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#Serre moi fort
enterfilm · 2 years
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SERRE MOI FORT (Mathieu Amalric, 2021)
“On recommence”
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moviemosaics · 1 year
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Hold Me Tight
directed by Mathieu Amalric, 2021
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letterboxd-loggd · 1 year
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Hold Me Tight (Serre moi fort) (2021) Mathieu Amalric
Juine 14th 2023
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deprotagonisten · 1 year
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Mijn tien beste films van 2022!
Onderstaande de voor mij tien beste films van 2022. Dit keer op volgorde, van nummer tien naar nummer een. Voor de liefhebbers toch nog een keer #raaddefilmposter(s). Na de klik vind je de goede antwoorden. Tenzij je de filmposters uiteraard al herkent!
In vergelijking met vorig jaar, heb ik ongeveer de helft minder aan films gezien. Een bioscoop zie ik eigenlijk ook nooit meer van binnen. Padellen (ja, ook ik), wielrennen, mijn gezin (nummer twee komt in februari) en vrienden en familie gaven dit jaar de gewenste energie. En mijn bestie en medeprotagonist met wie ik altijd naar de film ging, woont inmiddels op anderhalf uur rijden. Dat neemt…
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yoymialterego · 2 years
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Cine al menguar la pandemia: Serre Moi Fort
Como director Mathieu Amalric apuesta fuerte por el riesgo formal en su nueva cinta "Serre Moi Fort" y logra una película impecable, que cristaliza con mucho estilo una enrarecida mezcla de imaginación y realidad, y que juega con finura mostrando la delgada línea entre lo que es y lo que quizá sea.
La obra tiene un sobresaliente diseño de sonido y una puesta visual impresionante, además de una edición audaz, pero tiene sobre todo un elenco superior donde destaca especialmente la protagonista Vicky Krieps, quien está soberbia en la representación de esta madre en ausencia que debe emprender una conciliación con la desgracia.
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Apunto desde ya que "Serre Moi Fort" no es una cinta del todo asequible, y que las pistas que aporta el autor para seguir la historia están fragmentadas y diluidas en el vórtice de su elaborado estilo. Pero eso antes que jugar en contra puede jugar a nuestro favor, porque bien podemos dejarnos llevar por el flujo de la corriente que generan las bellas escenas que dirige Amalric.
Cuando vemos a Clarisse (Krieps), una mujer que cierta mañana sin más abandona casa, esposo e hijos para ir en busca de… no sé… ¿aventuras?, ¿emancipación?, ¿simple reacción al hartazgo?, buscamos mentalmente de inmediato sus razones, y suponemos que, como sucede constantemente en el cine, alguien nos las dará. Amalric de alguna manera lo hace, pero con sus peculiares maneras formales. Vamos así sintiendo esa ahogada lucha contra la devastación que confronta Clarisse, y justo cuando esperamos ya ver terminada tal ensoñación de desasosiego, se nos ofrecen momentos clave que ayudan a esclarecer un tanto las pesquisas mentales que veníamos armando desde el principio.
Y bueno, aún así quizá uno no entiende del todo bien esta historia que parece ir y venir en el tiempo, pero es innegable que sus repercusiones son extraordinarias como obra cinematográfica.
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moznohayanie · 2 years
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映画「彼女のいない部屋」公式サイト
今月の観た映画紹介です。ネタバレ禁止なので「え、そこからやり直すんだ...! 」とか言っとく。虚実・時空が混然としている分、映像や音楽はとても端正。j.j.ケイルの隠れた名曲「チェリー」が悲しい。監督も来日されるようなので、ミニシアター系大丈夫な方はぜひ。
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cinemaforester · 1 year
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chashechki · 1 year
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microcosme11 · 9 months
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là. Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd’hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
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J'ai besoin d'un câlin, que l'on me serre fort dans les bras en me disant qu'on est là pour moi.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 116
Je range le pendentif et Jimmy qui arrive, s'étonne de mon piercing et me félicite que ça me va bien.
Après le repas, je le prépare. Lavement, épilation, lavement, puis je le plug. Le trajet en moto devrait faire son effet au travers de ce petit engin. Sous-vêtements sexy, jogging de marque et ma petite racaille est prête. Presque une heure de route (et pas à 90Km/h !) et je sonne chez mon client. Entre 30 et 40 ans, grand brun, carré. Il me tend mon enveloppe et menotte Jimmy les mains dans le dos, il voulait un trip " commissariat / arrestation ". Je mate et m'aperçois que Jimmy était sûrement déjà être passé par là car il était super naturel dans le rôle. Le client aussi, je vais me renseigner mais ce serait un vrai flic que cela ne m'étonnerais pas. Du coup discrètement avec mon portable je fixe quelques photos où son visage et l'action sont bien visibles. Je me crois dans un film porno. Jimmy s'est pris au jeu et il fait parfaitement la petite frappe embarqué pour trafic de shit. Il négocie sa liberté contre l'utilisation de son corps. On peut voir le paquet du mec, appuyé des fesses sur le bord de son bureau, gonfler et tendre le jeans de façon totalement indécente. Il finit par attraper la tête de Jimmy et à lui écraser le visage contre. Quand il sort son matériel, c'est impressionnant. Une grosse tige foncée avec les poils taillés très courts ce qui la rend encore plus imposante. Il prend la tête de Jimmy entre ses mains et lui enfonce son braquemart dans la gorge. Comme Jimmy tousse, il le claque (pas trop fort, ça va). Il continu et Jimmy s'adapte. Je le vois même aller au devant pour s'étouffer avec le gland. Il le fais se lever de sa chaise tout en maintenant la pipe. Plié en deux et ne pouvant se retenir avec ses mains, Jimmy est en bascule vers l'avant sur le sexe du mec. Il se trouve bientôt les fesses à l'air, le jogging repoussé juste en dessous d'elles. Le mec, une mains sur la tête de Jimmy pour la pipe, a utilisé l'autre pour tester son anus. Surpris par le plug, il me regarde. Je lui dis que je l'avais préparé. Il me remercie et tire dessus. Jimmy pousse un cri sourd (le gland du mec occupe toujours sa gorge) quand son anneau s'est dilaté brusquement. Après trois à quatre passages, le client a décidé de passer aux choses sérieuses et de l'enculer. Le torse plaqué sur le bureau, les mains toujours entravées dans le dos, Le faux/vrai flic lui a écarté les pieds. Puis les mains bien à plat sur chaque fesse, il les a écartées. J'osai lui rappeler la kpote avant qu'il ne l'oublie emporté par le trip. Il se couvre. Puis après avoir craché sur l'anus de Jimmy, force sa porte arrière. Jimmy mime un refus de la chose, gueulant qu'il était pas un PD, essayant d'y échapper en se tortillant. Le grand type le bloque d'une main sur son cou, l'appuyant sur le bureau et commence la pénétration. Je suppose que Jimmy serre son petit cul car malgré sa taille, il aurait pu rentrer plus vite si ce dernier l'avait voulu. Ce n'est qu'une fois la bite bien calée au fond de son cul que Jimmy abdique et laisse faire le mec tout en lui répétant " j'suis pas comme ça ", " pas PD ", assortis de " arrêtez Msieur ", " s'il vous plait "... Un vrai porno ! En attendant ça lui fait de l'effet au mec. Ses mains posées sur les hanches de Jimmy, il l'encule. Profitant bien de sa capacité à tout prendre, il écarte ses fesses pour aller plus profondément. D'après ce que je peux voir, il a l'air de prendre son pied grave ! Il le détache soudain mais c'est pour refermer les menottes par devant. Je comprends mieux quand il tourne Jimmy sur le dos, lui relève les jambes et reprend la sodo. Le mec est très résistant car il se passe une bonne heure avant qu'il ne jute.
Alors que Jimmy est sous la douche, le mec resté à poil discute un peu avec moi. Il est super bien foutu et me fait bander ! Je ne sais pas si j'aurais l'envie d'attendre d'être rentré à la maison pour me soulager dans Jimmy ! Il a bien apprécié le trip et me demande si je pourrais lui organiser le même trip avec plusieurs jeunes mecs. Dans ma tête je vois Ed et pourquoi ne pas récupérer temporairement Jean. Celui là, je suis sûr que ce genre de plan l'amuserait (en plus de la grosse teub du mec).
Je lui dis qu'il faut que je vois cela mais que si ça se fait, ce serait plutôt un mercredi ou un samedi après midi. Financièrement ce ne sera pas non plus la même chose avec deux mecs. Il me propose le double de la passe actuelle. Je fais mine de réfléchir et de lui même il triple. Là j'accepte. Il me demande si je pourrais pas lui en trouver plus. Je lui demande combien. Il me dit au moins un troisième et me propose direct un " contrat " multiplié par 4. En moi même je me dis que je vais y aller progressivement. Ça fera durer son trip plus longtemps et ça me rapportera plus ! Il m'emmène alors au sous sol de sa maison et me montre un commissariat en réduit. Un bureau avec machine à écrire, devant une chaise en bois avec des menottes accrochées au dossier, un radiateur en fonte accroché au mur pas très loin et, au fond, derrière des panneaux escamotables, une cellule à barreaux ;avec couchette en bois. J'admire l'installation. Il se coupe en me disant que c'est une reproduction fidèle de ce qui existe. Il s'enflamme en m'expliquant que comme cela il peut isoler un gars le laissant juste entendre ce qui se passe à côté sans voir. Ce qui peut être angoissant pour lui et donc le préparer psychologiquement à la suite. Il m'a l'air bien calé sur le sujet ! au jour dit, je veillerais à ce que ce soit Jean qui soit dans cette position, il est le plus costaud mentalement.
Quand nous remontons, Jimmy est prêt. Nous le quittons non sans que j'ai promis de le rappeler rapidement. Jimmy serré contre moi, malaxe mes couilles et ma bite qui n'avait pas besoin de cela pour bander. Du coup, arrêt dès la première aire de repos. Je le pousse dans les WC pour handicapés et juste la braguette relevée (because combi cuir), je baisse son jogging avec son slip pour l'enculer direct. C'est divin ! Depuis deux bonnes heures que je bande, je commençais à avoir mal aux couilles. Je le prends brutalement tellement je suis excité. Il apprécie, accroché au lavabo. La pression monte vite et je me lâche au fond de son cul. Je le branle et il jute dans le lavabo. ;Nous sortons casque sur nos têtes, heureusement car deux mecs étaient à la porte en train de nous écouter probablement, nous n'avions pas été des plus discrets !!
Le reste du retour s'est fait plus serein, malgré l'accrochage de Jimmy à mon paquet.
Quand nous sommes arrivés Marc était là. Juste le temps de poser la moto et le casque et j'étais dans ses bras. Il est trop mon mec ! Le patin a tellement duré que quand nous nous sommes décollés, Jimmy était parti à l'appart. Dans l'entrée, pendant que j'ôtais ma combi, il m'a pris l'oreille pour l'examiner. Un soupir a ponctué l'inspection. Une fois en shorty et T-shirt, je suis allé chercher l'écrin pour lui montrer le " caillou " puis je l'ai placé sur l'anneau en inox. J'étais à ce moment là un peu stressé en attendant le verdict. Il l'a bien senti et m'a fait attendre encore un peu. Finalement il a du avouer que ça ne m'allait pas trop mal. Je l'ai vite retiré pour ne pas l'énerver plus longtemps. Je n'ai pas attendu le soir pour me jeter sur lui. 4 jours sans lui, je suis en manque. Chemise arrachée, pantalon descendu sur les chevilles avec le slip, j'ai pu emboucher mon mâle. Trop bonne sa bite, directe au fond de ma gorge. Je me suis acharné à le pomper jusqu'à ce qu'il me gave. Calmés quelques instants, il m'a pris dans ses bras pour m'embrasser de nouveau. Je lui ai dit que je l'aimais, même si j'acceptais les cadeaux d'Emma. Il m'a traité de crétin. Comme je le sentais reprendre forme, je l'ai poussé dans un fauteuil et me suis assis sur lui. Une jambe sur chaque accoudoir, mes mains accrochées à ses épaules, je me suis laissé descendre doucement. Contact avec le gland, positionnement correct au centre de la cible, je sens qu'il mouille, puis pallier 3/4cm plus bas, histoire de me prendre le gland. La position statique ne peut pas durer, mes cuisses sont tendues. Quand je relâche mes muscles, je m'enfonce inexorablement sa queue au fond de mon trou. Assis sur ses cuisses, nous nous embrassons avidement, voracement, passionnément. Rapidement j'ai besoin que sa bite me ramone. Il m'aide un peu et c'est moi qui lime mon cul sur sa teub. De temps en temps il monte le bassin pour limiter le retrait mais dans l'ensemble je fais tout le travaille. Face à face, à chaque fois que je suis sur ses genoux, on se roule une pelle. Mais mes cuisses me tirent de plus en plus et nous changeons de position. J'écarte les objets posés sur la table basse et à genoux, y plaque mon torse. Marc écarte mes cuisses, avant de reprendre mon cul. Couché sur moi, il tire ma tête sur le coté et nous continuons à nous embrasser. Trop excité par nos retrouvailles, nous jouissons assez rapidement. Marc s'écroule sur moi ;le temps que nous récupérions quelques forces.
Plus tard, en slip dans la cuisine devant un café, nous nous sommes racontés les 4 jours d'absence de l'autre.
JARDINIER
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perduedansmatete · 8 months
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moi: je ne supporte pas qu'on me touche
aussi moi: j'ai trop besoin de câlin pourquoi j'ai pas de câlin hein pourquoi personne ne me serre super fort dans ses bras tous les soirs quand je rentre et même tout le temps dès que j'ai envie ????
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borgien · 1 year
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Je vais te mettre à genoux, à  mes pieds, poser ma main au-dessus de ta tête, appuyer doucement pour t'incliner devant moi, doucement te faire poser les lèvres sur mes escarpins, m' offrant ainsi la vue sur ton dos ...
T'imposer de garder cette position le temps que je ressente ton corps du bout de cette ceinture que je fais glisser lentement sur toi, de légers petits coups sur les fesse te font comprendre que je veux un accès à tes couilles...
Je glisse la ceinture entre tes fesses et redescend le long de ta croupe que tu me tends malgré toi, je serre les jambes, ta tête plaquée entre mes mollets ...
Tu ne bouges plus que  tes lèvres sur mes chaussures... 
Besoin de toucher, mes doigts appuient et entament un cheminement sur ta peau, la ceinture éprouve la fermeté de tes couilles par de petites tapes...
Mon corps se couche lentement sur ton dos, ma main approche tes couilles, l’autre s'ancre de mes ongles sur tes fesses, tendant la peau de ton cul vers le haut en même temps que mon autre main empoigne tes couilles pour les tirer vers le bas. Je resserre plus fort, tire plus loin... Je veux entendre tes râles. Je ne lâcherais qu'après les avoir obtenus... C'est à cet instant que je relâche tes couilles et que j’abats sur tes fesses une claque violente.
Je claque ton cul, le son de tes fesses qui rougissent sous mes mains me fait vibrer. Je  te sens tendre ton corps pour mieux résister. Mes mains deviennent chaudes , tes fesses se teintent de pourpre.
Oui j'aime te soumettre à Mes envies bien plus qu'à celles que tu me suggères parce j'aime laisser libre cours à Mes pulsions et là , j'ai envie du son de tes fesses sous mes mains...
Doucement , je fais remonter mes doigts le long de ton dos jusqu'à ta nuque. Je pose une main sur ta tête, l 'incline pour que ta joue se plaque au sol. Du pied je fais glisser la ceinture devant toi, je veux que tu la vois, qu'elle t'accompagne, qu'elle reste dans ton esprit comme la source du plaisir qui s'écoule de Moi...
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claudehenrion · 8 months
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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cinemaforester · 1 year
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chashechki · 1 year
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