Tumgik
#sons de la nature
theperceptionlab · 1 year
Text
Tumblr media
mirror #49
0 notes
Photo
Tumblr media
YO.OY
©Clémentine Circaetis  
13 notes · View notes
Tumblr media
"No me sorprendería que por todo este alboroto, funnas y videos relacionados al tema Ed00chan decida abandonar FNAFHS de manera definitiva y está a todo su derecho, no puedo creer que hay gente que todavía la quiere meter en problemas o que todavía la acusan de temas pasados que no a vuelto a pasar, ella a demostrado ser una artista y influencer ejemplar el cual a madurado atraves del tiempo y a mostrado ser merecedora de seguidores sanos, fuerzas Ed00chan sigue así y si no te sientes con las ganas de seguir con el proyecto abandonarlo pero ya no te fuerces por personas que no te aprecian "
Esta a sido una de mis obras favoritos hasta el momento y me agrada bastante el resultado
#Ed00chan#¡¡¡Dejen en paz a Ed00chan!!!#¡¿No ven que ella ya a sufrido mucho hate y presión por parte de todos?!#Vaya Fandom#...#No diría que el actual está mejor#Almenos una buena parte del Fandom ya es consciente del daño que a sufrió#Pero tampoco es mejor#Pues la mayoría está bastante apegada a la idiologia Lgbt progresista además de los izquierdista#He visto las suficientes publicaciones como para saber que si Ed00chan no hace Cannon alguno de los Ships gays o hace referencias a esto#Además de que apuesto que si hace algo leve chiste negro le caería un montón de Hate señalandola de lo peor Como si hubiese hecho algo malo#He visto una parte del Fandom que es maravillosa... Pero la otra Uffff tienen más actitudes más infantiles; malcriada y berrinchudas#Que haya visto y eso que una buena parte son personas de 18 a 29 años#Chicos esta bien su orientación y gustos pero por factor no de radicadicen#Esta lo blanco y negro pero esta la tabla de grises también#No todos apoyan lo Lgbt pero no todos lo odian le darán igual si conocen una persona de la comunidad problablemente solo le de igual#Aprendan a diferenciar el humor negro del que si es funnable#Del que si es funnable ufff allí si la gente se hacen los ciegos por razones baratamente estúpidas#Ed00chan es la primera mujer que he conocido que mostró libremente lo Lgbt y la admiro por eso y lo natural que fue o lo sentí#Fuerzas Ed00chan tenes seguidores que te admiramos!!!#Art#Dibujo#Adoro cuando el Fandom limpio Lgbt de Ed00chan hace Aus y Cómics son tan geniales!!!#fanart#Fan Art#dibujo a lapiz
2 notes · View notes
chironshorseass · 2 years
Text
god has a….strange sense of humor
5 notes · View notes
vodoungnon · 4 months
Text
Témoignage sur le vrai portefeuille magique du papa vodoungnon medjo, vrai et vérité sur le portefeuille de binta envers papa vodoungnon medjo
vrai et vérité sur le portefeuille de binta envers papa vodoungnon medjo Bonjour je suis Binta je suis au Mali je dépose ce témoignage sur le site offociel de papa Vodoungnon Medjo pour ses bientfaits et son conseils. Merci à vous Vodoungnon Medjo Votre portefeuille est vraiment mystique. PAPA vous êtes vraiment puissant et fort , j’apprécie trop ses conseils. Je vous jure que depuis que je…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
nathalie-noachovitch · 5 months
Text
Un Week-end à la campagne, en chambre d'hôtes de charme, pour transformer votre relation de couple
Tumblr media
Mon conjoint et moi-même, nous avons élaboré un concept unique et éprouvé que sont nos week-end d'ateliers de communication pour les couples. Nous vous accueillons chez nous, dans notre chaleureuse maison située en région Centre Val de Loire et vous dormez sur place dans une de nos chambre d'hôtes à la décoration raffinée et très romantique. Dans ces ateliers, nous vous donnons tous les outils nécessaires à une bonne communication et une expérience de transformation complète de votre relation.  
Qui sommes-nous et pourquoi ?
Tumblr media
Avec mon conjoint, nous formons un couple avec 30 ans de vie commune, nous avons 3 merveilleux enfants issus de notre union. La recette de la longévité de notre relation ? L’Amour et la Communication. Nous avons aussi une passion commune : la musique et le chant ! C’est pourquoi nous avons créé “The Covers”, un duo piano et deux voix, où nous chantons en harmonies vocales. Un moment privilégié à deux pour nous détendre et nous faire plaisir.
Notre complicité ne s'arrête pas là : la combinaison de nos domaines de compétences et d’expertise, moi, en Psychologie et Sophrologie et mon conjoint en Communication et en Gestion des Conflits, crée une synergie puissante que nous avons décidée de mettre au service des couples qui rencontrent des difficultés dans leurs relations.
Ensemble, nous pouvons donc travailler à renforcer votre relation, à surmonter les obstacles et à vivre une vie de couple plus épanouissante. Nous sommes là pour vous guider, vous soutenir et vous inspirer.
Alliez Évolution de votre relation et Détente en couple
Ce week-end est conçu pour vous offrir le meilleur des deux mondes : la transformation de votre communication en couple et des moments de détente, de divertissement, et d'aventure. Nous vous accueillons chez nous dans notre cadre unique, un lieu exceptionnel qui offre l'environnement idéal pour se détendre, se reconnecter et renforcer votre relation.
Deux nuits en chambre d'hôtes dans un lieu de charme, en pension complète
Tumblr media
Notre charmante maison est bien plus qu'un simple lieu. Elle dégage une chaleur authentique, offrant un environnement protecteur qui vous invite à vous détendre et à vous consacrer pleinement à votre relation. Nos chambres d'hôtes sont conçues pour le romantisme et le cocooning, créant ainsi un espace propice à votre confort et à votre quiétude.
 Divertissements et Détente
Tumblr media
Profitez d'une soirée karaoké, où vous pourrez chanter vos chansons préférées, rire ensemble et danser. Un jeu de billard sera à votre disposition pour des moments de compétition amicale. Lors des beaux jours, profitez de notre jardin et plongez dans notre piscine chauffée pour vous rafraîchir et vous détendre. 
Nature et Aventure
Tumblr media
Nous sommes situés près de magnifiques sentiers forestiers, parfaits pour une randonnée romantique. Pour les amateurs d'activités nautiques, un lac se trouve à proximité, offrant la possibilité de pratiquer diverses activités nautiques pour des moments mémorables à deux.
Notre atelier de communication pour les couples
Une “BOX à outils” de communication Notre objectif principal est de vous fournir des outils et des stratégies concrets. Vous repartez de nos ateliers avec une BOX à outils de communication que vous pourrez utiliser dans votre vie quotidienne pour maintenir une relation épanouissante. Des ateliers participatifs et interactifs Nos ateliers sont conçus pour vous faire participer activement. Pas de grands discours théoriques interminables et ennuyeux ! Vous pouvez vous attendre à une approche interactive. Nous vous donnons les outils d'une bonne communication, vous les expérimentez à l'aide d'exercices pratiques et de mises en situations. Des ateliers holistique pour renforcer votre connexion émotionnelle et affective
Tumblr media
Notre approche holistique vous fait découvrir une autre façon de communiquer, de vous comprendre mutuellement, de partager vos émotions, et de nourrir votre amour. Nous avons spécialement conçu pour vous des séances de Sophrologie en couple et une expérience de pleine conscience en pleine nature avec notre Sophro-Marche.
 Un Petit Groupe pour une Grande Authenticité Nous vous proposons un environnement de groupe bienveillant et structuré. Pour favoriser l'authenticité et le lâcher-prise, nos ateliers sont composés uniquement de 3 couples. Cela crée un environnement intime propice à des échanges sincères. Vous pouvez vous sentir en sécurité pour explorer vos défis de communication et célébrer vos succès en tant que couple. Vous avez aussi l'occasion de partager votre expérience avec d'autres couples qui traversent des situations similaires, ce qui peut être à la fois rassurant et inspirant.
Comme nous, gardez toujours en tête que la vie d’un couple est un voyage en constante évolution.
Pour plus de renseignements sur notre week-end d'ateliers de communication en couple :
http://www.jeveuxsauvermoncouple.com
0 notes
lazoneestlibre · 7 months
Text
youtube
Comment alléger la lourdeur des conditionnements et lâcher prise de manière joyeuse et gracieuse
0 notes
fettery-fetterie · 8 months
Text
No puedes pensar en ninguna vaina pa tus ocs pero bien que puedas pensar en un montón de vainas para los csms del otro wn
Sorry for the long ass spanish rant on the tags btw x"""d
Anyways, night night
0 notes
donlacerdaxd · 1 year
Text
1.-  ¿Cuáles son los recursos energéticos más utilizados en nuestro día a día?  2.-  ¿Cuáles son sus ventajas?  3.- ¿Cuáles son sus desventajas?
1 note · View note
mutantes-sinmas · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
mismezclas · 2 years
Text
1 note · View note
Text
Las rocas de los eruditos o Gongshi: China - Malaquita.
Tumblr media
Las rocas de los eruditos o Gongshi (en chino, 供石; pinyin, gōngshí), también conocidas como rocas esculturales, son rocas moldeadas natural o artificialmente muy apreciadas por los eruditos chinos desde la dinastía Song hasta nuestros días y que pueden encontrarse frecuentemente en los jardines chino
CARACTERÍSTICAS DE LA PIEDRA MALAQUITA
Origen del nombre : Derivado del latín “malachites” que significa “a través de” y del griego antiguo “malakhe” que significa “malva”.
Grupo de origen : Carbonato
Composición química : Carbonato básico de cobre CU2CO3(OH)3
Dureza : Entre 3,5 y 4
Sistema cristalino : Monoclínico
Yacimientos : Australia, Brasil, Chile, Congo, Francia, Israel, Rodesia, Rusia, Zaire, Estados Unidos.
Color(es) : Verde que varía de pálido a muy oscuro.
0 notes
blog59-world · 2 years
Text
1 note · View note
jaquemuses · 2 months
Note
hola reina te puedo pedir uno de matias recalt en donde haya consumo de marihuana?? si no queres esta todo bien pero me haria ilusion, me encantan tus escritos
‐🪽
HOLA HERMOSA !! Perdón por haber tardado tanto pero aca esta!! Gracias por la request, me super insipiraste jajsj.
𝜗𝜚⊹ ‧₊˚ slow down
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
synopsis: Matias pasa a buscarte para ir a fumar en pos de celebrar buenas noticias, sin embargo no es lo unico por lo que va a terminar celebrando.
pairings: Matias Recalt x reader
content: SMUT! car sex, uso de drogas, marihuana, alcohol,breeding, fingering, blowjob, sobre estimulacion, dirty talk
word count: 7,2k jeje
Tumblr media
i.
Esto ya se habia convertido una costumbre; donde Matías te pasaba a buscar a horas intempestivas para ir hasta la reserva natural de la costanera en su auto, siempre estacionando donde la vista es mejor para pasar un par de horas ahí y compartir un porro mientras esperan para ver el amanecer. No suena como un gran plan, pero son las noches que más esperas. Y esta es una de esas noches.
Estabas en la cama, el ventilador girando arriba tuyo intentando apaciguar las grandes oleadas de calor del mes de enero. El verano en la ciudad de buenos aires era el infierno en tierra. Te estabas revolviendo en la cama contra las sábanas delgadas que causaban mas calor del que creias posible que podia existir luchando contra el insomnio veraniego en donde los dias siempre terminaban en noches calurosas y pegajosas; las peores en tu opinion.
Podias sentir la ligera capa de sudor cubriendote, haciéndote sentir sucia, el ventilador haciendo poco para aliviar la pesadez del clima. -miraste el reloj despertador junto a tu cama por lo que se sentia como la centésima vez, y viste cómo pasaba de la 1:43 a la 1:44. Gracias a Dios es viernes; no estás de humor para levantarte en las próximas 4 horas y prepararte para ir a trabajar con una o dos horas de sueño. Tu horario de sueño ya estaba completamente desordenado y planeabas aprovechar ese fin de semana para intentar arreglarlo. Es justo ahí cuando escuchaste el "ping" de tu teléfono, iluminando el pequeño rincón de tu habitación con el mensaje de texto de Matías.
Holis consegui el papel, ¿venis a celebrar?
Te tapaste la boca con una sonrisa antes de abrir el chat.
Obviamente él sabia que estabas despierta, despues de todo era el quien se ocupo de arruinar tu horario de sueño llevándote a estas escapaditas a altas horas de la noche.
Sin embargo agradeciste internamente la invitación de Matías, hubieras estado dispuesta a inventar cualquier excusa para salir de tu calurosa casa. Tu respuesta fue rápida, y esperabas que no pareciera demasiado desesperada.
"obvio que si, ¿me pasas a buscar?"
Matias tardo un poco más en responder; probablemente estaba preparando sus cosas, llenando sus bolsillos de papelillos y de marihuana. No te sorprendería si se olvidara de traer un encendedor. Podrías contar con los dedos de las manos todas las veces que Matías te había invitado a fumar y se había olvidado de llevar uno. La última vez que se habian juntado, su encendedor se rompió y no habia traido uno de repuesto. Por lo que creiste conveniente recordárselo, porque seguramente ya habia fumado y su memoria no era la mejor cuando estaba drogado.
"Mati"
"acordate de llevar dos encendedores"
"que no nos vaya a pasar lo de la otra vez !!"
"(que no TE vaya a pasar)"
Y no pudiste evitar sentir una pequeña emoción cuando viste el texto debajo de su foto de perfil que te indicaba que estaba escribiendo.
"Jajsjsa, andate a cagar"
"te aviso cuando esté abajo."
Sonreíste ante su respuesta. Estabas segura de que se habia olvidado por completo.
Sin mas preambulos te levantaste de la cama, caminaste hacia el espejo que estaba colgado atras de tu puerta y te observaste. Las ojeras alrededor de tus ojos, y tu pelo desordenado definitivamente delataban tu lucha por conciliar el sueño. Tras ver eso corriste a darte una ducha rápida para refrescarte y al menos estar presentable antes de que él llegara. Te pusiste una musculosa blanca y un par de shorts que ni siquiera recordabas haber comprado. Todavía hacía calor afuera, así que no llevaste una campera ya que estos encuentros generalmente solian durar un par de horas y era cuando comenzaba a refrescar, pero no lo suficiente como para llevar un abrigo, ¿verdad? El auto de Matías llegó antes de que pudieras decidirte.
El claxon te hizo correr escaleras abajo, casi tropezandote al bajar. No pudiste evitar sentirte emocionada, podias sentir que había una gran y estúpida sonrisa en tu rostro. Aun así, no encontraste razones para borrarla, estaban por verse para salir a festejar que matias habia conseguido el papel, era razon suficiente para estar sonriendl. Justo antes de abrir la puerta, te revisaste una vez más: llaves, billetera, teléfono y encendedor. Por las dudas.
Con tus zapatos apenas puestos, cerraste la puerta atras tuyo y corriste por el patio delantero. El aire nocturno se sintió maravilloso y lo recibiste mientras golpeaba tu pelo todavia mojado. Lo sentiste refrescandote y de repente estuviste contenta de haber decidido no traer un abrigo, despues de tantos días de calor este aire fresco se sentia fenomenal.
Pudiste ver el perfil de Matías a través de la ventana del pasajero y casi jadeaste. Su cabello estaba tirado descuidadamente hacia atrás, algunos mechones sueltos enmarcando ligeramente su cara. La luz de los faroles hacian un buen trabajo iluminando su mandíbula, y te preguntaste si realmente era el aire frío lo que causaba los escalofríos.
Esperabas que el color rojo en tus mejillas desapareciera antes de subirte al auto, querias ahorrarte las burlas de parte de tu amigo.
"Hola" dijiste alargando la "a" al entrar al auto, tu sonrisa de oreja a oreja mientras te acomodabas en el asiento para depositar un suave beso en la mejilla del castaño.
Él se inclinó hacia adelante y agarró el abrigo que estaba sobre el asiento del pasajero, tirandolo hacia atrás antes de que subieras. "Hola nena!!" te dijo con una sonrisa ladeada "mira que día festivo te clave ehh." Su habla salió un poco arrastrada; si no te habías dado cuenta ya por el olor en el auto, te dabas cuenta por su voz que ya estaba drogado, o al menos contentito. Te preguntabas qué pensarían tus padres si te hubieran visto ahi, en el auto del porrero de la facu yendo a fumar y a beber alcohol barato. Pero si no se enteran no les va a molestar.
"No es un día festivo, Matías. Deja de buscar excusas para fumar." dijiste riendote "Quiero que me cuentes TODO, como te llamaron que te dijeron que tenes que hacer." empezaste a hablar mientras te abrochabas el cinturon.
Conocías a Matías desde hacia ya bastante tiempo. Estuvieron en la misma secundaria sin embargo sus interacciones no comenzaron hasta que empezaron la universidad. Él se te acercó cuando mientras estudiabas para un examen. No era algo tan importante, pero siempre te estresabas y te ponias frenética dos semanas antes de cualquier examen. Matías no era tonto y habia notado eso, porque te ofrecio algunos consejos para tranquilizarte, por así decirlo.
Una cosa llevó a la otra, y de repente estabas en su habitación, con un bong en una mano y un encendedor en la otra. Empezaste a visitarlo más y más, quedándote por períodos cada vez más largos, hasta el punto en que habian dias que te quedabas a dormir, no siempre consumias porque tampoco te encantaba fumar, pero si disfrutabas de su presencia.
Cabe aclarar, desaprobaste el examen.
"Bueno che pero me estoy portando bien! Ahora decidí que solo voy a fumar en días festivos". Qué mentiroso. Hubieras apostado todo tu sueldo a que esa regla no le iba a durar mucho.
"Matías, si solo fumaras en días festivos, eso significaria que todos los dias de tu vida son festivos". Se metió entre los dos y subió el volumen de la música, chase atlantic sonaba dentro del auto.
"Y bueno, hay que festejar que estamos vivos" Se rió a tu lado, quitando una mano del volante para pasarte una cajita, empujándola contra tu hombro.
"Deja de reclamarme y abrí tu regalo".
Con una mirada confundida en tu rostro, la tomaste. Era larga pero pequeña, y estaba envuelta en una cinta que él había atado en un pequeño moño en la parte superior.
"¿Qué es esto?" Él estaba sonriendo como un nene chiquito.
"Si te fuera a decir entonces no lo hubiera envuelto, tarada", te dijo con un tono burlesco, y una amplia sonrisa en su rostro, "Dale, abrilo"
Y así desataste el pequeño lazo, la cinta se deslizó fácilmente de la caja. Levantaste la tapa y adentro había un porro enrollado de manera desordenada reposando sobre un pequeño almohadoncito de terciopelo. Rodaste los ojos.
"¿Posta envolviste un porro en papel de regalo?" dijiste burlandote.
Matias te miró, los ojos alternando entre tu rostro y la caja. "Ves que sos una forra, ni un gracias me decis..." dijo fingiendo estar ofendido. "Si sos tan desagradecida me lo quedo yo." Intentó agarrar el porro de tus manos, pero fuiste más rápida.
"Menos mal que no te dedicas a robar porque te cagas de hambre, no me podes ni sacar un porro de la mano." El castaño fingió estar herido antes de volver su atención a la carretera.
"Es culpa de la marihuana, hace que mis reacciones sean mas lentas."
"No me digas eso cuando estás manejando el auto, boludo", exclamaste.
"Ay nena. Vos sabes que manejé mucho mas drogado y nunca choqué."
Eso era mentira. ¿Se olvidó que estabas en el auto con él cuando chocó contra el auto de adelante? Tu mama no habia estado muy contenta cuando se entero, pero eras grande ahora; y no podía prohibirte verlo.
"Matias yo estaba con vos esa vez que chocaste contra el auto de un tipo que después te quería cagar a trompadas ¿O te olvidaste de eso?" Le recordaste.
"Bueno pero eso no cuenta. El flaco estaba frenando de golpe, se la buscó. Tuvo suerte de que yo no estaba con ganas de pelear."
"¿No estabas con ganas de pelear? Más bien estabas cagado." Te burlabas de Matías todo el tiempo por eso, pero para ser honesta siempre te sentías segura cuando él manejaba.
Bueno, sí, manejaba cuando estaba fumado, pero había fumado tanto a lo largo de su vida que parecía 100 veces más capaz que cuando estaba sobrio. Confiabas en él con tu vida, para la desgracia de tus papás.
"Y si boluda, ¿vos te acordas del tipo ese? ¡Era alto y estaba armado como si fuera un patovica! Nunca empiezo una pelea que sé que voy a perder. Soy más inteligente, no más fuerte, así sobreviví hasta ahora." Te reías, una sonrisa se te dibujaba en los labios cada vez que lo escuchabas hablar "Bueno, segui así y mira a la ruta cuando manejas."
ii.
Medio porro, tres birras cada uno y media hora de viaje en auto después, llegaron a la costanera. Eran poco más de las 3 am y el horizonte tenía un ligero tinte azul claro, una señal de que el sol pronto traería un nuevo día.
El aire era refrescante y llenaba tus pulmones mientras comenzabas a sentir como todos tus musculos empezaban a relajarse producto de la marihuana haciendo efecto en tu sistema nervioso. El calor parecía haberse ido y ahora el frío se instalaba en tus huesos haciéndote pensar en subir la ventana y en por qué no te habias traido ese abrigo. Matías debió haber notado cómo temblabas porque subió la ventanilla desde los controles en su lado.
"Gracias. ¿Estás pendiente de mí?" dijiste mirandolo a los ojos con una suave sonrisa.
"Siempre". Era verdad, siempre lo estaba.
Debía ser tarde, porque desde la última vez que escucharon al locutor en la radio habian pasado al menos cinco canciones. Ahora los débiles sonidos de clásicos de los 90 se filtraban por los parlantes uno tras otro. Un ruido de fondo perfecto para fumar a esas horas de la noche. Apoyaste tu cabeza contra el asiento y cerraste los ojos disfrutando la sensación de tus músculos volviéndose ligeros.
"Ya son casi las 4:20, ¿cómo vamos a celebrar?"
Matías preguntó sobre el sonido de la radio.
"No sé, ¿como siempre? Fumamos, tomamos, hablamos boludeces y despues vamos a comprar una happy meal." Giraste la cabeza hacia él. "¿Qué podría ser mejor que eso?"
Cogerte en el asiento trasero de su auto mientras fumaban un porro. Eso definitivamente superaría cualquier happy meal de McDonald's. Pensó, pero no lo dijo.
"Me parece perfecto." Dijo Matías aunque preferiria tenerte a su merced en el asiento de atras.
Te pasó el porro que había fumado hasta la mitad y observó como te lamiste los labios antes de deslizarlo entre ellos y tomar una profunda bocanada.
Matías siempre pensó que lucías mejor cuando estabas drogada. La hierba parecía hacer brillar tu piel, creando un cierto aspecto rosado en tus mejillas. Tus ojos siempre lucían más brillantes también, húmedos y un poco vidriosos. Se imaginaba que así era exactamente como te veías cuando estabas caliente, y no estaba equivocado.
Desde que empezaste a fumar, te habias dado cuenta que te ponía un poco más cachonda de lo habitual. No sabías qué te pasaba; era como si encendiera un interruptor adentro tuyo y tus sentidos se agudizaban. Te volvías un poco necesitada y un poco cariñosa, y definitivamente te mojabas mas que cuando estabas sobria. Y cuando estás con Matías fumando? Dios... Apenas dos porros y todo lo que ese hombre tenía que hacer era mirarte para ponerte como una perra en celo.
Tenías la sensación de que Matías sentia lo mismo, pero en todo este tiempo que habias estado haciendo esto con él, nunca habia dado el primer paso. Empezabas a pensar que tal vez no sentia lo mismo, ¿o estaba esperando a que seas vos la que daba el primer paso?
Bueno, apenas habías fumado medio porro y tomado tres cervezas. Pero capaz que otro porro y medio y dos cervezas más te iban a dar la valentia para encararlo.
iii.
El tiempo parecía volar. Matías te estaba contando una historia sobre una chica a la que le vendía marihuana en la universidad y cómo ella se ofreció a hacerle una mamada para pagarsela. Él le dijo que no era por ser desagradecido, pero que necesitaba el dinero. Una mamada hubiera sido genial y todo, explicó el castaño, pero no era lo que estaba buscando. En algún momento entre mencionar una mamada y algo sobre ser abofeteado por la chica mencionada anteriormente, dejaste de prestar atención. La cerveza y el porro ya te habian afectado, pero se mezclaban con algo más peligroso. No podías evitar que tus ojos se desviaran hacia sus labios, viéndolos formar palabras a las que no estabas prestando atención y preguntándote qué tan suaves se sentirían entre los tuyos. Luego tu mirada comenzó a bajar y ahora recién te diste cuenta de que estaba usando pantalones de jogging grises; por lo que podias ver contorno de su pene desde tu posición en el auto, haciendo que tus pensamientos se aceleraran.
"¿Me estas escuchando?" dijo matias cuando se dio cuenta que habias dejado de prestar atención.
No sabías por qué lo decías, pero no hubo forma de evitar que la pregunta saliera de tus labios.
"¿Te puedo chupar la pija?" Solo te diste cuenta de lo que habías dicho cuando volviste a mirar a Matías. Sus ojos estaban abiertos de par en par y parecía confundido.
Mierda.
Él simplemente se quedó allí, con la boca ligeramente abierta mientras procesaba lo que acababas de decirle. ¿Te había escuchado bien? No, seguro habia sido el efecto de la hierba jugandole una mala pasada. Aun así, tenía esperanzas y continuó, "¿Qué?"
Mierda, realmente acababas de decir eso. Pensaste en formas de recuperarte de esto, pero no había forma de que tu cerebro pudiera inventar algo que tuviera sentido. No habia vuelta atras, asi que continuaste, "La oferta no va a durar mucho más." Un nudo comenzó a formarse en tu garganta y tu boca se secó.
Matías empujó su asiento hacia atrás y dejó que sus ojos ligeramente enrojecidos te miraran fijamente, pasando su lengua por su labio inferior mientras su mirada recorría tu cuerpo antes de posarse en tus ojos. Pensabas que no se habia dado cuenta de cómo tus muslos se tensaron cuando el borde de su camiseta se levanto un poco con el movimiento, pero sí lo habia notado, y estaba disfrutando de la forma en que estabas retorciéndote a su lado. Se preguntaba si ya estabas mojada y si esa humedad estaba comenzando a manchar todo el asiento abajo tuyo.
Se preguntaba cuánto tiempo habías querido hacerle esa pregunta. ¿Fue desde que estacionó en la costanera, o mientras estaban en camino? Tal vez incluso antes de eso. ¿Podría haber comenzado cuando te envió un mensaje de texto? ¿O quizás habias tenido este sentimiento durante mucho tiempo, desde cuando solían pasar tiempo juntos en su habitación compartiendo un porro y jugando juegos de mesa? Tal vez, solo tal vez...
Mientras Matías pensaba, definitivamente disfrutaba de verte entrar en pánico. Se aseguró de que estuvieras mirando cuando llevó el porro a sus labios, humedeciéndolos antes de tomar una calada. Respiró profundamente, dejando que el humo llenara sus pulmones. Pudiste ver el extremo del porro brillar, ardiendo en un ámbar profundo.
Cuando Matías exhaló, estuvo velado por el humo; parecía un poco intimidante, sus ojos nunca se apartaron de los tuyos, y podías darte cuenta que estaba pensando en decir algo.
"Dale."
¿Dale? ¿Eso era todo lo que iba a decir? ¿No iba a cuestionarlo? Bueno. Ambos podían jugar ese juego.
Sin apartar la mirada de él, tus dedos fríos se deslizaron por el borde de su pantalón, él respiro entre dientes por el contacto repentino. Fue entonces cuando te diste cuenta de que no llevaba ropa interior, obvio que no, era Matías. Sacaste su miembro de sus pantalones viendo como ya estaba erecto, retorciendose ante tu fresco contacto. Casi jadeaste al verlo y tus muslos se tensaron. Sentiste como una vena prominente a lo largo de la parte inferior se hinchaba bajo tus dedos.
Delicadamente envolviste tus dedos alrededor de su eje y lo llevaste hacia tu boca, tu lengua rozando su punta y dejando que tu cálido aliento lo acaricie. Matías sabia que lo estabas provocando e hizo todo lo posible para no levantar la pelvis y follarte la boca, manteniendo sus ojos en los tuyos. No te iba a dejar ganar.
Sentiste cómo tu compostura comenzaba a flaquear cuando viste la punta goteante de Matías, y no pudiste evitar lamerla con lentitud. Él inhaló una bocanada entre dientes cuando sintio tu lengua, y cuando levantaste la vista, te encontraste con su mirada fija, incitándote con sus ojos.
Cuando saboreaste a Matías en tu lengua, no pudiste evitar succionarlo ligeramente hacia tu boca. Tenia un sabor un poco dulce, sin duda por la hierba que corria por sus venas. Cediste ante su miembro bastante fácilmente, ansiosa por sentir su pene llenando tu garganta. Tu boca se hundio en él lentamente mientras ahuecabas tus mejillas. Pudiste sentir como la saliva se acumulaba en tu boca y cubria su pene dandole un leve brillo. Matias gimió ante la sensacion e inclinó la cabeza hacia atrás, sus manos se hicieron puños a los costados del asiento. Sus gemidos y jadeos fueron los que te incentivaron a moverte y antes de que pudieras darte cuenta estabas subiendo y bajando tu cabeza con un buen ritmo.
Su pene era fino y largo, su punta golpeaba el fondo de tu garganta, cosa que hizo que tuvieras que separarte para retomar el aliento viendo como un jilo de saliva unia tus labios con su bombeante pene. Sus dedos se entrelazaron rapidamente al rededor de tu pelo, guiando tu boca de regreso a su pene.
"Dios nena, no me dejes asi, seguí por favor."
Sentiste tus rodillas temblar ante sus palabras y sin mas dilacion lo tomaste de nuevo dentro de tu boca.
Gemidos salian de tu boca y matias no podia creer que todo esto estuviera pasando, no entraba en su cabeza como podia tenerte wntre sus piernas chupandole la pija en su auto, por un momento pensó que estaba soñando. Sus caderas comenzaron a moverse hacia arriba, penetrando tu boca y haciendote tener algunas arcadas que no detuvieron tu labor. Sus dedos apretaban cada vez mas fuerte tu cabello hasta que en un momento, decidio tirar de ellos apartandote de su pene.
"Ah, mierda- si no te sacaba me iba a correr." dijo jadeando
Tratasgw de recuperar el aliento, ya sabias que posiblemente estabas hecha un desastre, sentias tu cabello pegado en tu rostro cubierto de saliva, la piel enrojecida y las lágrimas en tus pestañas. Pero él todavía te miraba como si estuvieras hecha de polvo de hadas.
"Vení para aca." musitó
Antes de que tu cerebro tenga tiempo de enviar ordenes a tu cuerpo, Matías se inclinó hacia adelante atrayendote hacia él, sus brazos rodeando tu pequeña espalda mientras te acercaba imposiblemente mas a su cuerpo, pecho contra pecho. Su boca se poso sobre la tuya inmediatamente, su lengua pasando por tus labios y metiéndose en tu boca. Podias sentir la tensión de su mandíbula contra la tuya y sus palpitaciones apresuradas contra tus manos sobre su pecho.
El momento era embriagador; podias saborear el dulce sabor de Matías en tu boca y su miembro presionando contra tu intimidad dejandote deseando mas. Simplemente no era suficiente.
Casi como si él hubiera leido tu mente, sentiste el leve roce de los dedos de Matías mientras jugando con el borde de tu musculosa. Sus dedos siempre habian sido fríos y gemiste ante la repentina sensación, gimiendo en su boca mientras sus dedos se deslizaban debajo de la tela, recorriendo la piel cálida de tu torso. Su toque provocó un escalofrío que provoco que tu piel se erizara.
Mierda, te sentías como una colegiala a punto de tener su primera vez. Ya lo habías hecho antes, pero nunca con Matías. Las mariposas revoloteaban en tu estómago por la forma en que te tocaba, y había algo en la forma en que te hablaba que te llenaba de nervios.
Sus dedos acariciando la suave carne de tus pechos te sacaron de tus pensamientos. Sentiste que la respiración de Matías se detenía, y ahí fue cuando recordaste que no estabas usando sostén. Abajo tuyo, tu amigo se rió para sí mismo por su pequeño descubrimiento. Sus pulgares pasaron sobre tus pezones endurecidos y, mierda, ¿habías estado sin sostén todo este tiempo? ¿Sentada junto a él, con los pechos desnudos rozando la tela de tu remera? Matias no pudo evitar preguntarse si tu coño estaba igual de desnudo y su corazón se aceleró ante la idea. Su sistema lleno de sustancias simplemente no podía con ello, y empezó a moverse hacia vos para averiguarlo.
"¿Sin sostén?" Matías susurró contra tu cuello, pudiste sentir el roce de sus labios contra tu piel, una sonrisa traviesa se extendio por su rostro. "¿Lo hiciste a propósito?"
Matías se rió contra tu cuello cuando tus muslos se contrajeron alrededor de él ante sus palabras. Por supuesto que era para él. Todo lo que hacías lo era.
Observaste cómo sus ojos, enrojecidos y vidriosos, caían sobre tus manos mientras tus dedos recorrian su piel hundiéndose ligeramente en esta y definitivamente notó tus escalofríos cuando tus manos encontraron su abdomen duro y, si ya de por si su ego no era lo suficientemente grande, definitivamente lo era ahora. ¿Lo habías deseado tanto como él te había deseado?
Fue entonces cuando Matías te miró, llevando el porro a sus labios resecos y tomando una larga calada, sosteniéndo el humo en su boca mientras se expandia en su garganta y pulmones. Desearías poder ver sus pensamientos en este momento; matarías por saber qué estaba pasando en esa mente nublada suya.
Después de lo que pareció una eternidad, finalmente soltó el humo y lo sopló sobre tu figura medio desnuda, envolviéndote en un suave halo de humo, con los ojos aún clavados en los tuyos como si estuviera esperando tu próximo movimiento.
El silencio de Matías te puso ansiosa. No podías decir si estaba disfrutando de la vista o pensando en cambiar de opinión. La mezcla de la marihuana corriendo por tus venas y los nervios que creaba la mirada de Matías te hizo sentir un poco mareada y nerviosa, así que le preguntaste.
"¿Me das una pitada?" Tenías una sonrisa coqueta en el rostro, un destello travieso en tus ojos mientras tu mano se aventuraba un poco más abajo. ¿Cómo podría decir que no?
Con una sonrisa ladeada, las palabras de Matías salieron lentas y un poco arrastradas mientras raspaban al pasar por sus labios. Siempre te había encantado lo ronca y áspera que se ponía su voz cuando estaba fumado. Nunca dejaba de hacer que tu conchita se mojara.
"Obvio hermosa." Sus manos apretaron más fuerte tus muslos antes de que llevara el porro a tus labios.
Recordó la primera vez que habian fumado juntos.
Nunca esperó que dijeras que sí, pero estaba muy, muy contento de que lo hicieras.
Fue cuando eras bastante inexperta. Ambos estaban en su habitacion, tu mente nebulosa por el consumo de marihuana. Era adorable lo exaltada que te ponías, riendote por cualquier cosa que él dijera o hiciera y haciendo chistes malos que solamente vos encontrarías absolutamente hilarantes. Pero tambien empezaste a volverte audaz, tus manos agarrando su mandíbula para acercarlo para pedir otro porro. Matias recordaba muy bien como tus labios se acercaban hasta que estuvieron casi rozando los suyos, prácticamente suplicando ser besados; pero nunca lo hizo, mas que nada porque no sabia si estabas en tus cabales. Pero se lo pusiste difícil.
La marihuana te ponia mas cariñosa y necesitada a medida que pasaba la noche. Agarrabas el cuello de Matías para acercarlo y susurrarle cosas al oído. Tan cerca que podía sentir tu aliento caliente contra su piel, tus labios presionando ligeramente contra su oreja. Matías apostaba a que tus labios sabrían deliciosos con tu brillo labial de cereza mezclado con el dulce sabor de la marihuana.
Sabia que iba a ser difícil para él detenerse, así que nunca comenzó. Pero con el pasar del tiempo, ibas cada vez más a su casa, y pronto ya no eras tan inexperta.
Dejaste de estar tan exaltada y necesitada a medida que desarrollabas tu tolerancia, incluso eras capaz de manejar un porro entero vos sola. Matías casi estaba orgulloso de lo lejos que habías llegado, pero eso significaba no más mimitos y no más trenzas en el cabello. Estaría mintiendo si dijera que no lo iba a extrañar.
Así que podías imaginarte lo emocionado que estaba en ese momento mientras te restregabas contra él, tan necesitada como las primeras veces que habias fumado, tu coño cubierto frotándose contra su miembro desnudo y palpitante haciendo un desastre en tus shorts.
Los dedos de Matías rodearon tu mandíbula, el pulgar pasando por tus labios incitandolos a abrirse. Lo unico que tuvo que hacer fue meter la punta de su dedo dentro para ver cómo tu boca lo recibia, tu lengua girando alrededor de su dígito. Te acercó un poco más, lo suficiente para mantenerte queriendo más mientras exhalaba, envolviéndote en una nube de humo.
Lo inhalaste y lo sentiste ir directo a tu cabeza, mareandote y haciéndote sentir tan ligera como el aire.
Joder, lo habías extrañado. No pudiste evitar la forma en que tus caderas se movieron hacia él mientras lo hacía de nuevo con su lengua sumergiéndose en tu boca esta vez.
"Mirate. Tan desesperada por tenerme adentro, ¿eh?" Dios, Matías sabia que te morías por él, y nada podía calmar tu hambre excepto su pene llenándote por completo. Cada vez estabas mas impaciente, pero antes de que tuvieras tiempo de tonar cartas en el asunto, sentiste los dedos errantes del castaño rozando tu entrepierna cubierta. La tela de tus shorts y de tus panties formando una especie de barrera y sentiste la necesidad de sentir esos largos dedos profundamente dentro tuyo, sentias que si pasabas un minuto mas sin ser follada ibas a estallar.
Sus dedos frotaron circulos sobre la tela por encima de tu clitoris y sentiste como tu ropa interior se empapaba bajo sus dedos.
"Matías, necesito tus dedos adentro." El simplemente se burló de lo desesperada que estabas y le encantó el hecho de tenerte suplicando encima suyo.
"¿No vas a decir por favor?" Matías podía ser un tarado a veces, pero hoy no estabas en condiciones de responder con algo inteligente, tu cerebro era un lío confuso y todo en lo que podías pensar era en Matías y sus dedos y su pene y cuánto lo necesitabas. Así que simplemente te rendiste, ni siquiera intentaste ser un poco sutil al respecto.
"Ugh, por favor, por favor. Cogeme con tus dedos, por favor." gemiste retorciéndote bajo el su toque, el cual simplemente no era suficiente.
"No puedo si tenes esos shorts puestos."
Obedeciendo a sus deseos, te sacaste los shorts sin rechistar, deseando que esa fastidiosa capa de tela ya no estuviera ahí. El castaño gimio debajo tuyo al ver lo que tenía adelante.
Tenías puesta ropa interior gris, y el color hacía que tu humedad fuera visible para Matías, quien no pudo evitar pasar su dedo índice a lo largo de tu entrepierna y hasta tu clítoris. La acción te sacó un gemido delicioso, y él tuvo que apartar la mirada de tu entrepierna para mirarte.
Observabas connatencion y anhelo cada movimiento de Matías, viendo como su dedo dibujaba circulos alrededor de tu clítoris, tu ropa interior oscureciéndose a medida que la humedad crecía. Tus caderas empezaron a moverse hacia adelante, desesperada por sentir esa presión que tanto deseabas.
Si Matías hubiera tenido la mente clara y no estuviera tan drogado, te hubiera hecho rogar por ello, te habría hecho esperar hasta que estuvieras al borde de las lágrimas antes de darte lo que querías. Pero él estaba tan desesperado como vos, y su compostura estaba al límite.
Entonces, con una mano, apartó tus panties hacia un lado, y un gemido gutural se te escapó cuando sentiste las yemas de los dedos del chico deslizarse entre tus pliegues. Sus dedos esparcieron tu humedad hasta tu clítoris, y despues, tal como había prometido, metio uno dentro de tu coño. Jadeaste mientras sentias como su dedo se colaba entre tus paredes, y soltaste un gemido de alivio que no sabias que estabas conteniendo.
"Mirate bebé. ¿Estas tan mojadita por mí?" Sí. Todo era para él. Siempre lo había sido y siempre lo sería. Tus interiores succionaban su dedo profundamente, apretandose contra sus nudillos, enviando olas de excitacion directamente a su polla palpitante. No podias esperar para que reemplazara sus dedos con su pene. El simple pensamiento de matias cogiendote duro hizo que tus rodillas temblaran con anticipacion.
Su dedo medio se unió a su dedo anular dentro tuyo, y movió su muñeca para posicionarse mejor para poder mover sus dedos a un ritmo más rápido. No tardo mucho en establecer un ritmo que te huzo temblar hasta el alma, y tuviste que extender las manos contra la -ya empañada- ventana. Con cada embestida tus yemas golpeaban ese punto dentro tuyo y justo cuando creias que era demasiado subio su otra mano a tu intimidad para frotar tu clitoris.
Sentiste la conocida sensacion de placer acumulandose en tu centro y antes de que tu cerebro pudiera procesarlo, te estabas corriendo contra sus dedos, tus piernas temblando y tus labios soltando gemidos con su nombre contra su cuello.
"¡D-dios, Matías!" exclamaste, tus uñas clavandose en su antebrazo.
"Shhh. Tranquila, aca estoy." Matías sintió cómo te apretabas alrededor de sus dedos después de haberte corrido, sin embargo retiro sus dedos de tu interior y se los llevo a la boca, gimiendo al rededor de ellos. "No puedo esperar más, bebé. Necesito estar adentro tuyo."
Antes de que tuvieras tiempo de calmarte de tu clímax volviona apartar tu rompa interior hacia un lado y alineó su polla con tu entrada. Lentamente, te hundiste en él.
Gimieron juntos mientras lo tomaste lentamente en tu coño, centímetro a centímetro. Podías sentir esa vena prominente sobresaliendo contra tus paredes, y tus interiores se apretaron ante la sensación.
Una vez que Matías estuvo completamente dentro tuyo, tu cuerpo comenzó a moverse por sí solo, desesperada por sentirlo. Empezaste a moverte hacia abajo, pero él agarró tus caderas para detener tus movimientos, manteniendote quieta encima suyo. Sus ojos estaban cerrados y su ceño fruncido, por lo que te preocupaste. "Mati? Estas bien?" dijiste pasando tus manos por su rostro, quitando el cabello que cubria sus hermosas facciones.
"Si gorda... pero si te moves tan enseguida me voy a correr... Deja, deja que me concentre."
Te reiste por lo bajo y empezaste a dejar un camino de besos desde la comisura de sus labios hasta su cuello, de vez en cuando algunos gemidos ahogados salian de tu boca, necesitabas moverte pero entendias que tenias que darle su tiempo, despues de todo sabias que la marihuana agudizaba todos los sentidos y esto no era excepcion.
"Matías, por favor, no sé cuánto más puedo aguantar.". rogaste en un jadeo que hicieron tido lo ckntrario a ayudarlo a que se concentre. La marihuana tampoco ayudó; lo volvió aún más sensible a las tus cálidas y húmedas paredes apretandolo.
Estabas arriba de él, con su polla bien dentro tuyo durante lo que pareció una eternidad. Te estabas impacientando un poco y casi comenzás a moverte hasta que lo escuchaste debajo de vos.
"Dale, bebé, movete". Y eso fue todo lo que necesitaste escuchar. Comenzaste a mover tus caderas sobre las suyas, la punta de su polla tocando ese punto tan placentero dentro tuyo. Soltaste un pequeño grito cuando sentiste como sus caderas subian para embestirte un poco.
Una de sus grandes manos estaba en tu cadera, balanceándose de un lado a otro con tus movimientos, mientras la otra sostenía el porro entre sus dedos, ofreciéndotelo después de darle una pitada y soplar el humo sobre tu cuerpo, envolviéndote en una neblina de humo. Mientras tanto, la luz naranja de las farolas afuera te bañaban en un resplandor celestial, suavizando tu piel. Matías se inclino a darte un tierno beso. Carajo, te veías etérea y el sabia que iba a recordar esta imagen para siempre, deseaba poder tatuarselanoara revivirla cuando quisiera.
La forma en que tu cuerpo se movía sobre él lo tenía mirándote con asombro. Juraba que eras un puto ángel enviado a la Tierra solo para él. Parecías estar bañada en una luz que lo rodeaba a el también. Todavía no podía creer que esto estuviera pasando realmente.
Parte de Matías quería darte vuelta y tenerte abajo suyo. Quería levantarte la pierna sobre su hombro y llegar un poco más profundo, la punta rozando ese punto dulce dentro tuyo... pero ¿por qué habría de hacerlo cuando lo estabas haciendo tan bien vos misma? Y él tenía la vista más perfecta desde abajo; podía ver todo, desde tu coño hasta los hilos de tu previo orgasmo acumulandose en la base de su polla, hasta tus tetas perfectas rebotando tan perfectamente frente a él. Ni hablar de tu hermosa cara. Si pudiera personificar la euforia, estaba seguro de que eras vos, con las cejas fruncidas, los ojos cerrados y la boca abierta, todos tus sentidos concentrados en todo lo que era él.
Matías no pudo evitar hablar. Tal vez era la marihuana hablando a traves de él o tal vez eran simplemente sus pensamientos sobrios, pero carajo, no podía mantener la boca cerrada y te volvía loca.
"¿Qué diría tu vieja si te viera ahora, ¿eh? ¿Su perfecta hija fumando porro y montandome en el auto?" Los ojos de Matías estaban oscuros, y te hacían sentir como si estuvieras haciendo algo que no deberías. Te daba mariposas en el estómago y sentías una ola de deseo ir directo a tu coño.
Matías se volvía tan charlatan cuando estaba drogado, y definitivamente había fumado demasiado, así que no había forma de detener las palabras que salían de su boca. Pero Dios, sonaba tan malditamente: su voz se escuchaba ligeramente ronca y quejumbrosa mientras te elogiaba, diciéndote lo bien que lo estabas haciendo, cómo estabas tomando su polla tan bien y montandolo como una puta diosa. Mientras tanto, la punta de su pene latía y se retorcía y golpeaba tan profundo desde este ángulo. El placer era casi insoportable pero se sentia tan bien que deseabas que el momento no se acabara jamas.
El ritmo era crudo, duro y tan jodidamente bueno. Era todo lo que podrías haberte imaginado y sabias que estabas al borde de correrte encima suyo. Ningún pensamiento coherente pasaba por tu mente y sentias que no podías formar palabras, pero Matías entendió. Podía notarlo por la forma en que tus movimientos se volvieron bruscos y por la forma en la que tus caderas titubeaban con cada embestida y tu respiración se volvía rápida, casi erratica. Por lo que comenzo a mover sus caderas, parando las tuyas connun fuerte agarre, empujando adentro tuyo con tanto vigor que sentiste que podrias desmayarte en ese momento.
"Muy bien, nena. Correte para mí dale, correte encima mio." Sus palabras de elogio, cargadas de deseo y teñidas de dulzura, fueron las que te llevaron al borde. Habías tenido muchos orgasmos en tu vida, pero ninguno habia sido como este, no cuando estabas tan drogada y encima de Matías. Se sintió glorioso, sentiste que tocabas las estrellas con las yemas de tus dedos. El orgasmo comenzó desde tu centro, extendiéndose a cada centímetro de ti de adentro hacia afuera. Te sentías sin peso y era como si estuvieras flotando, lo unico que te traia a tierra eran los suaves besos que el castaño estaba presionando sobre tu hombro y el fuerte agarre en tus caderas.
Matías no estaba muy lejos; de hecho, el pulsar de tus paredes lo hizo derramar todo lo que tenía dentro tuyo sin darle tiempo de sacar su polla. Era la marihuana la que lo hacía así, adormecía sus sentidos y hacía que sus músculos se sintieran pesados. Aunque en realidad no era eso en absoluto. Simplemente estaba demasiado atrapado en el momento como para detenerse sacar y correrse en tu panza. ¿Y por qué lo haría cuando estabas tomando pastillas anticonceptivas y te sentías tan bien? Sería un loco si no se corria dentro.
Guturales gemidos lastimeros pasaron por sus labios con cada carga que salía disparada. Tuvo que agarrarse de tus caderas como si ellas fueran a salvarlo mientras su orgasmo parecía arrastrarlo hasta el cielo.
Cuando Matías regresó a la Tierra de golpe, fue como si estuviera envuelto en una manta cálida y acogedora. Sus ojos finalmente parpadearon abiertos, y juró que se encontró con un ángel.
Realmente creyó que había muerto y había ido al cielo.
iv.
Ya eran las 5:17 am y ambos estaban de nuevo vestidos, la ligera campera que matias habia tirado anteriormente al asiento trasero -en el cual se encontraban recostados ahora.- te cubria los hombros, protegiendote de la fria brisa matutina. El sol ya comenzaba a asomarse lentamente sobre el horizonte, y Matías apenas comenzaba a sentir cómo la sobriedad lo alcanzaba. Percibió el peso reconfortante de tu cabeza sobre su pecho, tus pestañas y tu respiración suave le hacian cosquillas en la piel.
No puede evitar mirar a su alrededor y recordar con cariño. Las huellas de manos adornan las ventanas, y decide dejarlas allí, como un dulce recordatorio de lo ocurrido en las primeras horas del día. Una sonrisa tierna se dibuja en sus labios al rememorar, recuerdos tenues llenando su mente. Esa noche no solo había conseguido el papel de su vida, sino que también había compartido momentos íntimos con la chica de sus sueños. La vida parecía ser hermosa.
Tus respiracion pacífica lo reconforto mentrias sentia cómo sus párpados se volvian pesados. Antes de ceder al sueño observó con ternura hacia abajo, donde te encontrabas acurrucada junto a él, un ligero rayo de sol iluminando tu piel, y no pudo evitar desear que esta no fuera la última vez.
386 notes · View notes
vodoungnon · 5 months
Text
Vrai témoignage de fadimatou yaouba envers le grand marabout vodoungnon medjo, marabout sérieux et honnête envers ses clients
Vrai témoignage de fadimatou yaouba envers le grand marabout vodoungnon medjo Je suis Fadimatou yaouba je vis au Cameroun, je suis commerçante de pagne et des Basin de qualité. Je viens vous parler de ce Grand marabout Vodoungnon medjo grâce à qui j’ai pu connaître le vrai bonheur dans ma vie avec le vrai portefeuille magique multiplicateur d’argent qu’il m’a fait. Chez nous , beaucoup de…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
junmsli · 1 month
Text
heated
pairing. felipe otaño x reader
cw/tw. smut, oral sex (pipe recibe), unprotected sex, pipe!celoso, relación establecida, afab!reader/pronombres femeninos, otra vez siento que me olvido de algo
word count. 1.8k+
rating. +18
Tumblr media
"¡no podes estar tan cerca de fran y pretender que no me joda!" pipe suelta con furia, ambos de pie en la sala de su apartamento frente a los muebles, tú con un semblante exasperado y él manteniendo un rostro enojado, sus rasgos están tensos y su mirada es fulminante.
“fran es solo un amigo cercano, feli, ¿no es eso obvio?” tratas de razonar pero pipe no busca entender la situación, quiere dejarte en claro que la sola idea de verte cerca de otro hombre le causa repulsión.
“me importa una mierda si es amigo nuestro o no, no puede ser tan pegajoso y cariñoso con mi mujer.”
"feli, entiende que esa es su manera de expresar cariño. por favor, bájale dos líneas a tus celos", exclamas con un suspiro, exhausta de la situación. felipe simplemente rueda los ojos, incapaz de comprender.
no puedes negar que fran ha permanecido cerca de ti durante gran parte de la noche, pero comprendes que sus intenciones no son coquetear contigo ni interferir en la relación con felipe. para él, el contacto físico es su forma natural de mostrar afecto, pero eso no lo convierte en alguien que busca seducir o romper relaciones, eso lo sabes con certeza.
aún así, pipe está furioso, cegado por los celos al imaginar que estás con alguien que no es él. “seré tan celoso como quiera si se trata de vos” te mantienes en silencio por unos segundos, evaluando la situación.
“feli, soy tuya, ¿entiendes?” dices mientras rodeas su cuello con tus manos. él baja la mirada hacia tus brazos que lo envuelven, incapaz de resistir el contacto, coloca sus manos en tu cintura y la acaricia lentamente. su expresión enfadada titubea por un momento, exhala un suspiro y asiente.
“lo sé, bebé, pero me pone mal verte con cualquiera.”
suspiras suavemente y ríes, encontrando cierta diversión en su actitud, que a su vez te excita un poco. “fran no es cualquiera,” afirmas, notando cómo felipe aprieta la mandíbula una vez más, cansado de tus intentos por defenderlo. “sabes a lo que me refiero. es tu amigo, mi amigo, y nunca intentaría nada.”
él niega con la cabeza y retira sus manos de tu cuerpo. “¿podes dejar de mencionarlo, por favor?”
“¿tanto te molesta?” comienzas a molestarlo, retirando tus manos de su cuello y colocando las suyas de nuevo en tu cintura, para luego volver a posarlas en su cuello. llevas tus labios a su mejilla izquierda, la que lames por un par de segundos y depositas un dulce besito, jugando a la inocente.”dale, qué tal si se te pasa tu mal humor y vamos a la cama.”
la furia en su rostro titubea una vez más “¿te calenta verme todo celoso, no?”
“feli…” dices y acercas tus labios a los de él. “dale, vamos a la cama.” felipe toma tu mentón y aprieta ligeramente, sin lastimarte. 
“no respondiste mi pregunta.” dice tu nombre y te mira fijamente en espera de tu respuesta.
“sí amor, me gusta cuando estás todo celoso conmigo, me gusta mucho.” dices, sus ojos conectados a los tuyos, saben lo que está por venir, este juego del gato y el ratón que les encanta es solo parte de su juego previo.
“¿te gusta o te calienta?” felipe cuestiona.
“¿no es lo mismo?” dices y acercas finalmente tus labios a los suyos, el mero pensamiento de sentir su boca contra la tuya te enloquece, pero pipe tiene otros planes y voltea su cara evitando lo que tanto esperabas. “¿feli?”
“seguís sin contestarme, no le doy besos a atrevidas.” pipe suelta y tú cara se transforma en una de sorpresa por unos segundos.
“te odio.” musitas y pipe alza una ceja.
“¿ah sí? ¿posta vos no sos la misma que me rogaba que me la garche hace menos de un minuto?”  ahora es su turno para que sus manos vayan a parar a tus mejillas.
“feli… me calienta tanto cuando te pones celoso conmigo, solo puedo imaginarte así de enojado mientras me coges duro” sueltas finalmente. pipe une sus labios en un acalorado y totalmente sucio beso, su lengua se convierte en una intrusa dentro de tu boca, ambas sucumbiendose ante el deseo de sentirse.
sin separarse, empiezan el recorrido hacia su habitación, pipe mantiene una de sus manos en tu cintura, usa la otra para mover la manilla y abrirles paso en su cuarto, aún con la pasión del momento, te sienta en la cama mientras se mantiene de pie. comienza la labor de quitarse su ropa y tú lo sigues quitando la blusa de tu cuerpo, dejándote en brasier, las bragas y tu falda. pues antes de poder continuar, un pipe desnudo niega con la cabeza y suelta en voz alta; “primero me tendrás en esa dulce boca tuya.” 
asientes y salivas ante el pensamiento de tenerlo dentro de tu cavidad bucal, el deseo por sentirlo y poder saborear su sabor salado humedece tu centro. “bien, follame la boca, por favor.”
“ya que me lo pedís tan dulcemente, te haré mierda.” felipe expresa sin vergüenza, te bajas de la cama y te arrodillas lo más rápido posible, abres la boca, en posición y lista para recibirlo. pipe lucha para no soltar un gemido ante la vista tan obscena. no extiende tu espera por él por más tiempo y tomando su pene en una de sus manos, lo lleva a tu cavidad bucal, tu lengua pasea de arriba hacia abajo por aquella vena marcada en su miembro, sientes tu vagina mojarse aún más ante la sola idea de tu accionar en el momento acalorado.
 “sí, chupame la pija como solo vos sabes.” no lo decepcionas, lo llevas en tu boca como una campeona, pipe toma tu cabello en un moño mal hecho y apresurado, lo jala y empuja su longitud en tu garganta. “la única pija que vas a tener.”
nunca has sido la mejor cuando se trata de los reflejos nauseosos, así que aunque son pocos los segundos que pipe tiene en tu boca, empiezas a lagrimear. 
felipe lo sabe y sonríe con malicia ante tu imagen algo destruida a causa de únicamente él, en caso no quieras seguir siempre puedes decir la palabra segura y no dudaría en detenerse y verificar tu bienestar, pero acostumbrado a tu imagen desecha al llevarlo en tu boca, solo se divierte con ella. “¿te gusta chupármela, no mi amor?”
entra y sale de tu cavidad bucal, hace y deshace. “¿te pensás que podes estar con otro toda la noche y que no me va a joder? ¿tengo que recordarte que el único que te puede tener así soy yo?”
no puedes soltar palabra con él follándote así la garganta, “pues sí tengo que hacerlo, lo haré, pendeja malcriada.” de insultarte a decirte sus apodos cursis designados solo para ti, este momento lo tiene de acá para allá. “esta boquita es solo mía.” dice y tú sólo asientes torpemente, te mueves queriendo perseguir el ritmo que pipe mantiene dentro de tu boca.
hasta que el oji celeste se aleja con lentitud, consiguiendo una mirada un poco desconcertada de tu parte. señala con su cabeza la cama. “dale, en cuatro.” sin querer darle la contra, le haces caso y te acomodas quedando según su orden. procede a ponerse de rodillas en la cama y su miembro queda a la altura de tu mojada entrada. su cuerpo está encima del tuyo, tu rostro y el suyo a la misma altura, pero sin permitirte que lo veas. se presiona contra ti y antes de introducirse en tu intimidad, lleva un dedo a tu clítoris, haciendo movimientos circulares, formando dulces ochos que hacen que la atmósfera se vuelva el doble de pesada para ti y empieces a soltar grandes gemidos. 
“feli… sí sí.” palabras sucias abandonan tu boca. “estoy lista feli, por fa.” le ruegas ganando una sonrisa maliciosa del castaño. 
“¿sí?” dice y acelera los movimientos en tu clítoris, inserta un dedo en tu coño empapado sin detener los dulces toques en tu clítoris. “¿de quién sos?” ruedas los ojos en medio de tu fascinación por la estimulación de parte de pipe, pero decides darle lo que quiere si es lo que necesita para penetrarte.
“tuya feli, toda tuya.” gemidos no dejan de salir de tu boca, felipe lleva su pene hacia tu entrada con el apoyo de una de sus manos, en menos de un par de segundos se introduce en ti sin mucha delicadeza dejando salir un gran jadeo de alivio al sentir tu interior de una vez por todas. “sí sí sí feli, m-más más.” dejas salir, los que para felipe, son los gimoteos más dulces que ha escuchado en toda su vida. 
“sos mía, cada centímetro.” continúa con un delicioso ritmo dentro de ti, saliendo y entrando, lleva ambas manos hacia tus caderas para arremeter con más rapidez y fuerza. su pene felipe cierra los ojos en contra de sus deseos de ver tu figura desmoronándose, toca ese dulce punto en tu interior dónde se mueve con destreza. la habitación se llena del sonido obsceno que causa el choque de ambos cuerpos, embiste tu interior con determinación. “mía, sos solo mía.”
“si feli, por favor, por favor.” tus gemidos no se detienen mientras apoyas tu cabeza contra la sábana, el placer nubla tu mente haciéndote pronunciar las palabras más sucias para incentivar a pipe a seguir con su continuo vaivén en lo profundo de tu coño. “soy tuya.” 
felipe sostiene un rostro sumido en la satisfacción, su mirada fija en tu cabeza inclinada contra el colchón “feli, más.” ruegas sin un atisbo de vergüenza, tus manos se convierten en puños, tu boca abierta soltando todo tipo de incoherencias.
“nadie más te hará sentir así, solo yo ¿entendés?” asientes con dificultad, logrando que pipe niegue,  “respondé usando esa boquita” sus manos se deslizan lentamente a tu cintura donde deja suaves caricias, en contradicción a sus duros y rápidos bombeos en tu interior. 
“s-sí feli, solo tú, te lo juro.” el castaño toma tu palabra, la manera en la que te lleva no es como ninguna otra anterior, te folla como si su vida dependiera de ello y no hace falta más para que sientas tu orgasmo llegar a cada parte de tu ser. felipe no tarda en notarlo, gracias a tu característico aspecto consumido por el reciente orgasmo, que por cierto, siempre disfruta registrar en su memoria. 
disminuye la rapidez de sus movimientos penetrándote de forma pausada en búsqueda de su propio clímax. “correte en mí, por fa.” suplicas, jadeos de cansancio y satisfacción acompañan tu pedido. 
“te dejaré toda llena, ¿querés?” accedes de manera casi automática y después de sólo unos pocos segundos derrama toda su carga en tu interior. permanece dentro de ti unos minutos más, permitiendo que ambos se recompongan.
“¿ya no estás enojado?” rompes el silencio que lejos de ser incómodo, les trae calma a ambos, volteas para afrontar la deliciosa vista de un felipe recién follado.
quien solo rueda los ojos y con una sonrisa juguetona replica “sos una conchuda.”
-
wn: llevo bastante sin subir un os pero les juro que no tenía nd de inspiración. espero les haya gustado <3 tengo algunas requests que seguro tomen tiempo pero espero darles T - T 
287 notes · View notes