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Alan Schopfer
Graphic designer
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Desire of Codes
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« Desire of codes » est une installation en trois partie de Seiko Mikami. L’artiste aborde la manière dont nos mentalités ont été affectées par une culture fondée sur la collecte et la diffusion de l’information. L’installation est composée d’une grande salle blanche remplie de filaments noirs munis de capteurs de lumière qui dépassent des murs, de bras de caméra robotisés et d’un grand mur vidéo polygonal. L’espace en général a une qualité stérile, laissant une pièce blanche et sombre qui semble être principalement habitée par la technologie. Les enregistrements sont extraits et recombinés, puis projetés sur le mur vidéo polygonal.
Ce qui est interessant dans cette installation s’est l’approche qu’il a eu avec l’art, en effet la présence des visiteurs devient le matériau de l’art lui-même. Ils sont soumis à l’œil éphémère de l’art, les réduisant à la matière et leur présence devient de simples données. L’inspiration ou l’expérience est alors remplacée par l’information superficielle de la surveillance qui est enregistrée à partir des capteurs et des caméra. Nous devenons alors de simples information d’un système en perdant notre identité même de personnes, d’être humain.
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AURA
youtube
Le studio Nick Verstand a créé cette installation audiovisuelle immersive qui réinterprète les émotions des gens avec des compositions de lumière. En effet l’installation traduit les émotions des visiteurs en faisceaux lumineux.
Pour cella les visiteurs ont été équipé de plusieurs bio-capteurs qui enregistre les ondes cérébrales ainsi que le rythme cardiaque. De la musique joué en arrière-plan déclenche chez le visiteur des réaction émotionnelles. Les données enregistrés par ces capteurs sont ensuite analysées et transformées sous différentes formes, couleurs et intensités de lumière.
Ce qui est intéressant dans ce projet c’est le fait que le visiteur n’a rien à faire si ce n’est de s’installer dans la pièce et de se relaxer. Installation « Aura » s’occupe du reste, en matérialisant les émotions en une forme physique perceptible propre au visiteur. Cette installations d’art immersif à grande échelle serait inimaginable sans la technologie contemporaine.
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Pewter Stool by Max Lamb
Ce qui m’intéresse par dessus tout dans ce projet c’est la méthode de travaille arquaillique utilisé par le designer. En effet je n’ai pas sélectionné un projet qui traite des technologies contemporaines, mais bien tout le contraire. Ce qui me plaît énormément dans le travaille de Max Lamb s’est ce contraste avec les technologies contemporaine auquel on pourrait s’attendre dans le design aujourd’hui.
Le tabouret Pewter a été fabriqué en utilisant une forme très simple de moulage au sable ainsi que des outiles ordinaires. Le moule a été sculpté directement sur la plage à la main, puis l’étain fondu a été versé dans le moule. Une fois l’étain refroidi le sable a été creusé pour révéler un tabouret.
Le moule ne peut être utilisé qu’une seule fois, rendant chaque pièce unique ! L’imprévisibilité du travail sur une plage fait que les imperfections deviennent une partie inévitable du charme de chaque objet.
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"Trace Heavens"
"Trace Heavens" est une série d'installations lumineuses réalisé par l’artiste James Nizam.
Pour créer ces images, James Nizam exploite les rayons du soleil pour en faire des sortes de sculptures éphémère en formes géométriques, comme par exemple un cube, des triangles qui se chevauchent, un tétraèdre. L’artiste canalise dans une pièce, les puissants rayons du soleil les multipliant grâce à de petits miroirs pour créer ces images photographiques.
Pour la dernière Photographie, James a minutieusement fait une incision dans la structure d’une maison. Cette fente d’un pouce d’épaisseur dirige les rayons du soleil, qui à ‘aide de brouillard artificiel font apparaître cette sculpture. Ici, la lumière elle-même fonctionne à la fois comme matière et comme sujet.
Je trouve son approche très intéressante et intelligente, de part la technique, la précision, la pureté et la force des photographies.
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