seraniia

[seraniia]

J'ai mis beaucoup de temps...

A travers les quelques photos que j'ai vu j'ai observer vos yeux, vos expressions, et au parcours de tes paroles j'ai tenter de retracer un chemin..

Je n'ai pas tout les bouts mais aujourd'hui, ce que je ne saurais te dire de vive voix, de peur d'être intrusive, te bloquer, de trop chercher, d'être trop imposante, je vais l'écrire...

Je te vois comme quelqu'un qui a grandis de manière brut et sauvage, à devoir tout contrôler de toi même pour éviter les coups, y aller trop brusquement, et quand même te faire avoir.

Ta discipline provient de te peur de faire mal, et de te faire avoir.

J'ai fais partie de celle qui prenez de tout ce que tu n'osais dire à voix haute. Oui comme les grades d'une échelles j'avais peu, je faisait avec rien, avec des restes et j'essayer de sourire pendant que les plus fort ce sont acharner à coup de bâton, de moquerie, et autre absurdité dont je te passerais des détails. Toi en revanche, pour tout ce manque tu donner et tu hurler intérieurement. Il était plus simple de faire du mal pour te venger comme on se venge que d'apprendre à apprivoiser.

Alors jours après jours j'ai observer tes yeux et il y avais constamment une parcelle que je ne comprennez pas. Puis j'écouter tes récits à base de m'enfoutisme et de faciliter, comme si tout était classer alors qu'en faite tu masquer juste une peine que ta classer comme faible et dont tu ne fera jamais part à voix haute. Du moins je ne pense pas.

Pourquoi irais tu visiter quelqu'un que tu ne supporte pas et qui t'es inutile de part tes propos... J'ai longuement réfléchis et retourner la question.. Alors j'ai observer notre quotidien.

Parce que tu chercher cette amour là.. Maternel, qui ne donne pas de l'argent et prend des fois puis s'en fiche. Tu cherchais ce qui était profondément sincère.

C'est marrant parce que même si je le déteste, à un moment, bien que ce soit pas les même conditions, je chercher à le voir aussi mon père. Je me suis résigner quand j'ai remarquer qu'il se perdais dans ces mensonges, ces manipulations, son égoïsme, sa violence, son alcoolisme.. J'ai pleurer des nuits entières puis j'ai réfléchis autrement. Qu'est ce qui m'attire à avoir de l'amour et de la peine pour lui ? Je voulais être exclusive, un peu comme un vieux chat beaucoup trop jaloux pour accepter quelqu'un d'autre sur son territoire. Je voulais enfin une figure d'homme dans ma vie, parce que jetait la force de ma mère mais personne n'était pas force. Je la protéger et rassurer alors que j'avais seulement 7ans... Et donc j'ai observer tes yeux et est compris ce qui te rendais heureux. Ce n'était pas si anodin quand ta dis '' je suis content, ton visage au soleil les cheveux aux vents et la je suis content. ''

Tu cherchez ces petites choses si simple, un repas, une attention, un brin d'humour, parler de ta journée. Tu chercher cette légèreté que tu n'avais pas pu exprimer.

Tu sais tes yeux on beaucoup changer, ils deviennent sombre encore quand on sort ou en fonction de l'environnement, mais chez nous, à la maison, tes yeux sont doux, expressif et patient.

Parfois j'ai l'impression que tu tenterais de me donner le monde si tu pouvais..

Alors revenons en au rapport maternel, eh bien je pense que c'était cette douceur que tu chercher par moment, cette chose qui te rappel l'essentiel et fais en sorte que ton cœur est envie de battre et non pas de se suicider dans la drogue et l'alcool.

Certe comme tu me dis, je bois pas mal, oui je sais, mais ni mon métier ni ma vie ne m'a donner envie de cesser. De la même façon ou tu fumer pour te mettre bien, ou tu prenez pour rester éveiller, ou tu taper pour sentir tes émotions et parler de ce que tu as sur le cœur.

J'ai passer de longue heure seule, à me demander quel était mon but concret ici. Parce que ramener de l'argent manger dormir boire fêter discuter, tout cela à une limite un moment, cela n'apporte rien de profond au cœur, rien de censer. Mes questions première était '' pourquoi je me lève ? '', '' pourquoi je marche travailler ? '', '' pourquoi il faut de l'argent ? '','' pourquoi je dois sourire ? '', '' pourquoi je dois les supporter ? '', '' quel est mon but ici ? '', '' pourquoi je suis ici ? '', '' pourquoi rentrer chez moi ? ''

Tellement de question qui m'envahisser et me faisait errer, mais peu importe comment c'était dur avant, peu importe le jugement dont on a du faire face, les coups et les blessures, il suffit de se faire confiance doucement, et tout va se tasser être oublier et on comblera chaque douleur que l'autre a subit. On marchera que d'un seule pas au même tintement et on se tendra la main à n'importe quel moment, temps qu'on tient à l'autre.

Si tu es là moitié de mon fil rouge, tu n'as plus aucune crainte à avoir, je n'abandonne jamais 👌🖤

[seraniia]

Dans la douceur d'un éclat de bulle

On pense et repasse tout les événements dans notre tête

On regarde la vie avancer et par moment on se demande si le sens est le bon

Puis vien ces questionnements philosophique pour comprend qu'est ce qui est bon ?

Que peut on accepter ou non ?

Suis trop ou pas assez ?

Comment savoir quand un verre est à moitié vide ou à moitié plein?

Rien ne répond, on tourne en rond à chercher le mieux.

Mais qu'est ce que le mieux ? Qu'est ce que le parfait? Quelle sont les normes ?

[seraniia]

Me revoilà encore,

Cette pression sur la gorge

Cette pression sur mon corps

Une vie que je me forge ?

Non, une vie écrasé par leur vieux souvenirs

Leurs vieilles photos et les tintements de message qui se succède sans aide.

Je peut pas, je peut plus. Ou peut être que je n'ai jamais pu sans que ça me fasse souffrir.

J'ai remuée le ciel, la terre, la mer, pour sauver ton corps et montrer le monde qui te soutien. A la recherche de ce dernier remède.

A la place, j'ai l'impression que mon cœur est en ruine et qu'on me demande encore de tout réparer.

Je me vois comme ce vieux alchimiste, à concocter des codes, des potions, des symboles, pour réparer les miettes de ton cœur et ton corps.

Je me vois comme cette vieille dame affreuse, à tourner le dos à la chair de sa chair, au sang de son sang, ne pas écouter son appel à l'aide parce qu'il a trop griffé mon cœur. J'ai dû le laisser au braconnier.

Je me vois comme un démon satanique, qui dans les bas fonds des lueurs, quand la liqueur est à la mode, on détruit chaque bombe, chaque Grenade posés devant moi. Oui, encore..

Je me vois comme un vampire, assoiffé de sang, j'enchaîne mes victimes en leur privant de leur âmes pour qu'ils souffrent comme moi.

Je ne me vois pas, comme son reflet et ça me hante et me hante comme si j'était obligée de la voir en moi alors qu'elle détruit tout le monde.

Mais pourquoi me demande-t-on, de créer un soulèvement des faibles, de remettre le sourire à la mode et de rallier leurs causes. Je ne peut pas choisir leur voie.

Moi, je ne peut pas, je ne peut pas tous vous sauver, c'est entrain de me rentrer par tous les pores, vos sentiment si furieux. Je me perd dans vos ondes.

Vingt messages après, je ne répond plus de moi, ma rage a pris l'emprise et mon cœur se sert à peine, j'ai passé mon temps à déprimer, à ne pas bouger, léthargique à force de n'avoir que du négatif de votre part.

Mais pourquoi suis je ici ? Je pensais aider la terre, pouvoir embrasser le soleil, me nourrir d'énergie mais vous tuez mon âme.

Je vais partir dans la nature et vous laisser que mes vestiges, je n'ai besoin de rien à part de ce saint graal si souvent cacher. Mais je le trouverais que plus tard.

Ne me cherche plus, je vais partir à la quête du souvenirs des trois pyramides, des sept crânes de cristal et de tous ce qui aidera ma vie à se sentir plus légère pour en donner un but. Sans que j'ai besoin de toucher à mes armes.

Laisser moi vivre comme une hippie, quitte à finir noyer dans ces remèdes, ces élixirs et cette façon plus douce de vivre.

Je voulais me battre, contre mes démons, foutre ce putain de papillon sur mes erreurs et mettre une croix sur ce liquide et laisser les hommes tranquillent.

Je mute en vautour, je vais finir par devorer tout le monde car j'aurais déraillée de tout cela. Ça me rend ivre.

Je ne peut pas supporter, viole, violence, insulte, humiliation, combat, indéfiniment. Je veut embrasser mon idyles.

Un jour, vous me verrez comme kaneki, j'aurais éteint toute humanité.

Je vais attendre la nuit tombée, c'est seulement là que les esprits se manifeste et je vais rejoindre ce monde de la nuit qui m'a offert son trône en or, là où il me juge pas, là ou on accuse l'autre de son sentimentalisme.

Je ne ferais pas comme toi, mais je deviens folle, j'en peut plus, j'ai mal quand je respire. Je prendrais pas le même chemin mais j'ai mal. Je vais me noyer dans le noir en attendant que la couleur de la nature permette à ma peau et mes yeux de le supporter.

La plume est mon échappatoire, je peut peindre mes démons tout en les tenant en laisse pour éviter qu'ils vous facent du mal. Mais ce n'est pas un actes d'héroïsme.

Scellée en moi, je vais rejoindre ma tendre amie de longue date, cette solitude qui m'embrasse sans honte et qui ne jugera pas les perles qui glisse sur ma peau.

C'était l'histoire d'une goutte d'eau.

[seraniia]

Aujourd'hui, j'écris pour un adieu, un pardon, une fin.

Je fais taire mon mental et mon passé dans un derniers écris qui fera disparaître toute mes peines.

N'ayez pas de pitié à apprendre tout cela, mais voyais en moi, comme la guerrière des temps modernes, un soldat qui ne baissera plus jamais sa garde.

À toi, génétique, je te pardonne et j'oublie. J'oublie que tu ne voulais pas savoir que j'était vraiment ta fille dans le ventre de ma mère.

J'oublie que tu lui as frapper dans le ventre.

J'oublie que ta casser son nez.

J'oublie que tu l'as abandonner au bord du suicide en lui disant que de toute façon personne sauras qu'il savait puisque son boulot le couvrirait.

J'oublie que tu m'as ignorer et mis sur le dos des problèmes de grand.

J'oublie que tu es tout le temps saoul et tu mens constamment, un peu comme l'air que tu respire.

J'oublie que tu n'as jamais étais présent et que tu nous a laisser seul face au destin.

Je te pardonne et je laisse couler de mon corps cette sève de poison que t'as injecté dans ma bombe humaine dès ma naissance.

À vous, chers enfants, je vous pardonne de toute votre méchanceté qui vous permettaient de me juger, me frapper, me haïr et qui m'as poussée au bord du suicide mental et de la solitude. Mon bras en sera à jamais graver de toute votre méchanceté mais mon cœur et mon âme vous pardonne. Je sais combien de fois, on ne comprend pas ce qu'on fait quand on est enfant. Vous m'avez menée au combat depuis que j'ai 5ans, mais je vous pardonne aujourd'hui et espère que vous avez changer.

À toi, professeur, je te pardonne ta méchanceté et ton jugement de haine sur moi, qui t'as poussée à détruire mon bulletin et anéantir ma confiance, qui t'as fais dire toutes ces horreurs sur moi. Je ne sais toujours pas ce qui t'as poussée à faire ça, mais aujourd'hui je te pardonne et j'espère que tu te souviens, du mal que ça m'a procurer.

À vous, hommes de sa vie, je vous pardonne les disgrâces et la méchanceté que vous m'avez fait voir sur elle. De stresser pour rentrer, d'entendre vos injures, vos violences et vos abus. D'avoir essayé de nous jeter dans le ravins, d'avoir tenus son corps à travers une fenêtre, de l'avoir frappé devant mes yeux �� l'âge de 3 ans, on ne pense pas comme ça, mais l'esprit est grand et mémorise des choses choquantes très rapidement, et je te pardonne à toi aussi d'avoir roulé et cassé l'épaule de mon parrain. Sortez de ma memoire et laissez moi croire qu'un homme peut être bon.

À vous, hommes de passage, ceux que je voyez comme des amis, ou même de la famille, je vous pardonne, d'avoir pensé que mon corps était un jouet et que l'on peut l'utiliser à sa guise comme on le souhaite. A tous ces endroits qui resteront bloquée dans ma tête, dans la chambre de ton fils, dans un local poubelle, dans une cave lors d'un mariage, dans ta chambre quand tu te croyais roi, dans ton appart quand tu pensés que j'était ta poupée... Oui beaucoup à citer mais j'en ai garder ma confiance pour me dire que vous étiez des pourris mais qu'ils ne sont pas tous comme ça. J'y crois encore et vous pardonne, de m'avoir fais vivre ça.

À toi, maman, avec qui ça n'as pas toujours étais facile, avec qui, il y a eu des coups de gueules hard au point où ta colère t'as fais me frapper au sol comme un sac de boxe, à toi que j'ai retrouvées dans la baignoires les bras en sang, où j'ai dû defoncer la porte parce que personne venez, à toi qui a souvent trop aimée, trop fais, mais à qui le passé est tout autant brisée, je te pardonne, je souhaite ta guérison et que tu trouves ma voie de la lumière, que tu calmes tes colères et que tu vois le monde de manière un peu plus légère.

À toi, homme, qui a crus que j'était à sa merci et qu'il suffirai de claquer des doigts pour m'avoir, qui m'as fais vivre le pire premier amour de ma vie, je te pardonne, je me delis de toi, et j'avance dans le bonheurs. Je te pardonne d'avoir pensé que le contrôle était tellement total que tu m'en ferais perdre mon caractère, je te pardonne de m'avoir collée au grillage, un point frôlant mon visage et des gens qui observe sans rien dire, je te pardonne d'avoir brisée mon cœur en me laissant en plein milieu d'une rue, et je te remercie de la belle leçon que tu m'as offerte qu'est ne jamais laisser autrui s'emparer de ton coeur.

À toi, connaissance du passé, je te pardonne de m'avoir entraîner dans les bas-fonds sans lueurs, d'avoir rendu mon corps qu'un tas de cendre, et de m'avoir laisser bloquer dans des nuages que tu m'offrais régulièrement. J'ai failli tout abandonner cette année là, mais j'ai arrêtée et repris du poils de la bête, tu m'as appris qu'on peut s'évader mais pas s'enfuir de la réalité. Je te pardonne.

À toi, big, je te pardonne ta méchanceté, je te pardonne ta maladie, même si je crois que s'y cacher te vas bien, je te pardonne cette soirée. Je vais l'expliquer une dernière fois, car je me rend compte que je n'y arrivais plus, plus à le dire à haute voix, donc pour la dernière fois, je vais l'écrire, afin qu'elle puisse disparaître de ma mémoire. Un soir, tu as débarqué à ma porte cherchant ton pote, qui était au travail, tu t'es installé sans poser de question et d'ailleurs moi non plus, mais le cœur sur la main, je voulais t'aidée te voyant dépités. Tu as alors parler de contrat de musique pour notre groupe, et tu m'as fais comprendre que ce serais possible ensemble à conditions que je commence à fermer ma gueule et que j'accepte tous ce que tu dis. Par la suite, tu as bu 2 verre de whisky pur cul sec et t'as commencé à parler de mon corps, que tu aurais dû le defoncer un soir ou t'avais pu, et que je suis rien qu'une pute qui sera à ta merci. Pour me protéger, j'ai fais appel à des amis, mon meilleur ami est arrivé mais qu'aurait il pu faire, face à toi, si tu avais frappé sa maladie. Tu t'es ensuite installer dans mon lit, nu, et ta fais en sorte que je vienne et ta fermer la porte en me disant que tu étais là maintenant et qu'il suffisait que je te dise oui. Je t'ai dis non à trois reprise pour que tu le comprenne et tu m'as checké la main comme si j'avais réussi un test. Ton amis est ensuite arrivé, et au lieu de t'en coller une il a parlé calmement avec toi dans la cuisine. J'ai passée 3 mois à marcher avec des écouteurs où ma mère était à l'autre bout du fil, et j'ai portée plainte contre toi face à la violence dont ta fais preuve une fois en dehors de l'appartement. Je te pardonne et oublie ce souvenirs et je pardonne à ton amis de ne pas m'avoir protéger. Et je vous laisse ensemble, entre deux bon vieux pourris.

À toi, 3ans, je te pardonne de ne pas m'avoir aidé, de tes injures pour me blesser qui m'as values 3 point de sutures, je te pardonne de m'avoir rendus soldat à nouveau, je te pardonne d'avoir chercher à me quitter par le jeu, et de t'être jeté dans ces bras sans même me regarder, et de ne pas chercher à discuter. J'oublie ce sentiment et de ce fais j'oublie avec la cohésion qu'on avait et je la brûle aux enfers.

À toi, petit, je te pardonne les 3 ematomes que j'avais sur le corps, je te pardonne ton excès de colère, je te pardonne toute les fois où tu m'as empêcher de sortir, je te pardonne le fait que tu m'as empêcher de vivre, je te pardonne tout ce que tu m'as voler, je pardonne ton ego, et je suis heureuse d'avoir réussi à m'enfuir. J'oublie ce souvenirs.

À toi, mon amis, qui s'est pris la vie, je te pardonne la souffrance que tu m'as causé. Je pardonne ton geste et espère que tu es mieux là où tu es..

À toi, '' belle'', je te pardonne d' avoir refusée d'inscrire mon nom, je te pardonne les maillots de bains de mec parce que je ne méritais pas plus, je te pardonne les différences, je te pardonne les fois où tu m'as abandonnée sur la plage, je te pardonne ta méchanceté.

À toi, meilleure, je te pardonne ton abandons et tes mensonges, tu m'as anéantis quand tu m'as dis que c'était finis, j'ai pleurer pour le deuil de 13 ans d'amitié, tu as préférer les gens qui volent et qui mentent, alors que je t'aidé à t'en sortir. Je te pardonne pour ta cruauté mais je garde en mémoire, tous ces bons souvenirs de fêtes et de délires qu'on a pu avoir un jour.

Aujourd'hui, quand on me demande les bons souvenirs, j'ai souvent du mal à en trouver, je déteste quand je parle d'un souvenirs car il est souvent tâché de noir, de drogue, de sang, d'alcool, alors c'est vrai, je m'enfuis beaucoup dans la fêtes, parce que c'était mon moyen de détresse, la petite barque qui m'as tenue hors de l'eau, celle qui me faisait être comme les autres. J'ai choisie en ce jours un métier d'ordre et qui est dur, car il fallais des personnes qui guident mes pas, et m'aide quand je pense que tout est mal. Quand bien même certains pensent que j'ai une confiance absolus et que je suis aggressive, c'est parce que le chat que vous connaissez a grandis sauvagement et surtout seule, avec la croix rouge, les colis alimentaires, les vêtements dans des caves de l'école, et puis avec un rien qui deviens tout. Et surtout faire ces repas seule, ces devoirs seule, se coucher seule, se lever seule, rentrer seule, depuis mes 7ans. Aujourd'hui, je me suis forgé une abondance, pour que plus jamais je revois ces sentiments.

J'avais besoin de l'écrire une dernière fois, comme pour fermer un vieux cahier.

J'avance dans la joie et avec le sourires et n'en parlerais en totalité dans les moindres détails à celui qui prendra ma main me diras que c'est fini et que je peut avancer avec une epaule sans qu'il disparaisse comme les autres.

Cela fait une heure que j'écris avec les yeux humides pour dire au revoir à tout ça, et plus jamais me poser de question sur la personne si je peut avoir confiance ou non.

Je refuse de souffrir encore, je refuse d'être à la merci de ce qui m'est arriver et de ce fais je crois encore que l'homme est bon et intégre.

Adieu, sentiments d'il y a longtemps.

[seraniia]

Yandere...

Ce petit mot qui défini tellement tout

Et qui devrais te tenir éloigné comme un poux

Je ne veut pas d'AI artificiel et tout ce qui s'en rapprocheras m'ennuiras,

OH non, ne venez pas me soûler avec vos wesh, vos questions, c'est pas compatible.

Non, c'est pas non plus compatible qu'après un bonjour, il y est un feeling.

Ah oui pas non plus compatible un cerveau deredere avec moi.

Non non, je ne tombe pas amoureuse sur commande non.

Ah oui, non, je suis pas juste un physique ni un objet ni tout autre que ce soit.

Non non, c'est pas parce que je souris par politesse et que j'ai une douce voix que je suis une souris à ta merci.

Non plus, non, ce sera pas compatible si tu comprend pas la signification non.

Mais non plus, j'ai pas envie de te voir après un bonjour non non..

J'ai l'impression d'être anormal tu sais ? Ou juste un tas de viande à la merci des zombis.

Mais qu'est ce que vous croyez dans votre normalité débile et machiste, sérieux même ça tu peut pas réfléchir ?

Tu crois jvais me pavaner avec ton lacoste ?

Ah oui oui, Célia est dur aujourd'hui dans ces propos.

Ouais, mais j'ai plus de 50 preuves différentes de ça et j'en ai un peut marre à la longue.

Yandere, c'est la base. Oui oui, plus de tenshi.

Juste à la recherche d'un petit yokai. Pas plus compliquer pas plus simple.

Life is a joke! No more, no less. See me with the gamer eyes. 😸

Et pour illustrer le tout : https://youtu.be/qbYxoz9ES5Q ❤️

[seraniia]

Cela fais plusieurs nuits que je ne dors pas

Je suis mitigé entre te faire du mal

Ou taire ces sentiments de malade qui sont dérisoire

Mes mains on pris la forme de ton corps mais ça ne passe pas,

Debout sur tes paupières ça devient infernal,

A trop vouloir recevoir, j'finirais à l'abattoir

Ou sans doute au bruloir, sans même l'apercevoir

Et j'finis par l'asseoir dans l'but de te revoir

Absorber par l'espoir, est il dans ce miroir ?

Perdu dans un manoir en quête d'un mémoire

Qui doucement dans le noir, m'rappele le désespoir

Et j'finis par y croire un peu comme les histoires..

C'est très contradictoire et sûrement provisoire,

Sur mon territoire, je cherche la victoire.

Mais quel est ce doux parfum ?

Celui du regret, d'avoir beaucoup trop laisser

Trop laisser parler, a en devenir cinglé

C'est facile de se comprendre soi, c'est plus dur de comprendre chacun...

Faire assimiler à l'autre comment on es est une chose,

Encore faut il que les deux écoutes et ne font pas juste qu'entendre.

Répondre par une question à ta question quand sa m'expose

Au final j'ai juste peur que tu finis par tout me prendre.

[seraniia]

Faut que je me dépêche,

Il y a que quand il y a une dépêche que je me calme,

Oui, Je me suis poser un soir et j'ai regarder le temps messieurs dames,

Un de mes passe temps favoris,J'ai parler avec le temps, Il m'a dis,

Tu verras ton esprit se déguise dans cette matrice indéfinis, Et quand tu regarde le temps, Tu sais qu'il est temps de teinté ou du moins de tenté de rectifier tes actes,

Mais même si je le conjugue avec tacte, Je ne pourrais changer un passé, seulement améliorer un future desaxés

Et merde, on s'en fiche du future Concentre toi en ce que tu fais au moment présent même si c'est dur

Des fois je l'observe, il est lent ou il court

Tant est si bien que je n'arrive plus à le suivre, à le vivre et je cours comme le lapin d'Alice mais bordel où est ce que je passe tout mon temps ?

Un jour, comme les écorces d'un arbre, je vais me réveiller et observer le temps sur mon enveloppe

Vais je regrette ? Sûrement, ou peut être pas mais je saurais qu'il est encore temps pas de syncope.

J'observe cette lenteur dans le silence, sans un bruit juste une plume et un morceaux de papier pour m'accompagner,

Je ne sais pas d'où sorte tout ces mots et même tout ces maux j'ai envie de les coucher sur des mélodies harmonieuse et crier haut et fort que je ne suis toujours pas cinglée

Mais que faire quand du haut de ma tour mes yeux persant la nuit, je vois quand même ton cœur, il bat au loin mais que vais je faire avec cette bombe, cette Grenade..

Et on en revient toujours à ce même fléau, seulement le temps nous répondra, oui c'est pas une boutade.

Je ferais le tour du monde, j'attraprais les étoiles et même la poussière d'ange, je monterais même me poser sur la lune mais tout cela dans un seul but, sceller mon avenir avec la damokless au dessus de ma tête, chercher le temps, lui demander si je vais finir roi de France, guillotiner, le cœur en poudre à canon ou si simplement aujourd'hui je peut faire un pas dans les nuages de cotons où on peut rêver sans médiocrité ?

Alors je vais me poser dans un coin, fumer ma clops sur les mélodies du cœur et taire mon esprit qui me fais divaguer et attendre que le temps me réponde bien qu'il arrive toujours en dernier.

Je grandirais indéfiniment avec les traces de l'océan, qui me rappel que rien ne s'arrête peut importe la force de la guerre, je resterai la, intacte, sans doute légèrement briser mais toujours entiere avec un sourire pour accueillir dans mon Havre de paix, quiconque voudras rire avec moi.

Ainsi est la force de mon états d'esprit, pillée moi de toute ces richesses éphémère, la seule chose qui me retiendra à ça est un souvenir perdu dans le temps, je finirais hors la loi pour garder cette fois.

Ahh ce temps, il faut vraiment que je le trouve et qu'on cause lui et moi, quelles péripéties me fait il vivre, à m'en rendre ivre, libre, mais j'en salive.

En attendant, après avoir maintes et maintes fois regarder les minutes et les aiguilles tourner, je vais croquer la vie à pleine dent et vivre au moment présent.

Oui, il était temps.

[seraniia]

[seraniia]

[seraniia]

Comme une douce chaleur qui se propage

Ou comme une blessure qui fais ravage

La flamme à deux aspect

Vacillante, ennivrante,

Mais en un souffle, elle disparais...

Combien de temps encore ?

Combien de temps en corps?

Quand elle se met à briller,

Aussi beau qu'un danger,

Elle brûle ma peau et entache mon âme de toute cette ampleur de vie..

Mais des qu'elle se pose, elle se souvient alors, que rien n'est simple, tout est une théorie.

Sert les dents quand tu prend des remarques

Ferme la, ce n'est rien qu'une attaque

Parmis tant d'autre.

Et ça dégouline sur mon corps, imbiber de poison,

Ce pêcher mortel que d'être une flamme qui s'épuise et s'épuise pour cesser ce vacarme.

Je ne prendrais pas d'armes,

Écoute bien, pas une larmes, on ne se désarme, bien trop de charme sur ce qui se trame pour éteindre une lucarne.

Épuisé à bout de souffle, je cherche une place avec le sourire, mais je ne penser pas voir un cœur briser, piller, éparpillé, tel les 7 crânes, réussir à battre malgré toute ces failles.

Pendant que le poison dévore la seule personne qui détient ma poussiere d'ange, je me renferme et affiche simplement ce qu'on attend de moi.

Un sourire, une gentillesse, une tendresse..

Pendant combien de temps je vais t'observer te desagrégé ?

Pendant combien de temps je vais l'entendre fabuler ?

Pendant combien de temps ils vont me le frotter sous le nez ?

Pendant combien de temps je vais m'achever ?

Pendant combien de temps je vais avancer ?

Ainsi tant de question qui trotte dans ma tête que mon sourire n'affiche pas.

Ah les vices, si proche et si loin, au moin sur un j'ai pu y mettre un papillon.

Je marche sur des framboises en oubliant qu'ils sont vivant..

Rien avance dans la tour, tout est bloquer rien ne fonctionne, je ne sais pas vraiment où suis je..

Comment as tu pu avancer Alice ?

Tellement de détour dans ce monde.

Mon dieu, quel idée ai je eu à revenir ?

N'est ce pas suffisamment bien à mes yeux déchu ?

Et pourtant je montre le meilleur tête haute en me perdant dans un océan profond

Comment savoir si cette eau est adéquate ?

Sans doute les marques qui se créerons sur la rose épineuse..

Oh je demande que cela, suivre et rien gérer..

Cesser de tout porter, je n'ai pas la force pour...

Perdu dans l'abysse une fois de plus..

Mais vous inquiètez pas, vous ne le saurais pas.

J'attend juste le jour où je pourrais déshabiller mon âme.

Dans le tourment de mes pensées, je m'en vais, songé sans doute..

Une utopie ? Ou contre.. Qui le sauras ?

Je n'ai plus qu'à souffler sur la bougie.

[seraniia]

Et chaque soir, quand je sort du restau,

J'espère entrevoir ta silhouette qui m'attend dans un coin, clop à la main..

La surprise et l'imprévisible qui fera battre mon cœur...

Ta main sur ma tête qui trifouille mes cheveux pour me dire '' comme je suis la, tu ne feras pas de bêtise ''

L'espoir de la nuit, la vie dans la nuit.. ❤️

[seraniia]

Celui qui me mettra sous clé sera un ange déchu

Beaucoup trop déçu,

Je tourne en rond dans un monde qui ne tourne même rond !

Tu t'imagine qu'il avance vers moi

Je change de pas, ça ne va pas

Plus tes la haut plus je suis AO

Difficile à suivre quand on se suit même pas

Difficile à vivre quand on est ivre

Difficile à survivre

[seraniia]

Quand on aime on ne voit plus qu'une personne sans jamais faire attention au reste on vis le truc à fond et décore notre coeur et notre esprit d'image fantaisiste qui s'avère être simplement des mirages . Innée cogne on se prend des obstacles et quelqu'un et toujours la pour nous . Et cest dans le pire qu'on vois les véritables personnes prête à tous pour toi . Sans y croire on cherche loin avec les oreilles sourdes écartant toute rumeur et au final on retourne au point de départ . Chercher loin pour voir près . Mais cela reste une impasse que faire si l'on doit partir ? Que faire si les choses nous mène à une perte certaine ? Le tenté ? Ne jamais osé ? Sommes nous la pour vivre à fond ? Ou faire semblant avec ce sourire masqué ? Tu as la forme de mes mains même dans le plus sombres . Car peut importe les circonstances je te connais comme quelqu'un qui sculpte un caractère dans de la pierre . Solide dans la croyance splendide dans la connaissance. Si cela devait connaître un fin certaine ? Je dirais au gens qu'ils ne connaissent pas l'art de l'amitié l'art d'un frère l'art.. D'un confident.

[seraniia]

La vie n'est facile pour personne.. J'aurais voulu oh oui j'aurais voulu effacer des erreurs, ramasser des pots cassé, évité certaine larmes, evité certaine personne, evité certain endroit. Oh oui fuir loin la bas et evité chaque douleur. Ce vomis de sentiments que je supporte plus. Foutre des claques a celui qui auras mon coeur, pour lui dire t'es qu'un con. Aimé les bonnes personnes.. J'aurais voulu enormément de choses. Mais vois-tu, la vie nous créer de tel sorte que sans les bléssures, sans les panneaux, les barrieres, les obstacles qui heurte notre chemin, forme ce qu'on pourras appeller a terme, " la conscience! " , " les valeurs morals!" , et surtout " un coeur! ". Tu vois si la vie était un trajet sans virages et que l'essence coulerais abondamment, a quoi bon prendre la route ? Autant cessé de rouler toute suite. Alors voila, je part pour cette fois, peut importe ce que vous pensez, car je suis humaine et je regrette des choses comme tout être censé, mais malheureusement ma vie m'apprend a ne pas regarder derriere, mais vivre de l'avant, dans l'instant présent. C'est ainsi qu'on peut alors dire " on est heureux. " . Alors prend tes ailes poussins, et vole, si tu me rattrape, peut etre on partagera mon nid. Avant ca, cogne toi le nez un peu. Et si tu trouve que ton existence n'a pas lieu d'etre, rappelle toi qui a quelqu'un qui t'observe toujours, et qui ne cesse de se soucier de toi. Rappelle toi qu'au plus bas, elle est la.

[seraniia]

La vie c'est tu née on te demande d'être dépendant et de faire gaffe et ensuite on te lance des apats.

Les premieres fois tu est intimidé et tu vois d'autres mourir de cette apats.

Pourtant, mon dieu, petit poisson que j'étais des apats, dieu sais que tu m'en a envoyé..

Et au final j'ai tellement attendu, pour toi, unique de tous l'océan, que ta fini par simplement tendre la main.

J'avais peur de venir par souffrance, mais au final, je viens car je craque à l'inconnue.

L'inconnue, inconnue sur certain terrain, connue sur d'autres, reste un inconnue quand un terrain non connue est à découvrir.

Le poisson, c'est moi, tu ma péchés. Bravo, you're winner.

[seraniia]

« Vous devriez être ici »

Voila le thème de mon texte aujourd’hui.

Dans le monde, avoir de la gentillesse, c’est éphémère..

Dans le monde, avoir de la générosité, des sourires, des vrai sourires, pas ceux que je pratique tous les jours et qui berne tous le monde, c’est rare.

Dans le monde, êtres heureux, c’est comme joué au loto, et les chanceux sont rares !

Donc déjà, on part sur la thèse que de nos jours, la cruauté, la haine, la moquerie, est plus faciles à pratiquer et à recevoir que l’amour.

Mais vous savez... Mon dieu, cette haine, combien je l’a connais et l’a côtois... Et dans ces instants, « solitude » est votre meilleure amie !

De fil en aiguille avec le temps, j’ai remarquée que les aiguilles s’y planté toute dans mon cœur, vous imaginer bien que réparer une blessure c’est facile, mais quand y en a des centaines, le mieux c’est de jeter l’objet.

Quand dans l’extérieur vous avez personnes, et qu’a l’intérieur on vous ignore, où allez ?

Ce soir la, donc, j’ai voulu partir ailleurs, car même si le vase n’est pas plein, si vous le secouez, il se renverse ? Logique non ?

Alors dans cette eau de vie j’ai commencé avec 2, puis 3...

Y en avais de toutes les couleurs, et les larmes que je cache habituellement on apparue...

Rire, larmes, tous ce confondaient dans mon esprit, je ne savais plus au j’étais…

Puis encore 2, puis 1… C’était l’arc en ciel, après la pluie...

Ses personnes auraient dû être là, malheureusement, il y avait que l’ombre de moi-même...

Puis que faire et que dire, si l’on sait de toute manières que sa finira en morale ?

Plus pouvoir voir le soleil et sentir l’air du vent

Plus pouvoir les voire eux qui me sont précieux et qui me font respirer autres choses…

Puis des morales, des explications... Non pas le temps c’est une perte de temps tous cela et ça mèneraient à rien.

Vous imaginez alors la « solitude » de cette fille ?

Vous devriez être ici !

You should be here! Now! For everything, and every time, for everyone.

Vous inquiétez pas va, cette fille c’est pas moi. La preuve, je suis toujours là.

Ed sheeran - Give me love --> https://www.youtube.com/watch?v=FOjdXSrtUxA

[seraniia]

Crois en toi, car les gens ne croirons pas en toi.

Vie pour toi, car les gens ne t'aiderons pas à vivre.

Positive pour ton future, car les gens ne ferons que t'écraser et te mettre des barrières.

Sois généreux, car ce qu'on fait nous est toujours retourner en général en pratiquand la loi de la trinité, ou bien le retour de flamme..

Sois gentil, dans la gentillesse tu prouveras que tu vaux plus que la cruauté et un jour on t'en sera reconnaissant.

Sois attentif et empathique, car la meilleur aide provient de ceux qui observe.

Sois emotionnel, dans le bonheur et l'envie de vivre, pleure de joie et pleure de tristesse, mais parvient à soigné tes blessures car personne ne t'aide pour coler des pansements!

Sois toi, dans la vie la personnalité ne change pas par rapport aux autres, elle se créer par rapport au barriere que ta surmonté.

Et surtout pour vivre entierement, cesse ton mental agaçant qui ne parle que de noirceur, dehors mon ange, regne la lumiere, tu la vois pas a cause de tous se brouillard...

Et enfin..

Believe in Yourself!