Tumgik
schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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Owen Lindberg photographed by Hanson von Triebig for Metropolis Sport
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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Ensaio nu Artistico
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schylek · 4 years
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240117.
J’écris ces mots aujourd’hui, enfin cette nuit d’insomnie, qui seront peut-être les derniers, mais rempli de fierté, car aujourd’hui j’écris en mélangeant calme et sincérité. Je suis désolée de ne pas écrire sur papier, mais je préfère pleurer sur mon clavier plutôt que sur mes mots encrés, pour qu’aujourd’hui, si tu lis ceci, tu puisses bien lire et surtout comprendre mon changement de directive. Aujourd’hui, pardon de la répétition, dans ces longues heures d’insomnie, j’ai beaucoup réfléchi. J’ai passé des heures, des journées, des mois et presque une année, à souffrir de mes pensées. Des écrits m’ont permis de comprendre la différence entre des pensées mécaniques, qui m’ont ruiné la vie jusqu’ici, et des pensées de conscience, qui m’ont libéré l’esprit. Si tu ne comprends pas, ce n’est pas grave je vais t’expliquer en utilisant l’exemple de notre relation. Les pensées mécaniques ont été celles qui m’ont fait me projeter, avec ou sans toi, dans notre relation ou non, celles qui me disaient : « Si tu n’as pas ça, tu ne seras pas heureuse » ou encore « si il ne fait pas ça, ou ça, tu seras malheureuse. » Et bien sûr, entre le réel et l’attente il y a un fossé qui ne se termine jamais. Ces pensées m’ont empêché de vivre le moment présent, elles m’ont fait attendre des choses qui ne viendraient jamais, car bien sûr l’attente et le réel ne se ressemble pas et on est forcément déçu. C’est donc de cela que j’ai le plus souffert ces derniers mois. Je me suis projetée dans un monde irréel et faux. Et jusqu’à cette nuit j’ai continué à le faire, en me persuadant que toi et moi ce n’était pas fini, tout simplement parce que je n’en avais pas envie, et cette nuit, quand j’ai accepté tout ça, ce monde irréel et mon acharnement à vouloir à tout prix faire ma vie avec toi, j’ai eu accès pour la première fois de ma vie, à mes pensées de conscience qui elles sont la réelle interprétation du moment présent. Et ce qu’il en sort, c’est qu’il faudrait peut-être que j’accepte, qu’on a fait notre temps ensemble, mais que toutes bonnes choses ont une fin. J’ai cru en toi, en tes mots, tes paroles. Quand tu prônais vouloir être heureux, sans le vouloir j’y ai mis corps et âme d’espoir, car c’est la seule chose que je veux pour toi, mais arrête de lire si je me trompe, et rattrapes-moi, parce que le jour où je te donnerais ces écrits je ne me retournerais pas, tes actes me font comprendre, peut-être à tort je l’espère quand même, que tu peux être heureux, mais pas avec moi. Tu trouveras ton bonheur Mathews, et ça j’en suis sûre, mais à force d’acharnement, je me dis que peut-être ce n’est pas moi qui te l’apporterais. Et alors je me permets, si j’ai raison, de continuer d’écrire, parce que je n’ai pas fini. J’ai éprouvé haine et rancœur envers toutes ces filles que tu as mises sur notre chemin, par jalousie. Je les ai détesté jusqu’à cette nuit. J’ai voulu leur faire payer jusqu’à ces mots. Mais aujourd’hui, je demande pardon pour ma haine balancé à tort et à travers, car au fond, comment leur en vouloir ? Elles ne savaient pas. Elles ne pouvaient pas savoir ce qu’il se passait d’aussi fort entre toi et moi. Elles ne pouvaient pas comprendre, tout simplement car nous-mêmes nous n’avons jamais compris. Et je me dis, que peut-être une de ces filles, réussira un jour à t’apporter plus que moi, et crois-moi quand je te dis que je l’espère, car ma seule envie à l’heure qu’il est, est que tu sois heureux dans ta vie. Ce serait mentir de dire que je n’aurais pas espérer que ce soit moi, mais on ne peut pas forcer le destin pas vrai ? Soit heureux Mathews s’il te plaît. Et surtout, pitié promets-moi, de ne surtout pas t’en faire pour moi. Car moi je te promets que je m’en sortirais, quoi qu’il arrive. Je te promets qu’un jour viendra, où j’arrêterai d’apercevoir ton regard dans le reflet de mes yeux, que j’arrêterai de penser à toi à la vue de la couleur jaune, que j’arrêterai de te chercher dans mes draps alors que tu n’y es pas. Je te promets qu’un jour viendra, où j’arriverai à dormir paisiblement, où j’arrêterai de faire des cauchemars à cause de l’absence des battements irréguliers de ton cœur brisé, où j’oublierai les courbes de ton corps, le dessin de tes veines apparentes et tes cicatrices. Un jour viendra où j’arrêterai de te chercher à travers d’autres, et peut-être même qu’un jour j’arriverai à aimer à nouveau. J’espère que dans soixante ans, quand je voudrais raconter à mes petits-enfants les souvenirs de mon premier grand amour pour répondre à leurs questions, je chercherais ton prénom, et que seule l’esquisse de ton visage m’apparaîtra. Je te le promets, ça viendra. Et si ça ne vient pas, je n’aurai qu’à me lamenter sur mon sort, en me disant que je n’aurais jamais dû écrire ces mots en l’an deux milles dix-sept. Mais plus rien n’importera, tant que toi, tu auras pu être heureux, à côté de ça. Aujourd’hui alors je me permets ; Je te demande pardon pour tout. Et pitié promets-moi une dernière chose. Ne m’oublie jamais, et surtout n’oublie jamais le visage, souriant s’il te plaît, de la personne qui t’a le plus aimé.
Fiona, pour toujours.
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schylek · 4 years
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17012017
Qui aurait cru que deux mille dix-sept commencerait par ton visage et par ton nom raisonnant dans ma tête. J’aurai pourtant juré, ne te donner d’importance que quelques mois, j’ai essayé de me l’infliger, de considérer la mer comme ma mémoire, en t’y voyant partir.  Mais en vain.
Ce soir je me sens mal, je me convaincs dans mon idée que ce n’est que ce soir, mais ne devrais-je pas jouer la carte de la franchise et parler en mois, en année ? Je n’irai pas jusqu’à parler à l’an, car tu m’as apporté sourire et bonheur fût un temps, si loin, si près, je ne sais. Tu as été à l’origine de beaucoup, malgré moi. Des rires ; souvent, des pleurs ; beaucoup trop, des cris ; je te demande pardon. Pardon de t’avoir aimé, pardon de t’aimer encore aujourd’hui, pardon de t’aimer encore demain et les jours qui suivront. Je me sens obligée de te demander pardon, car au fond, je t’ai infligé ce que je redoutais ; la puissance. La puissance des mots, la puissance des actes, la puissance de l’amour que je t’ai porté, sans m’y prêter. Nous nous sommes infligé l’intensité, aussi puissamment que ce que l’on pouvait redouter. J’aurai pourtant juré faire les choses bien. Mais au fond, nous n’avons jamais respecté les écrits. Je te le répète une énième fois ; t’aurais jamais dû rester. C’est toi qui as commencé.
J’étais lancé sur mon chemin, seule. J’ai voulu corps et âme obtenir un cœur de pierre, pouvoir jouer des autres comme l’on jouait de moi. J’y aurai trouvé une jouissance extrême et sûrement malsaine, de voir les autres souffrir, comme j’avais pu le faire. J’étais lancée, comme je disais. Et puis tu m’es tombé sur la gueule, un samedi du mois d’avril. T’as joué avec moi, pensant que c’était facile, que je n’étais qu’une parmi tant d’autres, sans savoir que ton jeu était mien, tu n’étais qu’un parmi tant d’autres. T’étais la proie parfaite, ni facile, ni cernable, outre ton jeu de séducteur que tu connaissais par cœur.  Il a suffi d’un sourire, d’un contact, t’étais à moi. La nuit est passée, je pensais avoir gagné, et puis… tu t’es lancé. Tu t’es permis avec ton air compatissant de me mettre à nue sans que je te le demande et c’est à ce moment que j’ai compris que la partie était loin d’être fini. Je me suis retrouvée sans défense prise à mon propre jeu. T’avais gagné, du moins je le pensais. Ce jour-là, tu m’as vexée. Ma seule envie était écrite, je voulais que tu t’en ailles, loin de moi. Je me suis endormie, pensant qu’au réveil, je n’aurai que le souvenir du goût amer de ma défaite. Et je me suis surprise à aimer l’image de ton doux visage face à mes yeux entrouvert. Et c’est à ce moment précis que j’ai compris que je n’en avais pas fini avec toi.
Je me vois encore ce matin-là, au commissariat avec toi. T’as pas baissé les yeux face aux miens rempli de larmes, on avait éteint ma lumière, et t’as joué l’allumette.  Tu m’as sorti de là, m’obligeant à relever la tête, et peut-être que je te remercierai jamais assez pour ça.
Quelques heures après nous partions tous ensemble à un festival quelconques qui devenu inoubliable par ses moments de rire, de joie, de peine parfois. Nous étions deux contre le monde, et j’aimais ça.
Et ce fût les plus beaux jours de ma triste vie et peut-être même le commencement de celle-ci.
Les jours sont passés, plus vite qu’il n’y paraît et tout s’est dégradé. Je t’ai perdu comme je me suis perdue, et c’est rempli de regret que j’écris ces mots neuf mois après. Je crois que ce dont j’ai le plus souffert, c’est de ta présence qui prouvait seulement ton absence, t’étais dans mes draps, dans mes bras sans être là. Et j’en ai laissé couler des larmes collant mon visage contre toi, car rien ne me fait plus mal que te savoir absent, loin de moi. Tu étais – et tu es toujours d’ailleurs ce que j’ai de plus beau et de plus cher à mes yeux, et ne m’oblige pas à le dire ou l’écrire une troisième fois.
Un jour tu m’as demandé, ce que tu avais fait pour que je tombe amoureuse de toi, j’ai arrêté de marcher, je t’ai regardé quelques secondes, me demandant si tu le faisais exprès, et quand je t’ai répondu que c’était en étant toi-même que je  m’étais éprise de toi, j’ai vu dans tes yeux, cette lueur la… celle qui demande pardon, celle que j’ai aperçu tellement de fois, à défaut de l’entendre. C’est malheureux d’être brisés comme ça, c’est malheureux d’en être arrivés là.  C’est dur de se dire qu’on doit se demander pardon au lieu de se dire merci, c’est dur de devoir s’excuser de vivre les jours qui devraient être les plus beaux de notre vie.
Aujourd’hui, j’essaie de recoller les morceaux, pardon de me répéter mais je n’ai trouvé d’autres images à cette idée. Je me sens brisée, comme toi. Et je me sens incapable de me sortir de ça. Tous mes jours je les passe la tête posée, l’esprit ailleurs, essayant tant bien que mal de trouver une réponse à mes questions raisonnantes mais ça sonne creux. J’essaie de trouver la solution, pour me sortir de ça, de me prouver que je peux être heureuse sans ta présence mais tout me ramène à toi. Je me sens couler, et l’idée que tu ne te relèves pas non plus de ton coté ne m’aide vraiment pas à avancer. Plus les jours passent, plus ils se ressemblent. J’ai la triste sensation de m’installer à nouveau dans ma dépression et je dirais même pire, j’ai la triste impression de n’en être jamais sortie.
Je me sens incapable d’en parler autour de moi, de peur qu’on ne me comprenne pas. Parce que la vérité est telle que moi-même je ne comprends pas. Je ne comprends pas pourquoi toi, pourquoi maintenant, pourquoi aussi fort. Je ne comprends toujours pas pourquoi on t’a mis sur mon chemin et pourquoi on ne me laisse pas t’y enlever. Mon père un jour m’a dit, en parlant de toi, que personne n’était là par hasard. Et que quand tu aurais accompli ton rôle dans ma vie, tu t’en irais et je te laisserais partir. Mais pourquoi t’es là ? Et quand est-ce que j’accepterai que tu t’en ailles ? Au jour d’aujourd’hui je ne me vois pas sans toi et c’est peut-être la preuve que je ne dois pas l’être.
Je n’arrive même pas à te considérer comme un souvenir. Peut-être parce que tu me l’as interdit.
Je refuse de me dire que c’est fini, que toi et moi nous étions unis seulement pour découvrir à nouveau la souffrance, comme je t’ai dit, nous n’avons jamais respecté les écrits, alors pourquoi finir comme ça, finir si bas, nous nous sommes perdus dans les lignes de notre propre histoire, je crois. C’est malheureux encore une fois. Et c’est dur d’accepter que ce soit ce soit le mot qui ressorte le plus de tout ça.
Dis-moi qu’on va se sortir de ça, qu’on est plus fort que tous les démons de notre inconscient. Dis-moi que si on a pu aimer notre côté le plus sombre, on pourra un jour rayonner ensemble. On peut faire de belles choses toi et moi, faut-il encore que tu acceptes qu’on puisse atteindre ça, que nous soyons capable d’écrire avec nos mots, la suite de notre histoire. Moi j’y crois, je crois en nous, je crois en toi.
Fiona.
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schylek · 4 years
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01042017.
Et j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps avant même d’avoir écrit un seul mot.
Les mots ne viennent pas.
Tu me manques. Tu manques à mon âme. Tu manques à ma vie.
Et je crois qu’après ça je n’ai plus rien à dire.
Tu es le reflet de mes yeux qui me brise le cœur tous les matins.
J’ai mal.
Je hais l’idée - le fait de n’être rien sans toi.
“Fio, je te connais depuis quelques années maintenant, et tu sais que je suis pas là pour être mielleux avec toi. Je vais te dire ce que je vois aujourd’hui, en face de moi. Tu n’es plus là Fio. Ce que tu reflètes me donne froid dans le dos. Il n’y a plus rien dans tes yeux. Il n’y a plus rien au fond de toi. Putain Fio tu n’es plus là.”
A croire que je suis partie en même temps que toi.
Where did you sleep last night?
Fiona.
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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“Passer la nuit avec toi, comme la plus belle des souffrances.”
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schylek · 4 years
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“Mes cernes te décernent le prix de la meilleure nuit.”
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schylek · 4 years
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“Et soudain, je me suis rendu compte que j'allais bien.”
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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schylek · 4 years
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