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#mode femme raffiné
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Bypias...une marque que j'adore
Bypias…une marque que j’adore
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid07oLB1yRUcwvARXu2R7vn8qesYiZEjimxdUwEfXeDRaXnyN5dvZh9eFR1AKFF2g6ql&id=444583408886568&sfnsn=scwspmo L’esprit #suedois j’aime beaucoup et cette marque particulièrement. J’ai déjà commandé cet hiver et j’ai été entièrement satisfaite. La coupe. Les matières sont top. J’aime l’esprit bohème et en même temps minimaliste c’est un complet pour moi.…
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art-vortex · 9 months
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Azure Beauty: Intricate Design Woman's Portrait Tee" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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japonais-shop · 1 month
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lissfactor · 4 months
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Chic Elégance : Découvrez le Glamour du Lissage à la Kératine de Paris
Réputé pour ses effets transformateurs, ce traitement capillaire innovant est devenu synonyme d'obtention de cheveux lisses et sans frisottis sans effort dans la ville la plus glamour du monde.
Glamour parisien emblématique :
Paris est synonyme d'élégance intemporelle et de glamour emblématique. Le lissage parisien à la kératine, également connu sous le nom de traitement brésilien à la kératine, s'inscrit parfaitement dans la philosophie avant-gardiste de la ville, offrant aux individus la possibilité d'adopter l'esthétique élégante et raffinée qui incarne le style parisien.
Perfection sans frisottis :
Le premier attrait du lissage à la kératine Paris réside dans sa capacité à éliminer les frisottis. Le traitement consiste à infuser les cheveux avec une solution de kératine spécialisée, qui agit pour lisser les cuticules des cheveux, résultant en une finition impeccablement lisse et sans frisottis. Cet effet transformateur est particulièrement bénéfique pour les personnes qui cherchent à dompter les cheveux indisciplinés et ingérables.
Coiffage sans effort :
Avec le lissage à la kératine Paris, le combat quotidien pour coiffer les cheveux indisciplinés appartient au passé. Les cheveux traités sont plus faciles à coiffer et nécessitent un minimum d'effort pour être coiffés. Qu'il s'agisse d'un look droit et élégant ou d'un style plus doux et ondulé, les individus peuvent facilement obtenir une variété de looks, ce qui ajoute à l'attrait de ce traitement.
Résultats d’apparence naturelle :
Le lissage à la kératine de Paris est réputé pour ses résultats naturels. Contrairement à certaines méthodes de lissage qui peuvent donner aux cheveux un aspect trop plat ou peu naturel, ce traitement maintient le mouvement naturel des cheveux tout en leur donnant un aspect brillant et poli. Le résultat est un look chic et sophistiqué qui complète la beauté sans effort associée aux femmes parisiennes.
Polyvalence dans le style :
Au-delà de ses bienfaits lissants, le soin Paris keratin straightening offre une polyvalence de coiffage. Les cheveux traités restent souples, permettant aux individus de basculer sans effort entre des styles élégants et droits et des looks texturés et ondulés. Cette adaptabilité s’aligne parfaitement avec la scène de la mode parisienne en constante évolution et diversifiée.
Application professionnelle :
Pour obtenir les meilleurs résultats avec le lissage à la kératine de Paris, une application professionnelle est essentielle. Les salons parisiens proposant ce service emploient des stylistes qualifiés et connaissant bien les subtilités du traitement. L'expertise de ces professionnels garantit aux clients de recevoir une application personnalisée, adaptée à leur type de cheveux et au résultat souhaité.
Effets durables :
Le lissage à la kératine Paris offre des effets durables, permettant aux individus de profiter des bienfaits de cheveux lisses et sans frisottis pendant une période prolongée. La longévité du traitement en fait un choix privilégié pour ceux qui recherchent une solution nécessitant peu d’entretien et à fort impact pour leurs cheveux.
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manon347 · 1 year
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Le Luxe est-il immoral ?
Glossaire
Luxe : Vient de lux qui signifie la lumière et de luxus qui signifie l’excès. Le luxe représente tout ce qui est faste, coûteux, raffiné et somptueux. Le luxe est perçu comme un moyen de paraître et non d’être, une forme d’ostentation à son paroxysme. Considéré comme immoral car il fait lien avec le pouvoir.  
Ex nihilo : expression latine signifiant « à partir de rien ». Elle est souvent utilisée en conjonction avec un terme exprimant une idée de création, comme dans le concept théologico-cosmologique de creatio ex nihilo, qui signifie littéralement « création à partir de rien », par opposition à une creatio ex materia, création à partir d'un substrat préexistant.
Cette expression apparaît dans la formulation ex nihilo nihil fit, « rien ne vient de rien », et se retrouve en science avec le premier principe de la thermodynamique (conservation de l'énergie).
Margaret Thatcher : Elle est la première femme élue pour diriger le Parti conservateur (1975), puis à accéder à la fonction de Premier ministre du Royaume-Uni (1979). Arrivée au pouvoir dans un pays en situation d'instabilité, elle en redirige l'économie en mettant en place une série de réformes radicales. Avec trois élections générales remportées de façon consécutive, elle effectue le plus long mandat ininterrompu de Premier ministre depuis Robert Jenkinson (1812-1827). Elle quitte finalement la tête du gouvernement du fait d’une fronde ayant éclaté au sein de son camp en raison de son projet de poll tax et de son euroscepticisme.
Capitalisme:  système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence. Par extension, le terme peut également désigner l'organisation sociale induite par ce système ou un système fondé sur l'accumulation du capital productif fondé sur la recherche du profit. Les acteurs du système capitaliste sont les individus, des entreprises, des associations, des fondations voire l’État quand il assume un rôle économique.
Lucifer: nom latin signifiant « porteur de lumière », composé de « lux (lumière) » et « ferre (porter) », qui désigne une entité mythologique.
Chez les Romains, Lucifer personnifie l'« astre du matin » (Vénus) : précédant le lever du soleil, il annonçait la venue de la lumière de l'aurore.
Les chrétiens ont donné successivement trois sens au mot lucifer puis Lucifer :
le premier comme adjectif, issu du sens latin « qui porte la lumière », a été utilisé par certains chrétiens avec le sens figuré de « qui porte la vérité » ; le second comme nom commun, issu du sens « étoile du matin », a été utilisé dans la Vulgate pour traduire l'expression « astre brillant » du livre d'Isaïe, entre autres ; le troisième comme nom propre, sous la forme définitive de Lucifer, est devenu le nom d'un ange déchu pour s'être rebellé contre Dieu. Certains l'ont rapidement diabolisé et assimilé à Satan. Cette figure, définitive, sera développée jusqu'à nos jours dans les religions chrétiennes et les arts.
Mode : La mode est l'une des plus puissantes industries du monde : elle représente 6% de la consommation mondiale et elle est en croissance constante. 
La mode concerne non seulement le vêtement mais aussi les accessoires, le maquillage, le parfum et même les modifications corporelles. Les facteurs déterminant la mode sont parfois une recherche esthétique (notamment pour les grands créateurs). Néanmoins, la mode est aussi déterminée par d'autres facteurs, pour ceux qui la suivent : un moyen d'affirmer son rang social, son groupe social, son pouvoir d'achat et sa personnalité ; ou bien pour les créateurs qui imitent, un moyen commode de gagner de l'argent et du succès. La mode est un moyen de s'exprimer, une manière d'avoir confiance en soi.
Raffiné Rendu plus pur, plus fin, délicat, subtil, améliore la qualité esthétique.
Haute couture: La haute couture est le secteur professionnel dans lequel exercent les créateurs de vêtements de luxe. Aujourd'hui, elle s'organise autour de « maisons de haute couture », des enseignes pour certaines assez anciennes, auxquelles de nombreux grands couturiers ont collaboré au fil des années. Elle joue un rôle d'avant-garde et ses œuvres préfigurent la mode.
Beau : notion abstraite liée à de nombreux aspects de l'existence humaine. Ce concept est étudié principalement par la discipline philosophique de l'esthétique, mais il est également abordé en partie par d'autres domaines (histoire, sociologie, psychologie, art).
Le beau est communément défini comme la caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle (perception) ou intellectuelle procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; en ce sens, la beauté provient par exemple de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le mouvement, le son.
La distinction entre ce qui est beau et ce qui ne l'est pas varie suivant les époques et les individus. Ce que l'on entend même par sentiment du beau diffère selon les penseurs et bien des cultures n'ont pas de mot qui corresponde exactement au « beau » du français actuel.
Fugace : latin fugax, -acis, de fugere, fuir) Qui ne dure pas, disparaît, échappe facilement, fuit rapidement
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sporcafaccenda · 1 year
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Renée Dunan "Les Amantes du Diable", Editions Querelle, 1929
》》Si l’on veut bien chercher dans les livres de Renée Dunan, si graves qu’ils soient souvent, on trouvera toujours un fond d’ironie et de pessimisme moqueur qui les rend justifiables d’une étude conçue sur le mode gai… Et puis, il y a toujours, en ses romans, une part considérable faîte à l’amour, à Eros, à la chair, à tout ce qui ressortit de la sensualité. Disons d’ailleurs, pour être équitable, qu’on y découvre également – comme le vit bien Paul Souday, qui conseillait à cet écrivain de publier des travaux de seule philosophie – les conséquences d’une culture raffinée, profonde, et portée fortement vers les recherches les plus ardues de l’idéologie. Il en est donc ainsi des Amantes du Diable. C’est, au vrai, un roman historique qui se passe au temps de Henri II, vers 1550. Le sujet en est l’élévation sociale de deux manants, privés de tout, sauf de « tempérament », en butte à mille persécutions, mais dont, par chance, la femme invoque le Diable et fréquente le Sabbat… Qu’on me comprenne bien, et qu’on comprenne ici l’auteur. Renée Dunan ne croit à aucun diable et à aucun dieu. Mais elle pense que la vie s’organise seule, d’après des lois sans doute calculables, selon certains axes, et que la volonté, l’obstination, la tenacité d’un désir ardent, ont en quelque sorte une efficience pour créer la réussite, lorqu’une existence humaine se trouve par le jeu des contingences, rentrer dans un de ces axes directeurs. C’est certes là une conception curieuse et savante. Mais le mérite des Amantes du Diable réside en sus, et particulièrement dans l’étude amusée des relations de Babet, l’héroïne, avec Satan, dans des visions précises et colorées, informées aussi du seizième siècle. Tortures, chasse, sabbats, combats, misères. Et c’est, en résumé, un délicieux roman, amusant, délicat, souriant, érudit, profond, rempli de savoir, et d’un art infini.》》 – El Chica
( in Le Sourire n° 652, 31/10/1929)
#Renée Dunan #Litterature #Satan #Sabbat #Sorcellerie #1930's
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shopises · 2 years
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Ensemble de bijoux en émail Rose or noir, fleur à la mode, bijoux de mariée pour femmes, mariage, meilleurs produits 2022
Ensemble de bijoux en émail Rose or noir, fleur à la mode, bijoux de mariée pour femmes, mariage, meilleurs produits 2022
Ensemble de bijoux en émail rose pour la Saint Valentin, cadeau de Saint-Valentin pour femme Par STALAIT Fonctions et caractéristiques : Type darticle : ensemble de bijoux Raffiné ou tendance : tendance Nom de la marque : STALAIT Style : classique Type de bijoux: Collier + Boucles d’oreilles + Bague/ Collier + Boucles d’oreilles Forme motif : fleur Type de métal : alliage de zinc Sexe :…
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Bypias mode nordique
https://www.instagram.com/reel/ClzdYcRIaNb/?igshid=MDJmNzVkMjY= J’ai découvert il y a quelques temps. J’ai passé ma première commande et j’ai été très satisfaite.une qualité bienvenue. Minimaliste. Bref j’ai adoré le seul soucis délais un peu long pour la France une douzaine de jours mais vous y trouverez de jolies pièces détachées
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auteuranoumou · 2 years
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Le monologue du vieux loup
Alors que la tendance est à un moment de partage en famille à l'occasion de ces fêtes de fin d'année, il y en a pour qui, la solitude fut un malheureux compagnon.
À l'évocation de la "magie" de ces fêtes, un paradoxe nous saisit lorsqu'on nous présente le tableau global. On y voit des gens qui ne se sont montré aucun amour durant l'année et qui font leur maximum pour, comme un nouveau né apprenant la marche, essayer de s'aimer sans se blesser. Et juste après les fêtes, on se revêt du manteau tant aimé de la bête de l'indifférence et du désamour.
Cependant, il y en a pour qui, toute l'année est une rixe avec l'amour.
Ésseulé encore une fois, il errait en pyjama dans les immenses couloirs de la gigantesque maison qu'il s'est construite et qui n'est désormais habitée que par lui et ses fidèles compagnons les araignées et leurs raffinées toiles. Cette année-là, il avait décidé de ne pas se rendre en Europe ni aux États-Unis pour fêter avec ses enfants. Pourtant habitué aux rudes hivers, il s'inclinait face à l'autorité de l'harmattan.
En pleine exploration de l'expressionnisme de sa réussite, il déboucha sur un couloir exempt de tout éclairage. Même la lumière du jour ne trouvait pas son chemin pour s'écraser sur les murs du long et sinistre couloir. L'endroit sentait la solitude et l'absentéisme. Tant et si bien que le maître des lieux redoutait de s'y glisser.
Se faisant violence, il traversa l'enfer obscure sans flammes ni diable. Quelques mètres plus loin, il arriva enfin devant une porte. La vieille porte en bois massif tenait en respect la horde d'araignées qui semblait lui livrer une bataille où David ne trouvait pas sa fronde face à un Goliath figé sur place. Ce combat dure depuis des années avant que finalement, le créateur de cet univers ne balaya la guerre froide d'un revers de la main timide, signe du poids du temps sur le physique de l'homme.
La pièce que protégeait le géant de bois était un débarras qui recelait les artefacts d'une vie de luxe marquée par l'excès et la course à la mode. Fouillant, non pas sans quelques toux épineuses les souvenirs de ses années passées, il tomba sur un ours en peluche. Le pauvre, il avait perdu un œil. Néanmoins, son sourire ineffaçable demeurait.
Le vieux débris, au milieu de ses débris, s'assit. Il posa l'ours en peluche à ses côtés. Ce doudou appartenait à sa fille benjamine. La petite adorait ce cadeau. Elle l'appelait "l'abeille". "Ce pauvre ours devrait être blessé dans son ego." se dit le vieux loup.
Du bout de ses doigts qui avaient depuis longtemps renoncé à toute émotion, le corps inerte du jouet de sa dernière fit remonter des souvenirs.
Les larmes coulaient de ses yeux comme d'un barrage ayant cédé. Ça fait des lunes qu'il n'avait pas versé une goutte. Ni de ses yeux, ni de son front, ni d'ailleurs. Il était triste à l'idée de ne trouver véritablement la paix que dans une petite pièce toute sale, entouré d'objets jetés après avoir servi. Lui, l'homme face à qui tous tremblaient. Lui qui possède des terres si vastes qu'on pourrait y construire un quartier. À quoi a donc servi tous ces sacrifices si c'est pour se mourir de solitude ?
Il regarde autour de lui et repense à son épouse, partie il y'a quelques années, laissant en lui, un vide à y jeter le ciel. Elle était tout. Elle était le cerveau quand il n'était que la main. Elle était la main quand il n'était que la gâchette. À eux deux, ils en ont terrorisé des milliers. Lui, a reçu tous les blames, et elle, dans l'ombre, a épuisé ses charmes et écrasé bien des quidams.
Sa fortune, heritage d'un empire aux fondations de sang, faisait des envieux et des admirateurs. Il se souvient des nombreux jeunes, hommes et femmes, qui lui écrivaient avec admiration. Il était déçu de cette jeunesse qui était amoureuse du bling bling et qui ne cherchait qu'à porter la montre trop chère d'un personnage trop riche, ou les baskets au prix d'or d'une bimbo trop chiche. Aucun de ces jeunes ne se demandait comment telle ou telle idole est parvenue à obtenir tout cet argent. Comment elle a fait ? Ce qu'elle a traversé ? Ce qu'on peut apprendre d'elle ? Ce n'est pas ça qui intéresse la jeunesse.
Il repensa à la fois où il dit à l'un de ses amis qui était un homme d'influence : "tu es coach et tu n'es pas différent des pasteurs. Tu donnes un avis et tu le maquilles en conseil.".
"Au moins toi tu m'écoutes. Mais si seulement tu pouvais parler. Quitte à débiter 50 plaintes en une phrase." Dit-il en s'adressant à "l'abeille".
Au milieu de cet océan de nostalgie, le sanguinaire d'hier, géant de circonstances et humain de tous les temps, trouva le sommeil. "Que je suis fatigué.". Se dit-il. "Si c'est la mort qui s'en vient, je ne crois pas mériter une mort si paisible."
À nous les humains, qu'est-ce qui nous donne vraiment un bon cœur ou un cœur en pierre ? Qu'est-il que l'on essaie vraiment de combler par tout ce matériel inutile qui nous engloutit ? Les peines que l'on ressent à chaque coup à notre gorge, porté par les gants de l'injustice, nous empoisonnent à un point où nos décisions ne constituent que des tranchées derrière lesquelles on se cache pour survivre aux assauts de la vie. On en vient à oublier que les hommes et les femmes les plus cruels sont aussi passés par la case "enfant innocent plein d'amour".
Comme par enchantement, le vieux loup, despote dans son royaume, impitoyable leader sans un regard pour les pauvres et nécessiteux, celui que l'on disait inébranlable, tel un arbre qui a vu passer des millions d'années de l'histoire des hommes, tomba sans un bruit. Seul dans le noir, dans la poussière, dans le froid et au milieu des reliques de son passé.
Écrit par Amétépé ANOUMOU-FONTRIER (A-F A)
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omagazineparis · 14 days
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Chaussures Maison Baum : quand l’élégance rencontre l’innovation
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Symbole incontesté du glamour et de la féminité, l’escarpin s’invite souvent aux pieds des modeuses les plus aguerries. Toutefois, sa semelle fine ne permet pas toujours un confort assuré. Comment parvenir à allier esthétique et commodité ? Ô Magazine vous emmène découvrir les créations de chaussures Maison Baum, chausseur qui mise sur l’association du confort et de la beauté.  Article rédigé par : Chloé Castanheira.  Si l’éternel escarpin nude, noir ou encore rose dragée est souvent le préféré de ces dames, il peut être difficile à supporter pendant une journée entière. Maison Baum, créateur de chaussures soucieux du bien-être des femmes, s’est attaché à trouver des alternatives durables. Sur fond d’expertise médicale, la marque s’est attelée à mettre au point des modèles pratiques et raffinés. De quoi sublimer vos pieds sans les abîmer.  Maison Baum, le savoir-faire mis au service des femmes  Une histoire familiale  L’histoire de Maison Baum commence en Allemagne, pays de naissance de Christof Baum, alors créateur de la marque. Ce dernier grandit aux côtés d’un père chirurgien orthopédiste, Dr Peter Baum, qui le sensibilise rapidement aux conséquences néfastes des talons hauts sur la santé des pieds. Après des études de gestion et un stage dans la banque, Christof est toujours désireux de créer une chaussure haute adaptée à tous les défis du quotidien. Il se lance donc dans des études de création de chaussures en Italie et en Chine, s’associe avec son père et fonde la marque. Pendant quatre ans, ils réalisent plus de 25 versions de prototypes qui visent à repenser le talon haut en mettant le confort des femmes au premier plan.   L’alternative confort : la semelle orthopédique intégrée  C’est dans ce but que les deux hommes élaborent une semelle orthopédique adaptée à l’escarpin et intégrée à la chaussure. Cette dernière bénéficie de coussinets plantaires quasiment invisibles qui rééquilibrent le poids du corps tout en facilitant les déplacements. Ajoutons que la marque est récemment passée d’une semelle en cuir à une semelle extérieure en élastomère. Soit un matériau durable, hydrofuge et antidérapant, bien plus fiable qu’une semelle en cuir classique.  Ainsi, grâce à une semelle de propreté en suède permettant au pied de respirer, Maison Baum dépasse le talon haut traditionnel et devient le premier escarpin thérapeutique conçu pour soulager les femmes. Entreprise familiale, les Baum sont aussi de fervents défenseurs d’une mode ludique et consciencieuse. Ils recherchent tous deux la création de chaussures en accord avec les problématiques écologiques actuelles.  Notre sélection estivale Les intemporels au sommet de la tendance  Si l’escarpin fut longtemps cantonné aux occasions spéciales, il s’est aujourd'hui largement démocratisé. Que ce soit avec un jean droit, un pantalon patte d’éléphant ou alors un bootcut vintage, tous les coups sont désormais permis pour s’afficher « perchée »…mais décontractée ! Ô Magazine vous présente sa sélection de talons colorés, parfaits pour enflammer la piste de danse cet été.  On est directement conquis par le modèle AMAL en coloris rose fushia. Grande tendance de l’été 2022, cette saison, le rose s’adopte sans modération. Minimaliste, la chaussure est surmontée d’une fine bride à la cheville. Son talon carré garantit une allure stylée et stabilisée ! Notre second choix s’est porté sur le modèle AMBROSIA 2.0 en couleur corail. Un coloris peps donc, mais aussi une hauteur de talon de 10cm qui allonge la silhouette. Cette paire de chaussures sera votre partenaire idéale pour flamber lors de vos soirées estivales. Les plus ? Ses deux paires de brides vous assurent un maintien sans faille. À arborer avec une robe habillée ou un pantalon évasé, pour un look plus relaxé. A lire également : Quelle marque de montre de luxe faut-il choisir ? La gamme chaussures de mariage  Événement d’une vie, le mariage se doit d’être préparé en amont pour être le mieux réussi possible. À quelques semaines des festivités, il ne vous manque plus qu’un seul détail : les chaussures. Pas question de faire une Cendrillon, vos chaussures doivent être agréables tout en restant jolies à regarder.  Ambitieux ? C’est pourtant le défi relevé par le modèle APHRODITE 2.0. Avec un talon aiguille de 7 cm, la paire de chaussures est l’intermédiaire parfait entre élégance et confort. Très facile à porter, elle accompagne toutes les tenues et sublime chaque silhouette.  Read the full article
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marylaiine · 2 years
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Conférence Van Eyck - Beaux Arts de Lille
Dans le cadre de l’exposition est consacré à Van Eyck, à Gand, qui a démarré le 03 février 2020.
Van Eyck serait né près de Maastricht, à une 30aine de kilomètres de la ville, mais la date reste incertaine. Nous n’avons pas de documents officiels de l’époque, qui serait vers 1590. Sa formation reste énigmatique. Sans doute a-t-il été influencé par le maitre de Flemalle. La première mention documentaire date de 1422 et renseigne Ian Van Eyck comme valet de chambre au comte de Bavière, pour le compte duquel il s’occupe de la décoration. La famille Jean de Bavière possède un manuscrit, un livre d’or, appelé Turin Milan auquel Ian Van Eyck a participé.
Ian Van Eyck reconnait son style dans cette œuvre, consacré à la naissance de Saint Baptiste. L’espace à 3 dimensions est très bien traité, avec une échappée vers la pièce voisine. Beaucoup de justesse dans l’espace et dans les objets répartis ainsi que dans l’étude de la lumière. Le paysage est également particulièrement intéressant à étudier, qui est un paysage d’une parfaite véracité. L’ensemble baigne dans une lumière d’une douceur infinie, avec des détails architecturaux raffinés.
Il est nommé peintre et valet de chambre de Philippe Lebon et duc de bourgogne en 1425. C’est un homme de maitrise et un homme très cultivé, ce qui explique ces missions confiées à un seul homme. Philipe le bon lui confiera aussi des missions diplomatiques.
Portrait réalisé à l’occasion de son mariage avec Isabelle de Portugal. Il porte les insignes de la toison d’or.
Ce portrait comporte beaucoup de réplique parce qu’il était distribué dans les provinces, les villes et les établissements religieux pour assurer la présence symbolique du duc dans les états.
Le duché de bourgogne est le cadre d’une extraordinaire floraison artistique. C’est la grande période de l’art flamant. C’est également l’époque où Van Eyck se marie, avec marguerite.
On ne sait que peu de choses sur sa femme Marguerite.
Parmi les missions diplomatiques, un certain nombre de voyages secrets ont été réalisés par Van Eyck, en Aragon par exemple, et au Portugal, afin de demander la main d’Isabelle pour le compte de Philippe le Bon. Le mariage sera célébré en 1430. Ces voyages permettent d’enrichir les paysages, et les détails architecturaux qu’il fera apparaitre dans ses compositions picturales. Cela explique la présence de la végétation méditerranéenne dans l’agneau mystique.
A partir de 1520, phase parallèle à la renaissance florentine, qui amène un renouveau total dans tous les arts. On est tenté d’opposer les deux styles italiens et flamant, alors que les deux manières de peindre sont caractéristiques mais poreuses. Flamande : rupture avec le gothique international, la manière précieuse de peindre qui était très lié à l’installation du papa en Avignon qui avait attiré des peintres au style commun. S’instaure une vision plus immédiate du monde physique.
L’agneau mystique s’inscrit dans la mode du retable très répandue à l’époque. En Flandres, ces retables sont constitués de volets mobiles qui ont un sens liturgique : les jours ordinaires, les retables sont fermés, et ils sont ouverts lors des fêtes qui doivent être célébrés. En Italie, les panneaux sont exposés les uns à côté des autres, et l’on y ajoute souvent en bas ce que l’on nomme une prédelle.
Ce retable a été commandé Jocodus Vicht, échevin de la ville de Gand et par sa Femme Elisabeth Borluth pour être installé dans l’église saint Bavon (église des deux saints jean anciennement). A l’origine, ce retable était commandé à son frère, Hubert Van Eyck, qui doit probablement être l’auteur des recherches et études sur la composition. Après la mort de celui-ci, c’est son frère Ian Van Eyck qui réalise l’œuvre.
L’adoration de l’agneau mystique est composé de 12 panneaux et de 300 personnages, de figures, de scènes sacrées, de figures en grisailles, des portraits et des paysages. Il s’agit de l’œuvre la plus grande des frères Van Eyck.
Les tons employés pour l’œuvre fermés se fondent dans l’atmosphère sombre de l’Eglise. Il était ouvert à l’occasion des fêtes des deux saint jean qui sont représentés.
Ces panneaux ont pour thème principal l’annonciation, prologue à la rédemption permise à l’humanité, qui l’on peut voir dans la scène intérieure.
4 niches ornées de triums en trompe l’œil, saint jean baptise (Gand) et saint Jean l’évangéliste (saint patron de la chapelle familiale des donateurs).
Sont entourés des deux donateurs, Jocodus et sa femme. Ces panneaux ont fait l’objet d’une restauration extraordinaires il y a quelques années car ils avaient subi beaucoup trop de restaurations. Le tableau a été nettoyé de ces couches de restauration, par microscopes, pendant plus de 8 ans afin de rendre la vivacité des couleurs et l’éclatant de la lumière.
Au-dessus des donateurs, la scène de l’annonciation. L’ange Gabriel et la vierge Marie sont séparés par des panneaux intermédiaires qui s’ouvrent sur une perspective extérieure où l’on voit une ville flamande, tandis que le panneau de droite dévoile un côté plus intime d’une habitation (serviette et lavabo). M’archange est dans une aube blanche, agenouillé et tient les symboles de la pureté de la vierge à travers le Lys. Les ailes déployées rappellent les couleurs employées pour le portait de la donatrice.
En face, la vierge porte l’esprit saint sous la forme d’une colombe au-dessus de la tête. On reconnaitre la représentation très lourde propre à l’art flamant des drapés tissés : Gand est la plus grande ville commerciale de l’époque en termes de draps. Les plis des draps sont peu réalistes, c’est là une habitude de l’art flamant.
La ville flamande représentée est reproduite très précisément. Lors de la restauration, un microscope très puissant a dû être utilisé, ce qui a permis de montrer des détails extraordinaires, notamment la scène de deux personnage micro en train de discuter sur le pas d’une porte de la ville.
Au-dessus, une représentation des prophètes et des Sybille : Zacharie et zichés, et des Sybilles qui donnent une vison personnelles et obscures des représentations. Usages que l’on retrouvera dans l’art italien également.
Dans le retable ouvert, la couleur resplendit : on y trouve 12 panneaux qui résume l’ensemble des représentations chrétiennes. Cette partie fera elle aussi l’objet d’une restauration dans les prochaines années.
Partie supérieure : on retrouve la vierge, le trône de Dieu le père, et saint jean baptiste, encadrés de saint. La sainte vierge est tournée vers Dieu le père, vêtue d’un manteau bleu bordé de pierres précieuses, et coiffée d’une couronne de pierre et de lys et de muguets. Elle tient un livre ouvert, qui sans doute est le nouveau testament.
Dieu le père est vêtu de rouge, couleur du pouvoir (le bleu est la foi, le vert l’espérance), couronné d’une tiare papale et d’un sceptre, signe de pouvoir. La représentation montre le pouvoir temporel et le pouvoir divin. Il lève trois doigts, qui représentent la trinité, on appelle cela la main enseignante (main qui vient délivrer un message). C’est sous la présence du Christ que se présente l’agneau mystique, donc le message délivré. Dans les arrière-plan, on remarque un rapace qui nourrit ses petit, emblème de la religion qui vient nourrir les fidèles. Le tout est réalisé avec une précision d’orfèvre et une véracité incroyable s’agissant de la couronne et des pierre et perles dessinées.
Saint Jean diffère de la représentation de la vierge par son austérité. Sous sa cape verte, on remarque la traditionnelle tunique en poil de chameau qui rappelle sa condition d’ermite. Le livre ouvert sur les genoux présente une précision d’écriture extraordinaire, même dans l’enluminure. Il s’agit de l’ancien testament.
Les anges chanteurs et les anges musiciens encadrent les personnages saints. Rassemblés autour d’un lutrin autour duquel une partition est déposée. L’ouverture de leurs bouches permet de deviner à quel registre vocal ils appartiennent ; de nombreuses études sont faites à ce sujet. Le premier ange bat la mesure. Sous le luthrin, une sculpture en trompe l’œil est réalisé dans le bois : saint George tuant le dragon.
Les anges musiciens jouent de l’orgue, de la viole de gambe à archer et de la harpe. La précision des instruments permet de quasiment savoir dans quelle essence de bois les instruments ont été réalisés. La musique est perçue comme la concrétisation terrestre de l’harmonie céleste de la cité de dieu = fonction harmonisante pour relier à dieu.
Adam et Eve cachent leur nudité. C’est une nouveauté dans la peinture flamande de représenter des nus aussi réalistes. Au XVIIIe siècle, on va d’ailleurs les habiller. Leur figure rappelle leur péché qui a rendu nécessaire leur rédemption. Leur figure est surmontée des scènes des meurtre d’Abel et Caïn, et Abel Agriculteur. On pense que Van Eyck a pris des modèles pour peindre Adam et Eve en raison du réalisme exacerbé. Eve répond à une esthétique de l’époque en représentant Eve avec un ventre proéminent.
Panneau central : paysage paradisiaque dans lequel l’agneau mystique est représenté, entouré de chevaliers, pèlerin qui viennent en adoration.
L’agneau verse son sang dans un calice, symbole du sang du christ. Il est entouré d’ange, certains portent les instruments de la passion, d’autre présentent de l’encens car les parfums pour partie de la recherche de la spiritualité. Bel œuvre de restauration sur l’agneau également, car au fil du temps, l’agneau présentait un regard complètement flou et quatre oreilles. La restauration actuelle fait réapparaitre un regard très franc, presque humain, et surtout les oreilles originelles.
La finesse du paysage en arrière-plan copie pour beaucoup des monuments identifiables. Par exemple, on reconnaitre 44 essences de végétations différentes. On y reconnait le clocher de la capitala d’Utrecht par exemple.
Devant l’agneau mystique se trouve une fontaine octogonale d’où jaillit l’eau, faisant référence à un ver de l’apocalypse « voici le fleuve d’eau vive jaillissant du trône de Dieu et de l’agneau ». le réalisme de l’eau est absolument remarquable.
Des cortèges ont été organisés pour rendre hommage à l’agneau :
Des prophètes agenouillés à gauche, habillés de robes de bure. Derrière eux se trouve la hiérarchie de l’Eglise.
En haut des vierges et des martyrs
Des défenseurs de la foi sur la gauche, qui sont essentiellement habillés de bleu
o   Ces apôtres qui annoncent l’Evangile, et à l’arrière les prélats de l’Eglise.
Encadrant cette scène sont représentés des chevaliers du Christ qui sont une évocation des croisades. Saint George, saint martin sont représentés, que l’on a aussi voulu comparer au 4 cavaliers de l’Apocalypse. Derrière, les juges, dont le panneau a été détruit au cours du temps. Il a été repeint à l’identique un peu plus tard. On pense que l’un des personnages est un autoportrait de Van Eyck basé sur l’homme au turban dont on pense également qu’il s’agit d’un autoportrait.
Les ermites, dont on pense que sont présente saint marie madeleine, et marie l’égyptienne.
Puis les pèlerins, emmenés par saint christophe.
On reconnait la végétation méditerranéenne, fruit de ses voyages diplomatiques en Aragon et au Portugal.
Il renonce aux féerie du gothique internationale, à l’abondance des ors pour se soumettre à la vérité des matières les plus humbles. Le réel est transfiguré, le désir de vérité est employé dans une volonté de décrire des visages, même si ceux-ci montrent des aspects parfois ingrats. Il y a toujours un respect de la vérité, afin de vouloir rendre au plus près ce que Dieu à crée. Ces aspects sont très représentatifs de l’œuvre de van Eyck.
Il s’agit d’une peinture sur bois : le bois est préparé, vieilli, soumis aux intempéries afin d’éviter qu’il se remanie. Sur un préparation blanche qui vient enduire le panneau, quelques repères sont déssinés, sur lesquels les ocuche sfines en glacis successifs sont posés (parfois 13 couches fines de peinture à l’huile sont visibles). L’huile permet l’utilisation de glacis ; la lumière traverse la couche picturale, vient se réfracter sur la couche blanche qui patine le panneau, celle-ci retraverse ensuite la couche picturale et c’est là le secret d el’éclat unique de ces toiles. Cett etchnique sera utilisée également par les impressionnistes pour rendre compte de l’éclat de la lumière naturelle.
Le culte marial développé dans l’œuvre de Van Eyck : il revient particulièrement pendant les croisades comme thème. D’ailleurs, le chmp de ralliement des roisés était le « ave regina ». Il est redeveloppé à l’occasion de sgrandes epidémies, notamment durant l’épisode de la peste noire. Ce culte es tillustré ici par ce diptique (petit format 39x24 cm qui rend difficile la vision des travaux en détails).
Mais l’on voit la passion de Van Eyck pour la trimendiotnalité ; il rend vie à la pierre. On dirait une sculpture réelle, dans une niche réelle. D’ailleurs, on remarque les ombres projetées dans la niches, et sur les côtés de la toile qui rendent le réel. Pour ajouter un trouble, un oiseau est ajouté, qui ressemble lui-mêm à une scultpure d’oiseau (or c’est impossible, puisque celui-ci flotte en l’air). On reconnait les talents d’optique de l’artiste ici, dont on pense qu’il a travaillé avec des lentilles d’ailleurs. Le socle dépasse lui-même du tableau. Le tout est rendu en grisaille, qui semble de refletter sur un fond très lisse censé représenter le marbre noir.
Culte marial encore avec cette annonciation. On reconnait la forme classique de représentaiton de la vierge chez van Eyck, yeux baissés en signe d’humilité, cheveux fins répandues en méches blondes ondulées, beauté terrestre et spitirtuel mélé, petite tête. Les poses, elles, varient. Ici, scène d’annonciation qui a la particularité d’être dans une église gothique, qui est donc une nouvelle forme d espiritualité qui revendique un accès direct à Dieu. On pense qu’il s’agissait au départ d’un triptique dont une partie à été perdue au cours du temps.
Le langage est évidemment symbolique, qui témoigne du’ne érudition théologique ; sur le dalage, nous allons voir des scènes de l’ancien testament qui sont représentées. La peinture murale représente des scènes de l’hisotire d eMoïse dans un style archaique en reproduisant en fresque les éiposides sur le murs d e’léglise. Il reproduit trois fenêtres qui évoquent la trinité. Enfin, la lumière qui tombe de cette fenêtre éclaire le lys, symbole de la pureté. Par ailleurs, cette peinture de Van Eyck est très proche d’une performance qui s’effectuait dans les Eglises, appelée la messe d’or : une pièce était jouée le mercredie des cendres, avant l’avent, par des jeunes enfants d’une chorales qui rejouaient la scène de l’Annonciation et récitait/chantaient le spatroles dites lors de cette scène de l’annonciation. Lors de cette scèene jouée, la Marie se levait et se tournait face à l’autel et levait les mains, comme le prêtre le fait lors de la messe. L’on répond alors au besoin de dévotion loderna ; un mouvement gfénéralisé arrivé dans les pays bas au MA, grande valeur données à l’identification personnelles et direct envers les personnages sacrés. La scene inspire une certaine empathie envers la Vierge. Cette mode ont fait naitre un sentiment de réalité dans les performances jouées. Le format est de 14x12cm. L’uilisation du lapis lazuli donne un éclat tout partiulier aux drapés. L’enfant Jesus tient un rosaire dans le smains, qui rappelent les rosiers en fond de la composition. Le rosaire gagne en popularité à cette époque, c’es tune figure régulièrement représentée. La fontaine représente la mère de Dieu comme signe de vie, et le jardin clos rappelle la virginité. Le tout est encadré par deux anges. Rappelle dans une certaine mesure les compositions de Benoto Gonzzoli (auteur des fresques du palazzo medicis à Florence), même si à cette époque c’est la peinture à tempera (œuf) qui est utilisée et non la peinture à l’huile.
La vierge au chanoine (présente à Brugge) a été commandé par le chanoine van de rpale, qui a été scriptor à la chancellerie papale à Rome. Il revient ensuite à Brugge pour rpendre des foncitons ecclesiastiques plutôt lucratives à l’âge d’eviron 55 ans. Il est l’un des 33 chanoines siégeant à Saint Donatioen (églis d ebrugge prestigieuse disparue au 18e siècle). Il es reprensetén avec un surpli blanc, de slunettes symboles de vieillesse mais également de sagesse, une obus (fourrure) classique pour les chanoines, et une peau de parchemin sumbolisant sa fonction de secrétaire pontifical à Rome. Il es tprésenté à la vierge par Saint georges, son saint patron. En face d elui se trouve saint Donation. AU centr,e la vierge à l’enfant ; l’enfant caresse un perroquet qui se retrouve souvent à cette époque comme oiseau doué de la parole et capable de vertu religieuse.
L’enfant semble angé : nc’es tune anticipation de sa sagesse à l’âge adulte, et non une maladresse de l’auteur. La vierge est representé comme généralement par Van Eyck : grand front, petit tête, yeux baissés.
On trouve des scènes de l’ancien testament en fond : sacrifice d’Isaac, Caïn tuant Abel, etc. le tout réalisé dans un ton camaïeu, en grisaille.
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pocketcomic7 · 3 years
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collectionnike · 3 years
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La nouvelle collection Nike x AMBUSH® NBA est un véritable hommage au basketball et à sa culture
La collection Nike AMBUSH® NBA est née d’une collaboration entre le numéro 1 mondial du sportswear et Yoon Ahn, designer et cofondatrice de Ambush. Cette collection s’articule autour des Lakers de Los Angeles, des Nets de Brooklyn et des sorties de baskets Nike Dunk. La collection est en quelque sorte une célébration du pouvoir et de l'aspect unificateur de la culture basketball avec des détails raffinés tirés de l'ADN Ambush.
La Collection NBA Nike x AMBUSH
La nouvelle collection de vêtements Nike x AMBUSH rend hommage au style intemporel, à la passion et à la pensée des joueurs et des fans de basket-ball. Inspirée par le look rétro et la passion des communautés qui animent le sport et la mode, la fondatrice d'Ambush Yoon Ahn a conçu deux looks complets pour femmes en s'appropriant les codes Los Angeles Lakers et Brooklyn Nets. Ce vêtement aux couleurs des deux équipes est accompagné d’une Nike Dunk High et d’un ballon de basket fluo. 
Les basketteurs occupent désormais une position de leader sur la scène internationale de la mode. Cette collection célèbre donc naturellement une expression unique du style qui distingue cette discipline. Alors que chaque pièce présente des motifs audacieux et des coupes polyvalentes, Yoon Ahn a veillé à ce que la féminité reste une partie essentielle de ses créations. La collection comprend des vestes oversize, des pantalons boutonnés, des hauts à manches longues et des baskets orange fluo, qui portent les logos des deux marques. En ce qui concerne les Dunk High AMBUSH, elles sont disponibles sur Kikikickz qui est un site de revente de sneakers rares, authentiques et neuves. Cette boutique en ligne basée dans la capitale française a pour objectif premier de rendre les sneakers les plus exclusives accessibles à tous.
Ahn YOON et le concept Nike Ambush® NBA
Ambush, la marque basée à Tokyo et co-fondée par la directrice créative YOON, travaille avec NIKE et la National Basketball Association pour concevoir une collection de vêtements de basket-ball inspirée des années 90. complétée par un nouveau modèle emblématique de Nike Dunk.
Avec ce partenariat, YOON, la première femme designer à collaborer avec Nike et la NBA, apporte une attitude énergique, des détails emblématiques AMBUSH et un style frais aux fans de basket pour femme. Le projet est né de l’envie de la designer Yoon Ahn ait de rendre les femmes fières de représenter leur équipe préférée. Avec son équipe, la designer réfléchit à la manière d'équilibrer la culture sportive sans sacrifier le style. La collection tire son essence des personnages féminins forts des années 90 qui sortiraient dans la mode masculine de sorte à voir comment garder cette attitude tout en ayant une silhouette plus féminine. S'appuyant sur sa perspective multidimensionnelle et multidisciplinaire, la cofondatrice de Ambush︎ a réinventé les vêtements des Los Angeles Lakers et des Brooklyn Nets. La collection comprend des pantalons ludiques adaptés à la saison inspirés des chauffe-basket déchirés, des manches longues ajustées qui revisitent les maillots classiques de la NBA et deux vestes, toutes deux arborant les mots coéquipiers sans honte, un véritable hommage des années 90. Pour accompagner la collaboration, Ahn YOON a réinventé l'emblématique Nike Dunk avec une approche proche d'Ambush ; Inspirée de la culture japonaise du vélo, de la voiture et du camion, la chaussure a une silhouette allongée et plus haute - avec l'avant-pied s'étendant au-delà du talon comme un tube de vélo.
Dunk High x AMBUSH Black White
Première designer à collaborer avec Nike et la National Basketball Association, le fondateur d'AMBUSH, Yoon Ahn, propose une version dynamique qui présente des détails caractéristiques, à la fois le logo de la marque et l'esthétique du basketball d'inspiration américaine. Les proportions originales de Dunk sont revisitées, avec le logo Swoosh s'étendant au-delà du talon, comme un échappement de moto en hommage à la culture japonaise de la moto, de la voiture et du camion.
La Nike Dunk High Ambush Black White comprend une tige en cuir blanc rehaussée de semelles intérieures noires révisées à l'échelle. Les deux marques ont montré l'attachement des Japonais aux véhicules motorisés en arborant un guillemet disproportionné à l'arrière des baskets, faisant allusion à l'échappement. La marque "AMBUSH" en relief est estampée sur le talon de la silhouette. Dans la lignée de sa collaboration officielle avec la NBA, l'artiste emblématique Yoon Ahn fait revivre un classique de la culture sneaker en proposant une nouvelle paire de chaussures Dunk High aux couleurs faciles à assortir.
Dunk High Ambush Deep Royal Blue
La Nike Dunk High Ambush Deep Royal Blue se pare d’une structure en cuir comme celle qu’on pourrait appeler sa prédécesseure, la Dunk High Ambush Black White et arbore une base blanche relevée d’empiècements bleus. Le Swoosh en caoutchouc oversize caractéristique de la collaboration est lui décliné en noir. La nike Dunk High Ambush Deep Royal Blue est dotée de lacets cirés ainsi qu'un branding Nike AMBUSH sur la languette. Ici, c'est un look futuriste sur un modèle classique de la culture sneakers qui nous est  proposé par l’emblématique designer et co-fondatrice de la marque AMBUSH.  
Avec cette Nike Dunk High et cette capsule textile, Yoon Ahn entre dans l'histoire et devient le premier designer à collaborer avec les collections Nike et NBA. Retrouvez la Nike Dunk High et bien d’autres sneakers aussi authentiques et que classiques sur Kikikickz.
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traitor-for-hire · 3 years
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Les Quatre Filles March - Chapitre 26
Expériences artistiques
Il faut longtemps pour apprendre la différence entre le talent et le génie, en particulier aux jeunes hommes et femmes pleins d'ambition. Amy était en train d'apprendre cette distinction à travers de nombreuses tribulations, car, confondant l'enthousiasme avec l'inspiration, elle s'essayait à chaque branche des arts avec l'audace de la jeunesse. Pendant un long moment elle fit une pause dans sa production de « gâteaux de boue », et se consacra au dessin à la plume, pour lequel elle se montra si douée, que ses œuvres gracieuses se montrèrent à la fois plaisantes et profitables. Mais la fatigue oculaire lui fit délaisser plume et encre pour un apprentissage audacieux de la pyrogravure. Tant que dura cet engouement, la famille vécut dans la peur constante d'un incendie, car l'odeur du bois brûlé envahissait la maison à toute heure ; de la fumée s'échappait du grenier et de la remise à une fréquence alarmante, des tisonniers portés au rouge traînaient un peu partout dans la maison, et Hannah n'allait jamais au lit sans un seau d'eau et la cloche du dîner à sa porte, en cas de feu. On retrouva le visage de Raphaël exécuté sous la planche à pain, et Bacchus sur le dessus d'un baril de bière ; un chérubin en train de chanter ornait le couvercle du seau à sucre, et diverses tentatives de représenter Garrick achetant des gants à la grisette fournirent du bois à brûler pour un temps.
Du feu à l'huile, la transition se fit naturellement pour les doigts brûlés, et Amy se dévoua à la peinture avec une ardeur inextinguible. Une amie artiste lui procura ses anciennes palettes, ses pinceaux et ses couleurs, et elle se mit au travail, produisant des vues pastorales et marines comme on n'en avait jamais vu sur terre ou en mer. Son bétail monstrueux aurait remporté des prix dans une foire agricole, et l'inclinaison périlleuse de ses vaisseaux aurait provoqué le mal de mer chez le marin le plus aguerri, si le mépris total pour toutes les règles connues de la construction de navires et de gréements ne l'avait pas fait se tordre de rire au premier coup d'œil. Des garçons basanés et des Madones aux yeux sombres qui vous observaient depuis un coin du studio ne suggéraient pas Murillo ; des ombres de visages bruns huileux, avec une vive traînée claire placée au mauvais endroit, évoquaient Rembrandt ; des dames à la poitrine généreuse et des enfants boursouflés, Rubens ; et Turner faisait son apparition dans des tempêtes d'orage bleus, d'éclairs oranges, de pluie brune et de nuages pourpres, avec une éclaboussure rouge tomate au milieu qui pouvait aussi bien être le soleil qu'une bouée, la chemise d'un marin ou la robe d'un roi, comme il plaisait au spectateur.
Vinrent ensuite des portraits au fusain, et la famille tout entière était accrochée en rang, l'air aussi sombres et échevelés que s'ils sortaient du seau à charbon. Le trait plus doux des croquis au crayon leur réussit mieux, car les ressemblances étaient nettes, et les cheveux d'Amy, le nez de Jo, la bouche de Meg et les yeux de Laurie furent décrétés « merveilleusement exécutés ». Suivit un retour à la terre et au plâtre, et des moulages fantomatiques de ses connaissances hantaient les recoins de la maison, ou vous tombaient sur la tête de l'étagère du placard où ils reposaient. Elle persuada des enfants de lui servir de modèles, jusqu'à ce que leurs récits incohérents de son comportement mystérieux donnent à Miss Amy la réputation d'une jeune ogresse. Toutefois ses efforts dans ce domaine prirent fin brutalement à la suite d'un incident qui refroidit ses ardeurs. Manquant pour un temps d'autres modèles, elle entreprit de mouler son propre pied, et la famille fut un jour alarmée par des chocs étranges et des cris ; et, venant à la rescousse, trouva la jeune enthousiaste en train de sauter à cloche-pied dans la remise, le pied solidement pris dans une bassine pleine de plâtre qui avait durci avec une rapidité inattendue. On la tira de là, avec beaucoup de difficultés et quelque danger ; car Jo riait tellement tandis qu'elle creusait qu'elle planta son couteau trop profondément, entaillant le pauvre pied, et laissant au moins un souvenir durable d'une expérience artistique.
Après cela Amy s'assagit, jusqu'à ce qu'une folie du dessin d'après nature la pousse à hanter rivières, champs et bois, pour des études de paysages pittoresques, en soupirant après des ruines qu'elle pourrait copier. Elle attrapa une infinité de rhumes, assise dans l'herbe humide pour croquer « une délicieuse saynète » composée d'une pierre, d'une souche, d'un champignon et d'une tige de bouillon-blanc brisée, ou « une masse de nuages divine », qui ressemblait à une pile de matelas une fois achevée. Elle sacrifia son teint en canotant sur la rivière au milieu de l'été pour étudier les jeux d'ombre et de lumière, et écopa d'une ride sur le nez en voulant s'initier aux « points de fuite », ou quel que soit le nom de la technique qui implique bouts de ficelle et plissements d'yeux.
Si « le génie est une patience éternelle », comme l'affirmait Michel Ange, Amy pouvait certainement se prévaloir de l'attribut divin, car elle persévérait en dépit de tous les obstacles, de tous les échecs, et de tous les découragements, fermement convaincue qu'un jour elle produirait quelque chose digne de l'appellation « grand art ».
Elle apprenait, pratiquait, et profitait d'autres choses en même temps, car elle avait décidé d'être une femme accomplie et attirante, même si elle ne devait jamais devenir une grande artiste. Elle avait plus de succès dans ce domaine, étant l'une de ces personnes capables de plaire sans effort, de se faire des amis partout, et de prendre la vie avec tant de grâce et d'aisance, que les âmes moins fortunées sont tentées de les croire nées sous une bonne étoile. Tout le monde l'aimait, car le tact était un de ses talents. Elle avait un sens instinctif de ce qui était plaisant et correct, disait toujours les mots justes à la bonne personne, faisait exactement ce qui convenait au lieu et au moment, et était si maîtresse d'elle-même que ses sœurs avaient coutume de dire, « Si Amy devait se rendre à la cour sans aucune préparation, elle saurait exactement ce qu'il faut faire. »
L'une de ses faiblesses était son désir d'entrer dans « notre meilleure société », sans être exactement certaine de ce qu'était vraiment le meilleur. L'argent, une bonne situation, des talents à la mode et des manières élégantes, étaient des choses très désirables à ses yeux, et elle aimait à s'associer à ceux qui les possédaient ; confondant souvent l'artifice avec la réalité, et admirant ce qui ne le méritait pas. N'oubliant jamais qu'elle était, de naissance, une dame, elle cultivait ses goûts et sa sensibilité aristocratiques, afin que, le moment venu, elle soit prête à prendre la place dont la pauvreté la tenait à l'écart. 
« Milady », ainsi que l'appelaient ses amis, désirait sincèrement être une vraie dame, et en était bien une, au fond, mais elle devait encore apprendre que l'argent ne peut acheter une nature raffinée, que la position ne confère pas toujours la noblesse, et que le véritable savoir-vivre se fait remarquer en dépit des infortunes.
« Je voudrais te demander une faveur, Mamma », dit un jour Amy avec un air important.
« Eh bien, ma petite fille, de quoi s'agit-il ? » répondit sa mère, aux yeux de qui la jeune femme si sérieuse était encore « le bébé ».
« Notre cours de dessin se termine la semaine prochaine, et avant que les filles ne se séparent pour l'été, je voudrais les inviter ici pour une journée. Elles ont très envie de voir la rivière, de croquer le pont en ruine, et de copier certaines des choses qu'elles admirent dans mon carnet. Elles ont été très gentilles avec moi de bien des manières, et j'en suis reconnaissante ; car elles sont toutes si riches, et savent que je suis pauvre, et pourtant elles ne m'ont jamais traitée différemment.
— Et pourquoi le devraient-elles ! » et disant cela, Mrs. March avait ce que les filles appelaient « son air de la grande Marie Thérèse ».
« Tu sais aussi bien que moi que cela fait une différence pour presque tout le monde, alors ne va pas te froisser comme une mère poule dont les poussins se font harceler par d'autres oiseaux ; le vilain petit canard est devenu un cygne, tu sais » ; et le sourire d'Amy était dénué d'amertume, car elle possédait un tempérament aimable et plein d'espoir.
Mrs. March rit, apaisa sa fierté maternelle, et demanda,
« Eh bien, mon cygne, quel est ton plan ?
— J'aimerais demander aux filles de venir dîner la semaine prochaine, pour les emmener aux endroits qu'elles veulent voir - canoter sur la rivière, peut-être - et faire une petite fête artistique pour elles.
— Cela semble faisable. Que veux-tu pour le dîner ? Un gâteau, des sandwichs, des fruits et du café suffiront, je suppose ?
— Oh la la, non ! Il nous faut de la langue froide et du poulet, du chocolat français et de la crème glacée en plus de ça. Les filles sont habituées à ces choses, et je veux que mon déjeuner soit convenable et élégant, même si je travaille pour gagner ma vie.
— Combien de jeunes filles y a-t-il  ? » demanda sa mère, qui commençait à avoir l'air grave.
« Treize ou quatorze dans la classe, mais je pense pouvoir dire que toutes ne viendront pas.
— Seigneur, mon enfant, tu vas devoir affréter un omnibus pour les promener.
— Voyons, Mère, comment peux-tu penser une telle chose ; il n'en viendra pas plus que sept ou huit. Je vais louer un chariot, et emprunter le chairabon de Mr. Laurence. » (C'était ainsi qu'Hannah prononçait le mot char-à-banc.)
« Tout cela va coûter cher, Amy.
— Pas tant que ça, j'ai calculé le coût, et je paierai moi-même.
— Ne penses-tu pas, ma chérie, que comme ces filles sont habituées à des telles choses, et que le mieux que nous puissions faire ne sera rien de nouveau, un plan plus simple leur plairait davantage ; cela les changerait, du moins, et serait bien mieux pour nous que d'acheter ou d'emprunter ce dont nous n'avons pas besoin, et d'affecter un style qui ne s'accorde pas à notre condition.
— Si je ne peux pas faire comme je veux, je préfère ne pas le faire du tout. Je sais que je peux organiser tout cela à la perfection, si les filles et toi voulez m'aider un peu ; et je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas, puisque je veux bien tout payer », dit Amy, avec une résolution qui tournerait à l'obstination si contredite.
Mrs. March savait que l'expérience était une excellente professeure, et, quand c'était possible, elle laissait ses enfants apprendre seules les leçons qu'elle leur aurait volontiers facilitées, si elles ne s'étaient pas opposées à ses conseils avec la même vigueur qu'à une purge. 
«  Très bien, Amy ; si tu es décidée, et que tu t'en sors sans dépenser trop d'argent et de temps, et sans trop perdre patience, je ne dirai rien de plus. Parles-en avec les filles, et quoi que tu décides, je ferai de mon mieux pour t'aider.
— Merci, Mère ; tu es toujours tellement gentille », et Amy s'en fut exposer son plan à ses sœurs.
Meg approuva aussitôt et promit son aide - offrant de bon cœur tout ce qu'elle possédait, de sa petite maison elle-même à ses meilleures cuillères à sel. Mais Jo vit le projet d'un mauvais œil, et refusa tout d'abord d'y participer.
« Pourquoi diable devrais-tu dépenser ton argent, déranger ta famille, et retourner toute la maison pour une bande de filles qui ne se soucient pas de toi le moins du monde ? Je pensais que tu avais trop de fierté et de bon sens pour t'abaisser devant n'importe quelle femme simplement parce qu'elle porte des bottes françaises et se déplace en coupé* », dit Jo, qui, arrachée à son roman au paroxysme de la tragédie, n'était pas vraiment disposée à ce genre d'entreprise.
« Je ne m'abaisse pas, et je déteste autant que toi qu'on me fasse la morale ! » répliqua Amy, indignée, car toutes deux continuaient de s'accrocher sur ce genre de sujets. « Les filles se soucient de moi, et moi d'elles, et il y a beaucoup de gentillesse, de bon sens, et de talent parmi elles, en dépit de ce que tu appelles des "sottises à la mode". Tu te moques de faire en sorte que les gens t'apprécient, d'aller dans la bonne société, et de cultiver tes manières et tes goûts. Pas moi, et je compte profiter au mieux de chaque chance qui se présente. Tu peux faire ton chemin dans le monde le nez en l'air en jouant des coudes et appeler ça indépendance, si cela te chante. Ce n'est pas ma façon de faire. »
Quand Amy affutait ses arguments et vidait son sac elle prenait généralement le dessus, car elle manquait rarement d'avoir le bon sens de son côté, tandis que Jo professait son amour de la liberté et sa haine des conventions de manière si extrême, qu'elle se retrouvait naturellement désavantagée dans la discussion. L'idée qu'avait Jo de l'indépendance, définie par Amy, était si juste, qu'elles éclatèrent de rire, et la discussion prit un tour plus aimable. Bien contre son gré, Jo finit par consentir à sacrifier une journée à « Mrs. Grundy », et à aider sa sœur avec ce qu'elle considérait comme « une histoire insensée ».
On envoya les invitations, presque toutes furent acceptées, et il fut décidé que le grand événement prendrait place le lundi suivant. Hannah était bougonne parce que son travail de la semaine s'en trouvait dérangé, et prédit que « si la lessive et le repassage n'étaient pas faits à temps, rien n'irait bien nulle part ». Ce grain de sable dans le rouage principal de la machine domestique eut un mauvais effet sur l'ensemble de l'affaire, mais la devise d'Amy était « Nil desperandum », et, ayant déterminé ce qu'elle devait faire, elle se mit à la tâche en dépit de tous les obstacles. Pour commencer, la cuisine d'Hannah ne fut pas une réussite. Le poulet était dur, la langue trop salée, et le chocolat ne voulut pas mousser convenablement. Puis le gâteau et la glace coûtèrent plus cher qu'Amy ne l'avait prévu, tout comme le chariot, et plusieurs autres dépenses, qui semblaient négligeables au départ, donnèrent un montant alarmant une fois additionnées. Beth prit froid et se mit au lit. Meg fut retenue chez elle par un nombre inhabituel de visiteurs, et Jo était dans un état d'esprit si partagé que ses accidents et ses erreurs furent nombreux, sérieux et éprouvants.
S'il ne faisait pas beau le lundi, les jeunes filles devaient venir le mardi - un arrangement qui exacerbait encore davantage la mauvaise humeur de Jo et d'Hannah. Lundi matin, le temps était dans cet état incertain qui est plus exaspérant qu'une bonne averse. Il y eut quelques gouttes de pluie, suivies de quelques rayons de soleil, puis d'un souffle de vent, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il fut trop tard pour que quiconque puisse changer d'avis.  Amy était debout depuis l'aube, tirant tout le monde du lit et les houspillant durant le petit-déjeuner, pour mettre de l'ordre dans la maison. Elle fut frappée par l'aspect étonnamment minable du parloir, mais sans s'arrêter pour soupirer après ce qu'elle n'avait pas, elle tira le meilleur de ce qu'elle avait, plaçant les fauteuils sur les endroits usés du tapis et camouflant les taches sur les murs avec des statues réalisées de sa main, qui donnèrent un air artistique à la pièce, tout comme les charmants vases de fleurs que Jo disposa un peu partout. 
Le déjeuner avait l'air charmant, et, tout en l'inspectant, elle espérait sincèrement qu'il serait bon, et que la verrerie, la porcelaine et l'argenterie d'emprunt retrouveraient la maison sans encombre. Les voitures étaient promises, Meg et Mère étaient toutes prêtes à faire les honneurs, Beth était capable d'aider Hannah en coulisses, Jo s'était engagée à être aussi joyeuse et aimable qu'un esprit absent, une tête endolorie, et une désapprobation décidée envers tout et tout le monde le lui permettraient, et tout en s'habillant avec lassitude, Amy se remonta le moral en pensant au joyeux moment où, le déjeuner une fois terminé, elle partirait avec ses amies pour un après-midi de délices artistiques, car le chairabon et le pont en ruine étaient ses points forts. 
Puis vinrent les heures d'incertitude, durant lesquelles elle vibra, du parloir jusqu'au porche, tandis que l'opinion publique variait comme le baromètre. Une vive averse à onze heures avait de toute évidence douché l'enthousiasme des jeunes filles qui devaient arriver à midi, car personne ne vint, et à quatorze heures la famille épuisée s'assit sous un soleil radieux pour consommer les denrées périssables du festin, afin que rien ne soit perdu.
« Pas de doute à avoir quant au temps aujourd'hui, elles vont certainement venir, aussi nous devons nous dépêcher et nous préparer à les accueillir », dit Amy, éveillée par le soleil le lendemain matin. Elle parlait avec détermination, mais en son for intérieur elle regrettait d'avoir parlé du mardi, car son intérêt, tout comme son gâteau, avait perdu de sa fraîcheur.
« Je ne peux pas avoir de homard, aussi vous devrez faire sans salade aujourd'hui », dit Mr. March en entrant une demi-heure plus tard avec une expression de désespoir tranquille.
« Prends le poulet alors, dans une salade, peu importe qu'il soit dur, conseilla sa femme.
— Hannah l'a laissé sur la table de la cuisine un moment et les chats l'ont mangé. Je suis vraiment désolée, Amy, ajouta Beth, qui était toujours la patronnesse des chats.
— Alors il me faut un homard ; la langue seule ne suffira pas, dit Amy avec détermination.
— Est-ce qu'il faut que je coure en ville pour en chercher un ? demanda Jo avec la magnanimité d'un martyr. 
— Tu reviendrais à la maison en le tenant sous ton bras, sans emballage, juste pour m'énerver. J'irai moi-même », répondit Amy, qui commençait à perdre patience.
Enveloppée d'un épais voile, et munie d'un charmant panier de voyage, elle se mit en route, pensant qu'un trajet à la fraîche apaiserait son esprit irrité, et la mettrait dans de bonnes dispositions pour les tâches de la journée. Quelque temps plus tard, elle fut en possession de l'objet de son désir, ainsi que d'une bouteille de sauce, pour éviter toute perte de temps supplémentaire à la maison, et elle repartit, bien contente de sa prévoyance.
Comme il n'y avait qu'une seule autre passagère dans l'omnibus, une vieille dame endormie, Amy remisa son voile, et chassa l'ennui du trajet en essayant de déterminer où était parti tout son argent. Elle était si préoccupée par ses notes pleines de chiffres incompréhensibles qu'elle ne remarqua pas un nouveau-venu, entré sans stopper le véhicule, jusqu'à ce qu'une voix masculine dise, « Bonjour, Miss March », et qu'en levant les yeux elle aperçut l'un des amis d'université de Laurie parmi les plus élégants. Espérant avec ferveur qu'il descendrait avant elle, Amy ignora complètement le panier à ses pieds, et tout en se félicitant de porter sa nouvelle robe de voyage, elle rendit son salut au jeune homme avec sa suavité et son esprit habituels.
Ils entamèrent une conversation des plus plaisantes ; car l'inquiétude principale d'Amy fut vite apaisée en apprenant que le jeune homme descendrait le premier, et elle discutait, en faisant montre d'une distinction toute particulière, quand la vieille dame se leva. En se pressant vers la porte, elle renversa le panier, et oh, horreur ! le homard, dans toute sa vulgarité et sa brillance, fut révélé aux yeux bien-nés d'un Tudor !
« Sapristi, elle a oublié son dîner ! » s'écria le jeune homme inconscient, remettant le monstre écarlate en place du bout de sa canne, et se préparant à tendre le panier à la vieille dame.
« S'il vous plaît, non - c'est - c'est le mien, murmura Amy, le visage presque aussi cramoisi que son homard.
— Oh, vraiment, je vous demande pardon ; c'est un spécimen tout à fait admirable, n'est-ce pas ? » répondit le Tudor, avec une grande présence d'esprit et un air d'intérêt sérieux qui faisait honneur à son éducation. 
Amy se reprit dans un souffle, déposa fièrement son panier sur le siège, et dit en riant -
« Est-ce que vous n'aimeriez pas goûter à la salade qu'il va faire, et voir les charmantes jeunes filles qui vont la manger ? »
Amy faisait là preuve d'un tact certain, car elle venait de faire appel à deux des faiblesses de l'esprit masculin ; le homard fut aussitôt associé à de plaisants souvenirs, et sa curiosité quant aux « charmantes jeunes filles » détourna son attention du comique faux-pas.
« Je suppose qu'il va en rire et en plaisanter avec Laurie, mais je ne le verrai pas ; c'est une consolation », pensa Amy, comme Tudor la saluait et s'en allait.
Elle ne mentionna pas cette rencontre à la maison (même quand elle découvrit que sa nouvelle robe avait été bien gâtée par la sauce qui avait coulé sur ses jupes quand le panier s'était renversé), mais poursuivit les préparations qui semblaient maintenant plus agaçantes que jamais ; et à midi tout fut à nouveau prêt. Pressentant que les voisins s'intéressaient à ses faits et gestes, elle souhaitait effacer le souvenir de l'échec de la veille par un grand succès ; aussi elle fit venir le chairabon, et partit en grande pompe à la rencontre de ses invitées pour les escorter au banquet.
« J'entends la voiture, elles arrivent ! Je vais aller sous le porche pour les rencontrer ; c'est plus accueillant, et je veux que la pauvre enfant passe un bon moment après tous ces ennuis », dit Mrs. March en joignant le geste à la parole. Mais après un coup d'œil, elle revint avec une expression indéchiffrable, car, l'air plutôt perdues dans la grande voiture, il n'y avait qu'Amy et une jeune fille. 
« Cours, Beth, et aide Hannah à enlever la moitié de ce qu'il y a sur la table ; ce serait trop absurde d'offrir un déjeuner pour douze personnes à une seule fille », s'écria Jo en se précipitant vers la cuisine, trop excitée pour seulement s'arrêter pour rire.
Entra Amy, très calme, et délicieusement cordiale envers l'invitée qui avait tenu sa promesse ; le reste de la famille, excellents acteurs, tinrent tout aussi bien leurs rôles, et Miss Eliott les trouva tous hilarants ; car il leur était impossible de contenir tout à fait la gaieté qui les possédait. Une fois le dîner réarrangé joyeusement expédié, le studio et le jardin visités, et l'art discuté avec enthousiasme, Amy demanda un buggy (au temps pour l'élégant chairabon !)et conduisit tranquillement son amie dans les environs jusqu'au coucher du soleil, quand « les  festivités prirent fin ».
Quand elle revint, l'air très fatiguée, mais aussi composée que jamais, elle remarqua que tout vestige de la pauvre fête avait disparu, à l'exception d'une fossette suspicieuse au coin de la bouche de Jo.
« Tu as eu un après-midi très agréable pour ta promenade, ma chérie », dit sa mère, aussi respectueusement que si les douze invitées étaient venues.
« Miss Eliott est une jeune fille très gentille, et j'ai pensé qu'elle avait l'air de s'amuser », remarqua Beth avec une chaleur peu commune.
« Pourrais-tu me donner un peu de ton gâteau ? J'en ai vraiment besoin. Je reçois tellement de monde, et je ne peux pas faire quelque chose d'aussi délicieux, demanda Meg gravement.
— Prends tout le gâteau ; je suis la seule ici qui aime les sucreries, et il moisirait avant que je ne le termine », répondit Amy, pensant avec un soupir au généreux assortiment qu'elle avait déployé, pour une telle fin !
« Dommage que Laurie ne soit pas là pour nous aider », commença Jo, comme ils s'asseyaient devant de la salade et de la crème glacée pour la quatrième fois en deux jours.
Un regard d'avertissement de sa mère coupa court à toute autre remarque, et toute la famille mangea dans un silence héroïque, jusqu'à ce que Mr. March remarque avec douceur, « La salade était un des plats préférés des anciens, et Evelyn » - ici une explosion de rire interrompit net « l'histoire des salades », à la grande surprise de l'érudit.
« Emballons tout dans un panier et envoyons-le aux Hummel - les Allemands aiment les douceurs. Je ne veux plus voir tout ça ; et il n'y a pas de raison que vous deviez mourir d'indigestion parce que j'ai été stupide, s'exclama Amy en s'essuyant les yeux.
— J'ai cru que j'étais morte quand je vous ai vues toutes les deux bringuebalées dans le machin-chouette, comme deux petits pois dans une trop grande cosse, et Mère qui attendait solennellement pour recevoir la foule, soupira Jo, exténuée de rire.
— Je suis vraiment navrée que tu aies été déçue, ma chérie, mais nous avons tous fait de notre mieux pour te satisfaire, dit Mrs. March, d'un ton plein de regret maternel.
— Je suis satisfaite ; j'ai réalisé ce que j'avais entrepris, et ce n'est pas ma faute si ça a échoué ; je me réconforte avec cette idée, dit Amy, d'une voix qui tremblait un peu. Je vous remercie tous infiniment pour m'avoir aidée, et je vous remercierai encore plus, si vous n'y faites pas allusion avant au moins un mois. »
Personne ne le fit avant plusieurs mois ; mais le mot « fête » provoquait toujours un sourire général, et le cadeau que Laurie offrit à Amy pour son anniversaire fut un petit charme en corail, en forme de homard, pour accrocher à sa chaîne de montre.
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