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#le fantôme du bengale
fredandrieu · 1 year
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alexlacquemanne · 1 year
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2022 in 12 movies (1 per months)
January
The Pink Panther (1963) directed by Blake Edwards with Peter Sellers, David Niven, Robert Wagner, Capucine and Claudia Cardinale
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February
Pépé le Moko (1937) directed by Julien Duvivier with Jean Gabin, Line Noro and Mireille Balin
[First time]
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March
Mado (1976) directed by Claude Sautet with Michel Piccoli, Ottavia Piccolo, Jacques Dutronc, Charles Denner and Romy Schneider
[First time]
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April
A Countess from Hong Kong (1967) directed by Charlie Chaplin with Marlon Brando, Sophia Loren, Tippi Hedren, Margaret Rutherford, Sydney Chaplin and Géraldine Chaplin
[First time]
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May
Whiplash (2014) directed by Damien Chazelle with Miles Teller, J. K. Simmons, Paul Reiser et Melissa Benoist
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June
L'Arme à gauche (1965) directed by Claude Sautet with Lino Ventura, Sylva Koscina, Leo Gordon and Alberto de Mendoza
[First time]
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July
Compartiment tueurs (1965) directed by Costa-Gavras with Yves Montand, Jacques Perrin, Catherine Allégret, Pierre Mondy and Claude Mann
[First time]
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August
Soylent Green (1973) directed by Richard Fleischer with Charlton Heston, Leigh Taylor-Young, Edward G. Robinson and Chuck Connors
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September
Estambul 65 (1965) directed by Antonio Isasi-Isasmendi with Horst Buchholz, Sylva Koscina, Mario Adorf, Perrette Pradier and Klaus Kinski
[First time]
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October
Nuovo Cinema Paradiso (1988) directed by Giuseppe Tornatore with Philippe Noiret, Salvatore Cascio, Marco Leonardi and Jacques Perrin
[First time]
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November
Robin and Marian (1976) directed by Richard Lester with Sean Connery, Audrey Hepburn, Robert Shaw and Richard Harris
[First time]
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December
Rebecca (1940) directed by Alfred Hitchcock with Laurence Olivier, Joan Fontaine, George Sanders and Judith Anderson
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Honourable Mentions :
Guess Who's Coming to Dinner (1967)
In the Heat of the Night (1967)
An Affair to Remember (1957)
Le Sauvage (1975)
The Night of the Generals (1967)
Crime et Châtiment (1956)
Un témoin dans la ville (1959)
Le Mans (1971)
Les Demoiselles de Rochefort (1967)
A Star Is Born (2018)
César et Rosalie (1972)
The Breakfast Club (1985)
C'est magnifique ! (2022)
The Blues Brothers (1980)
Under Capricorn (1949)
Tous à l'Ouest (2007)
Le Fantôme du Bengale (1996)
Ho ! (1968)
The Greatest Show on Earth (1952)
The Wrong Man (1956)
The Rope (1948)
Le Visiteur du Futur (2022)
Le Secret des Incas (1954)
Itinéraire d'un enfant gâté (1988)
Le Magnifique (1973)
La Femme d'à côté (1981)
The Hustler (1961)
The Big Sleep (1946)
Fantômas (1964)
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souslasurface · 5 years
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Lou, mon étoile
L’étoile nommée Lou est aussi belle aussi voluptueuse qu’une jolie fille
vicieuse
Elle est assise dans un météore agencé comme une automobile de luxe
Autour d’elle se tiennent les autres étoiles ses amies
Autour de l’automobile stellaire s’étend l’infini éthéré
Les Planètes rutilantes se montrent tour à tour comme des déesse
callipyges sur l’horizon
La voie Lactée monte comme une poussière derrière
Le météore automobile
Des guirlandes d’astres décorent l’infini
Le météore automobile luxueux et architectural
Comme un palais
est monté sur un bolide énorme qui tonne à travers les cieux
Qu’il sillonne d’éclairs
versicolores et durables comme de merveilleux feux de Bengale
Et doux comme des baisers éternels
Et des rayons de soleils ombragent
Ainsi de beaux arbres
printaniers
La route diaphane
Ô Lou, étoile nommée Lou la plus belle des étoiles
Ô reine des Étoiles
Ton royaume s’étend en plaines animées comme les oiseaux
En plaines mouvantes comme un régiment
De fantassins nomades
Étoile Lou, beau sein de neige rose
Petit nichon exquis de la douce nuit
Clitoris délectable de la brise embaumée d’Avant l’Aube
Les autres astres sont ridicules et sont tes bouffons
Ils jouent pour toi des comédies
Fantasmagoriques
Ils font les fous pour que l’Étoile nommée Lou ne s’embête pas
Et parfois les nuits sont mortelles
L’étoile nommée Lou
Traverse des prairies d’asphodèles
Et des fantômes infidèles
Pleuvent dans les abîmes autour d’elle
Mais cette nuit est si belle!…
Je ne vois que l’étoile que j’aime.
Elle est la splendeur du firmament
Et je ne vois qu’elle
Elle est un petit trou charmant aux fesses des nuages
Elle est l’étoile des Étoiles
Elle est l’étoile d’Amour
Ô nuit ô nuit dure toujours ainsi
Mais voici
Les gerbes des obus en déroute
Qui me voile
Mon étoile
Je baisse les yeux vers les ténèbres de ma forêt
Et mon intelligence amoureuse
Devient oiseau
Pour aller revoir plus haut plus haut
Plus haut toujours
Ce petit cœur bleuâtre
Qu’est mon étoile nommée Lou
Ma douce étoile qui fait vibrer au ciel
Des mots d’amour exquis
Qui viennent en lents airs dolents qui correspondent nuance à nuance
à chaque chose que je pense.
Étoile Lou fais-moi monter vers toi
Prends-moi dans ta splendeur
Que je sois ébloui et presque épouvanté
Que l’espace bleu se creuse à l’infini
Que l’horizon disparaisse
Que tous les astres grandissent
Et pour finir fais-moi pénétrer dans ton paradis
Que j’éprouve une sensation
De bien-être inouï
Que j’absorbe par toute ma chair, toute mon âme
Ta lumière exquise
Ô mon paradis !
Courmelois, le 3 juin 1915
Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou
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beatsupahero · 5 years
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Films vus en salle
Woody Allen (19 + 1) :
Prends l'oseille et tire-toi
(Tombe les filles et tais-toi)
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans oser le demander
Annie Hall
Manhattan
La Rose pourpre du Caire
Hannah et ses sœurs
September
Meurtre mystérieux à Manhattan
Vicky Cristina Barcelona
Whatever Works
Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu
Minuit à Paris
To Rome with Love
Blue Jasmine
Magic in the Moonlight
L'Homme irrationnel
Café Society
Wonder Wheel
Un Jour de pluie à New York
Almodovar (17) :
Dans les ténèbres
Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ?
Matador
La Loi du désir
Femmes au bord de la crise de nerf
Attache-moi !
Talons aiguilles
La Fleur de mon secret
En chair et en os
Tout sur ma mère
La Mauvaise éducation
Volver
Étreintes brisées
(La Conseillère anthropophage (court-métrage))
La piel que habito
Les Amants passagers
Julieta
Douleur et gloire
Hitchcock (13) :
Lifeboat
La Maison du docteur Edwardes
Les Enchaînés
Le Procès Paradine
La Corde
L'Inconnu du Nord-Express
Fenêtre sur cour
La Main au collet
Sueurs froides
La Mort aux trousses
Psychose
Les Oiseaux
Frenzy
Joel & Ethan Coen (13) :
Blood Simple
Arizona Junior
Barton Fink
Le Grand saut
Fargo
The Big Lebowski
O' Brother where art thou?
No Countty for Old Men
Burn After Reading
A Serious Man
True Grit
Inside Llewyn Davis
Ave, César !
Johnnie To (9) :
The Mission
Election 1
Election 2
Triangle
Mad Detective
Sparrow
Vengeance
Life Without Principle
Office
Tarantino (8 + 1) :
Reservoir Dogs
(True Romance)
Pulp Fiction
Jackie Brown
Deathproof
Inglourious Basterds
Django Unchained
The Hateful Eight
One Upon A Time In Hollywood
Scorsese (6) :
Who's That Knocking at my Door
Mean Streets
Taxi Driver
Casino
Shine a Light
Shutter Island
David Fincher (6) :
Seven
Fight Club
Zodiac
L'Étrange histoire de Benjamin Button
The Social Network
Millenium : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes
James Bond (5) :
James Bond contre Docteur No
Casino Royale
Quantum of Solace
Skyfall
Spectre
Steven Spielberg (5) :
Duel
Les Dents de la mer
Les Aventuriers de l'arche perdue
Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal
Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne
Jacques Tati (5) :
Jour de fête
Les Vacances de Monsieur Hulot
Mon Oncle
Playtime
Trafic
James Gray (5) :
Little Odessa
La Nuit nous appartient
Two Lovers
The Immigrant
The Lost City of Z
John Carpenter (5) :
Fog
New York 1997
The Thing
Christine
Prince des ténèbres
Robert Rodriguez (4) :
Une Nuit en enfer
Planète Terreur
Machete
Machete Kills Again
Jean-Pierre Mocky (4) :
La Cité de l'indicible peur
Les Insomniaques
Dors mon lapin
Le Renard jaune
Roman Polanski (4) :
Répulsion
Le Bal des vampires
Rosemary's Baby
The Ghost Writer
Stanley Kubrick (4) :
Fear and Desire
Orange mécanique
Shining
Eyes Wide Shut
Ridley Scott (4) :
Alien
Blade Runner
Thelma et Louise
Mensonges d'État
David Cronenberg (4) :
Scanners
Les Promesses de l'ombre
Cosmopolis
Maps to the Stars
Dario Argento (4) :
L'Oiseau au plumage de cristal
Le Chat à neuf queues
Suspiria
Opéra
Brian De Palma (3) :
Obsession
Blow Out
Scarface
Coppola (3) :
Le Parrain
Conversation secrète
Tetro
Fritz Lang (3) :
House by the River
Le Tigre du Bengale
Le Tombeau hindou
David Lynch (3) :
Sailor et Lula
Lost Highway
Mullholland Drive
Sidney Lumet (3) :
Le Gang Anderson
Serpico
À bout de course
Lucio Fulci (3) :
Perversion Story
Le Venin de la peur
L'Emmurée vivante
Hiroshi Inagaki (3) :
La Légende de Musashi
Duel à IchijojiLa Voie de la lumière
Kurosawa (2) :
La Forteresse cachée
Sanjuro
Satyajit Ray (2) :
Tonnerres lointains
Le Dieu éléphant
Mario Bava (2) :
Les Trois visages de la peur
Six femmes pour l'assassin
John Boorman (2) :
Le Point de non-retour
Zardoz
Alan J. Pakula (2) :
Klute
À cause d'un assassinat
Leos Carax (4) :
Les Amants du Pont Neuf
Tokyo
Holy Motors
Annette
Tsui Hark (3) :
Le Festin chinois
Triangle
Detective Dee - Le mystère des balles fantômes
Park Chan-wook (3) :
Old Boy
Thirst
Stoker
Kim Jee-won (3) :
A Bittersweet Life
Le Bon, la brute et le cinglé
J'ai rencontré le diable
Bong Joon-ho (2) :
Mother
Parasite
Na Hong-jin (2) :
The Chaser
The Murderer
Billy Wilder (2) :
Ariane
La Vie privée de Sherlock Holmes
Ozu (2) :
Fin d'automne
Le Goût du saké
Spike Lee (2) :
Do the Right Thing
BlacKkKlansman
Monty Python (1) :
La Première folie des Monty Python
Louis De Funès (1) :
Les Aventures de Rabbi Jacob
Charlie Chaplin (1) :
Les Temps modernes
John Woo (1) :
Les Trois royaumes
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alapagedeslivres · 3 years
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Le cerf-volant de Laetitia COLOMBANI
Le cerf-volant de Laetitia COLOMBANI : un portrait touchant de l'Inde, de Léna et de ses combats. COUP de COEUR.
Le résumé des éditions GRASSET – 09 juin 2021 : Après le drame qui a fait basculer sa vie, Léna décide de tout quitter. Elle entreprend un voyage en Inde, au bord du Golfe du Bengale, pour tenter de se reconstruire. Hantée par les fantômes du passé, elle ne connait de répit qu’à l’aube, lorsqu’elle descend nager dans l’océan indien. Sur la plage encore déserte, elle aperçoit chaque matin une…
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ailleurs-l4s · 4 years
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 JOUR 49  – Élodie
Avec l’été revient l’oncle du Japon et sa valise aux trésors. Dedans, mille merveilles et les feux de Bengale qui illuminent nos nuits. Il n’est pas temps encore de parler du Bengale. Je l’ai rencontré plus tard et ce n’est pas au Japon. L’été, l’oncle du Japon vient pour les vacances avec ses étudiants et amis. Cette année, la cantatrice japonaise l’accompagnait. Un soir d’été, elle est montée sur la mezzanine, elle s’est tenue, magistrale, derrière la balustrade surplombant le salon. Elle a inspiré lentement, longuement. Le temps s’est arrêté. Ce soir-là, devant un public fasciné, elle a chanté, la cantatrice japonaise. Le souffle puissant de la voix a résonné à-travers toutes les pièces de la maison. Ce soir-là, le toit s’est envolé, les vitres ont vibrées très fort. Et le souffle puissant est monté et s’est faufilé à-travers le toit et s’est glissé au-dessus de la maison et s’est propagé dans la plaine et s’est répandu dans tous les villages autour. Tard dans la nuit, les chiens ont accompagné en chœur, le chant. Ce soir-là, les fantômes se sont fait tout petits. Je me souviens de la cantatrice japonaise et de l’écho de son chant. Dans le village, il résonne encore. Aujourd’hui, j’aimerais avoir la voix puissante de la cantatrice japonaise, j’aimerais que l’orage qui gronde en moi sorte et enfle et s’échappe par-dessus les toits, et résonne dans la plaine et les villages autour.
© Élodie Guignard | Hans Lucas
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lupitovi · 7 years
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L’étoile nommée Lou est aussi belle aussi voluptueuse qu’une jolie fille vicieuse Elle est assise dans un météore agencé comme une automobile de luxe Autour d’elle se tiennent les autres étoiles ses amies Autour de l’automobile stellaire s’étend l’infini éthéré Les Planètes rutilantes se montrent tour à tour comme des déesses callipyges sur l’horizon La voie Lactée monte comme une poussière derrière Le météore automobile Des guirlandes d’astres décorent l’infini Le météore automobile luxueux et architectural Comme un palais Est monté sur un bolide énorme qui tonne à travers les cieux qu’il sillonne d’éclairs Versicolores et durables comme de merveilleux feux de Bengale Et doux comme des baisers éternels Et des rayons de soleil ombragent Ainsi de beaux arbres Printaniers La route diaphane Ô Lou étoile nommée Lou la plus belle des étoiles Ô reine des Étoiles Ton royaume s’étend en plaines animées comme les oiseaux En plaines mouvantes comme un régiment De Fantassins nomades Étoile Lou beau sein de neige rose Petit nichon exquis de la douce nuit Clitoris délectable de la brise embaumée d’Avant l’Aube Les autres astres sont ridicules et sont tes bouffons Ils jouent pour toi des comédies Fantasmagoriques Ils font les fous pour que l’Étoile nommée Lou ne s’embête pas Et parfois les nuits s sont mortelles L’étoile nommée Lou Traverse des prairies d’asphodèles Et des fantômes infidèles Pleuvent dans les abîmes autour d’elle Mais cette nuit est si belle Je ne vois que l’étoile que j’aime Elle est la splendeur du firmament Et je ne vois qu’elle Elle est un petit trou charmant aux fesses des nuages Elle est l’étoile des Étoiles Elle est l’étoile d’Amour Ô nuit ô nuit dure toujours ainsi Mais voici Les gerbes des obus en déroute Qui me voilent Mon étoile Je baisse les yeux vers les ténèbres de ma forêt Et mon intelligence amoureuse Devient oiseau Pour aller revoir plus haut plus haut Plus haut toujours Ce petit cœur bleuâtre Qu’est mon étoile nommée Lou Ma douce étoile qui fait vibrer au ciel Des mots d’amour exquis Qui viennent en lents airs dolents qui correspondent nuance à nuance à chaque chose que je pense Étoile Lou fais-moi monter vers toi Prends-moi dans ta splendeur Que je sois ébloui et presque épouvanté Que l’espace bleu se creuse à l’infini Que l’horizon disparaisse Que tous les astres grandissent Et pour finir fais-moi pénétrer dans ton paradis Que j’éprouve une sensation De bien-être inouï Que j’absorbe par toute ma chair toute mon âme Ta lumière exquise Ô mon paradis
Guillaume Apollinaire
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digiflimz · 5 years
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Black Snake, la légende du serpent noir
Karole Rocher & Thomas N'Gijol
Ok. Ok. Le Fantôme du Bengale x Black Panther Français, avec beaucoup d'ironie à la OSS117. Le Super Dupont de la brousse, en quelque sorte. Eh ben ça passe plutôt pas mal, ce truc. Je ne connaissais pas l'humoriste Thomas N'Gijol, et c'est une chouette découverte. Bon le flim n'est pas hilarant de bout en bout, et souffre de quelques problèmes de rythme et d'une intrigue principale un peu trop fainéante, mais dans l'ensemble c'est sympa à regarder, avec pas mal de références aux flims de Hong Kong de sauveur prophétique, des gags qui font mouche (et pas que ceux de la bande annonce), et une réalisation fauchée mais qui cache correctement la misère.
4/6 Allez, en pack avec le spectacle de son réalisateur/personnage principal, pourquoi pas ?
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spleenywaves · 6 years
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Minuit passé déjà, le feu s'est éteint Et je sens le sommeil qui gagne du terrain On ne doit pas trop tarder Tout à l'heure il faudra se lever aux aurores Et partir Mais avant de m'endormir contre vous Permettez-moi d'incliner la tête et le haut de mon corps D'ouvrir mes mains et de vous rendre hommage Dorénavant je suis votre, je me fais votre serviteur Désormais vous avez mon cœur, ma voix ma tête blonde Mon corps encore jeune Mes mots, mes jolis mots Ceux que j'essaie d'écrire Mon histoire, mon avenir Mes chansons, mes fantômes, mes faits, ma lumières, mes baisers Et toutes ces choses au fond qu'il faut sortir Mes secrets, ma rage avec la bave aux lèvres Ma hargne, ma folie, mon courage peut-être Mes rires profonds, mes cris de joie, mes cris de guerres, Mes coups de sang, mes coups de poing, ma mystique Tout est à vous Ma chaleur, mes mains, mes triques, mes saillies, ma queue, mes nuits Tous mes ornements, des mes bagues à mon collier De ma lame à mon armure Et mon palladium et mes arcanes Prenez aussi ma fortune, mes coups du sort, mes coups de cocu Mes aubaines et mes peines avec, mes combats Ma victoire, mes succès, mes défaites Mes causes perdues, mes batailles gagnées, mes blessures apaisées Ma parole, mon honneur, tout est à vous Tout est à vous Tout est à vous Vous qui avez calmé ma tête Aujourd'hui tout est changé Les images ont du mal à passer les portes, grâce à vous Vous ma promesse, mon vaisseau, ma garde, mon escorte Mon tableau, ma prière, mon baptême Mon branle-bat, mon qui-vive, ma corne de brume Ma ligne de vie, mon clan, mon ordre Mon rang, mon calme plat, mon continent Vous mon monde, ma nation, ma terre, mes collines, Mes hauteurs, mes océans, ma jungle et mes forêts Avec les fleurs des champs, mon aurore boréale Mon amour, mon mariage, mon chandelier Tout est à vous Vous mon flambeau, mon feu de Bengale, mon bouclier Mon tonnerre, mon ciel Ma foudre, mes ailes Mon pardon, mon cristal, mon métal précieux enfoui Vous mon pavois, mon grand pavois Mon étendard, ma bannière, mon blason Mon drapeau, mon zénith, mon torrent, mon déluge Ma steppe, ma pleine Vous mon empire, mon système, mon roi, ma reine Tout est à vous Tout est à vous Minuit passé déjà Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement Parce que je sais où nous allons désormais Mes souliers me portent J'ai plus peur
Révérence-FAUVE
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visiter
Les palais.
Le palais de Jodhpur est comme un vaisseau immobile : il en a la même verticalité tranchante dans le flot grouillant de la ville indienne, il est calme et propre, démesuré. Je passe mes soirées à le contempler assis sur la terrasse de ma guesthouse. C’est un raccourci du Deccan grouillant d’humanité et de saleté et de bruit aux pieds d'un Himalaya vide, propre et silencieux, qui serait comme sa forteresse. Je pourrais m'amuser à filer la comparaison entre ces vaisseaux de pierre et celui qui m'a amené aux Indes à travers les mers et l'océan ; comme lui, ils opposent leur géométrie à la houle vaste jusqu’à l’horizon, comme lui ils sont entretenus pour échapper à la dégradation et au désordre.
À Udaipur, en revanche, le palais est assiégé par la ville dont il émerge à peine ; de plus il souffre d’être toujours hanté par le fantôme de James Bond dont les aventures de l'épisode Octopussysont projetées le soir sur les terrasses des restaurants ; par celui aussi du Tigre du Bengalede Fritz Lang, décidément une ville et un palacetrès cinématographiques.
Mais, plus que dans les grands noms du Rajasthan, c'est à Bundi que je vais trouver la magie de cet État, ville qui donne encore l'illusion d'être loin du flux touristique. Le soir de Noël, un couple de Français tient table ouverte dans une auberge pour réunir les quelques Européens échoués ici autour d'une célébration amicale de la fête, comme si célébrer la Nativité si loin de tous et dans un pays pour lequel cela ne signifie rien n'était pas un choix infiniment plus romantique que ces pauvres agapes. L'éloignement dans l'espace est redoublé par celui du calendrier, je suis deux fois plus perdu que dans le temps ordinaire. Cela me procure aussi ce plaisir enfantin d'être à la porte de la fête, de savoir sa chaleur et son animation sans y participer, de se plaindre soi-même de n'y être pas et de se rassurer de sa proximité en même temps, de se féliciter de sa supériorité solitaire et de chercher à manquer aux autres pour les punir.
Je rencontre quand même dans cette ville un couple de jeunes musiciens belges jouant dans un trio qu'ils ont fondé ; la conversation roule sur Narcisse et Goldmund,éponyme de leur ensemble, sur les principes opposés du sentiment et de la raison dans la création artistique, occasion de vraie discussion assez rare en voyage, d'autant plus rare qu'elle me replonge dans l'œuvre fascinée d'Orient d'Hermann Hesse ; mais, si jeunes et si artistes, ils portent en eux l'embourgeoisement de leur belgitude, ils sont déjà, moralement, en pantoufles et tisane, une vie de couple, une vie en boucle. Artistes et Belges, qu'en aurait pensé Baudelaire, lui qui vomissait la Belgique comme incarnation du philistinisme ? “J’ai mis toute ma volupté / Dans l’esprit de Conformité ».
Suivant le modèle classique des principautés rajpoutes, la cour du Raja de Bundi est descendue dans la plaine en une véritable coulée palatiale depuis le fort originel du XVème siècle au sommet du mont, première résidence nichée au cœur des remparts nécessaires à l'exercice de la puissance militaire de cette caste de chevaliers, jusqu'au modeste palais du XXèmesiècle, en pleine ville quand l'exercice du pouvoir n'avait plus grande réalité pour ces princes, modestie qui témoigne de la décadence de cette principauté qui avait pourtant abrité une des plus importantes écoles de miniature à l'époque classique. Entre les deux, l'énorme palais du XVIIIèmesiècle au pied du coteau, où les fastes de la vie curiale ont pu alors se déployer luxueusement mais avec encore des aspects fortifiés, l'époque héroïque des khashtria(guerriers) restant la référence du pouvoir princier alors menacé de vacuité, dans l’attente du ministre anglais nommé par l’East Indian Company  pour contrôler la gestion du Maharaja. À qui dix-sept gunsétaient accordés, comme au maharaja de Jaipur, descendu de même des hauteurs, depuis le fort de Jaigarh et le palais d’Amber pour se fixer au palais Chandra Mahal autour duquel s’est développée la ville actuelle.
À Bundi, je suis partagé entre la tristesse de l'état d'abandon du palais et des fresques, qui sont les plus belles que j'aie vues dans le Rajasthan, d'autant plus triste qu'à chacun de mes séjours les dégradations s'aggraveront, et la jouissance de pouvoir, contre un maigre bakchich, me balader partout, sans contrainte, partager les ruines avec singes et chauves souris, emprunter des escaliers dérobés pour aboutir aux terrasses et aux balcons en encorbellement du Zenana. Des fenêtres, les échappées sur la petite ville bleue et le moutonnement des havelisbien préservées sont éblouissantes. Bien plus que dans les palais muséifiés aux trois étoiles touristiques, je ressens la magie des lieux et me pénètre mieux de la vie dans ces espaces palatiaux, je suis le maître des lieux le temps de ma visite.
Il y a un état de décrépitude qui reste bien plus évocateur et parlant que les monuments restaurés ou que les ruines absolues entretenues derrière des grilles par l’Archæological Survey. État par définition transitoire et chaque année qui passe met le monument un peu plus face à sa disparition, à celle de ses fantômes quand il sera par trop inhospitalier. J'aurais envie de demander au temps de s'arrêter là mais, comme moi, il ne fait que passer. La rencontre de l'éphémère est une autre mesure du voyage. Cet accord de nos rythmes a quelque chose de rassurant.
Les pièces d'apparat ont gardé l'essentiel de leur décor de miniatures de la plus exquise exécution. Du côté des appartements princiers, le ton dominant est le rouge pourpre, couleur du pouvoir et de la gloire qui légitime les princes héritiers par leur naissance porphyrogénète, né dans la pourpre comme on disait à Byzance. J'y retrouve aussi l'esprit héraldique sur des motifs très apparentés à ceux des tapis persans rehaussés d'or en particulier dans les plafonds au plâtre lissé pour obtenir l'aspect du marbre. Les parois développent les scènes classiques de la vie de cour, les darbarsoù le raja reçoit l'hommage de ses fidèles, beaucoup de chasses avec chevaux et éléphants richement carapaçonnés, des scènes de combats aux éléphants galopants, les guerriers barbe au vent sous leur œil charbonneux souligné de khôl. Curieusement le raja est très souvent individualisé par une auréole dorée comme un saint chrétien en son paradis. Et ses armes portent un soleil rayonnant autour de sa face couronnée, Nec pluribus imparà sa façon.
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fredandrieu · 2 years
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Wilson McCoy 
Le Fantôme Spécial n° 42, février 1967
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alexlacquemanne · 2 years
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Juillet MMXXII
Films
Elvis (2022) de Baz Luhrmann avec Austin Butler, Chaydon Jay, Tom Hanks, Helen Thomson, Richard Roxburgh, Olivia DeJonge et Luke Bracey
Some Came Running (1958) de Vincente Minnelli avec Frank Sinatra, Dean Martin, Shirley MacLaine, Martha Hyer et Arthur Kennedy
Compartiment tueurs (1965) de Costa-Gavras avec Yves Montand, Jacques Perrin, Catherine Allégret, Pierre Mondy, Jean-Louis Trintignant, Simone Signoret et Charles Denner
Astérix : Le Domaine des dieux (2014) d'Alexandre Astier et Louis Clichy avec Roger Carel, Guillaume Briat, Lorànt Deutsch, Laurent Lafitte, Alexandre Astier et Alain Chabat
Les Figures de l'ombre (Hidden Figures) (2016) de Theodore Melfi avec Taraji P. Henson, Octavia Spencer, Janelle Monáe, Kevin Costner, Kirsten Dunst et Jim Parsons
L'Africain (1983) de Philippe de Broca avec Catherine Deneuve, Philippe Noiret, Jean-François Balmer, Jacques François et Jean Benguigui
Thor: Love and Thunder (2022) de Taika Waititi avec Chris Hemsworth, Tristan Hemsworth, Christian Bale, Natalie Portman, Tessa Thompson et Taika Waititi
Au bout du conte (2013) de Agnès Jaoui avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, Arthur Dupont, Agathe Bonitzer, Benjamin Biolay et Nina Meurisse
Le Fantôme du Bengale (The Phantom) (1996) de Simon Wincer avec Billy Zane, Kristy Swanson, Treat Williams, James Remar, Catherine Zeta-Jones et Patrick McGoohan
Les Dalton en cavale (1983) de Morris, William Hanna, Joseph Barbera et Ray Patterson avec Jacques Thébault, Roger Carel, Pierre Trabaud, Jacques Balutin et Pierre Tornade
Tous à l'Ouest (2007) d'Olivier Jean-Marie avec Lambert Wilson, Clovis Cornillac, Alexis Tomassian, Christophe Lemoine, Bernard Alane et François Morel
Les Amants du Capricorne (Under Capricorn) (1949) d'Alfred Hitchcock avec Ingrid Bergman, Joseph Cotten, Michael Wilding et Margaret Leighton
ARCA (2022) de Germain et Robin Aguesse avec Gilles Graveleau, Clémence Verniau, Gilles Arbona et Emmanuel Rausenberger
Astérix chez les Bretons (1986) de Pino Van Lamsweerde avec Roger Carel, Pierre Tornade, Graham Bushnell, Serge Sauvion : Jules César et Pierre Mondy
La Chatte sur un toit brûlant (Cat on a Hot Tin Roof) (1958) de Richard Brooks avec Elizabeth Taylor, Paul Newman, Burl Ives et Judith Anderson
Le Seigneur des anneaux (J. R. R. Tolkien's The Lord of the Rings) (1978) de Ralph Bakshi avec Michel Caccia, Jean Davy, Serge Lhorca, Bernard Dhéran et Georges Poujouly
Signé Furax (1981) de Marc Simenon avec Bernard Haller, Roger Carel, Jean-Pierre Darras, Michel Galabru, Paul Préboist, Jean Le Poulain et Michel Constantin
Séries
Le Coffre à Catch
#79 : CM Punk, MVP du catch ? J'CROIS PAS NAN ! - #80 : Bonne Année de Catch + Balls a disparu = ECW - #81 : Grosse Ambiance, C'est la Maladie, On a l'intro ! - #82 : Kofi Kingston : les Débuts Historiques !
Affaires sensibles
29 septembre 1957, l’accident nucléaire de Maïak ou le silence atomique soviétique - 10 juillet 1976 : La catastrophe de Seveso - 11 Septembre, l'avant (1) - Le 11 septembre 2001, le jour qui a changé le monde (2) - 9/11, l'après : la guerre contre la terreur (3)
Columbo Saison 13
Une étrange association
Commissaire Dupin
Les secrets de Brocéliande
The Grand Tour Saison 4, 3
The Grand Tour présente… Seamen - Spéciale Colombie : Première partie - Spéciale Colombie : Deuxième partie
The Rookie Saison 4
La vie et la mort - Cinq minutes - Dans la ligne de feu - Chaud bouillant
Spectacles
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Livres
Les dents de la mer de Peter Benchley
Fairy Tail : Tome 1 de Hiro Mashima
Elfes, Tome 1 : Le Crystal des Elfes bleus de Jean-Luc Istin, Kyko Duarte et Saito
Kaamelott, Tome 6 : Le Duel des Mages d'Alexandre Astier, Benoit Bekaert et Steven Dupré
Astérix, Tome 16 : Astérix chez les Helvètes de René Goscinny et Albert Uderzo
Lucky Luke, Tome 24 : La Fiancée de Lucky Luke de Morris et Guy Vidal
La cage aux souvenirs de Pierre Mondy
Les aventures de Tintin, Tome 8 : Le Sceptre d'Ottokar d'Hergé
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thomotagada · 7 years
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Ce matin
Tu sais, ce matin, quand je suis sorti de chez moi, la première chose qui m’est venue à l’esprit, c’était une voix qui me disait : “Allumez les feux de Bengale !”, parce que la houle était tellement épaisse et ténébreuse, que je me suis dit que les navires n’allaient jamais pouvoir quitter le port autrement.
Et puis, lorsque j’ai embarqué, le navire a décollé, et s’est enfoncé dans une purée de pois, d’un noir complet. Seuls les feux, que l’on venait tout juste d’allumer, perçaient avec difficulté.
Durant un instant, à la sortie de la gare, nous avons été suspendus au-dessus de l’Oise, calme et silencieuse, son noir d’encre et ses étoiles fantômes qui flottaient dans la pénombre. Et puis, au fur et à mesure que notre vaisseau avançait, le ciel s’est mis à se fendre, à l’horizon. Nous avons alors dépassé de nombreux cosmos aux bâtiments éteints, et où seul le temps continuait à circuler dans les rues faiblement éclairées.
Et, alors que le monde s’éveillait et que la nuit retirait sa couette écumeuse, les étoiles du cosmos urbain n’éclairèrent bientôt plus que des structures froides et des rues immobiles, dans lesquelles s’engouffraient les gens. Les portes secrètes se refermaient doucement, jusqu’à la prochaine heure des rêves. Jusqu’à ce que le crépuscule commence et active les passages menant à des mondes inconnus. Jusqu’à ce que les navires, silencieux, se remettent à circuler.
Jusqu’à ce que la nuit revienne souffler ses songes à l’oreille des aventuriers, et ses promesses au cœur des explorateurs de l’ordinaire ; la poésie du quotidien qui plane sous les ponts, et glisse le long des berges endormies, avant de disparaître derrière l’aqueduc de l’horizon, immense et abstrait.
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fredandrieu · 1 year
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1971
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fredandrieu · 2 years
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Le jugement de Salomon Germano Ferri Le Fantôme n° 236 22 mars 1969
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fredandrieu · 2 years
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Lee Falk et Sy Barry 8 septembre 1969
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