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“Listen. Slide the weight from your shoulders and move forward. You are afraid you might forget, but you never will. You will forgive and remember.”
— Barbara Kingsolver, The Poisonwood Bible
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Andreas Johnson - Glorious (1999).
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Ai Wei Wei - Fountain of Light.
Utopie. Fragilité. Décadence.
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Perhaps if I make myself write I shall find out what is wrong with me.
Dodie Smith, I Capture the Castle (via wordsnquotes)
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The End Of The F***ing World. Tellement juste.
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13 Reasons Why - Saison 2
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Un an après la sortie de la première saison, basée sur le roman de Jay Asher, la série est de retour pour treize épisodes inédits et cette nouvelle a d’emblée suscité en moi autant d’enthousiasme que de doutes.
A mes yeux, l’intrigue principale était bouclée et je voyais mal comment les scénaristes allaient parvenir à offrir de nouveaux développements au personnage d’Hannah. Toutefois, un show qui soulève des problématiques aussi actuelles et sensibles mérite amplement sa place dans le champ audiovisuel, d’autant qu’il reste encore de nombreux tabous à briser sur l’adolescence. C’est ce qui m’a incitée à donner sa chance à cette nouvelle saison.
Et j’en ressors comme j’y suis entrée. Partagée. 
La suite n’est plus qu’à un clic. Elle est garantie à 98% sans spoilers.
A mon grand désarroi, certaines de mes appréhensions se sont confirmées. Ainsi, le traitement réservé à Hannah s’est révélé, selon moi, décevant. Katherine Langford apparaît à l’écran grâce à deux moyens distincts: les flash back et les visions de Clay. La formule, bien que prévisible, aurait pu tenir la route à deux conditions.
Il aurait fallu que les retours en arrière soient plausibles et, à cette fin, l’idéal aurait sans doute été de se cantonner à des instantanés s’appuyant sur la trame connue ou d’exposer la vie de l’adolescente au sein de sa précédente école. Les derniers épisodes nous apprennent, justement, qu’elle y occupait une place toute différente de celle qui était la sienne à Liberty High. Toutefois, les scénaristes ont choisi de nouer des liens insoupçonnés entre Hannah et des personnages avec lesquels elle semblait pourtant n’avoir aucune affinité lors de la première saison. La temporalité de ces nouveaux éléments m’a également laissée songeuse. J’ai donc jugé ces intrigues forcées et globalement invraisemblables.
L’autre condition concerne les hallucinations dont souffre Clay, procédé éculé mais qui fonctionne s’il permet au personnage de dialoguer avec lui-même. Dans le cas qui nous occupe, les échanges avec Hannah m’ont paru largement dépasser le cadre de l’introspection et apporter de véritables éléments de réponse à Clay, ce qui n’est envisageable que dans un registre fantastique. Or la série ne bascule de toute évidence jamais dans cette veine.
J’ouvre une brève parenthèse: 13 Reasons why couvre de nombreux sujets, mais celui de la santé mentale me paraît néanmoins central. Souffrir d’hallucinations n’est pas anodin, cela relève de la psychose et il est dommage que les scénaristes aient traité les visions comme un ressort dramatique, plutôt que comme une véritable question de fond.
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A contrario, j’ai trouvé que la série offrait un regard honnête sur les violences sexuelles. Le poids du patriarcat et la culture du viol auraient d’ailleurs mérité d’être un fil rouge plus appuyé tout au long de cette saison. Bien que Jessica incarne le visage de cette thématique, une scène très forte de l’épisode 13 rappelle le nombre inquiétant de femmes qui seront victimes d’un prédateur sexuel au cours de leur vie.
Si j’ai aimé la nuance avec laquelle le personnage de Jessica évolue dans cette saison, celui que je persiste à trouver le plus intéressant est Alex. Outre sa relation avec Zach (qui fait, à juste titre selon moi, couler beaucoup d’encre), c’est avant tout celle qu’il tente de renouer avec lui-même que j’ai trouvée émouvante. Sa vulnérabilité et sa guérison sont brillamment retranscrites par un Miles Heizer d’une justesse exceptionnelle.
C’est indéniablement le traitement des protagonistes, principaux comme secondaires, qui demeure à mes yeux le point fort du show.  Les personnages de Tony et de Justin connaissent, eux aussi, un développement intéressant, qui les rend plus attachants d’épisode en épisode. Et, alors que Clay a toujours été dépeint comme imparfait, cette fois c’est Hannah qui tombe quelque peu de son piédestal. Bien que malhabiles, les flash back ont au moins le mérite de nous dévoiler l’héroïne indépendamment du regard idéalisé de Clay et de rappeler qu’un adolescent n’a pas besoin d’être irréprochable pour être une victime, des autres et de la société.
L’épisode final, dans sa première moitié du moins, est indubitablement celui qui m’a réconciliée avec la série. En plus de son écriture sublime, il offre de véritables moments de grâce qui m’ont bouleversée. L’interprétation de Dylan Minnette est, dans cet épisode comme au fil de la saison, d’une authenticité épatante.
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La seconde partie de ce treizième épisode se centre sur Tyler et je ne peux pas écrire cet article sans aborder la scène qui le concerne et dont la toile ne cesse d’évoquer la violence extrême. Les faits dont il est la victime sont abjects et anéantissent les efforts de réhabilitation du jeune homme, dont la colère exponentielle sous-tend cette seconde saison. J’aurais aimé que l’action, quoique punitive, du lycée porte durablement ses fruits. Cela aurait été l’occasion de démontrer qu'une vigilance accrue et qu’une intervention pertinente sont en mesure d’éviter le pire.
J’espère que la saison 3 approfondira cette question, ainsi que celle de la régulation des armes à feu, dont l’actualité n’est malheureusement pas à démontrer.
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Demain, je vous ferai part de mon ressenti à l’issue de la saison 2 de 13 Reasons Why. 
En attendant, la beauté de cette scène parle d’elle-même.
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Trac(e)
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Blogueuse de la première heure et griffonneuse intempestive, voilà que je me retrouve face à une inexplicable angoisse de la page blanche au moment d’inaugurer ce nouvel espace d’expression. 
Le trac, peut-être.
Et pourtant, cela fait des mois que le projet de reprendre la plume m’occupe l’esprit. Une envie de noter mes pensées. De partager mes opinions. D’immortaliser mes souvenirs. 
De laisser une trace, peut-être.  
Pas de forme imposée. Pas de sujet défini. Juste un carnet immatériel, que je vous confie. 
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