#skier avec toi

[justafterawintermorning]

Le trou de la lune et puis Nous. 🤍🤍🤍

#♥️ je t'aime ♥️ #skier avec toi #aulwayswithyou #aulwaysinmymind

[leafromtree-blog]

“Mais je suis malade”

« Je reste chez moi aujourd’hui, je reste au pieu « Arrête tes conneries, lui dit Paul. Sors, il fait beau. Tu vas pas rester là à te gratter, et laisser ton corps se dissoudre comme une larve... « Mais je suis malade » « Tu parles, c’est qu’une excuse ! Une fois que tu seras dehors, avec tes amis, tu auras bien vite oublié tout ça. » « Mais quand est-ce que je saurais si mon corps va vraiment mal, si aujourd’hui, alors que je n’ai pas beaucoup d’énergie, un ventre ballonné, la tête lourde, une barre au front, tu me dis que tout cela, je peux l’ignorer ? comment savoir quand je dois m’arrêter pour me reposer ? Peut-on toujours se forcer à faire quelque chose ? » « Qu’est-ce que tu veux vraiment ? » intervint Joaquim « Comment ça ? » « C’est ça qui doit te guider, plus que ton état actuel et ce qu’il te donne comme indice sur ce que tu devrais faire. Au lieu de te demander ce que tu dois faire, comme s’il y avait une partie de toi, inconnue à ta conscience, qui te guidait, te le suggérait, demande-toi plutôt, en toute franchise : Est-ce que je veux me reposer ? Est-ce que je veux rester à la maison ? Ce n’est pas plus compliqué que ça. Si tu n’en a pas la force, tu ne vas pas honnêtement vouloir sortir. « Mais si c’était justement une impression ? Il m’est déjà arrivé d’être très fatigué le matin, d’avoir l’impression d’être incapable de sortir du lit. Mais de faire tout de même le trajet jusqu’à la gare avec mes affaires sur le dos, retrouver des amis et aller skier. Et finalement, sur les pistes, d’être content d’avoir pris cette décision. « Oui, mais justement, est-ce que tu avais envie d’aller skier en te levant ? « J’avais des doutes… « Tu avais préparé tes affaires, la veille ? tu étais prêt à y aller ? « oui « Tu voulais retrouver tes amis ? « Oui, mais je ne sais pas si c’était justement parce que je le voulais vraiment, ou parce que j’avais peur de ce qu’il penseraient si je ne venais pas. Ou plutôt, peur du jugement que je m’infligerais. En imaginant ce qu’ils pourraient en penser. C’est comme si toutes ces personnes étaient bien plus présentes en moi, qu’en elles-mêmes. C’est mal dit. Comme si je les fréquentais plus dans ma tête qu’en réalité. Et c’est là qu’une distance peut sans doute apparaître, entre ces personnes et la représentation que je m’en fais. En même temps, parfois, je me demande même s’il y a une différence entre les deux, car après tout, si l’on suit ce que l’on dit à propos de la physique quantique, il semblerait que l’univers entier n’existe que parce que je me l’imagine. Et... « Stop, arrête-toi une seconde. Qu’est-ce que tu es en train de faire là ? « J’écris. « Et comment te sens-tu ? « Bien, j’ai l’impression d’être totalement en accord avec moi-même, de créer quelque chose qui soit moi « Tu l’as, ta réponse « Oui, mais je ne veux pas m’arrêter. C’est comme si mes problèmes et mes doutes fournissaient la matière première de mon écriture. Et que si je m’arrête - car je pense les avoir résolus en écrivant -, je vais me retrouver face à une gouffre, j’aurais encore écrit seulement une page et puis je vais oublier ce que j’ai commencé là, passer à autre chose comme je le fais à chaque fois. J’ai peur du vide. Peur d’arrêter. Peur d’oublier, de passer à autre chose, de ne pas savoir continuer ce texte, d’avoir la flemme de me replonger dedans, de considérer que c’était juste l’histoire d’un moment, de ne pas savoir le lier au reste. « Faut-il tout lier ? Les œuvres sont authentiques en elles-mêmes.. « Oui oui mais les œuvres déjà pour parler d’œuvre il faut être pleinement impliqué, passer du temps sur quelque chose « Tu vois ce que tu es en train de faire ? tu recommences à dire « il faut »… « C’est vrai… « Est-ce que c’est ce que tu prétends faire, une œuvre ? « Non, mais c’est toi qui me parles d’œuvre. « alors j’ai mal choisit le mot. Mais tu aurais pu me rétorquer déjà, lorsque je t’en ai parlé, que tu n’avais pas comme but de… « Mais si, c’est quand même une forme d’œuvre que je veux faire « Pourquoi ? qu’est-ce que tu entends par œuvre ? « Le flow. Une pièce qui provient d’un état de flow. Comme Kind of blue, de Miles Davis. En une prise, c’est bouclé. Car c’est un instant qui est fait « éternel » « Et ce que tu fais là, c’est pas un peu ce que tu voulais depuis longtemps ? Prendre le temps pour toi, pour écrire ? Aboutir à quelque chose ?  Au lieu de courir à droite et à gauche, faire du ski, voir des amis, travailler, voir des filles, etc.. des « diversions.. » peut-être, en quelque sorte ? peur de faire… ce que tu as vraiment envie de faire… ? « Mais est-ce cela que je veux vraiment faire ? Me nourrir de mes problèmes pour écrire des textes ? « Penses-tu réellement que tu doives être malheureux pour écrire ? n’y a-t-il pas d’autres moteurs à l’écriture ? « C’est pourtant ainsi que je suis en train de créer ce dialogue… « Oui, mais attend, écoute. Ce n’est pas seulement les problèmes psychologiques internes qui permettent d’écrire. C’est ta capacité à fournir des arguments et des contre-arguments. La dialectique, en soi. Ce que Mélanie, et les psy en général, appellent.. je ne me rappelle plus, c’est un type psychologique le plus sain, le plus sain de tous disait-elle... Névrotique ? Pause « Mais là, lorsque j’arrête, regarde : j’ai peur, je sens que je vais à nouveau rien faire « Est-ce si mal que ca ? Qu’est-ce qui te presse, qu’est-ce qui est si urgent ? Que va-t-il se passer si tu ne fais rien ? n’est-ce pas aussi parce que tu as des moments de repos que tu as des moments de travail si productifs ? regarde la grande image « Mais j’ai peur de ce que je mange, je viens de manger une figue par exemple. Rien que d’y penser ça me tend, car je sens que demain je pourrais vraiment me retrouver à fleur de peau, parce que je n’ai pas profité du soleil, j’ai mangé alors que j’avais déjà des sensations désagréables au ventre, et je suis resté affalé sur mon lit « Affalé, vraiment ? Aujourd’hui, tu as déjà tendu ton Darbuka, appris les deux sons qui le composent, le Dum et le Tak, accordé ton Kalimba, lu, écrit ce texte (qui fait bientôt deux pages, donc plus qu’une…), et tu as pris conscience de toutes ces choses. Mais je sens que tu en veux plus, que tu veux le fin mot de l’histoire, tu n’est pas assez loin encore, tu veux comprendre la source ultime de ton mécontentement, et tu veux pouvoir être en paix avec toi-même. Alors tu fais des plans de vie, tu imagines ce qu’il te faudra, cette année, quelles vacances tu prévois, si tu vas lancer ta start-up, quelles passions prioriser, tu vas recommencer à lire « The organized mind » de Levitin, pour organiser ta vie, essayer de tout équilibrer, pour être OK… tu sais que c’est inutile ? « C’est inutile ? « Pas tout à fait, ça peut t’aider un peu. Mais ce n’est pas ca qui va te réconforter. « C’est une nana qui va te réconforter, matraque Francis. Une bonne meuf pour te caresser et te dorloter, et puis baiser quand même, faut bien le dire ! « C’est vrai les autres meufs, elles le sentent sûrement, si ça fait un mois que j’ai pas fait l’amour.. « Non, dit Joaquim « Qu’est-ce qui va me réconforter alors ? Tu allais le dire avant que Francis me parle de baise. « Rien. Tu es condamné à être névrosé. C’est ta force et ton tourment. Je te conseille de l’accepter, tu peux vivre tout à fait bien comme ça. Tant que tu le nieras par contre, tu vas constamment retrouver un jour ou l’autre cet état de déception que tu pensais avoir «dépassé », alors que souviens-toi, la vie n’est pas linéaire, mais circulaire. « Alors je peux juste me coucher là, et ça ne changera rien ? j’ai le droit d’être seul, de ne rien faire, d’être … d’être ? « Sois. C’est toi qui es ainsi. Rien n’est si grave. « Et tu penses probablement que maintenant c’est bon, t’as ta réponse divine, et que tu vas pouvoir être OK pour le reste de la journée ? » arme Francis « Dégage! « Et non, je pars pas comme ça… Il l’ignore « ... » Il va chercher un livre, mais sur le chemin, ses doutes le rattrapent : « Et soudain, à nouveau, j’ai peur de demain. De l’état dans lequel je vais être ce soir. Si je vais réussir à dormir ou non. Cela dit c’est agréable d’écrire tout ça. Certes j’ai mal au bide. Mais je vais pas déprimer pour autant, si ? En même temps, c’est bien du corps que dérivent toutes nos émotions. Donc si je me sens mal, c’est que j’ai fait quelque chose de faux. « Et si tu n’avais juste pas de chance ? » dit Joachim « Mais c’est pourtant bien le travail que je fais avec mon psychothérapeute, qui m’amène à changer ma façon de voir les choses et de me comporter, pour stopper mes douleurs. Donc inversement si j’ai encore mal, c’est que j’ai pas encore tout intégré « Mais il t’a bien dit que ça prendrait du temps. Et qu’il pourrait y avoir des rechutes. « Oui, mais j’ai bientôt 28 ans et j’ai peur de gâcher ma vie. Et il faudrait peut-être que j’ai des enfants à un moment donné. Et puis une femme, que je sois heureux quoi ! Ou alors que je voyage, que je fasse ce qui me plaise. Mais pas que je me retrouve chez moi, seul, mal à la tête, au ventre, à rien savoir faire, à écrire sans que personne n’en sache rien… « Est-ce que c’est pour les autres que tu écris ? « … Je sais pas ce que je fais. Je sais pas ce qui est important. Mais je suis pas très heureux dans cet état là. « Tu es malade, c’est normal. « Est-ce que je suis vraiment malade ? Et ça tourne en rond, comme ça…

[sundaymorningsims4]

Mont Komorebi, Résidence secondaire Kubo

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Retranscription :

Makoa: Hello la belle au bois dormant, il serait peut-être temps de se réveiller si on veut être à l’heure pour aller skier avec les autres !  Danaé: Encore 5 petites minutes... Makoa: Non non, c’est la meilleure heure, au moins on aura les pistes juste pour nous !  Danaé: [réalise] (Mais attends, c’est pas la chambre de Makoa ça ?!) [gênée] Tu sais quoi, tu as raison ! Je descends la première ok ? Makoa: [baille] C’est bon pour mo, je vais probablement prendre une douche avant de descendre. À tout à l’heure ! Danaé: [presse le pas] Oui ! — Cheryl: [moqueuse] Alors ? Folle nuit n’est-ce pas ?  Danaé: Tu es très mal placée pour parler toi ! Nous tout était faux, c’était juste pour que vous arrêtiez de faire autant de bruit ! Cheryl: [suspicieuse] Mouais ! Felix: Bon, moi je vous laisse à vos conversations les filles, je vais plutôt aller voir ce qu’il se passe là-haut !  Cheryl: [rire] C’est ça, enfuis-toi trouillard ! Et enfile un t-shirt tant que tu y es ! Danaé: À plus Fel ! — Makoa: Je l’ai embrassée et j’étais sobre cette fois ! Danaé: Je l’ai laissé m’embrasser... — Makoa: C’était le moment le plus fort de ma vie ! Danaé: Je me suis laissée porter par le moment et maintenant je regrette... — Danaé: Mais arrêtons de parler de moi ; Tu comptes officialiser en quelle année avec Felix ?  Cheryl: Je n’ai pas de sentiments- on est juste des... amis avec bénéfices ! Danaé: Cheryl, les amis ne se regardent pas comme ça et tu le sais. Tu l’aimes, il t’aime, c’est flagrant pour tout le monde sauf pour vous ! Cheryl: Et s’il n’a pas les mêmes sentiments ?  Danaé: Ça crève les yeux que vous êtes faits pour être ensemble ! Cheryl: Comme Don et toi tu veux dire ? Danaé: Plus ça va moins j’en suis sûre... J’ai besoin de quelqu’un qui me choisisse sous n’importes quelles conditions. Cheryl: Un Makoa quoi ! Danaé: C’est là qu’est tout le problème... SMS de Don: Salut ma belle, tu te sens mieux ? J’ai hâte que tu rentres.

#maxis match #TS4 #thesims4 #sims 4 legacy #legacy #gen1

[plaidetchocolatchaud]

"Et dans la vraie vie je suis étudiante en deuxième année de master en archéologie médiévale". C'est plus quoi la fausse vie ? =)

Question amusante ^^ !

Ma fausse vie est tout simplement remplie des choses que je n’ose pas faire, que je ne peux pas faire par manque de temps et d’argent, et de tous les trucs pour lesquels je procrastine ( je suis experte dans la procrastination). Elle contient (entre autres):

Je suis une vraie tumblr girl h24, mes tenues sont ultra stylées et je me fais de super maquillages.

Je n’ai pas fait que de l’histoire de l’art. J’ai une double licence Lettres Classiques -HA que j’ai obtenu avec une mention Très bien et les félicitations du Jury. Et comme je veux gagner plein de bif, j’ai intégré le deuxième cycle de l’école du Louvre, et je vais aller travailler dans le marché de l’art.

J’ai fait une année Erasmus à Oxford.

Je n’achète ma déco que chez Urban Outfitters

J’ai fait 15 stages, et plus de la moitié d’entre eux étaient rémunérés.

Même si je n’ai pas de permis et que je vis en rase campagne, je ne rencontre aucun souci pour me déplacer.

En plus du piano, je joue de la guitare et de la basse et j’ai fait du violon au conservatoire.

Je dessine 3 heures par jour, j’ai un tumblr et un compte insta où tu peux aller admirer mes œuvres, et ça marche de ouf.

D’ailleurs mon blog a un putain de trafic, je fais pleins d’articles sponsorisé (le dernier avec la ville de Grenobeule !), ça permet d’arrondir mes fins de mois c’est grave cool (sauf pour vous car je suis devenue insupportable, et vous vous êtes bien rendus compte que j’avais vendu mon âme au diable).

J’ai plein d’amis, et c’est tous des hipster grave cool.

Je bénéficie des avantages à la fac d’être une sportive de haut niveau en ski. Je suis tellement douée que tous les ans, je fais plusieurs fois la une du journal local. Mon surnom ? La Bouquetine aux Pattes d’Or.

Ah oui, et je tricote tous les jours et je vends sur Etsy des pulls en jacard à 200 euros pièces. J’ai fait 534 ventes depuis le début de cette belle aventure.

Et en terminant cette liste, je vais te dire, je préfère ma vraie vie à cette fausse vie que je viens de t’inventer. 

D’accord dans la liste il y a deux-trois trucs qui me font envie, avoir continué le latin après le lycée, commencer le violon, visiter le Royaume-Uni, avoir une jolie chambre et passer plus de temps à gribouiller, tricoter et skier souvent tous les hiver, tant qu’il reste un peu de neige et me faire jolie plus souvent. C’est ça ma fausse vie rêvée (surtout ce qui est en gras) :)

Mais je pense que si j’avais tout réussi dans la vie, je serais peut-être ce genre de meuf insupportable. Dans ce cas, je préfère la vraie Hélène à la fausse :)

Bien à toi voisin lyonnais :)

[yourhuge]

promo raquette de tennis

Les bandages sont placés à des endroits anatomiquement importants à l'intérieur du asics nimbus 15 pas cher. Asics a même pensé aux pipous en déclinant les 4 modèles de Authentic basses. La marque vient de créer deux paires de baskets montantes Dunk High Premium aux couleurs du 25 décembre: du rouge, du vert et du doré, des bonhommes de neige, des flocons et des feuilles de houx. notre site Fashion Chaussures De Tennis Pas Cher est dans sa phase naissante. Pour pimper tes petons fa. Après, piutôt que d'objectifs chiffrés, je préfère envisager ma manière de skier. Les deux paires seront disponibles dès le 1er mars: pour l’instant les prix n’ont pas été communiqués. Objectif: être la plus originale possible pour peut-être gagner un voyage à Megève et des produits.re que toi aussi tu as envie de resortir tes vieux albums pour chercher ce coquin de Charlie.tes de rangement sous les plus courts. Le centre de marques que McArthurGlen inaugurera à Miramas, près de Marseille, en avril Balles De Padel Pas Cher tranche avec son unité historique de Troyes, ouverte en 1995. L’heure est grave, l’industrie de la chaussure de sport chic vient d’atteindre la perfection. u sans trop en dire, l’histoire se concentre sur la vie et les amours de Sarah Campbell, une jolie demoiselle qui voyage beaucoup, dessine sur ses pieds et court avec des talons de 15. Je ne peux pas nier que certains modèles ont quand même bien évolué et s’éloignent un peu du look orthopédique. La achat asics patchwork à motifs incas et aztèques. Et les juifs croient que tout cet ensemble appelé Torah vient de Dieu donc en gardant tes présupposés initiaux, tu arrives à la conclusion que oui il en a beaucoup à prix basket asics homme, c'est d'ailleurs l'objet de la création du monde (que le respect de la Torah).Happy birthday, relève encore Julien's Auctions. Et si tes yeux veulent pétiller tels les papillons Tennis De Table Pas Cher de nuit dans un micro-ondes, voilà la vidéo du défilé. www.sportsoldes.com

#tennis

[asalavarrieta]

Exercises 5 et 6 page 65

Exer. 5 Partagez-vous les messages de Camille et d’Ines. Rapportez ce qu’elles disent.

Camille répond á Cholé elle dit que elle a un examen important et dois travailer.

Excer. 6 Completéz le dialogue avec une expression du trableu.

Marie: Le week-end prochain on va faire du ski (tu veux venir?)

Louis: (Je ne peux pas venir) je ne sais pas skier.

Marie: Toi,Vincent, tu sais skier (tu peux venir?)

Vincent: Désolé. Mon cousin de Bretagne se marie (je dois étre á Rennes) 

[paulandreaa096-blog]

Guide 2 activite 1  (1.3.1) camille et Ines

1.3.1

5. Partagez-vous les messages de Camille et d’ Inés. Rapportez ce qu’ elles disent.

Camille répond á Ines    Elle dit qu'elle aimerait y aller, mais le 12 juin, elle passe un examen important. Donc le 11 elle doit travailler.

6. Complétez le dialogue avec une expression du tableau.

Marié: Le week-end prochain, on va faire du ski. (Tu vas venir?)

Louis: (Tu peux venir) Je ne sais pas skier.

Marie: Toi, Vincent, tu sais skier. (Je ne peux pas venir)

Vincent: Désolé. Mon cousin de Bretagne se marie. (Je dois être à Rennes)

[lalignedujour]

"On sait très bien comment ça va finir", il a dit.

Comme toujours, après les cours ils marchaient ensemble le long de la route. Il y en avait pour 20 minutes pour elle. Puis 10 de plus pour lui.

Comme toujours, ils s'adressaient à peine la parole. Ils s'apprécient sans doute assez pour tenir à rentrer ensemble, pour s'attendre un peu quand l'un des deux tarde. Mais une fois qu'ils marchent, c'est silence.

Seulement, aujourd'hui, il a neigé toute la journée. Ils piétinent une petite couche de neige tassée.

Le trajet se passe comme d'habitude. A une différence près : ils ont un peu parlé au début. Il lui a dit que ça lui rappelait qu'il allait skier cet hiver. Elle lui a dit qu'il devrait essayer le snow, que c'était de meilleures sensations. Il y a réfléchi un instant. Et quand il est revenu à la conversation, quand il s'est souvenu qu'elle était là à côté de lui, l'ambiance était déjà retombée.

Presque vers chez elle, la route borde le lac. Ils marchent le long d'un garde-corps en bois. Il y a une belle couche de neige. Elle l'a ramassée avec ses mouffles et lui a balancé la première boule.

Ça l'a séché.

"On sait très bien comment ça va finir", il a dit.

"On va être trempés, on va aller chez toi prendre quelque-chose de chaud. Tu vas me proposer de faire sécher mes fringues. Et on sait pas comment ça va finir"

Il est resté tétanisé par cette pensée. Suspendu. Il a le sentiment de n'avoir jamais lancé sa propre boule de neige. Il a cette image fixe d'elle qui le regarde en riant, les mouffles encore marquées par la neige, bien sur ses appuis, prête à fuir en cas de riposte.

"On sait pas comment ça va finir". Est-ce qu'il l'a vraiment dit ?

[24hsanstoi-blog]

tu as crée au tours de moi un personnage que j’ai jamais compris pourquoi tu l’as fait. Je sais que a des moments ça ta arranger pour pas assumer ce qu’on été vraiment un couple et même plus que ça et d’autres moment ça été dur de porter.  On est devenu ce que la photo montre car pour moi, tu sera ma fillette a qui je voudrais toujours proteger et je ferais tout pour elle comme j’ai toujours fait et j’ai déjà écrit autre par.  Je pourrais jamais te dire avec des mots a quel point je tiens a toi, a quel point je t'aime, a quel point tu es tout pour moi.  J’ai toujours entendu dire que quand tu aimes vraiment quelqu’un ça s’explique pas. ça doit être mon cas.  Pour moi et sache que ça tu me l’entendra jamais dire tu es la femme de ma vie, celle pour qui j’ai toujours cru qu’on finirait ensemble et qu’on se séparer jamais. Celle pour qui je serais prêté a tout et pour qui jour après jour j’ai toujours essayer de montrer que je suis là que pour toi.  J’adore tout chez toi, comment tu me regarder, tu te soucier de moi, comment tu me parle, quand tu t’enerve, quand tu me caresse les cheveux ou quand tu me prends dans le lit quand ça va pas. j’adore le soirée vin, les soirées ciné, ou tout simplement rester au canapé sans rien faire avec de que tu me dise on va au lit car tu as assez lutter pour aujourd'hui.  j’adore que tu sois a mes cotes, que tu te fatigue pas de moi, que tu sois dans ma vie. car comme j’ai déjà dit j’adore tout chez toi.  Je sais que j’ai jamais aussi te dire a quel point j’aime tout ça et que tu as pu comprendre que pour moi tu été tout quand on faisait l’amour que mon regard a un moment ou a un autre se poser sur toi et te disait tout. Je sais que tu m’en veut te le dire si tard mais pour moi si je l’ai jamais fait c’est par peur et que je trouvais que j’avais une tres grande responsabilité de te dire on ressaie car personne m’aime chez toi, pas mal de gens ne veulent pas de moi dans ta vie et dire que ça pouvait foirer en toi prenant tous c'est risque c’etait dur a porter surement pour ça j’attendais que toi tu le dise et j’aurais dit oui sans même réfléchir.  Cette année 2018 j’attendais que ça même si au final maintenant c’est trop tard. j’ai aussi rien dit car cette année je trouvais que j’allais pouvoir t’apporter vu dans quel état je suis, je trouve et je trouvais que je servais a rien et quoi bon être avec toi alors que j’allais pas pouvoir être là pour toi vu que je me retrouve pas a moi même. Mais je m’étais deja dit que je tinviterai a poser les fêtes avec moi et qu’au plus tard pour le semi de seville je te dirais que c’était que je vois que pour moi c’est toi et personne d’autres car je veux que toi. je veux que tu vienne a Cameroun avec moi pour que je te montre a quel point c’est beau. Barcelone, Andorre chez des potes et au pire faire de la luge car tu sais pas skier, suisse pour ma tante, paris et ce fameux resto japonais, Amsterdam et leur boisson healhty qu’on adore tant, et plein d’autres endroit.  Je sais que c’est tard et écrivant ça et te laissant le lire j’accepte que je t’ai perdu, que je te laisse aller... Je sais que tu es perdu, que ta vie te convienne pas... et toutes ces choses qu’on sait deja. Je sais aussi que pour moi c’est trop tard, que je suis ton passé et que tu as trouvé quelqu’un qui a su te dire avec des mots ce que moi je voulu trop attendre pour te dire. je sais qu’il est parfait, je sais que je suis pas son niveau... mais surtout je sais que tu as plus de place pour moi et que même si tu es perdu c’est lui que tu as donner l’opportunité d’être avec toi... ça fait mal , oui. c’est difficile a vivre et encaisser mais c’est la vie et va falloir que je fasse avec et au final je finirai comme le texte que j’ai toujours dit et que tu voulais entendre a nouveau même si pour moi tu es irremplaçable, même si pour moi tu es et tu sera toujours la femme de ma vie ...

je ne parlerai pas  je ne penserai rien mais un grand amour entrera dans mon ame et j’irais loin, bien loin, comme un bohémien. dans la nature heureux comme l’amour avec une femme

[rodriguezkathe-rine01-blog]

Répondre à une invitacition

EXERCICE 5

Camille répond à Choe

Elle dit que travaillera le 11 juin et, le 12 juin, elle a un examen important, alors elle n'acceptera pas.

Inés répond à Choe

Elle dit que accepte ton invitation avec plaisir. Et elle demande s'il peut amener un ami, comment s'habiller et comment on fait le repas.

EXERCICE 6

Marie: Le week-edn prochain, on va faire du ski. Tu peux venir?

Louis: Je ne peux pas veir. Je ne sais skier.

Marie: Toi, Vicent, tu sais skier. Tu veux venir?

Vicent: Désolé. Mon cousin de Bratagne se marie. Je dois être à Rennes

[justafterawintermorning]

Gambettes de la... semaine ⛷️☀️⛷️☀️⛷️☀️

#Aussois #skier avec toi #aulwayswithyou #aulwaysinmymind #loveyoubaby

[writergirlsblog-blog]

Partie 3

  Comme cela fesait longtemps que Liam et moi ne nous étions pas vu, malgré nos apels et nos messages, je lui donna rendez vous au petit palais. Noël approchait à grand pas ainsi que les partiels, je n'allais donc plus le voir avant très longtemps pour me consacrer entièrement à mes révisions. Lorsque je suis arrivée, il était déjà là.

Liam : Mon coeur, tu m'as manqué  me lança t-il en me serrant très fort dans ses bras.

Moi : Toi aussi répondis je en lui fesant un petit bisou au coin des lèvres.

Liam : Paul tient le coup ? 

Moi : Oui, il remonte doucement la pente.

C'est vrai que ces derniers temps, Paul avait un peu reprit goût à la vie, et cela fesait plaisir à voir. Certes, il lui arrivait quelques fois de perdre pied ou d'en vouloir à la terre entière pour le décès d'Agnès mais c'était déjà ça. Liam : Tu as une très jolie soeur, me fit il soudainement tout sourire

Moi : Comment tu le sais ?

Liam : Je l'ai vu t'attendre devant la fac il y a une semaine.

Il y a 1 semaine? C'était bizarre parce que je ne m'en souvenais plus du tout de cet évènement. Comment j'aurais pu savoir à cet instant qu'il me mentait? Où  aurait il pu bien l'avoir vu?

Moi : Comment tu savais que c'était ma soeur ? 

Liam : Mon petit doigt me l'a dit, dit-il d'un air moqueur.

Je ne pu m'enpêcher d'esquir un petit sourire. J'avais passé toute ma journée avec lui. Il me fesait tellement rire. Avec lui j'avais réellement l'impression d'être la 7 ème merveille du monde. Il était tellement avenant avec moi. Avant de rentrer, on s'assit sur un banc. J'avais ma tête posée sur son épaule musclé et nos mains s'entrelassaient. Ce moment était si intense que nous n'avions même pas besoin de parler. J'étais dans mes pensées et lui dans les siennes quand soudain un sentiment de culpabilité traverça tout mon corps. Je me redressa subitement.

Liam : Qu'est ce qu'il y a mon cœur?

Moi : On ne fait rien mal ?

Il me caressa tendrement la joue

Liam : Non pourquoi? Notre relation ne regarde que nous, et nous seuls  me dit il dans un premier temps.

Puis dans un deuxième temps, il prit un ton un peu plus sérieux

Liam : Tu fais de moi un homme meilleur. Avec toi, je ne sais pas où je vais mais je sais que jamais tu ne me blesseras, et que tu seras toujours à mes cotés quoiqu'il arrive. La première fois que je t'ai vu ce fameux Lundi, tu m'as littéralement tapé dans l'oeil.

Cette dernière phrase me fit rire.

Liam : Je suis sérieux mon cœur, je ne te sors pas des bêtises, me lança t-il.

Il prit mes deux mains et déposa un doux baiser sur chacune d'entre elles.  Liam : Promet moi que tu seras toujours là pour moi.

Moi : Pourquoi tu veux que je te le promettes? Ça paraissait évident

Liam : Promets le moi quand même.

Moi : Je te promets Liam que je ne te laisserais jamais tombé, dans les bons comme dans les mauvais moments  lui répondis-je pour le rassurer.

Sur ces mots, il me fit d'abord un bisou sur le front, ensuite sur le nez et pour finir sur la bouche. À cette période j'aurais pu faire n'importe quoi pour lui. Après cette petite discussion, il me raccompagna devant la station de métro. Même si j'étais amoureuse, je voulais garder pour moi, là o�� j'habitais.

[...] On arrive à la fameuse période des partiels. Cette période où tous les soirs, tous les étudiants révisent comme des dingues jusqu'à 6h du mat, où plus aucun d'entre nous n'a de vie sociale, où plus personne n'a la foi de se mettre au top pour aller à la fac et bien voilà on y était. J'avais révisée jour et nuit pour les avoirs, je ne voulais pas que les précédents évènements aient un impact sur mon avenir. Dès fois il m'arriver de réviser seule dans ma chambre, résistant à l'appel de mon téléphone portable et des réseaux sociaux, mais le plus souvent j'allais à la bibliothèque universitaire avec Paul, Yvanna et une nouvelle recrue Emma. Emma c'était la meilleure amie d'Agnès et comme je passais mon temps avec Paul, mon amitié avec elle s'est crée naturellement. Les partiels finis, j'allais pouvoir me préoccuper de mes vacances. Papa avait loué un chalet dans l'Isère pour toutes les vacances de Noël, je savais déjà qu'elles allaient être inoubliables. Mais ma petite click allait me manquer surtout mon rayon de soleil, Yvanna. Hop, c'etait partit pour les raclettes a gogo, la cheminée qui crépite mais surtout le ski. Arrivée à destination, la répartition des chambres a éte très rapide. Papa et Maman, Jordan et Jaden, et Julie et moi. Ça fesait tellement longtemps qu'on ne s'était pas retrouvé tous ensemble que j'allais en profiter un maximum. Le 24 décembre il avait neigé, quoi de mieux qu'un Noël sous la neige? Le lendemain, je m'aprétais à aller skier quand mon grand frère Jordan me stoppa net :

Jordan : tu m'expliques ? me demanda t-il très remonté en me montrant son téléphone.

Je m'approcha de plus près. C'était une photo de moi et Liam lorsque l'on était assit sur le banc et qu'il m'avait fait sa petite déclaration.

Moi : Euh... babultais-je. Ce n'est pas ce que tu crois.

Jordan : Ah bon? Et qu'est ce que je crois selon toi? Que ma petite soeur sort avec un trentenaire? Ou que ma soeur sort avec un prof? Mieux encore les deux !?

Je fronça les sourcils

Moi : Mais comment tu sais que c'est mon prof, m'étonnais -je.

Moi : C'est ce qu'il est écrit en dessous de la photo, regarde par toi même me répondit il toujours si énervé.

Je n'avais pas fait attention mais en effet en légende du message il était noté : " voilà ce que fais ta petite soeur pendant son temps libre, sortir avec ses profs ".

Jordan : Sérieux Lara, un prof ?

Moi : Jordan, il faut que tu comprenne, je ne suis plus un bébé, je ne suis plus ton bébé, j'ai le droit de sortir avec qui je veux, dis je pour ma défense.

Jordan et moi étions très fusionnels lorsque j'étais plus petite, ça se comprennait plusqu'il était l'aîné et moi la benjamine.

Jordan : Donc, je n'ai même pas mon mot à dire, c'est ça? s'exclama t-il.  Moi : C'est ce que tu viens de faire et vu ton ton, j'ai bien compris que ça ne te plaisait pas.

Jordan : Écoutes moi bien Lara soit tu mets un terme à cette relation, ou soit tu m'oublies.

Moi : Tu me demandes de choisir là?  Jordan : C'est lui ou moi

Moi : Je t'en pris Jordan, ne me fais pas ça...dis je une larme à l'oeil. 

Jordan : Bien, je pense avoir compris  me lança t-il avant de s'en aller sans que je ne puisse en placer une.

Mais pourquoi réagissait il comme ça? C'est vrai que Liam était plus agé que moi et qu'il était prof, mais ce n'était pas une raison selon moi pour s'énerver. Après ça, Jordan ne m'a plus adresser la parole même rentrer à la maison il campait sur ses positions. Je commençais à douter de la relation avec Liam. Il était vrai que je l'aimais, mais j'aimais encore plus mon frère. La veille de la rentrée, je n'ai pas pu dormir, je me retournais incessament dans mon lit en pesant le pour et le contre. J'étais décidée à rompre avec Liam malgré moi. Cependant des questions restaient en suspends : Qui était la personne qui m'avait vu avec Liam et comment s'était elle procurait le numéro de Jordan? Le jour de la rentrée, je m'en rappelle très bien, il s'était passé quelque chose d'incompréhensible. Il fesait très froid donc je portais un très long manteau. Je devais attendre Yvanna devant la boulangerie pour qu'on aille à la fac ensemble. Je prenais mon mal en patience quand je vis mon père sortir de sa BMW, je voulais l'appeler pour lui faire un petit coucou mais je n'eu même pas le temps de le faire car aussitôt après il entra dans une voiture. Mais attention pas n'importe laquelle, c'était la voiture rouge qui m'avait pourchassé le jour de la rentrée, c'était la même voiture qui lorsque le conducteur était au téléphone avec moi m'a fait un signe de la main. Je ne peux vous dire ce que j'ai ressenti à cet instant. Je ne comprenais pas. Et comme d'habitudes, d'inombrables questions se balader dans ma tête : Mon père connaissait-il la personne à l'intérieur? Est ce que je connaissais cette personne? D'un coup, j'ai commencé à me sentir mal, et le fait qu'Yvanna ne soit toujours pas arrivée, aggravé mon état.

5 minutes plus tard, Yvanna me sortit de mes pensées

Yvanna : Chaton, ouhouh, ça fait 2min que je t'appelle.

Je leva la tête vers elle

Yvanna : Ça va ? me demanda t-elle un peu inquiète.

Moi : Euh, je ne sais pas, j'ai vu quelques choses d'étrange

Yvanna : Quoi donc ?

Moi : J'ai vu mon père entrait dans la voiture rouge.

Elle fit une mine surprise

Yvanna : Tu parle de la voiture qui t'as suivi le jour de la rentrée ?

Moi : Oui, je t'avoue que je ne sais pas trop quoi pensais.

Yvanna : Oh, chaton, il y a forcément une explication à ce que tu as vu me dit - elle en essayant de me rassurer. Moi : J'aimerais bien savoir laquelle lui lançais-je. Je ne sais pas si tu te rends compte Yvanna mais ce que j'ai vu est très grave! Tu t'imagines si mon père est dans le coup? Peut -être qu'il veut me faire du mal? Ou peut-être qu'il veut faire du mal à notre famille entonnais-je effrayé.

Yvanna mis sa main sur mon visage et me regarda droit dans les yeux Yvanna : Chaton, je pense que tu es sous le choc et que tu as besoin de te reposer

Moi : Non Yvanna ce dont j'ai besoin c'est de comprendre !

Yvanna : D'accord ma chérie, mais on va chez moi, il n'y a personne, il faut que tu reprennes tes esprits.

J'ai hésité un petit moment puis j'accepeta sa proposition. Arrivée chez elle, je me jetta sur son lit. Yvanna était assise à coté de moi.

Yvanna : C'est sûr que ton père connait la personne qui est dans la voiture, commença t-elle. Il a peut-être une maîtresse ?

Je me leva immédiatement

Moi : Tu crois ?

Yvanna : Euh, c'est une supposition parmis tant d'autres tu sais

Rien qu'à l'idée de penser que mon père pouvait recommencer à tromper ma mère, ça me répugnait. Les hommes dès fois, on se passerait bien de vous.

Moi : Mais ça n'explique pas pourquoi elle m'a pourchassée l'autre jour, dis je déconcertée.

Yvanna : C'est vrai

Il y eu un petit silence puis je me mis face à elle.

Moi : Tu sais quoi, on va le suivre !

Yvanna : Tu plaisantes chaton?

Moi : J'ai l'air de plaisanter? Je suis sérieuse Yvanna, c'est décidé dès demain on le suit. On va faire ça pendant 1 semaine, donc pendant 1 semaine tu vas dormir à la maison, je ne pourrais pas faire ça toute seule. Yvanna : Mais enfin Lara, là on parle de suivre ton père! Ce n'est pas bien! Et imagine que l'on découvre des choses me lança t-elle.

Moi : Mais c'est le but, je veux savoir qui est cette femme ! T'es avec moi ? Elle souffla

Yvanna : Bien sûr

Je lui sauta dessus, heureusement que mon petit rayon de soleil aller m'aider.

Yvanna : Mais chaton, t'as oublié un petit détail

Moi : Lequel ?

Yvanna : Les cours! N'oublie pas qu'on a des td

Moi : Ah oui mais non, n'oublie pas que cette semaine c'est la semaine " du futur des masters " et que presque tous les profs de td sont réquisionné pour cet évènement dis-je fièrement

Yvanna : T'as pensé à tout décidemment, me lança t-elle.

On est restées toute la journée à grinoter devant la télé. J'aimais tellement ces moments passés avec Yvanna, on avait pas besoin de faire grand chose pour être bien l'une et l'autre. En fin d'après-midi, je me suis décidée à raconter ce qui c'etait passé pendant les vacances de noël.

Yvanna : Mais commença , Jordan t'as donné un ultimatum?

Moi : C'est comme je te dis Yvanna, il ne supporte pas que je sois avec Liam Yvanna : Bon, en même temps, il faut un peu le comprendre, déjà il découvre que son petit bébé sort avec un garçon, qui plus est, est plus àgé et pour ne rien arranger qu'il est prof, tu t'attendais à quoi chaton? Il n'allait pas te féliciter non plus

Moi : Je sais mais tu l'aurais vu, il était hors de lui à croire que j'ai tué quelqu'un!

Yvanna : T'inquiète je vais parler à Jordy!

Moi : Ça ne servirai à rien de parler avec lui, il ne veut plus entendre parler de moi, même le soir lorsque l'on dinne il prétexte toujours quelque chose pour ne pas être en ma présence

Yvanna : A ce point là?

Moi : Mais oui, donc pour moi la meilleure solution est de rompre avec Liam, dis je d'un ton décidé

Yvanna : Ecoute Lara, ne prends pas de décison à la hate que tu pourrais regretter

Moi : Mais je n'ai pas le choix

Yvanna : Et qu'est ce que Jaden pense de cette histoire ?

Moi : Il n'en pense rien, plusqu'il n'est pas au courant!

Yvanna : C'est mieux comme ça. Mais je me demande bien qui a pu envoyer cette photo à Jordan ?

Moi : Moi aussi figure toi

Yvanna : En tout cas, c'est quelqu'un qui ne te veut pas du bien

Moi : Ça c'est clair

En fin de soirée, Yva fit son sac et c'est partit pour 1 semaine d'espionnage. Mais avant ça, il fallait que je règle l'histoire Liam. Le lendemain, on partit en cours même si je n'avais pas vraiment envie d'y aller. Je redoutais de revoir Liam. Je ne savais pas comment j'allais lui annoncer que c'est fini entre nous. La journée passa à ma grande surprise relativement vite et on arriva au soir. Yvanna et moi sortions de l'université lorsque Liam me tapota l'épaule. Yvanna comprit tout de suite qu'elle devait partir.

Liam : Donc comme ça tu ne donnes même plus de nouvelles à ton amoureux ? me fit il d'un air moqueur.

Moi : Liam, il faut qu'on parle.

Liam : Oula, ça ne sent pas bon pour moi hein

Moi : Viens, on s'éloigne un peu.