Tumgik
#on s'est dit qu'on s'aimait fort
perduedansmatete · 10 months
Text
du coup hier sur le trajet, vers minuit mon ami platonique me dit qu'il vient juste de se réveiller (tout est normal) et m'engueule à moitié quand je lui dis où je vais avec entre autre ma cousine qui ne le supporte pas, en mode t'aurais du me dire blablabla je serais pas venu, il me soûlait trop. je ne pouvais pas savoir que la première chose qu'il ferait en se réveillant serait de sortir avec tous ses potes au même endroit que moi. bref je suis un peu en stress mais ça a le mérite de nous réveiller avec mon amie et surtout ça la fait rire. on arrive et je rencontre des cousins inconnus au bataillon de ma cousine sortis de je ne sais où (enfin si, de suisse) je vois aussi directement tous les potes de mon ami platonique qui veulent me parler mais qui peuvent pas trop, son meilleur ami me dit ouin je croyais que tu m'avais pas reconnu mais j'étais juste en panique. enfin bon c'est très cool on s'amuse bien, je vais voir l'ami platonique quand ma cousine regarde ailleurs (d'ailleurs j'adore ses cousins), on se fait des sourires et on rigole de loin. puis à un moment je parle à un gars, pour une fois qu'ils me soûlent pas ici, franchement sympa je l'aime bien on danse un peu quand passe baccara parce qu'il adore comme moi... après un looong moment je vois que l'ami platonique nous regarde en mode un peu vener mais bon on parlait juste sauf que d'un coup il m'embrasse et vraiment à ce moment je me dit: merde, encore une fois et je me dis: re merde, du coup j'essaie de me barrer diplomatiquement mais je me sens trop mal j'ai vu son regard et je sais que c'est la merde, il m'envoie "ça va tu t'amuses bien" suivi de "me parle plus" ou un truc comme ça et je m'amuse plus du tout après j'ai plus toute la chronologie mais je me souviens que son meilleur ami m'a dit qu'il était trop hypocrite que je faisais ce que je voulais et que je pouvais lui dire d'aller se faire foutre de sa part mais bon je l'ai pas fait je ne suis pas suicidaire. entre temps ma cousine et ses cousins qui nous ont payé des tournées de shots toutes les heures étaient partis donc la voie était libre on pouvait traîner comme on voulait avec tout le monde. on a discuté de mes bisous, il me regardait trop mal donc j'ai chouiné deux fois la première dans les toilettes avec lui qui toquait comme un malade pour que je sorte et la deuxième fois c'était devant lui je fixais un point sur le sol pour m'arrêter mais ça marchait pas trop donc il a fini par essuyer mes larmes en me disant de m'amuser et que ça allait. ensuite son ami le garçon de café a pris de la coke il voulait m'en filer j'ai dit non ou alors c'était peut-être avant car j'ai aussi un peu pleuré avec lui, il était trop mignon il voulait me rassurer sauf que déjà quand il parle français je comprends que la moitié de ce qu'il dit mais là c'était incompréhensible. ensuite comme les hommes ont des doubles standards l'ami platonique me dit que sa pote avec qui j'avais dansé me voulait donc ni une ni deux je suis tombée dans ses bras, j'embrassais l'une j'embrassais l'autre j'étais au max il me faisait plus du tout la gueule et on est restées collées très longtemps avec jeanne. j'ai fini par gueuler à un mec d'aller se faire foutre et de dégager parce qu'il passait son temps à nous mater à nous coller et à nous applaudir avec un sourire de gros con en plus il m'avait déjà grave touché alors que j'essayais d'aider une meuf à retrouver ses amis parce qu'elle était toute seule et vraiment trop bourrée (et défoncée, je suspecte le garçon de café pour ça) entre temps je danse avec le centaure, je tourne dans tous les sens (il ressemblait un peu à un triton aussi) puis c'est passé vite en fait: engueulade + sauvetage meuf + centaure + jeanne + danser avec le garçon de café aussi obligatoirement. quand c'était fini je vois un gars qui me fixe et en fait ça faisait mille ans qu'il me fixait déjà, je croyais que c'était celui que j'avais embrassé mais non, il me demande mon nom et il me dit "merveilleuse mathilde..." il m'a fait trop peur mais voilà belle conclusion je suis merveilleuse même quand je fais de la merde
7 notes · View notes
noemiemouna · 1 year
Text
09/22
Septembre 2022. Mon papa..J'étais là. A ta maison ou je t'appelais. Je tenais ta poigne usée d'une main et tenais celle fragile de mon petit d'une autre. Mais je n'ai pas lâché. J'ai tout fait pour ne pas lâcher. On s'est dit et répétait qu'on s'aimait. On a parlé de ces réalités qui n'en étaient pas. De tout ce qui te hantait. On s'est embrassé. On a bu du cecemel en cachette dans ta voiture. On a essayé. Tu as tenu mon fils dans tes bras. Quand tu y arrivais. Tu lui a montré comment se tenir debout. Droit. Comment faire ses premiers pas. Mon papa. Tu as passé ta vie à craindre tes chimères. A chercher l'amour et des preuves d'amour chez d'autre qui ne te méritaient pas. Le monde ne te méritait pas. Mais voilà. Je te souhaite dans un monde meilleur mon papa.. Je te l'ai dit. Je te le répète. Je le répéterai encore. Il n'y a rien d'impardonnable et je t'aime. Je t'aime si fort. Et je suis fier de toi. Tu vas me manquer. Tes petits messages. Tes "avant-apres" en bricolage. La photo de tes grandes mains carrées qui ouvre mes colis... tu seras toujours présent. A travers ma maison et sa pierre. A travers ton ammonite sur ma cheminée puis sur mon buffet. A travers les photos ou les vieux tee-shirt. A travers un simple porte clés. Tu ne savais plus où regarder. Mais on était là. De ta tasse de café Disney à ton opinel. De ta collection de zippo et tes carafes. De chaque tee-shirt "Super Daddy" aux petits gâteaux que je te ramenais. Je pensais à toi tout le temps. Je pensais à nous et je penserais encore à toi. Il y a des tas et des tas de mots que je pourrais écrire et dire à ton sujet. Tu étais écorché depuis tout jeune mon papa. Mais sache que je garderais les centaines d'embrassades, tes derniers mots et toutes ces photos volés quand on était ensemble. Le goût du chocolat et du café. L'odeur de ton tabac... Et surtout. Mon fils. Qui porte ton prénom et ton nom. Pour toujours. Tu vivras à travers nous. A travers lui. A travers les murs de nos maisons. Nous ignoreront l'amertume et l'ignorance. La haine et la colère de ceux qui n'ont rien gardé ou fait de bon de toi. Nous nous armerons de bienveillance face au monde. Et nous tiendrons, ensemble. Pour toi.Je t'aime.
3 notes · View notes
where-is-my-mind2 · 1 year
Text
Les années ont passées sans qu'on ne s'en préoccupe. On a construit notre univers, à un endroit où personne ne pouvait nous trouver. Caché de tous. Nous seuls connaissions le chemin. Notre foyer était chaleureux et accueillant. Chaque année ou épreuve nous faisait y ajouter des étages supplémentaires. Elle allait atteindre le ciel notre bicoque. Au rez de chaussée il y avait notre rencontre virtuelle. Tous ces messages échangés. Ces photos de notre quotidien. L'un sans l'autre, avec d'autres. Le téléphone y sonne parfois, je pleurs. Puis parfois il sonne quand tu es ivre, je t'écoute refaire le monde. Mais la plupart du temps, on entend raisonné dans ce téléphone, nos rires sans fin. C'est l'étage de la découverte et de l'insouciance. Le premier étage c'est nos doutes, nos peurs, nos failles. Nos crises existentielles. La découverte de soi. On avait pris soin d'y créer un espace intime et réconfortant, pour s'apaiser, se rassurer, se faire du bien. Au deuxième étage, on a le vertige, c'est notre rencontre réelle, au delà de nos écrans interposés. C'est ton regard qui se pose sur moi la première fois. C'est mes bras qui t'enlacent. C'est si doux de pouvoir toucher les étoiles et les nuages avec toi à mes côtés. Cet étage c'est un barbecue avec vue sur la mer. Cet étage c'est l'étage des possibles. C'est le soleil qui se couche jamais dans ta voiture. Direction nulle part. C'est une chasse aux trésors dans Paris, déguisés. Et puis un jour il y a eu le grenier. On a mis dedans tout ce qu'on ne voulait pas voir, l'amour bien trop fort que je te portais, l'admiration que tu éprouvais pour moi. On y a déposé mes mensonges dans une boîte sellé et qu'il ne fallait surtout jamais ouvrir. On y a laisser des photos. Il fallait pas monter au grenier. Parfois tu disais des choses que je n'aimais pas. On plaçait ta honte d'être vraiment ce qu'il était au grenier, près de ma boîte à mensonges. Le grenier nous a poignardé. Je crois que tu voulais une histoire d'amour. Un jour, après 15 ans d'investissement quotidien, une maison imaginaire, un réel appartement. Après plusieurs voyages, de longues nuits de cuites, des tartes aux fraises partagées, après les plus grands fou rire, les plus fous Secrets, un jour donc tu as quitté ma vie. sans prévenir et sans adieux. J'ai jamais compris pourquoi. Et maintenant quand je me tourne vers la ligne droite de mon passé et que j'en remonte la voie, souvent à pied, j'ai ce sentiment, vide et vrai. La sensation d'avoir tout vécu déjà. Pas parce que c'est le cas. J'ai jamais eu d'enfants, j'en aurai probablement jamais. Je me suis pas Marie, j'ai pas sauvé une vie ni planté un arbre. Nous avions fusionné notre monde imaginaire à la réalité. Quand on prend conscience qu'un rêve est meilleur quand il reste irréalisé. Alors on reflue. Envisager mon avenir est devenu une épreuve douloureuse, d'années en années, tout les "et si" chantonnant que je pouvais avoir, les voir s'écraser contre le mur de la réalité . Ton soutien m'aidait à surmonter cette conscience aiguë de la déception, et puis enfin quand j'ai compris que tu étais vraiment parti, je me suis éteinte. J'ai cessé de croire en la vie quand tu as cessé de croire en moi. De temps en temps, souvent, le soir, je retourne chez nous. La maison est en ruine maintenant,c'est une baraque cabossé, les murs sont défrichées, le sol poussiéreux, l'escalier qui mène au grenier grince. Il reste plus que ça d'ailleurs, le grenier. Je m'y assois, je regarde tout ce qu'on s'est caché pendant ces années, je fais le ménage , je range tout ce que j'aurai pas dû dire, avec tout ce que tu m'a jamais dit. J'écoute longuement le silence, il est rempli d'écho, le rire de 2 gosses qui s'aimait plus que tout, les cris de peurs quand la bougie s'éteint, le murmure des vagues italiennes où on se retrouve sans raison. Et puis un détail me fait revenir au réel, dans mon appartement, le vrai. L'ampoule est brisé , faudra penser à la réparer, d'autres choses ne se reparerons jamais. Heureusement que les ampoules sont là
0 notes
machinetruc83 · 7 years
Text
Nostalgie
- Raconte moi ton plus grand amour. - Pourquoi ? - Je t'ai toujours connu triste. J'aimerais te voir heureux au moins une fois. - Parler de mon grand amour ne me rendra pas heureux. Parlons plutôt du voyage que vous avez fait... - Tu ne le sais peut-être pas, mais quand tu parles d'elle, tu es beau. Les hommes sont beaux lorsqu'ils parlent des choses qui les passionnent. - ... - Raconte moi ton plus grand amour. - Le plus grand ou le premier ? - Je croyais que, pour toi, c'était la même personne... - C'est bien la même personne, mais ce sont deux histoires différentes. Laquelle veux tu ? - Les deux. - Très bien. Elle s'appelait Marie. C'était une fille incroyable. Oui... oui, c'était ça qu'on retenait d'elle. Elle était incroyable, impressionnante. - Qu'est-ce qu'elle avait de si incroyable ? - Elle était... Elle était unique. Vraiment unique. Insaisissable, presque vaporeuse. Mystérieuse... Je l'ai connue à une époque de nos vies où nous découvrions le monde, l'amour, les premiers baisers, les rendez vous, les cinémas en amoureux... Je l'ai connue au collège, les pires années d'un adolescent. À l'époque, je voulais sortir avec Fanny. On était à l'école ensemble et je croyais en être amoureux. Je m'étais mis dans la tête que ça serait elle la prochaine. Mais Marie est arrivée. Un vrai tsunami. Elle est devenue ma meilleure amie. On se disait tout, on riait, on s'aimait, mais à distance. Tout était toujours à distance avec Marie. Sauf les câlins. Elle aimait les câlins. Et elle m'a fait aimer ça aussi... Pourtant nous ne sommes jamais sortis ensemble. - Jamais ? - Pas à ce moment-là. Mon premier baiser, c'était avec une autre fille en quatrième. J'ai eu des tas de rendez vous mais aucun avec elle. Je n'ai jamais vu un seul film avec Marie. Elle était comme de l'air : impossible à saisir. Ça lui donnait un côté discret qu'on voulait découvrir. Je crois que je l'ai découvert. Je crois qu'elle m'a laissé voir au plus profond d'elle, sa vraie nature... Je pense être le seul à l'avoir aussi bien connue. - Pourquoi vous ne sortiez pas ensemble alors ? - Elle avait peur. - De quoi ? - D'être amoureuse. D'aimer au point de s'en faire du mal. Parce que, Marie, elle donnait tout lorsqu'elle ressentait. Tout. Ça se voyait dans ses yeux, ça s'entendait dans sa voix, ça se sentait sur sa peau. Marie était incroyable. Elle rayonnait. Même lorsqu'elle était triste, c'était beau à voir. Ça me brisait le coeur mais c'était beau. Alors c'était ça, sa plus grosse peur : aimer a s'en déchirer le coeur. Et moi je ne me suis rendu compte que je l'aimais à ce point là que lorsqu'elle est partie. Elle nous l'avait dit pourtant. Elle nous avait dit qu'elle allait déménager. Mais tu sais comme c'est... On se dit que ça n'est pas vrai, qu'il y aura une autre solution miracle qui apparaîtra, que tout s'arrangera. Mais non. Marie voulait partir, le déménagement tombait bien et elle n'a donc rien fait pour l'empêcher. Et moi - nous - n'avons rien fait pour la retenir. Alors un jour elle est partie. Je me suis dit que nous pouvions toujours rester en contact, mais même si la technologie est déplus en plus sophistiquée, ça n'a pas marché. Les liens se sont rompus et j'ai perdu ma meilleure amie et la première fille que j'avais vraiment aimée, pas seulement pour faire semblant. - C'est tout ? - Pour l'histoire de mon premier amour, oui. - Et ensuite ? - On a grandi chacun de notre côté. On a appris la vie. Et un jour elle a refait surface. Si avant elle chamboulait déjà tout sur son passage, là c'était bien pire... Elle était devenue adulte tout en gardant ce côté enfantin craquant qui faisait d'elle ce qu'elle était. Elle était devenue indépendante, elle s'était assurée, son mauvais caractère avait pris une place importante sur sa personnalité mais ça la rendait encore plus mystérieuse... Elle était devenue insaisissable, vraiment insaisissable. Et cette fois-ci, j'étais incapable de découvrir ce qu'elle cachait au fond d'elle. Elle était à la fois ouverte et pleine de vie, et perdue et bousculée par la vie. Ses yeux étaient un océan d'émotions, ils brillaient de mille couleurs différentes en seulement une seconde. Je crois qu'elle le savait parce qu'elle ne me laissait plus regarder le fond de ses pupilles... Je l'ai aimée. Je crois qu'elle aussi. - Comment ça tu crois ? - Marie ne parlait pas beaucoup lorsqu'il s'agissait de ses sentiments. Peut-être parce qu'elle avait peur qu'ils deviennent réels et ne la détruisent si elle les formulait à voix haute... Elle ne m'a jamais dit qu'elle m'aimait. Pourtant, quand je lui posais la question, elle souriait et me disait oui. Je savais que c'était vrai mais elle ne me l'a jamais dit. - Et alors ? - Alors je le disais pour nous deux. - Vous vous êtes mis ensemble ? - Oui et non. Marie ne parlait jamais de notre relation. Ni à moi, ni aux autres. Je crois qu'elle évitait même d'y penser. Elle ne faisait que suivre ce que je proposais... Alors je proposais des choses à faire en couple. Pour que, sans parler, nous puissions mettre des mots sur "nous", mettre une étiquette à notre relation. Nous étions plus que des amis sans être vraiment ensemble... - Sex-friends ? - Non, plus que ça. C'était vraiment étrange... C'était indescriptible, insaisissable, incroyable... Elle vivait au jour le jour, s'efforçait d'être joyeuse, de respirer le bonheur... Pourtant elle évitait toujours mon regard. Quelque chose s'était brisé en elle. Je savais que c'était en partie de ma faute, mais je ne savais pas quoi faire. J'avais perdu sa confiance, son amitié. Et je n'ai jamais été capable de la retrouver. - Et c'est tout ? C'est ça ton grand amour ? - Il faut la voir pour comprendre à quel point la vie avec elle était comme un souffle d'air nouveau. Elle rafraîchissait. - Comment ça s'est fini ? - Elle est partie. - Encore ? - Elle partait toujours. C'était son talent caché. Aujourd'hui encore, je ne sais pas où elle est ni ce qu'elle fait. Qui sait ? Peut-être est-elle mariée. Peut-être a-t-elle des enfants, une belle maison sur la côte, un travail stable et un chien... Je ne sais pas. - Et toi ? - Moi ? J'essaie de vivre comme elle me l'a appris, sans rien regretter, au jour le jour. - Ça marche ? - Tu sais bonhomme, parfois il y a des gens plus doués pour se relever après s'être pris une raclée que d'autres... Marie était une femme forte qui affrontait la vie la tête haute. Je ne m'en suis pas trop mal sorti non plus, mais je ne pense pas pouvoir dire que ça ait marché, non. Je l'aime encore et je crois que je l'aimerai toujours...
1 note · View note
Text
3:00 AM
Je suis couchée sur ton chest et tu ronfles, comme d'habitude. On vient de faire l'amour et tu m'as dit que tu m'aimais en « crisse » pendant. Mon dieu que je t'aime. Je sais plus comment j'aimais avant toi.
2:45
On a fini de faire l'amour et mon esprit s'est embrouillé, il a mélangé ton visage si doux à mes yeux et l'a remplacé par celui qui m'a tant fait mal. Je me frotte les yeux et je me dis que je rêve. Tu me dis doucement « mon amour » et je me retourne. Tu es là, ça va mieux. Tu me serres fort dans tes bras. Tu me flattes le dos et les cheveux et tu me murmures les plus beaux mots du monde. Je t'aime. Mon coeur est tellement rempli d'amour pour toi. Juste toi.
3:00. Tu dors léger, avec moi. Je me suis prise dans une crise de panique entre deux soupirs. Et s'il revenait me faire du mal? On est loin de la maison. Je respire fort, de plus en plus. Et puis, tu te réveilles et doucement tu me chuchotes "calme toi ma belle ça va aller". Je t'aime. Si tu savais. Ça se calme un peu et ça recommence. Tu sentais que ça n'allait pas. Tu m'as pris encore plus fort. "Mon amour je suis là". Je t'aime tellement fort. Tu me serres fort et tu sens mon épuisement en chuchotant. Tu me caresses le dos, tu sais que j'aime ça.
3:30. Tu as réussi à tout calmer avec tes mots, ton corps. Tu es comme ma maison de calme, de bonheur. On s'est dit qu'on s'aimait. On s'est chicanés sur qui s'aimait le plus. On s'est donnés la main et on s'est endormis ensemble dans la paix de nous deux. C'est toi qui calme toutes les tempêtes. Je te trouve tellement courageux, brave, comme un arbre prenant racines, tu me permets de faire pousser mes fleurs pour devenir de plus en plus belle.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.
Plus que tout au monde, même toi.
💛
1 note · View note
wewreinfinite · 6 years
Text
best love letter i ever read
Je sais pas pour où commencer, mais je me dois de le faire. Là dans l’immédiat ça doit pas te plaire mais dans tout les cas me condamne pas avant d'avoir lu, c'est pas du harcèlement. C'est juste que j'ai un sentiment d'inachevé tu vois. T'as aucun intérêt à te méfier, c'est pas le beau parleur qui t'écrit, je baratine pas. J'expose ce qu'il y à dire c'est tout, la vérité, pour toi, pour moi, pour nous. Evidemment je ne t'en veux de rien, j'ai pas de raisons pour, c'est pas toi qui as cassé la baraque, donc non t'auras aucun reproche. Alors voilà, le temps a passé, j'ai assez cogité pour savoir d'où vient la connerie, je peux t'expliquer sereinement, mais je m’arrête pas à ça M., je veux réparer tout ça tu vois. Alors oui je sais tu dois y voir beaucoup d'audace et d'assurance. Mais non je vais rien t'inventer, juste parler avec mon cœur et surtout toute ma conscience. Ma fierté ? je l'écarte t’inquiète pas pour ça. Y'a qu'un bon gros choc qui pouvait me le permettre de toute façon, et il s’avère que ce choc c'est toi. Alors oui je m'excuse M. Mais tu as vraiment cru que je n'avais aucun regret ? Bah merde alors, je savais pas que je pouvais me montrer si persuasif. En tout cas pour ce qui est des regrets j'en ai jamais eu autant ouais. Et non ne pense ne pense pas que c'est juste un pauvre gars empli d'amour qui cause, même si ça me permet d'être sincère avec toi. Je t'ai foutu la trouille, je t'ai blessée, je t'ai menti, je t'ai harcelée, j'ai été con, et pourtant.. Et pourtant je t'aimais encore. Je me demande encore si on a pas choisi à ma place sans déconner. J'ai plus l'impression de sortir d'une léthargie de 3 mois qu'autre chose. Je sais que c'est pas un titre valable mais j'ai pas l'impression d'avoir été maître de moi-même. Donc oui je te donne mille fois raison, oui j'ai pété une durite, oui c'est moi le fautif. Oui depuis le début je savais au fond de moi que je t'aimais encore, oui quand tu es venue me voir à A. en Janvier je te résistais, oui je voulais t'embrassais, oui je t'aimais, oui, si.. je t'aime encore… Oui là j'en suis au produit de mes conneries. J'aurais du tout arrêter à temps, tout te dire, concevoir les événements du nouvel an comme une erreur mais passer au dessus puis continuer à vivre pour nous. Mais j'ai pas réussi, trop de questions. J'aurais du te faire confiance, t'expliquer les choses, tu sais te montrer compréhensive, pourquoi je me suis pas appuyé là-dessus pour qu'on s'en sorte tout les deux ? Enfin tu le sais comme moi que si je l'avais fait on en serait pas là, que si j'avais pas déconné ou que si j'avais passé ce nouvel an maudit ailleurs on serait toujours aussi bien tout les deux. Aujourd’hui, c'est surement ce qui me rend le plus triste. Mais tant pis, c'est pas un faux pas, même aussi gros, même aussi grave, qui détient le résultat et la finalité de ce qu'on est toi et moi. Rien n'est mort, surtout quand je me dis que lorsque je t'ai quittée on s'aimait encore. Je sais c'est con on dirait un type en quête de rédemption, un gentil toutou qui veut se racheter une conduite pas vrai ? Non M. t'es pas mon objet, t'es pas ma chose, ton bandit a fait une grosse erreur mais c'est pas ce qui fait de lui quelqu'un de mauvais et tu le sais. C'est moi, ton T., ton premier amour, celui que tu as rencontré, le vrai, je suis réveillé, regarde. T'as cru que ça allait nous séparer ? Mais honnêtement tu sais bien qu'on a toujours été plus fort que ça pas vrai ? On a traversé pire toi et moi et j'ai pas besoin d'énumérer. Déjà rien qu'à voir ce qu'on a enduré pour construire notre cocon. On s'est toujours promis de rester souder, que même ton départ l'an prochain nous briserait pas. On est pas un amour impossible. Et on le pensait tout ça ! Plus fort l'un que l'autre, plus fort tous les jours. Alors je dis pas qu'il faut prendre mes erreurs à la légère, surtout pas, je te demande pas non plus d'oublier, mais admets qu'on est plus fort que ça. Et je peux te dire qu'en t'écrivant ceci j'ai la ferme conviction que rien n'est trop tard. C'est du gâchis, on se rate M. On se rate de si peu toi et moi. Ça fait quoi ? 3 mois ? 4 mois ? Tss mais c'est quoi 3 ou 4 mois contre nous à côté de ce qu'on a vécu ? A côté de ce qu'on était, à côté de ce qu'on peut encore être ? Du vent. De la poussière. On est bien trop fort pour ça. Je sais que j'ai pas géré, tu crois vraiment que j'ai pas compris la leçon ? Oui j'ai été affaibli d'avoir fait souffrir L. un an auparavant. Je me suis dit que je lui était redevable, qu'il n'y avait pas de hasard à tout ça. Tu parles, j'ai été animé d'une belle connerie oui. Plus la culpabilité de te faire souffrir toi ? De te faire attendre ? Ça a rendu des choix de merde. Tu crois que je savais pas quelle douleur tu avais ? Je pensais bien plus à ça qu'au reste figure toi.. et pourtant… Ça me rongeait M., j'arrivais plus à te parler, je me sentais minable, coupable, puis le temps passait et je voulais pas m'avouer que toi seule faisait battre mon cœur. Je te laissais de côté, t'ignorais, comme un ingrat, sans sentiment, un vrai salaud. Mais ça me bouffait M., ça me bouffait trop et je n'osais plus revenir en arrière, j'étais pris dans une spirale infernale. J'ai pas mis longtemps à comprendre que je t'aimais encore tu sais, mais après tout ça, comment revenir en arrière. Je voulais rien m'avouer et j'ai pété un câble. Je sais M., le passé c'est le passé, mais je veux pas croire que notre histoire résulte uniquement de ces événements. Toutes nos promesses, toutes nos envies, tout nos rêves qu'on a pas accompli ? C'était du vent pour aucun de nous deux et tu le sais qu'on y croyait dur comme fer, qu'on était sincère, qu'on se disait pas tout ça uniquement pour se rassurer. On y voyait vraiment loin à deux. On avait pas toute les cartes de notre coté c'est vrai mais on est pas un amour impossible c'est pas vrai. Et y'a rien de trop tard pour ça même aujourd’hui. Tu as vraiment cru que je te laisserais partir comme ça mon Amour ? Tu as besoin que je te rappelle tout ce qu'on a vécu ? tout nos moments ? Qui je suis ? Reste pas sur cette image de moi. Tu sais qui je suis, tu sais que je ne suis pas tout ça. Après tout je suis celui que tu connais le mieux. Il faut que je te fasse un catalogue de tout nos moments ? J'en serais bien capable, jme souviens de tout, au détail près. C'est très certainement la preuve de beaucoup de choses d'ailleurs. Ma manière de parler est toujours la même tu sais, de te faire rire aussi, de marcher, de te faire l'amour, de fumer, j'ai aussi toujours le même air perspicace et ce regard pensif qui te plaisait tant, j'ai toujours le même parfum, les mêmes chemises et t-shirts que tu me piquais, toujours la même peau de pêche. Tu crois que c'était une simple amourette ? Que j'étais moins sincère que toi ? Tu crois tout ça ? Alors pourquoi j'aurais fait tout ça ? Tu crois que j'ai pas usé de beaucoup d'audace et d'amour pour venir te chercher ? Pense à tout ce qu'on faisait, à tout ce qu'on savait faire, à tout ce qu'on saurait faire. Et quand je dis tout c'est vraiment tout. Ça te dit rien deux larves sur deux fauteuils verts avec un bol de cerises, sous des couverture à mater GOT ? Mes 18 ans tu t'en souviens ? Et les tiens tu t'en souviens ? Tu crois que j'étais pas sincère ? Pas fier de te présenter à tout mes amis ? Pas heureux qu'on me dise que j'ai choisi quelqu’un de bien ? Sans parler du pays basque, des fois où tu venais à la maison, de nos soirées, chez toi, chez moi, sous la tente, chez Victor, Chez Magali, chez July, nous fou rires dans la douche, nos aprems au parc à manger, réviser, fumer, s'enlacer, rêver, les vendredis soir après tes cours, nos soirées chez Chachou, enfin tout quoi… J'ai pourtant réussi à être assez méchant pour te dire que tout ceci n'était rien en vue de ma relation avec L. C'était faux. Désolé d'avoir été si instable quand je me mettais en colère. Mais M., tu crois que je serais là à t'écrire tout ça si tu représentais si peu ? si notre histoire avait été si futile à mes yeux ? Je sais combien je t'ai écœurée et blessée mais même après tout ce temps tu es là dans ma tête tout les jours et ce peut être plus qu'avant. Sur le chemin, sur les murs, dans les couloirs, devant la grille, tu es partout au lycée.. Enfin quand même on peut aimer mais aimer comme on s'est aimé c'est pas fait pour s’arrêter là comme ça. On voulait pas de fin souviens toi. J'ai pas eu froid aux yeux pour venir t'aimer une première fois, et j'aurais pas froid aux yeux non plus pour venir te séduire une seconde fois. Je me refuse de tout laisser s'envoler comme ça. T'as cru que j'allais rester là les bras croisés à attendre que tu quittes mon cœur ou que le chagrin s'estompe ? Je veux bien souffrir encore un moment si c'est la clé pour te retrouver. C'est pas en laissant faire le temps qu'on construit de belles choses et qu'on écrit de belles histoires. La notre sera la plus belle. J'ai fait beaucoup d'efforts tu sais avant de pouvoir me présenter là et t'écrire tout ça, je le fais pas la tête perdue. Je sais où je vais et ce que je veux, sentimentalement mais aussi dans ma vie de manière générale. Je me sens beaucoup mieux avec moi même. J'ai plus cette instabilité, j'ai plus cette haine. Je suis tranquille. Je me fiche de ton départ en Allemagne l'an prochain, je suis prêt, on s'y était préparée déjà tout les deux, et tu n'auras plus à craindre L. pour le coup. Ne crois pas que le T. que tu as connu est mort ou n'existe plus. Il vient tout juste de se réveiller. Tu l'as aimé comme jamais tu n'as aimé et tu peux encore l'aimer. Toutes ces envies et objectifs qu'on se fixait ensemble me manque. Ton regard mielleux me manque, tes caresses, ta peau, ton parfum, ton exotisme qui me charmait tant, ou tes chuchotements d'Akua Naru quand tu te nichais dans mon cou. J'ai trop fait le con mon Boubou mais toute erreur se répare. T'es pas obligé de me croire, après tout ça comment me croire n'est ce pas ? tu n'as plus de raison à tout ça.. Alors je t'attend pas M., je viens te chercher. Tend moi la main une dernière fois, y'aura plus de connerie, plus d'histoires, mais que tu bonheur, de l'amour, et ce plus qu'avec quiconque. J'fais plus de promesses , apparemment je sais pas les tenir. J'ai que des preuves à t'offrir. J'veux juste pouvoir continuer à t'appeler “ ma Perle ” ou “ mon Boubou ” au réveil sans avoir à me demander si je suis heureux ou non, car je sais qu'à nous deux, on était les plus heureux, et car je sais qu'à deux, on sera les plus heureux.
Ton Bandit
0 notes