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dexterre-news · 6 years
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3 open source apps for Windows
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When switching from one kind of computer to another, use open source tools to continue working with ease.
For me, I worked on a Mac for many years, and now I have to work on a Windows machine at my job. I really miss a few of the MacOS features, so I set out to find open source solutions to these and other Windows conundra. Here are three to get you started.
Greenshot
Greenshot is a simple screen capture app.
Simply press the Print Screen key on Windows and position the crosshairs to select the portion of the screen you want to capture. Once you release the key, a pop-up will present several options to save the image. The simplest is Save directly, which creates a PNG file of about 2MB.
You can download Greenshot from getgreenshot.org or find the source code on GitHub.
QuickLook
QuickLook is a file preview app. 
As QuickLook's developer writes on GitHub:
"One of the few features I missed from MacOS X is Quick Look. It allows the user to peek into a file with lightning speed by just pressing the Space key."
I totally agree! This handy app does exactly that by simply single-clicking the icon and pressing the spacebar. It works great for image files, such as JPG and PNG, as well as DOCX, PDF, AI, MP4, and other files. While it doesn't preview INDD files and some others, it will show the metadata. You can find QuickLook on GitHub.
Ditto
Ditto is a clipboard manager.
Have you ever copied something to the Clipboard—a URL or text string—then copied something else and lost the first entry? Well, no more. With Ditto, you can save multiple Clipboard entries in an easy-to-use list that can be accessed with the Show hidden icons button on the taskbar. You can find Ditto on SourceForge.
  Bonus: Ramme
I've previously written about Ramme, the Windows Instagram photo uploader, but it's worth adding to this list of handy Windows apps created by open source developers.
Whether you work on Windows, Mac, or Linux, many open source apps will make the computing experience fit your unique style. If you know of other handy apps to add to this list, please share them in the comments section.
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dexterre-news · 6 years
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Archives et RGPD : le droit à la mémoire comme manifestation d’un droit social des données
Le 30 mars dernier, l’Association des Archivistes de France (AAF) organisait aux Archives nationales une journée d’études sur le thème :«Open Data et protection des données personnelles : où en sommes-nous ?». J’avais été invité lors d’une première partie à faire un point sur le cadre légal de l’ouverture des données publiques (voir la vidéo à la fin de ce billet), mais c’est surtout la seconde partie de cet événement qui a retenu mon attention, notamment une table-ronde consacrée aux conséquences de l’entrée en vigueur du RGPD (Règlement Général de Protection des Données) sur les activités d’archivage.
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Quel équilibre trouver entre droit à l’oubli et droit à la mémoire ?
Je vous recommande en particulier l’intervention de Bruno Ricard du SIAF qui a fait un point détaillé sur les tensions entre la logique du RGPD et les principes de fonctionnement des archives, à travers la question de l’équilibre entre droit à l’oubli et droit à la mémoire.
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Un risque d’amnésie collective ?
Il faut en effet savoir que les archivistes ont dû batailler durant tout le processus d’adoption du RGPD au niveau européen pour faire en sorte que certains de ses principes ne s’appliquent pas aux archives publiques, une fois qu’elles sont devenues définitives. En effet, le règlement consacre au profit des individus une série de droits, comme le droit d’opposition, le droit à la rectification ou le droit à l’effacement (appelé aussi « droit à l’oubli » dans le langage courant, à ne pas confondre avec le droit au déférencement par les moteurs de recherche), qui sont susceptibles d’avoir des effets contre-productifs s’ils sont appliqués aux archives définitives. Le propre des documents d’archives est en effet d’avoir une « valeur authentique », notamment pour établir des preuves en vue du bénéfice de droits, et les services d’archives conservent aussi les sources qui permettent aux historiens de travailler.
Autoriser les individus à faire jouer leur droit à l’effacement reviendrait à leur permettre de disparaître des documents d’archives et le droit à la rectification leur ouvrirait la possibilité de demander aux services de procéder à des modifications sur des documents qui étaient jusqu’alors conservés dans leur intégrité. Par définition, des documents d’archives définitives comportent en effet généralement des inexactitudes, puisqu’ils ne sont plus actualisés, et il est possible que des erreurs aient été commises par les administrations dès l’origine, mais elles ont alors une valeur historique en tant que telle et demander leur suppression reviendrait dans une certaine mesure à « refaire l’histoire ».
C’est pour éviter de telles conséquences que la profession des archivistes a demandé à pouvoir bénéficier de dérogations spéciales, lorsque des traitements de données à caractère personnel sont réalisées « à des fins archivistiques d’intérêt public » ou « à des fins de recherche scientifique, historique ou statistique ». En 2013, l’AAF était intervenue dans le débat public pour faire valoir ces revendications en mettant en avant un risque « d’amnésie collective » :
S’il est évident que la réu­ti­li­sa­tion des infor­ma­tions per­son­nel­les à l’insu des citoyens et à des fins com­mer­cia­les, qui est lar­ge­ment faci­li­tée par les tech­ni­ques infor­ma­ti­ques, doit être com­bat­tue par tous les moyens, la des­truc­tion sys­té­ma­ti­que de ces don­nées ou leur ano­ny­mi­sa­tion pour éviter des déri­ves revient en revan­che à jeter le bébé avec l’eau du bain. Comme si, plutôt que de ren­for­cer l’action des ser­vi­ces d’archi­ves qui assu­rent déjà une conser­va­tion sécu­ri­sée de notre patri­moine et l’accès à celui-ci dans des condi­tions res­pec­tueu­ses des liber­tés indi­vi­duel­les, l’Europe, pour notre bien, nous impo­sait une amnésie collective.
Quelles dérogations pour les services d’archives ?
Non sans mal, les archivistes ont réussi à obtenir gain de cause lors des négociations avec les autorités européennes, sans pour autant que ces dérogations soient inscrites « dans le dur » du RGPD. Le texte prévoit seulement la possibilité pour les Etats d’implémenter au niveau national de telles dérogations, à charge pour eux d’adopter des dispositions législatives en ce sens. C’est d’ailleurs ce qui est en train de se passer en France, avec la loi sur la protection des données personnelles que le Parlement est en train de finir d’adopter pour mettre en conformité le droit interne avec le RGPD.
Celle-ci contient un article consacré aux archives publiques, formulé comme suit :
Lorsque les traitements de données à caractère personnel sont mis en œuvre par les services publics d’archives à des fins archivistiques dans l’intérêt public […], les droits visés aux articles 15 [accès], 16 [rectification], 18 [limitation du traitement], 19 [notification], 20 [portabilité] et 21 [opposition] du règlement (UE) 2016/679 ne s’appliquent pas dans la mesure où ces droits rendent impossible ou entravent sérieusement la réalisation des finalités spécifiques et où de telles dérogations sont nécessaires pour atteindre ces finalités.
Il faut noter que ces dérogations n’ont pu être obtenues que de haute lutte et de justesse, puisque le Sénat notamment avait introduit dans le texte initial des amendements qui auraient pu rétablir le droit à la rectification sur les documents d’archives.
Droit à la mémoire et solidarité inter-générationnelle
Lors de son intervention, Bruno Ricard a fait un commentaire de cette évolution qui m’a paru très intéressant. Il a en effet expliqué qu’avant l’adoption du RGPD, c’était un « droit à la mémoire » qui prévalait de manière implicite, dans la mesure où il était inhérent à la mission des services d’archives de pouvoir traiter des données à caractère personnel afin de constituer des archives définitives. Une conciliation avec les droits des individus s’opérait par le biais des délais de communication des différentes catégories de documents fixés par le Code du Patrimoine, mais on pouvait bien dire que le « droit à la mémoire » s’appliquait comme un principe général.
Avec le RGPD, c’est à présent le droit à l’oubli qui est devenu le principe, tandis que le droit à la mémoire n’est plus qu’une exception, reposant sur de simples dérogations que les Etats-membres de l’Union peuvent choisir d’implémenter ou non. Or pour Bruno Ricard, cette inversion entre le principe et l’exception traduit le fait que le droit fait à présent primer l’intérêt des personnes vivantes par rapport à celui des générations futures, à qui sont transmis les documents d’archives définitives pour qu’elles puissent accomplir leur « travail de mémoire ».
Cette manière de présenter les choses me paraît faire résonance avec l’idée d’un « droit social des données » que j’essaie de creuser depuis le début de l’année sur ce blog. En effet, le « droit à la mémoire » est en réalité la manifestation d’une solidarité inter-générationnelle : on admet que les droits des individus à un instant t puissent être limités dans une certaine mesure afin de préserver les droits des générations futures. Ici cette solidarité joue pour l’avenir, alors que pour d’autres types de droits sociaux, comme le droit à la retraite par exemple, la solidarité s’exerce dans l’autre sens, dans la mesure où les cotisations versées par la génération présente servent à payer les retraites de la génération précédente. D’autres droits sociaux (assurance-chômage, assurance-maladie) manifestent de leur côté une solidarité intra-générationnelle par le le biais d’une mutualisation des risques.
Les tensions qui ont éclaté lors de l’adoption du RGPD à propos des archives publiques témoignent aussi de l’opposition entre les droits individuels et les droits collectifs. Le « droit à la mémoire » a en effet une nature collective puisqu’il est le droit d’une société à se souvenir de son passé, tandis que le « droit à l’oubli » du RGPD est un droit individuel destiné à protéger la vie privée. Comme j’ai eu l’occasion de l’exprimer plusieurs fois sur ce blog, le droit des données personnelles est marqué par un « paradigme individualiste » que le RGPD va tendre encore à renforcer. Il n’est donc pas très surprenant que ce texte fasse primer les droits individuels sur les droits collectifs, en réduisant ces derniers à de simples dérogations à un principe général.
Dimension collective des données
Néanmoins, le fait même que des dérogations au bénéfice des archives restent encore possibles et qu’elles aient pu être mises en oeuvre au niveau français constitue aussi la manifestation d’une autre « lecture » possible du droit des données personnelles. Le « droit à la mémoire » que la loi française admet fait à mon sens partie ce que que l’on peut appeler une forme de « protection sociale des données » et c’est aussi une reconnaissance indirecte de la dimension collective des données à caractère personnel, basée sur un principe de solidarité.
Il faut ici entendre le mot « solidarité » au sens fort du terme, comme la capacité d’une société à « tenir ensemble » et à maintenir sa cohésion dans le temps, en dépit du jeu des forces de désintégration qui la travaillent constamment. Comme l’explique bien Olivier Ertzscheid sur son blog, nous vivons aujourd’hui dans un contexte où la manipulation des documents sous forme numérique est devenue si aisée que nous avons plus que jamais besoin de faire contrepoids en nous dotant de moyens d’arriver à « authentifier » des documents et à les conserver dans une forme stable sur le long terme :
Que perdons-nous lorsque la valeur de preuve des documents en circulation dans une société s’effondre un peu comme s’effondreraient subitement des valeurs boursières ? Nous perdons la capacité de faire société. Ou à tout le moins la capacité de faire société autrement que sur des valeurs oscillant au mieux entre suspicions caractérisées et spéculations infondées. S’il est de plus en plus difficile de « croire » l’autre, s’il est donc de plus en plus délicat de lui accorder sa « confiance », si nous ne sommes plus capables que d’accorder une valeur de preuve à des documents en fonction de l’espace numérique dans lequel ils sont échangés, alors nous perdons la capacité de faire histoire commune, mémoire commune, société commune. Et alors le pire devient possible.
Le droit à l’oubli n’est bien entendu pas illégitime en lui-même, mais sa portée doit être limitée pour que les archives définitives puissent rester ce « Commun de mémoire » qu’elles ont toujours été et qu’elles conservent ce rôle pour les documents numériques natifs.
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Voici par ailleurs ci-dessous la vidéo de l’intervention que j’ai faite lors de cette journée d’études à propos du cadre juridique de l’Open Data en France, avec un focus particulier sur l’ouverture des données culturelles :
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dexterre-news · 6 years
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WHOIS et RGPD : pas de délai pour l’Icann
La polémique entre l’Icann et les autorités européennes de protection des données se poursuit. Dans sa dernière lettre, l’Icann demandait aux autorités européennes d’accorder un délai pour permettre aux contractants d’implémenter les changements qui leur éviteraient une sanction. Mais celui-ci n’a pas été accordé.
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dexterre-news · 6 years
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Découverte du Micromodule Volet Roulant Enocean
La famille de micromodules encastrables Enocean s’agrandit avec cette fois la version  Ubiwizz / Nodon pour volets roulants et stores, un produit fabriqué par ID-RF. Sa taille réduite lui permet de se loger dans une boite d’encastrement, le coffre de motorisation, ou derrière n’importe quel interrupteur filaire existant.
  Ce module est capable de gérer toutes les motorisations filaires 230V à butée mécanique ou électronique, et de recevoir n’importe quel interrupteur ou poussoir inverseur filaire de type inverseur volet ou store.
Caractéristiques techniques
Protocole : EnOcean
Fréquence Radio : 868MHz
Portée radio : 30m
Courant max : 5A
Alimentation : 230V~ / 50Hz
Température de fonctionnement : 0°C / + 40°C
Dimensions : 40 x 45 x 17
Profil d’équipement (EEP) : D2-05-00
Boite d’encastrement : 50m
Garantie : 2 ans
Installation du module Volet Roulant
Attention, si vous n’avez pas les compétences en électricité, il est préférable de faire appel à un professionnel.
Avant de commencer le câblage de votre module ou de démonter votre interrupteur filaire, coupez toujours l’électricité au niveau de votre tableau électrique et vérifier l’absence de tension.
Respectez le schéma de câblage de la notice, le Blog ne sera en aucun cas responsable des incidents ou accidents résultant d’un mauvais câblage ou d’un usage non conforme.
Petit rappel sur le bornier de ce micromodule encastrable qui se compose d’une alimentation 230V Neutre + Phase, 2 entrées pour interrupteur filaire (I), et 2 sorties relais 230V (0).
Voici le principe de câblage du module pour gérer une motorisation de volet ou store en encastré derrière un double interrupteur (Bistable) filaire existant, exemple de configuration que nous allons utiliser tout au long de notre test.
Avant de passer au démontage de notre interrupteur volet, pensez à couper l’alimentation électrique directement au tableau, ne prenez aucun risque.
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’interrupteur est connecté à la Phase « L » (Fil Rouge), et aux deux fils Marron et Noir correspondant à la montée et descente du moteur. Le Neutre « N » quand à lui est directement relié au moteur.
Il suffit alors de reprendre l’alimentation et câbler le Neutre (Bleu) directement sur la borne « N », la Phase (Rouge) sur la borne « L » , et les 2 Fils Marron et Noir du moteur sur les 2 bornes « O« .
A vous le choix de mettre un obturateur ou interrupteur sans fil et sans pile de type Plana sur la boite d’encastrement, ou de connecter les 2 Fils de commutation (Montée/Descente) de l’interrupteur vers les 2 bornes « I » du module.
Vous pouvez alimenter votre micromodule et faire un simple appui sur les 2 boutons de votre interrupteur filaire pour qu’il soit automatiquement reconnu par votre module, qu’il s’agisse d’un Interrupteur (Bistable) ou d’un Poussoir (Monostable).
Configuration du module Volet Roulant
Pour permettre au module de connaître la position exacte du volet roulant à tout moment, un premier processus d’étalonnage doit être effectué en appuyant 5 fois sur le bouton “PRESS”
Le moteur du volet roulant va alors effectuer un cycle de Montée / Descente / Montée afin d’enregistrer les butées.
Le bouton “PRESS” de ce module Volet Roulant Enocean, permet de faire plusieurs actions en fonction du nombre de fois qu’il sera pressé.
Un appui : – Si le volet est calibré et qu’il est en position >20%, il remonte complètement à 0%. – Si le volet est calibré et qu’il est en position <20%, il se descend à 50%. – Si le module est mode “Learn”, alors l’opération est stoppée. – Si le module est mode reset, alors l’action se valide.
Triple appuis : – Permet de passer en mode Apprentissage “Learn”
Quintuple appuis : – Si le module est en phase de calibration, le process est avorté. – Lance le process de calibration, Up/Down/Up
Appui de plus de 5s : – La led clignote “Orange” pour confirmer la mise en mode reset.
Appairage du module Volet Roulant
Bien sur l’intérêt de ce module réside dans le fait de pouvoir le piloter via un autre interrupteur sans fil ou un contrôleur domotique (box). Ainsi vous pourrez ajouter d’autres points de commandes et par exemple centraliser la fermeture et ouverture de tous vos volets en un seul point comme à l’entrée de votre logement.
Mais également de les piloter via une application smartphone ou d’une tablette, que ce soit de chez vous, de votre bureau, ou en vacances à l’autre bout du monde…
Il suffit d’appairer votre module volet roulant à un une box domotique ou un émetteur sans fil Enocean compatible.
Une fois votre micromodule volet roulant UBID1511 installé et alimenté (Led verte), il suffit de le mettre en mode appairage pour l’associer à un un émetteur comme l’inter sans fil Vimar, Audace, Céliane, ou encore la passerelle WizzBox et la mini Box Ubiwizz.
L’apprentissage peut se faire via le bouton du micromodule ou directement par le bouton de l’interrupteur filaire.
Pour placer le module en « Apprentissage », il suffit de faire un « Triple Appui » sur le bouton »PRESS » à coté de la Led qui va alors scintiller en Rouge pour confirmer que le module est bien en mode « Apprentissage ».
Appuyez sur l’un des boutons de l’émetteur sans fil que vous souhaitez appairer au micromodule, la Led va alors confirmer l’appairage en devenant fixe.
Pour un appairage avec votre box domotique, voir la documentation de celle-ci. Si vous possédez une WizzBox, tout se passe via son application MyUbiwizz comme ci-dessous.
Utilisation du module Volet Roulant
Ce module possède des spécifications Enocean correspondantes au profil d’équipement D2-05-00 de l’Alliance EnOcean. Un interrupteur sans fil Enocean associé à votre module Volet Roulant, vous permettra de le contrôler comme suit :
Un appui sur le bouton Haut = Le volet s’ouvre
Un second appui sur le bouton Haut = Le moteur s’arrête
Un appui sur le bouton Bas = Le volet descend
Un second appui sur le bouton Bas = Le moteur s’arrête
Avec une passerelle ou box domotique comme la WizzBox Ubiwizz, vous pourrez lancer une action de montée, descente, stop, mais également une commande d’ouverture partielle en pourcentage.
0% = Ouverture totale
50% = Ouverture/Fermeture partielle
100% = Fermeture totale
Notre avis
Enfin un micromodule encastrable Enocean pour volets roulants et stores, dans la lignée des deux autres modules de la gamme Ubiwizz et Nodon, le double relais et le contact sec…
Simple et complet, ce module gère parfaitement tout type de motorisation pour volet roulant ou store, qu’elle soit à butée mécanique ou électronique, et permet de conserver ses interrupteurs existant. La calibration est plutôt fiable, je n’ai pas observé de décalage dans le temps, et le positionnement constaté par rapport à mon application MyUbiwizz, ne varie pas plus de 5% au-delà de la mi-course.
Le catalogue de produits connectés EnOcean devient de plus en plus conséquent et répond aujourd’hui à la plupart des besoins. Et avec des périphériques ne dépassant pas les 50€ en moyenne, cette solution domotique « sans fil et sans pile » commence sérieusement à faire de l’ombre à d’autres technos comme le Z-wave…
Le plus : Équipez vos volets roulants de ce module et offrez-vous une centralisation à l’endroit que vous voulez et sans travaux, avec un interrupteur sans fil et sans pile Enocean de votre choix…
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dexterre-news · 6 years
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Métiers du numérique : les recrutements au plus haut en 2018
L’enquête Besoins en main d’œuvre prévoit 42 650 embauches d’ingénieurs et cadres dans « les études et la R&D informatique ». Une hausse de plus de 27 % en un an.
Chaque année, l’enquête Besoins en main d’œuvre (BMO) de Pôle emploi donne le ton sur les intentions de recrutement des entreprises. Reprise économique oblige, 2018 s’annonce comme un cru exceptionnel. Une entreprise sur quatre prévoit de recruter. Au total, ce sont près de 2,35 millions d’embauches qui sont programmées, sot 370 000 de plus que l’an dernier.
Qu
alifiée d’« inédite », cette hausse de 18,7 % est la plus forte mesurée jusqu’alors par l’étude BMO. L’embellie dans la filière numérique est encore plus nette.
Les entreprises devraient recruter 42 650 ingénieurs et cadres dans « les études et la R&D informatique », soit une augmentation de plus de 27 % par rapport à 2017.
Ce chiffre ne tient pas compte des profils de niveau bac + 2. L’étude table sur près de 21 000 projets d’embauches de techniciens dans l’informatique dédiés aux services aux utilisateurs et à l’étude et développement.
L’Ile de France s’octroie 57 % des postes à pourvoir
Non seulement, les entreprises envisagent de recruter des informaticiens en nombre mais s’attendent à rencontrer des difficultés à trouver ce type de profil. Dans le top 15 des métiers en tension, les ingénieurs et cadres de l’informatique se classent deuxième juste derrière les aides à domicile et les aides ménagères. Le taux de recrutements jugés difficiles s’élève à 62 %, un niveau proche de celui de 2017 (62,8 %).
En termes de répartition géographique, l’Ile de France arrive sans surprise en tête des régions, s’octroyant 57 % des postes à pourvoir, loin devant l’Auvergne-Rhône-Alpes, l’Occitanie, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Hauts-de-France et les Pays de la Loire.
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dexterre-news · 6 years
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RSSI : un déficit de compétences freine la prévention–détection
Des équipes sous-dimensionnées peinent à gérer la multiplication d’alertes de sécurité à l’ère du tout connecté, selon une enquête de Bitdefender.
Près de 7 responsables de la sécurité IT sur 10 en France s’inquiètent d’un déficit de compétences à l’ère de la prévention–détection–réponse aux incidents, selon une enquête commandée par Bitdefender à Censuswide.
L’enquête a été réalisée en février et mars 2018 auprès de 1 050 responsables des achats et de la sécurité IT. leurs organisations gèrent plus de 1000 postes de travail et serveurs.  États-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Danemark, Suède sont couverts.
Premier enseignement  : plus d’un répondant sur deux (et 68% des 150 RSSI interrogés en France) s’inquiètent de la  pénurie de compétences en sécurité informatique. Par ailleurs, 69% (72% en France) estiment que les équipes sont trop réduites.
Or, le risque élevé de cyberattaques et l’urgence d’une mise conformité avec le Règlement général sur la protection des données (RGPD) orientent à la hausse la charge de travail.
Prévention–détection–réponse
En France, 58% des organisations reconnaissent avoir été la cible de programmes malveillants (malwares) ou d’attaques informatiques avancées.
Dans ce contexte, les alertes de sécurité (dont 45% jugées fausses) se multiplient et submergent des équipes dont la productivité baisse, selon 72% des répondants.
La prévention par des moyens classiques (pare-feux, plateformes de protection des terminaux (EPP), systèmes de prévention des intrusions) ne suffit pas face au cyber risque élevé. Les entreprises réorientent donc leurs investissements. Elles passent progressivement d’une démarche préventive à une approche davantage axée sur l’amélioration des capacités de détection et de réponse des terminaux et serveurs (EDR – Endpoint Detection and Response).
La tendance a été soulignée par le cabinet Gartner dès 2017.  Elle devrait s’amplifier à horizon 2020. Et Bitdefender s’en félicite… Selon l’éditeur,  une approche EDR permet de limiter les interventions humaines tout en préservant la qualité des investigations en cas d’incident. Notamment pour les entreprises ne disposant pas d’un centre opérationnel de sécurité (SOC). Grâce à une méthode « en entonnoir » de type prévention–détection–réponse.
« À l’avant, les contrôles préventifs utilisent l’apprentissage automatique et l’analyse comportementale pour détecter un pourcentage élevé de menaces connues. La brique EDR, elle, se concentre sur le bas de l’entonnoir pour traiter les menaces potentielles ou inconnues », a expliqué Harish Agastya, vice-président Enterprise Solutions chez Bitdefender. « Les administrateurs peuvent ainsi se concentrer sur une meilleure protection des actifs critiques ».
Pour illustrer les résultats du sondage, Bitdefender propose l’infographie ci-dessous :
Lire également :
Cybersécurité : les RSSI parient sur l’automatisation et l’IA
Le RGPD arrive : les responsables de la sécurité IT sous pression
(crédit photo © Shutterstock)
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dexterre-news · 6 years
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Android : des chercheurs dénoncent les mensonges sur les correctifs de sécurité
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Certains fabricants mentent sur les mises à jour de sécurité de leurs smartphones Android, selon les chercheurs de Security Research Labs.
Les chercheurs du Security Research Labs (SRL) ont découvert ce qu’ils appellent un ” écart de patch”, dans de nombreux cas, dans des smartphones Android de certains fabricants. Pire, ils indiquaient aux utilisateurs qu’ils avaient pourtant déployé tous les correctifs de sécurité jusqu’à une date précise, précise le site Wired.
Un problème de sécurité doublé d’un mensonge
Or, dans certain cas, il pouvait manquer jusqu’à une douzaine de patches correctifs sur cette période. De quoi laisser les terminaux mobiles concernés vulnérables à des techniques de piratage, tels que des malware.
SRL annonce avoir testé les micrologiciels de 1 200 smartphones Android, issus de plus d’une douzaine de fabricants. Les tests étaient menés pour découvrir la présence ou l’absence de chaque patch signé Android déployé en 2017.
«Nous constatons qu’il existe un décalage entre les revendications de correctifs et les correctifs installés sur un périphérique, ce qui est faible pour certains périphériques et assez important pour d’autres», explique Karsten Nohl, un chercheur renommé en sécurité et fondateur de SRL.
Des pratiques généralisées
Ont été passés au cribles les propres smartphones Pixel de Google, ainsi que ceux d’autres fabricants tels que HTC, Samsung, Motorola, ZTE et d’autres moins connus.
A titre d’exemple, SRL a constaté que le smartphone d’entrée de gamme J3 signé Samsung était censé être à jour tous les correctifs de sécurité de 2017, alors qu’il manquait en fait 12 de ces correctifs publiés cette année-là. Il n’y a visiblement pas de règle établi puisque ce même fabricant a découvert que le J5 de Samsung était, lui, à jour avec presque tous les correctifs de sécurité de 2017. S’il a manqué quelques correctifs de sécurité de 2017, Samsung n’a pas annoncé qu’ils avaient été installés.
Les investigations ont montré que, exception faite des téléphones phares de Google tels que Pixel et Pixel 2, les même des fabricants de modèles haut de gamme prétendaient parfois avoir installé des correctifs dont ils manquaient réellement.
Ces fabricants ont ainsi délibérément menti et tromper leurs clients sur des questions critiques et sensibles de sécurité.
Le mensonge va parfois jusqu’à modifier la date des anciennes mises à jour (avec des dates plus récentes) pour faire croire aux utilisateurs qu’ils disposent des derniers correctifs de sécurité.
Les correctifs de sécurité sur les appareils tiers sont un problème permanent pour Google et son système d’exploitation Android. Avec sa découverte, SRL jette un pavé dans la marre.
Aujourd’hui, à l’occasion de la conférence de sécurité Hack in the Box qui se tient à Amsterdam, les chercheurs Karsten Nohl et Jakob Lell de la société Security Research Labs ont l’intention de détailler leurs recherches.
(Photo credit: Uncalno via Visualhunt.com / CC BY)
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dexterre-news · 6 years
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Web Design Project for Parc Naturel Loire-Anjou Touraine
Web Design Project for Parc Naturel Loire-Anjou Touraine
abduzeedo Apr 13, 2018
Friday used to be the day of our web design round up. That was quite a long time, before the mobile first revolution took over. I am still a fan of web despite the fact the only design project for the web I work on is this blog I am writing right now. However I really have fun and get inspired when I see great projects like this one I want to share today. It's for the Parc Naturel Loire-Anjou Touraine and it was created and shared by Michael Berger. 
Michael Berger is a freelancer art director and designer from France. His portfolio is filled with great projects like this one. For more information make sure to check out https://www.behance.net/bergermichael
Web Design
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  web design
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dexterre-news · 6 years
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Chaussée des Géants : le mystère des colonnes de basalte enfin résolu ?
La Chaussée des Géants fascine les chercheurs depuis plusieurs décennies maintenant. Elle, ou plutôt les milliers de colonnes hexagonales qui la composent. Pour la première fois, des chercheurs sont parvenus à recréer le processus conduisant à la formation de ces colonnes.
La Chaussée des Géants se trouve sur la côte de l’Irlande du Nord, à environ trois kilomètres au nord de Bushmills, dans le comté d’Antrim.
Elle est connue pour son étrange allure et elle se compose ainsi de plus de quarante mille colonnes hexagonales placées les unes contre les autres, des colonnes donnant l’impression d’avoir été taillée à la main.
La Chaussée des Géants, un site peu commun
La Chaussée des Géants occupe bien entendu une place centrale dans le folklore local. Selon la légende, deux géants ennemis vivaient de chaque côté de la mer, des géants nommés Benandonner et Fionn Mac Cumhaill. Le premier avait élu domicile en Écosse, l’autre en Irlande.
Un beau matin, le géant écossais se serait moqué de son homologue et ce dernier aurait alors commencé à jeter d’immenses pierres dans la mer afin de construire un chemin reliant les deux côtes.
Toutefois, en apercevant son ennemi, le géant irlandais aurait réalisé que ce dernier était bien plus grand que lui et il aurait alors fait machine arrière en demandant à sa femme de le déguiser en bébé. En arrivant à sa maison, le géant écossais aperçut le faux nourrisson et il prit alors peur puisque ce dernier était bien plus grand et bien plus gros qu’un bébé géant habituel.
Affolé à l’idée de se retrouver face à son père, le géant écossais tourna alors les talons pour repartir en Écosse, tout en prenant soin de détruire la route reliant les deux rives.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la Chaussée des Géants n’est pas unique en son genre et des colonnes similaires aux siennes ont ainsi été observées au Devil’s Postpile en Californie.
Des chercheurs ont reproduit l’expérience en laboratoire
Les chercheurs, de leur côté, ont supposé que la formation des colonnes était provoquée par un processus d’érosion résultant de la proximité de la mer, mais l’Université de Liverpool a entrepris de vérifier cette théorie en construisant un appareil capable de recréer toutes les conditions relevées sur les deux sites. Les chercheurs ont donc prélevé des colonnes de basalte en Islande et ils les ont suspendues avec des pinces avant de les exposer à des températures très vives pour les liquéfier.
Une fois l’état liquide atteint, le basalte est passé dans une presse mécanique avant d’être refroidi.
L’idée était effectivement de reproduire les conditions de ces deux sites, des sites issus d’une formation volcanique.
L’expérience a été un succès. Lorsque la température du basalte est passée de 980 °C à 140 °C, les roches se sont fracturées et des motifs géométriques ont commencé à apparaître.
Bien sûr, si l’Université de Liverpool a mené cette expérience, ce n’est pas uniquement pour la beauté du geste. Les chercheurs voulaient également en apprendre un peu plus sur le mécanisme de refroidissement du magma.
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dexterre-news · 6 years
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Colorful Cut Paper Art by Los Angeles-Based Artist Huntz Liu
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Los Angeles-based artist Huntz Liu works with paper to create these beautiful, multi-layered paper collages. By layering colorful paper and creating geometric cut-outs, he’s able to play with literal and perceived depth. You can see his latest work at the George Billis Gallery in Los Angeles from April 7-May 12, 2018.
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dexterre-news · 6 years
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Monnaie locale : se réapproprier l’avenir de son territoire ?
Comment protéger les territoires de la mondialisation en soutenant les produits et l’économie du territoire ? Tel est l’enjeu des villes modernes, confrontées à d’incessantes crises d’ordre économique, financière ou écologique émanant du système actuel. Mises à mal par des stratégies agressives de production et de distribution, assorties de bas salaires, nombreuses localités tentent aujourd’hui de relancer leur territoire en privilégiant les échanges de proximité. Une fonction souvent assurée par des monnaies locales, dont les expériences se multiplient partout dans l’hexagone. Explications et interview autour d’un outil qui permet de contourner les circuits traditionnels tout en s’attachant à sa qualité de vie et son environnement. (article sous creative commons proposé par Olivier et Caroline Roux via les-hiboux.fr)
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En France, beaucoup d’initiatives de monnaie locales ont vu ainsi vu le jour grâce à la création de collectifs de citoyens ou l’engagement des villes et des régions. C’est le cas de la ville de Toulouse, qui organise chaque année un marché solidaire, où il est possible de payer les produits du terroir avec la monnaie locale, le Sol violette.
Entretien avec Bruno de Menna, de l’association Sol Violette à Toulouse
L’une des principales fonction d’une monnaie locale est de relocaliser les échanges économiques sur le territoire. Pourquoi serait-elle plus efficace que l’euro pour le faire ?
Deux éléments permettent de l’expliquer. Tout d’abord, la monnaie locale ne circule que sur un territoire précis, bénéficiant à l’ensemble de ses acteurs. Cela permet de s’assurer que la monnaie va bien rester dans l’économie réelle (c’est à dire des biens et services), sans être captée par le système financier, omniprésent aujourd’hui dans notre économie. Ce sont ainsi les commerces de proximité et les structures de petites tailles, aujourd’hui souvent en difficulté, qui vont en bénéficier.
Le deuxième élément est l’accélération de la vitesse de circulation de la monnaie : la monnaie locale reste dans l’économie réelle du territoire, elle génère des échanges permettant à la monnaie de circuler trois à quatre fois plus rapidement que l’euro.
Une monnaie locale est dite « fondante », c’est à dire qu’elle se déprécie au fil des mois. Pourquoi cela ?
Une monnaie crée de la richesse et des échanges quand elle circule. Quand elle est épargnée ou immobilisée, elle ne remplit plus cette fonction d’intermédiaire des échanges, ce qu’on observe avec l’euro. C’est l’idée de cette monnaie fondante : permettre à la monnaie de retrouver son rôle de base en insistant sur sa vitesse de circulation. Une monnaie locale ne doit pas servir de « réserve de valeur », d’épargne, cette fonction est assurée par l’euro. On parle d’ailleurs tout autant de « monnaie complémentaire » que de monnaie locale. C’est pour cela que le Sol violette se déprécie de 2% tous les trois mois, s’il n’est pas utilisé. Un billet de 1 sol (équivalent à 1 euro) que vous n’échangez pas dans les trois mois ne vaudra alors plus que 0, 98 sol.
Une monnaie locale favorise les échanges de biens et services locaux mais seulement ceux qui répondent à une charte respectueuse de l’homme et de l’environnement. Comment est définie cette charte ? Quelle en sont les grandes lignes concernant le Sol violette ?
Cette charte est essentielle car elle permet d’utiliser le « pouvoir transformateur » de la monnaie. L’idée est de faire vivre des structures qui produisent autrement et modifient leurs pratiques pour avoir des impacts positifs sur l’économie. Cette charte est signée par tous les commerces ou entreprises qui acceptent la monnaie locale. Elle est basée sur cinq axes, qui comprennent chacun cinq questions : l’impact sur l’environnement, la prise en compte des besoins des salariés, l’implication de la structure dans son territoire et la vie de quartier, le respect des valeurs de l’économie sociale et solidaire, et l’éthique économique (circuits courts, réduction des temps de transport, etc). Cela porte à un total de 25 questions posées aux nouveaux entrants sur le réseau : l’adhésion se fera si au moins 9 de ces critères sont remplis.
Je suis habitant de Toulouse et je souhaite faire une partie de mes achats en Sol violette. Comment dois-je procéder ? Que deviennent les euros échangés ?
J’adhère à l’association Sol violette et je peux échanger mes euros auprès des deux banques partenaires (crédit coopératif et crédit municipal) ou bien dans un des comptoirs de change répartis dans la ville. Ces euros serviront à financer des projets sur le territoire dans le domaine de la santé, de l’éducation ou de la culture ou à alimenter le circuit du micro crédit.
Mes achats risquent-ils de me coûter plus cher qu’en réalité si je les effectue en Sol violette ?
La grande différence lorsque l’on achète dans le réseau local est qu’on diminue considérablement les intermédiaires.
Les prix de départs fixés par les producteurs sont certes, plus élevés que ceux consentis à la grande distribution car l’idée est aussi de leur apporter un revenu décent pour faire fonctionner leur activité. Mais cette réduction des intermédiaires permet d’être tout aussi compétitif sur le prix d’achat. En revanche, là où il ne faut pas nier un léger surcoût, ce sont dans certaines biocopes toulousaines qui vendent des produits certifiés bio et doivent répercuter sur leurs prix l’achat du label. Mais l’idée est de montrer aussi que d’autres productions locales peuvent adhérer à une charte respectueuse de l’environnement, sans pour autant bénéficier d’un label, et proposer des produits de qualité moins chers que dans la grande distribution.
Quel bilan tirez-vous aujourd’hui de cette expérience, quatre ans après sa mise en place ? Quels sont vos prochains défis ?
Le projet Sol violette a déjà pu montrer toute sa pertinence dans le climat économique actuel. L’idée n’est pas de courir le plus vite possible mais le plus longtemps. Nos efforts visent à pérenniser cette démarche, et ouvrir d’autres champs de développement. Notamment, nous projetons de développer un support numérique, de faire un travail auprès des universités et des écoles pour toucher les plus jeunes ainsi que des publics précaires (maisons de chômeurs, secours populaire).
Le Sol violette en quelques chiffres :
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NB : 1 EURO est égal à 1 SOL au moment de sa conversion. Ce n’est que 3 mois après celle-ci que le sol commence à perdre 2% (à ce moment là 1 sol = 0,98) mais seulement dans le cas où il n’a pas été échangé. Si on se sert régulièrement de sa monnaie locale (au moins une fois tous les 3 mois), il n’y a donc aucune perte de valeur, 1 sol reste égal à 1 euro. Le but affiché étant de faire circuler plus rapidement les échanges de proximité.
Article partenaire signé Les Hiboux adapté par Mr Mondialisation.
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dexterre-news · 6 years
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This Photographer Uses an iPhone to Shoot Russia’s Grittiest Streets
Photographer Dmitry Markov grew up Pushkino, a hardscrabble industrial town north of Moscow where, for Markov and many of his childhood friends, sniffing glue and spending days outside avoiding their alcoholic dads seemed relatively normal.
Somehow though, the 35-year-old plotted a course — through blogging, activism, and photography — that eventually won him grants and commissions from Russia’s most prestigious publications (even if some tried to avoid paying him). But Markov’s story is not a simple case of a talented kid making good against the odds.
Photographer Dmitry Markov
Photographer Dmitry Markov
Although he’s been hired for glitzy PR events and flown abroad to showcase his work, Markov keeps his work and his life firmly grounded on Russia’s grittiest streets. He has amassed an Instagram following of more than 200,000 people.
Summer in Pskov. From 2005-2012, Markov volunteered at an orphanage in the city, which is close to the border with Estonia. After his camera was stolen from his room in the orphanage, he switched to an iPhone for his photography, reasoning that the image quality of a big, heavy camera was less important than the freedom of a cell phone. “Quality? Screw it, I’d sketch things with a pencil if I could draw,” he wrote in a blog post.
Misha, one of the orphans whom Dmitry looked after during his volunteering years, sobering up in a banya after a fist-fight.
Markov said helping to raise orphan children is like keeping a Tamagotchi, the handheld digital pets which were popular in the 1990s. “You get this little monster that you feed and feed and feed, and the f***er grows and grows and grows, and it feels like everything in life is not in vain, not in vain, not in vain.”
A young orphan gets a buzz cut before leaving an orphanage. In a blog post recalling his volunteering days, Markov says there were a few perks to the job. “We used to pass [donated things] on to the kids. I was the primary filter for the clothes that came from Moscow and I would take all the trendy stuff for myself. In principle, I didn’t see anything awkward about that. The only awkward moment was when I put on a shirt to meet a girl [and it turned out] she was the one who’d donated it.”
A Putin-esque drinker pours for a friend in Pskov. Markov’s sometimes bleak depiction of Russia’s provincial towns has earned him some criticism online.
In an interview with RFE/RL’s Siberia Desk, Markov explained the choice of heroes for his photographs with a story that reads like something straight out of Chekhov:
My grandmother died recently, she worked as a seamstress in a factory. Under the bed she was lying in the weeks before her death, she kept a sack of potatoes — she sewed these same sacks every day for decades. My grandma lived like this. You could call this ‘doom,’ too right? I doubt young people dream of working all their lives in a factory and dying on a mattress above a bag of potatoes.
At the same time, when I see these scenes — these [saleswomen on a cigarette break pictured above], or this bag of potatoes, I want to see the meaning and beauty in it. This is people’s life, it passes by like this. And it’s not two or three people, most people live like that. I want to capture them. Look at any magazine rack: stars and celebrities. I want to capture the simple person, to show the beauty of ordinary life.
Girls in the summertime in Krasnodar.
Paratroopers Day in Pskov.
An apartment scene in Pskov. Markov says that around half the people he photographs are personal acquaintances.
“In a sense these drunks are more frank in intelligent discussions than those whose problems are safely hidden under a thick layer of social norms and morality.”
A young man in Pskov tattooed with the words, “God forgive me for my mother’s tears.”
Markov’s work with orphans has led to uplifting stories, like Misha, pictured dozing in a train, who now works as a cook in a ski resort. But Markov has also had crushing disappointments.
Sometimes it feels like it would be easier to look after kids with cancer. At least then there’s a clear scope for your involvement. Everything worked out, the kid was cured, fine, it’s done.
A volunteer in a cancer ward has no obligation to think about who this kid will become in a decade. He wasn’t cured, he died — well you cry, accept it, and move on. The kid won’t be hanging out on the street corner with a packet of glue…or texting you from prison, plunging you into gloomy thoughts and guilty feelings.
Tattoos and scraped knuckles in Pushkino, Markov’s hometown.
A winter bonfire on a hill above Chita in Siberia. Markov now travels widely throughout Russia but has chosen to settle in Pskov, a town he says he loves, despite the occasional sadness of life in provincial Russia.
In a blog post about lying awake at night, Markov wrote that under his window, “a man [not pictured here] was trying to stop his wife leaving the house, apparently to go and party. ‘F**k Shalava, you’re leaving a child alone! B****, I’ll kill you!’ The car left and he kept yelling for 15 minutes into the void. Yearning and despair.”
Markov says he now has enough money to put down a deposit for an apartment “that would give me some stability and social approval. But on the other hand, it’s much more fun to squander [money] on travel.”
After the experiences Markov has had, he has developed a simple philosophy for life: “The presence of hands, feet, and a head is all you need for happiness.”
Of his plans for the future, Markov just says: “Nothing in particular. I’ll just keep shooting photos.”
About the author: Amos Chapple is a Kiwi photographer who makes news-flavored travel photos. He started off at New Zealand’s largest daily paper in 2003. After two years chasing news, he took a full-time position shooting UNESCO World Heritage sites. In 2012, he went freelance but kept up the travel. Since then, he has been published in most major news titles around the world. You can find more of his work on his website, Facebook, and Instagram. This article was also published Radio Free Europe/Radio Liberty.
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dexterre-news · 6 years
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Lamborghini Terzo Millennio
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dexterre-news · 6 years
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Caterpillar House, ranch contemporain en Californie par Feldman Architecture
On ne se lasse pas de vous présenter les réalisations luxueuses de Feldman Architecture. Chaque projet marie architecture contemporaine et nature sauvage de Californie. La Caterpillar House en est une nouvelle fois la preuve.
Située sur les douces collines de la réserve de Santa Lucia, la conception visait à accentuer le lien avec la terre. Ayant vécu dans une maison de Cliff May, le client souhaitait que la maison ressemble à un ranch moderne et qu’elle soit respectueuse de l’environnement et du site magnifique. L’habitation met en œuvre des éléments durables tout en explorant une version contemporaine des idéaux du ranch: des volumes bas et horizontaux, un plan ouvert avec une forte connexion entre les espaces intérieurs et extérieurs et des espaces de vie centraux.
Reliant la maison littéralement et figurativement au site, la terre excavée a été réutilisée pour la construction des murs. Ces murs de terre battue s’incurvent doucement en réponse aux contours du site et agissent également comme une masse thermique, régulant les températures du jour à de la nuit. Trois réservoirs à proximité de la maison récupèrent et stockent l’eau de pluie et fournissent tous les besoins d’irrigation de la propriété. De grandes portes vitrées orientées au sud ouvrent le salon principal à un grand porche contemporain couvert et à un patio extérieur avec des parasols. Le vitrage, la ventilation naturelle et l’ombrage agissent également comme un système de chauffage et de refroidissement passif. Les panneaux photovoltaïques intégrés permettent à la maison de produire ses propres besoins énergétiques sans compromettre la courbe gracieuse du toit.
En savoir plus sur Feldman Architecture Photos: Joe Fletcher Photography
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dexterre-news · 7 years
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Microsoft's modern IntelliMouse launches for under $40
Word got out earlier this month that Microsoft was working on a modern version of a fan-favorite, the Microsoft IntelliMouse. Details were limited at the time but now that it has officially launched on the Microsoft Store, we’ve got the skinny on the new pointer.
Inspired by the IntelliMouse 3.0, the Microsoft Classic IntelliMouse packs many of the features that fans loved about the original including customizable buttons, a wired USB connection and a classic ergonomic look and feel.
According to the device’s tech specs, it features a fixed imaging rate of 3,000 frames per second, an X-Y resolution of up to 3,200 points per inch and a tracking speed of up to 40 inches per second with a polling rate of up to 1,000.
That pales in comparison to a modern, high-end gaming mouse like the Razer Basilisk but that’s not really Microsoft’s intent or target audience with this pointer (it’s also much more affordable, but we’ll get to that in a moment).
The rodent also utilizes Microsoft BlueTrack Technology for improved tracking (it can track on glass, for example, much like Logitech’s Darkfield system). The five-button mouse (two standard click buttons, two side buttons and a clickable / tilting scroll wheel) is officially compatible with Windows 7 and newer MS operating systems.
Microsoft's Classic IntelliMouse is available as of writing and can be yours for $39.99 (or $35.99 with a student discount). If you’re looking for a blast from the past with a bit of modern flare at an affordable price, this could be worth a look.
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dexterre-news · 7 years
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The 3 Best Free OCR Tools to Convert Your Files Back Into Editable Documents
Believe it or not, some people still print documents on physical pieces of paper. Optical Character Recognition (OCR) software takes those printed documents and converts them right back into machine-readable text. We’ve found some of the best free OCR tools Free vs. Paid OCR Software: Microsoft OneNote and Nuance OmniPage Compared Free vs. Paid OCR Software: Microsoft OneNote and Nuance OmniPage Compared OCR scanner software lets you convert text in images or PDFs into editable text documents. Is a free OCR tool like OneNote good enough? Let's find out! Read More and compared them for you here.
No OCR program is perfect, so you’ll have to check the results and fix a few problems. Still, it’s a lot faster than typing the entire document back into the computer. Each of these free OCR software tools has its own strengths. All of them will get the job done.
The Methodology
To compare these tools, I took a screenshot of MakeUseOf’s Privacy page and saved it as a JPG file.
Then, I used that JPG to test out the following OCR services.
However, you could also scan a printed document if that’s what you want to edit.
If you go that route, it’ll work best if the page features common fonts, such as Times New Roman or Arial. Also, make sure the image is right side up before scanning it. Aim for scanned material with a file size of less than 2 MB, too.
Now, let’s dig in!
Google Drive & Google Docs
Google Drive has integrated OCR support. It depends on the same OCR engine that Google uses to scan books and understand text in PDF files.
To get started, save the picture you want to send through the OCR to your computer.
Next, open the Google Drive website and upload your file into the application.
Pro tip: If you’re a Gmail user, you can also attach the scanned document to an email. The attachment features a button that lets you transfer the file to Google Drive without leaving your inbox.
After putting the file in Google Drive, locate it and right click. Then select Open With and choose Google Docs.
Your scanned image then appears as a new, editable text document in Google Docs! Google will keep your original image at the top of the document, and automatically create editable text using OCR below it.
The combination of Google Drive and Google Docs did a pretty good job here. It struggled to understand the web addresses, but that was the case with all the tested tools.
Many free online OCR tools 4 Free Online OCR Tools Put to the Ultimate Test 4 Free Online OCR Tools Put to the Ultimate Test With advances in OCR technology, converting text and Images from your scanned PDF document into the editable text formats is easier. We tested a few free online OCR tools so you won't have to. Read More , like Free OCR Convert Images To Text Online With Free OCR Convert Images To Text Online With Free OCR Read More , limit your uploads. Google Docs is advantageous because it doesn’t have page upload limits.
Microsoft Document Imaging
Microsoft also offers support for OCR, but only for Windows users. Do you use a version of Microsoft Word from 2010 or older? It already has Microsoft Document Imaging.
Otherwise, you need to install SharePoint Designer 2007.
Okay, now before we get too far into this, it’s important to note that you’ll need to have Microsoft Word in order for this OCR method to truly work.
Microsoft Word is not a free program, I know. However, because this OCR method is SO effective, and because access to Word is so easy (go to any library or college campus) I’m making the executive decision to include this in our free OCR tools list anyway.
Moving on…
Install SharePoint by going to this URL. When you click Download, you’ll be presented with some options. Click the SharepointDesigner.exe field and hit Download.
After accepting the software license, choose the Customize option.
Look for the Installation Options tab in the top left of the box on your screen (this should be the default tab the program takes you to). Notice the drop-down menus to the left of many of the options.
Find the drop-down menus for Microsoft Office SharePoint Designer, Microsoft Office Shared Features, and Office Tools. Select the Not Available option for all of them. It includes a red X, making it easy to spot.
Expand the section for Office Tools, then locate the Microsoft Office Document Imaging option. Pick the Run All From My Computer option. Be careful not to select the similarly worded Run From My Computer entry on the drop-down instead.
Finally, click the Install Now button. It’s in the bottom right of the dialog box you’ve worked with throughout this installation. (Note: This installation may take a few minutes.)
You’re now ready to use the MODI feature!
The next step is to scan your document or save your image from the web. Then, convert it to a TIFF file.
Microsoft Paint is one example of a free TIFF conversion option. Just open your file in Paint and click Save As. Select Other formats.
Select the TIFF format from the drop-down menu and save the image.
Then, launch MODI on your computer.
Just search your computer for Microsoft Office Document Imaging and open the program.
After that, click File, then Open and find your image document.
Then, click the OCR button on the menu bar.
Once the program finishes the OCR, click the Tools menu and select Send Text to Word.
The program will automatically open a new Word document and paste your OCR text into it.
The result gives you editable text within a program you know well.
Having to download the supplementary software first might feel a bit intimidating. However, the process itself isn’t hard and Microsoft does a better job than Google Drive at recognizing text. For instance, this program had no problem picking up on the website URL for MakeUseOf.com, and it didn’t smush any words together.
One major downside, though is that MODI is not available for Mac computers. If you have a Mac, check out these alternatives.
Download: MDI to TIFF File Converter and SharePoint Designer 2007 (Free for Windows)
Maybe you’re only getting started with OCR tools and want an extremely straightforward, non-platform-specific option. A website called OnlineOCR.net meets those needs.
It supports over 40 languages, which is good news if your document contains one other than English.
Look for the blue Select File button on the left side of your screen. Because you can upload files as large as 15 MB, this service works well for graphic-heavy materials.
After that, use the drop-down list and select your desired output language. Look to the right of that menu and notice there are three choices of file formats. You can select Microsoft Word (which is the route I took), Microsoft Excel, or Plain Text.
The Excel option may be useful when working with a scanned price sheet that includes graphics. It’s also potentially helpful with any other source material that with numbers. OnlineOCR supports documents with tables and columns as well.
After tweaking the options, click the Convert button. Then, download the output file the tool spits out and, voila! Editable text at your fingertips.
This free tool didn’t work as well as the other two here, but since you can use OnlineOCR without registering it’s super convenient and easy. Plus, it did do a half-decent job recognizing the text from my image. It’s a smart choice if you want to try a tool without making commitments or providing information.
Also, this free option allows for converting up to 15 documents per hour. That benefit makes it appropriate for medium-volume OCR tasks.
The Verdict
Each of these programs has its strengths.
Google Docs can OCR documents without downloading anything to your computer, but you do have to sign up for a free account.
Microsoft Office Document Imaging is easy enough to use and extremely accurate, but it takes a little bit to install the necessary software.
OnlineOCR.net is a simple-to-use browser-based tool that doesn’t require registration and supports multiple languages.
With any tool, once you’re done with the OCR process How to Extract Text From Images (OCR) How to Extract Text From Images (OCR) The best way to extract text from an image is to use optical character recognition (OCR). We show you seven free OCR tools for the job. Read More , you may want to spell-check your document 8 Ways To Spell & Grammar Check In Microsoft Word Using Different Dictionaries & Languages 8 Ways To Spell & Grammar Check In Microsoft Word Using Different Dictionaries & Languages Microsoft Word's built-in spelling and grammar checking tools can be customized to meet your needs. You can even use AutoCorrect to speed up your typing. Read More . That’s especially true if you’re just starting out with a tool and don’t know if it’s accurate.
And, depending on your use, you may not even have to OCR documents at all. You can convert a paper book to an ebook How To Convert Scanned Pages Into eReader eBook Format How To Convert Scanned Pages Into eReader eBook Format Read More  without OCRing it, for example.
Which OCR software works best for you? Do you have a different favorite OCR program that we didn’t mention here? Leave a comment and let us know.
Did you know that you could also turn handwriting into text using OCR How to Convert an Image With Handwriting to Text Using OCR How to Convert an Image With Handwriting to Text Using OCR To convert an image of handwritten text into digital text that you can edit and search, you need an OCR (optical character recognition) tool. Try one of these OCR tools to digitize handwriting. Read More ?
Originally written by Chris Hoffman in March 2012.
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dexterre-news · 7 years
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A Super Space Saving Solution for Small Apartments
While many people might dream of making their home in an expansive mansion or countryside estate, that’s simply not the reality for most people, particularly those that choose to live in cities. Urban life comes with many advantages — cultural, culinary, creative — but it often does not come with a lot of space. Instead of succumbing to a lifestyle that is cramped and uncomfortable, Ori Systems has come up with a much better idea. With their creative bed console, a small space can be simultaneously a bedroom, living room, work area, and closet.
vimeo
With just a push of a button, the bed slides away, leaving room for other activities. The result is an apartment that is more functional and beautiful than any combination of furnishings could be.
When fully extended, a full or queen bed leaves plenty of space for sleeping.
To entertain, the bed can slide closed, opening up space on the other side of the room.
Surrounding the bed is tons of shelving, including a full entertainment unit and even hooks for coats and bags.
It’s important that a comfortable home have plenty of floor space and this solution allows for that, even in a studio.
Even without putting the bed away, the unit makes a cozy area to relax on the opposite side.
The modern look of the unit can fit with many different design styles.
Working from home can be tricky in a studio space, but this solution helps.
Shelving, and storage are critical in keeping a small space organized.
Plenty of drawers are perfect for keeping those everyday tchotchkes out of view.
While the factory design is simple, owners can always further decorate the piece for more color, new hardware, and interesting details.
Of course, it never hurts to bring in a bit of color from nature.
The tiny button feature here is all you need to move, shift, and rearrange the unit for its various configurations.
Check out this great video that shows how it all works:
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