Tumgik
madkingsposts · 4 years
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11/05/2020
Ce matin, il se réveille confus. Il embrasse sa copine dans le dos afin de la sortir de son sommeil. Il quitte la chambre, et va se poser dans la cuisine afin de préparer le petit déjeuner. Il passe par la salle de bain, se lave le visage, se coiffe et prend la direction de la chambre pour mettre son costume. 8h, il embrasse de nouveau sa copine avant d’aller au travail. Dans les transports, il ne peut s’empêcher de regarder par la fenêtre, en repensant à ce qu’il se passe depuis quelques nuits. Ces soirs où il s’échappe et retrouve une autre personne. Mais la nuit dernière, fut celle de trop. Au travail il ne pouvait se concentrer sur autre chose que ce qu’il s’était passé. Cela le consumé de l’intérieur. 
À la pause déjeuner, il sorti du building ou il se trouver dans la Défense, s’assit sur un des bancs. La tête vers le sol, il ne put retenir ses larmes. Il aimait tellement sa copine, il ne savait pas comment cela avait pu arriver. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Si elle avait été dans la même situation que lui, il aurait eu le coeur brisé. Comment ces choses si communes pouvaient lui retourner la tête, le faire sentir coupable, le faire douter de ce qu’il ressent pour celle qui dort à quelques centimètres de lui. Il ne savait plus quoi faire quand il la regardait, quand elle se blottissait contre lui. Que devait il faire ? Lui en parler ou faire comme si de rien était, comme c’était elle qui était dans ses rêves. 
La nuit dernière, comme les précédentes, il avait été accompagné par une femme qu’il ne connaissait que trop bien. Il avait pu sentir leur deux corps comme au bon vieux temps. Plus les songes passaient, plus la tentions dans cette réalité parallèle augmentait. Ces rêves semblaient trop réels pour n’être que songes. Il résista à la tentation de prendre son téléphone, descendre à la fin de son répertoire, cliquer sur le nom de la personne en question, et lui envoyer un texto. Car il savait qu’il regretterait cet acte. Alors, il envoya un message à sa copine, le plus simple des mensonges, mais aussi le plus beau
“Vivement ce soir, tu me manques, Je t’aime.”
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madkingsposts · 4 years
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06/05/2020
Les mots de Monsieur Douglas furent les suivants : “Tu sais petit, la vie est parfois injuste. J’ai perdu ma femme alors qu’elle accouchait de notre second enfant. Elle ne les a jamais vu grandir, se marier ni pu voir ses petits fils et filles. Je ne te dit pas que ce sera facile de vivre sans eux. Tu n’accepteras peut être jamais leur mort, mais pour ton bien tu vas devoir avancer sans eux”. Louis plongea dans les bras de son voisin, les yeux pleins de larmes. M.Douglas reprit la parole une dernier fois, “Louis, je ne peux te garder ici, tout le monde te connait dans le bâtiment, s’ils te voient j’aurai des ennuis et la police et les services sociaux viendront te chercher. Je ne te veux que du bien, alors je vais t’emmener dans un endroit sûr. La-bas tu auras une bonne éducation et surtout, ils t’aideront à te remettre de ce drame. Nous partirons cette nuit. Je t’ai laissé un sac à dos pour que tu y mettes tes affaires dedans.” Louis finit son assiette et prit la direction de la chambre, où il n’en sortit que pour le départ. Avant de quitter l’appartement, Monsieur Douglas reprit la parole une dernière fois, “Je ne t’abandonne pas Louis, je ne peux juste pas te garder, si j’avais pu je t’aurai élevé comme mon propre fils, mais c’est impossible dans ce contexte.” “Je sais” dit Louis, “je comprends et je ne vous en veux pas. Je voudrais vous demander une seule chose avant que vous m’emmeniez, pourriez vous me donner quelques livres ? Mes parents m’ont toujours dit que je trouverai tout le savoir à l’intérieur.” Le voisin sourit et lui tendit 3 livres, que le garçon mit dans son sac. Ils quittèrent le bâtiment, celui qui avait vu grandir Louis. Assit dans la voiture, il regarda chaque rue de cette ville qu’il aimait tant, celle dans laquelle il rêvait de s’épanouir et de réussir. Chacune de ses rues avaient un souvenir de sa vie. Fatigué, il posa sa tête contre la vitre, et le sommeil l’emporta. 
Après 2h de trajet, M.Douglas et Louis arrivèrent devant un portail noir, immense qui avait l’air de mesurer trois mètres. Le conducteur de la voiture fit des appels de phares, et quelques secondes après, les deux portes s’ouvrirent pour laisser passer le véhicule. Au bout d’une longue allée en terre, dont les creux avaient remués les deux passagers, une personne se trouva au bout, habillé de noir. M.Douglas sortit, serra la main de l’homme qui se tenait droit comme un “i”. Les deux Monsieur échangèrent quelques mots, et M. Douglas revint vers la voiture et demanda à Louis de prendre son sac et de les rejoindre. L’homme vêtu de noir prit la parole en regardant Louis dans les yeux, “Bonjour Louis, je suis le professeur Gerald enseignant d’Histoire Géographie au sein de l’institut Didier Faure. Dans cet endroit qui doit te paraitre lugubre, nous aidons les jeunes en difficulté dans la vie. Tu rencontreras des personnes qui sont en situation de handicap, des enfants qui sont malades et des jeunes qui on eu des soucis avec la justice. Je ne te promets pas que ce sera un endroit parfait, mais une place dans un établissement où les professeurs feront de leur mieux pour t’aider à t’accomplir.”. En entendant ces mots, Louis sentit la peur monter en lui, cette peur qui l’avait figé lorsqu’il avait vu les corps de son père et de son frère. “Tout ira bien ici Louis, je te le promet. C’est ici que j’ai grandi.” dit M.Douglas. Le garçon le regarda dans les yeux et s’approcha lentement de son voisin, et l’enlaça une dernière fois. Les deux échangèrent quelques mots dans l’oreille. Louis suivi le professeur Gerald, et sans se retourner, Louis passa la porte de son destin. 
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madkingsposts · 4 years
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04/05/2020
Les cris du jeune garçons avaient rameuter un des voisins. Monsieur Douglas, seul résident du petit 20 m2 du premier étage, s’était précipité quelques étages plus haut pour connaitre la raison de ces cris. Et il ne fut pas déçu par ce qu’il venait de découvrir. Sa première action fut d’attraper Louis afin de le nettoyer et ne pas le laisser baigner dans le sang de sa mère. Après cela, il demanda à Louis de ne pas bouger de la salle de bain. Monsieur Douglas s’occupa d’appeler la police, et quand les agents lui demandèrent où pouvait être le petit dernier de la famille, il feint n’en avoir aucune idée. Il savait que la police ne pourrait enquêter le meurtre de cette famille, il y avait trop de cas similaire et de débordement dehors pour cela. Dès que la police fut partie, il attrapa un maximum de vêtement appartenant à Louis et les ramena chez lui. 
Louis était encore assis sur la même chaise où  le propriétaire de l’appartement lui avait dit de rester. Sous le choc, il était comme médusé, ne répondant à aucune des questions de M.Douglas comme s’il ne les entendait pas. Le voisin porta le jeune homme sur son lit pour qu’il puisse dormir. Le lendemain, vers 15h, Louis ouvrit la porte qui menait sur la salle à manger où il trouva un repas chaud. Monsieur Douglas avait préparer de quoi remplir l’estomac du garçon. L’homme d’une soixantaine d’années invita Louis à venir manger, prendre des forces. Louis s’approcha timidement, prit la fourchette de sa main droite et commença à déguster le plat concocté par M.Douglas. Après quelques bouchés, Louis regarda son voisin, et lui demanda cette simple question qui le fit tomber en sanglots : “Pourquoi ? Pourquoi eux et pas moi ?”.
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madkingsposts · 4 years
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01/05/2020
L’horreur régnait dans les yeux du monde. Le pays le plus puissant économiquement venait d’être détruit par les charges atomiques déposé sur le sol via les bombes américaines. La Terre avait tremblé, les pays voisins de la Chine étaient eux aussi infectés par les effets secondaires des décharges envoyées par le pays de l’Oncle Sam. 
La nuit qui suivi ce génocide chinois, les rues de Paris grouillaient de casseurs et de personnes cherchant tant bien que mal de la nourriture dans une ville lumière éteinte. Louis qui pouvait entendre le bruit du chaos parisien par sa fenêtre et sa curiosité fut plus forte que sa raison. Il se leva discrètement de son lit, agrippa son manteau et grimpa sans bruit jusqu’à la trappe qui le mènerait à l’endroit qui lui permettrait d’observer son monde. Les gens avaient l’air si petits vu d’en bas, Louis voyait ces individus entrer dans les bâtiments pour voler la nourriture dans les appartements des habitants confinés et effrayés par leurs agresseurs. Il était témoin des bagarre pour de simples paquets de pâtes, de l’or entouré de plastique pour les plus démunis, laissés pour compte en cette sombre période. 
Plus les heures passaient, plus les rues se vidaient. À 5 heures du matin, Louis fit chemin inverse afin de reprendre sa place dans son lit et dormir paisiblement. Il leva la trappe qui le ferait arriver dans la buanderie. En arrivant dans le couloir, la lumière illuminait l’appartement, les frissons parcoururent sa peau, il s’était fait prendre en train de désobéir. Il essaya tant bien que mal d’accéder à sa chambre, il sentait déjà la gifle de son père se fracasser sur sa joue.  En atteignant le salon, la gifle dont il avait si peur ne fut pas celle qui avait imaginé. Louis tomba sur son père et son frère, allongés au sol, dans une mare de sang. La panique frappa son esprit lorsqu’il comprit qu’ils étaient morts. Le jeune homme leva les yeux et remarqua avec stupeur que son appartement était sans dessus dessous. Sans réfléchir, il couru dans la chambre de ses parents voir si sa mère était encore la. Mais seule son enveloppe charnelle était présente. Louis mis ses genoux sur le sol et commença pleurer. Il m’avait plus de force alors il se pencha sur sa mère pour la supplier de revenir, mais la réalité été toute autre, il était désormais seul dans un monde en mutation. Sa vie avait changé pour toujours.
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madkingsposts · 4 years
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30/04/2020
Sur la cote Ouest des USA, il était possible de voir les portes avions s’amasser dans les différents ports et les avions se multiplier dans les aéroports. Du coté chinois, les militaires paradaient dans les rues pour montrer au monde qu’ils étaient prêts et très nombreux. Au contraire des américains, la Chine ne préparait pas de porte avions ou de matériel aérien, ce qui interrogeait les “spécialistes” qui défilés les uns après les autres sur les chaines de télévision. 
Il était 10h, et Louis était encore juché sur son toit afin de contempler le ciel assombri par les nuages. Pour lui c’est certain il allait pleuvoir cette nuit, ce qui le réjouissait car il adorait entendre le bruit de la pluie se fracassé sur ses volets. Mais après quelques minutes, le sol se mit à trembler légèrement et il aperçu à travers les nuages un faisceau lumineux qui fendait les nuages en deux accompagné d’un bruit sourd. Quelques secondes après avoir été ébloui par ce phénomène, il entendit son frère lui ordonner de renter immédiatement dans l’appartement. Le monde avait commencé sa mutation et il en avait été le premier témoin. C’est en voyant son père et de sa mère ébahis et inquiets, qu’il comprit ce qui venait de se passer devant ses yeux. La première tête nucléaire française venait d’être lancée en direction de la Chine. 
“BREAKING NEWS : La France vient d’attaquer la Chine avec le lancement d’une bombe atomique”
Malheureusement pour la France, cette attaque n’avait pas atteint sa cible et maintenant la question que tout le monde se posait été, quelle sera la réponse des chinois ? Et bien la réponse venu quelques heures après de Russie. Le pays fermé aux médias, où tout ce qui s’y passait été devenu secret, répondit pour son homologue et cette fois, la Picardie fut touché, anéanti en quelques secondes. Les USA et la Chine avaient commencé leur guerre en utilisant leur alliés. 
N’ayant que faire des recommandations du gouvernement ou de ses parents, Louis se faufila sur le toit pour observer si le monde dans les rues était toujours présent. À sa plus grande surprise, il n’y avait personne, pour la première fois de sa vie, il ne vu aucune forme de vie. 18 heures, ce que Louis ne savait pas à ce moment là, c’est que les USA venaient d’envoyait leur première attaque envers la capitale chinoise. Et cette attaque serait la seule et l’unique, car la folie américaine venait de détruire le pays du soleil levant. 
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madkingsposts · 4 years
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29/04/2020
À 20h heure française, le monde entier se tenait de la même manière que dans le salon de Louis, tous assis sur leur canapé devant la télévision retransmettant le discours du Président américain. Cette allocution d’une seule phrase fit basculer le monde dans le chaos. “China wants the war, she will have it”. 
Dans le quart d’heure qui suivi, le président français annonça son soutien aux États Unis et que son armée aiderait celle des USA à combattre les chinois et leur soutiens. De plus, il ajouta que “le confinement total du pays durerait jusqu’à nouvel ordre.” 
La nuit qui suivi cette annonce, de nombreuses personnes pillèrent les magasins et les banques. La ville lumière de brillerait désormais par sa violence et son désordre. Des le lendemain midi, les gendarmes et la police furent réquisitionnés pour effectuer des patrouilles afin que l’ordre reprenne le dessus, mais le vol et la casse devinrent le moyen pour la population pauvre de se nourrir. Paris devenait à vue d’oeil une ville noire, et Louis le voyait depuis son toit.
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madkingsposts · 4 years
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28/04/2020
Depuis désormais plusieurs jours, les USA et la Chine, étaient entrés en guerre. L’annexion de la Corée du Sud par la Chine fit basculer le sort du monde. Le Président américain, avait averti la Chine, qu’ils disposent de 5 jours pour évacuer le territoire Sud Coréen, ou la guerre deviendra réelle.” 
Il restait 24h aux chinois pour évacuer la Corée du Sud, mais au vue des dernières nouvelles, ils ne désiraient pas bouger d’un pied et attendaient la guerre. Toute la population mondiale se demandaient donc de quelle guerre s’agirait-il, une guerre d’invasion, une guerre froide ou alors celle que le monde entier redouter le plus, la guerre nucléaire. 
À Paris, comme dans toutes les capitales de la planète, la population avait reçu pour ordre de se tenir confiner à domicile pendant une semaine, “afin de voir l’évolution des choses”. 
Posé sur le toit de son petit appartement du XVème arrondissement, Louis regardait le ciel, en espérant voir la première bombe lancée par un des deux pays. Ce toit était un moyen pour lui de sortir voir le monde extérieur, tout en enfreignant pas les règles instaurés pas le gouvernement. Son frère vint le chercher pour lui dire de rentrer avant que sa mère se rende compte de son escapade en dehors du foyer. À la télévision, toutes les chaines d’informations parlaient de la nouvelle qui venait de tomber, les Chinois avaient fait part de leur refus de quitter la Corée du Sud malgré les menaces des USA. La guerre fut déclarée. 
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madkingsposts · 4 years
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26/04/2020
ils s’étaient endormis nus, l’un contre l’autre et ce matin au reveil, il pouvait sentir la chaleur de son corps contre le sien. Alors pour la réveillée, il plongea sous la couette, et remonta sa colonne vertébrale avec des baisers. Après avoir poser ses lèvres dans la nuque, il pencha sa tête vers la sienne pour voir si elle avait été réveillée et il remarqua un sourire sur ce visage qu’il aimait tant. C’est alors qu’elle se retourna pour se mettre face à lui, et ils se mirent à se regarder, les yeux dans les yeux. Il posa sa main sur une de ses fesses et l’embrassa langoureusement. À ce simple baiser, s’ajouta leurs langues, et sa main commença à descendre de plus en plus bas, et pour l’inviter à continuer son chemin, elle écarta ses jambes afin de lui faciliter l’accès à l’endroit où le plaisir se cachait. Au départ l’un face à l’autre dans ce gigantesque lit, il était désormais sur elle, la main posée sur son entrejambe et les lèvres dans son cou. Elle mit sa main sur le torse de son compagnon de voyage et entama une exploration qui l’amènerait à ce lieu où elle pourrait sentir le plaisir chez son homme, et elle senti sans trop pouvoir douter, qu’il prenait autant de plaisir qu’elle. Alors il lui demanda sans un mot, mais avec un geste plutôt direct, de poursuivre son exploration, au plus profond d’elle. Le lit commença a cogner de plus en plus fort et de plus en plus souvent contre le mur. Pendant une vingtaine de minutes, le mur encaissa le choc de leur plaisir matinal. Après cela, il se regardèrent de nouveau dans les yeux, le sourire aux lèvres. Ils passeront encore un samedi à procrastiner au fond de leur lit. 
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madkingsposts · 4 years
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24/04/2020
“Qui que l’on soit au fond de nous, nous ne sommes jugés que d’après nos actes.”
Ces deux personnes, étaient entrain de diner dans un restaurant en terrasse. La tension sexuelle était présente également, et les regardait se rapprocher de plus en plus. Leurs regards ne pouvait plus se quitter. Leur mains étaient l’une sur l’autre. Bien sûr, comme vous en doutez, ce garçon et cette fille passeront la nuit entière dans le lit de cette dernière, à se connaitre plus intimement. Mais ce dont vous ne devez pas vous douter, c’est que le garçon n’attendu pas que la jeune femme se réveille pour s’en aller. Il ne lui redonna même plus aucune nouvelle après cela. Non pas parce qu’il ne souhaitait que sentir la chaleur de la peau de la fille sur lui, mais plutôt par peur. 
La peur peut amener des gens à agir à l’opposé de ce qu’il le veulent vraiment. Ce garçon a connu l’abandon par sa mère, il a connu la moquerie des filles à l’école, mais aussi la tromperie de la seule femme qu’il pu aimer. Depuis, son plus jeune âge, il a été mise à mal par la gente féminine, ce n’est pas une excuse ni un motif pour agir de la sorte, mais c’est une explication à sa peur de leur faire confiance. En lui sommeil la peur de s’attacher à une personne du sexe opposé. Au fond de lui, il avait envie de s’attacher à cette fille avec qui il avait passé la nuit, mais si un pourcent de chance existait pour que cette fille lui fasse du mal, alors il n’irait pas plus loin qu’une nuit. 
Cette homme passera pour un homme à femme, qui ne peut aimer et qui leur fait du mal, alors qu’au fond de lui, il ne rêve que d’une chose, aimer. 
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madkingsposts · 4 years
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22/04/2020
Sha was like a ghost to him. He sees ans feels her everywhere, but he can't touch her.
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madkingsposts · 4 years
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20/04/2020
Seul à la gare de sa ville, il attendait son train, son casque sur les oreilles et son regard vissé sur son téléphone. De temps en temps il relevait la tête afin de voir si le train n’avait pas de retard. 
Pendant l’annonce de l’arrivée du train en gare, il avait levé les yeux pour voir si les gens commençaient à s’amasser sur le bord du quai. À ce moment là, son regard croisait celui d’une femme. Grande brune, les yeux verts, en l’espace de quelques secondes, il avait compris qu’il était tombé amoureux d’elle, le coup de foudre avait été électrique. Son coté timide avait prit le dessus sur lui, alors il montait dans le wagon suivant de celui de cette fille. Mais il ne pouvait s’empêcher de la fixer, connaitre la gare à laquelle elle descendrait. Elle était assise à des place pour deux. Plus les gares passaient, plus son envie d’aller la voir grandissait. Il restait deux gares avant le terminus, il n’entendait plus la musique diffusée par son casque, mais seulement son esprit lui dire de prendre son courage à deux mains, d’aller la voir et tenter de la convaincre de lui laisser son numéro.
S’appuyant sur l’accoudoir de son siège, il agrippa son sac à dos, et prit la direction de la place de cette fille. Il ne sentit pas le train ralentir. C’est en passant la porte du wagon qu’il senti le train s’arrêter, devant lui, il vu la fille se lever, et leurs regards se croisèrent une nouvelle fois. Il était là, figé, elle le regarda et le remercie de la laisser afin de regagner la porte pour sortir du train. Son corps, coincé dans le sol du train, ne bougea pas d’un iota. Seul un sourire se créa sur son visage, un “de rien” remplit de tristesse. Elle était entrée dans sa vie, aussi rapidement qu’elle en était reparti.
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madkingsposts · 4 years
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16/04/2020
18h, comme tous les soirs, il passe la porte de son appartement. Il pose son manteau sur le cintre installé dos à la porte. Il enleve sa chaussure droite en posant la pointe de son pied gauche sur son talon droit, puis fait de même pour retirer sa chaussure gauche. Il prend la direction de sa chambre pour se dévêtir de son costume et de sa chemise et va dans la salle de bain pour prendre sa douche.
Il attrape le verre posé sur sa table de cuisine et la rempli de vin rouge. Il s'assoit sur le canapé et commence par regarder les infos avant se lancer un film.
22h, il ouvre les yeux. La fatigue a eu raison de lui, alors il prend la direction de sa chambre, encore dans la brume du sommeil. D'un geste machinal, il découvre son lit de sa couette et je positionne sur son côté droit. La tête sur l'oreiller, il regarde ce cadre dressé sur sa table de chevet. Dans ce cadre, la photo d'une femme brune, souriante avec des lèvres habilles d'un rouge vif. Sa main gauche touche la photo et dans un murmure il prononce cette phrase quotidienne, "Bonne nuit toi, je sais que tu veilles sur moi, je t'aime." Une larme lui échappe et le sommeil l'emporte encore une fois, seul.
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madkingsposts · 4 years
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14/04/2020
Les jours se ressemblent de plus en plus. Un reveil à 8h, une tasse de thé, un pull, un jean et je me cale devant l’ordi. Je dis que je vais bosser sur le mémoire mais toute la journée je pense à ce que serait la vie si elle était restée normale. 
Aller voir cette fille, sortir manger, voir un film, se promener, se toucher et coucher ensemble. Partir en week-end avec ma soeur ou mon cousin. D’ailleurs avec ce couillon on aurait commencé à planifier notre voyage à Lisbonne, en se disant à quel point on se rendrait minable avec l’alcool et la nourriture locale. J’aurai surement commencé à avoir des réelles opportunités de futurs emplois. 
Mais la vérité, c’est qu’on est chez nous à se plaindre du fait de ne pas pouvoir sortir. On cherche par tous les moyens de passer du temps avec les gens qu’on a envie de voir. La mort est au coin de la rue mais on s’en fiche, moi le premier, j’ai violé le confinement et j’en suis pas fier. J’ai une personne de mon entourage qui a été touché par le virus et pour être honnête, c’est comme si ça m’étais passé au dessus. Non pas que je  n’aime pas cette personne, mais je n’arrivais pas à imaginer le fait qu’elle puisse disparaitre. Je me suis pas dit “arrêtes tes conneries, ne sors plus” j’ai continué à sortir faire les courses sans masque et à sortir voir cette fille.  Je suis, on est tous inconscient de ce qui se passe. 60 millions de personnes se croient plus malignes que le virus, que le président, certains ont même des réponses à ce que sera la vie normale après cette crise. 
La vérité, c’est que nous devrions profiter de cette période pour prendre soin de nous, de nos proches et de ces journées qui se ressemblent toutes, parce qu’on ne sait pas de quoi demain sera fait. 
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madkingsposts · 4 years
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12/04/2020
Un lit, des draps froissés de la nuit précédente, sa peau chaude et douce, c’est tout ce dont il rêvait pour un dimanche. La voir dans une de ses chemises, sur lui, sourire et l’embrasser. Mettre la musique, prendre une douche, toujours avec elle. Être près d’elle tous les dimanches et ne pas la quitter et chill toute la journée.
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madkingsposts · 4 years
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09/04/2020
Tu sais, moi aussi j'ai peur de te décevoir. J'ai peur de pas être à la hauteur, que tu rendes compte que je suis pas l'homme que tu t'es imaginé. Toute cette période de confinement nous a peut être permis de nous découvrir plus qu'on l'aurait fait habituellement, mais elle a peut être créer chez nous des fantasmes qui nous décevrons. Le peu de moments qu'on a vécu m'ont conforter dans mon envie d'aller loin avec toi, mais ce n'etait que quelques minutes volées.
Ce qui me renforce dans ce que je ressens pour toi c'est la facilité avec laquelle on se comprend, cette attirance qui s'est fait sentir et remarquer lorsque nous nous sommes vu, le manque que tu développes en moi. Tout cela me rend serein. Je crois que le destin nous a permis de nous trouver pour une bonne raison. Et cette raison nous la connaissons.
Alors ayons peur, mais soyons confiants, quand nous pourrons être ensemble, tout ira bien.
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madkingsposts · 4 years
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08/04/2020
Assit à son bureau, son ordinateur ouvert, la pluie battante se faisait entendre, il cherchait une histoire à raconter sur son blog. Sur quoi écrire aujourd’hui, une histoire d’amour ? Un texte avec un chute ? Une émotion personnelle ? Aucun de ces thèmes ne lui paraissaient adéquates. Rien ne lui venait à l’esprit. Et en réfléchissant, il avait commencé ce blog à cause d’une nouvelle désillusion. Il écrivait car il était triste, écrire était pour lui, une manière de libérer sa frustration et sa tristesse. Mais depuis quelques semaines, ces idées noires et avaient laissé place à une sensation lointaine, connue qu’une seule fois dans sa vie. Celle, qui lui donnait le sourire en se levant, qui lui donnait envie de faire beaucoup de choses de ses journées et oublier son blog. Il n’avait pas ressenti cela depuis bien longtemps, et cela le rendait heureux. Cette personne était entrée dans sa vie comme un petit rayon de soleil, et de jour en jour ce rayon prenait de plus en plus de place dans un ciel bien sombre. Et la seule chose qu’il désirait à ce moment, était d’écrire une belle histoire avec elle. 
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madkingsposts · 4 years
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06/04/2020
Assis dans le bus, je suis sur le chemin pour rentrer à mon appartement. Cette demie heure de trajet entre le travail et le logement commence à être longue, je veux juste rentrer chez moi, mettre un short, un pull et me détendre sur mon canapé. 
*discussion Whatsapp*
M_ Tu rentres quand ?
                                     V_ Bientôt, je suis dans le bus, mon arrêt est dans 5 min.
M_ Tant mieux car je me suis permise de me recoucher. 
                                     V_ Ahah, t’as journée était si fatigante que ça ?
M_ Non, mais je voudrais passer ma soirée dans le lit, avec toi. 
                                     V_ Sois patiente, je suis la dans 5 min. 
M_ Je suis impatiente, tu le sais. 
M_ *photo* ta couleur préférée en plus                                      V_ J’ARRIVE. 
Ce furent les 5 minutes les plus longues de ma vie. C’est comme si les gens avaient décidé de me faire attendre encore plus en s’arrêtant à tous les arrêts possibles. Lorsque je ce fut le mien, je me suis précipité aux portes du bus, et je me suis mis à courir comme un fou dans la rue. J’ai bousculé une dizaine de personnes, je me suis fait insulté de “connard”, “gros con” et “abruti”. Mais peu importe, je devais la rejoindre au plus vite. J’ai ouvert la porte de l’immeuble, monté les escaliers trois par trois. Arrivé devant la porte de l’appartement, j’ai ouvert la porte, jeté mon manteau et mon sac à dos et pris la direction de la chambre. La porte de la chambre était ouverte, et sur le lit, allongé sur le ventre, elle m’attendait. Sous vêtements rouge et une chemise Tommy Hilfiger prise dans mon placard. Elle se rapprocha de moi, encore entrain de l’admirer. Elle posa ses mains dans ma nuque et m’embrassa. Le canapé attendra, ma soirée et ma nuit auront lieu dans notre lit. 
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