“You told me you weren’t going to leave! All because you thought it would not be a hard task? I have a complex mind, bursted with vibrant colors and flashing thoughts. I tried so hard to take my pieces and create a woman to fit into your heart. I am too much. I know that now.”
"And I would wish you happiness always, peace of mind and a chance in every endeavor to meet a ball of sunshine who would make all your possibilities come true because we deserve it. Despite everything, the pain, I believe we are always worth it."
Je ne guérirai pas de cet amour. Tu m'as pris ma lumière, ma sève, ma confiance. Mes jours sont vides, ma vie est morte. Je fais juste semblant. De sourire, d'écouter, de répondre aux questions. Tout les jours, j'attends un signe, un geste. Que tu me délivres de ce trou noir dans lequel tu m'as laissée et que tu me dises pourquoi. Pourquoi m'as tu abandonnée ?
Un crayon à la main, je dessinais ce qu'il restait de ses souvenirs les plus heureux. Un portrait si réel du désespoir qui s'échappait de cette lueur de tristesse dans son regard. Elle me souriait au loin, d'une douceur que je n'avais encore jamais croisé auparavant. Elle incarnait le paradoxe même de la femme idéale : un peu mystérieuse, quelque peu chaleureuse. Elle me fascinait. Est-il possible d'être aussi éprise d'un être pourtant si inconnu ? Vous l'auriez vue. Son regard d'un bleu azuré transperçait mon âme à chacun de ses coups d’œil. Elle était si... elle. Son sourire illuminait chacune des pièces dans lesquelles elle se trouvait, d'après certains. Je les crois, à vrai dire, je les croyais. Assise sous un arbre, un crayon à la main, je contemplais la mort à travers mon télescope.