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#visage d'ange
homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 99
Samedi :
Après avoir donné mon cours de " sport " au père de Jean et l'avoir enculé comme chaque samedi matin, je suis rentré à la maison.
Avec Marc, nous avons pas mal discuté. Je lui ai fait part que certains de mes clients m'avait demandé quand je remplacerai Jean. Il a beau être très performant, ils commencent à s'en ennuyer. Comme j'ai un débouché pour Jean avec un des clients de son premier Gang bang qui le voudrait en exclusivité, ce ne serait pas de la perte sèche. Par contre il va falloir que je trouve un jeune mec, tout juste 18 ans mais en paraissant 2 à 3 de moins. Marc me demande comment je vais m'y prendre. Je lui dis que je vais demander à Jean de me trouver un jeune bourge bien coincé, qui lui ressemble (blond, fin, imberbe) avec des parents plutôt absents et de lui faire baiser sa mère, puis je viendrais l'enculer alors qu'il la sodomise. Avec fotos + film, j'aurais le moyen de pression.
Samir qui m'avait entendu (leur service complet à commencé aussitôt) s'approche de nous et me dit qu'il avait peu être un petit beur qui ferait mon affaire. Je lui demande de s'expliquer. Dans sa cité, il connait un jeune comme je cherche qui passe ses journées à glander et dont le père est soul dès 9h le matin. Il me le décrit : 1m65, fin, basané mais pas trop foncé, cheveux noir, visage mignon. Ça me va bien. Il me dit que son père ne s'apercevra même pas que son fils découche. Quand je lui demande ce qu'il entend par là, je ne tiens pas à kidnapper un ado ! Il me répond qu'il a 18 ans, que ce sera pour son salut car sinon, il n'allait pas tarder à être récupéré par une des bandes de trafiquants de drogue du quartier et à finir bien pire. Ça élargirait mon " écurie " et je pense que par un ou en duo avec un blondinet, ça pourrait rendre pas mal auprès de mes clients.
Marc me fait remarquer que ça va me prendre du temps. Je me demande comment tout concilier, mon Marc que j'adore, les plans " putes ", Emma, les cours du samedi matin et nos potes !! Mais bon ! Si nous voulons garder Samir et Ammed à notre service, c'est pas avec mon salaire de dessinateur de Jardin que je vais y arriver. De plus c'est un trip que j'aime bien, ça m'excite d'organiser les rencontres.
Je demande à Samir quand est ce qu'on pourrait le rencontrer son ptit beur. Il me dit que si on veut, il peut organiser ça pour la semaine prochaine. Je lui dis que pour une première fois ce serait mieux de le voir dans un hôtel, si ça collait pas, ce n'était pas la peine qu'il connaisse notre adresse et autres détails intimes.
Le vendredi soir suivant :
Je pars avec Samir dans sa voiture. Quand nous arrivons dans sa citée, à la troisième rue, nous tombons sur le jeune en train de trainer sur les trottoirs. Samir lui dit de grimper à bord. Il obtempère tout content de faire un tour. Samir me le présente et lui dit que nous allons " jouer " un peu ensemble comme il lui en a parlé deux jours avant. Il a l'air tout content. On discute un peu sur ce qu'il fait autrement, rien ! c'est étonnant qu'il ne soit pas déjà embarqué dans une bande. Mais en discutant un peu plus je vois que sans être idiot, c'est pas non plus un académicien ! Nous arrivons à un hôtel à carte. Je prends une chambre et nous y allons tous les trois. La porte fermée je dis " tous à la douche et commence à me dévêtir. Samir fait pareil et Jimmy nous suit. Quand nous sommes tous à poil, je peux le détailler. Il est uniformément basané, pas de marque de maillot, musculature fine, imberbe sauf au niveau du sexe et des aisselles, sexe par ailleurs plutôt petit, visage d'ange, cheveux noir bouclés. Je vais avec lui sous la douche, pas de mouvement de recul de sa part.je le savonne de la tête aux pieds et il se met à bander, à tout casser 14cm sur 3 de diamètre.
Je lui demande de me laver. Il le fait consciencieusement n'oubliant aucun des endroits cachés. Comme je bande, il admire l'engin et le flatte d'un mouvement de va et vient qui l'hypnotise. Doucement il fait glisser le prépuce pour cacher le gland puis le découvrir. C'est vrai que lui est circoncis. Samir nous rejoint. La douche est trop petite et il se savonne en se frottant sur nos corps déjà enduits de savon. Rinçage et séchage. Sur le lit, Jimmy se place entre nous deux. Sur le dos, il prend une bite dans chaque mains. Je suis dans sa droite plus agile que sa gauche. Il nous branle efficacement. Je me penche vers lui et lui demande si il a déjà baisé. Réponse négative, les meufs le trouve trop jeune. Quand je lui demande si des mecs l'avaient touché, il me répond non. Samir me confirme qu'il ne l'a jamais vu accompagné. Je vais me faire un puceau, miammmm. Je me mets sur le dos et demande à Jimmy de se placer à 4 pattes entre mes jambes et de me sucer. A Samir je demande de lui préparer la rondelle. Je prends la tête de Jimmy entre mes mains pour bien le guider dans sa pipe un peu brouillonne (sa première faut excuser !). Quand Samir lui écarte les fesse et commence à lui bouffer l'oignon, il a l'air d'apprécier. Il tortille du cul et laisse passer des gémissements le long de ma queue qui le bâillonne. Je lui dis de se concentrer sur sa pipe. Je lui reprend la tête entre mes mains et accentue la profondeur. Bientôt je viens buter régulièrement sur sa glotte. Pas de crispation notable, pas de haut le coeur. Je me redresse et lui demande de se mettre sur le dos. Je tire sa tête hors du lit pour la pousser en arrière et y remet ma bite. Elle coulisse plus facilement. Je compte bien lui investir la gorge rapidement ! En attendant, je tire ses chevilles vers moi pour lui soulever le cul et les tiens écartées pour que Samir reprenne l'assouplissement de sa rondelle. Quand il relève la tête je vois la progression. L'anus couvert de salive, qui s'entrebâille gentiment. Samir pointe sa langue et force le sphincter. Le ptit Jimmy à l'air d'apprécier. Je continue toujours en parallèle mes coups de rein. Je me décide à enfoncer ma queue plus loin. Je dis à Jimmy de respirer un grand coup et aussitôt après je lui défonce la gorge. Je ressorts rapidement. Il tousse un peu je lui dit de se caller avec mes sorties pour respirer et reprend le travail. Il tousse encore deux trois fois avant de prendre le coup. Sa gorge est divine. Elle m'enserre le gland, le pressant fortement. Comme il ne peut s'empêcher d'avaler, c'est encore meilleur. Je demande à Samir s'il a fini de le préparer. Il me répond qu'il ne lui à jusque là introduit que son pouce. Je lui dis que ça me va. Me faire un vierge étroit, ça me rappellera Pierre et Ric. Je sors de sa bouche et lui fait faire un 180° et tiens ses jambes en l'air pour mettre son cul devant ma bite. Samir approche sa tête de la sienne pour lui prodiguer des conseils pendant que je l'enculerai. Je couvre ma bite de gel et enfonce mon majeur et l'indexe couvert de ce même gel dan son trou. Il sursaute un peu mais Samir lui tient les épaules. Je tourne les doigts plusieurs fois pour bien étaler le gel dans son cul. ;Puis je pose mon gland luisant sur sa rondelle. J'entend Samir lui conseiller de pousser (comme pour chier) quand je commencerai à entrer. Je laisse mon gland sur la rondelle un moment. Je veux qu'il me demande de le mettre, ce qu'il fait, énervé d'attendre. Je pousse alors doucement mais fermement et sans m'arrêter. Mon gland écarte son trou, je pousse il entre entier. Jimmy souffle fort mais encaisse comme un pro. Je continue ma glissade vers ses profondeurs. C'est trop trop bon. Ma bite est serrée, compressée par son boyau. Va y avoir du travail avant de pouvoir le faire saillir par les taureaux de ma clientèle. J'arrive à tout entrer, concentré sur ma bite, je n'avais pas remarqué que Samir l'avait aidé en lui faisant respirer du poppers. Je comprends mieux l'aisance avec laquelle je me suis enfoncé en lui (aisance mais pas facilité !).
Le ptit Jimmy est un peu " parti ", je recule lentement avant de m'enfoncer de nouveau en lui (une couche de lubrifiant en plus). C'est vraiment très bon un puceau. J'augmente progressivement mes va et vient. Ses chevilles dans mes mains, j'écarte ses jambes pour mieux me laisser l'accès à ton trou. Il a l'air souple, je continu et arrive presque à les tenir façon grand écart. C'est un plus non annoncé ! Je me couche sur lui et commence à l'embrasser. Je lui fourre ma langue dans sa bouche et il comprend assez vite qu'il doit la " batailler " avec la sienne. Qu'elle fraîcheur, j'aime l'innocence avec laquelle il aborde cette partie de sexe. Je sens sa petite bite toute raide contre mes abdos. Se contracter et expulser quelques millilitres de foutre. Ça m'excite suffisamment pour qu'à mon tour je me lâche et lui remplisse le cul de mon jus. Quand je sors, je lui demande de bien serrer les fesses pour tout retenir en lui. Il m'obéi et je vois son anus se fermer juste après la sortie de mon gland. Samir le prend dans ses bras et le félicite, du coup Jimmy à l'air très content de lui avoir fait plaisir. (Je saurais plus tard par Jimmy qu'en fait il est un lointain cousin à lui).
Je demande à Jimmy si il était libre ce WE, il me répond -libre comme l'air, son père étant parti en virée avec un pote de boisson.
Après une bonne douche, je décide de l'embarquer et de l'offrir à Marc en avant première. Et puis je dois commencer son éducation/élargissement, il va y en avoir pour quelques semaines avant que je puisse lui présenter ma brochette de TTBM.
Avant de partir, je lui demande ses papiers. Je veux vérifier son age. Il me sort une carte d'identité française prouvant ses 18ans.
JARDINIER
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Dans le bois en retrait, tu m'observes silencieuse. Ta chevelure de lionne frise et boucle, naturelle, sur ton visage d'ange. Tes yeux vert émeraude me fixent avec envie. Tes lèvres s'ouvrent à peine pour murmurer ce "Viens". Je m'approche. Tu t'éloignes en éclatant de rire. Dansant entre les arbres tu t'enfonces plus avant. Tes courbes divines s'estompent dans la nuit qui s'avance. Ton rire seul me guide. Je te cherche et ... te trouve.
Emotions
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selidren · 9 days
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
3/10
Chère Eugénie,
Je suis Albertine Le Bris, l'épouse du cousin de Jules, Constantin. Votre époux a suggéré au mieux de vous écrire, et je suis surprise que nous n'ayons pas eu cette idée auparavant.
En premier lieu, sachez que je suis heureuse de pouvoir échanger avec une femme à même de me comprendre, une autre mère qui saura saisir la complexité des dilemmes domestiques que les hommes ne peuvent saisir. A ce titre, je suis navrée de savoir votre mari au loin alors que vous avez une toute petite fille à peine née à la maison. Tout se passe-t-il bien depuis son départ avec vos autres enfants ?
Mes aînés vont sur leurs douze ans. J'ai l'impression que c'était hier que je les mettais au monde. Antoine et Sélène sont en train d'entamer un pic de croissance incroyable, et j'imagine qu'adultes, ils seront au moins aussi grand que leur père. Noé et Cléo me ressemblent davantage avec leurs petits visages d'anges.
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jacquesdor-poesie · 1 year
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Creux du silence et sa mèche encore éteinte. Premiers cris abstraits avant l'aube et puis des oiseaux, des chiens au loin. Abîme peuplé de nos peurs, la verticalité de nos corps une nouvelle fois, avec courage, et un peu d'eau sur le visage, un peu d'air attrapé à la fenêtre entrouverte. Vie qui flamboie au dehors, déjà et sans nous. À un moment, je vais entendre à nouveau le son de ma propre voix, comme un signal donné à d'obsédants fantômes afin qu'ils se dispersent ou montrent le chemin. Ordre inchangé du monde, je te regarde dormir comme on regarderait la demeure des songes ou le pli des vagues, sans cesse à faire et à défaire. Respiration de neige douce, paupières d'ange exempté de souffrances entre deux draps de lin blanc ; je suis là, au sommet de cette accalmie et j'attends que tu me voies aussi.
jacques dor
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ilcercatoredicolori · 6 months
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J'ai épousé un visage
dans une nuit d'insomnie,
celui de l'innocence
couchée à terre.
Sur un espoir naissant,
sur un vol d'ange,
sur un long soupir,
j'ai épousé
un sursaut de vie.
Je peigne les heures
emmêlées,
elles sont tressées
d'ailes immobiles
prêtes à s'envoler
sur les flancs
moelleux
de la liberté.
Au milieu du désordre,
le sang sèche
sur la chair du ciel
adossée
aux cils du soleil.
Une brûlure
sur ma peau
délivrée
à la fragilité
de l'azur s'évanouit
sur une déchirure.
À ciel ouvert,
où tout est béance
évasée jusqu'aux
cœurs
des croyances,
je tombe
sur un cri
d'amour.
J'écris
une caresse
à fleur de mots,
celle qui s'effeuille
et s'enroule
sur la langue,
unie vers celle
qui hurle
puis se tait
en lapant
la poussière.
Enivrée de sueurs
amères,
je trébuche
sur les silences
apeurés de
mes nuits.
A perte de vie,
suinte l'écume
des cendres,
A perte de vue,
l'aurore brosse
le temps qui
s'enfuit.
Le coton des nuages
essuie les yeux
de la terre qui enfante
la douleur des départs.
Sur ma bouche
tremble l'exil
d'une voix.
Je t'embrasse
sur un souvenir
à inventer,
dans un voile
de mariée
ondulant
dans les bras
d'un ciel apaisé.
L'espérance
est un visage flou
aux contours
tremblants.
Je t'aime,
dans les doutes
et les peurs,
quand ton cœur
en embuscade
cogne les joues
transparentes
de l'aube
triste.
Je t'aime,
dans la folie,
dans l'espoir,
dans l'attente lasse,
dans la brume froide.
Je t'aime.
Je cherche
ton souffle
sur la poitrine
du monde
sous oxygène.
Respire.
S'il te plaît,
respire,
dans un champ
de cyclamens
et de coquelicots,
là où la paix attend.
Sylvie Roze
Photographie : Shae Detar
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J'ai un nouveau crush au boulot... mais il a le même prénom que 3 gars que j'ai fréquenté avec qui ça c'est mal finit... mais il a un visage d'ange...
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jeanchrisosme · 1 year
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J'aurais du me méfier du diable qui se cachait derrière ton visage d'ange.
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atticuswritersoul · 2 years
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06/12/18 : Effroyable petitesse
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Elle est petite. Terriblement petite, effroyablement petite. Il a peur que d'une seconde à l'autre, le vent l'emporte et l'avale dans les tréfonds de son œil de cyclone, loin, extrêmement loin de lui. Ses cheveux sont les mêmes que les siens. Leurs racines sont blondes vénitiennes, s'éclaircissant jusqu'à être presque blanches au niveau des pointes. Ses deux yeux bleus sont comme des morceaux du ciel, qu'elle semble avoir arraché pour en récolter une part dans son petit corps. Ils sont espiègles, avec cette légère lumière au fond, qui brille de malice. Elle est sagement assise sur les genoux de sa mère, un album entre les mains. Son regard est concentré sur les dessins qui bougent, elle ne le remarque pas.     Elle a ses pommettes plates et ses lèvres pâles. Son nez est celui de sa mère, droit mais légèrement retroussé, ce qui change beaucoup du nez aristocratique qu'il a. Ses cheveux ont été tressés, et une multitude de nattes minuscules entourent son visage d'ange. Il sent des frissons remonter le long de son échine, quand il voit qu'elle se mord la lèvre inférieure en lisant. Il a le même tic lorsqu'il est intensément concentré sur une tâche, et elle fait pareil, avec son album pour enfants.      Que faire ? S'approcher d'elle, et lui dire de but en blanc qui il est ? Comment pourrait-il seulement le faire ? Il est un Serpentard, par le caleçon de Merlin, pas un de ces intrépides Gryffondor ! Il prône le calme, la réflexion, la raison. Même lorsqu'il exécutait ses blagues avec sa jumelle, il mettait préalablement un plan au point, en veillant à avoir des replis de secours, si jamais un imprévu survenait ! Il est incapable de lui balancer comme ça qu'il est son père, qu'il n'a pris connaissance de son existence que depuis deux jours, que sa mère a gardé le secret de sa grossesse à cause d'une stupide rupture d'adolescents ! Il ne peut pas, tout simplement !     Ses paupières se closent alors que ses pensées s'acheminent. Il ne peut pas l'abandonner, pas après avoir été mis au courant. Il est un blagueur, un poison, un emmerdeur, un salaud. Il est le mal, parfois, il en a conscience, il le clame haut et fort. Il est énormément de choses, pas toujours très jolies, très souvent embêtantes. Il est lui, Headley Archer, mais il n'est pas un traître. Alors, il rouvre ses yeux emplis de ténèbres, et les braque sur celle qu'il ne connaît que depuis deux jours.       Et il la revoit, mais à chaque fois que ses iris observent méticuleusement chacun de ses traits, il a l'impression de la rencontrer pour la première fois. Encore et encore, sans arrêt. Damaris, et ses cheveux tressés, son visage d'ange, sa lèvre mordillée et ses petites mains qui tiennent l'album trop grand pour elle. Damaris, cette petite qu'il a peur de voir s'envoler dans les airs, prise et emportée par les cieux qui la veulent, loin, trop loin de lui. Damaris, cette fille qu'il n'a jamais connu jusqu'à hier, qui lui apparaît du jour au lendemain, et qui pourtant, lui ressemble tellement. Damaris, son enfant aux pommettes plates et aux lèvres pâles, avec ses petites dents arrondies par l'enfance et blanchies par la candeur. Sa gorge se serre, il déglutit, passe une main nerveuse dans ses cheveux blonds – les mêmes que Damaris.
Il s'approche d'elle, et elle lève son regard de ciel vers le sien, qui est noir comme les ténèbres. Son cœur palpite, ses mains sont moites, mais un sourire attendri se dessine sur ses lèvres. Il se présente, et elle répond en acquiesçant, pas le moins du monde impressionnée. Il hausse un sourcil, penche la tête sur le côté de manière pensive, et manque de s'étrangler quand il voit qu'elle reproduit la même mimique. Il s'assit près d'elle et ils discutent. Bientôt, elle regarde avec insistance ses piercings, mais ne dit rien, reste polie. Il sourit, et se met à raconter l'histoire de ces bouts de métaux incrustés sur son visage. Elle l'écoute, attentive, curieuse puis rapidement passionnée. Sa mère les laisse tous les deux, elle doit aller voir quelque chose dans la cuisine. Elle se colle un peu plus à lui, et lui demande de lui lire son album. Il accepte, un peu avec appréhension, mais avec beaucoup de reconnaissance qu'elle lui fasse ainsi confiance. Sans qu'ils ne s'en rendent compte, elle se retrouve sur ses genoux, son petit corps lové contre son torse, et elle regarde avec fascination les images mouvantes. Elle agrippe et serre fermement sa main qui tient l'album, et il sent son cœur bondir hors de sa poitrine, alors qu'il comprend enfin.      Damaris Archer, sa fille, son enfant, sa nouvelle raison de vivre. Headley Archer, son père, son protecteur, son nouvel ange gardien. Voilà ce qu'elle est. Voilà ce qu'il est. Voilà ce qu'ils sont. Une nouvelle famille.
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barbiemonamie · 1 year
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Alizée la jolie rebelle avec son visage d'ange.
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an0wlwith-a-pen · 1 year
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Où tout à commencé
Il y a 19 ans, 7 mois et 18 jours, une immigrante roumaine de 39 ans venue s'installer au Canada donna naissance à moi, sa 3ᵉ filles. Conduit par son amie proche à l'hôpital, il était 10 h 00 lorsque maman est rentrée en salle d'accouchement. Plus tard, pendant que ma mère me donnait naissance, une autre de ses proche, qui est aujourd'hui ma marraine, est arrivée. Elle avait réussi à se libérer du travail dans l'intention de faire partie de ce moment spécial. Il était 14 h 20, lorsque le premier cri se fut entendre, afin de rassurer maman que je respire. Cette femme divorcée put enfin prendre sa benjamine dans ses bras et la déposer sur sa poitrine nue dans le but de l'embrasser délicatement. Le père canadien arriva durant ce beau moment. Impatient de pouvoir voir sa première fille, il ne put me prendre dans ses bras directement, car les infirmières m'empruntèrent un instant, en vue de me nettoyer et de faire mon bilan médical. Je pesais 3 kilogrammes et 550 grammes puis mesurais 52 centimètres. À mon retour, le moment tant attendu par cet homme souriant est arrivé. C'est à ce moment là que mon surnom est apparue : Ma chouette. Mon père avait eu 2 garçons dans son mariage précédent, avoir une fille pour lui était merveilleux. Maman impatiente de me ravoir près d'elle insista pour que papa me tende dans ses bras. Lorsqu'il le fit, maman remarqua que le chandail de son ex-mari était couvert de sang. Elle constata que mon cordon ombilical fut mal attaché, donc me tendit une autre fois aux secouristes qui s'occupèrent de régler le problème. Une fois l'école finie, ma sœur ainée âgée de 15 ans, qui était accompagner de sa meilleure amie, nous rejoignît à l'hôpital pour faire ma connaissance. C'était enfin le jour J, elle jubilait d'enfin pouvoir m'observer, dès l'instant qu'elle me vit, elle m'aima comme si j'étais son propre enfant. Quelque temps après, ma sœur cadette âgée de 7 ans arriva pour me rencontrer à son tour. Ça faisait 9 mois qu'elle était surexcitée de voir à quoi mon petit visage d'ange pouvait ressembler et depuis le jour que ce souhait fut enfin réalisé, son amour envers moi fut inconditionnel. Le séjour à l'hôpital dura 3 jours. Enfin, maman pouvait m'apporter avec elle et mes 2 sœurs pour que nous puissions rentrer à la maison toutes ensemble…

À suivre..
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musographes · 2 years
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La fâcherie de Girodet
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On connait des gens qui, à la vue du tableau de Girodet, Mlle Lange en Danaé, diraient : "oh moi, ces machins mièvres, c’est pas mon truc". Or, si l’on peut ne pas en aimer la facture, il est impossible de qualifier ce tableau de "mièvre" une fois que l’on en connaît l’histoire. La voici.
Tout démarre avec Mademoiselle Lange, nom de scène d’Anne-Françoise-Élisabeth Lange, une des "merveilleuses", ces personnalités extravagantes du Directoire. Mademoiselle Lange était une comédienne célèbre, qui jouissait d’un fort entregent et se distinguait par son goût du luxe. Elle finit par épouser en 1797 Michel Jean Simmons, grand armateur et importateur de denrées coloniales, ce qui l’écarta définitivement de la scène.  Tout à la jouissance de son prestige, elle avait commandé au peintre Girodet un portrait en pied de sa personne. Girodet s’exécuta en réalisant cette Mademoiselle Lange en Vénus.
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La nudité en peut surprendre, mais rappelons qu’il s’agissait de la période assez libérée du Directoire, que le statut d’ex-comédienne de Mademoiselle Lange devait lui autoriser quelques licences (d’ailleurs un autre tableau d’elle, par Jean-François Colson, la représente un sein dévoilé), et que le corps représenté ici était sûrement vu comme une symbolisation plus qu’une étude d’après nature qui, en dehors du visage, n’eut sans doute jamais lieu.
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Girodet exposa l’œuvre au Salon de peinture et Sculpture de 1799. Seulement voilà : la modèle estima que la "ressemblance" n’était pas au rendez-vous et exigea que le tableau fût décroché des cimaises, ce qui fut fait.
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Girodet était visiblement furieux. Il travailla d’arrache-pied dans son atelier avec l’ambition de réaliser un second tableau et de le présenter au Salon avant sa clôture. On l’imagine grommelant, ses pinceaux vengeurs frottant la toile, "ah, tu veux de la ressemblance,  je vais t’en donner, moi". Il réussit à finaliser l’œuvre en quelques jours, soit un temps record, et ce faisant celle-ci s’en vint figurer au Salon. À la stupeur et l’amusement du public, la Vénus s’était transformée en Danaé. Une révision mythologique sûrement s’impose : pour faire court, Danaé est, dans les mythes, une jeune femme enfermée dans une tour que Zeus, ce grand transformiste, féconda en glissant sur ses parties intimes sous forme de pluie d’or. Hum. En soi, le sujet sentait plus distinctement la bagatelle que Vénus. Mais c’est la mise en scène du tableau qui faisait tout son sel : Girodet avait réalisé un véritable portrait à charge. Dans la scène rageusement concoctée par le peintre, Danaé-Mademoiselle Lange se mire dans un miroir tout en recevant une pluie de pièces d’or, qu’elle recueille avec le tissu qui aurait dû masquer son intimité, articulant d’un même mouvement sa volonté de séduction, son avidité et son impudeur. À ses côtés, une colombe, symbole de pureté, gît terrassée par une balance (à compter) et blessée par une pièce. Le dindon qui contemple son entrejambe est un symbole de bêtise, et tout le monde y vit la représentation de son mari Michel Jean Simmons, que tout Paris savait cocu. Il arbore des plumes de paon (qui peuvent symboliser fatuité et concupiscence) dont il se fait plumer par un des puttis, donc aucun ne porte d’ailes d'anges. Un des amants de Mademoiselle Lange, Leuthraud, est là aussi, sous forme de masque grimaçant, une pièce dans l’œil. Il y a sûrement encore d’autres allégories, mais cela nous suffit à saisir qu’il ne s’agit plus d’un tableau, mais d’un missile !
Par cet acte vengeur, Girodet entama indéniablement l’image publique d’Anne-Françoise-Élisabeth Lange, mais l’on est contraint de constater qu’il lui a aussi offert une postérité qu’elle n’eût pas pu espérer autrement.  Conclusion : cherchez le scandale, modèles, cherchez-le bien, c’est votre porte royale vers la reconnaissance posthume !
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Merci pour tout Keuhn
L'aube se lève enfin,
Tu souris car encore ce matin.
Keuhn est réveillé pour t'entrainer,
Vers une matinée de rires et t’emmener.
Dans un univers magique,
Encenser par sa musique.
Sa bonne humeur,
Eclipse tes peurs.
Même si tu es agacés,
Ta journée va bien commencer.
Tes soucis s'envolent grâce à son visage d'ange,
impossible penserez-vous cela semble étrange.
Refrain:
Seulement sa joie de vivre est communicative,
Ces bonnes ondes combattrons tes pensées négatives.
Merci de nous donner envies,
D'illuminer nos vies.
Un peu d'espoir dans ce monde cruel,
qui grâce à toi semble devenir réel.
Malfurion serai fier de toi,
et ma confiance va vers toi.
Tu nous diverties sans prétention,
dans la belle ville de Lyon.
Jamboo ton paladin te féliciterais,
de nous faire découvrir la félicité.
Valeera combattrai pour tes beau yeux,
Sans avoir peur de dire adieu.
Refrain:
Seulement sa joie de vivre est communicative,
Ces bonnes ondes combattrons tes pensées négatives.
Merci de nous donner envies,
D'illuminer nos vies.
Un peu d'espoir dans ce monde cruel,
qui grâce à toi semble devenir réel.
Merci pour tous ces bons moments,
tes stream ne sont pas assommant.
Ton travail consciencieux force le respect,
cela apporte un vrai moment de paix.
Même si nos avenir semble incertain,
tu nous donne envie de prendre un chemin.
Avancer dans nos projets sans abandonner,
car tu es un coach qui prend soin de ces abonnés.
Refrain:
Seulement sa joie de vivre est communicative,
Ces bonnes ondes combattrons tes pensées négatives.
Merci de nous donner envies,
D'illuminer nos vies.
Un peu d'espoir dans ce monde cruel,
qui grâce à toi semble devenir réel.
Tous ces mots me viennent du fond du cœur,
J'espère que tu ne seras pas moqueur.
Merci pour tut Keuhn,
merci pour tout Keuhn.
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maximefelix · 3 months
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Visage d'ange
Encrage direct, puis détail aux crayons après seulement.
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christophe76460 · 3 months
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L'homme au visage d'ange: Qu'a-t-il dit, vu et fait ?
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omagazineparis · 4 months
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Les jeunes étoiles montantes du cinéma français : acteurs et actrices à suivre de près !
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Vous êtes passionnée par le cinéma et vous vous demandez quels sont les nouveaux visages à suivre dans le paysage des acteurs du cinéma français ? Ne cherchez plus ! Voici un article qui vous présente les talents prometteurs qui vont bousculer l'industrie cinématographique en France. Préparez-vous à les retrouver sur grand écran ! La nouvelle vague d'acteurs du cinéma français Noée Abita : une actrice qui fascine Noée Abita est une jeune actrice française qui a fait ses débuts dans le film "Ava" en 2017. Depuis, elle a enchaîné les projets, et son talent est de plus en plus reconnu. Avec sa présence à la fois intense et subtile, Noée Abita est définitivement une actrice à suivre de près. Anthony Bajon : le charisme incarné Anthony Bajon est un autre acteur du cinéma français qui fait beaucoup parler de lui. Révélé dans "La Prière" en 2018, il a depuis multiplié les rôles marquants. Son charisme et sa capacité à incarner des personnages complexes en font un acteur incontournable. Des actrices qui brillent par leur talent Laetitia Dosch : une comédienne polyvalente Laetitia Dosch est une actrice française qui a su conquérir le cœur du public avec ses rôles variés. Elle a notamment été remarquée dans "Jeune femme" et "La bataille de Solférino". Avec sa présence à la fois drôle et touchante, Laetitia Dosch est l'une des actrices françaises à suivre absolument. Lyna Khoudri : une étoile montante à ne pas manquer Lyna Khoudri est une actrice franco-algérienne qui a fait sensation dans "Les bienheureux" et "Papicha", pour lequel elle a reçu le César du meilleur espoir féminin. Son talent et son énergie font d'elle une actrice incontournable du cinéma français. A lire aussi : Taylor Swift : l’étoile qui illumine la pop music et transforme l’industrie Les acteurs du cinéma français et leur parcours inspirant Finnegan Oldfield : de l'Angleterre à la France Finnegan Oldfield est un acteur franco-britannique qui a su s'imposer dans le cinéma français. Révélé dans "Bang Gang" en 2015, il a depuis enchaîné les rôles marquants, notamment dans "Les cowboys" et "Gueule d'ange". Son parcours international et sa polyvalence font de lui un acteur à suivre de près. Idir Azougli : un talent prometteur Idir Azougli est un jeune acteur français qui a fait ses débuts dans le film "Frères ennemis" en 2018. Depuis, il a multiplié les rôles et a été salué pour sa performance dans "Un fils" en 2019. Son talent et sa capacité à incarner des personnages complexes font de lui un acteur du cinéma français à surveiller. Un futur radieux pour le cinéma français Ces jeunes acteurs et actrices montrent que le cinéma français est en pleine effervescence. Ils sont la preuve que la nouvelle génération d'acteurs du cinéma français est prête à prendre la relève et à proposer des films toujours plus captivants et émouvants. Ne manquez pas l'occasion de suivre leurs carrières et de découvrir leurs prochains films. Le cinéma français a un bel avenir devant lui, et ces jeunes talents sont là pour le prouver. Alors, n'hésitez pas à partager cet article avec vos amies et à en parler autour de vous. Ensemble, soutenons les acteurs du cinéma français et célébrons leur réussite ! Read the full article
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verver · 5 months
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TUMEURS URBAINES
Épisode 9
Allongées sur le canapé elles regardaient un film d'art et d'essai qui était une création artistique d'une de ces plate-forme à la demande.
Il s'agissait d'un jeune moine puceau qui dans une abbaye, sous les arcades caché derrière un pilier , il attendait le passage de la belle et jeune ingénue.
Mademoiselle Laura se rapprochant à petits pas du poste de guêt où l'attendait frère Xavier qui la saisissant par l'oreille l'entraîna dans sa cellule .
- ma tendre enfant comment allez-vous ?
- mieux ! frère Xavier
- Ah c'est très bien ! dit-il l'incitant fermement à s'asseoir sur ses genoux
- frère Xavier, je me soigne encore dit-elle en indiquant de la main son entrejambe
- c'est rien mon enfant ! murmura frère Xavier légèrement rouge et congestioné
Il la serra contre lui , il était maintenant violet, des perles de sueur coulaient sur ses joues enfantines.
- récite moi quelques phrases du condamné à mort de Jean Genet s'il te plaît
- sur mon cou...sans amour et sans haine...mon cou...laisse les dents...pour un sourire de loup... déclama Laura
- c'est bien ! c'est bien ! articula avec difficulté frère Xavier en caressant tendrement les cheveux de la belle.
Il porta la jeune fille jusqu'à sa couche , où frère Xavier allongé sur l'innocente la caressait avec passion .
Elle n'était plus innocente car c'était sa deuxième visite privée au moine coquin.
La première visite un peu contrainte c'était pas trop mal passée, elle était revenue.
- je vais regarder ta cicatrice ma fille , ne t'inquiètes pas !
- Oui frère Xavier ! articula la victime quand même inquiète
Frère Xavier releva la jupe de Laura, baissa doucement sa culotte puis caressa son sexe.
Laura frissona peut-être de désir, peut-être d'appréhension.
Ensuite frère Xavier couché sur Laura la pénétra à la hussarde sans ménagement.
Laura lui dit d'une faible voix :
- doucement ! frère Xavier doucement ! ça va encore saigner
- mais ma tendre enfant , je sais que ça cicatrise...ça me rassure !
L'étreinte se termina dans un terrible râle de frère Xavier qui s'écroula sur Laura, épuisé et complètement cuit.
La jeune femme reste inerte un bon moment. La caméra resta fixée sur son visage d'ange un peu déconcerté par la fougueuse étreinte.
Ava et Anna riaient aux éclats en buvant leur vodka .
- c'est quand même drôle ! s'exclama Anna
- Oui ! dit Ava
Elles attendaient avec impatience un autre épisode qui était une suite avec tout un tas de situations baroques.
Anna resservit les verres avec générosité.
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