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desjourssans · 1 year
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desjourssans · 1 year
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desjourssans · 1 year
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#desjourssans
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desjourssans · 1 year
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desjourssans · 1 year
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desjourssans · 1 year
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Regarderais-je ce lieu en me disant que ce fut, un jour, chez moi ?
Lorsque la nostalgie des moments vécus aura pris le dessus,
De ses âmes rencontrés,
Si précieuses, si chéris, qui auront changé ma vie a tout jamais,
Que restera t’il ?
De ses souvenirs de rire,
De ses destins croisées qui ne voulaient jamais s’oublier,
Que restera t’il ?
A la fin, à la toute fin, que restera t’il ?
De ce lieu détesté et de ces être si aimé.
Auront-elles durées ?
Ces promesses silencieuses,
Prononcées du bout des lèvres, à chaque projet, à chaque futur songé,
Ou seront elles restés figées dans ces éternités rêvées?
Et dès demain,
Qu’adviendra t’il de nous, qu’adviendra t’il d’eux,
Qu’adviendra t’il de moi ?
- Reflexion de nuit, 26 novembre 2022
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desjourssans · 1 year
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desjourssans · 2 years
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desjourssans · 2 years
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C’est toi que je vois,
Et c’est toi que je veux,
Re-dis moi des mots tendres,
Dans le creux de mes reins,
Fais de moi ce que tu veux,
Mais fais de moi celle qui t’appartient.
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desjourssans · 2 years
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Ecrire c’est se mettre à nu,
Tous les jours, tous les soirs,
C’est se laisser dire,
Se laisser faire,
Avoir le coeur grand ouvert.
Puis apprendre
Que l’on peut pleurer
Sans jamais déverser,
Une seule larme.
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desjourssans · 2 years
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J’ai du apprendre à vivre sans toi, et j’apprends encore parfois.
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desjourssans · 2 years
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Bonne qu’à baiser,
Et dans le reflet, ce corps objet.
Chaque morceau de peau scruté,
Chaque parcelle observée,
Chaque millimètre appris par coeur et détesté,
De ce corps malmené, délaissé, et parfois aimé.
Hanches, seins, fesses, analysés.
Et dans le reflet, ce corps objet,
Que l’on voudrait s’approprier.
Bonne qu’à baiser.
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desjourssans · 2 years
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Ces soirs-là, où la vie me rappelle, de façon délicate, saugrenue, presque imperceptible, que ça fait bientôt un an que ce « nous » n’est plus légitime.
Et j’y pense, sans vouloir y songer.
À ce chemin parcouru, ou plutôt devrais-je dire à ce chemin non parcouru.
Je pense à ces mots que je me disais il y a un an en remplissant ce foutu carnet « dans un an ça me paraîtra dérisoire cette peine, ça sera un souvenir lointain, ma vie aura tellement changé ». Et je le remplie encore, dix mois après, en constatant que rien n’a changé, ni qui je suis, ni le toi dans ma vie.
Enfin, le toi a changé. Incontestablement. On s’est recréé avec cette nouvelle réalité, on a appris à composer avec cette nouvelle définition de ce que pouvait être le toi et moi. Ce qu’on avait le droit de faire ou non, et on a franchi les barrières, inlassablement, même quand on constatait bien que ça marchait pas, que c’était pas une bonne idée, qu’on n’aurait pas dû, qu’on ne devrait pas. Mais on s’en est foutu, ou plutôt c’est comme si on pouvait pas faire autrement.
Mais si le toi a changé, si j’ai plus le droit de t’appeler « mon amour », te dire que tu me manques, te réclamer milles choses ou râler car je te voudrais moins indifférent, si je dois me faire à l’idée que tu en baises d’autres et pire que tu peux craquer pour une autre, l’amener au resto, lui dire des mots doux ; mais si tout cela a changé, oui, la présence du toi dans ma vie, bordel, ça, ça n’a pas changé d’un centimètre.
Tu es toujours là, au quotidien, à répondre à mes textos inutiles sur les drames banals de ma vie banale, sur mes indécisions vestimentaires, mes joies et mes doutes. Tu es toujours là pour me donner l’impression que je suis la fille la plus sexy de la terre quand je t’envoie ces photos dénudées de moi, comme si tu n’en voyais plus, si tu n’en voyais pas, des corps comme ça, et pourtant je n’oublie pas, soyons honnêtes, que potentiellement tu t’en tapes d’autres le week-end.
Tu es toujours là, au quotidien et ma vie n’a pas avancé d’un chouïa. Ça va venir, je n’en doute pas. À vrai dire j’ai l’impression que je progresse. Mais j’ai cette impression parfois, puis je fais dix pas en arrière et je me retrouve à nouveau en train de ne plus savoir pleurer tellement la vie me paraît fade et sans intérêt. Je veux plus me lever et je m’afflige sur mon sort, je me dis que je préférerais crever là, sur-le-champ, parce que j’ai pas envie d’exister, j’ai pas envie de me battre contre ces insanités de la vie, ces moments difficiles à passer, j’ai pas envie de m’acharner dans un travail qui me plairait pas à ne même plus voir que ma vie défile sans que je sois en train de la vivre et de tout un coup prendre conscience que je suis en train de crever sans avoir réalisé un seul de mes rêves. Et puis je culpabilise, je pense à ma mère, à ma grand-mère, et je me dis que je devrais pas penser ça. Je pense à tout les gens qui ont une vie de merde, bien pire que la mienne, qui est pas si minable finalement, et je me dis que je suis pas légitime. Mais après tout s’ils acceptent cette vie de merde, est-ce que je dois l’accepter aussi ?
Mais là, en ce moment, ça va.
J’ai l’impression que c’est depuis ce gars. Je sais pas, il m’a fait un truc. Il m’a retourné la tête un peu tu vois ? Pas dans le mauvais sens, pas comme tu me l’as retourné toi. Mais il m’a fait me rendre compte que je n’étais plus que l’ombre de moi-même, que j’étais loin de devenir ce que je voulais être à dix-huit ans et qu’en vérité ça appartenait qu’a moi de faire tous ça. Que je laissais la vie prendre le contrôle de la mienne. Et il a rien dit tu sais ? Vraiment rien, il a fait qu’écouter, mais écouter comme personne l’avait fait et peut-être qu’au final c’est de ça dont j’avais besoin.
Bref, il y a certains soirs où je pense à ça plus que les autres soirs. Et c’est étrange. Parce que tu me manques, mais je n’ai aucune envie que tu reviennes. Et en même temps, j’en crève d’envie, tu sais. 
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desjourssans · 2 years
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Cet homme parmi tous, 
Une femme parmi d’autres, 
Dansant sur ce fil inégal le temps d’une nuit
C’est ce qu’ils seront l’un pour l’autre,
Cet homme, 
Rien qu’une femme. 
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desjourssans · 2 years
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Et j’ai ça qui tourne, tourne dans ma tête
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desjourssans · 2 years
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Je n’y pense pas
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desjourssans · 2 years
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