome coronarien aigu qui demande une coronarographie ? Il n'y a pas besoin de tout expliquer de façon "terrienne" ! Surtout si c'est pour mal le faire.
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De plus tâchez d'être un peu plus inventifs sur les prescriptions d'Eweleïn (que j'adore mais que vous gâchez) qui ne sait que dire qu'il faut "du repos" sérieux c'est lassant. => La gardienne se fait poignarder, fait une hémorragie massive nécessitant une transfusion : du repos 1 ou 2 jours => Elle a une vision et fait un petit malaise : du repos au moins UNE SEMAINE => A peu près tout ce qui lui est arrivé (hamadryade, potion d'oubli, mort de Mery, combat avec Naytili, déshydratation etc...) : du repos Twylda perd son enfant, tente de se suicider, fait un arrêt cardiaque : le lendemain, en cuisine allez ça va pas se faire tout seul !
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B*rdel vous avez un Univers aux possibilités infinies (et au-delà) utilisez-le !! [...] - Miiko. Oui c'est un point négatif à elle toute seule. [...] - Tiens je déteste Chrome aussi. - J'aimerais bien qu'on développe la relation avec le CDC de façon plus profonde. Entendons-nous bien, j'aime bien les scènes de fesses (bien que leur écriture soit vraiment lourdingue) mais à part copuler comme des lapins et dire qu'ils s'aiment ils ne font pas grand chose ensemble, n'ont pas de moments de complicité, ne savent rien l'un de l'autre, de leurs passions, de leurs histoires... Enfin c'est creux quoi.                                              >> Des trucs en vrac << - Lorsqu'on s'endort dans la chambre de Leiftan et qu'il part rejoindre Ash, on se retrouve comme par magie dans notre chambre.  - Ça fait trois fois que la gardienne tombe sur Leiftan après une vision du Daemon, bon OK elle est tellement teubé qu'elle ne comprend toujours rien mais pour nous qui savons ça manque un peu de subtilité. - Bon du coup comme beaucoup il y a un truc qui me chiffonne mais je ne sais pas encore si c'est positif ou négatif parce que je ne sais pas comment vous allez justifier ça donc je le mets là en attendant. Vous vous en doutez je parle de Valkyon et du fait que Lance dise à Lei (j'aime bien ce surnom d'ailleurs c'est plus joli que Leif) qu'un dragon ne saurait dissimuler sa présence à un autre dragon OR comment se fait-il que Valkyon n'ait pas reconnu un dragon en Ash ?
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2 possibilités : - Celle pour laquelle je penche : Valkyon ignore qu'il est un dragon. Soit Lance l'a découvert après avoir quitté le QG, soit il l'a dissimulé à son frère pour des raisons inconnues (pour le protéger ou parce qu'il projetait déjà de trahir le QG et voulait garder le secret de ses origines pour servir ses plans). Quand on arrive au QG, dans les premiers épisodes lorsqu'Ez fait son truc magique pour déterminer si la gardienne a du sang de faery ou pas, on nous dit que Valkyon ignore sa race de métissage, auquel cas il aurait pu ressentir un truc chez Ash sans parvenir à l'identifier, et, pour une raison quelconque, ne l'aurait pas signalé. - Deuxième possibilité il sait qu'il est un dragon, soit c'est un dragon-naze et il n'a pas repéré du maana draconique chez Ash, soit il l'a identifié et garde le secret par amour fraternel/ haine de la garde/ peur qu'on le vire / qu’il finisse en prison.                                                     >> BREF << Attendre 3 mois pour cet épisode ne me semble pas réellement justifié, je mets ça sur le dos de l'event de Noël qui, comme tous vos event, m'a beaucoup plu. J'ai trouvé cet épisode cher de façon injustifié (34XX maanas en comptant la tenue pour moi). J'ai souvent soupiré pour des incohérences (je ne détaille pas tout mais la durée du voyage d'Ykhar qui change etc) / fautes d'orthographe / lourdeurs narratives etc... Les épisodes ne sont souvent pas à la hauteur de l'envergure du jeu et de la dimension que vous prétendez lui donner. La fin a su piquer mon intérêt sur les origines de la gardienne et la future révélation de l'identité et des desseins du daemon. J'attends plus de complicité et de moments partagés avec mon crush, vraiment. Voila, j'ai pas de phrase de conclusion.
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santiagotrip · 5 years
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Interlude : Jour 3-2
Vendredi 12 avril (suite)
Préambule : Un cri de rage contre les deux ballots (que j’ai formellement identifiés) qui se sont permis des traits d’humour sur mon post - il est vrai succinct - dans lequel j’exprimais mon besoin de visiter le médecin.
Ce billet n’était évidemment pas achevé. Il s’agissait juste d’un pense-bête dans lequel je préfigurais ma réflexion future du jour 4.
Pense-bête que certains esprits faibles ont utilisé pour ricaner bêtement, faisant accroire qu’il s’agissait d’une pensée achevée, et qu’il convenait de railler.
L’incident est clos.
A ceux qui pensent que je me regarde écrire (plutôt que “je m’écoute parler”), et que je commence à les gonfler, je répondrai qu’ils n’ont pas tort et qu’à leur place, j’aurais aussi fermé l’ordi et serais retourné faire mes mots fléchés.
Le médecin :
C’est le remplaçant. D’habitude, c’est Claudie. Elle est sympa, Claudie. Pour moi, vieux barbon, c’est une gamine, mais une gamine gentille, consciencieuse et, je crois compétente. En bref, elle fait le taf.
Lui aussi, il fait le taf. En plus, ce qui est bien, c’est qu’il sait tout. Une consultation, c’est un peu un débat en mode Macron (Question 10 secondes réponse 1H30) :
- “Qu’est-ce qui vous amène ?”
- “ben, je suis sur le chemin de Compostelle et j’ai mal au gen ...”
- Et il enchaîne sur 5 minutes de monologue comme quoi le vélo c’est pas bon quand on est pas entraîné, que lui il le sait parce qu’il a fait le tour de je sais plus quoi avec des chaussures moyennes mais qu’il s’était pourtant entraîné parce qu’il était super-balaise quand il était étudiant et qu’il a des copains qui font le “Race Across America” et que ça au moins, ça rigole pas mais qu’il faut des bons vélos et de l’entraînement ... Et vous faites quoi, au fait ?”
Là, je me rends compte que pour lui, Compostelle, c’est la machine qui valide les billets de train, et qu’on y va à vélo (je caricature un peu, mais à peine). Quand il comprend que Compostelle, c’est 2000 bornes à pied, il se ravise et trouve des trucs qu’il a fait lui, mais mieux.
Enfin, il m’ausculte. Enfin, ausculter ... Je lui montre mon genou, là où ça fait mal, et il me dit que ça doit être une tendinite de la patte d’oie, mais qu’il faut faire une radio et un IRM (Je me demande comment on faisait quand il n’y avait pas d’IRM, vu que maintenant, tu fais un IRM dès que tu as un ongle pété !). “Vous pouvez vous rhabiller”. Durée totale : 7 secondes douche comprise (là, je rigole. Pour la douche.)
Je lui demande combien ça dure en moyenne, une tendinite de la patte d’oie. Et là, la réponse qui tue : “Ca dépend !” Une envie de strangulation prolongée m’étreint. “Ca dépend de quoi, andouille ! Une moyenne, tu te souviens ? En CM2 tu as appris ça ! Une moyenne, ça dépend de rien, justement parce que c’est fait pour lisser tout les “ça dépend !”
Bon, je réussis à lui arracher “6 semaines”, avec repos, kiné, etc. Bon, je me dis, sur internet, je vais bien réussir à trouver un site qui divise la durée par deux, voire par 3 sur les sites un peu naturo, homéo, réflexo, ostéo, charlato pathes !
On verra bien. De toute façon, bon petit soldat, je vais faire tout ce qu’on me dit de faire.
Par exemple, au moment où j’écris, j’ai le genou tartiné de “Argile verte” (c’est comme de la crotte, mais sans l’odeur), et le tout emballé dans du film fraîcheur. Bon, le dites pas, je me sens assez ridicule comme ça ! C’est pour cela que je ne vous mets pas de photo, le rire à haute dose avant le coucher n’est pas conseillé.
Sinon, lundi, kiné, mardi, radio, et IRM fin juin. Si si, sans rire ! J’ai demandé à la dame si c’était bien juin 2019, la question ne l’a même pas fait réagir. J’ai demandé alors "Et si j’avais un cancer du pancréas, ça serait pareil ?” “Ben oui, elle répond !” j’ai demandé quelles étaient les horaires d’utilisation de la machine. Ben croyez-le si vous voulez, la machine elle est aux 35 heures ! j’ai l’impression que si j’avais une machine de ce prix (je ne le connais pas, mais je ne suis pas sûr qu’elle soir en promo chez Lidl), elle marcherait jour et nuit, samedi, dimanche et fêtes ... Mais bon, soit la dame ne m’a pas tout dit, soit quelque chose m’échappe.
Je vais essayer de trouver une autre machine pour accélérer le processus, encore que, je ne suis pas certain que ce soit bien utile.
Mais bon, le docteur il a dit !
Bonne soirée. 
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vraiesmeufs · 6 years
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Kawter : “Aspirer à être une Vraie Meuf c’est déjà être une Vraie Meuf”
Je ne sais même plus quand ni comment j’ai rencontré Kawter. Sûrement via les réseaux sociaux puis nous sommes devenues amies en vrai. On essaye de se voir à chaque fois qu’elle vient à la capitale. Depuis qu’on s’est rencontré, il y a plus d’un an de cela, je voulais faire son portrait, et il m’a par ailleurs été très demandé, même si on n’a jamais vraiment eu l’occasion. Vous comprendrez, je préférais profiter du peu de temps qu’on passait ensemble, mais aujourd’hui, je vais être moins égoïste et vous laisse donc vous immiscer entre nous, le temps d’une conversation. Ce portrait ne vient pas d’une rencontre en particulier, il est le mix de toutes les rencontres qu’on a pu avoir.
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La plus grosse passion de Kawter, c’est la mode. Sur Instagram, elle poste ses différents looks et parle de ses inspirations. “Je suis née au Maroc et j’ai l’habitude d’y retourner chaque année pendant les vacances d’été. Je devais avoir 6 ans lors de mon premier retour au bled et je n’arrêtais pas d’aller rendre visite à un tailleur-couturier dans la rue où habitait ma grand-mère. Je m’asseyais et je le regardais sans parler parce que je ne savais pas parler arabe à l’époque; il essayait de me faire la causette en français mais je n’étais pas très réactive car j’étais timide. Un jour, il m’a confié du fil, une aiguille et du tissu, je les ai pris dans mes mains puis je suis vite partie chez ma grand-mère pour coudre et je crois que tout est parti de là.” Elle m’explique qu’elle a toujours été pudique sur sa pratique de la couture jusqu’il y a quelques années. “Je n’aimais pas lorsqu’on me regardait coudre, c’était comme mon jardin secret. Ma mère savait que je cousais mais dés qu’elle venait dans ma chambre, je faisais semblant de lire ou de faire autre chose.”
C’est comme ça que Kawter a commencé à faire ses propres vêtements. Elle achetait des trucs chez Emmaüs avec des coupes qui n’allaient pas forcément pour retaper tout cela. “Ça m’a permis d’avoir les vêtements que je voulais à moindre prix et étant donné que je suis issue d’une famille à revenu modeste, c’était non négligeable. Une des premières pièces que j’ai vraiment cousue, je crois que c’est un pantalon vert Al malik comme on dit au Maroc, il est super ample et je l’ai cousu sans patron, juste en le modelant sur mon corps.”
S’en est suivi plusieurs projets textiles que la jeune fille a mené. “Le premier projet que j’ai réalisé c’est Basir, un projet textile que j’ai monté quand j’étais en Belgique, j’avais 17 ans. Je cousais toutes les pièces avec mes mains, sans utiliser de machine. Mon doigt était devenu une passoire, tellement l’aiguille avait planté ma peau ! Ça n'avançait pas comme je le souhaitais et je me mettais énormément de pression donc j’ai abandonné. Ont suivi deux autres projets textiles qui ont connu le même sort pour les mêmes raisons.”
“Aujourd’hui j’ai Abondance, ce n’est pas un projet textile pour le moment, c’est plutôt mon portfolio. On me demande souvent pourquoi cela s’appelle Abondance : c’est en fait la signification de mon prénom. Entre Basir et Abondance j’ai énormément évolué humainement et mentalement et aujourd’hui, notamment grâce à un super entourage, je deviens chaque jour un peu plus la femme que j’ai toujours voulu être au fond de moi. La gamine réservée et timide qui traînait chez le tailleur marocain a toujours voulu avoir confiance en elle, être quelqu’un de fort qui ne lâche jamais rien. C’est un peu à quoi j’aspire.”
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A son retour en France, elle a voulu ouvrir un blog avec son copain de l’époque, pour parler mode, beauté, lifestyle… C’est comme ça qu’est né OrangeBleue. “J’ai une attirance pour l’orange à l’époque du coup je voulais à tout prix qu’il y ait ce terme dans le nom, et lui s'identifiait plus au bleu donc ça a donné Orange Bleue. J’ai tenu ce blog pendant 1 an ou 2 avec une chaîne Youtube mais, comme pour mes projets textiles, je me mettais beaucoup de pression parce que je voyais d’autres personnes avancer plus rapidement. Finalement, j’ai été repérée pour être rédactrice mode pour Elevated. J’ai sauté sur l’occasion, j’allais avoir moins de responsabilités et plus de libertés.”
Une aventure qu’elle vit encore aujourd’hui, car Kawter revient la semaine prochaine pour la Fashion Week de Paris pour assister aux défilés et écrire pour le site. “Au début j’étais toute excitée ! J’avais des étoiles pleins les yeux. Mais en vrai, ça a rapidement été la désillusion je t’avoue. Le stress de ne pas être à l’heure à un défilé parce que l’autre a fini en retard, le temps passé à attendre les créateurs à la bourre, le brouhaha de la musique... le fait de ne pas pouvoir voir les pièces sous toutes leurs coutures est assez frustrant aussi. C’est pour ça que je préfère les présentations aux défilés, c’est plus posé. Mais ce que j’aime vraiment dans la Fashion Week ce sont quand même les styles que tu vois, les gens s’habillent vraiment comme bon leur semble et je trouve ça cool, ton style vestimentaire ouvre le dialogue avec de parfaits inconnus. C’est mon monde, je sens qu’on est tous là pour les mêmes raisons et quand tu viens de la province c’est vrai que ça fait un peu bizarre au premier abord.”
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Contrairement à ce que beaucoup pensent Kawter n’habite pas à Paris mais à Orléans. “Les freins de la province quand t’es une passionnée de mode sont réels mais ils ne sont pas insurmontables. Déjà si ta ville et ses habitants n’ont pas l’habitude d’entreprendre des projets et des événements, c’est un frein parce que tu ne peux pas évoluer toute seule. Dans mon cas, le second frein est le fait que ma mère m’empêche de bouger librement sur Paris notamment pour des raisons financières, ce que je comprends mais j’ai raté pleins d’opportunités. Nike m’avait contacté pour m’inviter à des événements et créer du contenu ensemble mais quand je leur ai dit que je venais d’Orléans, ils m’ont dit qu’ils cherchaient uniquement des parisiennes.”
Niveau études, Kawter me parle de sa frustration de ne pas étudier les choses qu’elle aimait au lycée. “J’ai fait filière littéraire alors que je voulais être en arts appliqués. J’ai toujours été une élève moyenne, bavarde mais sans problèmes tu vois. En terminale, ça a empiré à cause de mon prof de philo, on ne pouvait pas se supporter et si tu veux tout savoir, j’ai même failli me déscolariser et laisser tomber les études, mais je me suis dit que ma mère ne s’était pas sacrifiée pour que j’arrête tout maintenant donc j’ai continué. Je cumulais un contrat étudiant en parallèle et quelques semaines avant le bac j’ai fait un burn out : arrêt maladie, antidépresseurs prescrit (mais jamais pris), bref j’étais mal. Je me disais que je n’aurais jamais mon bac et la plupart des adultes de l’établissement me le disaient aussi. Dieu merci, j’avais mon copain de l’époque qui faisait tout pour que je réussisse et que je n’abandonne pas et en vrai c’est grâce à lui que j’ai réussi à avoir mon bac avec une mention.”
“Le plus dur, c’était l’affectation, j’ai reçu un coup dur d’APB : refusée par 11 établissements de MANAA. J’ai ressenti énormément de frustration et de solitude, parce que même si tu sais que tu n’es pas la seule dans ce cas, ça ne t’aide pas forcément à relativiser. Cette année j’ai donc été à la fac de mon secteur le temps d’un an et je me suis rendue compte que j’étais incapable d’étudier quelque chose qui me passionne réellement. L’an prochain, je commence un BTS Métiers de la mode et du vêtement en région parisienne. Ce n’est pas ouf comme formation mais ça m’apprendra ce que je veux apprendre et je verrais en fonction des expériences et contacts.”
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On parle ensuite goal et inspirations. Les VraiesMeufs de sa vie ? “J’ai peu de modèles. Pour son courage, sa bravoure et sa piété, ma mère m’inspire beaucoup. Pour son style et son aura, Aleali May est un modèle à suivre à mes yeux et je pense que ce sont mes 2 seules inspirations pour le moment. Enfin il y a toi, avec VraiesMeufs ! Vous êtes les 3 femmes pour qui je porte respect et admiration.”
“Je pense que mon goal ultime serait de réunir tout ce qui fait de moi ce que je suis, au sein d’un même bâtiment. Je voudrais ouvrir un complexe mêlant mode, art et culture, avec une exposition de créateurs à un étage, une exposition d’artistes à un autre, et une espèce de musée portant sur l’histoire des minorités ethniques, l’histoire que l’on nous apprend pas à l’école.” Kawter sait qu’elle n’est pas la seule à aimer l’art, l’histoire et la mode. “Notre génération paraît très superficielle parce que beaucoup d’entre nous sont très branchés “apparence” mais nous sommes surtout tous en quête d’identité.”
Elle me parle par ailleurs de la première fois qu’elle ne s’est pas sentie “chez elle”. Elle se souvient que le jour de l’inscription au bac, à côté de son prénom, il y avait écrit “étrangère”. “J’ai connu une grosse crise identitaire. La plupart des descendants d’immigrés sont juridiquement français, ce qui n’est pas mon cas. J’ai donc du mal à me reconnaître pleinement dans ce groupe. Des immigrés comme moi, il n’y en avait pas dans mon entourage pendant la primaire, le collège et le lycée. Pourtant je suis une enfant de la République, je m’exprime parfaitement dans la langue de Molière, j’ai reçu une éducation française et j’ai toujours vécu ici.”
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Au collège, elle n’avait pas d’amie arabe, et au sein de sa famille, on lui reprochait d’être francisée parce qu’elle ne parlait pas arabe et qu’elle avait un style qui sortait de l’ordinaire.“Ce genre de remarques peuvent te blesser. Du point de vue de la France et de ses institutions, tu es étrangère et au sein de ta famille tu es étrangère aussi. T’as l’impression d’être un alien et c’est difficile à porter pour une collégienne.” Cela fait en réalité peu de temps au final que Kawter a trouvé cet équilibre entre le Maroc et la France. “Il y a deux ans, j’ai véritablement repris lien avec mes origines et mon héritage, notamment avec mes racines berbères. C’est en partie grâce à des rencontres et des remises en questions, je dirais. Se retrouver parmi ses identités plurielles, c’est un long processus qui dure toute une vie.”
Et ses différentes identités, Kawter les défend corps et âme. “J’ai toujours été sensible aux injustices et aux inégalités. Il y a des choses que je n’ai jamais réussi à trouver normales, même si on a voulu me convaincre du contraire.” Elle m’explique que son féminisme se rapproche plus du féminisme islamique prônée par Zahra Ali que du white feminism. “Je n’en sais pas encore assez parce que j’étudie le sujet actuellement. Mais de ce que j’ai compris, le féminisme islamique auquel j’adhère se base sur le Coran et sur des hadith afin de bâtir ces principes en étant musulmane, c’est dans cette idéologie que je me retrouve le mieux. On garde à l’esprit que l’homme et la femme ne sont pas identiques mais complémentaires et ça n’empêche pas le fait qu’ils soient égaux et ça, beaucoup ont du mal à l’assimiler.” Parmi leurs revendications, les féministes islamiques exigent une réécriture des lois islamiques qui, selon certains savants musulmans contemporains, sont entachées par une vision patriarcale d’une autre époque. “Ce qui est à retenir c’est qu’aux yeux d’Allah hommes et femmes sont égaux, nos péchés comme nos bonnes actions sont traités de la même manière.”
“Une vraie meuf pour moi, ça ne se traduit pas par une quelconque apparence. L’essentiel, c’est ce qu’il y a dans sa tête et son cœur. Une vraie meuf c’est une femme qui s’assume entièrement dans les bons comme les mauvais côtés de sa personne, elle aspire à être meilleure qu’hier en se focalisant sur le dépassement de soi, que ce soit dans ses projets ou dans sa vie perso. En fait il n’y a pas de personnalité ou d’apparence qui limite et définit une vraie meuf, ça se reconnaît plus dans ses actions, ses valeurs et ses aspirations. Aspirer à être une Vraie Meuf c’est déjà être une Vraie Meuf.”
ENGLISH VERSION (translated by Lehna)
KAWTER : “Aspiring to be a "vraie meuf” is already being a "vraie meuf”.”
I don’t even know when and how I met Kawter. I guess it was via social media, then we became friends for real. We try to see each other each time she comes to the capital. Since the moment we met, more than a year ago, I wanted to do her portrait for the website, and even some people asked for it, but we didn’t have the chance. Guess you’ll understand, I would rather enjoy the little time we had together, but today I will be less selfish, and I’ll let you join us, the time for a chat. This portrait does not reflect a particular meeting, it is a combination of all the meetings we had.
Kawter’s biggest hobby is fashion. On Instagram, she posts her different looks, and speaks about her inspirations: “I was born in Morocco, and I usually come back every year during summer breaks. I was 6 years old when I first came back in Morocco, and I couldn’t stop going to a tailor in the street where my grandmother used to live. I sat there, and I looked at him in silent because I didn’t know any Arabic at this time; he tried to talk to me in French, but I wasn’t really reactive because I was shy. One day, he gave me threads, a needle, and some tissue, I took it in my hand, and then I left quickly for my grandmother’s house to sew. And I believe that it all began from this story. She explains to me that she always has been very shy on her practice of sewing until few years ago. “I didn’t like when people watched me sewing, it was like my private garden. My mother knew that I was sewing but when she was coming to my room, I was pretending to read or to do something else”.
At this moment, Kawter began to make her own clothes. She bought things from Emmaus with not super trendy cuts to fix them. “It allowed me to have cheap clothes that I wanted. And given the fact that I’m from a humble family, it was significant. One of the first pieces that I’ve really sewed was a green AL Malik trousers (as we say in Morocco). It was super wide, and I sewed it without any pattern, just by modeling on my body.”
Then, several textiles projects followed, led by the young girl. “The first one I’ve achieved was Basir, a textile project that I’ve created when I was in Belgium and 17 years old. I sewed all the pieces with my hand, without using a sewing machine. My finger was like a sieve, the needle kept cutting my skin. It didn’t go as I wanted, because I was putting in myself too much pressure, then I’ve dropped it. Then, two other projects have followed, that encountered the same issue for the same reasons.”
“Today I have Abondance, which is not a textile project for the moment but more a portfolio. People often ask me why it is called Abondance: it is in fact the meaning of my first name. Between Basir and Abondance, I have evolved humanely as well as mentally and today, particularly thanks to a great environment, I become each day a bit more the woman that I have always wished to be deep inside. The reserved and shy kid that hung around the Moroccan tailor has always wanted to trust herself, to be someone strong who never drops anything. It is what I aspire to be.”
After her return to France, she opened a blog with her ex-boyfriend, to speak about fashion, beauty, lifestyle… It is how OrangeBleue was born. “At this period, I had an attraction for orange, I wanted by all mean this term in the name, and he identified more himself with blue thus it gave OrangeBleue. I had this blog during one or two years with a Youtube channel but, as for my textile projects, I put on myself a lot of pressure because I saw other people making progress faster than me. Finally, I got spotted to become fashion editor for Elevated. I jumped on the opportunity, I was going to have less responsibilities and more freedom.”  
An adventure that she is still living right now, because Kawter comes back next week for the Paris’ Fashion Week to attend the fashion shows and write for the website. “In the beginning I was so excited! I had stars in the eyes. But in fact, it became quickly a disillusion I have to admit. The stress to not be on time to fashion shows because the other ones have finished late, the time spent to wait hurried creators, the hubbub of the music… the fact that you can not see the pieces under all their seams is quite frustrating too. That is why I prefer presentations to fashion shows, it is more calm. But what I really love in the Fashion Week is the clothing styles that you see, people get dressed like they want, and I think it is cool, your clothing style opens talks with perfect strangers. It is my world, I feel that we are all there for the same reasons et when you come from the countryside it is true that it is a little weird at first.”
Contrary to what people think, Kawter doesn’t live in Paris but in Orleans. “The brakes of the countryside when you are a fashion fanatic are real but not insuperable. If your city and its inhabitants are not used to undertake projects and events, it is a brake because you can not evolve alone. In my case, the second brake is the fact that my mother prevents me from moving freely to Paris in particular for financial reasons, what I understand but I’ve missed a lot of opportunities. Nike contacted me to invite me to events and to create new contents together but when I said that I came form Orleans, they replied that they were only looking for Parisians.”
On the educational level, Kawter tells me about her frustration of not studying things that she liked in high school. “I chose mostly literary subjects while I wanted to be in decorative arts. I have always been an average student, talkative but without problems. During the last year of high school, it got worth because of my philosophy teacher, we could not bear each other and if you want the whole story, I almost quit and dropped my studies, but I thought that my mother did not make sacrifices to watch me giving up, so I decided to continue. At the same time, I had a student job and few weeks before the high school diploma, I did a burn-out: sick leave, prescribed antidepressants (but never taken), in short, I was not feeling well. I thought that I would never get my high school diploma and most of the teachers said it too. Thanks God, I had my boyfriend, he helped me a lot, to not giving up and to motivate me. Thanks to him, I got my high school diploma with honours.”
“The hardest, was getting into schools. I received a hard blow from APB: turned away by eleven institutions of MANAA. I felt a lot of frustration and loneliness, because even if you know that you are not alone in that case, it doesn’t necessarily help you to put into perspective. This year I went to a university in my sector for one year and I realized that I was incapable to study something that I wasn’t passionate about. Next year, I’m going to begin a two-year technical degree of fashion and garment in Paris. This is not the best formation, but it will teach me what I want to learn.”
Then we spoke about goals and inspirations. The VraiesMeufs of her life? “I have a few models in my life. For her courage, her bravery and her piety, my mother inspires me a lot. For her style and her aura, Aleali May is a model to follow and I think that they are my two only inspirations at this moment. Well, there is you too, with VraiesMeufs! You are the three women for who I pay respect and admiration.”
“I think that my ultimate goal would be to combine all the things that define me, in the same place. I would like to open a complex mixing fashion, art and culture, with an exhibition of the creators in one floor, an exhibition of artists in another one, and a museum on the story of ethnic minorities, the part that schools do not teach us.” Kawter knows that she is not the only one to love art, history and fashion. “Our generation looks like very superficial because many of us think a lot about their appearances, but we are in search of an identity.”
She tells me about the first time that she did not feel at “home”. She remembers the registration’s day to the high school diploma, next to her name, there was written “foreigner”. “I experienced a big identity crisis. Most of the immigrant’s descendants are legally French, which is not my case. So, I have difficulty to recognize myself fully in this group. There was not a single one immigrant like me within my own circle during primary, middle, and high school. However, I am a child of the Republic, I express myself perfectly in Molière’s language, I have received a French education and I have always lived here.”
In middle school, she did not have Arabic friends, and within her family, they made her reproaches for being frenchified because she did not speak Arabic and because she had a style that was out of ordinary. “This kind of remarks can hurt you. From the point of view of France and its institutions, you are a foreigner and within your family you are a foreigner too. You have the impression of being an alien and it is hard to carry on for a schoolgirl.” It is in fact a little time ago in the end that Kawter found a balance between Morocco and France. “Two years ago, I really reconnected with my origins and my inheritance, in particular with my Berber roots. It is partially thanks to meetings and questionings, I would say. Find yourself among your plural identities, is a long process that lasts a lifetime.”
And her different identities, Kawter defends them heart and soul. “I have always been sensitive to injustices and inequalities. There are things that I have never managed to find normal, even if people wanted to convince me otherwise.” She explains to me that her feminism gets closer to Islamic feminism lauded by Zahra Ali than the white feminism. “I do not know enough on it because I am studying the subject right now. But what I have understood, the Islamic feminism to which I adhere, bases its argument on the Coran and on the Hadiths in order to build these principles while being Muslim. I am in complete agreement with this ideology. We need to keep in mind that the man and the woman are not identical but complementary and that does not prevent the fact that they are equal and that, a lot of people have trouble assimilating it.” Among their claiming, the Islamic feminists require a rewrite of the Islamic laws that, according to some contemporary Muslim scientists, are soiled by a patriarchal view of another period. “We need to remember that in Allah’s eyes, men and women are equal, our sins as our good deeds are treated in the same way”.
“A "vraie meuf” for me, cannot be translated by any appearance. The essential is in her brain and her heart. A “vraie meuf”, is a woman that assumes herself completely in the good as in the bad sides of her personality, she aspires to be better than yesterday by focusing on the self-surpassing, whether it is in her projects or in her personal life. In fact, there is no personality or appearance that can limit and define a “vraie meuf”, we can see it by her actions, her values and her inspirations. Aspiring to be a “vraie meuf” is already being a “vraie meuf”.”
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iamacolor · 3 years
Note
(1/4) Oh non, pas du tout ! J'aime bien lire de longs pavés et puis ça me donne encore plus de choses à apprendre sur des domaines que je ne connais pas ou peu. J'avais compris que tu faisais un master en design sur ton post épinglé et je trouve ça super intéressant comme carrière. Du coup, je vois que tu réussis un peu que d'autres à gérer cette situation extraordinaire et je suis contente pour toi. Mais, c'est vrai que pour les licences/masters dans des domaines plus répandus
(2/4) c’est super difficile car même si on est sensé connaître les sujets qu’on apprend, il y a toujours certaines zones d’ombre et donc la présence des profs aide beaucoup. C’est sûr qu’en visio, c’est pas facile de poser un tas de questions vu le temps limité que tout le monde a pour enseigner/prendre des notes sur les cours. Je ne suis effectivement pas étudiante pour le moment mais j’espère pouvoir reprendre mes études à l’avenir. Je suis dans une période de flou pour le moment. (3/4) En tout cas, merci d’avoir partagé avec moi toutes ces informations intéressantes. Je croise les doigts pour que tu puisses trouver un stage et finir ton master dans les meilleures conditions. (Je ne sais pas si tu as réussi à trouver ton stage ou pas). Mais, du coup, je me demande comment certaines universités vont faire par rapport aux stages ? Je dis ça car dans certains cas, les stages de fin de diplôme sont obligatoires. (4/4)Cependant, au vu de la situation actuelle, que va faire un étudiant qui ne trouve aucun stage ? Que faire si on est de nouveau confiné et que le stage n’accepte que les stagiaires en présentiel ? C’est compliqué tout ça. :o Désolée pour ce long pavé mais quand quelque chose m’intéresse, j’ai tendance à écrire/parler beaucoup. Passe une bonne journée / soirée. :)                 
Haha très bien alors parce que je sais pas vraiment faire de réponses courtes comme tu as d’ailleurs pu le voir avec mon post épinglé qui fait 5 pages sur word! (donc vraiment j’ai aucun problème à recevoir des longs messages, j’aime bien, ça fait un peu comme une lettre) et oui en fait je suis premièrement formée en design de mode puis en design mode/textile avec une ouverture pluridisciplinaire (j’étais dans une école où on était souvent amenés à travailler avec des élèves d’autres spécialités en design) et le master que je fais cette année c’est de la gestion de projets de design pros en équipe donc ça touche à des trucs très différents selon les entreprises pour lesquelles on travaille du coup je touche un peu à tout c’est rigolo. Et oui c’est exactement ça! en plus c’est des formations qui reposent beaucoup sur l’apport de connaissances donc si tu loupes un trucs c’est chaud, surtout que parfois c’est des classes avec beaucoup d’élèves donc il n’y a aucune possibilité pour les profs de faire de suivi individuel en cas de décrochage...mon frère me dit qu’il a aussi des profs qui se contentent d’envoyer des pdfs mais qui répondent pas aux mails en cas de question parce que pour eux ça représente qu’un TD de genre 2h par semaine mais pour les élèves c’est la galère...et c’est sans parler des problèmes techniques qui peuvent se poser (micro défaillant, connexion faible...) qui gâchent vraiment l’expérience (quand tu commences à parler et que tu te rends compte que de l’autre côté ils entendent un mot sur 5 c’est pas la joie...).
Et non pour l’instant pas encore de stage, j’envoie des mails auquel personne ne répond ou alors pour me dire que en gros mes dates collent pas avec leurs offres...enfin bon je vais continuer et je vais bien finir par trouver quelque chose, merci pour tes mots encourageants <3 et tes questions sont très justes et pour l’instant personnes ne sait grand chose...l’année dernière il y a beaucoup de stages qui ont été annulés (ceux qui étaient une année après moi dans mon école n’ont pas pu faire leur stage de 4 mois par exemple donc il devaient le reporter à la fin de cette année scolaire je crois?) et cette année je pense qu’il feront en sorte que les élèves puissent commencer leurs stages plus tard peut-être? ou faire une pause? parce que oui les stages sont souvent obligatoires (souvent s’ils sont longs). Après ça dépend du domaine dans lequel tu travaille mais normalement les employeurs ne doivent pas t’obliger à venir en présentiel et tu dois faire du télétravail, et sinon il faut y aller... peut-être que dans ce cas-là l’école peut négocier? mais par exemple la copine de mon frère est en études de psychomotricienne et elle doit faire une sorte de stage “régulier” avec un jour par semaine mais le problème c’est que sa tutrice a décidé de se mettre en arrêt maladie pour le confinement et du coup elle peut pas continuer son stage pour l’instant parce qu’elle n’a plus de tutrice...
Oh j’espère que ta reprise d’études pourra se faire et qu’elle se passera bien alors quel que soit le moment où elle s’opèrera! :) Je suppose que c’est pas facile de reprendre ses études après avoir fait une pause mais ça peut être très riche (mes deux parents se sont reconvertis chacun dans un domaine très différent de leurs études initiales des années après les avoir finies, et pourtant ils avaient fait la même formation au départ ), tu as une idée du domaine qui t’intéresserait, tu souhaiterai continuer dans ce que tu connais déjà ou justement c’est encore flou pour toi?
Je te souhaite une bonne soirée/journée aussi!!
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ambassademag · 4 years
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Chronique Musique : @ meh de Playboi Carti
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Si, dans ma jeune vie d’auditeur, il y a bien un disque que j’ai vu susciter une attente phénoménale ( attente qui était aussi la mienne) c’est…
Bon OK, Deux frères de PNL mais aussi Whole Lotta Red de Playboi Carti.
Je vais pas revenir outre mesures sur ce disque et l’arlésienne qu’il a été pour beaucoup d’entre nous, amateurices de rap. Annoncé peu de temps après Die Lit et son succès incroyable, WLR a été attendu. Un peu à l’instar des frères de Tarterrets, Sir Cartier n’avait pas trop fait patienter ses fans en début de carrière ( a peu près un an entre la sortie de Playboi Carti et Die Lit, idem pour QLF – LMC- DLL). Et encore à l’instar du duo le plus important du rap français depuis 10 ans, Carti communique peu (pas) autour du disque.
Alors quand, dans la même semaine, drop une cover et un single, tout s’accélère. Car, enfin, nous allions avoir un morceau solo de Carti dans nos oreilles. Car entre, Die Lit et @ meh les seules occurrences de Carti s’était faites qu’en feats et en (aisément) des TERRA  OCTETS de leaks.
Avant de parler du futur disque, je me sens donc obligé de parler de @ meh.
Dans cette semaine où cette cover drop, on sent donc les choses s’accélérer. Carti tweet deux trois trucs pour la première fois depuis des mois et là, hop, un lien. @ meh. 
TT France, 200k tweets avec son blaze en 1h et 3749 vidéos réactions en 2, suscités uniquement par 2 minutes 47 de contenu uploadé sur youtube. Alors, impatient, je clique.
Ma première réaction est de rejouer le morceau, puis encore, puis encore.
Il se passe quelque chose. Incapable de savoir si j’aime ou pas le morceau. Les premières réactions générales sont tièdes ou inexistantes car, globalement, le morceau est peu apprécié. Alors une question me traverse l’esprit, @ meh est il un échec?
@ meh a pourtant tout du morceau cartiesque à succès sur le papier. Baby voice poussée a fond comme sur pissy pampers ou Molly, vocabulaire limité à 12 mots repartis dans 5 phrases répétées en boucle et intelligibilité toute relative desdits 12 mots. Pourtant, un facteur semble absent. Le morceau ne donne aucunement l’envie de trémousser son cul.
Dans le podcast Nofun consacré à Die Lit, le journaliste Nicolas Peillon (aka Pure baking soda) cite un tweet random qui résume, d’après lui, la musique de Carti : « c’est de la twerk musique pour garçon ».
Bon, la remarque de l’internaute est un peu sexiste mais l’idée est là, Carti fait danser les foules. C’est une musique où tout converge vers l’explosion de toustes, où on est là pour danser de façon totalement désorganisée mais avec le coeur. Que ce soit de violents pogos ou un doux mily rock.
Et là, une des spécificités de @ meh apparaît, mais qui à envie de danser là dessus ?
Jusqu’ici c’était une constante chez Carti, ses tracks sont auto-suffisants (comme la Chine) car soit très dansantes ou alors dotées d’une ambiance folle (oui, je te regarde location). Oui, @ meh donne envie de hocher en rythme la tête mais pas de la perdre dans des pogos monstres. Or, cette absence d’auto-suffisance de la track, ca en fait une track d’album. Dans une discussion avec un camarade (bisous à lui si il se reconnaît) il ma dit « [à propos de @ meh] on dirait une interlude. »
Oui, le morceau semble tout droit sorti d’un milieu d’album, calé dans une construction précise. En effet, admettons que jusqu’ici le tracklisting des projets de Carti importait peu. Quelle différence y aura t il eu à intervertir Lean 4 Real et Milleage sur Die Lit ? Les projets de Carti, ici bien fruit de l’époque, sont plus des suites de singles que de vraies constructions pensées comme des montées en puissance. De ce fait, @ meh me permet d’aller au-delà de la binarité « j’aime-j’aime pas ». Il me fait attendre le projet. Attendre pour voir si, en effet, Carti va penser dans le fond, une structure de disque. Carti a t il pris un virage nouveau dans son propre style ? Carti va t-il nous sortir un disque structuré tel UMLA ? (non faut pas déconner, on le sait d’avance). De ce fait, ma curiosité pour l’album est éveillée, n’est ce pas là le signe de la réussite du single ?
Pas tout à fait. @ meh m’intrigue en cela qu’il me rappelle un autre morceau que j’aime beaucoup, Politics de Lucki.
Dans cette merveille, Lucki rap sur tout un tas de choses et ponctue cela d’un hook accrocheur, « fuck the politics ». Une prod inspi drill à mélodie minimaliste de ChaseTheMoney en guise d’enrobage. Mais, au milieu de ces phases, se distingue une tristesse profonde. Entre deux « je gagne beaucoup de sous/ je me tape une fille/ refrain », Lucki glisse deux trois phases composées de 5 mots à peine sur ses dépendances aux opiacés et sur sa santé que ces dépendances ruine, la perspective de la mort et le cœur brisé. Ces quelques phases, elle parcourront tout l’album Freewave 3, qui parle en fait de dépression sévère, sous ces airs de post-drill de stoner. Pourquoi une telle divagation par rapport à notre sujet me dirait vous. Parce que j’ai retrouvé la même chose sur @ meh. Politics c’est Lucki qui raconte des trucs pour se rassurer que tout va bien et, parfois, son inconscient lui fait lâcher qu’il se défonce parce qu’il a pas le courage de faire face à sa dégénérescence. Et, j’ai retrouvé quelque chose de ça dans le morceau de Carti. Dans le texte, pas d’occurrence d’inconscient comme son camarade de Chicago. Pourtant, quelque chose dans la prod et le mix m’a amené à ça.
C’est ici un interprétation très personnelle des composantes « techniques » du morceau mais j’y trouve un sens.
La mélodie et ses notes d’espèces de xylophone qui aurait bouffé un synthé et les kicks ouverts mais très rêches m’amène à ça. La prod semble toujours être coupée dans son envol. Les notes mélodiques semblent vouloir continuer et s’étendre, les kicks annoncer une basse vrombissante et pourtant, tout est coupé dans le lard, avant d’avoir pris son envol. Cela donne une prod dépouillée, minimaliste mais qui serait un arbre cachant la foret. La foret que sont les basses saturées façon R.I.P et les mélodies de samples (toujours R.I.P) ou alors prenant une place de plus en plus grande façon soleil qui se lève (je te regarde encore location). De ce fait, les bases d’un énième morceau de Carti sont là, mais rendues à leurs plus simple appareil. De ce fait, la babyvoice et son mix étouffé dans ce brouillon rendent le morceau étrange. En outre, les mélodies de « flûtes » qui reviennent tous les deux temps me rappellent celles utilisées par ChaseTheMoney sur Freewave 3. Pourtant,  Carti parle pourtant des mêmes conneries mais l’enrobage du morceau semble le couper. Non, la prod ne fera pas bouger des têtes et non, elle ne laissera pas tes gimmicks s’exprimer. Carti rappe des conneries pour se rassurer que tout va bien mais la musique l’en empêche. C’est l’inconscient de Lucki qui resurgit car la réalité est autre que celle de la fête constante et des grosses voitures.
Ici, c’est le visuel qui m’aide. En effet, loin des fausses pubs outrageuses ou de l’aperçu de la vie d’un vêtement dans une machine à laver, ici le visuel est sombre. Carti, tout de noir vetu, est avachi dans la pénombre d’un studio photo (?). Il est seul, dans le noir. Les quelques femmes peu vêtues qui twerkent ne croisent pas son chemin. Elle twerkent mais seule. Le montage est même parlant : il y a ce plan où Jordan est « assis » au sol, langue pendue frappant le sol. Un comportement d’animal en rut sucité par la strippeuse qui semble devant lui. Pourtant, le cut nous indique que bien qu’au même endroit (le fond est le même) il n’y sont pas en même temps. Le montage sous entend le fantasme, le fantasme de la vie de rockstar.
Alors si WLR, était en fait un disque sur le succès ? Le fantasme d’être une star ? Un disque sombre, sous ses airs de joyeuseté cartienne ? Lui qui semble s’être muté physiquement en vampire aurait-il eu du mal à gérer l’après Die Lit ?
Voilà ce que m’a fait me demander @ meh. Si, le disque n’était pas ce qu’il semblait être, ce que l’on attend de lui et de son auteur ?
Alors il méritera que j’y penche l’oreille, juste pour voir. Peut être que je vais me gauffrer, que ma surinterprétation que vous avez lu.e (merci d’ailleurs d’être arrivé.e jusqu’ici) mais au moins, , @ meh me fera streamer le disque.
Putain, en fait, il gère niveau com’ le Playboi.
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eilanetranslation · 7 years
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Avis sur le chapitre 35 (SPOILERS)
Hier, je vous avais promis un maxi-post, et bien le voilà! Désolée, je me répète un peu d'une réponse à l'autre, et il y a pas mal de blabla hors-sujet. Mais j'avais des choses à dire :')
Bien évidemment... SPOILERS!
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@angieoups
Saluuuut~ Ça va bien, merci :)
Je préfèrerais que Koogi et Lezhin décident une bonne fois pour toutes de réduire le rythme de publication. Bien sûr, je ne peux pas en vouloir à Koogi d'avoir des soucis de santé qui l'obligent à prendre du repos, mais je commence vraiment à être agacée par ces messages de dernière minute qui nous annoncent une pause d'une semaine/deux semaines/un mois etc.
En plus, à chaque fois, j'ai l'impression que Koogi est forcée de se justifier pour ne pas se faire insulter par certains lecteurs, en donnant des détails sur sa vie privée. C'est bien si elle a envie de partager avec nous, mais j'ai plus le sentiment qu'elle se sent obligée de le faire.
Et personne ne va mourir de devoir attendre deux semaines au lieu d'une!
Concernant le chapitre, je ne l'ai pas tellement aimé. Je ne l'ai pas trouvé mauvais, comme le chapitre 33, mais c'était pas non plus la folie.
Comme tu le dis, et je vais même plus loin, c'était un final beaucoup trop facile. Le dénouement pour Seungbae est exactement celui que je prévoyais depuis une dizaine de chapitres, ce qui enlève toute utilité à l'affaire du poste de police (alors que j'espérais un minimum d'impact.)
Le retour de Sangwoo et Bum à la maison, je ne l'imaginais pas tellement différemment, et contrairement à toi, je savais que Sangwoo agirait exactement comme ça. C'est vrai que je pensais qu'il changerait de visage dès qu'ils auraient passé la porte, finalement même pas besoin.
Et puis la scène de cul/viol... bah, elle m'a pas plu, et je suis loiiiiiiin d'être prude/facile à choquer/fermée d'esprit ou quoi que ce soit, donc ce n'est pas ça le problème. Je l'ai juste trouvée de mauvais goût,avec un Bum qui prend son pied et qui gémit des "je t'aime" à en perdre haleine, alors qu'en réalité il devrait avoir tellement mal qu'il pourrait à peine parler/bouger...
J'ai rien contre le sexe irréaliste dans les BL, où les gars sont des dieux dès leur première fois, où ils peuvent jouir cinq fois d'affilé sans problème, et où ils ont jamais besoin de préliminaires (parmi des tas d'autres clichés...) Mais j'ai toujours apprécié le réalisme dans KS, et cette scène m'a déçue et énervée.
Cela dit, j'ai quand même été satisfaite que Koogi ait rappelé à tout le monde que Sangwoo est un connard manipulateur. J'en pouvais plus des fangirls qui écrivaient après chaque chapitre "Ouah, Sangwoo est génial, et Seungbae est un connard!" Parfois, j'ai l'impression qu'on lit pas la même série...
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@jeanmidepain
Salut :) Merci à toi!
Pour résumer : chapitre bof, final de saison décevant.
J'ai toujours eu une relation amour/haine avec Sangwoo. J'adore son génie du crime, ses talents de comédien, ses affrontements avec Seungbae... (et il est sexy) mais je n'oublie pas qui il est vraiment! Alors, est-ce qu'il me dégoûte? Pas plus qu’avant, parce que je le savais capable de faire ça ^^
Après, concernant Bum, j'ai eu beaucoup de mal à être désolée pour lui pendant ce chapitre (alors que depuis le début de la série, mon coeur saigne pour lui <3). Je n'aime pas ce que Koogi est en train de faire de lui, une petite chose incapable de réfléchir par elle-même qui encaisse tout ce que Sangwoo lui fait et ne remet rien en question parce que "on est amoureux, hein!"
Et puis, cette scène de sexe... hey, je veux bien que Bum endure ce que lui inflige Sangwoo par amour, mais je refuse de croire qu'il y a vraiment pris du plaisir. Le masochisme, ça veut pas dire que t'aimes te faire déchirer l'anus hein.
Oui, Seungbae était proche, et il avait quand même des preuves contre Sangwoo! J'étais certaine que ça finirait comme ça, mais quand même, les policiers qui laissent repartir le duo alors que Bum est couvert de blessures - et qu'il n'a JAMAIS dit que ça venait de "l'ex-copain" que Sangwoo a complètement inventé, ça n'a aucun sens.
Est-ce qu'on peut considérer qu'un Bum complètement soumis et dévoué à Sangwoo, c'est une forme d'évolution? Personnellement, je préfère 1000 fois le Bum qui a essayé d'empoisonner Sangwoo, qui a essayé de s'enfuir, qui s'est opposé à lui, et qui était torturé par ses sentiments pour son tortionnaire.
Parce que le Bum qui dit des trucs comme "on est trop amoureux parce qu'on vit ensemble" et "s'il m'a insulté quand je lui ai dit que je me suis fait violer, c'est parce qu'il tient à moi!", qui n'a plus aucun doute sur son bourreau, et qui gémit des "je t'aime" à Sangwoo qui vient JUSTE de lui avouer qu'il se foutait de lui -  et qui, tant qu'on y est, est en train de le violer, il ne me plaît pas du tout.
Maintenant que la saison 2 est terminée, je peux le dire : quel est l'intérêt du génialissime chapitre 27? Quel est l'intérêt de Bum qui se rebelle contre son oncle dans le chapitre 33 (même si c'était un rêve)? Quel est l'intérêt de la discussion de Bum et Seungbae à la fin du chapitre 34?
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@hopelessprod
Hello~ ça va bien merci :)
MAIS TELLEMENT, TELLEMENT, TELLEMENT D'ACCORD AVEC ÇA!
Cette fin de saison, c'est à 3000% du fanservice, y a eu aucune surprise. La fin pour Seungbae, je m'y attendais depuis un bon moment déjà (avant même qu'ils n'arrivent tous au poste de police), et cette scène de cul était juste là pour faire plaisir à celles qui ne lisent la série que pour ça.
Attention, je suis fan de yaoi comme la majorité d'entre nous ici, et j'apprécie les (bonnes) scènes de sexe dans les mangas. Et, comme je l'ai écrit plus haut, je suis loin d'être prude. Mais j'ai pas aimé ce passage... Je suis déçue que Bum n'ait pas réagi plus que ça, quand Sangwoo lui a avoué qu'il s'était foutu de lui, et ça m'énerve de le voir gémir comme dans un film porno alors que si c'était un minimum réaliste, il devrait à peine pouvoir bouger/parler (parce que oui, une bite dans le cul sans préparation/lubrifiant, ça fait super mal - et on le voit saigner).
(Et je me contenterai de mentionner ces fangirls qui n'auront retenu qu'une chose du chapitre... "Ils ont enfin couché ensemble omg!")
Je me doutais que la saison 2 mettrait fin à l'épisode du poste de police mais... pas comme ça. Pas en mode "nan nan, c'est bon, vous pouvez partir, y a pas de souci, on est vraiment désolés, on va juste virer Seungbae et faire comme si rien s'était passé hein". C'était décevant, y a eu aucune conséquence pour Sangwoo.
Même si Seungbae a foiré son coup, que ses preuves n'ont pas suffi, que Bum n'a rien balancé, et qu'il a pété un câble devant tout le monde... à un moment, il a quand même réussi à instaurer le doute. Les blessures aux jambes de la fille du PDG et de Bum sont les mêmes, Bum - qui vit avec Sangwoo - est couvert de bandages et n'a jamais dit d'où elles venaient, et les policiers ont douté à un moment que les deux sortaient vraiment ensemble.
Je sais pas, mais même si ça suffit pas pour dire que Sangwoo est coupable, ça mérite quand même d'enquêter un peu plus sur Bum pour découvrir ce qui lui est vraiment arrivé... non ? Ça aurait été intéressant, si les policiers avaient demandé le nom de l'ex-copain mystère pour l'interroger/l'arrêter, ou tout simplement pour ensuite demander à Bum s'il veut porter plainte contre lui. J'aurais aimé voir Sangwoo galérer pour trouver une solution.
J'ai déjà dit que les policiers étaient des incompétents dans une précédente publication, et je sais que c'est pour servir la cause de l'histoire, mais c'est un peu gros quand même... et frustrant.
Et pour mon sentiment global sur ce chapitre... ouais, à peu près comme toi. Le dernier vrai bon chapitre de cette saison a été le 31. Il y a eu quelques bons moments depuis, mais globalement, j'ai pris beaucoup moins de plaisir à lire ces derniers chapitres.
Je m'inquiète vraiment pour la suite de Killing Stalking. J'ai adoré la première saison (en tout cas, c'est le souvenir que j'en garde). Je trouve que la deuxième a mis du temps à démarrer, pour ensuite avoir de très bons chapitres, et se finit sur un arc décevant.
J'espère que la relation de Sangwoo et Bum va changer drastiquement, et j'attends ce changement de la part de Bum. J'aime beaucoup Sangwoo tel qu'il est, et si par lui-même, il venait à s'adoucir et à devenir tout gentil avec sa victime, je serais déçue. J'attends pas un Sangwoo transi d'amour et tout mignon (par contre, un Sangwoo possessif, c'est intéressant...)
Ce que j'aimerais, c'est que Bum se rebelle et amène Sangwoo à changer - ou alors, qu'il se rebelle et essaye de le quitter, parce qu'il sait que Sangwoo ne changera pas. J'adorerais que Bum prenne le dessus sur leur relation, même si ça ne dure pas.
Mais, avec cette 2nd saison, je doute que tout ça arrivera, et j'ai peur que la suite soit juste "Sangwoo et Bum tuent des gens ensemble et sont amoureux, lololol".
J'ai hâte de la saison 3 pour une seule chose : Seungbae. J'adore sa vision détraquée et absolue de la justice. Maintenant qu'il a été viré, il n'a plus rien à perdre et sera prêt à tout pour arrêter Sangwoo... et ça promet d'être intéressant. Par contre, j'annonce tout de suite : s'il en vient à tuer quelqu'un, je serai déçue de lui.  
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Merci à vous trois pour vos questions <3 Et félicitations à ceux qui liront! Si vous voulez parler de certains points plus en détails avec moi, n'hésitez pas.
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Je tiens à dire que cette connerie de citation ma fait tenir un régime de Janvier à Aout. 
Enfin .... “Regime”. Depuis toute petite je suis des régimes sans nom mais également sans succès. Ce que je n’avais pas compris c’est le véritable sens du mot “régime”, le vrai “régime” c’est le changement. Il n’y a pas de produit miracle qui fait perdre en un éclair. C’est pas vrai c’est un conte de fée au même titre que le prince charmant et les dragons ! La seul différence, c’est que les vendeurs pharmaceutique veulent vous garder à l’état de petit enfant naïf. 
Un régime ce n’est pas ce priver pendant  une période donner. Car après l’auto torture l’estomac (le deuxième voir troisième cerveau) saiiiis trèès bien que tu reviens au point de départ. Et cet enfant de satan comme il sait que tu vas surement recommancer, et bas lui héhé pas con la bête il gobbe plus de graisse donc tu grossi deux fois plus. Et là, lumière éteinte, projecteur sur la scène... 3... 2... 1... EFFET YOYO TADAAA
d’ailleurs on va bannir ce mot absurde qu’est “régime” on l’entends à toute les sauces et on en a plein nos bourses. Ce dont il faut réellement parler c’est Changement d’habitude alimentaire. Encre le biens fort dans ta tête, note le et mange ton bloc note après si tu veux mais c’est ça qu’il faut retenir. 
Je te préviens tout de suite, ça va être long et dur donc si dans ta tête t’es pas prêt sa sert à rien du tout ! Parce que c’est toi et toi seul le médicament amincissant. Je te parle de déclic, la petit lumière qui clignote dans ton esprit qui te dis “j’en ai marre de me faire appeler père noël” “j’en ai marre d’être le dernier à être choisi en cours de sport” “je ne veux plus me prendre des rateaux parce que je ne me sens pas bien dans mon corps” 
J’ai surligné la dernière citation car elle est importante. Dans la vie on recherche tous l’amour, à plaire, à être beau mais surtout se sentir beau. Mais ça, sa passe d’abord par l’impression que tu as de toi. Car une personne belle, c’est quelqu’un qui a un minimum de confiance en soi et qui se trouve de toute beauté (point trop n’en faut mais assez pour ne pas se rendre invisible voir agressif). 
Si déjà tu as lu tout ça, félicitation t’as déjà un minimum de motivation ! 
Passon au vif du sujet. 
Pour Noël j’avais eu en cadeau un polaroïd, et au nouvel an j’ai mitraillé. Déscente aux enfer, réaliter amer, je me trouvais vraiment trop enrobé. Car être sérré dans un jean élastique taille 42, il fallait se rendre à l’évidence. De plus une conversation d’amis sur le chemin du retour parlant d’une connaissance qui avais pris beaucoup de poids réveilla cette fameuse lumière clignotante. J’ai visiter bon nombre de site web et vidéo youtube pour changer ça définitivement. J’étais déterminée. 
1ere phase ( Janvier - Mars) : J’ai littéralement stoppé les sodas et réduis les gateaux. mais je peux vous dire que j’en consommais vraiment beaucoup. Mes parents très gourmants de nature remplissaient toujours le garde manger de gateaux en tout genre. C’était vraiment pas facile de voir toute ces gourmandises me crier de les manger. Je me suis restreinte le matin à une part de brioche et mon café sans sucre, à ne pas me re-servir à manger et ne manger un gateau que quand j’en avais profondémment envie (car la frustration c’est pas non plus un copain). Ce qui as également aidé c’était d’accrocher des post-it au dessus de mon lit avec les trucs et astuces (styles les aliments plein d’eau, ceux qui font beaucoup grossir etc) et la citation ci-dessus. 
L’eau tu boirras. ça m’a tellement aidé à perdre. Deja ça cale, et en plus ça te donne envie de faire pipi. les mauvaises toxines passe par l’urine. Personnellement, durant cette période je me suis fais pour objectif de boirre 1L50 à 2L par jour. Ce choix est personnel vous n’êtes pas obligés de faire ça du jour au lendemain comme moi. Surtout si vous n’aimez pas l’eau il faut un temps d’adaptation au goût. (surtout éviter le sirop, ça améliore le goût certe mais sa tue vos effors parce que oui, le sirop c’est que du sucre et du colorant) 
Phase entre-deux (Mars - Avril) : j’appelle ça la phase de stabilisation. C’est également la phase où tu vas moins perdre, le temps que ton stock de graisse fonde. Mais surtout la phase où tu perds espoir. Ce petit bout qui te fais demander à quoi sa sert, tu perds plus, t’en peux plus parce que tu veux bouffer jusqu’à ce que le gateau au chocolat te sorte par les yeux. Mais c’est la que la citation prends tout son sens. C’est la phase la plus dur mentalement mais corporellement t’es en haut de l’himalaya. Parce que le changement à déjà commencer à devenir une habitude. ET CEST CA QUON VEUT. Car qui dit changement dit aussi nouvelle habitude. et une fois que c’est une habitude ça devient naturelle. 
Phase 2 (Avril - Juin) : j’ai réduit mon alimentation. une fois que manger un gateau n’étais plus une habitude mais un plaisir de temps en temps, J’ai commencé à réduire mes assiettes. La première semaine c’est dur, le ventre tiraille et cris. Mais c’est juste le temps qu’il rétréssise pour prendre la forme de la nouvelle dose. Cette phase necessite de souligner Petit à petit pour ne pas traumatiser votre estomac et vous faire perdre espoir inutilement.
-> à votre rythmes.
Phase Cacher (Mai - Aout) : J’ai été embauché dans un magasin de prêt à porter avec la réserve qui se situait au bout de deux étages d’escaliers. Bref j’étais rémunérée pour faire du sport. 
Aujourd’hui, Date du poste : Je suis passée d’un 42 élastique à un petit 40 en jean. D’un M en ce qui concerne les robes. Et je me sens bien dans ma peau. Le but n’était en aucun cas de ressembler aux filles des magazines. J’ai naturellement les os lourds et je muscle vite donc j’ai exclu la balance pour ne pas me décourager et éviter les obsessions. 
Voilà j’espère que ce poste va vous aider, vous encourager et vous donner la force de changer pour que vous vous sentiez bien dans votre corps. 
Plus tard quand j’étais bien encrer dans ces nouvelles habitudes j’ai vue cette vidéo ( ci-dessous) que j’ai trouvé extremement bien faite et qui illustre bien ce roman gallimard que je viens de vous poser.
Partie 1 : https://www.youtube.com/watch?v=zQB_ALqVrAA
Partie 2 : https://www.youtube.com/watch?v=P909_9e3aNA
coeurs sur vous <3 
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