Tumgik
#comment c'est profond
demimoon · 8 months
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"pour les 3 prochaines minutes, j'veux qu'on m'appelle Jimmy Punchline"
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borgien · 1 year
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Elle dit : « ainsi tu seras à ma merci, Si je le veux et quand je le voudrais, je saurais comment faire devenir ton sexe chaud et gonflé dans cet appareil, tu ne pourras pas m’arrêter. C'est pourquoi je détiendrais la clé. J’aurai le Pouvoir et le Contrôle. Je trouverais toujours de nouveaux moyens pour te tourmenter et te faire regretter de m’avoir donné cette clé. Je te rendais dur et ce que tu voudras à tout prix, c’est sortir, être caressé, jouir. Ta chasteté ne sear pas seulement physique. Elle sera aussi mentale et t’affectera au plus profond de toi... ».
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fieriframes · 11 months
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers." 
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ? 
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
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Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 133
Franck et les filles
Il est 13h quand j'émerge. Emma déjà prête me regarde dormir du fond d'un fauteuil du salon. Je m'étire langoureusement et lui fais signe de venir. Elle refuse de la tête. J'insiste. Elle me dit l'heure et me demande comment s'est passé la soirée. Je lui dit que nous avons fait un tour en voiture et fini à l'Indiana à se faire draguer par des minettes.
Douche, maillot, bermuda, polo et baskets et nous descendons au restaurant. Franck nous voit arriver et nous fait de grand signe pour que nous les joignons à lui et son grand père. Il salut Emma et me dit bonjour avec un grand sourire. Le grand père me remercie pour la bonne soirée que j'ai fait passer à son petit fils, il ne l'avait pas vu aussi gai depuis leur arrivée. Emma se tourne vers moi et je répond à sa question muette par un léger haussement des épaules doublé de mon sourire le plus innocent. Ça ne la trompe pas un instant. Récit de la soirée par Franck édulcoré du passage pipe et sodo. ;
Franck me dit au café qu'il avait appelé les filles et qu'elles nous attendaient vers 16h. Je vais négocier avec Emma (que je baise avec des mecs ne la dérange pas, avec des filles je ne sais pas encore). Je lui explique le topo, notre relation de la veille, Franck et moi et le fait que je veux qu'il s'essaye aussi aux femmes. Question très féminine, " elles sont jolies ? ". Je lui confirme que nous n'allions pas baiser des thons et j'ajoutai qu'elle (Emma) était de toute façon hors concours et d'ajouter " Maman ". Ce dernier mot m'a valu la claque que je méritais et que j'attendais. De son coté elle sait que je lui suis attaché et que c'est surtout pas une jeune meuf qui pourra me séparer d'elle. J'ai mon " autorisation ".
Dans une sacoche je fourre serviette de bain, kpote et gel. Je retrouve Franck dans le hall, il m'y attendait depuis un bon 1/4 d'heure. Nous allons à pieds chez les filles c'est à 10mn. Il profite de ce moment pour me demander des conseils vite fait. Je lui dis de ne pas s'inquiéter et de calquer son comportement sur moi.
Pas la peine de sonner, elles nous guettaient et viennent nous ouvrir quand on est encore à 5 m du portillon. Elles sont en bikini très petits. Elles nous entrainent dans la maison pour arriver à une piscine à moitié dehors. Franck et moi quittons nos quelques vêtements et nous exposons nos musculatures avantageuses. Les filles ne nous soupçonnaient pas aussi bien foutu ce matin en boite. Plongeons, courses poursuites, maillots qui glissent et nous voilà tous les 4 à poil dans le bassin. Franck ne peut s'empêcher de bander. Les filles se collent à nous cherchant baisers et caresses. La pelle, Franck y a mis un peu trop d'enthousiasme mais s'est rapidement adouci. La fille dans mes bras est mignonne mais c'est le corps de Franck qui me fait bander. Je sors la mienne de l'eau et la couche sur une des méridienne. Franck suit aussitôt. Nous passons une bonne heure et demi à les faire jouir avec la langue et la bite, échangeant nos partenaires. Pendant les échauffourées, j'ai mis plusieurs fois discrètement un doigt dans le cul de Franck et à ce que j'ai pu voir pour son plus grand plaisir. ;Nous laissons des filles fatiguées mais qui en redemandent. Sur le retour, je dis à Franck qu'il pourra se les faire toutes les deux jusqu'à la fin de son séjour vu comme elles sont chaudes. Il me dit qu'il réessayera mais qu'il avait préféré notre entrevue particulière.
Nous rejoignons Emma au bord de la piscine. Elle nous demande si le filles valaient le coup. Franck rougit, il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit au courant. Je lui dis que j'avais mis le pied de Franck à l'étrier et qu'à partir de maintenant il s'en occuperait tout seul. Je me penche et lui roule un patin si profond que j'en bandais presque. Quand j'ai fait tomber le short mon maillot était très avantageux. Avec Franck et Emma nous avons aligné les longueurs, repoussant les mémés sur le bord du bassin.
Ce soir là, Emma nous accompagna à la boite de nuit. Nous y avons retrouvé les deux blondes qui ne nous ont pas trop collées vu l'intimité que dégageait mon attitude avec Emma. ;Elles ont juste insisté auprès de Franck pour décrocher un nouveau rendez vous. ;J'ai dû de mon coté virer deux, trois bellâtres qui insistaient lourdement auprès d'Emma. Franck était tout content de sa soirée. Un passage aux toilettes lui a permis de me demander quand nous allions nous retrouver. Je l'ai calmé et lui ai dit que cette nuit était à Emma. Un moment déçu, il me dit avec un sourire que le lendemain il y aura muscu. Je lui fais rapidement un bisous sur les lèvres et nous retournons danser. Avec Emma nous avons fait l'amour avant de nous endormir.
Le matin suivant, muscu comme promis la veille. Réveillé tôt (enfin 10h) en short et marcel de sport, je tape à la porte de Franck et j'ai la surprise le la voir s'ouvrir sur un jeune dépeigné, en caleçon lâche, les yeux gonflés de sommeil. Je le pousse et avant qu'il n'en soit revenu, le place sous la douche et ouvre grand le robinet d'eau froide. Hurlements, il se débat mais je suis quand même plus fort que lui et je sors mouillé de l'histoire mais vainqueur. Pour aller à la salle, je lui emprunte un short et un t-shirt secs. Je les remplis plus que lui et je suis à la limite de l'indécence question short. Tant pis, mon coté exhibitionniste trouve cela très drôle. Nous trouvons quand nous entrons quelques mecs entre 30 et 50 ans en train de se donner bonne conscience sur les appareils de cardio. Notre arrivée provoque un découragement général. Pour les complexer encore plus, nous zappons l'échauffement et passons direct au développé couché. Raisonnable, je décide de séries en poids croissant et nous nous échauffons quand même sur les premières barres. Quand nous sommes sur les séries à plus de 80 Kg, ils nous laissent seuls. Pourquoi ?? Dégoutés peut être ?? ;Une bonne heure et quelques exercices plus tard, nous allons nous doucher les cabines ne sont pas communes mais très grandes chaque. Nous profitons que nous soyons seuls pour n'en partager qu'une. Juste rincés, je me suis fait violé par Franck. Sucé jusqu'à ce qu'il arrive à avaler mes 20cm (après une série d'étranglement juqu'à ce qu'il rythme sa respiration), il s'est préparé l'anus de ses doigts. Puis après m'avoir roulé une pelle et posé une kpote sur mon bout, il s'est empalé dessus. A parti de ce moment là, je n'ai pu résister et je l'ai enculé debout alors qu'il se tenait arque bouté contre le carrelage. Ses coups de rein me disait tout le bien que je lui faisait. Ses fesses ronde dans mes mains sont un bonheur de muscle. Franck se donne tellement que je doute qu'il ne devienne qu'un banal hétéro. Mes bras passés sous les siens, je le décollais du mur et le maintenais contre mon torse, mordillant son cou. J'ai joui dans son cul comme il explosait contre la porte vitrée. Nous avons continué par notre douche, parlant de choses et d'autres enfin surtout Franck qui me disait combien il avait apprécié cet assaut. A notre sortie, deux mecs nous ont regardés, étonnés. Avec naturel, j'ai attrapé Franck par le cou et lui ai roulé un patin avec la langue. Puis nous sommes passés dignement devant eux. La porte franchie nous avons éclatés de rire comme des sales gamins qui ont fait une blague. Nous en riions encore quand nous avons rejoint Emma auprès de la piscine où elle nous avait commandé un petit déjeuner reconstituant. J'ai été obligé de lui raconter. Comme elle me demandait si ce n'était pas les deux types qui arrivaient et que c'était bien eux, elle a attendu qu'ils la regarde pour m'attirer à elle et me m'embrasser sur la bouche. Une fois décollés, nous les avons regardé. Ils ne semblaient plus savoir où ils habitaient. Sans plus se préoccuper d'eux, nous avons Franck et moi fini notre petit déjeuner.
Avec Emma nous nous sommes promenés l'après midi sur Guérande et ses marais salants. Nous avons testé l'océan à notre retour. Trop froid ! retour à l'hôtel et à ses piscines.
Franck me cherchait pour me dire que les filles l'avaient appelé et nous avaient invité pour la soirée. Je refusais de l'accompagner et lui dit qu'il savait tout ce qu'il fallait savoir pour assurer maintenant. Ça l'a un peu refroidi mais comme j'insistais, il s'est finalement décidé à y aller seul.
Nous n'avons vu revenir Franck que le lendemain matin vers 11h. comme j'étais avec Emma au bord de la piscine, il nous y a rejoint. Après les salutations, il n'a pu se retenir et nous a raconté sa soirée et sa nuit. Nous avons mieux compris la tête de déterré qu'il arborait ce matin là. A elles deux, elles l'ont littéralement vidé de la moindre goutte de sperme. Il nous a même dit qu'il avait réussit à sodomiser la plus salope des deux. Comme je lui demandais si c'était meilleur que nous, il m'a répondu " différent ". Je l'ai poussé dans le bassin, nous nous sommes fait engueuler par le surveillant car il était tout habillé. Cela ne l'a pas empêché de mater Franck dans ses vêtements collés sur sa peau ! Je l'ai accompagné se changer. Dès que la porte de sa chambre s'est refermé, il m'a sauté dans les bras et nous avons échangé un baiser, de sa part plutôt passionné !
Comme je lui en demandais la raison, il m'a dit, pour rien, juste qu'il m'aimait. Douche glacée entre mes omoplates !! alors que lui se dévêtait devant moi avec un naturel déconcertant. Malgré ce que je venais d'entendre ou peut être à cause de cela, je bandais comme un âne. Cette fois c'est moi qui l'ai " violé " pour son plus grand plaisir. Son corps jeune et musclé me rend actif et surtout ne me laisse pas sur ma faim. Avec lui pas de désir d'être sodomisé, juste l'envie de le prendre, lui. Allongés sur le lit sa tête au creux de mon épaule, j'ai réfléchi à la façon de lui parler. Ok j'ai été le type qui l'a révélé au sexe, ça l'a impressionné, c'est normal mais il n'a pas encore vu tout ce que le monde lui réservait ... Après avoir écouté sagement mon discourt, il m'a sauté dessus ses jambes me bloquant le bassin, ses mains fixant mes poignets au matelas. il m'a regardé fixement dans les yeux et doucement a rapproché son visage jusqu'à poser ses lèvres sur les miennes. Ma queue s'est raidie direct et placé comme il était s'est enfoncée sans barrière dans son cul. Comme je voulais sortir de lui, il m'a dit qu'avant moi il était vierge et que moi j'était clean. Ça plus ce qu'il m'avait dit plus tôt, j'ai cédé. Il m'a fait l'amour avec brio. Alternant les assises brusques et profondes avec un travail du gland par son anneau, du grand art pour un néophyte. Ma bite était tout à son bonheur dans l'intimité de son boyau. Au chaud, suffisamment lubrifié pour que j'y glisse sans heurts mais avec un anneau encore bien nerveux, il m'a emmené tout droit vers la jouissance. J'ai quand même réussi à l'éjecter au moment ou j'explosais me répandant sur son dos plutôt que dans son cul. alors que mon sexe sortait de lui il a juter et m'en a mis partout. Je lui ai pris la tête et lui a dit de nettoyer avec sa langue. Chose faite 5mn plus tard. Il n'a pas détesté le goût de son sperme.
Nous avons rejoint la civilisation avec beaucoup de retard pour le déjeuner. Au café, son grand père m'a pris à part et ma demandé ce qu'il me devait pour m'être occupé de son petit fils, il ne l'avait jamais vu aussi bien dans sa peau. Il savait que j'étais Escort boy et savait que nos services étaient tarifés. J'ai eu beau lui dire que Franck était une distraction " hors contrat " et que cela m'avait fait plaisir aussi, il n'en démordait pas. seul le retour d'Emma et Franck a clos notre discussion. J'ai consacré notre dernière journée exclusivement à Emma. J'ai juste indiqué à Franck les " hommes de service " pouvant être éventuellement gay. Notamment l'un des surveillants de la piscine dont le slip avait tendance à gonfler quand Franck et moi étions dans le bassin. Plus tard dans la journée, c'est le grand père qui est venu me voir. Il m'a demandé si je pouvais continuer à être en relation avec son petit fils pour l'aider et le guider au besoin. Je l'ai regardé bien en face et lui ai dit que ce ne serait peut être pas dans le sens qu'il désirerait. Que je me l'étais déjà fait et que si je le revoyais ce serais de nouveau le cas. Très cool le papy m'a tendu une enveloppe en me disant que je ne lui apprenait pas la vie et que si cela rendait Franck heureux alors ce n'était pas un problème. J'aime c'est gens respectueux des désirs et des choix des autres. J'acceptai sans réfléchir plus.
Avant notre départ, nous avons échangé (avec Franck) nos n° de téléphone et une pelle bien vorace.
Pendant le retour, Emma s'est moqué gentiment de moi et de mon âme de saint Bernard. Comme je me rabaissais en dénonçant mon coté vénal, elle m'a dit que ce devait être pour cacher le coté hyper sensible de mon caractère. Venant d'une autre personne j'aurais pris cela pour de l'ironie.
Quand j'en ai parlé à Marc le soir même, j'ai eu droit au même couplet, avec en plus une demande de description complète de l'animal, on ne se refait pas !
Vers 22h appel de Franck pour me dire que oui le maitre nageur aimait les garçons. Je lui ai dit que OK il avait attendu 18 ans pour se décoincer mais que ce n'était pas une raison pour sauter sur tout ce qui bouge.
JARDINIER
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perduedansmatete · 3 months
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@wonderbandersnatch m'a taggué il y a mille ans pour répondre à un genre de questionnaire de proust donc je m'exécute enfin tant bien que mal:
ma vertu préférée
je copie mais l'empathie c'est une super vertu
le principal trait de mon caractère
dévouée je dirais
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
chez mes meilleurs amis je pense que ce que je préfère c'est leur désinvolture et leur capacité à faire n'importe quoi comme si on était encore adolescents
mon principal défaut
l'indécision
mon occupation préférée
le quatuor gagnant: être à un concert, dormir, baiser et faire des listes
Votre idée du bonheur
ne pas vivre dans l'angoisse d'absolument tout
Votre idée du malheur ?
mourir sans jamais avoir eu de chat à soi
Ce que je voudrais être
je n'en ai aucune idée actuellement mais petite j'ai voulu être chanteuse d'opéra pendant un temps pour les raisons suivantes: je pensais que j'avais du talent (ceci dit jusqu'à longtemps j'ai pu chanter l'air de la nuit de la flûte enchantée et j'adorais la réputation que ça me donnait), je me disais que je gagnerais plein d'argent, que je travaillerais dans de beaux décors et surtout que je serais pas hyper connue comme si j'étais une rockstar et ça je trouvais ça cool d'être tranquille mais riche voilà et je trouve encore que c'est un bon plan finalement donc allez chanteuse d'opéra
le pays où je désirerais vivre
je sais pas si j'aimerais y vivre mais je suis obsédée par l'islande, j'ai failli y aller il y a quelques années mais covid oblige ça a été annulé bref.
la couleur que je préfère
franchement je porte que du noir donc bon, mais j'aime les couleurs reposantes sinon comme les couleurs pastel et aussi j'adore le bordeaux bien profond (mais du coup noir quand même)
la fleur que j'aime
j'aime beaucoup les petites fleurs des champs et les boutons d'or!!!
l'oiseau que je préfère
les hirondelles <3
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
j'ai lu trop de sartre à cause de ma prof de philo de terminale dont j'étais amoureuse pour ne pas le nommer, sinon despentes, les sœurs brontë et après je ne sais pas trop car je lis rarement plus de deux ou trois ouvrages d'une même personne bouuuh la nullos
mes poètes préféré.e.s
rimbaud, baudelaire, éluard, plath et... lana del rey mouhahaha j'écris ce que je veux
mes héros favoris dans la fiction
bojack, perceval dans kaamelott mdr, le prêtre dans fleabag, scott pilgrim ce gros loser et j'ai pas trop d'autres d'idées car j'aime pas les hommes pardon (sauf les nuls et ceux qui font pitié)
mes héroïnes favorites dans la fiction
jane eyre, fleabag, amélie poulain, thelma ou louise? louise ou thelma? je sais pas donc les deux car l'une ne va pas sans l'autre, lou et reine amy dunne
mes compositeurices préféré.e.s
je sais pas si par compositeur c'est juste à l'ancienne ou compositeur de musique en général... si c'est à l'ancienne je dirais satie car je l'écoutais beaucoup fut un temps pour me calmer et j'ai pas d'autres noms car j'en écoute pas assez pour avoir des compositeurs où je me dis ouaaaa c'est mon préféré celui-là
mes peintres favori.te.s
munch, klimt, mucha, o'keeffe, schiele et pas mon père (bien qu'il adore peindre, il est plus doué avec son stylo bic qu'avec un pinceau)
le personnage historique qui me déplaît le plus
thatcher car j'ai déjà dit que j'aimais pas les hommes donc comme ça j'équilibre
ma nourriture et ma boisson préférées
j'adore manger coréen depuis toujours et je pourrais ne boire que des bloody mary (ou de l'eau, c'est très bon l'eau)
mes noms favoris
si seulement on ne m'avait pas volé mon téléphone avec ma fameuse liste de prénoms préférés parmi toutes mes listes... mais pour en donner un je vais dire anouck. je trouve ça classe.
ce que je déteste par-dessus tout
le capitalisme
le don de la nature que je voudrais avoir
là comme ça j'aimerais bien pouvoir voler ça m'éviterait de prendre le métro et tout ce que ça implique
comment j'aimerais mourir
version suicide: me balancer d'une falaise
version tout va bien dans ma vie: dans mon sommeil comme ça c'est tranquille je le vois pas venir, classique, pas de regret, tout est bien qui finit bien
mon état d'esprit actuel
frustrée, énervée, triste, j'aime pas cette journée alors je me suis dit que j'allais enfin répondre à ce questionnaire pour m'occuper l'esprit mais deux de mes caractéristiques premières étant l'indécision et l'incapacité à savoir quelles sont mes choses préférées c'est compliqué donc je suis d'autant plus frustrée!!!! mais j'arrive au bout donc je suis quand même contente...
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
franchement j'en ai aucune idée, je crois que je suis très indulgente en général avec les fautes des autres sauf si c'est des pures merdes
ma devise favorite
le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder il avait bien raison celui là si vous voulez mon avis
voilà fini!! et je tague personne car il faut être motivé pour y répondre mais si quelqu'un a envie go car c'était quand même sympa à faire alors merci @wonderbandersnatch <3
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chifourmi · 7 days
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Je me suis encore réveillée avec la boule au ventre en plein milieu de la nuit. J'ai envie de lui envoyer ses 4 vérités parce que j'ai été trop gentille avec lui. Pendant notre appel j'ai mis toute la faute sur moi alors qu'il a une grande part de responsabilité de son côté aussi. À partir du moment où il a vu que je m'attachais, pourquoi il n'a pas essayé d'en parler? Ça pouvait venir de moi mais il aurait pu lui aussi remettre les choses au clair. Soit disant il attendait que ça vienne de moi, mais c'est trop facile de dire ça. Ça a duré des mois et il a bien vu que je n'en parlais pas donc il pouvait mettre le sujet sur la table??? Et comment il a pu coucher avec d'autres meufs en sachant que j'étais attachée à lui et sans jamais en parler?? En plus oui il a mis de la distance quand il a remarqué que je m'attachais mais j'ai relu la conv et il me sortait encore des "j'aurais tellement aimé être dans tes bras là mtn" même quand il avait capté??? Y a pas à jouer avec les gens comme ça?? Quand je lui ai demandé pourquoi il avait été si attentionné, il m'a sorti "pcq je suis juste gentil et que je m'intéressais à ta vie" mais je sais pas ça M'ÉNERVE. Je suis la seule à trouver ça chelou d'être AUSSI attentionné avec un plan cul?? Et tout le monde me dit "bah pourquoi tu lui reproches d'avoir eu un comportement convenable avec toi?". Non, non, je suis désolée pour moi y a rien de normal là dedans putain!!!
Mais j'ai tellement pas envie de lui faire ce plaisir de revenir vers lui parce que ça me dégoûte du plus profond de mon être que lui s'en batte les couilles. Je mérite tellement mieux que ça. Je mérite tellement quelqu'un qui me met en priorité. Et aussi j'ai tellement pas envie d'être encore plus blessée. Il peut être très cassant et froid et j'ai peur qu'il me dise des mots que je retiendrai trop. Et en même temps j'ai tellement de rancœur envers lui là et ça m'énerve que tout se soit bien terminé pour lui. Il est sorti de tout ça hyper satisfait pcq je lui ai dit qu'il n'avait rien à se reprocher. J'ai envie qu'il comprenne que ses comportements n'étaient pas normaux putain.
Et aussi je vais faire ma connasse là mais je me le garderais bien sous le coude si un jour j'ai envie de coucher avec quelqu'un pcq au moins là dessus on était sur la même longueur d'ondes. Et j'ai plus aucune empathie pour lui donc ce serait juste pour le fait de le faire. Je sais c'est pas ouf mais j'ai vraiment la haine.
(22/05/2024)
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hurtbrokenheart · 1 month
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Voilà comment sont les choses aujourd'hui. Par où commencer ? Je suis une survivante d'une profonde dépression et je souhaite à tout le monde d'avoir cette fierté un jour. Évidemment, ça ne veut pas dire que mes jours sont remplis de soleil, de paillettes et de sourire. Ça veut juste dire que j'ai récupéré la force de vivre malgré tout ce qui peut me tomber dessus. Je suis encore submergée souvent par mes émotions, mon cœur crie souvent beaucoup trop fort ce qu'il ressent et c'est parfois difficile à gérer. Mais je fais de mon mieux. Oui c'est ça, je fais de mon mieux et pas seulement pour ça, pour la vie en général. J'apprends à canalyser mon anxiété seule, sans me reposer sur les gens ou les cachetons. J'échoue parfois, mais je sais que j'ai le droit d'échouer. Je ne m'en veux pas pour ça. Ou plutôt... je ne m'en veux plus. J'essaye d'accepter toute les émotions à bras ouvert, de pleurer quand l'envie s'en fait ressentir, taper du pied quand je suis contrariée et exprimer mes angoisses quand c'est le bordel dans ma tête au point où je ne m'entends même plus penser. Ah et j'ai des objectifs aussi. Dans le futur je veux dire. Si j'avais su que je m'y verrais un jour dans le futur... c'est fou comme j'avance. Je sais aimer sainement, manger à ma faim sans me priver, sortir dans des lieux publics, faire de nouvelle rencontres, pardonner et surtout j'apprends à m'aimer. Évidemment, la période de ma vie où j'étais au plus bas est encore taboue, je n'aime pas l'évoquer ou m'en souvenir. Mais je sais qu'un jour j'aurai digéré ces événements et que je saurai les accepter.
Je laisse le temps au temps, je me donne le droit d'exister, je me suis pardonné, je me donne la permission de vivre, d'être celle que je suis, de m'aimer. J'ai cessé cette guerre contre moi même car finalement, il n'y aurait jamais eu de gagnant.
Voilà où en est ma vie aujourd'hui. Et toi, comment vas-tu?
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lounesdarbois · 10 months
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il  est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
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Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel,  au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
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L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation",  considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
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Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
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La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté,  la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ?  "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
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Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
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Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
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Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur fa��tes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
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Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas". 
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
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Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce  trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports  au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
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1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de  l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite. 
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire. 
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
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PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
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e642 · 1 month
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J'ai encore cours jusqu'à lundi et j'ai partiel dès jeudi pendant 3 semaines. Mon mec est parti en vacances. Mes parents sont loin. Je passe mes journées enfermée à écouter soit des gens parler, soit à regarder mes cours en attendant que le temps passe. J'aime pas le mois de mai. C'est toujours la saison des partiels, les fins d'année, les moments charnières en général et il y a mon anniversaire aussi. Je sais très bien que jeudi je vais aller poser mon cul sur une chaise gelée pour regarder un énoncé dont j'entrave que dalle et je rentrerai chez moi en attendant le prochain. Entre temps, personne ne m'aura demandé comment ça s'est passé car mon mec s'en branle et mes parents je sais pas, j'arrive pas à savoir, quoiqu'il en soit, ils se souviennent jamais des dates importantes. Mais seulement quand c'est les miennes. Les journées sont longues. J'alterne entre désespoir profond et lecture dispersée de cours. C'est marrant, comme j'ai personne ici, j'ai l'impression de ne pas réellement exister. Il pleut, depuis des semaines et ça va encore durer. C'est le jour sans fin. Je sais pas trop quoi faire. Je tourne en rond. Incapable de sortir par peur de m'en vouloir. J'crois que ce que j'aime moins dans les études, c'est ce sentiment de culpabilité constant. Les périodes avant partiel sont mentalement drainantes pour moi et, celle ci ne fait pas exception, mais elle me heurte différemment. J'ai vraiment cette sensation d'être seule au monde. Ya quelques jours, l'ascenseur était en panne, j'ai pris les escaliers, j'ai failli tomber et le premier truc qui m'est passé par la tête c'est: personne saura de toute façon. C'est vrai ça, personne ne sait rien. Personne ne demande rien. C'est déroutant. Je suis déroutée plus qu'attristée. Je pensais que cette année serait un nouveau départ, et finalement c'est une continuité parfaitement amère. J'ai peur de passer toute ma vie à avoir les mêmes réflexions sur les mêmes choses. Quel échec ce serait. Quel statisme.
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mister-snake · 1 month
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Je suis incapable de supporter plus d'une semaine de servage, comment est-ce que j'ai fait pour tenir 6 mois sans une goutte d'alcool quand j'étais plus jeune?? Et sans me défoncer pour compenser qui plus est?!
On m'a répété que le premier mois était le plus difficile, qu'après, les symptômes étaient gérables, mais les gens ne comprennent pas que c'est pas juste la dépendance physique ni même psychologique. C'est un mode de coping, et si tu dépends de l'alcool pour gérer tes émotions et t'automédicamenter depuis une dizaine d'années, c'est pas un petit mois qui va tout régler comme par magie!
L'alcool sera toujours là pour apaiser toutes les émotions qui me submergent. C'est une habitude, un besoin profond, irrépressible et systématique. C'est aussi ce qui a rendu ma relation avec mon partenaire d'alcoolisme si intime.
J'ai peur de ne pas être capable de gérer les émotions négatives, les ruminations, l'anxiété, la dépression, toutes ces difficultés. J'ai peur de me sentir étouffé et que ça laisse place à mon impulsivité qui était si prédominante quand j'étais jeune. J'ai peur de perdre le contrôle, de perdre mes repères, de perdre mon réconfort. J'ai peur de craquer et de tout gâcher, et alors que tous mes efforts de sevrage n'aient servi qu'à renforcer ma dépendance. J'ai peur de perdre une amitié précieuse avec mon partenaire. J'ai peur de ne plus être capable de m'ouvrir à quelqu'un comme je le fais si facilement sous l'effet de l'alcool. J'ai peur que toutes ma détresse reste coincée en moi, que je ne sois plus capable de me confier à qui que ce soit, que je devienne trop self-conscious, trop anxieux, d'avoir trop peur d'être trop. J'ai peur de devoir vivre avec un alcoolique sans pouvoir moi-même céder à la tentation.
Alors l'idée stupide que c'est une simple dépendance dont le sevrage peut être facilement réglé grâce à une désintox, de l'antabuse ou je ne sais quoi, c'est de la grosse bullshit.
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ltalaynareor · 3 months
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Pourquoi Aro s'est il débarrassé de sa soeur Didyme ?
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Dans le canon, Marcus et Didyme souhaitent quitter le clan. Si Aro feint de comprendre le pourquoi du comment, il doit ressentir une rage sans nom et un profond sentiment de trahison. Pourquoi ? Aro est profondément égoïste et sans pitié. Le don de Didyme ne l'intéresse pas tant que cela, mais celui de Marcus... Celui de Marcus n'a nul mesure.
Selon le canon, une attaque a lieu contre le clan et cible Didyme qui ne peut se défendre et donc décède. Cela plonge Marcus dans une profonde létargie et Chelsea n'a plus qu'à utiliser son don pour l'empêcher de partir ou de mourir.
Quand est-il d'Aro ? À t'il commandité ce crime ? Certainement. Ressens t'il des remords car ultimement Didyme était sa sœur biologique et c'est lui qui l'a transformé en vampire ? Le tempérament d'Aro, son ambition et son égoïsme l'empêche de ressentir ces remords. Pour lui il a fait ce qui devait être fait pour lui et pour le clan.
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auboutdespages · 3 months
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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girafeduvexin · 10 months
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Est-ce que vous savez pourquoi il n'y a pas ou peu d'essai en vidéo (au sens Montaigne du terme) sur le youtube français ?
C'est une vraie question parce que ça me tourmente en ce moment. Je parle d'essai, comme Jacob Geller, Hbomberguy, Broey Deschanel, Shaun, Lady Emily. Si vous connaissez pas, je vais citer certaines de leurs vidéos, mais en gros, des essais, aussi bien à l'écrit qu'en vidéo, c'est une réflexion subjective sur un sujet. Montaigne a plus ou moins inventé le terme si je ne me trompe pas et dans son propre livre, il parle aussi bien de racisme que de médecine, de la peur de la mort, toujours à la 1ère personne. Les textes sont en soi ordonnés mais il revendique lui-même de ne pas avoir de méthodologie particulière : ce n'est pas thèse / antithèse / synthèse, intro et conclusion etc.
(Ca risque d'être long donc je coupe ici)
Et sur youtube, en tout cas le youtube américain, on voit ces dernières années des gens qui vont comme Montaigne mais en vidéo, analyser par exemple l'art moderne et le fascisme, le method acting et en quoi c'est problématique, ou la vidéo très connue de Hbomberguy sur Sherlock. Après, on peut considérer que cette dernière vidéo est plus une critique mais personnellement, je trouve qu'il apporte des considérations plus générales sur les séries policières et le travail de Moffat qui dépassent largement la simple critique. On peut aussi citer l'excellente vidéo de Designing For sur Kirby, qui analyse comment les jeux Kirby réussissent à avoir un lore assez profond et sombre sans lourdeur et en restant des jeux légers et vraiment amusants. Bref, y en a beaucoup, sur des sujets très différents mais ce que ces vidéos ont en commun, c'est de proposer d'une part des analyses précises et profondes et d'autre part, un point de vue, une opinion, un vrai engagement de la part de l'essayiste.
Or, dans le youtube français, c'est peu courant. Ca existe, on a Nostalgeek qui a fait une vidéo sur la difficulté dans les jeux vidéos, on a Alphi qui analyse des youtubeurs, des films, des séries et surtout, on a eu l'excellent Karim Debbache, qui après Crossed et Chroma, continue sur Twitch à analyser parfois des films, des jeux vidéo, il a par exemple donné un avis très intéressant sur le film Mario. C'est plus un avis donné à chaud, donc je ne pense pas qu'on puisse techniquement appeler ça un essai mais concrètement, ça a les mêmes qualités : une subjectivité, une analyse approfondie...
(Edit : j'oubliais MisterJday, super aussi.)
Et au passage, sans critiquer, mais Feldup, ce n'est pas un essayiste pour moi, c'est plus un travail documentaire qu'il fait : il cherche des informations sur des jeux oubliés, des mythes d'internet et il nous les présente, et c'est très intéressant, et c'est un super boulot mais ce n'est pas de l'essai, c'est une autre forme de vidéo.
Mon avis, c'est que pour faire un essai, il faut oser prendre parti, ce que faisait/fait Karim Debbache, en disant ouvertement ce qu'il pense de certains films ou de ce qu'est le cinéma en général, même l'art, par exemple quand il parle du second degré et qu'il montre que c'est une très mauvaise excuse. Or, je peeeense que le youtube français préfère parfois être très "neutre" sur beaucoup de sujets, sans doute par peur de perdre de l'audience, je ne sais pas, mais en tout cas, prendre position est "risqué" et évidemment, difficile de faire de bons essais sans ça.
EDIT : j'y réfléchissais dans le bus et selon moi, la différence entre un essai et une vidéo type documentaire/exposé, c'est la présence d'une problématique, même simpliste. La problématique de la vidéo de Broey Deschanel sur Tim Burton, c'est "Peut-on dire que les films de Tim Burton ont perdu en qualité et si oui, à partir de quand ?" (Je simplifie) et en répondant à cette question, elle donne son avis. Dans une vidéo de Feldup, il n'y a pas de problématique, il nous présente un jeu, des faits divers, des creepy pasta et j'insiste, ce n'est pas grave, il n'a pas à avoir de problématique, c'est un autre type de vidéo, qui ont un autre intérêt et qui peuvent parfois me plaire d'ailleurs. Je le prends en exemple parce que c'est lui qu'on me sort quand je cherche des essais vidéos français, mais je n'ai vraiment aucune critique à lui faire.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 143
Marc étant absent une nouvelle fois, je passe la soirée chez Emma, je ne lui sers du " Maman " que quand j'ai envie de la faire enrager. Elle a su pour Daniel et le collègue de son ami et me dit que je devrais ouvrir une agence d'Escort boy. Je lui réponds que comme mes Escorts finissent tous dans le lit de leurs clients, je risquerais fort d'être assimilé à un proxénète (de façon officielle !).
Elle me demande qui est cette dernière recrue. Quand je lui explique le comment du pourquoi, elle est sciée par mon audace. Je me récrie en lui précisant que c'est le vendeur qui m'avait fait du rentre dedans (bon, c'est vrai qu'après c'est moi qui le lui en avait fait).
J'interromps ses questions en lui fourrant ma langue dans sa bouche. C'est assez efficace comme procédé. Elle se dégage pour me dire qu'elle est étonnée par le fait que je puisse passer d'un homme à elle avec autant de facilité. Je reprends mon baiser et ajoute à son excitation par un massage de son sein gauche. Nous ne sommes pas jeudi et elle craint que nous soyons dérangés par le service. Nous nous réfugions à la piscine après un ordre de ne nous déranger sous aucun prétexte.
En trois mouvements elle est nue et se colle contre moi. Ma combinaison une pièce étant accrochée dans le garage, il n'y a que l'épaisseur du shorty et de mon t-shirt pour nous séparer. Je bande aussitôt. Elle glisse à mes genoux et descend mon shorty alors que je passe mon t-shirt par dessus ma tête. J'en suis à l'avoir autour de mon visage que je l'entends s'étonner de mon cockring. Je sens sa bouche chaude envelopper mon gland. Elle s'y attarde sachant combien j'aime sentir une langue le découvrir. Elle la passe dessus, sous la couronne, dans le méat, aspire puis recommence. Je bande encore plus dur, aidé en cela par le cockring qui me serre bien la base du sexe. Elle a trop envie et se lève. Collée à moi elle passe une jambe autour de mes hanches et sur la pointe de son pied restant, positionne sa chatte au dessus de ma bite. Je l'aide un peu en pliant les jambes.
Je me redresse quand elle se laisse descendre, résultat, je la pénètre. Son autre jambe rejoint la première et je ne peux être planté plus profond. Mon gland butte au fond. Elle remonte, usant des ciseaux de ses jambes et je l'aide un peu en soulevant ses fesses puis elle retombe se plantant sur ma bite. C'est sympa comme mouvement mais assez fatiguant et au bout d'une 10aines de minutes mes jambes commencent à se tétaniser. ;Je la porte jusque dans l'eau et aussitôt me sens soulagé d'une bonne partie de son poids. Je m'allonge dans l'escalier les fesses en limite de l'eau et elle se place à cheval au dessus de moi. Je la laisse me " monter " et stimule ses seins de mes deux mains. De temps en temps elle baisse la tête et vient me rouler un patin. Elle accélère soudain puis stoppe et je sens son vagin se crisper sur ma queue. Elle jouit une première fois, je la laisse en finir avec ça puis je reprends l'initiative.
Je me redresse et colle mes pecs contre ses seins. Je lui prend la bouche et ma langue vient explorer sa cavité buccale. La sienne vient à ma rencontre et nous nous emmêlons. Je n'ai pas débandé n'ayant pas juté. Sa chatte n'a pas l'effet " constrictor " de son anus ! Je me redresse et avise le salon qui occupe la terrasse. Je la porte jusque là et la pose sur la table basse. Encore dans son vagin, je me plie sur elle et ma bouche reprend possession de la sienne. Puis lentement je fais descendre mes lèvres sur son corps. Ma langue trace une ligne passant sur sa jugulaire gauche, le téton gauche puis le droit sur lequel je m'attarde jusqu'à ce que j'entende une respiration saccadée. Je continu ma descente (ce qui me fait sortir de son vagin), vrille ma langue dans son nombril (pour rire car aucun effet sexuel avec ce petit trou !) et atteint le coin supérieur de ses lèvres. Mes mains entrent alors en action, écartant la barrière des grandes lèvres pour découvrir son clito. Je pointe ma langue dessus avant de l'utiliser comme un punching-ball. Bientôt je l'aspire entre mes lèvres et le fait vibrer contre mes dents. Je sens les mains d'Emma se poser sur ma tête pour écraser mon visage contre sa chatte. J'augmente alors la rudesse du traitement de son bourgeon neural et je suis récompensé par un écrasement latéral de mes oreilles par ses cuisses puissantes. Je profite du relâchement post orgasmique pour, mes mains sous ses genoux, lui relever les jambes sur sa poitrine et ainsi découvrir son anus. Ma langue sans attendre vient y étaler une bonne couche de salive. Je me redresse alors et plante sans atermoiements mon pieu dans son anus.
Divin !!
Mon gland déplisse sont trou et je pousse pour enfourner mon sexe en entier. L'excitation et ma salive me font glisser le tout jusqu'au fond. J'y stationne quelques instants avant d'entreprendre un labourage en règle. Je me penche en avant et ses genoux écrasant ses seins, j'atteins sa bouche. Roulage de pelle sans cesser mes va et vient dans son cul, trop bon ! Elle relâche ma langue le temps de me glisser un "tiroir " puis reprend notre échange de salive.
Je tends le bras et ouvre celui de la table basse, le seul à ma portée. A tâtons, je devine un gode et effectivement c'est bien cela, un bel engin noir brillant. Je sais où elle le désire. Sans lui demander plus de détails, je me redresse et sort jusqu'à ne laisser que mon gland en elle. Cela suffit pour que je puisse enfiler le bout de plastic dans son vagin. Je le tourne en elle pour placer les fausses couilles contre son clito et me renfonce dans son cul. A la fin de mon mouvement, la base du gode appui contre mon pubis et de ce fait l'enfonce dernier, écrasant les fausses couilles sur le clito. Moi j'adore sentir un autre sexe (même factice) de l'autre coté de la paroi. Avec la mère de Jean c'est comme ça que je préférais la baiser, à deux chacun dans son trou et même avec elle à deux dans le même trou. Ça par contre je le demande pas à Emma. Ça me fait penser qu'il va bientôt falloir que je passe la voir ( la mère de Jean). J'en ai de ses nouvelles de temps en temps par Jean qui me téléphone ou passe à la maison. Il l'a fait toujours baiser par les mêmes jeunes qui ne trouvent pas ailleurs meilleur salope et donc qui y reviennent régulièrement.
Bon, revenons à nos moutons. Je lime le cul d'Emma et c'est pas mauvais du tout. Je ne me permets de juter que quand elle prend son pied pour la troisième fois. Sans prendre de risques inconsidérés, nous n'utilisons plus de kpote entre nous (je suis hyper sérieux là dessus et elle ne baise qu'avec moi). Je jute abondamment au plus profond d'elle, ma queue prisonnière de son sphincter crispé alors qu'elle sursaute sous l'effet de son plaisir. Quand j'arrive à me libérer, c'est pour me coucher sur le dos à ses cotés. Encore sous l'effet de son orgasme, elle se couche sur mon coté, sa chatte vidée, collée contre ma cuisse. Une petite douche plus tard et nous rejoignons la civilisation en peignoirs. Sa cuisinière nous a préparé un repas gastronomique. Il faut dire que les gens du service (elle et le chauffeur) me sont reconnaissant d'avoir ramené la vie dans la maison et que j'ai une super cote auprès d'eux (à leur décharge, ils sont adorable avec moi).
Pour une fois je passe la nuit avec Emma dans son lit, un peu fatigué je la contente avant de dormir d'un simple broutage de minou qui la fait jouir quand même.
Le matin, c'est la première fois qu"elle me réveille par une pipe. Mon réveil est tellement progressif que quand je m'en aperçois, je continu à faire semblant. Elle s'améliore question fellation et plusieurs fois réussit à me prendre entier. je ne peux plus me retenir et simule mon réveil quand je jute dans sa bouche. les yeux grands ouverts, je la vois me boire complètement. Ration de protéines comme petit déjeuner ! Je la prend par les épaules et la tire sur moi. J'arrive à mettre ma langue dans sa bouche alors qu'il lui reste encore un peu de mon sperme dedans. Miam, elle est bonne ma production du matin. Elle me boxe et me traite de dégénéré, elle a bien perçu l'objet de mon baiser.
Douches puis vrai petit déjeuner, je passe la matinée avec elle. Nous discutons sérieux du minimum d'obligation que me procure mon état de " fils ", de mon élection au conseil d'administration de sa boite et divers autres détails. Je la quitte après un déjeuner léger.
Comme je repense à la mère de Jean et que c'est le mercredi, je file direct chez elle. Ses " clients " du mercredi ne devraient pas être encore arrivés. Elle m'ouvre et comme d'habitude me saute au cou. Je la repousse et lui montre mon entrejambe ou le cuir est repoussé par ma bite qui bande. Elle dé zippe ma combi et sort mon sexe et mes couilles avant de se jeter dessus comme une affamée. Direct mon gland plonge dans sa gorge. Massages par déglutition, elle excite mes terminaisons nerveuses comme une salope. Je la repousse et lui demande qui vient cet après midi. Réponse : le bourge et son pote. Tant mieux avec l'été décalé que j'ai eu nous n'avons pu leur faire signe pour revenir à la maison.
Je la laisse reprendre sa fellation. Je me contiens aidé en cela par mon cockring. Je lui sors une kpote. elle me la déroule avec sa bouche sur ma queue puis se tourne et se penche en avant. Je relève sa jupe et découvre sa chatte bavant et son anus frémissant. J'opte pour ce dernier, ça n'étonnera personne ! La lubrification de la kpote suffit et je m'enfonce, déplissant sa rosette. Elle gémit avec force. D'un dernier coup de rein je la colle à la commode contre laquelle je l'ai plaquée. Mes mains trouvent ses seins déjà sans soutient gorge et les malaxent. Elle commence à monter bruyamment. Je l'encule à grand coup qu'elle encaisse comme une pro. Elle me fait jouir par son propre orgasme qui me compresse le sexe.
Les jeunes n'allant pas tarder, je la laisse et file dans la chambre de Jean mettre en route l'enregistrement.
Je vois l'arrivé des deux jeunes, dirigés direct vers la piscine et le salon attenant. Dès la porte passée les caméras prennent le relais. Sur le PC de Jean, je mate les deux ptits mecs se dévêtir. Ils sont tout bronzé de leur été, sauf, comme moi, leurs fesses blanches. La mère de ;Jean est déjà sur le dos à poil. Le bourge se kpote et plante direct sa bite dans la chatte ruisselante (par ma faute). Pendant ce temps là son pote se fait sucer et essaye en même temps de téter un des seins. Ce qu'il n'arrive pas à faire ! du coup il allonge le cou et je le vois lécher le clito et la bite de son pote quand il sort tout en remplissant la bouche de la meuf. Le bourge ordonne soudain à la mère de Jean de bouffer le trou de son pote pour bien le préparer.
Je remarque qu'il apprécie encore les mecs et leurs culs. Il me fait bander ce ptit con. Je descends les rejoindre. Ils sont surpris mais pas étonnés. On se bisouille et ptit bourge me met sa langue bien profond dans ma bouche. ;Quand j'arrive à me défaire de son aspiration, je remplace ma langue par ma bite. Il a le souvenir de son passage dans notre donjon, ou bien il s'est entrainé pendant l'été mais toujours est il qu'il me bouffe en entier. Je le félicite et ma main dernière sa tête m'enfonce bien profond. Je lui demande s'il je ne lui ai pas manqué un peu. Il me dit que le sexe de son copain ne vaut pas le mien et que surtout son truc à lui (le copain) c'est d'avoir une bite dans le cul !
Je demande à son pote alors d'aller préparer le cul de ptit bourge. Exécution, mais pas trop longtemps. Je décide de la nouvelle configuration : j'encule ptit bourge qui encule lui-même son pote et ce dernier se perd dans l'anus de la meuf. Pas mal, surtout mon entrée dans ptit bourge. Son cul n'ayant pas servi depuis le donjon en juillet, il est resté bien serré. J'y suis allé doucement mais une fois en place, j'en profite un maximum et d'après ce que j'entends lui aussi prend son pied. Les deux autres sous nous ne servent que de réceptacle divers. Je change et décide de sentir le sexe de ptit bourge contre le mien dans l'anus de la mère de Jean.
Quand, Kpoté, ptit bourge sur le dos se fait chevaucher par la meuf et lui rempli le cul, je me place et ajoute mes 20 x 5 à ses 18 x 5. ;Il apprécie n'ayant essayé les double pénétrations avec son pote que dans le vagin. Le pote ne sachant que faire, je l'occupe à se faire sucer par madame puis, l'idée me venant de lui faire subir la même chose, j'ordonne à la mère de Jean de lui préparer le cul avec la langue. Rééquilibrage de l'ensemble : ptit bourge sur le dos, la mère de Jean assise sur sa bite, couchée dos sur son ventre, moi enfilé dans son anus face à elle et le pote jambe légèrement pliée qui lui présente son anus à manger. Sous mes yeux sa bite bande dur. Je tire sa tête vers la mienne et lui roule un patin. Il embrasse bien ce ptit con ! Il alterne bataille de langues et suçage. Il fait une pipe à ma langue, trop bon ! Je défais l'échafaudage et je me couche sur le dos en demandant au pote de venir s'enculer sur moi de face. Il m'enjambe, s'agenouille et je sens mon gland happé par les profondeurs de son anatomie. Il me chevauche quelques instant seul avant que je l'attire vers moi sous prétexte d'un palot.
Ptit bourge a compris, il se place et profitant d'un de mes retraits, pose son gland sous le mien et profite de ma pénétration pour entrer. Le pote accuse le coup. J'étouffe son indignation, sa douleur de ma langue lui interdisant de reculer sa tête avec mes mains. Cela ne dure pas et il apprécie la chose après trois ou quatre va et vient. Je lui relâche la tête. Il s'écarte et nous traite de salauds. Sans nous arrêter nous rions de sa réaction. Il tourne la tête pour recevoir la langue de ptit bourge dans sa bouche. moi, mes mains ont rejoint ses hanches et participent à l'approfondissement de la double sodo.
Son anneau, pas familiarisé à cette pratique nous étrangle bien et ptit bourg et moi sentons bien le contact de nos deux queues. Je désynchronise un peu histoire de frotter la bite qui colle à la mienne. Accidentellement il décule mais revient aussitôt. Effet garanti sur le pote. Au loin j'entend la douche fonctionner, la mère de Jean a compris qu'elle ne servirait plus et nous a quitté.
Dans cette configuration, le pote me jute sur les abdos et entraine notre jouissance. Moi je remplis ma kpote et ptit bourge en direct son boyau. Quand nous sortons, ma kpote est pleine de sperme dedans et dessus. Je dis à ptit bourge de venir me nettoyer le ventre. Il hésite puis sous mon regard insistant, vient lécher le sperme de son pote. Je ne lui fais grâce de la moindre goutte, et comme je lui demande, il me dit que finalement ce n'est pas mauvais. Nous convenons d'un rendez vous à la maison, ptit bourge ayant gardé un bon souvenir des 22cm de Marc.
JARDINIER
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perduedansmatete · 1 year
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ça a toujours été comme ça avec moi, je ressens si fort les émotions des autres que ça me fait mal, je me fais bouffer par leurs sentiments et je morfle par déflagration. je ne sais pas si c'est parce que je prends les choses trop à cœur ou si c'est que je me sens responsable mais c'est violent comme ça me tabasse bien souvent. c'est un mélange de projection, d'identification, de culpabilité aussi et d'amour profond je crois, et puis une impression d'injustice suivie d'une autre d'impuissance totale. ça me fait mal de savoir quelqu'un que j'aime dans la souffrance, et de savoir que je ne peux rien y faire. ça me rend triste que tout le monde le soit autour de moi, j'ai l'impression qu'il n'y a aucune exception. j'aimerais aspirer toute cette tristesse, toute cette douleur et la réduire à n��ant, lui faire la guerre en 1v1 ou qu'elle me castagne juste moi, tout prendre dans la figure. il m'arrive aussi assez souvent de me dire que ce n'est pas de l'empathie et que je suis juste égoïste car je projette simplement les émotions de quelqu'un que j'aime aux miennes mais je ne sais pas faire autrement et rester de marbre, comment on fait ? puis en ce moment je n'arrive plus trop à trouver les mots et à être là, du moins à être comme là comme je le voudrais. je culpabilise beaucoup mais ça devient trop dur de réconforter quelqu'un quand tout ce que j'entends et tout ce que je lis de sa part je le ressens aussi au plus profond de mes entrailles. je n'aime pas dire "ahah same j'ai envie de crever tous les jours se ressemblent et absolument rien ne m'intéresse" car ça ne sert à rien, je ne veux pas non plus dire en boucle les mêmes choses réconfortantes qu'on entend partout justement car on les entend partout et que non, ça n'ira pas mieux. proposer des solutions, c'est toujours bien mais ce n'est pas non plus ce qu'on veut entendre, on les connait les solutions, et les "tu devrais, il faudrait, tu as déjà essayé ?" ça pue la merde oui on sait tout ça mais ce n'est pas si évident que ça en a l'air. je le fais quand même quelques fois, c'est important. mais je suis juste douée pour les câlins pendant des heures sans rien dire en ce moment. peut-être que quelques fois les mots ne valent rien et peut-être que je ne pourrais jamais aspirer la souffrance de ceux que j'aime, même si cette dernière hypothèse me fend le cœur, c'est une piste à ne pas négliger.
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lisaalmeida · 7 months
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Alors qu'est-ce qu'on va faire
L ' amour.
- Vraiment ?
- Oui, c'est ça.
Parfait alors je me déshabille.
Pourquoi tu retires tes vêtements ?
Pour faire l'amour.
Qui t'a dit de te déshabiller pour faire l'amour ?
À ma connaissance, c'est comme ça qu'on fait.
Non ce n'est pas de l'amour c'est de la possession.
Je ne comprends pas, c'est comment on fait ?
- Laissez vos vêtements et nous parlons jusqu'à ce que nous nous fatiguions, jusqu'à essayer de vous déchiffrer, jusqu'à ce que vous sachiez tout par cœur, jusqu'à découvrir nos secrets les plus profonds, jusqu'à ce que ces yeux se fatiguent et me forcent à dormir.
Et tu vas essayer de les garder ouverts ?
Oui, juste pour te voir.
Charles Bukowski
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