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#crochet kubrick
lit-erary-memes · 6 months
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Blanket for my mother I’ve spent over a year making. It’s the carpet from the overlook hotel in the shining movie. Literally kicking my feet and giggling over how excited I am for Christmas so I can give it to her.
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knithacker · 4 years
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Malcolm McDowell as Alex DeLarge in Clockwork Orange ... the Amigurumi! 👉 https://buff.ly/3kNCJjF
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zerdehannbc · 4 years
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#alexdelarge #amigurumimania #amigurumiholic #amigurumimaker #clarelzerdehann #crochet #crochetting #crocheter #crocheterapia #crochetgram #crochetgifts #crochetgirl #customeorder #handmade #amigurumidolls #yarns #yarnaddicted #kubrick #aclockworkorange #anthonyburgess
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redaxolotl · 5 years
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My week in pictures part 10: . Photo 1: Crow carrying a knife shows the extent of the Tories budget cuts. Photo possibly taken in Birmingham . Photo 2: Holiday Home for Writers, 1965-69, Sevan Lake, Armenia © Eduard Gabrielyan . Photo 3: Crochet eyeball mask, photo by octopus_mountain on flickr . Photo 4: John Sturrock’s photograph of boys playing football, Sighthill Cemetery, Glasgow, 1976 . Photo 5: Location and reason unknown . Photo 6: Japanese fish hold up, by rsticks . Photo 7: Cat, breaded. . Photo 8: Jenny Talia, possibly in Jerry Springer . Photo 9: The red guy, from Don't Hug Me I'm Scared. DHMIS is a surreal horror comedy web series created by British filmmakers Becky Sloan and Joseph Pelling. . Photo 10: A Clockwork Orange is a 1971 dystopian crime film adapted, produced, and directed by Stanley Kubrick, based on Anthony Burgess's novel A Clockwork Orange. https://www.instagram.com/p/B4VmpnfFIC0/?igshid=f8yd8rrryzpw
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revuedepresse30 · 6 years
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Ce qu'il faut retenir du festival NOS ALIVE 2018
C’est chaque année un peu la même histoire, les festivals de l’été annoncent les premiers noms de leur programmation au sortir des rigueurs de l’hiver et NOS Alive parle souvent un ton plus haut que les autres. Porté par de solides têtes d’affiche (à la volée ces dernières années : Radiohead, Arcade Fire, Tame Impala, Phoenix, Depeche Mode, The XX), le festival lisboète n’a jamais fait l’impasse sur une grille plus indé, suffisamment excitante pour justifier un crochet par le Portugal sur la route des vacances (là encore à la volée : Benjamin Booker, Warpaint, Courntey Barnett, Ratatat), sans compter une programmation locale souvent géniale (on se rappelle de la jeune formation post-punk Galgo, venue de Oeiras et du groupe garage-surf Ganso). L’édition 2018 promettait des instants mémorables, elle s’est imposée comme l’une des plus complètes d’un point de vue du line-up, donnant ainsi l’impression que le festival avait définitivement trouvé sa forme idéale.
On a ainsi arpenté les routes mystiques et mystérieuses de l’artiste Argentine Juana Molina, avant de croisé Bryan Ferry, Trent Reznor et ses Nine Inch Nails, les Arctic Monkeys, Jack White, Eels et d’autres (BRMC, The National, QOTSA, Real Estate, Franz Ferdinand, Pearl Jam) ; on a même assisté au spectacle de l’humoriste britannique Simon Day sur la Palco Comédia Stage avec quelques journalistes anglais, une pinte de bière à la main comme au pub.
Les Arctic Monkeys dans l’espace
Dans le dédale des salons de l’hôtel où nous logeons, à deux pas de la friche industrielle LX Factory où les rooftops offrent une vue imprenable sur le Pont du 25 avril et le Sanctuaire du Christ Roi, on croise les Arctic Monkeys, valises monogrammées à la main. Plus tard, c’est Alex Turner que l’on aperçoit assis sur les marches d’un escalier dissimulé, lunettes à verres fumés sur le nez et vêtu de son costume beige, le même que dans le clip de Four Out of Five. Comme dans une sorte de mise en abîme en réalité augmentée, on se retrouve plongé dans l’un de ces instants constitutifs du processus de création de Tranquility Base Hotel & Casino, avec une image forte, celle d’Alex Turner posté, comme dans le disque, à cette place d’observateur passif du cirque qui se joue autour de lui, dans le complexe hôtelier lunaire pionnier tenant lieu de décor à l’album.
Les Monkeys ont fait plusieurs fois allusion à Stanley Kubrick et 2001, l’Odyssée de l’espace pendant la promotion de Tranquility Base Hotel & Casino. Dans une interview accordée à Playboy en 1968, le réalisateur disait avoir "voulu créer une expérience visuelle, qui évite le catalogage verbal et s'adresse directement au subconscient avec un contenu émotionnel et philosophique". De la même manière, les Monkeys ont proposé ce concept très cinématographique et rétro de l’expérience spatiale, dépourvue de toute forme de naïveté façon série B, pour en faire un objet de spéculations métaphysiques. C’est cette même expérience que les Anglais reproduisent à chaque fois sur scène, en nous promettant un récital rock (Brianstorm, Do I Wanna Know, The View From the Afternoon), dans un décorum rétrofuturiste qui bouleverse à coup sûr les perceptions que l’on avait de ces tubes. Inscrivant ainsi l’oeuvre complète des kids de Sheffield dans quelque chose en constante gestation. Voire mystique. Un peu comme le concert hanté donné par Juana Molina un peu plus tôt dans la soirée.
Jack White en héros
On nous parlait de l’organisation quasi-militaire, presque fasciste, qui caractérise les loges des Nine Inch Nails de Trent Reznor. Un endroit où tout est classé, rangé, à sa place comme dans les bureaux du Projet K.O. de Fight Club. Et peut-être qu’il faut en passer par là pour assister à un concert aussi millimétré et puissant, que l’on qualifiera davantage de performance. L’exact opposé du show de Bryan Ferry quelques heures plus tôt, trop confus et pas suffisamment bien calibré pour laisser la place aux cuivres, cordes et autres instruments de s’exprimer distinctement. Le charisme du vieux Bryan, qui lâchera une setlist presque 100% Roxy Music (Avalon, sublime) ne suffira pas à sauver un concert d’une piètre qualité sonore.
Dans la catégorie des déceptions, Queens of the Stone Age semble définitivement avoir succombé au complexe du stadium status, avec ses solos de batteries et ses ambitions scéniques à la frontière du show pyrotechnique. On a préféré Black Rebel Motorcycle Club, avec, toujours à la batterie, la cogneuse Leah Shapiro et un Peter Hayes dont les cheveux blancs rappellent que même la Joconde subit les outrages du temps. Le journaliste américain qui nous accompagne s’interroge sur la réception d’un tel groupe presque 20 ans après la sortie de l’album éponyme. On répondra que Whatever Happened to My Rock’n’Roll (Punk Song) résonne toujours aussi fort et que le groupe restera dans les mémoire comme l’un des premiers émissaires populaires à avoir ravivé la flamme des pédales de réverbération dans le rock au début des années 2000.
Outre le show hyper dansant de Franz Ferdinand, la jangle pop de Real Estate (toujours sympa de les croiser) et le concert hyper rock d’un Eels à l’humour apocalyptique : "Je vous présente Jeff à la guitare et c’est merci de l’applaudir parce qu’il a perdu sa virginité quand… C’est tout ! Il a juste perdu sa virginité", Pearl Jam a livré un set qui rappelle que le grunge n’a pas seulement enfanté le In Utero de Nirvana, mais aussi tout un tas de groupes à deux balles du genre Puddle of Mudd. A noter, la reprise horrible de Imagine de John Lennon en fin de set, la cool version du Confortably Numb de Pink Floyd et la super interprétation de Rockin’ in the Free World de Neil Young, avec la montée sur scène de Jack White.
Jack White, qui remportera la palme du meilleur show rock de cette édition, avec ses reprises des Raconteurs (Steady as she Goes, Broken Boy Soldier), des Dead Weather (Cut Like a Buffalo), des White Stripes (Hotel Yorba, Icky Thump, I’m Slowly Turning Into You) et bien entendu une poignée de classiques de son répertoire solo (Freedom at 21, Lazaretto ou encore Love Interruption). Un peu décrié, les morceaux de Boarding House Reach sonnent incroyablement bien sur scène, à l’instar de Corporation et Over and Over and Over, qui vient ouvrir son set de la meilleure façon qui soit.
Toujours sans aucune setlist prédéfinie, Jack White livre un concert forcément unique. Une belle claque pour clore une belle édition 2018.
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