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#Vallée de la Loire
wgm-beautiful-world · 3 months
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Château de Montreuil-Bellay, Vallée de la Loire, FRANCE
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jhesite · 9 months
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Château d'Amboise
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mypepemateosus · 9 months
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meta-holott · 2 years
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2007 France, vallée de la Loire.
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projet52tchou10 · 1 year
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Semaine 20 • En balade
Un thème qui tombait à point nommé, puisque nous avons profité de ce grand week-end de l'Ascension pour aller faire un petit tout dans l'Ouest. L'une de nos étapes a été Angers, dont je ne connaissais pas grand-chose en dehors du nom de sa gare et des photos de son château. Mais on voit souvent les mêmes, celles qui montrent les imposantes tours encadrant la Porte des Champs. Une petite balade au coucher du soleil nous a permis de découvrir un autre point de vue de ce bel édifice, surplombant la Maine et ses péniches.
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16th-century La Possonnière manor house in Vallée-de-Ronsard, Loire Valley region of France
French vintage postcard
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jamie-007 · 1 year
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Périple terminé 🤩
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votrevoyagefun · 25 days
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marie-chatelaine · 2 years
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Source Twitter
Survol de la vallée de la Loire avec les grues .
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mich-bois · 1 month
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LA HAUTE VALLÉE DE LA LOIRE.
Arlempdes.
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wgm-beautiful-world · 7 months
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CHAMBORD - CHÂTEAUX DE LA VALLÉE DE LA LOIRE - FRANCE
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jhesite · 26 days
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Cher public, ouvrez grand vos mirettes, car ce soir c'est cours de géographie. Effectivement, à part vous décrire le paysage, pas grand chose d'autre à dire sur cette journée de bus. Donc c'est parti :
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Comme vous le savez, le Chili est une longue bande de terre de 3400km, et large en moyenne de 180km. Et folles que nous sommes, nous avons l'attention de parcourir lesdits 3400km.
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Lors de notre observation approfondie par la vitre du bus, nous avons pu constater que les 800 premiers kilomètres se composaient d'un désert, répondant au doux nom de désert d'Atacama. Ce désert, coincé entre la mer et la cordillère des Andes, est sensé être le plus aride du monde, et nous confirmons cette observation. En effet, le réflexe nous vient tout naturellement de marcher de manière arythmique pour éviter de conjurer certains ver de terre aggressifs. Ici, la ressource locale n'est pas l'épice, mais plutôt le salpêtre, puis de nos jours principalement le cuivre et le lithium.
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Les flamands roses que nous avons vu hier profitent des salares, d'anciens lac plus ou moins asséché et riches en sel, pour y vivre leur vie. On aurait presque envie d'en prendre un dans notre sac pour lui montrer que la vie peut être plus verte ailleurs.
Vous pourrez noter sur cette photo que les déserts, c'est pratique pour dessiner à grande échelle.
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Place aux 800 prochains kilomètres maintenant : c'est une zone semi-desertique, parsemée ça et là de vallées fertiles.
Enfin, arrive Santiago (merci de noter que ceci est une figure de style, notre bus arrive réellement Santiago dans une dizaine d'heures). Région paraît il, au climat méditerranéen, où vit 75% de la population, chiffre qui ne peut que m'inquiéter quant au climat qui règne en Patagonie et en Terre de feu. C'est dans cette région que l'on trouve également de nombreux vignobles Chilien.
Et puisque l'on parle de vin, connaissez vous le carmenère ?
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Un gentil Chilien qui tenait absolument à partager sa bouteille nous a expliqué que c'était un cépage originaire du Bordelais. Après enquête, au XIXe siècle, un certain Silvestre Ochagavia a décidé d'importer des cépages du Bordelais et de la vallée de la Loire au Chili. Grand bien lui en as pris, puisqu'à la fin du XIXe, le phylloxera ravage les vignes françaises. Celles-ci sont remplacée par les vignes chiliennes importées précédemment, mais pas le Carmenère, qui disparut de la carte française.
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(on a trouvé de bons pains au chocolat juste avant le départ !)
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meta-holott · 7 months
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2007 France, funeral, vallée de la Loire
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cdnart · 2 years
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Marc-Aurele Fortin; Vallée de la Loire
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already-14 · 2 years
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L'intrigue de La Marraine du sel, comme celle de La Nuit du Rose-Hôtel, tient dans l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette ; mais comme son prédécesseur, le roman possède des charmes qui tiennent moins à la succession des moments qu'à la lente et subtile révélation d'une vérité soigneusement occultée, au risque de laisser son lecteur un peu trop vorace sur sa faim une fois arrivé à la dernière page. L'action brumeuse et comme passée au ralenti se déroule à Richelieu (Indre-et-Loire), dans ce « jardin de la France » que Max Ernst a si joliment peint : deux bras de fleuve caressant des jambes de femme en bas résille… Un représentant de commerce, Clair Harondel, tombe sous les charmes vénéneux de Mariette Allespic, jeune épouse du mercier local, dont la rumeur laisse à penser qu'elle posséderait des dons en sorcellerie. Et pas question de basculer dans un « ménage à trois » : le mari disparaît, emporté par une brusque et rapide maladie (que toute la ville aura vite traduite en autre chose), et l'envoûtement peut alors déployer toute sa puissance, lugubrement symbolisé par la fonte en plein soleil de deux mannequins de cire dans la vitrine de la mercerie. Mais, tout comme Prospero s'écriant "Now my charms are all o'erthrown", Mariette Allespic doit des années plus tard faire face à la perspective de sa propre mort, qui signifie aussi la fin de ses enchantements. Sorte d'Alcina des Pays de la Loire, elle laisse planer alors sur le pauvre Clair la menace d'un pacte par lequel sa fin signerait également la sienne.
C'est là que le livre débute, et c'est à partir de cette épée tranchante et invisible, planant au-dessus de l'étrange ville rectangulaire de Richelieu et de la tête de Harondel, que le rituel auquel se livre Maurice Fourré démarre, entre pensées circulaires ou angoissées et voyages oniriques se déplaçant dans le temps, sans qu'on sache jamais réellement qui parle, qui se trouve où, dans ce qui n'est pas une confusion, mais bien au contraire le petit labyrinthe maniériste et doucement inquiétant que Fourré bâtit mot après mot.
Tout comme La Nuit du Rose-Hôtel préparait longuement et superbement l'instant où le lecteur effleurerait enfin de sa pensée toute l'étendue de la réalité mystique qui entoure des protagonistes en apparence si triviaux, La Marraine du sel est la lente cristallisation, sous l'apparence d'un brouillard de paroles fleuries et enchanteresses, d'une inquiétude et d'un mystère qui ne peuvent trouver leur résolution que dans l'échappée d'un simple mot ou d'un seul nom. La conclusion du livre ne conclut rien du tout, et nous engage au contraire à tout reprendre à rebours, à reparcourir, dans l'étonnement, la toile d'araignée si finement tissée, et à goûter encore plus pleinement les cercles autour desquels Fourré navigue, un doigt levé masquant son sourire.
Un peu plus sévèrement, on pourrait dire que La Marraine du sel, ce n'est que ça, une atmosphère, un fantôme évanescent qui glisse entre nos doigts et qu'il ne tient qu'à notre désir de merveilleux, miraculeusement préservé dans le monde terne et triste, de suivre encore une fois. Maurice Fourré serait alors un de ces plaisirs coupables, totalement anachroniques, qu'on s'offre hors de tout sentier obligé, de toute téléologie littéraire, voire même loin de toute ambition forcenée pour le langage : rien que le plaisir des mots minutieusement choisis, orfèvrerie magique des vieilles provinces ensommeillées et bercées de légendes, goûtés les uns après les autres, dans la surprise des métaphores, des décrochages, des assemblements illuminés qu'on n'espérerait pas.
Miracle anachronique d'un homme écrivant comme un vieux briscard du symbolisme, étrangement égaré aux temps du Nouveau Roman et de l'engagement sartrien, pouvant même en remontrer niveau atemporalité rétrograde à un Julien Gracq (qui contribua à sa découverte, d'ailleurs) ; comme si l'explorateur du temps de H.G. Wells débarquait dans la vallée de la Loire, porteur d'amulettes et de phrasés d'une autre centurie…
Il y a bien sûr de quoi sérieusement rebuter le lecteur moderne, qui s'usera les sourcils à force de les froncer devant ces dialogues rhétoriques invraisemblables, ces descriptions extrêmement poétisées, ces brèves situations qui se figent et se transforment comme portées dans une autre dimension, pas tellement celle des collages grimaçants de Ernst que ce qu'on appelait autrefois le "style français", ce curieux mélange de limpidité et de poésie apaisée. Bon, je l'avoue, pas vraiment le genre de lectures à l'ordre du jour ; et j'aurais du mal à convaincre mes collègues amateurs de grands américains d'abandonner séance tenante leurs Sorokine et leurs Vollmann pour cette bizarrerie brillant comme une bougie sur une barque nocturne. Mais pourquoi s'en priver ? La comète descendante du surréalisme, dans les années cinquante, a donné peu de voix vraiment dignes de la génération qui les précédait. Si, pour ce qui est de la poésie, Jean-Pierre Duprey, à jamais caché Derrière son double, règne sans partage, protégé par la figure d'Ueline et surtout par la couleur « NOIR » à laquelle il a donné ses plus belles lettres de noblesse, le vieux Maurice Fourré, dans ce domaine de la fiction dont se défiaient tellement Breton et ses amis, a su apporter une touche d'inquiétante étrangeté, blottie entre les eaux de la trivialité et du sublime, qui n'appartient qu'à lui, et qui en fait une de ces "curiosités de bibliothèque" que certains lecteurs se mordraient les doigts d'ignorer.
Il ne nous reste plus qu'à organiser des manifestations devant l'hôtel de la rue Sébastien-Bottin pour que La Nuit du Rose-Hôtel, là où tout lecteur de Fourré se devrait de commencer, soit enfin réédité (dans la collection « L'Imaginaire », par exemple, où il fit une brève apparition il y a vingt ans), ses fenêtres et ses occupants enfin dotés d'une lumière nouvelle, et le nom de Fourré enfin réinsufflé de son aura si particulière, si doucement et inaltérablement "magnétique". Apprenant la mort de Fourré, André Breton écrivit : "L'œuvre de Maurice Fourré est prise dans ses gloires. Elle est de celles qu'on redécouvrira." Paroles que L'Arbre Vengeur a portées sur le bandeau rouge entourant leur petit dernier. Espérons juste que les mots de Breton accomplissent enfin leur portée prophétique.
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