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#Ouverture Cannes 2016
latribune · 6 days
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mccannes · 7 years
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Première impression déraisonnée 1/2
Ou « la conférence de presse du 70e Festival de Cannes illustrée » Un commentaire parfaitement subjectif de Charlotte B.
Voilà !!! On attendait fébrilement Thierry et Pierre, 11h05, 11h09 toujours rien... et ENFIN ça commence. Au début, Thierry le fou parle un peu vite, et nous nous paniquons, commentons et notons avec clavier et stylos en même temps, ça fait qu'on ne pige pas tout, dans la frénésie. « C'est quel film ça ? Attends, c'est quelle catégorie ? Il a commencé la Compet ? Il a dit Twin Peaks non ? Non, je crois pas... ! J'ai pas entendu... Quoi, Diane Kruger, qu'est-ce qu'elle a Diane Kruger, j'ai pas compris pour Diane Kruger... » et tout ça saupoudré de coeurs lancés par chacune quand certains noms apparaissent.
Bref, la même frénésie chaque année quoi.
Et comme on décide de ne faire pour le moment qu'une réaction à chaud, c'est-à-dire absente de toute réflexion poussée, on ne va vous parler pour le moment que des petits BOUM au coeur que l'on a eu en écoutant ce cher Thierry.
Pour ma part, la fan que je suis a hâte de découvrir le court-métrage de Kristen Stewart Come Swim, présenté en Séance Spéciale Spéciale, dixit Thierry. La princesse de Cannes devient reine.
Autant rester dans le cercle des connaissances, il me tarde de revoir Robert Pattinson au Palais des Festivals, dans Good Time des frères Safdie ; car le souvenir de The Rover (Cannes 2014) est encore bien présent, et le jeune acteur était une nouvelle fois bouleversant dans The Lost City of Z, sorti récemment.
Voilà mon duo de coeur.
Le film que j'attends le plus, à vue de nez, mais il y a de fortes chances que cela reste celui là, c'est Wonderstruck de Todd Haynes. Un réalisateur dont j'aime tous les films, qui me marque à chaque fois, dont le sujet ici me parle déjà, et avec la présence au casting de la merveilleuse Michelle Williams. En espérant qu'il ne nous passe pas sous le nez cette fois-ci, comme Carol en 2015....
L'autre film qui fait monter l'impatience, c'est Wind River de Taylor Sheridan présenté à Un Certain regard. Il est le scénariste de Comancheria, un de mes films favoris de 2016. Donc forcément, ça donne envie...
Côté français je suis bien curieuse de découvrir le film de Mathieu Amalric, Barbara, à Un Certain Regard, et celui de Jacques Doillon, en Compétition, avec Lindon en Rodin (et Izia Higelin). Moins de curiosité pour le Godard qui zozote mais bon hein … (le Redoutable de Michel Hazanavicius avec Louis Garrel en JLG). Et en Ouverture, le Desplechin, juste pour Charlotte Gainsbourg, juste pour ce plaisir, parce que je l'attendais de tout mon coeur (tiens encore un coeur), et j'm'en balance - presque - du film.
Et j'ai hâte de découvrir le film fantastique venu de Hongrie, Jupiter's moon, car quand on me dit « fantastique » mon palpitant fait BOUM !
Bref, voilà pour le moment, mais Cannes est bien connu pour les surprises, alors j'ai hâte... Et les premiers films aussi, hâte de les découvrir :-) !!!!
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a2sparis · 4 years
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«Ulla von Brandenburg - le milieu est bleu»
EXPOSITION. «Ulla von Brandenburg - le milieu est bleu»
Au Palais de Tokyo, à Paris. Commissaire : Yoann Gourmel.
«L’envie de faire entrer le rural et le marin dans un environnement urbain», tel a été le «point de départ» de cette impressionnante et fort intrigante exposition individuelle, constituée de trois œuvres créées en 2019 ou 2020 par l’artiste Ulla von Brandenburg, une Allemande de Paris. Cette artiste dit aimer tout à la fois «réunir des choses qui viennent de différents contextes», mettre en place «des espaces dans lesquels on peut prétendre se trouver ailleurs» et inventer des «rituels» pour, dit-elle, «donner du sens à la vie». La scénographie, à laquelle cette artiste a été formée dans sa jeunesse, est très présente dans son travail et, en particulier, dans cette exposition. Première partie de l’exposition, dont elle est une sorte de porte d’entrée, une installation intitulée «Das Was Ist» (Ce qui est) invite le visiteur à passer à travers des ouvertures circulaires découpées dans de grands rideaux, suspendus au plafond et peints de diverses couleurs. Dans la seconde partie de l’exposition intitulée «Personne ne peint le milieu», des films montrant des objets (robe, escarpin...) noyés dans la mer, sont projetés sur des rideaux, tandis que, sous le titre «Le milieu est bleu», la troisième partie de l’exposition est à la fois une vaste installation et un film de 23 minutes, réalisé par l’artiste. Tourné au Théâtre du Peuple de Bussang (Vosges), ce film, auquel ont participé plusieurs dizaines d’acteurs (l’artiste parle de «performeurs»), met en scène une petite communauté rurale, imaginaire, qui vit en circuit fermé, «coupée de l’extérieur». Diverses activités occupent cette communauté, comme, par exemple, la confection de poupées de taille humaine ou la découpe de rubans pour en faire de mystérieux signes.  
Des nasses à poissons pour «se soustraire au regard et se transformer»
Les acteurs du film chantent (fort joliment) un texte inspiré d’une pièce de théâtre de la grande écrivaine allemande Marieluise Fleisser (1901-1974), «Le poisson des grands fonds» (1930). Soudain, troublant le quotidien manifestement très organisé, bien huilé, de cette communauté, une des femmes du groupe rompt l’interdiction d’ouvrir les lourdes portes du bâtiment, dans lequel la communauté vit recluse. Ces portes donnent sur une forêt, vers laquelle cette femme se dirige, bientôt suivie par d’autres membres de la communauté. Ces derniers emportent avec eux divers objets qui, au Palais de Tokyo, sont exposés dans une installation constituée de cinq «cabanes», délimitées par des rideaux. Au sein de cette installation, des «performeurs» du film viennent danser, chanter, élaborer des signes au moyen de rubans ou bien encore déplacer des objets. Ulla von Brandenburg explique que les objets de ces «cabanes» - vêtements, cordes, récipients, meule de foin, cannes à pêche, morceaux de craie, etc. - «représentent différents aspects de nos vies», par exemple l’écriture. Entre autres objets, nous citerons également de très grandes nasses à poissons en osier qui sont «comme des cages de transformation», permettant de «se soustraire au regard et de se transformer», indique Ulla von Brandenburg.
L’ARTISTE : Ulla von Brandenburg, née en 1974 en Allemagne, vit à Paris depuis 2005. En 2016, elle a fait partie des quatre finalistes nommés pour le Prix Marcel Duchamp.
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olivierdemangeon · 6 years
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    Synopsis : 1988. Oh Dae-su est kidnappé par des inconnus en sortant de chez lui. Après avoir perdu connaissance il se rend compte qu’il est emprisonné, quelque part.Tous les jours il est nourri et lavé. Après une tentative d’évasion et une tentative de suicide qui échouent, il se rend compte qu’il n’a même plus la liberté de se donner la mort. En regardant la télévision il découvre que sa femme a été sauvagement assassinée et qu’il est le suspect n° 1. Dae-su jure de se venger…
Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Park Chan-wook Scénaristes : Hwang Jo-yoon, Im Joon-hyeong, Park Chan-wook Acteurs : Choi Min-sik, Yoo Ji-tae, Kang Hye-jung, Kim Byeong-ok, Ahn Yeon-seok, Yoon Jin-seo, Oh Dal-su Musique : Jo Yeong-wook Genre : Drame, Mystère, Thriller Durée : 2 heures Date de sortie : 29 septembre 2004 (France) Année de production : 2003 Sociétés de production : Show East, Egg Films Distribué par : Show East, Tartan Films Titre original : Oldeuboi / 올드보이 Notre note : ★★★☆☆
Notre commentaire : ‘Old Boy” est un thriller mystérieux neo-noir sud-coréen datant de 2003, co-écrit et réalisé par Park Chan-wook, à qui l’on doit également “Lady Vengeance” (2005). Les acteurs principaux sont Choi Min-sik, qu’on a pu voir dans “New World” (2013), Yoo Ji-tae, qu’on a pu voir dans “Antarctic Journal” (2005), Kang Hye-jung, qu’on a pu voir dans “Lucid Dream” (2017), Kim Byeong-ok, qu’on a pu voir dans “A Violent Prosecutor” (2016), et Oh Dal-su, qu’on a pu voir dans “Master” (2016). Ce métrage est basé sur le manga japonais du même nom écrit par Nobuaki Minegishi et Garon Tsuchiya. En outre, “Old Boy” est le deuxième volet de The Vengeance Trilogy dirigé par le même réalisateur, précédé par “Sympathy for Mr. Vengeance” (2002) et suivi par “Sympathy for Lady Vengeance” (2005).
“Old Boy” a remporté le Grand Prix du Festival de Cannes en 2004 et les éloges du président du jury, le réalisateur Quentin Tarantino. D’un point de vue critique, le film a été bien reçu aux États-Unis. Il a été classé comme faisant partie des meilleurs films des années 2000 dans plusieurs publications.
La fameuse scène de combat dans le couloir a nécessité dix-sept prises en trois jours afin de perfectionner les déplacements, les mouvements, et est réalisé en une seule scène en continue ; il n’y a aucune édition particulière à part le couteau planté dans le dos d’Oh Dae-su, qui est une image générée par ordinateur.
Les autres images générées par ordinateur dans le film incluent la fourmi sortant du bras de Dae-su ainsi que les fourmis rampant sur lui dans la scène suivante. Le poulpe mangé alors qu’il est encore vivant n’a pas été généré par ordinateur, quatre bestioles ont été utilisés afin de réaliser de cette scène. L’acteur Choi Min-sik, bouddhiste, aurait dit une prière pour chacun d’entre eux. La consommation de pieuvres tortueuses (appelées san-nakji (산낙지) en coréen) en tant que friandise existe depuis très longtemps en Asie de l’Est, bien qu’elle soit généralement tuée et coupée, non consommée entière et vivante.
Le paysage enneigé de la scène finale a été filmé en Nouvelle-Zélande. La fin du métrage est délibérément ambiguë, et le public se retrouve avec plusieurs questions : spécifiquement, combien de temps s’est-il écoulé, est-ce que la rencontre de Dae-Su avec l’hypnotiseur a-t-elle vraiment eu lieu, va-t-il continuer sa relation avec Mi-do. Il appartient donc à chaque spectateur d’interpréter à sa guise ce qui n’est pas montré, ce qui n’est pas explicité.
L’histoire proposée par “Old Boy” nous invite à suivre Oh Dae-su (Choi Min-sik), un homme qui se fait kidnapper, et enfermer dans une pièce qui ressemble à une chambre d’hôtel minable. Un lit, un bureau, une télévision, une salle de bain et surtout une porte en acier avec une ouverture dans sa partie basse pour y faire passer les plateaux de nourriture. Dae-su va y rester pendant 15 ans, sans savoir qui l’a emprisonné et pourquoi. Il apprend par la télévision que son sang et ses empreintes digitales ont été retrouvées sur les lieux du meurtre de sa femme et que leur fille a été adoptée en Suède.
“Old Boy” s’intéresse essentiellement à la psychologie de son personnage principal, au-delà de la violence, et au-delà de la sexualité affichée. Après avoir passé 15 années en captivité, Oh Dae-su est une personne différente, axée sur la vengeance. Chemin faisant, il va rencontrer Mido (Gang Hye-Jung), une jeune femme qui a été récemment nommée chef de l’année. Elle va l’accompagner dans sa quête de vengeance. À partir de ce stade, le métrage cesse d’être un film mystérieux, pour devenir une tragédie au sens classique du terme.
Un homme consumé par le besoin de vengeance, qui découvre finalement qu’il a été emprisonné par un autre homme tout aussi animé que lui par la vengeance, mais infiniment plus diabolique. Et c’est là que l’on comprend que cette notion de vengeance n’est pas située là où on le pensait jusque-là. De prime abord, on pense être confronté à une simple histoire de vengeance basique. On m’a fait ça, je vais me venger. Mais il n’en est rien. C’est l’action d’avoir emprisonné cet homme durant 15 années qui est finalement la véritable vengeance. Et en ce sens, le scénario est magnifiquement écrit.
C’est là que s’arrête malheureusement, pour notre part, les points positifs proposés par “Old Boy”, parce que pour le reste, au secours ! La photographie est vraiment horrible. Les mouvements de caméra sont désagréables à l’œil. Certaines scènes sont terriblement longues, et les scènes d’action, bien qu’explosives, sont trop peu nombreuses. Il y a une approche psychédélique relativement lourde, fatigante. On joue sur l’ambiguïté de certaines situations, ne sachant finalement pas si cela relève du rêve, du délire, du fantasme, voir de l’hallucination. Certaines scènes sont certes graphiques, mais n’apporte rien de particulier au récit, au développement, si ce n’est qu’entretenir le mystère, de soigner l’aspect énigmatique.
“Old Boy” a fait l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, paru le 1er janvier 2012 chez Warner Home Vidéo France. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “Old Boy” est un film à caractère mystérieux, disposant d’une histoire violente de vengeance dont le scénario est malicieux. L’intrigue est intéressante, mais la photographie est douloureuse, le rythme est irrégulier et l’approche métaphorique est plus assommante que réellement captivante. La distribution offre de bonnes prestations, mais largement dominées par la performance de Choi Min-sik. L’ensemble est finalement troublant dans son aspect développement, et bascule dans la masturbation intellectuelle sans intérêt, bien loin du chef-d’oeuvre annoncé… A l’arrivée c’est plus une déception qu’une réelle découverte !
  Bande-annonce :
OLD BOY (2003) ★★★☆☆ Synopsis : 1988. Oh Dae-su est kidnappé par des inconnus en sortant de chez lui. Après avoir perdu connaissance il se rend compte qu’il est emprisonné, quelque part.Tous les jours il est nourri et lavé.
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karstic · 7 years
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Ce fut le petit plus de ma fin de vacances. J'avais encore quelques heures devant moi, l'envie d'un travail manuel qui sorte un peu de l'ordinaire, pour le geste plus que le besoin, et des palettes à recycler. Avec tout ça, il y avait bien moyen de me faire plaisir et en même temps d'être utile.
Ça tombe bien, fin août c'est comme qui dirait les prémices de l'automne. Et cette saison marque le début de préoccupations importantes pour tout un tas de petits êtres qui prendront bientôt des dispositions en vue de la saison froide.
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Non non, j'ai pas adopté un petit chien. Cet habitat bizarre aux normes très spéciales est bien fait pour un truc à poils durs, mais d'un autre genre. Du genre Erinaceus europaeus pour être précis. Le hérisson.
Ils se plaisent bien dans les jardins autour, passant de l'un à l'autre en quête de nourriture à la nuit tombée. L'animal est plutôt débonnaire. Si on ne bouge pas, il vous passe sous le nez tranquille, et même il vient vous renifler la savate. On peut lui grattouiller le dos sans que ça l'émeuve plus que ça. Il se raidit bien un peu pendant la série de photos au flash mais reprend assez vite sa route et file sous le buisson. Ça courre vite mais pas souvent. Et ça s'entend venir facilement dans le silence : ça brasse de la feuille morte façon tracteur et ça grogne style mini-sanglier tuberculeux. Le temps de sortir le mobile, de lancer l'appli photo, de regarder trois tweets et une info, et il arrive.
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L'animal hiberne. Lorsque la nourriture est trop rare (insectes, vers, escargots, limaces, baies), autant se la couler douce au pieu. Pendant ce sommeil, sa température peut descendre de 20°. Il se réveille brièvement chaque semaine, moments où il brûle le plus de graisse de réserve pour retrouver une température corporelle normale.
Plus les réveils sont fréquents, plus il puise dans ses réserves. Et lorsque ces réserves deviennent trop basses, le hérisson doit impérativement reprendre une vie normale. Quelles que soient la période et la température, il doit trouver à manger. Et si le manger lui ne s'est pas encore réveillé, RIP le hérisson.
Autant dire que la qualité de l'abri d'hibernation a son importance. Bien adapté aux exigences de l'animal, il lui assurera un sommeil régulier qui le conduira peinard jusqu'au début des bonds joyeux des premières sauterelles bien grasses.
Par ailleurs, s'il trouve l'endroit à son goût, il y a toute chance qu'il y installe aussi ses quartiers d'été pour y élever ses petits.
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Monsieur (ou madame, faudrait mettre des gants pour savoir) apprécie donc un petit corridor d'accès à sa mesure, 12 centimètres sur 12, assez long pour dissuader un chat de s'y engager, qui ouvre sur une entrée spacieuse. Assez grande pour pouvoir y tourner un peu, s'y dégourdir et stocker quelques bricoles (des feuilles mortes pour l'isolation, la réserve de bois pour le poêle, les bottes et le ciré au retour de balade, la canne à pêche… enfin des bricoles).
L'entrée dans la pièce à vivre se fait par une porte décalée afin d'éviter les courants d'air quand les mômes referment pas la porte en rentrant de l'école. Et alors le séjour c'est grand luxe : 1600 cm2 au bas mot, parquet et lambris d'époque en provenance directe du Comptoir Batimat par transpalette spécialement affrété, poutres apparentes, épais tapis signé La Montagne (édition 2016), hauteur sous plafond de 35 à 40 centimètres, charpente couverte d'authentiques bardeaux bitumés, décoration intérieure en feuilles sèches sélectionnées (amandier, arbre de Judée, noisetier)…
Le wifi n'est pas encore installé, j’attends le résultat de l'appel d'offres.
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C'est bien beau tout ça, mais comment savoir si un locataire a posé sa valise dans les lieux ? Le cahier des charges proscrit toute ouverture, le hérisson détestant la clarté. Et pas question de soulever le toit pour vérifier s'il y a du monde, c'est un coup à faire fuir l'occupant.
Allo Gilbert ? T'as une place libre dans ton appart ? Moi je dégage d'ici, c'est trop l'enfer cette piaule. Tous les jours y'a un gros lourd qui me soulève le toit, ça bouge toute la baraque, ça fait un boucan à me tomber les piquants, je me prends 3000 watts dans les mirettes et ça me pète la température ambiante. C'est pu possible !
Alors j'ai fait un judas. C'est moche hein. Ouais, chercher à voir sans être vu c'est petit. Mais bon, on est comme ça nous les humains, quand on aide, on aime bien savoir si ça valait la peine. Faut être vraiment pur pour aider sans se soucier de rien d'autre que de l'acte d'aider, sans attendre la petite gratification amenée par le sentiment d'avoir été vraiment utile.
Bref. Pour compenser ce petit remord, j'ai soigné l'affaire genre RT2012 norme BBC, avec plexiglass épais, calfeutrement contre les courants d'air, parement alu et volet bien ajusté pour occulter toute lumière.
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Aller, rideau ! Faut laisser les gens tranquille maintenant.
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Vous savez quel est le pire ennemi du hérisson, la voiture et les pesticides mis à part (donc en gros, l'homme) ? La mouche.
Le hérisson ne sort que la nuit. Si vous en voyez un le jour, c'est qu'il est en grande difficulté, sans doute délogé de son gîte ou en proie à un gros stress et désorienté. La nuit, pas de mouches. Mais le jour… Elles pondent entre les piquants du hérisson, les larves s'y développent, pénètrent, et grignotent l'animal vivant jusqu'à ce que mort s'ensuive. Voilà voilà. Hum, désolé. Un hérisson croisé de jour, c'est pas normal et même dramatique.
Dans ce cas, soit vous n'en faites pas votre problème, personne ne vous en voudra, pas même l'intéressé, soit vous le prenez avec vous pour le mettre à l'abri et lui éviter une probable longue agonie. Ce qui implique d'en prendre soin quelques heures avant de le rendre à son milieu naturel.
Des conseils ici pour savoir quoi faire (site “à l'ancienne” mais hautement spécialisé).
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latribune · 1 month
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latribune · 8 months
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latribune · 11 months
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youtube
(via https://www.youtube.com/watch?v=BdcPoTr200k)
10-5-2017 AMIS INTERNAUTE A CANNES LA CROISETTE COMMENCE A ËTRE EN PLEINE REPETITION DANS 7 JOURS C'EST L' OUVERTURE du Festival de CANNES. DU COTE DES ACTEURS , DES REALISATEURS, DES COMPOSITEURS DE MUSIQUE, ILS SONT TOUS EN ATTENTE DE LA DELIBERATION DU JURY?
11-04-2016 mise à jour 10-8-2015 mise à jour Ajoutée le 20 avr. 2014,Musique"C'era una Volta il West (From "C'era una Volta il West")" de Ennio Morricone THOMAS ANDRE poète,écrivain,MARTINE ANCIAUX photographe d'art, créatrice de la photo peinture,creator of the photo painting,art photographer, Art of 21thCentury, A un mois du plus grand festival du monde, le festival de Cannes Sans eux, la plupart des films auraient un semblant de vide Grâce aux compositeurs,de  très bons films deviennent des chefs-d'oeuvres.compositeurs de musique de film incontournables d'hier, et d'aujourd'hui et malheureusement il en manquent,primé au festival de Cannes,à la Mostra de Venise, aux oscars d'Hollywood, Los Angelés,gremmy howards,berlinade de Berlin, Festival international du film de Hong Kong,Festival international du film de Shanghai, Festival international de films de Montréal,Festival international du film de Pusan, Festival de films de Calcutta, John Williams, Jerry Goldsmith, John Barry, James Horner, Alan Silvestri,Ennio Morricone, Bernard Hermann, Danny Elfman, Basil Poledouris,James-Newton Howard,Harry Gregson-Williams, David Arnold, Maurice Jarre,Nino Rota, Trevor Rabin, Howard Shore, Randy Edelman,Michael Giacchino, Francis Lai, Michel Legrand, etc... ©MUSIQUES DE FILMS POEME THOMAS ANDRE©
Si il est un domaine, ou le rôle de la musique, est prépondérant, C'est le cinéma, en effet, c'est le cheminement du film, L'histoire, et le scénario, sont encadrés, par la musique du film, Et à notre époque, ou le son, et l'image, sont si important,
Il est nécessaire, de trouver, le bon compositeur, Le maître de l'écriture des notes, ce musicien, Qui va donner de l'ampleur, et du volume, au créateur, De ce long métrage, dont l'ordonnancement, est digne d'un physicien.
Combiné une scène, avec un thème musical, Est toute une alchimie, Cela devient un autre genre d'art, comme une réaction de chimie, Les bonnes proportions, les bonnes sonorités, pour avoir le tempo musical.
J'ai beaucoup apprécié, ses grands films si intenses, Dont l'intrigue, est couronné par la mélodie, si précieuse, Qui rends ceux-ci encore, plus denses, Dans le déroulement de l'histoire, enrichie par la bande son, si délicieuse.
Quel que soit le genre, Western, sentimental, de guerre, thriller, ou suspense, Quand le choix est bon, la musique colle au genre, Et la, le réalisateur, sait qu'il a fait une saine dépense.
S'entourer, de ces grands magiciens, Des surdoués du son, je les nomme des cliniciens, Car en plus, de la virtuosité, et du talent, Il est nécessaire, d'en amener le déroulement.
Je me souviens, de love story, l'ensemble magnifique, Il était une fois dans l'ouest, presque historique, Les dents de la mer, dramatique, Stars wars, pénétrant et fantastique.
En fait, ces films, sont devenus, des références, Des sortes d'ouvrages, incontournables, de notre temps, Et seront comme des exemples, dans un autre temps, Comme ses symphonies, de ses grands musiciens, des siècles passés, qui sont devenus références.
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© FILM MUSIC POEME THOMAS ANDRE ©
If there is one area, or the role of music is predominant, This is cinema, in fact, the path of the film, The story and screenplay are framed by the music of the film, And in our time, or sound and image are so important,
It is necessary to find the right composer, The master of writing notes, musician, Who will give scale and volume, the creator, In this film, including scheduling, is worthy of a physicist. Combined a scene with a musical theme, Is a chemistry, It becomes a different kind of art, like a chemical reaction, Good proportions, good sounds for the musical tempo. I enjoyed, his great films so intense, Whose plot is crowned by the melody, so precious, Which give them even denser In the course of history, enriched by the soundtrack, so delicious. Whatever the genre, Western, sentimental, war, thriller or suspense, When the choice is good, the music sticks to the genre, And the director, knows he has a healthy expense. Surround yourself of these great magicians, Gifted sound, I called the clinicians, Because in addition to the virtuosity and talent, It is necessary to move the flow. I remember love story of the beautiful set, Once upon a time in the west, almost historic, The teeth of the sea, dramatic, Stars Wars, penetrating and fantastic. In fact, these films have become references, Kinds of books, essential, in our time, And will be examples, in another time, As his symphonies, its great musicians of the past centuries, which have become references.
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