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Compte rendu: "Pour une science de l’imaginaire"

Luigi Serafini a inventé une écriture qu’il a réuni avec des dessins dans un ou plusieurs cahiers relier ensemble en forme de livre qu’il appelle le « Codex Seraphinianus ». Les thèmes de ce Codex sont multiples et délivre un savoir encyclopédique. Personne n’a pu déchiffrer son écriture parce que c’est une écriture imaginaire. « Le Codex répond au besoin de mélanger l’écriture au dessin ». L’auteur dessine dans une atmosphère joyeuse parce que c’est un monde inventé. Mais en même temps, l’auteur trouve que la vie est inquiétante parce qu’on est mortel.

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Compte-rendu: "Le design thinking : un état d’esprit pour une révolution silencieuse, article du 10 juin 2019"

Qu’est-ce que le design thinking ?

C’est une démarche centrée sur l’utilisateur : on entre en empathie avec l’utilisateur, cela permet de répondre à ses problèmes grâce à des solutions innovantes.

Un background de start-upper

Au Pays-Bas, le design thinker a permis de créer un processus marketing innovant : on réfléchit au besoin réel ou latent des clients. Ensuite, l’étape du prototypage permet de commencer à faire le produit lorsqu’on sait que les clients sont prêts à payer. Puis, on fait des tests pour arriver à un prototypage parfait, pour être lancer sur le marché.

De la high tech à la réalisation de soi avec le design thinking

C’est l’histoire de Rémi qui veut travailler sur l’innovation mais aussi il veut aider les équipes à collaborer ensemble et veut faire quelque chose sur le plan humain. Donc il se forme à la dschool de Postdam puis après plusieurs autres formations, il crée la dthinking academy et confonde une start-up digitale.

Le design thinking ou la révolution silencieuse

Non seulement il travaille sur les produits, mais il va prolonger son activité en direction des équipes elles-mêmes pour influer sur leur façon de travailler. Si on n’a plus d’empathie, si on est plus tourné vers l’autre, on peut globalement transformer le monde.

RSE VS Innovation social ?

Un exemple frappant d’innovation social et sociétale d’une entreprise, c’est « Blablacar » qui permet de générer des profits mais de recréer du lien social, une grande mobilité.

Des résultats de transformation positive grâce au Design Thinking

Grâce au design thinking, l’ensemble des acteurs du département de la Drôme ont pu réaliser plusieurs projets tenant beaucoup plus compte de l’usager.

Des activités pour répondre à cette vision

L’activité de Rémi Edart s’articule selon deux directions : d’abord coach d’équipe (innovation/ transformation) et, avec la dthinking academy, il favorise l’apprentissage en organisant des activés souvent gratuites pour les personnes en reconversion.

Une ouverture au monde par la gratitude

Le design thinking amène à vraiment prendre conscience des besoins du monde actuel par la prise en compte des besoins de chacun.

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Compte rendu: "Pour une esthétique de la pop culture"

Paragraphe 1 :

Actuellement, contrairement à ce que disait Jacques Rigaud en 1975, indiquant que consommer égal consumer et que cultiver c’est travailler, est ce que les jeux vidéo et les séries télévisés sont de la culture ?

Paragraphe 2 :

Si on ouvre un journal, on voit bien qu’il y a eu des mutations, parce que la pop musique, les jeux vidéo, etc. forment tout simplement le cœur de notre culture.

Paragraphe 3 :

Il n’y a plus d’opposition entre culture savante et pop culture. Maintenant, il y a un nouveau fonctionnement, l’artiste est du côté du marché et de la création, cela rapporte de l’argent comme une industrie. Tout est régi par l’argent et le marché.

Paragraphe 4 :

Maintenant, tout ce qui était considéré dans les années 1970 comme de la culture de diversement a été reconsidéré, il y a moins de hiérarchie dans les goûts mais ces valeurs (culture de masse, haute culture) peuvent varier aussi suivant les catégories sociales.

Paragraphe 5 :

L’idéologie qui sous tendait les discours sur la culture au XXème siècle est en train de s’écrouler.

Paragraphe 6 :

Au lieu d’aller à un concert de musique classique le samedi après-midi, on va dans les zones commerciales, on visite les enseignes commerciales comme si on était dans un super musée de la consommation.

Paragraphe 7 :

Pop art, Street Art ou néo-pop sont les nouveaux modes de culture qui ont remplacé petit à petit la culture classique qui avait encore cours au XXème siècle.

Paragraphe 8 :

On va soumettre les productions des industries culturelles par rapport à trois aspects : l’œuvre, l’auteur, et ce qu’on pense de l’auteur et de l’œuvre.

Paragraphe 9 :

Concernant l’œuvre, et en particulier les différents ensembles de texte, le poids des produits dérivés pèsent très lourd sur la conception des récits (celui des créations de Disney en particulier).

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Compte-rendu du texte Plaire et toucher. Essai sur la société de séduction, de G. Lipovetsky.

Paragraphe 1 :

Gilles Lipovetsky dit que l’hyper individualisme va de pair avec l’hyper consommation. Mais il ne trouve pas que c’est catastrophique, c’est à dire que c’est un abrutissement culturel.

Paragraphe 2 :

La postmodernité c’est séduire selon nos propres désirs, sans tenir compte de rien et notamment des obligations collectives (plus de cadre préétabli, plus de tradition)

Paragraphe 3 :

Pour lui, la séduction telle qu’on l’entend actuellement permet une personnalisation et non pas une uniformisation (avec, par exemple, addiction et souffrance) à condition que les consommateurs gardent leur esprit critique.

Paragraphe 4 :

L’hyper individualisme ne débouche pas forcement sur une sociabilité superficielle. Ça n’empêche pas la profondeur des liens. Et d’autre part, la séduction et l’hyper individualisme ne sont pas pour Lipovetsky facteur de mal. Il n’est pas moraliste.

Paragraphe 5 :

Si vous voulez résister à la séduction et aller plutôt vers la « frugalité heureuse » ça sera difficile parce qu’il faut garder en tête qu’actuellement la séduction règne en maître.