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#mi mayot
depoesiaypoetas · 4 months
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Juan Gelman
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Las cosas de mi Pueblo-Cantabria Infinita...
Barcena Mayor.
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El el Parque Natural Saja-Besaya. Si queréis saber más sobre este lugar os lo contamos en Bárcena Mayor. Buen lugar para tomarse un cocido montañés.
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atukaworld · 2 years
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Papa, Ituri utho !
Papa Ituri ekufi ! Kud wawek Ituri utho kumeno.Kan alur ucungo ungo tok lembe mi Ituri no, ng’ati mabicopo yiko Ituri nisagu alur umbe.Kan alur ucungo, uai malu, uneno tek mange ceke bi cungo bende.Kan ulworo anya, mananu, ucung i toka. Uneno nia yiko Ituri no utie lem’ mayot. Gin m’unyotho Ituri utie nyap, man hypocrisie m’usagu akeca.Eno ke tie pi mer m’umbe ikind’wa, man pi alur m’udhauw ungo…
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Septième partie | 24 août 2020
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« Qui sème peu récolte peu. Celui qui veut belle moisson jette son grain en si bonne terre que Dieu lui rende deux cents fois, car en terre que rien ne vaut semence sèche et défaille. » (Chrestien de Troyes)
Or la terre était meuble et vivante et féconde car, la matinée durant, les Cieux avaient déversé une pluie nourricière à torrents sur la lice de l’ancien Roi Wilfrid, comme si Eux-Mêmes étaient consumés par l’impatience de voir fleurir la bravoure ! Cependant, fidèles lecteurs, heureuses lectrices, rappelez-vous que l’habit ne fait pas le moine, car nous eûmes un temps le souffle court et le poitrail serré sous nos cuirasses lorsqu’une félonne de l’ordre de La-Foi-du-Corps-Dieu annonça tout à coup la fermeture de la lice tant convoitée ; mais qu’heureusement, un preux chevalier prêtant son allégeance à la Confrérie de la Martre Dorée, parti en éclaireur, eût tôt fait de s’assurer du noble concours de la Cité Réale, grâce à laquelle les quelques mares fangeuses avaient déjà été joliment remblayées pour l’avènement de l’incontournable tournoi du lundi.
En fait, peu avant l’heure habituelle où les tournoyeurs engagent la joute, tout nuage subsistant au-dessus de la lice semblait en avoir été débouté par l’autorité du Très-Haut ; et alors que des nimbus s’amoncelaient encore à l’extérieur de son pourtour, au-dessus d’icelle, on voyait reluire un ciel pur et nu, comme lavé de tout péché. D’ailleurs, les quelques valeureux déjà sur les lieux, tout occupés à prier en fourbissant leurs armes, reçurent un Appel Irrésistible leur commandant de relever la tête : apercevant le miracle céleste, tous sentirent de joie leurs cœurs se gonfler, et d’allégresse leurs voix s’extasier !
Et bientôt l’on vit arriver avec grand bruit le gros des troupes : vers la lice convergeaient de vieilles badernes gradées du duché de Villeroy, des croisés vengeurs des faubourgs du Mont de la Rose, des mercenaires aux dents longues du plateau du Mont du Roi, d’intrépides paladins de la sombre fosse au sud du Centre, quelques anciens gueux anoblis du Bout-de-la-Lieue (Mile End, en langue bretonne), et même un chevalier sur le retour, curieusement monté sur un poulain en lieu de destrier, si bien que ses étriers touchaient terre, ce qui suscita quelques quolibets et jets de pierres à son endroit... Pis encore, la lancière du lointain duché d’Ahuntsic, Lady Gwendoline (dit Gwendon), avait quant à elle envoyé son vassal annoncer qu’elle renonçait une fois de plus à prendre part au tournoi, par couardise devant le risque de présence de boue. Mais peu nous en chaut, car mis à part ces quelques impairs, on vit donc tous les autres arriver comme autant de cortèges triomphaux, tandis que l’air résonnait de rires, d’acclamations et des cliquetis du fer.
Puis on fit sonner les cors, signal de ralliement tant attendu ; chaque chevalier retira son gantelet droit, lesquels furent mis en tas, pour être par la suite séparés au sort en deux nouveaux tas, constituant ainsi les camps allant s’affronter : les uns allèrent se ranger sous la bannière de l’ordre de La-Foi-du-Corps-Dieu, endossant la cotte de drap blanc au dévot écusson monogrammé d’ivoire et cerclé de jais ; les autres se rassemblant autour du gonfanon de la Confrérie de la Martre Dorée, revêtant le surcot tissé de fil émeraude et bordé de zibeline. Que c’était merveille à voir ! L’honneur du rituel fut cependant ombragé par les facéties du chevalier Maximus de Raymond, renvoyé d’un clan à l’autre à maintes reprises, chaque camp estimant que l’autre saurait davantage tirer profit de cet écart de fortune…
Et le jeu d’enfin pouvoir commencer ! Sonnait la masse dure de la pelote contre le bois franc des lances, tandis qu’étincelaient heaumes et armures au grand soleil. Toutefois, on profita d’une rareté lors de cette joute-là : un dixième chevalier défensif – un vagabond, ainsi que le suggéra le caballero Don Diego de La Manna –, qui fit en sorte que les assauts aériens du clan à l’attaque se terminaient bien souvent au creux des gantelets. Combien de pelotes jamais en lieu sûr lors de ces fort courtes reprises qui s’enchaînaient sans qu’insouciants damoiseaux et pucelles massés le long de la lice n’aient temps d’éprouver quelque répit que ce soit (ni la clairvoyance de craindre que l’une d’icelles ne leur chût sur le chef, d’ailleurs) ?
Hélas cependant, qui dit chevalier ne dit pas toujours hauts faits… Alors que Bouchard Cœur-de-Lion s’en allait amorcer sa course de la seconde à la terce balise, c’est Guillaume de Roussin (dit Poussin), alors gardien de cette dernière, qui perdit la face : le prenant pour un membre de son propre clan, il lui envoya la pelote, croyant ainsi pouvoir donner le coup d’arrêt à un adversaire s’en allant quant à lui de la prime à la seconde balise. Il faut dire que ce fol de Poussin avait revêtu la mauvaise cotte, ce qui lui fit prendre des vessies pour des lanternes, soit un adversaire pour un membre de son propre clan. Bouchard attendit patiemment la pelote, puis s’écarta pour la regarder passer, avant de s’élancer sur la sente pour rejoindre la terce balise sans coup férir. Poussin, tout penaud, s’en tira avec un rire et une pirouette, mais le mal était fait ; et devant les assauts répétés des lanciers de La-Foi-du-Corps-Dieu, la Confrérie de la Martre dorée dut battre en retraite.
On ignore qui prit la parole et ce qui fut dit au sein du pavillon de la Confrérie à ce moment, mais quand les membres du clan revinrent en lice, ils avaient l’air de vouloir en découdre... Roussin dit Poussin, qui cherchait à sauver son honneur, claqua à s’en déboiter la clavicule, tant et si bien que la pelote échappa aux congréganistes de La-Foi-du-Corps-Dieu et que deux chevaliers Martres purent rentrer au bercail ; puis ce fut le connétable Clarius Sigmar qui, d’un coup stratégique, en fit rentrer un de plus ; puis au tour du sénéchal Thibaud de Thibaudeault, qui toujours sait faire bonne figure, de faire mouche et d’en faire rentrer un autre ; et puis voilà même le jeune vassal Renaud, fraîchement adoubé, qui rivalisa avec ses aînés, tapant fort dans la pelote pour faire rentrer sain et sauf un quint chevalier. Le Corps-Dieu faillit en faire une crise de Foi !
Hélas encore, en dépit de cet ultime festival de hauts faits de leurs adversaires, on remit tout de même la couronne de fleurs à l’ordre de La-Foi-du-Corps-Dieu, car il triompha de trois points. Mais ceux de la Confrérie de la Martre Dorée ne se laissèrent pas démonter, et sous l’impulsion de Mayot de Bourgogne de Saqut, le chevalier à la mailloche, ils entonnèrent gaiement à tue-tête ainsi qu’à l’unisson leur fameux cri de guerre : « ON CROQUE VOS… MARMOTS ! », promettant une revanche héroïque au Grand Tournoi de septembre, mois de Notre-Dame des Sept Douleurs.
Puis les chevaliers furent dévêtus de leurs armes par leurs pages (il y eut un pénible quiproquo lorsqu’on dut mander celui du mercenaire Lepage), on les habilla de manteaux de soie et on leur amena barillets de cidre, d’hydromel et de vin cuit. Dans l’ivresse bruyante qui suivit, alors que tous célébraient la grandeur des exploits du jour dans une chaude fraternité, quelques chevaliers félons éructèrent avec moult postillons l’idée de destituer les chefs de clans, vaine intrigue qui fit long feu, se perdant dans les ombres grandies par le soleil déclinant.
« […] car en terre que rien ne vaut semence sèche et défaille. »
– Bouchard Cœur-de-Lion
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rafaelvolta · 5 years
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Enero 2019
Sólo puede leer 9 libros en el mes. La meta era de 12, pero es que me fui de vacaciones a Vallarta y estuve en la playa más hermosa del universo que se llama La Nopalera en Islas Marietas.  
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¿Qué vi? 1.- La 4ta compañía 2.- La libertad del diablo de Everardo González. 3.- Bandersnatch de Charlie Brooker 4.- Los 400 golpes de Francois Truffaut 5.- Del olvido al no me acuerdo de Juan Carlos Rulfo 6.- Split. Dir M. Night Shyamalan 7.- Wargames Dir. John Badham 8.- Clímax de Gaspar Noé 9.- The Dark Night Returns I 10.- The Dark Night Returns II 11.- Cabeza de Vaca de Nicolas Echevarría 12.- Suspiria. Dir Luca Guadagnino ¿Qué escuché? 1.- Olafur Arnalds  | re:member 2.- After Bach de Brad Mehidau 3.- Sweetener de Ariana Grande 4.- Cuarteto en Fa Mayot Op. 96 "Americano" de Antonin Dvorak 5.- Cuarteto de Maurice Ravel 6.- The Crossing de Alejandro Escovedo ¿Qué leí? 1.- La felicidad es una pistola caliente. Poemario de José Eugenio Sánchez. 2.- Dublineses. Cuentario de James Joyce. 3. Cuando Dios usa mallones. Poemario de Agustín Vizcayno. 4. .-La superficies más honda. Cuenta tío de Emiliano Monge. 5.- La cartilla moral de Alfonso Reyes 6.- Cómo se escribe un cuento. Guillermo Samperio. 7.- Cochinito cuento de Fernando Jiménez 8.- El inmortal cuento de Jorge Luis Borges 9.- El perseguidor cuento de Julio Cortázar 10.- La efeba salvaje cuentario de Carlos Velázquez 11.- Un rezo para mi padre. Poemario de Sebastián Barriga. 12.- Poética Noir. Poemario de Guillermo Hidalgo. 13.- El ombligo de los limbos. Antonin Artaud. 14.-Melancolía de los pupitres. Cuentario de Jaime He.
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allthatchernobyl · 7 years
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Marc Ducret- La Sense de la Marche (2009)
Uno de mis discos favoritos en la corriente Free Jazz en lo que va del nuevo siglo es este tormentoso trabajo del músico francés Marc Ducret. Es muy común, en el genero y en la actualidad, encontrar bajo la etiqueta de Free Jazz cosas que no hacen justicia. Quilombos sin sentido que van a parar bajo la etiqueta de Free Jazz pero que ya se tratan de cualquier cosa. Ducret y su "Sense de la Marche" es todo lo contrario. Un disco elegante, puntilloso y enquilombado cuando así lo necesita. No esta enfermo de locura; Lleva a rienda corta sus delirios y los deja aflorar cuando el orden se ha afianzado. Grabado en una sola toma y, naturalmente, en vivo durante Noviembre del 2007 para ser mezclado y masterizado por Marwan Danoun, Boris Darley y Gilles Olivesi en 2008, "La Sense de la Marche", que vio la luz en 2009 a través del sello "Illusions" reúne nombres importantes de la movida jazzistica francesa como Yann Lecollaire, Bruno Chevillon y Eric Echampard. Un cuarteto principal con química y un entendimiento que roza la perfección y al que se le suman Paul Brousseau, Antonin Rayon, Matthieu Metzger, Hugues Mayot, Jean Lucas, Pascal Gachet y Tom Gareil en diferentes oportunidades. Todo sustentado en las partituras de Ducret porque si; Toda obra de Free Jazz que se precie necesita esa formalidad, necesita alguien que escriba la música para llevarla adelante mas allá de cualquier atisbo improvisatorio que resuene. Como mis conocimientos técnicos del asunto son del todo limitados, me limito a adjetivar este viaje sonoro y a invitar a su descubrimiento. Sin mas, aquí esta, "La Sense de la Marche".
Genero: Free Jazz, Jazz Experimental
Año: 2009
País: Francia
Duración: 01:12:23
Compresion: 192kbps
Tamaño: 99,3mb
Tracklist:
1- Total Machine  2- Tapage 3- Le Menteur Dans L'Annexe 4- Aquatique 5- Nouvelles nouvelles du front
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