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#Durabilité du régime végétalien
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Les dangers de l'industrie laitière : Impact sur la santé humaine et environnementale
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Les dangers de l'industrie laitière sont un sujet d'une importance croissante dans le monde contemporain. Les gens consomment des produits laitiers à un rythme sans cesse croissant, mais il est essentiel de comprendre les implications de cette industrie sur notre santé humaine et notre environnement. Les dangers de l'industrie laitière ne sont pas seulement limités à la santé individuelle, mais ils ont également un impact dévastateur sur l'écosystème dans son ensemble.
Dans notre société moderne, l'industrie laitière est omniprésente. Des produits laitiers tels que le lait, le fromage, le yaourt et le beurre sont consommés quotidiennement par des millions de personnes à travers le monde. Cependant, ce que beaucoup ne réalisent pas, ce sont les dangers cachés associés à cette industrie.
Tout d'abord, examinons les dangers de l'industrie laitière pour la santé humaine. De nombreuses études ont montré un lien entre la consommation de produits laitiers et divers problèmes de santé, notamment l'obésité, les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et même certains cancers. Les produits laitiers contiennent souvent des niveaux élevés de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut contribuer à des problèmes de santé graves. De plus, les produits laitiers peuvent être une source de contamination bactérienne, ce qui peut entraîner des maladies d'origine alimentaire.
En ce qui concerne l'impact environnemental, les dangers de l'industrie laitière sont tout aussi préoccupants. La production laitière nécessite d'immenses quantités de ressources naturelles, notamment de l'eau et de la terre arable. De plus, l'élevage de vaches laitières est une source majeure de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique. L'industrie laitière est également associée à la déforestation, à la pollution de l'eau et à la perte de biodiversité.
Malgré ces dangers, l'industrie laitière continue de prospérer, alimentée par une demande mondiale croissante de produits laitiers. Cependant, il est impératif que nous prenions des mesures pour atténuer les effets néfastes de cette industrie sur notre santé et notre environnement. Cela pourrait impliquer une réduction de la consommation de produits laitiers, ainsi que des changements dans la manière dont ces produits sont produits et distribués.
En conclusion, les dangers de l'industrie laitière sont réels et méritent notre attention. Nous devons reconnaître les implications de notre consommation de produits laitiers et prendre des mesures pour réduire les effets néfastes sur notre santé et notre planète. En prenant des décisions éclairées et en soutenant des pratiques agricoles durables, nous pouvons contribuer à créer un avenir plus sain et plus durable pour tous.
https://enkling.com/read-blog/32918_les-risques-pour-la-sante-de-la-viande-et-des.html
https://freeline.mn.co/posts/56002100
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omagazineparis · 1 year
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Plaisir gourmand et éthique avec le bonbon vegan
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Les vitamines Sugarbearhair sont une solution afin d’améliorer votre bien-être sur trois niveaux différents. Peut-être que vous connaissiez déjà le petit ourse bonbon qui a cartonné sur les réseaux sociaux. Parce que, oui, beaucoup de stars ont été vu faire de la promotion pour cette marque. Y a-t-il une réelle substance derrière le buzz autour des bonbons vegans, ou est-ce simplement du bruit? Pourquoi adopter le bonbon vegan ? Les bonbons vegans sont une alternative sans cruauté et respectueuse de l'environnement aux bonbons traditionnels, en évitant les ingrédients d'origine animale tels que la gélatine, le carmin et certains types de sucre raffiné. Les bonbons vegans sont fabriqués à partir d'ingrédients d'origine végétale, y compris des édulcorants comme le sirop d'agave ou le sucre de coco, et des gélifiants comme l'agar-agar ou la pectine. Ces confiseries colorées et savoureuses peuvent rivaliser en goût avec leurs homologues non vegans, proposant une grande variété de saveurs, de textures et de formes. Des bonbons gélifiés aux caramels mous, en passant par les chocolats fondants, les options vegans sont nombreuses et diversifiées. L'évolution des bonbons vegans reflète une tendance plus large dans la société vers un régime alimentaire et un mode de vie plus conscients et respectueux des animaux. Ces friandises sont non seulement adaptées aux personnes suivant un régime végétalien, mais elles répondent aussi à un public plus large qui s'engage pour la durabilité, la santé et l'éthique animale. Toutefois, il est important de se rappeler que même si ces bonbons sont vegans, ils restent des produits sucrés et doivent être consomm��s avec modération. En conclusion, les bonbons vegans sont une délicieuse preuve que le plaisir des friandises peut être respectueux des animaux et de l'environnement. Sugarbearhair: le bonbon vegan le plus connu Sugarbearhair est une entreprise américaine fondée par Nicole Nightly en 2015. Elle est restée pour plusieurs années la marque de vitamine bestseller sur Amazon. En premier, l'offre qu'elle proposait c'était que pour la santé des cheveux et des ongles. Mais ensuite la gamme de produits s'est élargi en proposant des autres traitements.Les bonbons sont disponible en ligne. Il faut savoir qu'une boîte contient 60 bonbons, c'est le traitement pour 30 jours. Donc, l'assomption est de 2 bonbons par jour. Un traitement de 3 mois est conseillé pour avoir des vrai résultats. Surtout que lorsque de votre commande vous pouvez trouver des paquets qui sont plus économiques et qui incluent des accessoires. Les prix commencent à partir de 27,07€ pour une seule boîte de bonbon. Vitamine care L’ours bonbon rose est celui qui cherche à compléter l’assomption de vitamines journalière car c’est un vrai multi-vitaminiques. Faites attention si vous êtes en train de consommer un type de vitamines pour éviter des overdoses. ©sugarbearhair Bonbon vegan hair care L’ours bonbon turquoise soigne les cheveux et les ongles. Protection, réparation, fortification et santé général sont les caractéristiques principales que Sugarbearhair vous rapporte. ©️sugarbearhair Sleep Care L’ours bonbon violet est dédié aux personnes qui souffre d’insomnie ou qui juste ont du mal à s’endormir. ©sugarbearhair Essentiellement, ces bonbons sont aussi bons que bénéfiques pour la santé, alors testez-les sans hésiter! Si vous êtes intéressées par l'assomption de vitamines, lisez également Carences: s'en débarrasser rapidement Read the full article
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alancienneco · 5 years
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Les légumineuses, ces superstars oubliées
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   Les légumes secs représentent un groupe d’aliments comptant environ 40 espèces différentes (flageolets, lentilles, pois chiches, pois cassés etc.). Ils sont cultivés et consommés depuis le Xème millénaire avant J.C. Leur place centrale au sein de l’alimentation humaine se justifie de par leur aspect économique, l’énergie qu’ils fournissent, et leur facilité de conservation. Aujourd’hui 31,7% des hommes et 27,9% des femmes consomment des légumineuses selon l’INRA. Ces chiffres s’accroissent sur les 10 dernières années de notre siècle, poussés par décision de l’ONU de faire de 2016 une année internationale des légumineuses.  En effet ces féculents étaient mis de cotés au milieu du XXème siècle. On estime que leur consommation est passée de 7,3 kg à 1,4 kg par personne et par an entre 1920 et 1985. Aujourd’hui les chiffres se stabilisent autour de 1,42 kg en France. On observe un engouement certain de la part des consommateurs, des nutritionnistes et des gastronomes jugeant bonnes les légumineuses pour la santé et “tendance”.
Un autre aspect rentre en ligne de compte: à l’heure de la transition agroécologique, il est important de rappeler que l’empreinte carbone des légumineuses est clairement moins importante que celle de produits de grande  consommation du quotidien (céréales, colza et pommes de terre) et par ailleurs  il faut 100 fois plus d’eau pour produire 1 kg d’un aliment d’origine animale que pour produire 1 kg de légumes secs.
Mais qu’apportent d’un point vue nutritionnel ces aliments passés mode, laissés de côté par le consommateur il y 10 ans,  et dont la cote explose aujourd’hui?
Souvent associés à des plats traditionnels du terroir et riches en énergie type cassoulet ou petit salé aux lentilles, les légumineuses ont mauvaise réputation. Une vieille légende urbaine les accuserait de faire grossir: de peser sur l’estomac il serait donc à proscrire dans le cadre d’un régime hypoénergétique. Ceci est FAUX!
Ces aliments sont des  trésors nutritionnels de part leur teneur importante en protéines végétales qui constituent 25% de la valeur énergétique de l’aliment.  Il est donc possible de réduire la viande pour la planète et sa santé, sans être exposés à des carences, au profit des légumineuses.
Continuons avec les glucides complexes, à 50% de la composition de la denrée,  ceux-ci sont satiétogènes car ils représentent principalement des amidons.
Concrètement, leur consommation permet d’éviter la sensation de faim pendant la journée, et donc le grignotage. Petit “tips” pour perdre quelques kilos superflus. Il est important de ne pas confondre les glucides simples (le sucre) et les glucides complexes qui doivent obligatoirement être cuits pour pouvoir être consommés (l’amidon). Ces derniers agissent différemment dans l’organisme car ils ont un index glycémique de bas à modéré, versus les glucides simples avec un IG modéré à élevé. Les légumes secs permettent donc d’éviter les hyper et/ou hypoglycémie après leur consommation lors de la journée.
Ils sont également riches en minéraux (fer, calcium, magnésium etc.), en vitamines du groupe B. Et surtout, ils sont une source très importante de fibres solubles qui permettent de lutter contre la constipation, et avec un haut pouvoir satiétogène. Les fibres permettent ainsi d’être rassasié plus rapidement lors de la prise du repas et plus longtemps.
Résultat on arrête spontanément le grignotage pendant la journée!
Cerise sur le gâteau, selon plusieurs études les fibres joueraient un rôle protecteur dans la prévention du cancer colorectal devenu l’un des cancers les plus fréquents dont les causes sont essentiellement: le manque d’activité physique, la constipation et surtout la junk-food et les aliments issus de l’agroalimentaire dépourvus de tout intérêt nutritionnel, chargés en acides gras saturés (mauvais lipides), en sucres simples et en sel d’ajout. Bref c’est le cancer 2.0 que l’on peut écarter avec une alimentation saine et variée, mais vous connaissez la chanson. Les légumineuses ont donc des propriétés fantastiques, et présentent plus d’un aspect positif!
Oui mais… il y a les flatulences.
Une zone d’ombre vient entacher ce merveilleux tableau: les troubles digestifs. En effet, les légumineuses sont largement redoutées car ce sont des aliments fermentescibles, c’est à dire que les substances de ces aliments ne sont pas digérés par notre intestin car nous ne disposons pas d’enzyme pour le faire. Du coup ces substrats se retrouvent dans le côlon, consommés par des petites bactéries non pathogènes naturellement présentes dans la flore colique, et entraînant alors le drame: dans le meilleur des cas des ballonnements gênants et dans le pire un concert de flatulences. Tout d’un coup les pois chiches, lentilles beluga et tous leurs petits copains paraissent moins glam... Mais il n’y a pas à s’en faire, ce phénomène est facilement évitable:
Astuce n°1:  Faire une première cuisson, départ à l’eau froide avec un grand volume d’eau, et surtout sans de sel ajouté pendant 30 min. Puis procéder à une deuxième cuisson définitive avec une nouvelle eau 15 à 20 min selon les légumineuses.
Astuce n°2: Faire tremper les légumineuses dans un saladier d’eau froide la veille de leur cuisson.
Astuce n°3: Faire cuire les légumineuses avec des épices et des aromates (cumin, cardamone, fenouil et romarin), car ils empêchent la création de gaz dans l’intestin.
Easy d’éviter les flatulences non?
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Pour celles en boîte de conserve, il suffit de les rincer avant de les réchauffer!
En plus de cette multitude intérêts nutritionnels, les légumineuses sont économiques, avec une date de durabilité très longue, pratiques de stockage et peuvent convenir à toutes les populations, et s’inscrivent dans une dynamique agroécologique.
On peut les intégrer plus fréquemment dans certains régimes: végétarien, végétalien pour un bon apport en protéines et ainsi satisfaire les besoins nutritionnels conseillés; et dans le cadre de pathologies maladie coeliaque, dyslipidémie, diabète de type II, constipation récurrente, colopathie fonctionnelle…
En bref, on recommande une consommation de légumineuses à raison de deux fois par semaine.
Avec un peu de créativité, il est très facile d’en consommer régulièrement, quelques pois chiches dans une salade, réinventer le daal à sa sauce, et accompagner une portion de légumes avec des pois cassés  ou des flageolets agrémentés d’épices et d’aromates.
On espère vous avoir mis l’eau à la bouche! ;)
Sophie pour Alancienne 
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
La Goldsmiths University of London est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits à base de viande bovine des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement radical dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement que possible. possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant: «En supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à adopter une alimentation plus saine.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne sont pas à l'origine du réchauffement climatique La justification principale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle de climat informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une partie modeste de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien avec une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas empiéter sur la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d'expérimentation pour les personnes désireuses dans le but d'éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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Les Avantages du Véganisme pour la Santé : Comment une Alimentation Sans Produits Animaux Peut Améliorer Votre Bien-être
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Le véganisme est bien plus qu'un simple régime alimentaire; c'est un mode de vie qui exclut l'utilisation de tout produit d'origine animale, y compris la viande, les produits laitiers, les œufs et même le miel. Les avantages du véganisme pour la santé sont nombreux et bien documentés, et adopter ce mode de vie peut avoir un impact significatif sur votre bien-être général.
Une alimentation végétalienne est naturellement riche en fibres, en antioxydants et en nutriments essentiels tels que les vitamines C et E, ainsi que le magnésium et le potassium. Ces éléments nutritifs sont connus pour leur capacité à renforcer le système immunitaire, à favoriser une peau saine et à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
En évitant les produits d'origine animale, vous réduisez également votre consommation de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut aider à prévenir les maladies cardiaques et à abaisser votre taux de cholestérol sanguin. De plus, les régimes végétaliens ont été associés à une meilleure gestion du poids et à un risque réduit d'obésité, ce qui peut avoir des avantages considérables pour la santé à long terme.
Les avantages du véganisme pour la santé ne se limitent pas seulement aux aspects physiques, mais s'étendent également à la santé mentale. De nombreuses personnes qui adoptent un mode de vie végétalien rapportent une amélioration de leur bien-être émotionnel, une plus grande clarté mentale et une augmentation de l'énergie. En outre, la compassion envers les animaux et l'environnement qui sous-tend le véganisme peut contribuer à un sentiment de satisfaction personnelle et à un état d'esprit positif.
L'une des préoccupations courantes concernant le véganisme est la possibilité de carences nutritionnelles, en particulier en ce qui concerne les protéines, le calcium et la vitamine B12. Cependant, avec une planification appropriée et une alimentation variée, il est tout à fait possible d'obtenir tous les nutriments nécessaires à partir d'une alimentation végétalienne équilibrée. De plus, de nos jours, il existe de nombreuses alternatives végétales aux produits d'origine animale, ce qui rend plus facile que jamais de suivre un régime végétalien tout en maintenant une alimentation nutritive et délicieuse.
En conclusion, les avantages du véganisme pour la santé sont multiples et variés. Adopter une alimentation sans produits animaux peut non seulement améliorer votre santé physique en réduisant le risque de maladies chroniques, mais aussi favoriser un bien-être émotionnel et mental optimal. En embrassant le véganisme, vous contribuez également à la protection des animaux et de l'environnement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire de gratification personnelle à ce mode de vie éthique et durable.
https://www.quora.com/profile/Tonu-55/D%C3%A9forestation-et-industrie-de-la-viande-Les-liens-souvent-ignor%C3%A9s-La-d%C3%A9forestation-et-lindustrie-de-la-viande-http
https://tannda.net/read-blog/60098_demystifier-le-mythe-des-proteines-explorer-les-differentes-sources-et-beins-nut.html
https://www.adlocalpages.com/pro/20240502184910
https://network-66643.mn.co/posts/56000332
https://www.osogbo.com/pro/20240502125339
https://www.addonface.com/read-blog/57284_les-bienfaits-pour-la-sante-et-la-durabilite-du-regime-vegetalien-un-avenir-meil.html
https://geoamor.com/read-blog/16182_analyse-des-couts-environnementaux-de-l-039-industrie-de-la-viande-impact-sur-la.html
https://mighty-men.mn.co/posts/56000479
https://pig-landtin.mn.co/posts/56000630
https://mynetsohbet.mn.co/posts/56000669
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omagazineparis · 1 year
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Plaisir gourmand et éthique avec le bonbon vegan
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Les vitamines Sugarbearhair sont une solution afin d’améliorer votre bien-être sur trois niveaux différents. Peut-être que vous connaissiez déjà le petit ourse bonbon qui a cartonné sur les réseaux sociaux. Parce que, oui, beaucoup de stars ont été vu faire de la promotion pour cette marque. Y a-t-il une réelle substance derrière le buzz autour des bonbons vegans, ou est-ce simplement du bruit? Pourquoi adopter le bonbon vegan ? Les bonbons vegans sont une alternative sans cruauté et respectueuse de l'environnement aux bonbons traditionnels, en évitant les ingrédients d'origine animale tels que la gélatine, le carmin et certains types de sucre raffiné. Les bonbons vegans sont fabriqués à partir d'ingrédients d'origine végétale, y compris des édulcorants comme le sirop d'agave ou le sucre de coco, et des gélifiants comme l'agar-agar ou la pectine. Ces confiseries colorées et savoureuses peuvent rivaliser en goût avec leurs homologues non vegans, proposant une grande variété de saveurs, de textures et de formes. Des bonbons gélifiés aux caramels mous, en passant par les chocolats fondants, les options vegans sont nombreuses et diversifiées. L'évolution des bonbons vegans reflète une tendance plus large dans la société vers un régime alimentaire et un mode de vie plus conscients et respectueux des animaux. Ces friandises sont non seulement adaptées aux personnes suivant un régime végétalien, mais elles répondent aussi à un public plus large qui s'engage pour la durabilité, la santé et l'éthique animale. Toutefois, il est important de se rappeler que même si ces bonbons sont vegans, ils restent des produits sucrés et doivent être consommés avec modération. En conclusion, les bonbons vegans sont une délicieuse preuve que le plaisir des friandises peut être respectueux des animaux et de l'environnement. Sugarbearhair: le bonbon vegan le plus connu Sugarbearhair est une entreprise américaine fondée par Nicole Nightly en 2015. Elle est restée pour plusieurs années la marque de vitamine bestseller sur Amazon. En premier, l'offre qu'elle proposait c'était que pour la santé des cheveux et des ongles. Mais ensuite la gamme de produits s'est élargi en proposant des autres traitements.Les bonbons sont disponible en ligne. Il faut savoir qu'une boîte contient 60 bonbons, c'est le traitement pour 30 jours. Donc, l'assomption est de 2 bonbons par jour. Un traitement de 3 mois est conseillé pour avoir des vrai résultats. Surtout que lorsque de votre commande vous pouvez trouver des paquets qui sont plus économiques et qui incluent des accessoires. Les prix commencent à partir de 27,07€ pour une seule boîte de bonbon. Vitamine care L’ours bonbon rose est celui qui cherche à compléter l’assomption de vitamines journalière car c’est un vrai multi-vitaminiques. Faites attention si vous êtes en train de consommer un type de vitamines pour éviter des overdoses. ©sugarbearhair Bonbon vegan hair care L’ours bonbon turquoise soigne les cheveux et les ongles. Protection, réparation, fortification et santé général sont les caractéristiques principales que Sugarbearhair vous rapporte. ©️sugarbearhair Sleep Care L’ours bonbon violet est dédié aux personnes qui souffre d’insomnie ou qui juste ont du mal à s’endormir. ©sugarbearhair Essentiellement, ces bonbons sont aussi bons que bénéfiques pour la santé, alors testez-les sans hésiter! Si vous êtes intéressées par l'assomption de vitamines, lisez également Carences: s'en débarrasser rapidement Read the full article
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
La Goldsmiths University of London est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits à base de viande bovine des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement d'étape dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement que possible. possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant que «en supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à manger plus sainement.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne sont pas à l'origine du réchauffement climatique La justification principale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle de climat informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une modeste partie de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien à une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas empiéter sur la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d'expérimentation pour les personnes désireuses dans le but d'éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
La Goldsmiths University of London est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits à base de viande bovine des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement d'étape dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement que possible. possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant que «en supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à manger plus sainement.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne sont pas à l'origine du réchauffement climatique La justification principale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle de climat informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une modeste partie de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz �� effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien à une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas empiéter sur la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d'expérimentation pour les personnes désireuses dans le but d'éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
L'Université Goldsmiths de Londres est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits du boeuf des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement d'étape dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement que possible. possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant que «en supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à manger plus sainement.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne sont pas à l'origine du réchauffement climatique La justification principale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle de climat informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une modeste partie de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien à une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas empiéter sur la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d'expérimentation pour les personnes désireuses dans le but d'éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
La Goldsmiths University of London est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits à base de viande bovine des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement radical dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement que possible. possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant: «En supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à adopter une alimentation plus saine.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne sont pas à l'origine du réchauffement climatique La justification principale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle de climat informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une modeste partie de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien à une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas empiéter sur la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d'expérimentation pour les personnes désireuses dans le but d'éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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La bureaucratie sur la viande rouge: les universités britanniques retirent le boeuf des menus
La Goldsmiths University of London est devenue le premier établissement d'enseignement au Royaume-Uni à retirer tous les produits à base de viande bovine des magasins et cafés du campus, dans le but de «lutter contre le changement climatique». Cela est arrivé quelques jours après qu'un rapport spécial des Nations Unies sur le changement climatique ait plaidé pour l'élimination du bœuf de notre alimentation afin de lutter contre le changement climatique. La décision de l'école d'interdire le bœuf a été motivée principalement par la décision du nouveau directeur des orfèvres, le professeur Frances Corner. "L'appel mondial croissant pour les organisations à prendre au sérieux leurs responsabilités pour arrêter le changement climatique est impossible à ignorer", a déclaré Corner. «Bien que je sois à peine arrivé chez Goldsmiths, il est immédiatement évident que notre personnel et nos étudiants se soucient passionnément de l'avenir de notre environnement et qu'ils sont déterminés à contribuer au changement radical dont nous avons besoin pour réduire notre empreinte carbone de manière drastique et aussi rapidement possible." Sans viande n'est pas un nouveau concept dans les universités britanniques. Certains l'ont pratiqué dans une moindre mesure, et d'autres plaident pour le véganisme. L’Université d’East Anglia - où j’ai obtenu mon diplôme de maîtrise en sciences de l’environnement et où a eu lieu le scandale Climategate - avait eu des «lundis sans viande». L'université affirme que les lundis sans viande «démontrent les avantages pour la santé d'un régime sans viande et aident les individus à comprendre qu'ils peuvent réduire leur empreinte carbone en évitant tous les produits d'origine animale». En 2017, l'Université de York a organisé des lundis sans viande, déclarant: «En supprimant la viande de votre alimentation un jour par semaine, vous pouvez aider à réduire les gaz à effet de serre et à manger plus sainement.» L'Imperial College de Londres avait également de la viande - les lundis gratuits en janvier de cette année. Plus récemment, Dave Gorman, directeur de la responsabilité sociale et de la durabilité à l'Université d'Edimbourg, a déclaré que l'université visait à devenir végétarienne à 50%. "Nous visons à nous déplacer vers la moitié de toutes les options de menu dans nos cafés végétariens ou végétaliens", a-t-il tweeté. Mais ces universités ont commis au moins deux grosses erreurs en plaidant pour des journées sans viande, le véganisme et une interdiction de la viande rouge. Les émissions de l'industrie bovine ne conduisent pas au réchauffement climatique La justification fondamentale de l'interdiction du bœuf est le lien entre le bœuf et les émissions de gaz à effet de serre et la façon dont ils augmentent la température mondiale. Mais la contribution du méthane au réchauffement est très minime et l’industrie bovine ne cause aucune différence au réchauffement. Malgré une augmentation significative des émissions de gaz à effet de serre, à la fois de l'industrie bovine et de la combustion du charbon, la température mondiale n'a pas atteint les niveaux (dangereux) prévus au cours des 16 premières années de ce siècle. L'ampleur du réchauffement supposé par l'ONU a toujours été incorrecte. Les mesures des thermomètres et des satellites révèlent que la température moyenne mondiale réelle n'a jamais atteint les niveaux prévus dans les rapports des Nations Unies sur le changement climatique. Les scientifiques travaillant avec l'ONU l'ont confirmé lorsqu'ils ont relevé les erreurs dans leurs prévisions de modèle climatique informatique. Même si nous supposons que la température moyenne mondiale augmentait dangereusement, la réduction du bœuf dans notre alimentation ne fait pas beaucoup de différence. Matt Ridley du Telegraph note que «même si l'occidental moyen abandonnait complètement la viande, cela réduirait ses émissions totales de seulement 4,3%. En effet, la nourriture ne représente qu'une modeste partie de nos émissions. »Aux États-Unis, par exemple, toute l'industrie de l'élevage a contribué à hauteur de 3,9% à l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du pays. La police morale est inacceptable Les lundis sans viande ne concernent pas seulement les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi l'imposition d'un régime végétarien aux masses. Le fait même que les universités aient mélangé un régime végétarien à une interdiction du bœuf - tout en n'approuvant pas les viandes blanches, comme le poulet ou le poisson - indique leur intention de contrôler moralement les mangeurs de viande. De plus, les préférences alimentaires sont une affaire privée individuelle. L'État ou l'institution ne peut pas porter atteinte à la vie personnelle d'un individu. La viande rouge fait partie de notre alimentation depuis les premiers jours de la civilisation humaine, bien avant que nous ne domestiquions les plantes sauvages par l'agriculture pour produire des fruits et des légumes. Il est juste de conclure que l'interdiction du bœuf et le fait de forcer les jeunes à se passer de viande sont des mesures immatures des universités qui devraient être des centres de raison et d'intelligence. Au lieu de cela, ils sont devenus des terrains d’essai pour les personnes désireuses dans le but d’éteindre une urgence climatique imaginaire. Cet article a été initialement publié dans Clash Daily. Photo de Jakub Kapusnak sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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