Tumgik
50shadeofstd2a · 6 years
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L’after school (le come back)
Atelier des lumières
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- Les avant-gardes et leur relation avec le pouvoir dans le champs du graphisme et de la typographie (article de Vivien Philizot)
- Exposition “CHAGALL, LISSITZKY, MALÉVITCH. L'AVANT-GARDE RUSSE À VITEBSK (1918-1922)” et Atelier des lumières 
- Podcast l’Emifion (Madmoizelle) ; L’architecture libérée de Nicola Delon (France Culture), Sois gentille Fais un bisou avec Pénélope Bagieu
- Conférence “Conserver restaurer à l’ère de l’obsolescence technologique” de l’université Jean Monnet
- Films : Call me by your name ; Moi, Tonya ; Moonlight ; Fenêtre sur cours  ; Voyage de Chihiro 
- “Abstract : l’art du design” sur Netflix : Es Devlin , Bjarke Ingels et Paula Scher
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50shadeofstd2a · 6 years
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Fanzine – T.3
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Rien n’aurait pu arrêter sa course. Elle était comme…emporter, emporter par le flot d’un courant impossible à déceler. Le gouffre qui l’attendait, si vaste soit-il, n’y changerait plus rien. Il était déjà trop tard. Qui en était l’origine, l’auteur d’une telle rotation ? Qu’il se dénonce ! Qu’il avoue ! L’infâme, le traître !
C’est à mesure qu’il voyait ses membres s’entrechoqué, se démanteler, qu’il comprit : rien. Il n’y avait jamais rien eu. Tout ce temps passer n’était rien de plus que les songes d’un rêveur éveillé. Comment aurait-il jamais pu changer quoi que ce soit ? C’était sa faute, lui seul était responsable d’une telle vitesse, d’un pareil aérodynamisme, et à mesure qu’il voyait sa création lui échapper le petit bousier comprit que la fable avait raison, que la grenouille n’avait pas pu devenir bœuf, et qu’il ne pouvait gérer une boule de crotte plus grosse que lui. 
Ah, vraiment…pauvre petit bousier.
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 -Gilles écoute, ce n’est pas grave, je t’assure ! T’as fait tout ce que tu pouvais, mais il faut laisser les professionnels s’en occuper maintenant…
-Sûrement pas ! Je ne m’avoue pas vaincu ! Qui a dit qu’il fallait que je sois plus persévérant ? C’est mon rôle. C’est dans mes gênes ! J’en ai besoin, pour moi, je dois me prouver que je peux le faire, sans quoi tout sera fini ! Tout tu entends !
-Mais…
-Il n’y a pas de mais ! J’en ai assez de toujours être relayer au rang d’assisté, de bon à rien ! Tu crois que c’est facile la vie quand on est capable de rien ? Tu ne penses pas que j’ai le droit, moi aussi, de trouver satisfaction dans le travail que j’accompli ? Alors qu’est-ce qui presse, si ce n’est ton désir acharné de devoir tout contrôler ? Maintenant, trop c’est trop !  Rome ne s’est pas construite en un jour que je sache ?
-Rome non, mais l’étagère du salon si !
   Les Prouns, ces « formes architecturales suspendues » comme émergés du vide m’ont surpris lors de l’exposition des avant-gardes Russes au Centre Pompidou. La diversité d’espaces proposés par Lissitzky est réellement déconcertante à première vue. J’ai souvent tendance à vouloir trouver du sens à tout ce que je vois dans un musée, particulièrement quand il s’agit d’exposition historique. Ici encore, à défaut de me rappeler mes cours, c’est encore ce que j’ai essayé de faire. Seulement, rien, mais réellement, rien. Je me suis retrouvé totalement subjugué par la plénitude même de chaque proposition à tel point que je n’avais aucune envie de me plonger dans une étude du sens de chaque composition/formes. Là où mon cerveau ce serait d’ordinaire emballé, afin par exemple de ne pas être le seul à omettre les enjeux d’un carré blanc sur fond blanc, ici, il était étonnamment serein et paisible, libre de se laisser aller à rêvasser. J’ai trouvé ça passionnant, voir ironique. Au beau milieu d’une exposition autrement foisonnante de réflexions complexes, une de ses œuvres m’encourageait à perdre pieds et à suivre ma propre petite route, en dépit de ses confrères revendiquant monts et merveilles.  Alors j’ai décidé d’en choisir quelques-uns et de voir jusqu’où me mèneraient-ils !  
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50shadeofstd2a · 6 years
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Révolutions numériques et ses répercussions variées.
Cela fait quelques années maintenant que nous vivons dans l'époque dite de la "Révolution du numérique". Les bouleversements sont tels qu'il n'est plus rare aujourd'hui de se sentir quelque peu dépassé par le progrès et la vitesse à laquelle celui-ci émerge. Pour autant, l'impact visible de cette révolution ainsi que ses nombreuses répercussions sur nos mode de vie et d'appréhender ce qui nous entoure ne sont plus à prouver, je vous propose donc d'étudier et réfléchir avec moi autour de ces différentes répercussions que nous expérimentons dans notre quotidien, et ce, en plusieurs volets !  Volet number (1) : La cultureeeee La culture, un grand mot pour dire un peu tout et n'importe quoi, difficile de ne pas trop vite la vulgariser. Si on repart de la définition philosophique, tout ce qui est du domaine de l'acquis et non de l’inné est en réalité de la culture. Et pour trouver ça je vous le donne en mille, j'ai été sur internet ! Oui parce que ce n’est pas que la philosophie ne nous intéressé pas, mais elle n'était ici que prétexte pour en venir au point plus relatif à notre série : la culture 2.0 amorcée par l'ère numérique. Concrètement, quels changements ? Jusqu'à il y a encore quelques années, pour se documenter ou pour se cultiver il fallait se planter le nez dans un livre ou sortir dehors au musée et dans les galeries. Je parle là d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître ! (référence bofbof je vous l'accorde). Maintenant, il suffit de quelques secondes pour trouver pléthore de contenu sur un sujet désiré, vidéos, articles, podcast...etc. De cultiver est devenu non seulement plus accessible mais bien plus exhaustive et bien moins "rare".  Bon, maintenant que je vous ais assailli de vérités générales, rentrons dans le vif du sujet  comment cela a-t-il pu changer ou faire évoluer le rapport que nous entretenons avec la culture, et comment la culture elle-même a-t-elle été impacter de ces évolutions ?  La culture est donc dorénavant plus accessible, et dans notre cas d'occidentaux elle est même totalement à disposition de chacun à la moindre recherche. Dans ce cas, et ce contrairement aux dernières décennies, l'accès à la culture et à une partie de l'éducation n'est donc plus du tout réservé à une partie aisé de la population. C'est donc à un phénomène d'égalisation sociale d’une problématique humaine à laquelle nous faisons face aujourd’hui. Je dis faisons face parce qu’il est évident qu’un changement de cette ampleur aurait quelques effets pervers, telle que le bombardement d’information permanente et la vulgarisation peut-être trop laxiste de certaine information.  Pour autant, les sorties traditionnelles aux musées ni les livres d’ailleurs n’ont disparu, et c’est assez intéressant de se demander pourquoi ? A une époque où tout doit aller vite et être le moins cher possible, internet paraît comme LA solution qui effacera les autres. Alors pourquoi est-ce que ce n’est pas le cas ?
 Je n’ai pas moi la réponse à cette question, même si je pense que les deux domaines ne font que se bonifier l’un l’autre par leur cohabitation, et que donc favoriser seulement un ne pourrait qu’être réducteur. Et c’est là qu’intervient à nouveau notre cher nouvelle vague 2.0, puisque plutôt que de vivre et se développer au détriment de l’autre, la richesse et la promotion de la culture disponible par les nouvelles technologies sont des moyens efficaces d’amplifier ce phénomène d’égalisations et de permettre au plus grand nombre de s’exprimer et de se faire un avis sur le monde et les cultures qui l’entoure et donc de permettre au plus grand nombre d’enrichir cette connaissance commune !
  Prochain Volet : L’esprit de communauté en réponse aux nouveaux médias. e
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50shadeofstd2a · 6 years
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Mohamed Bourouissa au musée d'art moderne de Paris.
Quand art et design rassemble.
 Ça va bientôt faire 3 ans maintenant que j'étudie en partie le design et les différents aspects que cela implique et pour être honnête, jusqu'à encore peu, je ne pouvais m'empêcher de penser qu'il n'était qu'une couche de vernis brillant à paillettes dans la vie des gens aisés. Une vision, me direz-vous, très immatures. Immatures peut-être, mais aussi réconfortante. En effet quand on est témoin de tous les problèmes présents dans le monde aujourd'hui et ce peu importe l'endroit où l'on se trouve, et ceux malgré la volonté des hommes d'arranger la situation depuis des siècles, il est difficile de ne pas se sentir un peu impuissant et donc se réfugier dans une pensée commune critique basique et facile à étayer.
Pour autant, suite à une conférence TED de John Cary autour de l'architecture et comment le design pouvait aider ne serait-ce qu'à dignifier ses utilisateurs, il était plus que nécessaire de ne plus suivre une mouvance satirique pas simple fainéantise mais d'avantage se questionner autour de la question du design et de ses réels utilités dans notre société. Et cette exposition de Mohamed Bourouissa ainsi que son projet réalisé en 2014 "The horse day" constitue pour moi un exemple très parlant des bienfaits et de l'intérêt de ces domaines dans nos vies, et en ça, j'ai trouvé cette exposition intéressante. 
Pourquoi ? Il y a plusieurs raisons. 
Tout d'abord, la base même du projet, qui a donc été de proposer aux habitants de Philadelphie de "tuner" leur chevaux dans la perspective d'un concours et d'une performance induit une implication importante de l'artiste dans les habitudes et modes de vie de la région où il se trouvait, puisque ce même projet mit en place dans le 1er arrondissement de Paris par exemple ne pourrait jamais avoir les effets escomptés. La proposition, bien que non nécessaire dans l'absolu a donc été faire après une observation et un intérêt humain pour les gens. 
À côté de ça, les premières salles de l'exposition mettent en scène les parures réalisés par les habitants pour la performance, bien que la suite de l'exposition soit consacré au production de l'artiste, le fait de mettre en avant des productions qui ne font pas directement parti du travail plastique de l'artiste lui-même dans une exposition éponyme intrigue : peut-on parler d'une collaboration ? Bien que celle-ci soit entièrement engagée par Mohamed Bourouissa, sans l'action et l'investissement des locaux, le projet n'existerait pour ainsi dire pas, ce qui permet de nous questionner sur l'importance de la prise en compte de l'autre et de son rapport au monde lors de l'initiative d'un projet créatif et de design. Ces deux premiers points ont contribué à me transmettre une image bien plus accessible également plus ancrée dans l'utilité commune du design et des arts, et non pas d'un passe-temps pour la sacralisation de noms personnels vide de sens englobant des idées encore bien plus vides de sens. 
Parlons maintenant des conséquences d'une telle réalisation. Il y a pour moi deux effets principaux à cette initiative : celle sur les habitants et celle sur nous, spectateurs. Et c'est en réalité là toute la force que j'attribue à cette exposition tant qu'à cette idée en elle-même, de par sa mise en place collaborative et l'implication qu'elle requiert, l'impact procuré est décuplé. 
Mais en quoi cela diffère-t-il vraiment du design et de l'art tel que nous les voyons habituellement ? En quoi cette exposition m'a-t-elle atteinte d’une façon plus personnelle ? Ici, il n’est plus question que de l’instigateur du projet mais de toutes les parties du processus créatif et de la réalisation, on oublie presque le nom derrière pour ne penser qu’à l’impact et aux idées véhiculées. Et c’est ce design que j’aimerais voir émerger d’avantages. Un design penser avec et pour les gens.
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50shadeofstd2a · 6 years
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L’after school
“Vous noterez [...] ce qui vous nourris en dehors du cadre de l’��cole” :
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https://youtu.be/BzEUF_d1AHQ , ( le documentaire Cagole Forever )
Les Beaux-Arts le magazine
Vogue France magazine 
Youtube d’une manière général pour les documentaires : 
-McQueen et son oeuvre ainsi que sur les scandales de la mode 
-Documentaires sur différents mouvements (bahaus/surréalisme notamment)
-TedTalks MIT LAB ou autour des nouvelles formes communication verbales et visuelles 
Louvre en exposition séquencée sur l’histoire de la Bible et la mythologie (antiquités grecs et orientales) 
Livre “Vis à vis” de Gail Albert Halaban
Exposition “ le MoMa” à la fondation Louis Vuitton 
Le Horror Picture Show au studio galande, paris 5 
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50shadeofstd2a · 6 years
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Voilà différentes photos afin de rendre compte tant du site que des différents artisans présents. Malgré qu’il ne soit pas ici question de design je pense que la réflexion qu’apporte ce type de manifestation sur la façon dont nous vivons à son importance. 
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50shadeofstd2a · 6 years
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Cidre & Dragons ou la découverte d’un monde merveilleux
Samedi 16 Septembre 2017, il est 09h00. On monte dans la voiture mon frère ma sœur et moi direction la Normandie et plus précisément ce festival du fantastique. Bien que férus de fantaisie sous toutes ses formes, notre réelle motivation n’est autre que le concert d’un de nos groupe de métal préféré, Eluveitie, à l’occasion de ce fameux festival. En effet nos attentes concernant le reste du site ne sont rien de plus qu’une certaine curiosité.
11h00, on quitte l’autoroute. Nous sommes accueillis par beaucoup de champs accompagnés de brouillard, une ivresse presque épique nous envahit. 
11h30, on arrive sur un très grand parking aménagé. Très peu de voitures sont garés, pratique mais mauvais signe. On sort de la voiture, se demandant si se lever tôt en valait réellement la peine avant de croiser une elfe. Enfin une jeune femme déguisée en elfe, merveilleusement bien déguisée, qui semble absolument extatique. La curiosité refait alors surface.
Notre périple continu et nous nous retrouvons alors face à une immense banderole absolument magnifique accompagnée de deux grandes tours desquels émergent deux dragons. Là, plus de doutes, ça s’annonce génial.  
Je vais m’arrêter ici en ce qui concerne cette merveilleuse activité qui consiste à vous conter ma vie pour expliquer le but de cet article, parler de l’artisanat. En effet le festival étant bien plus grand que nous l’avions imaginé, de nombreux, très nombreux faisaient partis du voyage. Nous avons tous un rapport à l’artisanat différent, mais il est vrai que parfois artisanat rime avec boutique lugubre découverte avec ses parents lors d’un énième voyage dans le sud. Or là, réellement, j’ai découvert les attraits réels de cet univers que défendent si bien nos très chers Arts & Craft.  C’est cet univers qui m’a « charmé » et dont je suis totalement amoureux désormais, et c’est ce que j’aimerais que comprenne les gens. L’artisanat ne se résume pas aux sorties scolaires de CM2, en fait, chacun peut trouver son bonheur. Pour moi, c’est le fantastique, mais en réalité ça concerne tout et tout le monde. Des bijoux au vêtement en passant par la nourriture ou le mobilier, tout peut faire l’objet d’un traitement plus personnel et plus artistique, plus unique.
Ce coup de foudre m’a finalement amené à remettre en question la façon dont nous vivons et à réellement comprendre certaine des revendications amenés justement par les Arts & Crafts, à me demander s’il était possible de changer mon mode de vie, de ne plus cautionner notre façon globale de fonctionner aujourd’hui, cette consommation à outrance sans éthique quelle qu’elle soit. Et bien qu’actuellement nous ne soyons qu’au prologue d’un réel changement empreint d’une bonne volonté, je reste optimiste. J’espère voir fleurir, et qui sait pourquoi ne pas concevoir, plus de plateforme comme Etsy, plus de centre d’échange et d’open data ou d’open source. Je ne sais pas si l’artisanat et le design ensemble ont le pouvoir de soigner le monde, mais j’espère à ma petite échelle pouvoir convaincre quelques personnes du bien fondé de se détacher rien qu’un peu du système dont nous faisons tous parti.
Dans ce sens, je vais me permettre de vous aiguiller un de ces artisans rencontrés justement lors de ce salon, mais je vous assure qu’elle ne me paie pas ! C’est simplement pour le plaisir de la rétine.
Nautilus et Scarabée, une boutique qui se trouve sur Etsy tenu par une jeune sorcière ! Beaucoup de bijoux pleins de sens diverses et variés absolument fantastiques. 
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50shadeofstd2a · 6 years
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J’ajoute ma photo du texte concernant Galliano n’ayant plus mon billet.
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50shadeofstd2a · 6 years
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Clochards
Il est 05h00. Je le sais parce que les sifflements commencent, j’entends le vrombissement des moteurs et le fracas sur les rails. Bientôt, les premiers courageux débarqueront sur le quai et marqueront le début du défilé habituel. Costumes, tailleurs, jeans, robes, ou jupes ! Tous se presseront pour chopper leur métro et vivre leur petite routine confortable, dont ils adorent se plaindre évidemment, décrire à quel point c’est difficile et si éprouvant ! Des minots aux femmes d’affaires, ils tiennent tous le même discours. Quelle sombre blague.
Alors je sais, c’est mal d’écouter, c’est mal de regarder et c’est mal de juger. Mais franchement, une fois dans la rue vous apprendrez vite que le regard d’un clochard, si méprisant soit-il, n’a pas plus d’importance que la casserole qui est posée à ses pieds. Enfin, si jamais votre rêve c’est de devenir invisible devenez SDF hein, vous serez comblés. Oh, je vous ais choqué ? Pardon, c’est vrai que depuis peu notre amie de la haute semble s’être copiné avec nos coutures afin de nourrir ses rejetons ! Alors finalement ce que je dis est faux, vous risquez peut-être de faire quelques couvertures comme ça en passant, mais ne vous inquiétez pas, d’ici peu vous pourrez porter la nouvelle eau de Chanel « Pas de douche n°5 » pour parfaire votre style et être vraiment à la pointe ! Il paraîtrait même que Gucci s’apprête à dévoiler sa toute nouvelle broderie façon sale  pas sale, ça va faire fureur c’est sûr !
Comment ça du cynisme, moi ? Plutôt crevé. Non mais parce que c’est vrai, peut-être a-t’ il très minutieusement déchiré ses petits trous, ou très bien effiloché sa traine, mais bon dieu quand est-ce que la richesse arrêtera-t-elle de se moquer de la misère sous le couvert d’un soi-disant sens artistique ? D’une démarche, assumée, faite pour mettre en lumière ce que la société rejette et éveiller les consciences…mais quel beau phrasé. Ah non vraiment, chapeaux, quel coup de maître ! Les consciences dis-moi, tu les éveille à coup de billets ou tu préfères les chèques ?  
Laissez-nous donc vous juger pendant que vous faites semblant de lire un texto pour nous ignorer plutôt que de critiquer les maux d’une société dont vous êtes les instigateurs.
 J’ai conscience de la véhémence de mes propos et du ton que j’ai décidé d’employer pour parler de cette collection du début des années 2000, mais pour moi, elle est le symbole d’un mépris et d’un manque d’empathie, voire de créativité, dont on fait preuve les créateurs de la vague « Homeless-chic ». Si cette mode se voulait provocatrice et choquante, elle n’en restait pas moins un commerce qui n’a pas su convaincre tant il paraît malsain de s’affranchir de la misère des autres pour vendre et se faire un nom, et ce, peu importe les références culturelles engagées. 
Cependant et pour finir, cette article repose sur ma lecture de la collection et de cette tendance uniquement, je ne critique pas le reste du travail de John Galliano chez Dior ni sa carrière en général. 
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