Tumgik
#les femmes publiques
unes23 · 9 months
Text
Tumblr media
Kasis Struss by Stéphanie Volpato for Les Femmes Publiques
14 notes · View notes
chictape · 1 year
Photo
Tumblr media
Jourdan Dunn // Les Femmes Publiques April 2021
24 notes · View notes
soultobeloved · 1 year
Text
Tumblr media
ola rudnicka by marta bevacqua for les femmes publiques
15 notes · View notes
leilighet · 2 years
Photo
Tumblr media
25 notes · View notes
Text
Tumblr media
Pensée du jour d'Alexandre Jardin...
Ma femme-source me déséteint, me remet au niveau de la vie, m'y ramène. Elle me fait re-découvrir la densité poétique de chaque mot. Elle enjoyeuse tout. Son rire si contagieux dissout l'angoisse du siècle, congédie l'aigreur publique négative, convoquée sublime en permanence.
Les "amours" (d'occupation, de diversion, d'occasion, etc.) qui n'ont pas cet effet spirituel, allégeant et incroyablement allègre ne sont-elles pas une contrefaçon de l'amour ?
Plus jamais de copie, je ne veux plus que l'original : elle seule à jamais, sa présence.
Même son absence est une présence.
Peut-être suis-je en train de découvrir l'Amour, ce changement radical ? Cet effritement d'un soi excessif qui devient un NOUS glorieux, chef d'œuvre.
La vie spirituelle d'une femme-miracle est peut-être son secret.
Alexandre Jardin
20 notes · View notes
jacquesdor-poesie · 5 months
Text
Tumblr media
Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
32 notes · View notes
palafoxiana · 4 months
Text
Candaulisme
Le candaulisme est une pratique sexuelle et même une orientation sexuelle, dans laquelle une personne ressent une excitation sexuelle en exposant ou partageant son conjoint à une ou plusieurs personnes.
Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une ou plusieurs personnes, devant le regard consentant du partenaire de celle-ci.
Il s'agit d'une pratique différente voire opposée au cuckolding (« cocufiage ») ou cuckold (« cocu »), termes dérivés de cuckoo, en français coucou, un oiseau qui pond ses œufs dans le nid d'un autre oiseau. Dans cette dernière c'est la personne active dans la relation sexuelle qui décide de son partenaire dans une démarche d'humiliation de son ou sa conjoint(e).
Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme. Le fait pour un mari de confier sa femme à un amant connu, sans pour autant assister à leurs ébats, est connu sous le nom de principe du Sigisbée.
Tumblr media
De notoriété publique, la jeune femme n'était pas farouche et il fallait bien que son mari en soit éperdument amoureux pour lui offrir de passer sa nuit de noces avec ses deux garçons d'honneur
15 notes · View notes
from-derry · 2 months
Text
Simone Nelson - Pasteur - 53 ans
Tumblr media Tumblr media
Simone est la première fille et troisième enfant d’une adelphie de sept, du couple Nelson. Élève brillante, elle est aussi la première de sa famille à aller à l’université. Après un cursus remarquable à l’université publique de la ville, Simone se fait embaucher au tribunal de la ville voisine. D’abord remplaçante, son poste est rapidement pérennisé. Se profile alors pour elle un futur tout tracé et radieux. Au sein de la paroisse baptiste que sa famille fréquente, elle rencontre celui qui sera d’abord son fiancé, puis son mari et enfin le père de ses trois enfants. Épanouie, elle mène une vie heureuse, stable jusqu’à la succession de drames qui percutent sa vie de plein fouet.
Des pertes brutales, des membres de son adelphie sont enlevés par la drogue, l’addiction, des guerres dont ils n’auraient pas dû faire partie et ont été les victimes collatérales. Cela a empoisonné leur famille et, contre toute attente, les rapproche tous toujours plus les uns des autres. Pour aider un de ses frères, Simone va à l’encontre de ses principes éthiques et professionnelles – elle use de sa position pour dévoiler des pièces du dossier de son procès. En parallèle, et peut-être parce qu’elle se sent à la fois souillée et parce qu’elle a besoin d’un appui moral, elle s’investit d’autant plus dans la paroisse.
Elle accorde beaucoup de temps à la lecture et l’étude des textes saints, si bien qu’il n’aurait surpris personne – et surtout pas elle – qu’une reconversion se fasse. Elle se consacre toujours autant à sa famille, est une sœur, fille, femme aimante et altruiste, qui rend visite à son frère, prend du temps pour aider ses parents, est présente pour ses enfants.
Lorsqu’elle arrive à Derry, elle est réellement seule pour la première fois depuis des années. Devant initialement être accompagnée de sa cadette – celle-ci a finalement dû abandonner le voyage – à un mariage d’une cousine éloignée, elle se perd en rentrant de celui-ci, se trouvant dans un autre Etat.
Elle découvre une communauté étrangement soudée mais morose. Elle apprend par Beck, au hasard d’une conversation, qu’il n’y a plus de représentant religieux depuis des mois à Derry, personne n’a remplacé le pasteur décédé quelques dizaines de semaines auparavant. Il faut à Simone quelques semaines de réflexion supplémentaires avant d’oser se proposer pour le rôle – et s’adapter à sa nouvelle vie. Elle voit cependant la défection de sa fille comme un signe de Dieu – et sa présence à Derry également. Accueillie d’abord avec une sorte de méfiance de la part des habitants, elle parvient à reconstruire une paroisse à l’image de la ville, un espace où tout le monde peut se recueillir, trouver du silence ou une oreille attentive si besoin.
17 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
J'en ai (un peu) plus qu'assez de traîner mon cul à travers les rues des patelins pour photographier ces foutues vieilles enseignes. Elles ont eu leur heure de gloire, comme moi après quelques verres de trop au bistrot du coin. Elles ont survécu à des décennies de crachin, de fientes de pigeons et d'affiches politiques dégueulasses. Avec leurs gueules burinées par le temps, elles sont devenues des œuvres d'art urbain que tout le monde photographie. Je n’irai pas jusqu’à dire que ça devient lassant, mais faire comme tout le monde, ça m’a toujours gonflé. Alors, qu'est-ce qu'il me reste à faire ? Immortaliser les chiottes publiques, ces petits coins lugubres, souvent négligés, ces cloaques où l’on va se soulager en espérant qu’il reste un bout de PQ. C’est peut-être tordu, mais je m’en balance. Je me glisse dans ces coins puants avec mon appareil, comme une aventurière en quête du Graal. Les murs décrépis, les dessins obscènes, les messages cryptiques laissés par des inconnus, tout cela devient mon terrain de jeu. Les toilettes publiques sont le reflet le plus cru de l'âme humaine, un endroit où les masques tombent, où les vérités les plus intimes sont dévoilées. Et dans ce dédale d'urinoirs crasseux, il y a aussi parfois encore, les dames pipi, ces anges gardiens des chiottes publiques, ces saintes femmes qui veillent sur ces lieux maudits. Elles sont là, assises sur leur tabouret, avec leur petite boîte à pièces et leur sourire fatigué. Elles ont tout vu, tout entendu, tout nettoyé. Elles ont du courage à revendre, ces braves femmes. Elles sont la touche d’humanité dans ce monde de merde. Elles sont belles ces dames pipi, elles sont belles comme une fleur qui pousse sur un tas d’ordures. Et moi j’ai envie de capter ces instants de vérité, ces fragments d’âme qui s’échappent entre deux chasses d’eau. Les enseignes peuvent bien attendre un peu, car dans les toilettes publiques, c'est là que se trouve la véritable humanité.
35 notes · View notes
unes23 · 1 year
Photo
Tumblr media
Jourdan Dunn by Matt Easton for Les Femmes Publiques
32 notes · View notes
chictape · 1 year
Photo
Tumblr media
Jourdan Dunn // Les Femmes Publiques April 2021
9 notes · View notes
leilighet · 2 years
Photo
Tumblr media
17 notes · View notes
Text
Tumblr media
Léa est intriguée par tous ces témoignages qu'elle trouve sur internet ainsi il n'est pas rare que des jeunes femmes de sa tranche d'âge soient encore réduites au statut de petites ou encore aient droit à des punitions telles que la fessée.
Elle a retenu notamment celui de C. qui bien qu'étant déjà entrée dans la vie active après de brillantes études vit encore chez sa maman avec qui elle entretient une relation fusionnelle si ce n'est charnelle. Malheureusement C. malgré son apparence physique ainsi que ses tenues quotidiennes pour se rendre à son travail et son mode de vie adulte a conservé une certaine ... immaturité. Et sa maman que pourtant C. adore plus que tout, fait régulièrement les frais de son caractère de peste, de ses sautes d'humeur, de ses provocations publiques et surtout surtout de ses crises de colères incontrôlées. Aussi parfois il arrive que la seule alternative qui fonctionne pour parvenir à ce que C. retrouve calme et sérénité est une bonne fessée déculottée "à l'ancienne" voire anachronique mais toutes deux conviennent que..... c'est une solution qui fonctionne à merveille et par ailleurs n'entache pas l'amour et la tendresse réciproque qu'elles ont l'une pour l'autre....
72 notes · View notes
aisakalegacy · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Automne 1917, Hylewood, Canada (6/9)
Cette été, Agathon a eu sept ans et a fait sa rentrée des classes à l’école de Gan, où il a rejoint Marie. Il est très petit pour son âge, mais il démontre une belle intelligence. Il a appris tout seul à lire il y a un an, avant même de commencer l’école. Il se montre curieux et enthousiaste, et l’école publique ne semble pas lui suffire. Ma femme me supplie de l’envoyer au pensionnat avec Lucien, mais je n’en vois pas bien l’intérêt. L’école de Gan est très bien, d’ailleurs c’est son frère qui y enseigne, donc je ne vois pas bien de quoi elle se plaint. On paiera un précepteur à Agathon quand il aura douze ans, et il sera bien plus heureux ici qu’à Belleville. J’ai moi-même très bien réussi sans faire de grandes études, mon père aussi. Par ailleurs, nous n’avons pas les moyens d’envoyer tous nos enfants au pensionnat, et je préfère garder des fonds pour des éventuelles nécessités futures plutôt que les dépenser dans des études futiles qui n’auront pour but que d’épater les familles de l’île.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Jules, demain je chus pas à la mason. Je vas en ville, j’ai des commissions à fare à Kingston. Maria demande un gaufrier et un grille-pain. Jules Le Bris : Cela me parait être des gadgets superflus. Aucune bonne n’en a jamais eu besoin avant, comment faisaient-elles ? Agathon Le Bris : Papa, c’est où le désert de Libye ? Eugénie Le Bris : Agathon, Papa et Maman sont en train de parler. Jules Le Bris : C’est en Afrique du Nord, à l’ouest l’Egypte. C’est là que je fais mes fouilles. Agathon Le Bris : Tu vas y retourner bientôt ? Jules Le Bris : Je vais bien finir par y retourner, oui. Eugénie Le Bris : … Jules Le Bris : … Mais pas tout de suite ! On va d’abord attendre que le bébé soit né. Et puis, avec ma jambe, c’est compliqué. Agathon Le Bris : Tu m’emmèneras ? Jules Le Bris : Peut-être, oui, mais il va falloir que tu grandisses un peu davantage avant. Agathon Le Bris : Et on verra Orion ? Jules Le Bris : Orion, et bien d’autres qu’on ne peut voir qu’au sud, comme le Toucan, le Phénix et le Paon. Marie Le Bris : Pourquoi tu connais toutes ces étoiles ? Jules Le Bris : Ces constellations, Marie. Il est nécessaire de les connaître pour se repérer quand on est dans le désert ou au milieu de l’Arctique. Mais bien sûr, ici, ça ne sert à rien…
7 notes · View notes
droitsdesfemmes · 2 months
Text
Tumblr media
Une suffragette nourrie de force, 1911.
L'alimentation forcée des suffragettes au début du 20e siècle, notamment au Royaume-Uni, était une réponse brutale des autorités à la grève de la faim menée par ces militantes emprisonnées. Les suffragettes luttaient pour obtenir le droit de vote pour les femmes et, lorsqu'elles étaient emprisonnées pour leurs actions de protestation, beaucoup entamaient des grèves de la faim comme moyen de résistance et de protestation supplémentaire. La grève de la faim était pour elles une façon de continuer leur combat et d'attirer l'attention sur leur cause, même derrière les barreaux.
Les autorités, considérant la grève de la faim comme une menace à l'ordre public et voulant éviter le martyre des suffragettes qui pourrait en résulter si l'une d'elles mourait en prison, ont recours à l'alimentation forcée. Cette pratique consistait à nourrir de force les prisonnières en utilisant des tubes insérés dans l'estomac par le nez ou la bouche, souvent de manière violente, causant douleur et souffrance. Cette méthode était non seulement extrêmement douloureuse mais aussi dangereuse, et elle a été largement critiquée par l'opinion publique pour sa brutalité.
L'alimentation forcée a été dénoncée par les suffragettes et leurs soutiens comme une forme de torture. Elle a contribué à sensibiliser davantage le public à la cause du suffrage féminin, mettant en lumière la détermination des militantes et la sévérité des méthodes utilisées par l'État pour réprimer leur mouvement. En définitive, cette pratique cruelle a renforcé la solidarité autour des suffragettes et a accru le soutien à leur cause, contribuant à long terme aux succès du mouvement pour le droit de vote des femmes.
Tumblr media
4 notes · View notes
lisaalmeida · 6 months
Text
"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
Tumblr media
9 notes · View notes