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mygolfmedia · 2 years
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blog59-world · 3 years
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bouxmounir · 2 years
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The Masters: Tiger Woods appellera tard pour voir s'il doit revenir à Augusta National Nouvelles du golf - NewsRaiser
The Masters: Tiger Woods appellera tard pour voir s’il doit revenir à Augusta National Nouvelles du golf – NewsRaiser
Utilisez le navigateur Chrome pour un lecteur vidéo plus abordable Découvrez les faits saillants des cinq précédentes victoires de Tiger Woods au National d’août. Découvrez les faits saillants des cinq précédentes victoires de Tiger Woods au National d’août. Tiger Woods décidera “pendant le match” s’il reviendra à son action tant attendue au Masters, qui sera sa première grande performance…
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cuisinedegrandpere · 3 years
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«À ce moment la porte s'ouvrit, et sur le seuil, précédés par le majordome, quatre valets en livrée apparurent apportant, sur une espèce de brancard recouvert d'un magnifique brocart rouge aux armes des ducs de Tolède, un énorme poisson couché au milieu d'un immense plateau d'argent.
Un « oh ! » de joie et d'admiration parcourut la table, et en s'écriant : « voici la Sirène ! » le général Cork se tourna vers Mrs. Flat, et s'inclina.
Le majordome, aidé des valets, déposa le plateau au milieu de la table, devant Mrs. Flat, et recula de quelques pas.
Tous regardèrent le poisson, et pâlirent.
Un petit cri d'horreur s'échappa des lèvres de Mrs. Flat, et le général Cork blêmit.
Une petite fille, quelque chose qui ressemblait à une petite fille, était étendue sur le dos au milieu du plateau, sur un lit de vertes feuilles de laitue, dans une grande guirlande de branches de corail. Elle avait les yeux ouverts, les lèvres demi-closes : et contemplait d'un regard étonné le Triomphe de Vénus peint au plafond par Luca Giordano. Elle était nue : mais sa peau brune, luisante, du même violet que la robe de Mrs. Flat, modelait exactement comme une robe ses formes encore hésitantes et déjà harmonieuses, la ligne douce de ses hanches, la légère éminence de son ventre, ses petites seins virginaux, ses épaules larges et pleines.
Elle ne devait pas avoir plus de huit ou dix ans, bien qu'à première vue, tant elle était précoce et ses formes déjà féminines, elle parût en avoir quinze. Déchirée çà et là, ou élimée par la cuisson, surtout sur les épaules et sur les hanches, la peau laissait entrevoir à travers les cassures et les fêlures la chair tendre, tantôt argentée, tantôt dorée, si bien qu'elle semblait vêtue de violet et de jaune, tout à fait comme Mrs. Flat.
Et tout comme celui de Mrs. Flat, son visage (qui l'eau bouillante avait fait éclater comme un fruit trop mûr hors de son écorce) était semblable à un masque brillant de porcelaine ancienne. Elle avait, comme Mrs. Flat, les lèvres saillantes, le front étroit et haut,, les yeux ronds et verts. Ses bras étaient courts, des espèces de nageoires se terminant en pointe, en forme de main sans doigts. Une mèche de soies, presque des cheveux, ornait le sommet de sa tête, tombant le long du petit visage, tout ramassé et comme recroquevillé, dans une espèce de grimace pareille à un sourire, autour de la bouche. Les hanches, longues et fines, se terminaient, comme dit Ovide, in piscem, en queue de poisson.
La petite fille gisait dans son cercueil d'argent, et semblait dormir. Mais, par suite d'un oubli impardonnable du cuisinier, elle dormait comme dorment les morts auxquels personne n'a eu le soin pieux de fermer les paupières, elle dormait les yeux ouverts. Elle contemplait les Tritons de Luca Giordano soufflant dans leurs conques marines, les dauphins, attelés au char de Vénus, galopant sur les ondes, Vénus toute nue assise dans son char d'or, au milieu du cortège blanc et rose de ses Nymphes, et Neptune, debout dans sa coquille, brandissait son trident, emporté par la fougue de ses chevaux blancs, encore altérés du sang innocent d'Hippolyte. Elle contemplait le Triomphe de Vénus peint au plafond, cette mer bleue, ces poissons argentés, ces verts monstres marins, ces blancs nuages errant au fond de l'horizon : cette mer, c'était sa patrie perdue, le pays de ses rêves, le royaume heureux des Sirènes.
C'était la première fois que je voyais une petite fille cuite, une petite fille bouilllie : et je me taisais, étreint par une terreur sacrée. Tous les convives étaient pâles d'horreur.
Le général Cork regarda ses hôtes, et d'une voix tremblante s'écria :
- Mais ce n'est pas un poisson !... C'est une petit fille !
- Non, dis-je, c'est un poisson.
- Êtes-vous sûr que c'est un poisson, un vrai poisson ? Me demanda le général Cork en passant sa main sur son front baigné d'une sueur froide.
- C'est un poisson, dis-je, c'est la fameuse Sirène de l'Aquarium. »
Après la libération de Naples, les Alliés avaient, pour des raisons militaires, interdit la pêche dans le golfe : entre Sorrente et Capri, entre Capri et Ischia, la mer était barrée de champs de mines et parcourue par des mines à la dérive, qui rendaient la pêche dangereuse. Et les Alliés, surtout les Anglais, n'osaient pas laisser les pêcheurs aller au large, de crainte qu'ils n'apportassent des renseignements aux sous-marins allemands, ou ne les ravitaillassent en mazout, ou ne missent en danger, d'une façon quelconque, les centaines et les centaines de navire de guerre, de transports militaires, de Liberty-Ships, ancrés dans le golfe. Se méfier des pêcheurs napolitains ! Les croire capables de tels crimes ! Mais ainsi vont les choses du monde : la pêche était interdite.
Il était impossible de trouver dans Naples, je ne dis pas un poisson, mais une arrête de poisson : pas une sardine, pas une sole, pas une langouste, pas un rouget, pas une petit poulpe, rien. Si bien que le général Cork, quand il offrait à dîner à quelque haut officier allié, à une maréchal Alexander, à un général Juin, à un général Anders, ou à quelque homme politique important, à un Churchill, à un Vichinsky, à un Bogomolow, ou à quelque commission de sénateurs américains, venus en avion de Washington pour recueillir les critiques des soldats de la Vème Armée à leurs généraux, et leurs opinions, leurs conseils, sur les plus graves problèmes de la guerre, avait pris l'habitude de faire pêcher le poisson pour sa table dans l'Aquarium de Naples qui, après celui de Monaco, est peut-être le plus important d'Europe.
C'est pourquoi aux dîners du général Cork le poisson était très frais et d'espèce rare. Au dîner qu'il avait offert en l'honneur du général Eisenhower, nous avions mangé le fameux « poulpe géant » offert à l'aquarium de Naples par l'empereur d'Allemagne Guillaume II. Les célèbres poissons japonais appelés « dragons », don de l'empereur japonais Hiro Hito, avaient été sacrifiés sur la table du général Cork en l'honneur d'un groupe de sénateurs américains. L'énorme bouche de ces monstrueux poissons, les branchies jaunes, les nageoires noires et vermeilles semblables à des ailes de chauve-souri, la queue verte et or, le front hérissé de pointes, et crêté comme le casque d'Achille, avaient profondément déprimé l'esprit des sénateurs, déjà préoccupés par les difficultés de la guerre contre le Japon. Mais le général Cork, qui à ses vertus militaires joint les qualités du parfait diplomate, avait relevé le moral de ses hôtes en attaquant le « Johnny got a zero » la célèbre chanson des aviateurs américains du Pacifique, que tous avaient chanté en chœur.
Au début, le général Cork avait fait pêcher le poisson pour sa table dans les viviers du lac de Lucrino, célèbre pour ses féroces et exquises murènes, que Lucullus, qui possédait une villa aux environs de Lucrino, nourrissait avec la chair de ses esclaves. Mais les journaux américains, qui ne perdaient aucune occasion d'adresser d'âpres critiques au Haut Commandement de l'U.S Army, avaient accusé le général Cork de « mental cruelty », pour avoir obligé ses hôtes, « respectables citoyens américains », à manger les murènes de Lucullus. « Le général Cork peut-il nous dire, avaient osé imprimer quelques journaux d'Amérique, avec quelle chair il nourrit ses murènes ? »
Ce fut à la suite de cette accusation que le général Cork avait donné l'ordre de pêcher dorénavant le poisson pour sa table dans l'Aquarium de Naples. Ainsi, un à un, tous les poissons les plus rares et les plus fameux de l'Aquarium avaient été sacrifiés à la « mental cruelty » du général Cork : même l'héroïque espadon offert par Mussolini (qui avait été servi bouilli et garni de pommes de terre), même le magnifique thon, présent de Sa Majesté Victor-Emmanuel III, et les langoustes de l'île de Wight, gracieusement offertes par Sa Majesté Britannique Georges V.
Les précieuses huîtres perlières que S.A le duc d'Aoste, vice-roi d’Éthiopie, avaient envoyées en don à l'Aquarium de Naples (c'étaient des huîtres perlières des côtes d'Arabie, en face de Massaouah), avaient relevé le dîner que le général Cork avait offert à Vichinsky, vice-commissaire soviétique aux Affaires Étrangères, alors représentant de l'URSS à la commission Alliée en Italie. Vichinsky avait été très étonnée de trouver, dans chacune de ses huîtres, une perle rose, couleur de la lune naissante. Et il avait levé les yeux de son assiette, regardant le général Cork avec le même regard que s'il avait eu en face de lui l'émir de Bagdad au cours d'un dîner des Mille et une Nuits.
- Ne crachez pas le noyau, lui avait dit le général Cork, il est délicieux.
- Mais c'est une perle ! S'était écrié Vichinsky.
- Of course, is a pearl ! Don't you like it ?
Vichinsky avait avalé la perle, en murmurant entre ses dents, en russe : « ces capitalistes pourris ! »
Il ne paraissait pas moins étonné que Winston Churchill, lorsque celui-ci, invité par le général Cork, avait trouvé dans son assiette un poisson rond et mince, de la couleur de l'acier, pareil au disque des anciens discoboles.
- Qu'est-ce que c'est ? Demanda Churchill.
- A fish, un poisson, répondit le général Cork.
- A fish ? Dit Churchill en observant cet étrange poisson.
- Comment s'appelle ce poisson ? Demanda le général Cork au majordome.
- C'est une torpille, répondit le majordome.
- What ? Dit Churchill.
- A torpedo, dit le général Cork.
- A torpedo ? Dit Churchill.
- Yes, of course, a torpedo, dit le général Cork, et se tournant vers le majordome lui demande ce qu'était une torpille.
- Un poisson électrique, répondit le majordome.
- Ah ! Yes, of course, un poisson électrique ! Dit le général Cork tourné vers Churchill.
Et tous deux se regardèrent, en souriant, les couverts à poisson en l'air, sans oser toucher la « torpille ».
- Vous êtes sûr que ce n'est pas dangereux ? Dit Churchill après quelques instants de silence.
Le général Cork se tourna vers le majordome :
- Croyez-vous qu'il soit dangereux de le toucher ? Est-il chargé d'électricité ?
- L'électricité, répondit le majordome dans son anglais prononcé à la napolitaine, est dangereuse quand elle est crue : cuite, elle ne fait pas mal.
- Ah ! S'écrièrent Churchill et le général Cork.
Et poussant un soupir de soulagement, ils touchèrent le poisson électrique avec la pointe de leurs fourchettes.
Mais un beau jour il n'y eut plus de poissons dans l'Aquarium : il ne restait que la fameuse Sirène (un spécimen très rare de cette espèce de « sirénoïdes » qui, par leur forme presque humaine, ont été à l'origine de l'antique légende des Sirènes, et quelques merveilleuses branches de corail.
Le général Cork, qui avait la bonne habitude de s'occuper personnellement des plus petits détails, avait demandé au majordome quelle variété de poisson on pourrait trouver dans l'Aquarium pour le dîner en l'honneur de Mrs. Flat.
- Il reste bien peu de chose, avait répondu le majordome, une Sirène et quelques branches de corail.
- La Sirène est-elle un bon poisson ?
- Excellente ! Avait répondu le majordome sans sourciller.
- Et les coraux ? Avait demandé le général Cork, qui était particulièrement méticuleux lorsqu'il s'occupait de ses dîners, sont-ils bons à manger ?
- Non, les coraux, non. Ils sont un peu indigestes.
- Alors, pas de coraux.
- Nous pouvons les mettre comme garniture, avait suggéré le majordome, imperturbable.
- That's fine !
Et le majordome avait inscrit au menu du dîner : « Sirène à la mayonnaise, garnie de coraux. »
Maintenant tous les convives regardaient, muets de surprise et d'horreur, cette pauvre petite fille morte, étendue, les yeux ouverts, au milieu du plateau d'argent, sur un lit de feuilles de laitue verte, entourée d'une guirlande de branches roses de corail.”
Curzio Malaparte - La peau, p-319
Recette : tartare de truite aux pistaches
Hacher le filet de truite, les pistaches, une échalotte et de la ciboulette. Mélanger le tout dans les bols, ajouter 1cs d’huile d’olive par bol, ainsi que sel et poivre.
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cactusnavy-blog · 5 years
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Les humains ont toujours levé les yeux vers le ciel nocturne et rêvé de l'espace.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, on a mis au point des fusées assez puissantes pour surmonter la force de gravité et atteindre des vitesses orbitales, ouvrant ainsi la voie à l'exploration spatiale.
Dans les années 1930 et 1940, l'Allemagne nazie a vu la possibilité d'utiliser des roquettes longue distance comme armes. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, Londres a été attaquée par des missiles V-2 d'une portée de 200 milles, qui ont fait un arc de 60 milles au-dessus de la Manche à plus de 3 500 milles par heure. Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et l'Union soviétique ont créé leurs propres programmes de missiles.
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Le 4 octobre 1957, les Soviétiques ont lancé dans l'espace le premier satellite artificiel, Spoutnik 1. Quatre ans plus tard, le 12 avril 1961, le lieutenant russe Yuri Gagarin est devenu le premier humain à orbiter autour de la Terre à Vostok 1. Son vol a duré 108 minutes, et Gagarine a atteint une altitude de 327 kilomètres (environ 202 milles).
Le premier satellite américain, Explorer 1, est entré en orbite le 31 janvier 1958. En 1961, Alan Shepard est devenu le premier Américain à voler dans l'espace. Le 20 février 1962, le vol historique de John Glenn a fait de lui le premier Américain en orbite autour de la Terre.
Atterrissage sur la Lune Apollo 12 atterrissant sur la lune Atterrissage sur la lune : Apollo 12 est lancé pour le deuxième alunissage le 14 novembre 1969. "Atterrir un homme sur la Lune et le ramener sain et sauf sur Terre en l'espace d'une décennie " était un objectif national fixé par le président John F. Kennedy en 1961. Le 20 juillet 1969, l'astronaute Neil Armstrong a fait "un pas de géant pour l'humanité" en marchant sur la lune. Six missions Apollo ont été effectuées pour explorer la lune entre 1969 et 1972.
Au cours des années 1960, des engins spatiaux sans pilote ont photographié et sondé la lune avant même que les astronautes n'atterrissent. Au début des années 1970, les satellites de communication et de navigation en orbite étaient utilisés quotidiennement, et le vaisseau spatial Mariner était en orbite et cartographiait la surface de Mars. À la fin de la décennie, le vaisseau spatial Voyager avait renvoyé des images détaillées de Jupiter et Saturne, de leurs anneaux et de leurs lunes.
Skylab, la première station spatiale américaine, a été l'un des faits saillants des années 1970, tout comme le projet d'essai Apollo Soyouz, la première mission spatiale avec équipage international (américain et russe) au monde.
Dans les années 1980, les communications par satellite se sont étendues aux émissions de télévision et les gens ont pu capter les signaux satellites sur leurs antennes paraboliques domestiques. Les satellites ont découvert un trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique, ont localisé des feux de forêt et nous ont donné des photographies de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986. Les satellites astronomiques ont trouvé de nouvelles étoiles et nous ont donné une nouvelle vue du centre de notre galaxie.
Navette spatiale En avril 1981, le lancement de la navette spatiale Columbia a marqué le début d'une période de dépendance envers la navette réutilisable pour la plupart des missions spatiales civiles et militaires. Vingt-quatre lancements de navettes réussis ont répondu à de nombreuses exigences scientifiques et militaires jusqu'au 28 janvier 1986, date à laquelle la navette spatiale Challenger a explosé 73 secondes seulement après son décollage. Les sept membres de l'équipage ont été tués, dont Christa McAuliffe, une enseignante du New Hampshire qui aurait été la première civile dans l'espace.
Lancement de la navette La navette spatiale a été le premier engin spatial réutilisable à transporter des personnes en orbite, à lancer, à récupérer et à réparer des satellites, à mener des recherches de pointe et à aider à construire la Station spatiale internationale. La catastrophe de Columbia a été la deuxième tragédie de la navette. Le 1er février 2003, la navette s'est brisée en rentrant dans l'atmosphère terrestre, tuant les sept membres d'équipage. La catastrophe s'est produite au-dessus du Texas et quelques minutes seulement avant qu'il ne soit prévu qu'il atterrisse au Centre spatial Kennedy. Une enquête a permis de déterminer que la catastrophe a été causée par un morceau de mousse isolante qui a brisé le réservoir de carburant de la navette et endommagé le bord de l'aile gauche de la navette. Il s'agissait de la deuxième perte d'une navette en 113 vols de navette. Après chacune des catastrophes, les opérations de la navette spatiale ont été suspendues pendant plus de deux ans.
Discovery a été la première des trois navettes spatiales actives à être retirée du service et a terminé sa dernière mission le 9 mars 2011 ; Endeavour l'a fait le 1er juin. La dernière mission de la navette s'est terminée avec l'atterrissage d'Atlantis le 21 juillet 2011, mettant fin à un programme de navette spatiale de 30 ans.
La guerre du Golfe a prouvé la valeur des satellites dans les conflits modernes. Pendant cette guerre, les forces alliées ont pu utiliser leur contrôle de la " haute terre " de l'espace pour obtenir un avantage décisif. Les satellites ont été utilisés pour fournir des informations sur les formations et les mouvements des troupes ennemies, l'alerte rapide en cas d'attaque de missiles ennemis et la navigation précise sur le terrain désertique sans caractéristiques. Les avantages des satellites ont permis aux forces de la coalition de mettre rapidement fin à la guerre et de sauver de nombreuses vies.
Les systèmes spatiaux font de plus en plus partie intégrante de la défense du territoire, de la surveillance météorologique, des communications, de la navigation, de l'imagerie et de la télédétection pour les produits chimiques, les incendies et autres catastrophes.
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maximvandaele · 5 years
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Duinkerke en LAAC met de bus - een aanrader!
Veel mensen denken ten onrechte dat de enige manier om met het openbaar vervoer van Vlaanderen naar Frankrijk te gaan via Moeskroen - Lille Flandres is. Niets is minder waar. Bij het station van De Panne - Adinkerke is er een bushalte van DK’Bus, de busmaatschappij in Duinkerke en omstreken. Tot mijn verbazing zijn deze bussen volledig gratis! Elk uur rijden er twee van die bussen vanuit Adinkerke langs de Franse kustgemeentes Bray Dunes, Zuydcoote naar Leffrincoucke.
In Leffrincoucke kun je de overstap nemen met een bus die tot het station van Duinkerke rijdt. Ik had vandaag niets in het bijzonder te doen, dus besloot ik deze reis te ondernemen, met als bestemming het moderne kunstmuseum ‘Lieu d’Art et Action Contemporaine’ (LAAC). In totaal duurde de reis tussen mijn huis (in Torhout) en het LAAC in Duinkerke zo slechts twee uur. (Het is een afstand van 50 km). Onderweg kon ik mijn Frans wat oefenen in een kort gesprekje met een lokale buspassagier. Ook in het museum zelf hield ik even een praatje met een mevrouw drie daar werkte.
Hier volgt een korte beschrijving van het museum en de omstreken. Het museum heeft een beeldentuin.
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Er zijn niet echt veel beelden te zien, maar ze zijn wel leuk, zoals deze gezellige kerel:
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Of deze fantasierijke installatie die doet denken aan een veld vol gigantische klaprozen:
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Dit is het LAAC zelf, gezien vanaf de beeldentuin. Ook de zee is al in zicht! Na vijf minuten stappen ben je er.
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Het voelt net als een Belgisch strand aan, maar dan veel ruimer en breder. De zee en de wind en het zand zijn exact hetzelfde als elders, maar het is in Frankrijk!
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Wegens een gebrek aan echte vrienden die vandaag meekonden heb ik voor een alternatief moeten zorgen. Nu, het LAAC is een klein museum, in een uur kun je het zeker volledig bezocht hebben. De twee hoogtepunten in de collectie waren volgens mij enerzijds de feestelijke installatie ‘Het Circus’ van Karel Appel:
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En anderzijds heeft het werk ‘le Musée de Ben’ door Ben (eigenlijk: Ben Vautier) iets van een postmodern meesterwerk. Net zoals traditionele kunstenaars met verf kunst maakten, schildert Ben zijn werk met woorden op alledaagse objecten. Ben gaat uit van het principe ‘Alles is kunst’ en voert dit door tot de meest extreme versie, met ironische en vaak komische resultaten. Zijn werk is vergelijkbaar met de vroegere dada uit de jaren ‘20 en wordt tot de ‘Fluxus’-beweging gerekend.
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‘Le musée de Ben’ bestaat uit deze zwarte kast, gevuld met een aantal voorwerpen, waarbij soms poëtische, soms ironische, soms cynische teksten hangen.
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Hier zien we naast een ‘namaak’ Yves Klein-werk, een ‘totale kunstluciferdoosje’, dat kan gebruikt worden om ‘alle kunst - musea - kunstgalerijen’ te ‘vernietigen’.
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Of wat dacht je van deze ‘mysterieuze voeding’, die vooral mysterieus is omdat Ben ‘het etiket verwijderd heeft’. Vlak ernaast zien we een golfbal die blijkbaar God zou bevatten - ‘God is overal, inclusief in deze bal’.
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Is het een knop? Als het van Ben afhangt, is dit geen knop maar een ‘psychotactiel object’. Hoewel dit object van 1961 gedateerd is, kan je het zien als een soort ironische parodie op de toenemende invloed van het psychologisch en medisch taalgebruik op het taalgebruik in het dagelijkse leven. Maar Ben kan nog veel duidelijker provoceren dan dat:
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Hier zien we een scheermesje vergezeld van het opschrift: ‘de dood is kunst, pleeg zelfmoord’. Met dit stuk uit Bens ‘museum’ maakt hij terechte kanttekeningen bij de notie dat alles kunst is - want als alles kunst is, is de dood dan ook kunst (laat staan de zelfmoord)? Op frappante wijze tast Ben de grenzen af van deze overtuiging die tegenwoordig bon ton is in de hedendaagse kunstgalerijen.
Vooral de manier waarop Ben met taal speelt om het publiek te doen nadenken vind ik knap, zeker in een tijd waarin mensen vooral verward en eerder minder dan meer wijs uit het museum stappen. We mogen het woord niet verbannen uit de moderne kunst!
Na mijn museumbezoek geraakte ik weer met de DK’Bus vlot weer in België, en nam ik vervolgens de trein van De Panne naar Lichtervelde, en vervolgens de trein richting Brugge om in Torhout af te stappen. In Vlaanderen zou men soms durven vergeten dat de wereld niet stopt voorbij de Westhoek. Deze rit is zeker een aanrader, Duinkerke is een mooie en ondergewaardeerde stad!
En tant qu’exercice de français, et afin de maîtriser encore mieux la langue, j’ai rédigé une traduction française de cet article avec l’aide de Google Translate.
Il y a beaucoup de gens qui pensent à tort que la seule manière d'aller de Flandre en France par les transports en commun, c'est via Mouscron - Lille Flandres. Ce n'est absolumment pas le cas. Chez la gare de La Panne - Adinkerke, il y a un arrêt de bus de DK'Bus, la compagnie de bus de Dunkerque et ses environs. À ma grande surprise, ces bus sont complètement gratuits! Chaque heure, il y en a deux qui passent d'Adinkerke à Bray Dunes et Zuydcoote à Leffrincoucke.
À Leffrincoucke, c'est possible de descendre du bus et prendre un autre qui passe à la gare de Dunkerque. Aujourd'hui, je n'avais pas de grand chose à faire, donc j'ai décide de faire ce voyage, avec destination le musée des arts modernes ‘Lieu d’Art et Action Contemporaine’ (LAAC) Au total, le voyage entre ma maison (à Torhout) et le LAAC ne durait que deux heures. (C'est une distance de 50 km). Sur le chemin, je pourrais pratiquer mon Français en entretenant une courte conversation avec un passagère d'autobus locale. Aussi dans le musée, j'ai bavardé avec une dame qui y travaillait.
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Voici une brève description du musée et de ses environs. Le musée possède un jardin des sculptures.
Il n y en a pas vraiment beaucoup à voir, mais elles sont en effet bonnes, comme ce mec particulier:
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Ou cette installation imaginative qui rappelle un champ plein de coquelicots géants:
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Voilà le LAAC, vu du jardin de sculpture. La mer est également visible! Après cinq minutes d'aller à pied, on y arrive.
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On se croirait dans une plage belge, mais plus spacieux et plus large. La mer et le vent le sable sont exactement comme aillers, mais ici c'est en France!
À cause du manque de vrais amis qui pourraient m'accompagner aujourd'hui, j'ai dû proposer une alternative. Donc, le LAAC est un petit musée, on peut certainement l'avoir visité tout en une heure (mais moi j'ai pris deux heures). Les deux faits saillants de la collection étaient, selon moi, d'une part, l'installation festive 'Het Circus' (Le Cirque) de Karel Appel:
Et d'autre part, l'œuvre 'le Musée de Ben' de Ben (actuellement: Ben Vautier) quelque chose d'un chef-d'œuvre postmoderne. Comme les artistes traditionels font de l'art avec de la peinture, Ben peint ses œuvres en peignant avec des mots sur des objets du quotidien. Ben part du principe que 'Tout est art' et met en œuvre cela à la version la plus extrême, avec des résultats ironiques et souvent comiques. Son travail est comparable à celui de dada des années 1920 et il est considerée comme faisant partie du mouvement 'Fluxus'.
'Le Musée de Ben' consiste de cette armoire noire, rempli d'un certain nombre d'objets, chez lesquelles on voit des textes parfois poétiques, parfois ironiques, parfois cyniques.
À côté d'une œuvre 'faux Klein', on voit une 'boîte d'allummettes totale d'art', qui sert à 'détruire tout l'art - musées - galeries d'art'.
Ou que trouviez-vous de cet 'aliment mystérieux', qui est surtout mystérieux parcue Ben a 'enlevé l'étiquette'. Juste à côté, on voit une balle de golf, qui contiendrait Dieu car 'Dieu est partout, y compris dans cette balle'.
Ceci n'est pas un bouton. Si cela dépend de Ben, ceci n'est pas un bouton mais un 'object psychotactile'. Bien que ce object soit daté de 1961, on pourrait le voir comme une espèce de parodie ironique sur l'influence croissante du langage psychologique et médical sur notre langage familier. Mais Ben sait provoquer encore plus clairement que cela:
Voici une lame de rasoir accompagnée de l'inscription: 'la mort est art, suicidez-vous'. Avec cet œuvre du 'musée' de Ben, il critique à juste titre la notion que tout est art - parce que, si tout est art, est-ce que la mort est elle aussi art (encore moins le suicide)? Ben explore d'une manière frappante les limites de cette conviction aujourd'hui banale dans les galeries d'art contemporain.
J'aime particulièrement la façon dont Ben joue avec le langage pour faire réfléchir le public, certainement à une époque où les gens sont principalement confus et moins avisés en sortant le musée. Nous ne pouvons pas bannir le mot de l'art moderne!
Après ma visite au musée, je suis rapidement rentré en Belgique avec le DK'Bus, puis j'ai pris le train de La Panne à Lichtervelde, et alors le train à Bruges afin de descendre à Torhout (et y écrire cet article). En Flandres, on oublierait parfois que le monde ne s'arrête pas au-dèla la région Westhoek. Ce voyage est vraiment à recommander, Dunkerque est une belle ville sous-évalué!
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olivierdemangeon · 5 years
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    Une unité d’élite de la marine royale malaisienne va secourir un pétrolier qui a été détourné par des pirates somaliens dans le Golfe d’Aden, puis sur une plate-forme pétrolière où le personnel a été pris en otage…
    Origine du film : Malaisie Réalisateur : Adrian Teh Scénaristes : Adrian Teh Kean Kok, Anwari Ashraf Acteurs : Hairul Azreen, Ammar Alfian, Henley Hii, Taufiq Hanafi, Gambit Saifullah, Hafizul Kamal, Jasmine Suraya, Nam Ron, Sherry Aljeffri, Amerul Affendi, Tiger Chen Genre : Action Durée : 100 minutes Date de sortie : 27 septembre 2018 (Malaisie) Année de production : 2018 Sociétés de production : Asia Tropical Films Distribué par : GSC Movies (Malaisie), Netflix (International) Titre original : PASKAL: The Movie Notre note : ★★★★☆
    “PASKAL: The Movie”, ou tout simplement “Paskal” pour la distribution internationale, est un film d’action militaire malaisien datant de 2018, co-écrit et réalisé par Adrian Teh, à qui l’on doit également “Hungry Ghost Ritual” (2014). Les acteurs principaux sont Adi Afendi, dont il semblerait qu’il s’agisse ici de son premier long-métrage, Hairul Azreen, qu’on a pu voir dans “Operasi X” (2018), Tiger Hu Chen, qu’on a pu voir dans “Man of Tai Chi” (2013), et Jasmine Suraya Chin, qu’on a pu voir dans “KL Wangan” (2017). Ce métrage a été inspiré par des faits réels dans lesquels fut impliquée la force d’élites de la Marine Royale Malaisienne (TLDM) nommée PASKAL (Pasukan Khas Laut).
L’histoire proposée par “Paskal” nous invite à suivre le capitaine de corvette Arman Anwar (Hairul Azreen), un membre de la Force Spéciale PASKAL, qui avec son équipe va intervenir en Mer sur un pétrolier malaisien, détourné par des pirates somaliens au large des côtes africaines, dans le Golf d’Aden. De retour de cette mission, Arman Anwar s’interroge sur la nécessité de poursuivre son engagement dans l’armée ou de rester chez lui, afin de s’occuper de sa mère malade. Il éprouve également du remords vis-à-vis de Lily (Jasmine Suraya Chin), la veuve de son ami et camarade, décédé lors d’une mission précédente, qui doit désormais élever sa fille seule, dans une certaine difficulté. Cependant, l’urgence le ramène à la réalité, lorsqu’il prend conscience que Jeb (Ammar Alfian), un ancien membre de l’unité PASKAL, renvoyé de l’armée, semble être engagé dans des projets inquiétants qui constituent une menace pour la sécurité nationale…
Dès les premières minutes, le point qui interpelle avant toute autre chose, c’est la précision que nous offre l’ensemble des acteurs formant l’ensemble des militaires groupés sous la bannière d’une unité spéciale type Navy Seal. Les modes de déplacements, les équipements, les attitudes corporelles, la gestuelle, les échanges verbaux, etc. Des conseillers techniques de l’armée malaisienne ont d’ailleurs participé activement à la réalisation du film. C’est précis et c’est donc très agréable à suivre, notamment pour l’aspect réalisme des séquences dynamiques. À cela, la photographie proposée par Yong Choon Lin, offre des images à la limite du POV, permettant d’être au cœur de l’action.
“PASKAL: The Movie” est structuré en trois actes distincts. Le premier se focalise sur la tentative de détournement d’un pétrolier par des pirates somaliens et l’intervention de l’unité spéciale envoyée sur le navire afin d’éradiquer la menace. Le second acte est un flashback mettant en scène la formation, l’entraînement des membres qui formeront l’unité Paskal qu’on va suivre dans l’action. Le dernier acte nous permet de suivre l’attaque d’une plate-forme pétrolière et de la prise d’otages du personnel, suivi de l’intervention des militaires. Afin d’apporter de l’intrigue et de créer une atmosphère de tension, des intrigues secondaires, concoctées par le duo de scénaristes composé de Adrian Teh Kean Kok et de Anwari Ashraf, viennent s’incruster dans le développement. Notamment, la relation entre le personnage central, Arman Anwar, et sa mère, qui craint pour la vie de son fils, qui a repris le flambeau de son père, décédé en mission, dans la même unité spéciale de l’armée. Les éléments de production sont d’une très grande qualité, ce qui s’avère être une réelle surprise. Des moyens conséquents ont manifestement été alloués au métrage. Sous-marin, Hercules C-130, hélicoptères, navires de guerre.
D’une manière générale, l’histoire reste relativement familière, le rythme est plutôt soutenu, mais trouve un bel équilibre avec des séquences d’investigations, de formations, de relationnel et d’action. Ces dernières sont très bien orchestrées. La distribution offre de bonnes prestations. On retiendra essentiellement les performances d’Hairul Azreen et d’Ammar Alfian, dont le point culminant est la confrontation finale. On observera également que les acteurs ont les physiques de l’emploi avec des musculatures saillantes qui cadrent bien à l’emploi.
En conclusion, “Paskal: The Movie” est un très bon film d’action disposant d’une histoire cohérente, d’une intrigue captivante et d’un développement précis et énergique. Le récit est fluide, et la narration fait appel à une longue séquence de flashbacks. Les scènes d’action sont superbement orchestrées et la bande originale vient plaisamment accompagner les moments forts du métrage. La distribution offre de très bonnes prestations. L’ensemble offre un divertissement sympathique et une agréable surprise. À découvrir !
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    PASKAL (2018) ★★★★☆ Une unité d'élite de la marine royale malaisienne va secourir un pétrolier qui a été détourné par des pirates somaliens dans le Golfe d'Aden, puis sur une plate-forme pétrolière où le personnel a été pris en otage...
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perspectivesmed · 7 years
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Rabat abrite du 10 au 16 du mois en cours deux sacrées compétitions internationales de Golf: la 44 ème édition du Trophée Hassan II et la 23 ème Coupe Lalla Meryem. Placées sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, et organisées par l’Association Trophée Hassan II, l’une des rares associations sportives au Maroc reconnue d’utilité publique, ces deux grandioses manifestations sportives constituent depuis 2010 des étapes incontournables de l’European Tour et du Ladies Tour European. Leur impact médiatique à l’échelle planétaire est considérable. L’année dernière on a enregistré plus de 453 millions de foyers qui ont été touchés de par le monde entier. L’un des moments saillants et forts sera la Coupe Lalla Meryem qui fait partie du Ladies Tour Europeana. Cette année, la compétition réunira 126 joueuses et verra la participation de la tenante du titre, NuriaIturrios, et de la star norvégienne Suzanne Pettersen qui détient à ce jour 20 titres professionnels entre le LPGA et le LET dont 2 titres majeurs avec le premier The Evian Championship en 2013 et le championnat de LPGA en 2007. Organisée du 13 au 16 avril, la Coupe Lalla Meryem présentera au préalable le 11 avril, sur le parcours bleu du Royal Golf Dar Es Salam, un Pro-Am avec des partenaires et convives de marque. Les cérémonies de remise des prix de la 44e édition du Trophée Hassan II et de la 23e édition de la Coupe Lalla Meryem auront lieu le dimanche 16 avril. Chez les messieurs, le Trophée Hassan II rassemblera 144 joueurs qui s’affronteront sur le parcours rouge du Royal Golf Dar Es Salam dont le tenant du titre, le sud-coréen Jeunghun Wang, âgé de seulement 21 ans et déjà auteur de 3 victoires sur le circuit européen. Les quatre tours du tournoi Hassan II se dérouleront du 13 au 16 avril. Auparavant, un Pro-Am réservé aux partenaires et à des invités de renom sera organisé le 12 avril sur le parcours rouge du Royal Golf Dar Es Salam. En marge, les participants joueront également la FriendshipCup, le 14 avril au Royal Golf Anfa Mohammedia. Nouveauté cette année : une Kids Cup sera organisée le 15 avril sur le parcours vert avec une cinquantaine d’enfants au programme. Le Trophée Hassan II et la Coupe Lalla Meryem forment un concept inédit dans l’univers du golf Mondial. Alors que le golf a fait un retour remarqué aux Jeux Olympiques 2016 de Rio de Janeiro, le Maroc reste à ce jour la seule nation de l’histoire à recevoir dans la même ville, aux mêmes dates et sur le même lieu une épreuve masculine et une épreuve féminine faisant partie des circuits européens de golf. Il y a de quoi s’enorgueillir et pavoiser.
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44 ème Trophée Hassan II et 23 ème Coupe Lalla Meryem: Rabat capitale mondiale du Golf Rabat abrite du 10 au 16 du mois en cours deux sacrées compétitions internationales de Golf: la 44 ème édition du Trophée Hassan II et la 23 ème Coupe Lalla Meryem.
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mygolfmedia · 2 years
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Drivers TaylorMade Stealth, Stealth + et Stealth HD, le comparatif MyGolfTest - MyGolfMedia Après avoir découvert les nouveaux produits TaylorMade 2022 arrivés au Studio, et déballés le carton, découvert le premier driver TaylorMade Stealth Plus en 9 degrés de loft, cette fois, on compare entre elle les trois têtes TaylorMade Stealth, Stealth + et Stealth HD, toutes sur le même loft mais avec des manches différents. Notre objectif va consister à essayer de distinguer des différences de rendements entre les trois têtes, ou d’illustrer des fonctionnements différents, et notamment pour la HD, High Draw qui est plus communément une tête “closed face” pour aider les sliceurs. Pour plus d'informations, visitez notre site web:- comparatif driver golf
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mygolfmedia · 2 years
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Hopps Open de Provence: Alfie Plant vise une troisième victoire sur le Challenge Tour - MyGolfMedia Vainqueur de la précédente édition, en 2021, l’anglais Alfie Plant revient sur le Golf International de Pont-Royal avec l’ambition de défendre son titre, et par la même occasion, d’obtenir une troisième victoire sur le sol français, où il se montre décidément particulièrement à l’aise. Pour plus d'informations, visitez notre site web:- golf
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mygolfmedia · 2 years
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Golf vandalisé à Saint-Cloud: Et si c’était à nous d’agir ? - MyGolfMedia Avant de démarrer cet article, ma première pensée va aux équipes terrains du golf de Saint-Cloud dont le travail a été agressé, violé et bafoué. Personne, quel que soit le motif, ne mérite que son travail soit méprisé et détruit. Cette agression ne doit pas être sous-considérée par les autorités judiciaires, qui au contraire, doivent redémontrer l’état de droit en France. Tout ne doit pas être possible. Pourtant, ça y est, nous y sommes ! Nous sommes au point de rupture de l’image du golf en France avec une partie de la population, et de nos concitoyens. Après des années de défiance ou de méfiance, certains ont basculé du désintérêt vers le mépris, et désormais vers l’agression, plus fort que le rejet. C’est la volonté de tuer une idée, la pratique du golf en France. C’est aussi le reflet d’un échec, et que nous ne pouvons pas, et ne devons pas passer sous silence. Pour plus d'informations, visitez notre site web:- GOLF DE SAINT-CLOUD
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mygolfmedia · 2 years
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Putters PING 2022 : Le pari risqué entre plus de personnalisation et un prix élevé - MyGolfMedia Sur un marché du golf en nette récession, les ventes de putters sont en forte baisse en 2022, PING annonce en septembre une gamme très complète de nouveaux modèles, pour tenter de relancer un nouveau cycle commercial. Depuis quelques mois, les modèles de la collection précédente se faisaient distancer par Odyssey, Scotty Cameron, et même TaylorMade. Pour la marque de Phoenix, il était grand temps de se remettre en selle. Pour autant, cette nouvelle gamme de putters très exhaustive s’accompagne d’un prix de vente élevé (350 euros), soit environ 100 euros de plus que le prix marché moyen. Signe de l’inflation ? Les nouveaux putters seront-ils suffisamment attractifs pour relancer la marque ? Lire la suite:- PING
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mygolfmedia · 2 years
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Rescue Callaway Apex UW : Compromis entre bois de parcours et hybride? - MyGolfMedia Pour un golfeur amateur, cela peut être un véritable débat que de choisir entre un bois 5 ou un hybride 4 à emmener dans son sac. La marque Californienne Callaway l’a peut-être senti et voulu renforcer son offre d’hybrides avec le nouveau APEX UW destiné aux bons joueurs, et surtout au croisement entre un bois de parcours et un hybride traditionnel… Pour plus d'informations, visitez notre site web:- rescue golf
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mygolfmedia · 2 years
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Garmin S42, S62, S12, et S60 : Le quatuor gagnant des montres GPS pour le golf ? Skycaddie, TecTecTec, GolfBuddy, ShotScope, Izzo, Bushnell, Voice Caddie… ne cherchez plus ! En France, le marché des montres GPS pour le golf est outrageusement dominé par une seule marque : Garmin. Plus de 60% des ventes sont réalisés sur seulement quatre modèles : Les montres Garmin S42, S62, S12 et S60. Est-ce le seul résultat de la demande ? Il y a fort à parier que la distribution ait déjà réalisé une pré-sélection, pour éviter de stocker des produits qui peuvent déprécier rapidement, et notamment à chaque petite innovation. Garmin se retrouve donc en position de force sur ce marché, et organise elle-même sa concurrence entre quatre modèles qui correspondent en réalité à quatre prix différents, de 199 à 549 euros. Choisir une montre GPS Garmin, est-ce nécessairement le bon choix ou le seul ? Pour plus d'informations, visitez notre site web:- Golf
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mygolfmedia · 2 years
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Quel est le problème n°1 des amateurs de golf sur le parcours ? - MyGolfMedia Connaître Quel est le problème n°1 des amateurs de golf sur le parcours? Pour plus d'informations, visitez notre site web. Golf
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mygolfmedia · 2 years
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Conseil Technique Golf | Informations Sur Le Golf - MyGolfMedia Nous avons sélectionné 3 conseils qui semblent indispensables pour jouer au golf. Des "conseils" pour les débutants, mais aussi pour les golfeurs plus expérimentés qui les ont peut-être oubliés. Des conseils simples, mais encore très peu appliqués sur les pratiques européennes. Pour plus d'informations:- conseil technique golf
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