Tumgik
#orange kippa
eretzyisrael · 28 days
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By CANAAN LIDOR
Wearing a bright orange kippa, Ronny Naftaniel, a former leader of Dutch Jews, examines items at a junkyard sale in a village in the east of the Netherlands.
The eye-catching kippa is part of an initiative co-launched by two prominent non-Jewish Dutch actors, Huub Stapel and Hans Teeuwen, to protest antisemitism on King’s Day on Saturday. On that national holiday, Dutchmen wear their national color of orange in honor of their royal house, and many attend junkyard sales across the kingdom.
Baruch Van Riel, a Jewish wine importer from Baarle-Nassau, a small town near the border with Belgium, writes on Facebook that he wore an orange kippa to synagogue on Saturday.Stapel tells the Hart van Nederland news site that the hundreds of orange kippot that he and Teeuwen ordered for King’s Day are in demand. The team’s call for mayors to wear the kippot in solidarity with Dutch Jews has failed to enlist any of the mayors of the Netherlands’ large cities, he says
“I think it’s a little lame,” Stapel tells the Hart van Nederland website about the absence of a response by mayors amid reports that the number of antisemitic incidents in 2023 reached an all-time record of 379 cases, most of them after October 7. “It’s no political statement, it’s an attempt at connecting people so the country doesn’t fall apart,” Stapel tells Hart van Nederland.
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dualdeixis · 2 years
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[Image description: A digital drawing of seven original characters with accompanying notes. Each of them have hot pink markings on their hands which resemble henna tattoos. “Sylejman. He. Trans man. Bektashi. Niqab + marking patterns on gloves.” He wears several layers of long, black clothing. Long tassels are attached to the end of his niqab. His gloves are hot pink with black markings. His eyes are closed happily. “Nerënxa. She/it/he. Transfem. Sefaradi atheist. Kippa + dyed orange hair.” She has messy hair that reaches her shoulders. She wears a dress shirt with the sleeves rolled up, baggy pants, and sandals. She smiles, stands with a bad posture, and has one hand in her pocket. “Habil. They. Nonbinary. Sunni agnostic. Hijab (only covers hair with beanies/hoodies) + always blushing.” Alongside their beanie and hoodie, they wear jeans and sneakers. They’re holding a lollipop and have a neutral expression. “Efraim. They/he. Transmasc. Romaniote nazir. Fake nails + stands on toes.” They have very long, black hair which reaches the ground and covers half of their face. They wear a cropped tank top over a t-shirt and shorts. They have a thin smile. “Polideuk. He/it. Burrnesha. Sunni. :3 mouth + big earrings.” He has short hair and wears a leotard, ripped jeans with an attached chain, and boots. He holds one hand up to frame his face. “Asije. She/they. Trans woman. Sunni/Orthodox. Hijab + ominously shadowed glasses.” She wears a jacket, long dress, and boots. She holds her arms to her chest with a small smile. “Isa. Xe/he/she. Nonbinary. Bektashi/Catholic. Kufi + lipstick.” Xe has long, fluffy black hair and facial piercings. Xe wears a trench coat, dress, platform boots, and cross necklace, all of which are black. Xe stands with a neutral expression. End image description.]
concepts for jinni exorcists... each one being a qarin who possessed and devoured the ego of their human counterpart (out of love <3)
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lonesomemao · 3 months
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POUTINE C'EST LE MONDE PERDU
Le Roi des Pays-Bas
Avec une kippa
A la rencontre
De la communauté juive
Europe fin d'un nazisme par Orange
Lundi 11 mars 2024
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creepingsharia · 4 years
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NYC: Muslim woman arrested after ‘allah akbar’ screaming, anti-Semitic attack on woman (video)
Zarinah Ali was arrested but not a single major U.S. news outlet chose to report on this attack by a Muslim.
youtube
An Israeli student said she was recently attacked on the New York City subway by a woman hurling anti-Semitic at a Jewish passenger.
In a video released Monday, Lihi Aharon recalled boarding the subway in Manhattan and encountering a woman whose possessions were on the nearby seats, which she asked her to move.
“No. Nobody sits here,” she quoted the woman, who was identified by the New York Police Department as Zarinah Ali, as saying.
Aharon said she then sat down across from Ali next to a Jewish man, who had a beard and was wearing a kippa.
“As soon as I sat that woman started cursing and yelling at him about him being a Jew and ‘Allahu akbar’ and how Allah will end us all,” she recounted.
She then took out at her phone and began recording Ali, footage of which was included in the video.
“You can record everything you want to sell. Allahu akbar. But you know what they’re going to do? It’s gonna be deleted,” the woman said.
“You fucking stinkin’ ass Jew,” the woman says. “You ain’t even a Jew, you white.”
A NYPD spokesperson said in a statement that Ali, a 38-year-old from South Orange, New Jersey, was arrested over the December 12 incident and charged with assault for scratching Aharon’s face.
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I have to go to class in an hour or so and I’m really super nervous because we’re talking about the book that’s about me and it’s really traumatizing to think about or look at and I also hate when people talk about me and already on the little forum thingy about the book people are saying that I’m cute and I just want them to leave me alone
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leopold-solyme-blog · 5 years
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coq lit coque peau En rentrant j’avais la poudre de la mousse de l’arbre, tondue comme un crâne féminin rachitique, sur l’épaule désarticulée, elle me précédait de quelques kilomètres, se trouvait vers la corde qui m’attendait encore et si la branche se casserait le trou s’emplirait du blanc de l’ombre de mon oeil où partent dents de morses, pureté de l’ivoire après les éléphants, enchâssées dans la coupelle brillante où boit l’âne fondant annulé par le bécarre en plâtre de lait pressé sur les plantes chastes. Le tissu était imprégné de la dévotion, deux doigts trous de peinture sur la joue de l’âne, tacitement préféré l’arbre se montrait quand je repliais mon talon sur une jambe comme les synagogues des cygnes, derrière moi, et l’épaule à l’arbre. Et non ne surtout pas, ne surtout pas empirer la flamme, tes peaux tapages diurnes mimosas ensoleillés grâce du ciseau enfoncé malmené dans la terre pluvieuse et névrotiques bêlements de la peau passée sous greffe du sang de la langue jaune bourgeon distillé, ne surtout pas naître en floraison je vous conjure bouton d’or rouge, coquelicots rafistolés remontez à la surface de la glace, le trou grandis je tombe avec la corde, vraiment tombées les parenthèses se tordent vers l’intérieur, deux bras diagonales sous l’effet de la crève renversent, cours si je me cours ! Je te dis cours si je me cours ! Les cygnes sont ma barque, un théâtre dessiné parle, deux sont deux sur la banquise, sur la glace mais la glace cassée pleut un tout petit peu, pleine de rayons palpitants suscitants orange, deux cygnes sont ensembles les canards marchent sur la glace, deux cygnes courbent la tête tu es ma synagogue est-ce que tu es, qu’est-ce qu’on va faire il y a des cygnes partout, une chaise deux trous noirs un carton la lune aime la lune R J R, moi au milieu sur une courbe, bécarre, bécarre, sous la banquise, qu’est-ce qu’on va faire ils baissent la tête qu’est-ce qu’on va faire, les cygnes, qu’est-ce qu’on va faire, des cygnes partout partout et il y en a qui marchent sur la glace et pourtant il pleut et il ne fait plus froid mais il y a encore de la glace et il pleut et mes mollets sont durs sous l’ondée ils sortent par derrière, eux non plus ne veulent plus de moi, qu’est-ce qu’on va faire, il pleut, ça fond la petite glace, nous sommes dessus, il y a les canards, où est-ce que nous allons, où est-ce que nous allons : je cours. La glace par moment reflet, paquet brisé, cygnes la surmontent, et montent dessus, ils s’en accommodent, d’autres partent, d’autres disent “rives”, la tâche verte te dérange sur le polaire, ce n’est pas grave, ne touche pas, ne touche pas, ne touche pas ne te touche pas, gratte, secoue gratte pendant que lavent les vêtements et tournent, secoue non ne secoue pas le lèvre arrive dans plus d’une semaine, il est à la synagogue des cygnes vendredi c’est moi qui vais l’emmener pour la première fois Oulodomo! Oulodomo ! Les pellicules de ma peau tombe sur mes genoux et mon pantalon militaire en velours. Je me frotte devant eux. ils ne comptent pas mes pellicules de peau. Les cygnes et les canards partagent les oiseaux au bec noir et blanc. La glace se répand et ils montent dessus, je dois revenir essayer de voir mais non tu vas mourir, la douleur commence, tu l’as vue à moitiée nue tu ne peux plus, tu ne dois plus voir, elle jouait. C’est qui, c’est Ilna ! Fou je suis fou ! Un homme passe au moment où je rentre, va-t’il me rentrer, va-t’il, partout ton père est partout tu as dis en pensée, je l’aime, je l’aime, endroit du crâne où tombe flocon de neige et kippa, tu as des froids, sans cheveux tu as des froids, je t’embrasse là, sur le crâne, repose dans la terre, sous la terre dans ton tombeau, tu ne peux pas sortir, tu es mort sous la terre dans ton tombeau et de la terre recouvre, recouvre, une femme, un homme, je danse, non je plane, je grimpe petite montée en levant bras et horizontal je zigzague, ça fait du bien, je plane, je suis un avion, ça fait du bien, rien que ça fait du bien, le collier l’arracher à quoi je ne sais pas ce qu’il signifie, commander quoi à qui, elle la peau, les yeux bleus, les lèvres roses je n’en peux plus, tu prends le commandement à chaque fois, tu me tues, avec tes phrases tu me tues, quand vais-je te voir, je suis fou, quand vais-je te voir, toi je dois t’avoir avec moi, je dois ta nudité, ne t’approche pas ne me regarde pas toi tu te retournes derrière les pyrogues jaunes tu te retournes, ce n’est pas l’été, tu te retournes et je plane et tu es étrange tu me fais peur, j’avance sans regarder la route du tout, je traverse et tu pars, j’espère car je ne peux me retourner, je t’ai pris en photo à rebours, je t’ai vu, tu ne pas savoir tu voulais me violer, me faire du mal, tu étais mi-homme-femme de loin je l’ai vu, qui es-tu, pourquoi tu me fais ça, non je ne veux pas que tu rentres, non ne rentre pas, non, non non ne rentre pas, touche pas ma peau, ce n’est pas de ma faute je dois attendre que ça passe, quelques jours j’espère, ne t’enflamme pas, laisse-moi, va-t’en, arrête, je me harcèle, arrête ne me harcèle pas, je suis seul ma gorge, mes cygnes et approche pas ! jJ suis fou dingue fou dingue, je t’ai dis que je te voulais, je droguais, et non, je t’ai abandonné, et les autres aussi je voulais j’avais peur, ne pas les voir, au revoir, à dieu, à cause de toi, on n’est pas en soirée ensemble par hasard, ils m’ont cherché je t’ai abandonné de mon coup de tête je suis parti, adieu sans rien dire, je suis l’horrible, je l’ai amené là-bas et parti comme un parent brutal ! Pardon, pardon, pardon, j’avais enroulé le couteau dans mes cheveux, j’avais enroulé le couteau dans mes cheveux, antinomie du rasé, antinomie ici, ici, ici les murs pas blanc, je n’en peux plus, je suis où, je te hais, être seul voir seul, enjamber la barrière voir les cygnes seul, ils cou l’eau et flottent, ils happent l’eau en surface, ils tiennent sur la glace et glissent, ils glissent, c’est beau, ils dorment, flânent, flamandent ! Je suis moitié là j’ai un rideau un voile fermé agrafé sur la moitié droite de mon visage, c’est vrai, c’est vrai, c’est vrai ! C’est moi je pleure, je pleure tu es fou, je pleure foulard rouge, je pleure ! J’ai envie tu me promets je suis pas fou tu m’aimes entends-tu tu m’aimes dis-moi, j’ai besoin, je pleure mélange, je suis fou, toi tes yeux tu me hais, tu me bleuies tu me hantes tu ne réponds pas je ne veux plus te voir toi nue ta peau tu me rends fou non arrête ce n’est pas moi tu me rejettes mais pourquoi moi pourquoi moi pourquoi moi pourquoi moi mon drap mon tissu noir agrafé sur moitié visage devant autre “et je n’ai pas de visage et je n’ai pas de faim” dis-je pensées rapides qui me souffrent,  un monstre ! L’alphabet et les cygnes bien sûr l’un et l’autre ensemble tour à tour nuit et jour, nuit et nuit, les cygnes coupent la discussion, ou l’enterrent. Elle ne reviendra jamais.
#^a
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equipedefranceinfo · 4 years
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Une semaine de foot en Israël et Palestine
  En ce début décembre, derrière les étals de fruits du marché Hatikva, l’écusson de Bnei Yehoudah s’affiche sur les drapeaux orange et noir, des photos rappellent les victoires récentes en Coupe d’Israël.
  Fait unique dans le pays à ce niveau, le club fondé par des Juifs yéménites en 1936 ne représente ni une ville ni une association sportive politisée, mais un quartier ouvrier du sud de Tel-Aviv où cohabitent les Mizrahim ("Orientaux") et les immigrés d’Afrique de l’Est.
      "Ni Hapoël, ni Maccabi"
Le quartier a donné son nom au marché, ainsi qu’à un petit stade vétuste en bordure d’autoroute. En hébreu, hatikva signifie espoir. Celui des supporters de Bnei Yehoudah est simple: rejouer un jour dans leur enceinte de cœur.
  En attendant, ils reçoivent au Bloomfield Stadium rénové de Jaffa, où il a été décidé au début des années 2000 de regrouper les trois équipes majeures de Tel-Aviv.
        Ce soir-là contre Ra’anana, tribune et tarif uniques. Un défilé permanent pendant les vingt premières minutes, c’est à qui arrivera le dernier pour saluer ostensiblement le plus de personnes de la communauté. La domination stérile est punie par un but de l’adversaire.
  Au-dessus du gros millier de fidèles, une banderole a été déployée: "Bnei Yehoudah exige une maison". Les supporters n’ont toujours pas pardonné à Ron Huldai, l’actuel maire de Tel-Aviv, d’avoir renié son ancienne promesse électorale de maintenir le club au stade Hatikva.
  Le penalty de l’égalisation en fin de match ravive les chants, qui disent quelque chose comme "Ni Hapoël, ni Maccabi", manière d’affirmer sa singularité et de moquer le derby du lendemain.
        Feux de joie pour le derby
Un stade, deux ambiances. Une heure avant le coup d’envoi, les clameurs de Bloomfield parviennent jusqu’aux rues de Jaffa. L’Hapoël reçoit, mais le camp Maccabi occupe un virage et une partie des latérales.
  Les tribunes dessinent un autre Israël, plus "blanc" et sans kippa à l’horizon – peut-être ce qu’il reste de l’électorat travailliste auquel l’Hapoël est historiquement lié. Pour leur tifo, les ultras souhaitent la bienvenue en enfer ("Hapo-Hell"), ce qui paraît presque gentillet – il faut dire qu’ils avaient placé la barre assez haut, la saison dernière, en scandant "La Shoah pour le Maccabi".
  À peine le coup d’envoi sifflé, le match doit être arrêté pour cause de jets de fumigènes sur la pelouse et de grandes flammes consumant les sièges au milieu des deux virages. Un feu de joie autour duquel les ultras sautent et dansent, arrosés par la lance à incendie qu’on s’amuse à faire tournoyer comme une hélice.
        Malheureusement, ce sera la meilleure action du match pour l’Hapoël. L’Église de scientologie a beau avoir élu domicile en face du stade, les pouvoirs miraculeux de la dianétique ne pourront guérir la médiocrité offensive des Démons Rouges.
  Le Maccabi n’a pas à forcer son talent pour plier son rival 3-0 et consolider sa place de leader de la Ligat ha’Al. Ses supporters, dont beaucoup ont revêtu le maillot de Boca Juniors, couleurs jaune et bleue communes obligent, exultent sur des rythmes argentins.
  Franchissement de ligne à Jérusalem-Est
En Cisjordanie, l’affiche oppose Jabal Al-Mukaber à Merkaz Balata, équipe du camp de réfugiés de Naplouse et leader du championnat. Quartier de Jérusalem-Est, Jabel Mukaber symbolise le cycle perpétuel de provocations et violences dans la région. Ces dernières années, plusieurs auteurs d’attentats contre des Israéliens venaient de cet endroit bordé et percé par des colonies juives.
  Le match se tient au stade Faisal Al-Husseini d’Al Ram, où joue notamment l’équipe nationale de Palestine. Ici, la barrière de séparation israélienne ressemble bien à un mur, que semble vouloir toiser les bureaux de la Palestinian Football Association.
        Le vendeur de billets à l’entrée de la tribune laisse passer le visiteur du jour sans faire payer. Comme dans de nombreux pays, il faut néanmoins retirer le bouchon de la bouteille d’eau de peur qu’il ne serve de projectile…
  Le public est exclusivement masculin. Côté Mukaber, les tambours résonnent, enthousiasme vite refroidi par l’ouverture du score de Balata. Le terrain synthétique n’aide pas pour le spectacle, chaque tir dégageant une nuée de petites billes noires.
  Survient l’incident: l’arbitre ne voit pas le ballon franchir la ligne et refuse le but à Mukaber. Colère indescriptible des supporters. L’absence de bouchon n’a pas découragé un voisin énervé de balancer notre bouteille, qui termine son voyage sur le rectangle vert faute d’avoir dégommé l’arbitre assistant.
  "Mukaber, ils sont fous"
Des sièges sont arrachés, certains en viennent aux mains entre eux. La tension ne retombe pas. La police de l’Autorité palestinienne se positionne en bas des travées, avant de charger, engendrant un mouvement de reflux vers le haut des gradins.
  Beaucoup implorent d’arrêter les jets de projectiles divers, conscients que la situation peut dégénérer. Au bord du terrain, les officiels viennent également calmer le jeu. Pas de VAR à la mi-temps en West Bank Premier League, mais des smartphones pour revisionner l’action litigieuse.
        La seconde période est plus tranquille. Des enfants continuent à trimballer leur carton pour vendre des friandises. Dans la tribune en face, les supporters de Balata, massés sous les portraits de Mahmoud Abbas et Yasser Arafat, répondent à ceux de Mukaber avec un objectif clamé à l’unisson: Al-Quds (Jérusalem) et la Palestine.
  Lorsque retentit l’appel du muezzin, une partie des spectateurs quittent le stade, tandis que d’autres montent à la plus haute rangée des gradins pour effectuer la prière. Dehors à la sortie, des policiers invectivent, armes à la main.
  Notre chauffeur ouvre la portière et demande de déguerpir au plus vite. Les événements ne le surprennent pas plus que ça : "Mukaber, ils sont fous. À chaque fois, il y a des problèmes avec eux. Ce sont des Arabes, mais des Arabes durs, des bédouins", explique-t-il avec le sourire.
  Une semaine de foot en Israël et en Palestine, ce sont des espoirs déçus, des couleurs défendues jusqu’à l’absurde, des étincelles qui suffisent à l’embrasement. Rien de très nouveau, en somme, sous le soleil de Terre sainte.
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oldguardaudio · 5 years
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Trump Yarmulkas cause a mini-outrage, reminders go out how Democrat versions were warmly embraced
Trump Yarmulkas cause a mini-outrage, reminders go out how Democrat versions were warmly embraced
While some debate the Jewish faith’s stance on the afterlife, one thing people are finding out this weekend is that the internet is forever.
The latest Orange Man is the Devil outrage is that a documentarian spotted a MAGA hat version of the Jewish kippa being worn by Sheldon Adelson, at the President’s speech to the Republican Jewish Coalition.
Mega GOP donor Sheldon Adelson in the front row…
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equipedefranceinfo · 4 years
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Une semaine de foot en Israël et Palestine
  Derrière les étals de fruits du marché Hatikva, l’écusson de Bnei Yehoudah s’affiche sur les drapeaux orange et noir, des photos rappellent les victoires récentes en Coupe d’Israël.
  Fait unique dans le pays à ce niveau, le club fondé par des Juifs yéménites en 1936 ne représente ni une ville ni une association sportive politisée, mais un quartier ouvrier du sud de Tel-Aviv où cohabitent les Mizrahim ("Orientaux") et les immigrés d’Afrique de l’Est.
      "Ni Hapoël, ni Maccabi"
Le quartier a donné son nom au marché, ainsi qu’à un petit stade vétuste en bordure d’autoroute. En hébreu, hatikva signifie espoir. Celui des supporters de Bnei Yehoudah est simple: rejouer un jour dans leur enceinte de cœur.
  En attendant, ils reçoivent au Bloomfield Stadium rénové de Jaffa, où il a été décidé au début des années 2000 de regrouper les trois équipes majeures de Tel-Aviv.
        Ce soir-là contre Ra’anana, tribune et tarif uniques. Un défilé permanent pendant les vingt premières minutes, c’est à qui arrivera le dernier pour saluer ostensiblement le plus de personnes de la communauté. La domination stérile est punie par un but de l’adversaire.
  Au-dessus du gros millier de fidèles, une banderole a été déployée: "Bnei Yehoudah exige une maison". Les supporters n’ont toujours pas pardonné à Ron Huldai, l’actuel maire de Tel-Aviv, d’avoir renié son ancienne promesse électorale de maintenir le club au stade Hatikva.
  Le penalty de l’égalisation en fin de match ravive les chants, qui disent quelque chose comme "Ni Hapoël, ni Maccabi", manière d’affirmer sa singularité et de moquer le derby du lendemain.
        Feux de joie pour le derby
Un stade, deux ambiances. Une heure avant le coup d’envoi, les clameurs de Bloomfield parviennent jusqu’aux rues de Jaffa. L’Hapoël reçoit, mais le camp Maccabi occupe un virage et une partie des latérales.
  Les tribunes dessinent un autre Israël, plus "blanc" et sans kippa à l’horizon – peut-être ce qu’il reste de l’électorat travailliste auquel l’Hapoël est historiquement lié. Pour leur tifo, les ultras souhaitent la bienvenue en enfer ("Hapo-Hell"), ce qui paraît presque gentillet – il faut dire qu’ils avaient placé la barre assez haut, la saison dernière, en scandant "La Shoah pour le Maccabi".
  À peine le coup d’envoi sifflé, le match doit être arrêté pour cause de jets de fumigènes sur la pelouse et de grandes flammes consumant les sièges au milieu des deux virages. Un feu de joie autour duquel les ultras sautent et dansent, arrosés par la lance à incendie qu’on s’amuse à faire tournoyer comme une hélice.
        Malheureusement, ce sera la meilleure action du match pour l’Hapoël. L’Église de scientologie a beau avoir élu domicile en face du stade, les pouvoirs miraculeux de la dianétique ne pourront guérir la médiocrité offensive des Démons Rouges.
  Le Maccabi n’a pas à forcer son talent pour plier son rival 3-0 et consolider sa place de leader de la Ligat ha’Al. Ses supporters, dont beaucoup ont revêtu le maillot de Boca Juniors, couleurs jaune et bleue communes obligent, exultent sur des rythmes argentins.
  Franchissement de ligne à Jérusalem-Est
En Cisjordanie, l’affiche oppose Jabal Al-Mukaber à Merkaz Balata, équipe du camp de réfugiés de Naplouse et leader du championnat. Quartier de Jérusalem-Est, Jabel Mukaber symbolise le cycle perpétuel de provocations et violences dans la région. Ces dernières années, plusieurs auteurs d’attentats contre des Israéliens venaient de cet endroit bordé et percé par des colonies juives.
  Le match se tient au stade Faisal Al-Husseini d’Al Ram, où joue notamment l’équipe nationale de Palestine. Ici, la barrière de séparation israélienne ressemble bien à un mur, que semble vouloir toiser les bureaux de la Palestinian Football Association.
        Le vendeur de billets à l’entrée de la tribune laisse passer le visiteur du jour sans faire payer. Comme dans de nombreux pays, il faut néanmoins retirer le bouchon de la bouteille d’eau de peur qu’il ne serve de projectile…
  Le public est exclusivement masculin. Côté Mukaber, les tambours résonnent, enthousiasme vite refroidi par l’ouverture du score de Balata. Le terrain synthétique n’aide pas pour le spectacle, chaque tir dégageant une nuée de petites billes noires.
  Survient l’incident: l’arbitre ne voit pas le ballon franchir la ligne et refuse le but à Mukaber. Colère indescriptible des supporters. L’absence de bouchon n’a pas découragé un voisin énervé de balancer notre bouteille, qui termine son voyage sur le rectangle vert faute d’avoir dégommé l’arbitre assistant.
  "Mukaber, ils sont fous"
Des sièges sont arrachés, certains en viennent aux mains entre eux. La tension ne retombe pas. La police de l’Autorité palestinienne se positionne en bas des travées, avant de charger, engendrant un mouvement de reflux vers le haut des gradins.
  Beaucoup implorent d’arrêter les jets de projectiles divers, conscients que la situation peut dégénérer. Au bord du terrain, les officiels viennent également calmer le jeu. Pas de VAR à la mi-temps en West Bank Premier League, mais des smartphones pour revisionner l’action litigieuse.
        La seconde période est plus tranquille. Des enfants continuent à trimballer leur carton pour vendre des friandises. Dans la tribune en face, les supporters de Balata, massés sous les portraits de Mahmoud Abbas et Yasser Arafat, répondent à ceux de Mukaber avec un objectif clamé à l’unisson: Al-Quds (Jérusalem) et la Palestine.
  Lorsque retentit l’appel du muezzin, une partie des spectateurs quittent le stade, tandis que d’autres montent à la plus haute rangée des gradins pour effectuer la prière. Dehors à la sortie, des policiers invectivent, armes à la main.
  Notre chauffeur ouvre la portière et demande de déguerpir au plus vite. Les événements ne le surprennent pas plus que ça : "Mukaber, ils sont fous. À chaque fois, il y a des problèmes avec eux. Ce sont des Arabes, mais des Arabes durs, des bédouins", explique-t-il avec le sourire.
  Une semaine de foot en Israël et en Palestine, ce sont des espoirs déçus, des couleurs défendues jusqu’à l’absurde, des étincelles qui suffisent à l’embrasement. Rien de très nouveau, en somme, sous le soleil de Terre sainte.  
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