Tumgik
#je plaisante les gars j'écris
suguella · 6 months
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you know what.. fuck writing, fuck t*mblr, fuck proofreading. imma just imagine geto eating me out.
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unpeuchaquejour · 2 years
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Mardi 21 décembre 2021. Temps magnifique. Froid. Soleil. Givre sur les voitures et glace pilée (comme dit Geraldine Geay). Ouvert le portail à T puis retourné dans mon lit mais sans dormir. Juste sous la couette, le corps allongé, au chaud. Ça fait un moment que mon corps est de moins en moins confortable. Douleurs, ou plutôt avertissements de mon dos menaçant de se bloquer à tout moment. Peut être dû à ma sortie d'hier. Avec les Doc Martens. Vais essayer les Onitsuka Tiger (achetées à Daikanyama) aujourd'hui pour ma sortie. Il fait un soleil magnifique que j'attends depuis hier. Vais prendre le LOMO LCA+.
Retrouvé les anciens agendas 2019 et 2018. Vraie bonne sensation à les parcourir. Les infos de température et de nouriture sont plaisantes.
Pourquoi Untel est édité et pas moi ? Parce qu'il fait des livres ? Parce qu'il fait PD et pas moi ? Pourquoi tous ces gens se trouvent-ils et moi personne ? Parce que ce que j'écris ou dessine est nul et sans intérêt.
Dessiné un gars massif avec une polaire bleu pétrole et une bague avec une pierre bleue elle aussi. Un pantalon que j'ai cru en toile noire (c'était un velours à cotes) à revers laissant apparaitre des chevilles enroulées dans des chaussettes blanches et des baskets aux tons pastels : rose pale, beige et marron. Gars très agréable à regarder. Le voyage l'était aussi, les gens aussi. Peut être que l'infarctus m'a changé, où peut être que c'est parce que je n'y vais que quelques heures et aux heures de faible fréquentation ?
Donné 10€ à une vieille femme magnifique toute en noir, blonde, cheveux courts. Je lui ai dit qu'elle était magnifique. Elle m'a parlé de Dieu, de la mode, des habits pour les chiens, du fait que si on les emballait complètement de la tête aux pieds Dieu dirait "Mais comment voulez vous que je fasse peur ? " puis elle a eu un geste circulaire de la main en me disant "vous voyez ce que je veux dire ? " dans un sourire, comme si c'était la blague la plus drôle et la plus fine qui soit et comme si seule elle et moi étions à même de la comprendre. Elle était assise au pied d'un feu tricolore, près de l'enseigne de vêtements japonaise, pas loin de la nouvelle Samaritaine et de l'immonde paquebots monogrammé. Elle m'a fait penser à une actrice anglaise (Tilda Swinton) ou à Annie Lennox ou à ma tante A. Les gens passaient et photographiaient le nouveau temple de la consommation ou bien te jugeaient du regard, commençaient à t'effacer du paysage, "comment est ce possible, deux clochards ici ?! " ou "ils se parlent, ils sont dans la misère tous les deux ? Vite, regardons ailleurs ! " Je lui ai souhaité bon courage et ai traversé, et elle a souri du début à la fin, un sourire pas si loin du rictus qu'on fait quand on a mal ou qu'on pleure mais qu'on n'a plus de larmes.
Sinon j'ai trouvé les gens aimables, je les ai surtout considérés comme un flux organique sur lequel, autour duquel il faut évoluer pour ne pas se faire happer.
J'ai appris, plus tard, sur les réseaux, que c'était peut être Malaury N, une ancienne actrice de feuilleton pour ados.
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