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Histoire de bottes
...Nous sommes parties donc pour notre partie de peche inproviser, arriver en rase campagne, nous sommes restés méchamment embourbés dans un chemin qui mene à la riviere gorgé d'eau. Vous ne pouvez pas imaginer comme mon amie était verte de rage à l' idée d' avoir la voiture embourbée, jusqu'au châssis. Heureusement que nous sommes partis chausser de nos grosses cuissardes.Nous avons ainsi pus rapidement nous degager de là, en echange j' ai demander à mon amie de laver ses cuissardes au bord de la riviere ça la surpris mais elle as accepter.
On a passé tout le WE, bottés de nos énormes bottes cuissardes, à essayer de pecher .
Nous avons dormis dans une ferme le soir venu. Il y avait une terrible odeur de purin.
Brigitte (puisque cest ainsi qu'elle se prenomme) et moi sommes réstés pour la soirée bottés avec d'immenses, énormes et lourdes cuissardes de ferme, je crois que Brigitte as pu apercevoir l' énorme bosses qui déformait mon jean toute la soirée quand je l' aperçoit ainsi cuissardée. Le matin, Brigitte me propose d' aller pecher de l' autre coté de la ferme, elle me dit qu' elle as reperer un coin tranquille pour la peche. Nous nous sommes engagés dans un champ labouré complètement détrempé à côté de la prairie des vaches. Voyant Brigitte les cuissardes pleines de boue fraiche et collante engluer ses cuissardes je me suis dit interieurement : « J'espère bien qu'elle va s' embourber encore plus profondement pour je puis ce l' aider, touvher ainsi ses cuissardes et me frotter à sa combi jaune en caoutchouc, j'adore quand on s'embourbe salement jusqu'au dessus du genou, ça m' excite terriblement.
A perte de vue, les labours bien lourds et profonds sont détrempés, regorgent d'eau et luisent d'humidité, quel bourbier et la riviere qui n' est plus très loin, Brigitte me sent juste derriere elle, elle fint de ne pas ce retourner je la bouscule elle ne peux pas sentir mon enorme queue dresser dans mon jean et pourtant elle ne dit rien, bien au contraire juste un Holala, c' est boueux ici c' est la premiere fois que ça m' arrives ».
Je m' engage carrément dans le milieu du champ. Vous aurriez dû voir comme nous étions embourbés, je me lance franchement dans le champ détrempé, dans les énormes labours bien gras et détrempés, vraiment pour l'enliser, pour bien l'embourber. Je lui demande quelle effet ça lui fait, parce moi je lui dit franchement ça m' excite terriblement, surprise par mes propos elle se retournes et voit mon jean tendu à en craquer, et là a ma grande satisfaction elle me réponds qu' elle aussi est terriblement exciter, ma brigitte exciter par des cuissardes dans la boue !!!! mais attends un peu que nous ayons quitter le champs et que soyons a l' abris des regards. Nous continuames immédiatement dans les énormes labours bien gras et détrempés, elle s'enlise lentement et sûrement jusqu'aux cuisses, une fois arriver dans le marécage, pres de la riviere. Elle s'enfonçeat dans la boue et s'embourbas jusqu' au haut des cuisses,
Je sautais moi aussi dans le marigo pour la rejoindre se faisant je l' eclaboussais de boue elle se mis à rire et se laissa tomber lourdement jusqu' a ma verge.
Nous nous embourbions bien salement.
Je penche ma tête pour la regarder embourber que nous etions avec nos cannes à peche dans la main, c'était déjà trop tard, vous auriez dû voir çà Maitre, complètement embourbées, on ne voyait presque plus nos cuissardes. Elle attrapas ma verge et se la mis dans bouche » Putain que c' est bon, me cria t'elle alors, je n' est pus me retenir en entendant ça et lui giclas immediatement en pleine face, c' etais trop bon elle hurla de plaisir la cochonne ». Brigitte essaye de se dégager en marche arrière, elle s'embourbe de plus belle, elle rie de plaisir, je la vois baisser la fermeture eclair de sa saloppette jaune, je vois qu' elle n' as as de culotte et commence a se doigtée, en poussant des petits cris d' excitation, je suis à quelques centimetre d' elle englué que je suis dans mes cuissardes je ne puis bouger, elle se fais jouir sous mes yeux hallucinant... Chaque fois que Brigitte essaye de sedésembourber elle bouge dans ses cuissardes je rebande la salope il faut que je la nique la boue maintenant, je m'enlisent mais j' arrives a m' approcher d' elle, elle était couverte de boue.Elle me dit Baises moi vas y ma grosse bitte rentre et sort de sa chatte pleine de boues enfin je lui gicle dessus qu' elle moment nous sommes tous les 2 tetanniser de ce que nous venions de reliser nous les 2 amis.
Brigitte et moi decidons de rentrer a la ferme nous nous sommes bien salement embourbés.
Vous auriez dû voir le bourbier Maitre. Nous nous enlisions jusqu'aux genoux dans le bourbier avec nos immenses bottes cuissardes.
Nos cirés etaient maculés de boue et nos hautes bottes cuissardes sont crottées, couvertes d'une épaisse couche de limon argileux bien collant et lourd.
Je suis en pleurs, par la peur et la joie intense que nous venions de connaître et par notre profond et sale embourbement. J' imagine encore la scene quelques minute plus tard désespérément je me vois pousser le cul de mon amie pour la dégager de ce bourbier. Mes énormes et lourdes bottes cuissardes s'enlisent dans le bourbier jusqu'aux genoux. Mon ciré est maculé de boue par les projections des roues qui s'embourbent et mes bottes cuissardes de ferme sont crottées jusqu'aux cuisses. Je ne sais vraiment pas comment on va s' arracher de ce bourbier.
Brigitte m' aide aussi cela la fait rire Je mouille comme une gamine me lances t' elle je n' ai jamais connue ça, elle appuie ses énormes cuissardes sur ma verge encore une fois on s'embourbent comme s'est pas possible. Oh mon Dieu, on est embourbé, mais alors là embourbé de chez embourbé. Nous sommes embourbés comme jamais on ne s'est embourbé.
. L'odeur du sperme melanger au caoutchouc me font de nouveau bander comme un taureau, le meuglement des vaches dans la prairie à côté m' inspire aussi, nos cirés crottés, nos cuissardes bourbeuses jusqu'aux fesses, les gerbes de fange projetées sur nos cirés nous excitent de plus belle, Brigitte n' en peux plus elle essaye désespérément de nous désembourber en appuyant ses énormes cuissardes crottées sur moi putain que c' est bon ma salope je lui lances j' aimes quand tu te frottes sur moi avec tes cuissardes pleines de boues ça fait salope ça me fait bander comme une grosse vache. J'ai la chatte en feu me crie t' elle et le frottements des cuissardes caoutchouc contre le ciré plein de boue m'excitent, j'ai envie de me faire baisée comme une grosse pute que je suis devenue me crie t' elle encules moi maintenant je veux sentir tes couilles et tes cuissardes deguelasse me fouetter le cul.
Me voilà partie pataugeant en bottes cuissardes dans le champ, je lui laboure le cul elle sent mes coups de buttoir et mes cuissardes caoutchouc lui claquer sur les cuisses.
Tout de suite elle se doigte pendant que je l' encule dans la boue avec nos grosses cuissardes, ça m'excite encore plus.
Je lui caresse les seins au travers de sa combi en caoutchouc elle est ma chose, elles aiment ça, mes lourdes et immenses cuissardes de ferme s'enlisent jusqu'aux genoux dans un mélange de boue et de purin, l'odeur est très prenante et excitante.
Mes énormes cuissardes reçoivent des giclées de purin des vaches, je m'en fous, j'aime être bien protégée par ces immenses et lourdes bottes cuissardes en caoutchouc.
Ça fait partie de mon excitation de pouvoir m'enliser ainsi jusqu'aux genoux et marcher dans les bourbiers, m'embourber dans le purin avec mes énormes cuissardes sans me soucier de rien.
Je suis hyper bien protégée par mes hautes bottes cuissardes de ferme en caoutchouc et j'adore l'odeur de la ferme, celle du purin, je suis une pute en caoutchouc enfin je suis vivant. Elle de son coté me dit de me retourner elle enfile des gants caoutchoucs epais Putain que c' est bon elle me doigte le cul avec. Je suis dans le champ avec mes immenses cuissardes et mon grand ciré. Je suis épouvantablement crottée. Et là elle me demande de gicler sur ses cuissardes et de lecher pendant qu' elle continue à ce doigter. Ce soir je te baise me dit brigitte tu es ma chose maintenant......
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