Tumgik
coralieplatevoet · 10 months
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Soyez le genre de personne qui laisse une trace, pas une cicatrice.
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coralieplatevoet · 10 months
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Parce que il ou elle te manque, Tu remets qui tu es en cause. Tes larmes couleur verre d’eau, Des larmes découlent d’overdose
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coralieplatevoet · 10 months
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Ne lâchez pas la main d’un cœur qui vous a soigné l’âme avec amour.
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coralieplatevoet · 1 year
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“La paix, ce n'est pas quand tout le monde est d'accord. C'est quand nous pouvons respecter nos désaccords et continuer à jouer dans le même carré de sable.”
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coralieplatevoet · 1 year
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“Tachez d'être fort sans violence et d'être doux sans faiblesse.”
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coralieplatevoet · 1 year
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« J’habite au quartier des ombres »
- Georgio
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coralieplatevoet · 1 year
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Complètement vide.
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coralieplatevoet · 1 year
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“Tu l’aurais rangé dans la bibliothèque alors que j’aime que les livres vagabondent. Je disais laisse, ça fait de la vie. Tu disais non, ça fait du bordel.”
— Lili Nyssen, L’Effet Titanic
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coralieplatevoet · 1 year
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“« Je ne suis pas douée pour la vie. Apparemment, c’est plus difficile pour moi que pour les autres. »”
— Meg Mason, Évidemment Martha
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coralieplatevoet · 1 year
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C’est étrange comme sensation. C’est comme si rien n’avait changé mais que tout était différent à la fois. C’est presque comme si le temps s’était arrêté, que tout s’était figé le temps de nous permettre de construire un autre chez soi. C’était l’innocence, c’était l’insouciance, c’était les premiers émois, les premiers chagrins. C’est comme si le temps s’était figé. Aujourd’hui plus rien n’a le meme sens, ce qu’on pensait qu’était l’amour, ce qu’on pensait qu’était le bonheur, ce qu’on pensait que serait le futur. Aujourd’hui tout est plus clair. Parce qu’on a appris à éclaircir les taches d’ombre. Parce qu’on a appris à faire rentrer la lumière. C’est étrange comme sensation. Je revois le scintillement dans mon regard, pensant que tout serait éternel, les papillons dans le ventre et le cœur plein d’espoir. Aujourd’hui les papillons sont morts. Je les ai arraché, écrasé, violemment, désespérément, férocement. Je les ai vomis, un par un en flânant les ruelles à 4h du mat, je les ai laissés dans les bras d’un parfait inconnu au milieu d’un bar paumé, dans les départs précipités au petit matin d’une relation sans lendemain. On pense les avoir neutralisé pour toujours, sans doute pour ne plus ressentir de peine. Puis un jour, ils reviennent. Sans qu’on s’y attende. Et sans qu’on y prête réellement attention, la lumière rentre, parce que cette fois-ci on le veut bien.
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coralieplatevoet · 1 year
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“Moi j’ai dans la tête une voix inaperçue qui commente tout. Je ne me figure pas une pensée sans bruit.”
— Lili Nyssen, L’Effet Titanic
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coralieplatevoet · 1 year
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��Moi j’ai dans la tête une voix inaperçue qui commente tout. Je ne me figure pas une pensée sans bruit.”
— Lili Nyssen, L’Effet Titanic
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coralieplatevoet · 1 year
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“Le monde n'est-il pas plein de gens qui se regardent dans les yeux et se racontent des choses insensées ?”
— Goce Smilevski, La liste de Freud
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coralieplatevoet · 1 year
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“La souffrance devient joie, le bonheur souffrance Pour celui qui dans la mort a connu la vie. Et déjà descend vers la terre Un ange de feu Qui lui enfonce dans le coeur Le rayon de l’amour sacré né de la douleur.”
— Stefan Zweig, Les très riches heures de l’humanité • Instant historique 
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coralieplatevoet · 1 year
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“Certaines personnes ne savent pas à quel point, elles sont belles à regarder, à quel point leur sourire est encourageant, à quel point leur présence est importante . Certaines personnes ne savent pas, à quel point nous serions plus pauvres sans elles , qu'elles sont des cadeaux du ciel. Et si nous ne leur disons pas, elles ne le sauront jamais”
Asha
(via jeanchrisosme)
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coralieplatevoet · 1 year
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C’est ce soir que la tempête a décidé de commencer à dévaster les terres déjà ravagées et abîmées de mes deux hémisphères. Assise à mon bureau, j’ai passé l’après-midi à écrire des lettres, à remplir des formulaires. Encadrés à remplir, papiers urgents, notes semestrielles, scanner des documents, donner mes ambitions, cliquer sur oui une fois, laissez un slash, enregistrer, dossier incomplet, papiers manquants, 24 places disponibles, mot de passe incorrect, yeux qui brûlent, fatigue en fond sonore. Aujourd’hui, et sans ironie aucune, je suis très sérieuse, je rentre dans l’ère d’une nouvelle crise existentielle -ou seulement la continuité de l’actuelle ?-. Au téléphone, ma mère déjà distraite par son quotidien éreintant me demande de lui lire ma lettre de motivation. Passablement énervée d’avoir été coupée moultes fois, je rajoute après un long silence pesant  “j’ai fini de lire maman”. Elle me répond sans détour “t’en as pas envie de tout ça hein ? ça s’entend à tes mots que tu ne veux pas du plus tard qui s’annonce”. Si ça m’a vexée c’est parce qu’elle a raison, j’aurais préféré qu’elle me dise que mon phrasé était particulièrement beau et envoutant, que je jouais bien la comédie. Or non. Chaque virgule de cette lettre m’a coûté, chaque point a été un effort à faire quand il a fallu poursuivre la phrase. La première de toutes les autres. Je n’en veux pas de tout ça. Je me sens si fragile, si peu prompte à décider de la vie que je vais m’infliger. Je me rabâche que ça va passer ça aussi, le seul problème c’est que ce sera à long terme ces choix là. Ce qui me décontenance le plus, sans doute, c’est la manière que les gens ont de me dire “mais ça va aller”. C’est la même manière que quand on te demande si tu vas bien, ou si tu as passé un bon week-end, ou si tu habites toujours au même endroit. Question d’une précision vaste. L’art de te dédouaner. L’intérêt factice d’une hypocrisie pourtant bien authentique. Je ne dis rien. Je crois que je perdrais mon temps à essayer de faire comprendre aux gens que j’ai beau avoir les mêmes soucis que n’importe qui, ils restent tout de même propre à moi. Je me sens désespérément seule, entourée d’épaules trop hautes pour m’y appuyer, d’oreilles bien trop fermées pour y accueillir mes mots et de cerveaux bien trop étriqués pour accueillir mes maux. Ça me fait mal au cœur quand il me demande comment je vais et que je réponds, en l’embrassant et tout sourire, que ma journée est au moins un 8/10. C’est pas vrai tout ça mais toi non plus, tu ne me verras jamais comme je suis vraiment. Tu m’y contraints presque parce que tu n’arrives pas à tendre assez bien la main pour que je puisse la saisir, pour une fois, ce n’est pas faute de tendre la mienne.
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coralieplatevoet · 1 year
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est-ce que vous aussi vous vous détestez d'être si intelligents, futés, intuitifs ? de toujours tout savoir tout le temps avant, mais de vous laisser emporter par la vague quand même ? car d'un côté il y a ce sentiment d'euphorie d'avoir raison, d'avoir trouvé la faille, de voir sans être vu et donc de contrôler. mais d'un autre côté la déception, les ruminations, l'obsession qui guette, et puis cette question qui revient "toujours la même chose, vraiment ?"
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