#Cusco Lancer | Explore Tumblr Posts and Blogs

hirocimacruiser · 3 months

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R-EVOLUTION

Further evolving the Evolution Model.

An evolution model that evolved from a general-purpose model for competition use. However, there is still room for improvement. From drive system parts that further enhance 4WD drive power and emphasize efficiency and controllability, to the suspension and every corner of the vehicle. To enjoy drifting, to drive fast, to drive with ease, and to enjoy the thrilling feeling of handling with a strong sports 4WD. Cusco, who has done everything for the Lan Evo, has created a unique complete car with special parts.

Complete parts for Lancer Evolution I / II / III

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une-touille-en-vadrouille · 8 months

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Après ces 5 jours bien remplis, nous avons décidé de nous poser une journée ! ...

... Vous y avez cru hein ? Nous avons donc passé la journée dans la Vallée Sacrée Inca, commençant à 6h30 dans le bus \o/ (oui, on aime souffrir)

Nous voici d'abord en route pour le petit village de Chichero, à la très belle église qu'on ne peut pas visiter. A l'arrivée des espagnols, suite à la construction de ce monument, ils ont décidé de raser tout ce qui aurait pu bloquer la vue (non mais), on a donc plein de petits murets en pierre un peu courts sur patte à côté ...

On a le droit à un bel exemple de village aux maisons en adobe et argile, et à une sacrée quantité de terrasses. Ici, pour monter que les Incas étaient proches du peuple (qu'ils avaient viré du centre ville Manu militari), ils organisaient un ou deux banquets par an sur la place centrale. Trop gentil.

Ensuite, on a fait un petit tour par une collectivité de tisserands, où on nous a gentiment expliqué que les alpagas n'étant roses ou bleus qu'en cas de surconsommation de pisco sour (le cocktail national), il fallait teindre la laine. On a aussi appris que la laine de bébé alpaga est tellement fine que tissée comme il faut, on dirait de la soie !

Ensuite, on remonte dans la voiture, et direction les salines de Maras ! Bon, ben c'est du sel qui sèche au soleil, mais il vient d'une source au centre de la montagne, c'est tout de suite plus la classe. Et mine de rien, il y en a 3500 des petits bacs quand même ! (En vrai c'était mon arrêt préféré de la journée, c'était magnifique)

Après une pause déjeuner où nous avons honteusement grugé toute la queue sur les conseils de notre guide, et manqué lancer une révolution et une lapidation généralisée, nous sommes allés visiter le temple du soleil de Ollantaytambo.

Bon, c'est dommage, comme les Incas ont commencé une guerre civile entre deux frères qui voulaient être calife à la place du calife, la main d'oeuvre est partie en guerre plutôt qu'en construction de temples ... donc ils ne l'ont pas fini. Une fois de plus, on avait de très jolies terrasses (pour faire pousser du maïs sacré, c'est comme du maïs normal mais à côté d'un temple), et une superbe vue sur la montagne d'en face. A noter que les greniers de stockage y étaient positionnés (à perpète donc, ça fait des jolies fesses), pour profiter du vent sec qui favorisait la conservation des grains.

On est aussi passés par Moray, un ancien site agricole construit dans un lac asséché. Ça leur permettait de protéger les cultures des vents glaciaux qui parcouraient la région, pratique. Pour construire les terrasses, on pose des gros rochers tout en bas et de la terre en haut, en formant un joli gradient, ça permet de faire un système naturel de drainage ! Comme ça, quand ils inondaient les champs, l'eau ne stagnait jamais ...

Notre dernier arrêt de la journée, c'est Pisac, une ville et terrasses encore plus grande que le Machu Picchu en superficie ... bon, comme vous pourrez le constater, on a pris la pluie, on n'en a donc pas vu grand chose !

De retour à Cusco vers 18h30, juste à temps pour récupérer notre linge propre (❣️)et manger une -> RACLETTE<-, nous voici finalement dans un bus de nuit pour le lac Titicaca ! (On vous a dit qu'on était masos ?)

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refimage · 4 years

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gettinlow-com · 2 years

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empireofmitsubishi · 4 years

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bzhmonde · 7 years

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HUARAZ - TREK SANTA CRUZ

Nous arrivons à Huaraz en provenance de Cusco après un trajet en bus épuisant. Nous quittons Cusco et le merveilleux site du Macchu Picchu pour rejoindre au nord la capitale du Pérou, Lima. Le trajet passe par de fabuleux paysages et des vues splendides sur les montagnes mais il est extrêmement long, quasiment 22h de bus. Heureusement quelques films durant le parcours nous font passer le temps. Notre vol pour Mexico décolle de Lima et il nous reste environ 8 jours au Pérou. Nous ne perdons pas de temps à Lima et enchaînons un second bus de nuit direction la ville de Huaraz plus au nord, point de départ de treks dans la cordillère blanche. De nouveau 8h de bus de nuit, au total une trentaine d'heures de bus et 6h d'attente pour atteindre Huaraz. Épuisant, mais que de temps gagné. Nous prenons un jour de repos avant de partir en trek et nous en profitons pour faire le tour des agences afin de comparer les offres pour le Santa Cruz.

Au programme 4 jours de randonnée, un passage de col à 4750m, une cinquantaine de kilomètres effectués, environ 1500 de dénivelé positif et des paysages grandioses. Il est possible de le faire en autonomie mais nous n'avons pas de tente, nos sacs de couchage sont un peu léger pour le froid et il nous faut alors porter toute notre nourriture pour 4 jours... Autant dire qu'après notre trajet de bus, nous n'avons pas la force de se lancer la dedans.

Nous finissons par trouver une agence à prix abordable. Elle vient nous chercher le lendemain matin à notre hotel à 6h pour nous amener au départ du trek, elle nous ramène à la fin, le guide, les tentes, sacs de couchage, petits matelas, la nourriture pour 4 jours porté par des ânes, tout est compris...

Et nous nous débrouillerons avec les rivières et une pilule de micropur pour nous fournir en eau. L'eau provenant directement des montagnes, elle est déjà quasiment potable.

Nous entamons notre première journée après 5h de route. Aujourd'hui seulement 3h30 de marche mais un dénivelé positif de +800m et environ 10km effectués sous un soleil de plomb. Nous remontons la rivière provenant des glaciers et marchons au milieu d'un très jolie canyon, les montagnes apparaissent de plus en plus hautes. Sur la route , de nombreux ânes, chevaux et vaches se baladent dans ce cadre naturel idyllique. Nous faisons la connaissance de nos compagnons de route. Un superbe groupe de toutes les nationalités. Nous sommes 12 personnes, des Anglais, Suisses, Coréens, Péruviens, Autrichiens et Français. Nous atteignons notre camp sans trop de difficulté et nous montons notre tente. Après un très bon repas préparé par notre guide nous nous mettons au lit assez rapidement car une fois le soleil couché, les nuits sont assez fraîches.

Nous nous levons à 6h du matin pour notre deuxième journée de trek. La nuit fut plutôt bonne malgré les températures avoisinant les 0 degrés, notre sac de couchage est assez chaud et nous dormons bien couvert.

Aujourd'hui une vingtaine de kilomètres effectués en 6h30 de marche et +700m de dénivelé positif. Mais surtout nous découvrons des lagunes magnifiques entourées de montagnes enneigées notamment la lagune Aruaycocha (4400m) d'un bleu paradisiaque avec un glacier se jetant dans cette dernière, c'est superbe. Nous redescendons un peu plus bas pour atteindre notre camp à 4200m d'altitude. Une très belle journée au milieu du canyon, des montagnes et ou serpente une très jolie rivière. Ce soir, d'après notre guide, la température va sans doute descendre en dessous de 0 degrés. Aie, nous verrons bien demain matin...

3ème journée et un réveil difficile non pas du au froid mais plutôt à la bouteille d'eau qui s'est ouverte pendant la nuit dans le sac qui nous servait de coussin...

Malgré tout nous remballons notre camp, nous prenons un bon petit déjeuner et partons pour une journée qui s'annonce plutôt difficile.

16km de marche effectués en 6h30 avec un dénivelé +500 pour atteindre le col de Punta Union à 4800m d'altitude puis une descente vers notre camp à 3700m soit un dénivelé de -1100m, le tout avec une météo véritablement mauvaise.

Nous ne sommes pas chanceux aujourd'hui, dès notre départ une forte pluie fait son apparition et qui va nous suivre toute la matinée. Et même de la neige au dessus de 4500m, aucune visibilité sur les lagunes, les montagnes aux alentours...

Une journée de marche un peu galère mais le soleil fait son apparition en début d'après midi après être arrivés à notre camp. Nous nous réconfortons en groupe autour d'une bonne bière et du pop corn et profitons de cette fin de journée.

4ème et dernière journée de trek plutôt courte. 2h30 de marche et 6,5 km. Nous retrouvons le soleil pour cette petite marche, nous traversons plusieurs petits villages et redescendons le long de la rivière dans le canyon. Nous atteignons l'arrivée sans trop de difficulté et après 5h de bus nous rejoignons Huaraz. Voilà notre dernier trek de notre voyage se termine 😭😭😭, 4 jours superbes dans la cordillère blanche.

#perou

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americadelsur2017 · 7 years

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Dia 8: Reveil sur la route dans notre bus direction: Arequipa, avec une nuit pas mal agitée par les ressauts de la route. Mais, le confort était tout de même au rendez vous, sièges couchettes, télé (bon... même les schtroumpfs étaient en espagnol), wifi, repas... un avion à roulette! 6h30: nous voilà arrivés dans "la ville blanche" encerclée par les nombreux volcans et montagnes dont le plus connu: le Misti. À peine les bagages posés à l'hôtel, on part découvrir la 2e plus grande ville du pays. 7h du matin, on découvre une ville remplie de tuniques violettes en pleine procession du Senor de los Milagros (le seigneur des miracles). C'est assez impressionnant, de les voir tous marcher en cortège avec une statue gigantesque posée à meme leurs épaules, derrière un épais nuage de fumée blanche. 7h un dimanche... Normal... Thibaut s'est dit: "maman, avec ce que je viens de voir, ca vaut au moins pour 4 messes" 😂 Allez, un petit dej en terrasse de la plaza del armas, et on peut lancer notre journée. La première étape nous amène à un couvent de l'époque colonniale (16e), ou les filles 2e de chaque fratrie, rentraient dans ce monastère à l'âge de 12-14ans, en faisant vœux de silence. L'endroit, quoi que sommaire à l'intérieur des habitations, est riche en couleur et en végétation dans les cloîtres et les rues du monastère santa catalina. C'est carrément une ville dans la ville, restaurée à plusieurs reprises à cause des séismes fréquents dans la région. À notre époque, une vingtaine de sœurs vivent encore là, à l'écart de la partie touristique. Allez, on retourne se balader dans les rues d'Arequipa pour retrouver la plaza de armas, avec sa cathédrale et ses bâtiments de pierres blanches. Dans un autre style que Cusco et Lima mais tous aussi jolie. On continue de flâner dans les rues autour des centres d'intérêt promu par les différents guides, mais nous ne sommes pas réellement transcendés par ce que l'on voit. On ne retrouve pas le charme d'un Cusco, ou l'attractivité d'un Lima. On en profite donc pour se reposer un peu, faire nos recharges d'eau et de barres énergétiques, demain on attaque le plus grand canyon du Monde, le canyon de Colca. 2,5 x plus grand que le grand canyon Américain. Petite pause du coup dans nos aventures sur le tumblr, car notre Trek dure 3 jours, et le wifi risque de ne pas être présent dans le canyon. 😅 Allez pas panique... on se revoit dans 3 jours pour vous raconter tout ça.

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withstarsineyes · 7 years

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22 au 24.05.2017 - Machu Picchu la merveille

Bon tout d’abord il faut savoir que pour se rendre au pied du Machu Picchu, à Aguas Caliente, c’est déjà une aventure en soi.

3 façons de s’y rendre s’offraient à nous: Train (qui te coûte un bras et les deux yeux donc mais c’est dommage de ne plus avoir ses yeux pour voir la beauté le site), bus (6h) et marche (13km) ou bus (6h) et train (qui lui te coûte les deux yeux). Jusqu’ici on se dit: “Bah facile, le bus on l’a déjà pris des tas de fois et sur de plus longues distances, les enfants le supportent bien, et puis marcher 13km ça nous dégourdira les jambes!”

ok donc c’est parti donc pour la formule “Bus+marche”, on va donc acheter nos billets de train. Départ le lundi 21 à 7h30 du matin! Au début le trajet est assez sympa, nous sommes 15 dans un mini bus, Raphaël a sa place, Imaya sur nos genoux puis rapidement, il se met à pleuvoir des cordes et un brouillard à couper au couteau envahi le paysage, la route tourne sans cesse et les premiers vomis se font entendre (et sentir). C’est au tour de Raphaël de réclamer un sac et de se faire entendre, puis Imaya… La route très vite n’est plus une route mais une piste extrêmement étroite où il semble impossible de croiser un autre véhicule pourtant le chauffeur l’emprunte comme si elle était aussi large que deux camions côte à côte.

Ce qui suit nous parait incroyable: le long de la majeure partie de la route nous nous retrouvons, (toujours avec un soleil éclatant au dessus du brouillard et des nuages gorgés de pluie) avec un précipice d'un côté et une falaise de l'autre. Nous n'en menions pas large et nous avons tous fini par pleurer de rire mais de peur face à la situation... On entendait des "Loco"... "inbelievable"... "aïe, aïe, aïe"... "mama"... "no, no, por favor"...

C'était impensable, accéder à ce lieu si magique si mythique, si visité dans de telles conditions ... Arrivés à la fin du trajet en bus à 15h30 (oui oui on était sensé mettre 6h..), nous sommes livides et il pleut des cordes. Du coup on prendra le train et on y perdra un paire d’yeux.

Pour le retour nous n'avons pas voulu risquer nos vies une deuxième fois et avons donc pris le train… Une autre paire d’yeux qui part dans les poches de la compagnie de l’Orient Express (qui tient le monopole des transports menant au Machu Picchu, (excepté le réseau de minibus, vous l’aurez compris).

Le lendemain nous décidons de nous lancer dans l’ascension de la merveille, mais à pied (les bus menant au site étant eux aussi gérés par l’Orient Express). Il bruinait beaucoup mais cela ne nous a pas gêné durant l'ascension des 1800 marches. C'était difficile mais merveilleux, des paysages extraordinaires et on se demande vraiment pourquoi et comment ils sont allés construire ce palais royal à cette altitude (2400m) et avec cette difficulté d'accès... Incroyable c'est vraiment le mot qui nous revenait sans cesse. Raphaël a bravement gravi les marches sans se plaindre, un vrai péruvien!!

Les feuilles de coca nous ont accompagnés lors de la montée, il fallait bien ça!

Notes sur l’hypothétique histoire de cette merveille:

Érigé vers 1450 par Pachacutec, le neuvième et plus grand souverain inca de l’histoire, le Machu Picchu (« vieille montagne » en quechua) formait jadis une ville de 1200 âmes, estime-t-on. Hormis les toits de chaume, tous disparus, l’ensemble est plutôt bien conservé, avec la plupart de ses 265 habitations encore debout, son temple du soleil, sa chambre des miroirs d’eau (pour observer le ciel), sa garnison, son « palais royal » (une sobre demeure de pierre, en fait) et ses innombrables terrasses cultivables, abruptement étagées en escaliers.

Si on n’a jamais su pourquoi la ville fut abandonnée, plusieurs théories ont été avancées : épidémie de variole (apportée par les Espagnols dès 1492) ; envoi de troupes pour aider l’Inca Huascar dans la lutte de succession contre son demi-frère Atahualpa, couronné à Quito ; ou fuite de la population vers les cités de Vilcabamba ou Choquequirau, lorsque Cuzco est tombée aux mains des Conquistadors, en 1534 — la même année où Jacques Cartier commençait à planter des croix dans le Nouveau Monde.

Par la suite, le Machu Picchu est tombé dans l’oubli, mais… il n’a jamais vraiment été perdu : des paysans ont longtemps utilisé ses terrasses hautement fertiles pour cultiver certaines des 300 variétés de maïs ou des 3000 types de pommes de terre du pays, et c’était toujours le cas quand l’archéologue états-unien Hiram Bingham a « découvert » la ville, le 24 juillet 1911.

Bien que la citadelle soit située à seulement 80 km de Cusco, la capitale Inca, les Espagnols ne l’ont jamais trouvée et par conséquent, n’ont jamais eu l’opportunité de la piller ou la détruire, comme ils l’ont fait ailleurs.

Aujourd’hui, si le Machu Picchu risque d’être perdu, c’est en raison de sa surfréquentation : plus d’un million de visiteurs foulent du pied ses vieilles pierres, chaque année, soit jusqu’à 4000 personnes quotidiennement ; l’UNESCO, qui songe à inscrire le site sur sa liste du patrimoine en péril, recommande pourtant un maximum de 2500 personnes par jour.

Pendant des décennies, le Pérou a réclamé à l’Université de Yale que lui soient retournés tous les artefacts et objets trouvés au Machu Picchu par Hiram Bingham, lequel les y avait envoyés pour examen. En 2011, à l’occasion du centenaire de la découverte du site par l’explorateur, la prestigieuse université du Connecticut a acquiescé à cette requête : aujourd’hui, on peut reluquer 366 articles parmi les 5000 retournés (poteries, outils, armes, ossements…) au Museo Machu Picchu de Cuzco.

C’est à juste titre qu’on a choisi cette ville, aujourd’hui ultra-agréable et follement animée, pour abriter cette collection : étalée dans une vallée à 3400 mètres d’altitude, Cuzco (« le nombril », en quechua) formait jadis la capitale sacrée des Incas.

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hirocimacruiser · 4 months

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Cusco Sponsored Mitsubishi Lancer Evo X

2011 FIA APRC Series 3rd place

Rifat SUNGKAR

Scott BECKWITH

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lexxtimate · 7 years

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Ermagod!!! 😍😍😍 Via: @dtphotography_cy FQ360 MR #45 #mitsubishi #lancer #evolution #fq360 #evo #evomr #4g63 #ct9a #jdm #japan #tokyo #photography #dtphotography_cy #volkracing #varis #arcjapan #titanium #turbo #cyprus #ams #hks #yokohama #ralliart #instaphoto #carbon #cusco #summer

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louisonurmark · 5 years

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Pada tahun 2006, Proton memperkenalkan Satria Neo, iaitu hatchback yang menggantikan model generasi pertama Proton Satria yang berada dalam produksi dari tahun 1994 hingga 2005. Berbeza dengan Satria yang merupakan model rebadge dari Mitsubishi Mirage, Satria Neo merupakan produk yang dihasilkan sepenuhnya oleh jurutera Proton, bermula dari platform hingga enjin.

Ada yang kata, Neo adalah model ‘over enginnered‘ dari Proton kerana menampilkan pengendalian yang sangat baik, tidak padan dengan harganya. Tapi apa yang pasti, hatchcback ini adalah model Proton yang meneruskan legasi sukan permotoran mereka dan ia mewarnai pelbagai perlumbaan tidak kira di litar atau di SS rali.

Selepas dua tahun Satria Neo diperkenalkan, Mellors Elliot Motorsport (MEM, yang juga badan bertanggungjawab menyediakan Proton PERT Evo VI untuk Karamjit Singh menyertai pusingan-pusingan WRC di Eropah) telah mendedahkan kereta rali Satria Neo S2000 yang dihasilkan untuk mana-mana rali dalam kategori FIA S2000 seperti dalam Kejohanan Rali Eropah dan juga Kejohanan Rali Asia Pasifik (APRC). Kategori S2000 ini juga turut dipertandingkan dalam Kejohanan Rali Dunia (WRC) sebagai kelas satu anak tangga di bawah kategori WRCar.

Ketika berlangsungnya Tokyo Auto Salon (TAS) 2011, satu kejutan telah dibuat oleh Proton kerana mereka telah menyertai acara budaya ubahsuai antara yang terbesar di dunia itu. Di TAS 2011, Proton bukan sahaja mempamerkan sebuah Satria Neo R3 Concept (yang kemudiannya dihasilkan dalam bentuk produksi), malah sebuah kereta rali Satria Neo turut diletakkan di sebelahnya.

Kereta rali berkenaan sebenarnya adalah milik pengeluar peralatan prestasi tinggi khususnya untuk transmisi dan suspensi dari Jepun iaitu Carrosser Co. Ltd atau lebih dikenali sebagai Cusco. Berbanding Neo S2000 yang lebih dominan sebagai sebuah kereta rali prototaip (ia menggunakan enjin Renault yang hampir sama dengan Proton Waja yang bertanding dalam BTCC), jentera binaan Cusco ini lebih menyerlahkan kebolehan sebenar Satria Neo di bilik pameran kerana dihasilkan untuk kategori FIA Group N, atau lebih spesifik untuk kelas N2.

Group N adalah kategori produksi yang bukan sahaja memerlukan pasukan yang bertanding mengekalkan konfigurasi asal sistem suspensi kereta mereka sama seperti model yang dijual dalam pasaran, ia turut mensyaratkan kereta tersebut perlu menggunakan enjin asal. Jadi boleh dikatakan enjin Campro S4PH 1.6L pada perut Satria Neo ini adalah sama dengan model standard, dan ia cuma ditala semula menerusi pemadanan kotak komputer perlumbaan.

Sebenarnya, Cusco membeli Satria Neo tersebut dari Proton, dan bukan diberi secara percuma untuk dijadikan ‘tikus makmal’. Ini satu lagi bukti bahawa dakwaan ‘over engineered’ itu bukan syok sendiri, tetapi diakui oleh pasukan rali berpengalaman dari Jepun tersebut. Kalau ikut logik, boleh saja Cusco membeli model lain untuk asas jentera N2 ini seperti Honda Jazz atau Suzuki Swift yang terdapat di Jepun.

Selain dari enjinnya yang masih standard, Satria Neo ini menerima kelengkapan-kelengkapan seperti kereta rali lain seperti rollcage penuh, pemadan api, komputer trip, tempat duduk perlumbaan Bride, tali pinggang keledar perlumbaan Takata, roda stereng tiga jejari Sabelt/Nardi, dan pelbagai lagi.

Ia turut diberikan perlalatan prestasi dari Cusco seperti LSD dan komponen-komponen suspensi lain termasuk set penyerap hentak rali boleh laras sepenuhnya.

Cusco memberikan kereta ini kepada tiga pelumba Jepun iaitu Hiroshi Yanagisawa, Yuya Sumiya dan Akira Bamba, digunakan dalam perlumbaan Junior Rally Championships di Jepun dan APRC. Juara Kejohanan Rali Indonesia lapan-kali, Rifat Sungkar turut memandu kereta ini pada pusingan ke-8 Kejohanan Rali Jepun 2011, yang merupakan percubaan pertamanya memandu dalam rali di atas permukaan tar.

Jentera rali Cusco Satria Neo Group N ini juga mencatatkan kenangan manis buat Juara Dunia WRC Group N 2002, Karamjit Singh. Setelah menyepi dari APRC selepas penampilan terakhirnya pada 2005, Karam kembali ke kejohanan tersebut pada pusingan kedua musim 2011, iaitu di Rali Queensland yang berlangsung di Australia pada 13 hingga 15 Mei.

Beliau terus memberikan impak besar pada kejohanan tersebut dengan menjadi juara kategori N2, meninggalkan Akira Bamba 4.5 minit di belakang, dalam masa yang sama menjadikan Satria Neo ini sebagai kereta rali 2WD terpantas sepanjang perlumbaan berkenaan. Karamjit turut meraih tempat ke-sembilan secara keseluruhan yang rata-rata di dominasi jentera jauh lebih berkuasa seperti Mitsubishi Lancer Evo dan Subaru WRX.

Kereta ini terus membuat penampilan di rali-rali sekitar Jepun sehingga tahun 2013, dan menyepi selepas itu. Namun pada April lalu, salah satu daripadanya telah muncul di laman lelongan kereta terpakai di Jepun. Tak dapat dipastikan unit yang mana satu kerana nombor pendaftarannya telah ditanggalkan, dan bidaan dibuka pada harga sekitar RM17k.

youtube

Satria Neo Cusco N2 – kisah pahlawan di bumi Jepun Pada tahun 2006, Proton memperkenalkan Satria Neo, iaitu hatchback yang menggantikan model generasi pertama Proton Satria yang berada dalam produksi dari tahun 1994 hingga 2005.

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unedtest-blog · 6 years

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BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE : Le premier Comité stratégique de l’Economie sociale et solidaire s'est réuni

infos-dijon.com - La première réunion a eu lieu ce mardi 3 avril à Besançon. Autour du vice-président Denis Hameau et du conseiller régional Francis Cottet, le comité a permis de dresser un bilan de l’action régionale depuis le début du mandat et de recueillir les attentes et les besoins d’adaptation de l’écosystème de l’ESS.

La liste des présents au comité stratégique de l’Economie sociale et solidaire :

Communiqué de la région Bourgogne-Franche-Comté :La Région Bourgogne-Franche-Comté, cheffe de file en matière de développement économique, a mis en place une instance de dialogue avec les têtes de réseau de l’Economie sociale et solidaire (ESS) dont la première réunion s’est tenue mardi 3 avril, à Besançon. Voulue par la Présidente de Région pour apporter souplesse et proximité dans le dialogue entre la collectivité et les acteurs de l’ESS, elle se réunira tous les six mois.Denis Hameau, vice-président de la Région Bourgogne-Franche-Comté en charge de l’Economie sociale et solidaire, et Francis Cottet, conseiller régional en charge de l’Innovation sociale, ont reçu une vingtaine de représentants des structures de l’ESS*. Etaient notamment représentés la Chambre régionale de l’ESS (CRESS), l’Union régionale des sociétés coopératives et participatives (URSCOP), le secteur de l’aide à domicile, le réseau France Active, ou encore la Fédération des entreprises d’insertion et le Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves).Le comité a permis de dresser un bilan de l’action régionale depuis le début du mandat et de recueillir les attentes et les besoins d’adaptation de l’écosystème de l’ESS. Les élus ont ensuite souhaité entendre les réseaux sur les dynamiques collectives qu’il convient de lancer ou d’accélérer. Il a aussi été question de l’accélérateur national de l'innovation sociale et l'initiative French Impact lancés par le Gouvernement en janvier 2018, de l’action en faveur des mobilités solidaires et inclusives en particulier dans les territoires ruraux, et de la finance participative et citoyenne.Le vice-président Denis Hameau a précisé : «Le développement de l’ESS nécessite une écoute attentive et une innovation constante dans les rapports que la Région entretient avec les acteurs, que ce soit les entrepreneurs sociaux, l’aide à domicile, les investissements structurants, la promotion de ce qui se fait et qui fonctionne. Nous voulons aussi, sans sortir des cadres, avoir une plus grande agilité sur certains sujets, comme le lien avec les outils nationaux, la lutte contre les « zones blanches » de mobilité ou bien encore l’appropriation des moyens de la finance solidaire par nos territoires.»En 2018, le budget régional en faveur de l’ESS s’élève à 8,6 millions d’euros et à 5 millions d’euros en faveur de la vie associative. En 2017, toutes politiques confondues, la Région a accordé 173,2 millions d’euros à 800 associations et à 24 coopératives, soit 13 % du budget régional.- Tatiana Desmaret, CRESS-Fabrice Azevedo, URSCOP- Benjamin Magnen, MOUVES- Christophe Lauriau, PRADIE- Hubert Belz et Anaïs Camus, Fédération des entreprises d’insertion Bourgogne-Franche-Comté- Jean-Christophe Thiolot, Chantier école Bourgogne-Franche-Comté- Gwenola Dumond, UNA - CPREFP- Laïla Fikri, ADMR- Corinne Girard, UNIDOM21- Laurence Meinier, Délégation régionale pour la fédération nationale ADESSADOMICILE- Frédéric Menard, Coursive Boutaric- Jean-Marie Le Bretton et Frédéric Cusco, Franche-Comté Active- Pierre-François Bernard, Clus’ter Jura- Thomas Buffard, Go’Up- Fabrice Penasse, Pôle d'économie solidaire de Côte d'Or- Gonzague Laurent, Bourgogne Active- Annie Vital et Sylvie Torres, Active 71

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mvpmotorsports · 7 years

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