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#vie sauvage
espritcampagne · 7 months
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bebeb2000 · 4 months
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ᙏᥲ⳽⳽ɩƒ ᑯᥱ Ꙇᥲ ᙅᖾᥲɾtɾᥱᥙ⳽ᥱ
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Poisson Papillon à Filet - Il vit en banc lorsqu'il est jeune, puis devient solitaire à l'âge adulte.
Lieu : Nausicaa - Centre National de la Mer
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sushis4kalyo · 4 months
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On sous-estime l'agressivité des couvertures ! 🛏
L'insécurité grandissante atteint à présent le linge de maison !
Alors que je me rendais tranquillement à la poste à pied pour récupérer un carton afin d'aider le Père Noël dans sa distribution, je senti soudainement un poids me tomber violemment dessus.
Je venais de me faire sauvagement agresser par une couverture qui séchait sur un balcon.
Mais que fait la police ?
Bah on sait pas. Le voisinage a affirmé que c'était une couverture très serviable, qui savait se rendre utile lorsque les températures redescendaient et rien ne semble expliquer son geste pour le moment. L'hypothèse d'un appel à retourner se coucher semble toutefois privilégiée.
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Un appel à la prudence à l'approche des vacances.
Nous prions les gens de faire très attention à leurs plaids et couvertures à l'approche des vacances afin d'éviter que cette action que l'on espère isolée prenne des proportions.
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kalebizia · 1 year
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Walking and dog.
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warren-murphy · 2 years
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sistatree · 2 years
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Qui suis-je
Où vais-je?
Dans quelle étagère?
Et bien, Ecublens ville campagne de 13000 habitants. En été depuis la baie vitrée du salon, je vois parfois des champs de colza ou de tournesol, ce qui dans les deux cas est supposé faire du bien à mon chakra plexus solaire. Malheureusement celui-ci reste férocement noué, bloqué, attaché et me fait pousser des rots digne d’un ogre. J’ai de l’admiration pour ces petits anges qui grandissant dans mes bras vont penser -peut-être- qu’une des facultés des mamans c’est de se cambrer pour faire des rots tonitruants à forcer le respect de gargantua.
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art-vortex · 4 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Majestueux Prédateur : Le Requin Azur" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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dixvinsblog · 8 months
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Anne Perrin - La vie sauvage
Image : Delphine Carrere. La vie sauvage est sans limiteelle traverse le temps au gré de ses passionselle encourt le risque sans raisonelle va de son plein gréen fonction de ses nécessitéselle surprend par sa vivacitéson potentiel à résistersa façon de dire nonafin de survivreLa vie sauvage ne connaît pas de trêveelle fait fureur depuis la nuit des temps.
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Pɑɾc ɾéɠiσɳɑl ɗʋ Veɾcσɾs
𝙵𝚘𝚛𝚎̂𝚝 𝚍𝚞 𝚅𝚎𝚛𝚌𝚘𝚛𝚜
France
©️LM®️
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Méduse Dorée - Un millimètre d'un de ses tentacule contient 1500 cellules urticantes, qui lui servent à paralyser ses proies.
Lieu : Nausicaa - Centre National de la Mer
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joliettebln · 1 year
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„Die 20er Jahre Party? Ist ne gute Gelegenheit, um ein bisschen zu Gambeln um echtes Geld… und man kann sich in interessantem Ambiente gepflegt einen reinlöten.“
Andy über die Bohème Sauvage
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aucoeurdeschevaux · 1 year
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L'Aénos, un cheval sauvage de Céphalonie adapté à l'altitude de la Source de vie
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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