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Activité physique : les Français en progrès
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Fizkes/shutterstock.com
Running, marche rapide, vélo… Selon les résultats du 8e Baromètre Sport-santé, les Français accorderaient de plus en plus de temps à la pratique d’une activité physique. Précisément, 3h36 en moyenne par semaine, soit 18 minutes de plus qu’en 2017.
« Il existe aujourd’hui, une réelle prise de conscience des problèmes de santé liés à la sédentarité et à l’inactivité physique. Et également une prise de conscience environnementale liée au défi climatique », explique Patricia Morel, présidente de la Fédération française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV), à l’initiative de ce baromètre sport-santé.
En 6 ans, la part des pratiquants a en effet augmenté de 8 points : 62% en 2018 contre 54% en 2012. En partie, selon la FFEPGV, grâce aux bienfaits attribués par les Français à l’activité physique : évacuer le stress pour 86% d’entre eux, diminuer le risque d’infarctus (77%) et encore améliorer la qualité du sommeil (76%).
En extérieur
La Fédération promeut de nombreuses disciplines, à pratiquer notamment en extérieur « pour se ressourcer et profiter des espaces naturels », ajoute Patricia Morel. A l’image de la marche active, « particulièrement adaptée aux seniors », avec des bénéfices au niveau cardiovasculaire et en termes de renforcement musculaire. Mais aussi de la marche nordique, efficace pour faire travailler l’ensemble du corps. Cette pratique entraîne par ailleurs une dépense énergétique 40% plus importante comparée à  la marche classique. Pour en savoir plus et trouver un club près de chez vous, rendez-vous sur www.sport-sante.fr/. Retrouvez cet article sur DestinationSante.com
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Un vaccin ultra-puissant contre l’allergie aux piqûres d’abeilles
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Numstocker/shutterstock.com
Des chercheurs australiens viennent de mettre au point un vaccin pour immuniser les personnes allergiques aux piqûres d’abeille.
Au-delà de la douleur, une piqûre d’abeille peut s’avérer très dangereuse en cas d’allergie au venin de cet hyménoptère. Pour empêcher ces réactions, des chercheurs australiens* ont développé une version amplifiée du vaccin déjà existant.
La recette testée auprès de 27 volontaires allergiques ? L’utilisation d’un sucre, l’Advax, comme adjuvant. Ce dernier est censé aider « l’organisme à neutraliser rapidement le venin de l’abeille ». A ce jour, selon le Pr Nikolai Petrovsky, plus d’un millier de personnes ont bénéficié de ce vaccin.
« Cette approche revient à poser un turbo sur le moteur d’une voiture, ce qui rend le vaccin contre l’allergie aux piqûres d’abeilles bien plus puissant. Le système immunitaire est bien plus efficace pour (…) prévenir les symptômes allergiques. »
En plus d’être efficace, cette technique s’avère aussi moins contraignante pour les patients. A ce jour, la seule thérapie existante, dite désensibilisation, repose sur 50 injections réparties sur 3 ans « pour construire le système immunitaire. Les traitements actuels contre l’allergie sont longs et lourds. »
L’Advax entre aussi dans la composition de vaccins contre « la grippe, les hépatites, le paludisme, la maladie d’Alzheimer, les cancers et d’autres maladies ».
Que faire en cas d’allergie ?
Les principaux symptômes de l’allergie aux piqûres d’abeille sont des picotements, une sensation de malaise, d’étourdissement, des difficultés à respirer, des gonflements de la lèvre, de la gorge ou des yeux. Mais aussi des nausées, des vomissements ou encore une urticaire généralisée. Ces réactions nécessitent une consultation immédiate aux urgences.
En cas d’antécédent d’allergie, gardez toujours un auto-injecteur épinéphrine sur vous. Ce dispositif à base d’adrénaline permettant de lutter en urgence contre le choc anaphylactique. Cliquez ici pour en savoir plus sur les réflexes à adopter.
A noter : L’allergie au venin d’abeille concerne 1% de la population.
*Flinders University, Adélaïde, Australie
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Incendies : 6 gestes de prévention
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Martin Klingele/shutterstock.com
Alors qu’une nouvelle vague de fortes chaleurs est annoncée sur l’Hexagone, la sécheresse favorise les départs de feux. Chacun peut et doit participer à la prévention de ces drames.
« En France métropolitaine, en moyenne, 4 000 feux brûlent 11 000 hectares de forêt par an », rappelle le Ministère de la Transition écologique et solidaire. La zone méditerranéenne est la plus concernée par ces tragédies écologiques et humaines. Cette année, « en raison de la sécheresse, les feux se déclarent aussi hors des zones forestières », avertit le ministère.
Ces incendies constituent des catastrophes écologiques et humaines. Ils mettent en danger la vie des habitants et des pompiers luttant contre les flammes. Tandis que « plus de 50% des départs de feux pourraient être évités en appliquant les bons gestes au quotidien », voici les recommandations à conserver à l’esprit les jours de fort risque d’incendie.
Même si vous mourez d’envie d’une grillade, n’allumez ni feu, ni barbecue ;
Ne jetez pas votre mégot par la fenêtre de votre voiture ;
Ne réalisez pas de travaux avec des matériels susceptibles de déclencher un feu (disqueuse, soudure…) ;
Ne stockez pas vos combustibles (bois, fuel, butane) contre votre maison,
Si vous êtes témoin d’un début d’incendie, prévenez le 18 ou le 112 et essayez de localiser le feu avec précision ;
Confinez-vous, ne fuyez pas, votre habitation est le meilleur abri.
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VIH : où et comment faire un test de dépistage ?
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Africa Studio/shutterstock.com
Un des principaux outils de prévention du VIH reste le dépistage. Aujourd’hui, l’accès aux tests est devenu plus facile grâce à une offre élargie. Panorama des différents moyens d’accéder à ces dispositifs en toute confidentialité.
Le test sanguin peut être réalisé en laboratoire biologique. Sur ordonnance, la sérologie VIH, effectuée grâce au test Elisa de 4e génération*, y est alors prise en charge à 100% par l’Assurance-maladie. Ce test sanguin est également disponible gratuitement dans les centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic (CEGIDD).
Le test rapide d’orientation diagnostique du VIH (TROD) peut quant à lui être réalisé dans certains CeGIDD par un professionnel de santé. Certaines associations sont en outre habilitées à le pratiquer pour des publics particulièrement à risque (homos et bisexuels, migrants, personnes précaires, travailleurs-euses du sexe). Dans certaines structures associatives de prévention contre le VIH et la toxicomanie, il est possible de faire un TROD combiné VIH-VHC (hépatite C). L’Assurance-maladie en assure le financement.
Le test consiste à prélever une goutte de sang au bout du doigt et à l’exposer à des solutions réactives afin d’établir on non la présence d’anticorps dirigés contre le VIH, virus responsable du Sida. Le résultat est disponible en 30 minutes maximum.
Les autotests de dépistage de l’infection par le VIH (ADVIH) sont des TROD utilisables par toute personne souhaitant se dépister seule à domicile. Ils permettent de détecter des anticorps anti-VIH en 30 minutes à partir d’une goutte de sang ou de fluide sécrété par le tissu gingival. Actuellement, trois autotests disposent d’un marquage CE. Ils sont disponibles en pharmacie et ne sont pas remboursés par l’Assurance-maladie. Leur coût varie entre 18 et 30 euros.
Pour trouver le centre de dépistage le plus proche de chez vous, appelez Sida Info Service au 0 800 840 800 (appel confidentiel, anonyme et gratuit). La liste des CeGIDD est consultable sur le site de Sida Info Service.
A noter : malgré les actions de prévention, de nombreux Français ne se font pas dépister du tout, ou bien trop tardivement. Résultat, 30% des nouveaux cas en 2017 ont été diagnostiqués à un stade avancé de la maladie.
*détectant les anticorps anti-VIH-1 et anti-VIH-2 ainsi qu’un antigène du virus nommé P24
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Grossesse et obésité, un risque élevé de diabète pour l’enfant
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pecky_photograph/shutterstock.com
Le surpoids et a fortiori l’obésité impactent la santé de la femme enceinte et de son enfant à naître. Pour ce dernier, le risque de développer un diabète de type 2 est multiplié par 3,5 !
Le surpoids et l’obésité chez la femme enceinte les exposent à de nombreuses complications. Parmi celles-ci, la pré-éclampsie et le diabète gestationnel. La santé du bébé peut elle aussi être impactée. Pour évaluer le risque de diabète chez l’enfant à naître, l’équipe du Pr Rebecca Reynolds de l’Université d’Edimbourg (Ecosse) a mené un travail auprès de 118 201 enfants nés entre 1950 et 2011 via les dossiers de la maternité d’Aberdeen. Les chercheurs ont comparé les données de ces enfants et de leurs mères avec le registre national de diagnostic du diabète.
Un sur-risque de 250%
Les résultats révèlent une augmentation de 26% du risque de diabète de type 1 ou 2 chez l’enfant lorsque la mère est en surpoids. Et ce comparé à un enfant dont la mère présente un poids normal. En cas d’obésité, la hausse du risque atteint 83% !
Lorsque les scientifiques ont analysé ces données pour le diabète de type 2 uniquement, le constat s’est avéré encore plus néfaste pour l’enfant. Ainsi, le risque était augmenté de 40% lorsque les femmes sont en surpoids et de… 250% dans le cas des mères obèses ! Ce qui correspond à une multiplication du risque par 3,5.
« Le mécanisme d’action liant le surpoids de la mère et le diabète chez l’enfant est encore inconnu », soulignent les auteurs. Lesquels avancent toutefois plusieurs hypothèses comme un environnement in utero concentré en glucose ou des changements épigénétiques liés à un IMC élevé.
Les auteurs notent quoi qu’il en soit, une hausse importante de l’incidence du surpoids chez la femme enceinte en 50 ans. Ainsi, la proportion des mères obèses a été multipliée par 5 entre la décennie 1950-1959 et 2000-2011. Passant de 3% à 16%. Une raison supplémentaire de poursuivre ces travaux pour déterminer la cause de ce lien et (...)
Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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Grossesse et obésité, un risque élevé de diabète pour l’enfant
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pecky_photograph/shutterstock.com
Le surpoids et a fortiori l’obésité impactent la santé de la femme enceinte et de son enfant à naître. Pour ce dernier, le risque de le développer un diabète de type 2 est multiplié par 3,5 !
Le surpoids et l’obésité chez la femme enceinte les exposent à de nombreuses complications. Parmi celles-ci, la pré-éclampsie et le diabète gestationnel. La santé du bébé peut elle aussi être impactée. Pour évaluer le risque de diabète chez l’enfant à naître, l’équipe du Pr Rebecca Reynolds de l’Université d’Edimbourg (Ecosse) a mené un travail auprès de 118 201 enfants nés entre 1950 et 2011 via les dossiers de la maternité d’Aberdeen. Les chercheurs ont comparé les données de ces enfants et de leurs mères avec le registre national de diagnostic du diabète.
Un sur-risque de 250%
Les résultats révèlent une augmentation de 26% du risque de diabète de type 1 ou 2 chez l’enfant lorsque la mère est en surpoids. Et ce comparé à un enfant dont la mère présente un poids normal. En cas d’obésité, la hausse du risque atteint 83% !
Lorsque les scientifiques ont analysé ces données pour le diabète de type 2 uniquement, le constat s’est avéré encore plus néfaste pour l’enfant. Ainsi, le risque était augmenté de 40% lorsque les femmes sont en surpoids et de… 250% dans le cas des mères obèses ! Ce qui correspond à une multiplication du risque par 3,5.
« Le mécanisme d’action liant le surpoids de la mère et le diabète chez l’enfant est encore inconnu », soulignent les auteurs. Lesquels avancent toutefois plusieurs hypothèses comme un environnement in utero concentré en glucose ou des changements épigénétiques liés à un IMC élevé.
Les auteurs notent quoi qu’il en soit, une hausse importante de l’incidence du surpoids chez la femme enceinte en 50 ans. Ainsi, la proportion des mères obèses a été multipliée par 5 entre la décennie 1950-1959 et 2000-2011. Passant de 3% à 16%. Une raison supplémentaire de poursuivre ces travaux pour déterminer la cause de ce lien et mettre en place une prise en charge adéquate des femmes et des enfants concernés.
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Femmes : les 4 bonnes raisons d’arrêter l’alcool
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AndreyCherkasov/shutterstock.com
En France, la consommation d’alcool des femmes n’a jamais été aussi proche de celles des hommes. Les 30-50 ans sont les plus concernées par les ivresses à répétition. Les usages modérés mais réguliers touchent davantage les femmes plus âgées. Or la vulnérabilité féminine face à ces abus, chroniques ou ponctuels, n’est pas anodine. Voilà les principaux risques dont vous vous protégez en arrêtant de boire.
Chez les femmes, l’arrêt de la consommation d’alcool protège contre le risque de :
Fragilité mentale. Pour le prouver, l’équipe japonaise du Dr. Michael Ni a suivi 10 386 volontaires non buveurs ou buveurs modérés (ne dépassant pas les 14 unités par semaine pour les hommes et 7 pour les femmes). Une étude menée entre 2009 et 2013. Résultats, 64% des  hommes et 88% des femmes ne buvaient pas. Le degré de bien-être en terme de santé mentale était bien plus élevé chez les abstinents. Et les femmes qui buvaient modérément et celles qui mettaient fin à leur consommation voyaient leur santé mentale s’améliorer ;
Démence. Selon une étude de l’Inserm menée entre 2008 et 2013 auprès de 57 000 cas de démence, plus de la moitié des épisodes précoces (survenant avant 65 ans) sont provoqués par l’alcool. Chez les personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative type Alzheimer, on répertorie 3 fois plus de patients alcooliques comparé à la population générale. Parmi les sujets déments en lien avec l’alcool, 4% sont des femmes. Ce phénomène peut s’expliquer par l’impact neurotoxique de l’alcool provoquant d’importantes lésions cérébrales ;
Cancer du sein. Aujourd’hui, tous sexes confondus, l’alcool constitue le 2e facteur de risque de cancer, après le tabac. Chez les femmes, 15% des cancers du sein sont déclenchés par l’alcool. Et l’incidence de cette tumeur a quasiment doublé entre 1990 et aujourd’hui. ;
Décès. Cette diminution de la consommation constitue une priorité de santé publique : l’alcool est en effet à l’origine de 60 maladies (cardiovasculaires, cancers, diabète, épilepsie, hémorragies…). Plus de la moitié des maladies du foie surviennent chez les petits et grands buveurs. Et chaque année ces boissons sont responsables de 41 000 décès dont 11 000 femmes.
A noter : les repères de consommation d’alcool comportent 3 recommandations : pas plus de 10 verres par semaine, pas plus de 2 verres par jour et maintenir toutes les semaines des jours d’abstinence.
*School of Public Health and The State Key Laboratory of Brain and Cognitive Science, University of Hong Kong (HKU)
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Femmes : les 4 bonnes raisons d’arrêter l’alcool
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En France, la consommation d’alcool des femmes n’a jamais été aussi proche de celles des hommes. Les 30-50 ans sont les plus concernées par les ivresses à répétition. Les usages modérés mais réguliers touchent davantage les femmes plus âgées. Or la vulnérabilité féminine face à ces abus, chroniques ou ponctuels, n’est pas anodine. Voilà les principaux risques dont vous vous protégez en arrêtant de boire.
Chez les femmes, l’arrêt de la consommation d’alcool protège contre le risque de :
Fragilité mentale. Pour le prouver, l’équipe japonaise du Dr. Michael Ni a suivi 10 386 volontaires non buveurs ou buveurs modérés (ne dépassant pas les 14 unités par semaine pour les hommes et 7 pour les femmes). Une étude menée entre 2009 et 2013. Résultats, 64% des  hommes et 88% des femmes ne buvaient pas. Le degré de bien-être en terme de santé mentale était bien plus élevé chez les abstinents. Et les femmes qui buvaient modérément et celles qui mettaient fin à leur consommation voyaient leur santé mentale s’améliorer ;
Démence. Selon une étude de l’Inserm menée entre 2008 et 2013 auprès de 57 000 cas de démence, plus de la moitié des épisodes précoces (survenant avant 65 ans) sont provoqués par l’alcool. Chez les personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative type Alzheimer, on répertorie 3 fois plus de patients alcooliques comparé à la population générale. Parmi les sujets déments en lien avec l’alcool, 4% sont des femmes. Ce phénomène peut s’expliquer par l’impact neurotoxique de l’alcool provoquant d’importantes lésions cérébrales ;
Cancer du sein. Aujourd’hui, tous sexes confondus, l’alcool constitue le 2e facteur de risque de cancer, après le tabac. Chez les femmes, 15% des cancers du sein sont déclenchés par l’alcool. Et l’incidence de cette tumeur a quasiment doublé entre 1990 et aujourd’hui. ;
Décès. Cette diminution de la consommation constitue une priorité de santé publique : l’alcool est en effet à l’origine de 60 maladies (...) Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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Comment traiter une diarrhée chez l’enfant ?
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Ann in the uk/shutterstock.com
Votre enfant a la diarrhée ? Inutile de vous précipiter vers les médicaments anti-diarrhéiques. La meilleure façon de prévenir le risque de déshydratation réside dans l’utilisation des solutés de réhydratation orale.
Les virus intestinaux sont fréquents, même en été. Et ils n’épargnent pas les plus jeunes. Alors si votre petit se met à avoir la diarrhée, son mal a probablement une origine virale. En effet, « en France une vaste majorité des diarrhées infectieuses est d’origine virale », indique l’Agence nationale du médicament (ANSM). Et « la plupart d’entre elles guérissent sans traitement médicamenteux ».
En revanche, s’il souffre d’une diarrhée sévère et prolongée, un enfant, surtout en bas âge est exposé à un risque de déshydratation. C’est pourquoi « la prise en charge repose sur l’administration de solutés de réhydratation orale », rappelle l’ANSM. « Les boissons énergétiques, les sodas, les jus de fruits et les boissons similaires ne répondent pas à ces critères et ne doivent pas être utilisés », précise le manuel MSD.
Les antidiarrhéiques de leur côté ne sont pas recommandés chez le nourrisson et le jeune enfant. Tout comme les anti-infectieux intestinaux comme le nifuroxazide (Ercefuryl et ses génériques). L’ANSM vient d’ailleurs d’annoncer que celui-ci ne devra désormais plus être utilisé pour les moins de 18 ans en raison d’effets indésirables graves parmi lesquels des réactions allergiques potentiellement fatales. De plus, ce médicament ne sera plus délivré que sur prescription médicale.
Pour autant, une diarrhée sévère peut nécessiter l’hospitalisation de l’enfant pour être réhydraté grâce à une sonde introduite par le nez et placée dans l’estomac (sonde nasogastrique) ou par perfusion. En cas de doute, consultez votre médecin.
A noter : La diarrhée est la deuxième cause de mortalité chez l’enfant de moins de 5 ans. Elle provoque le décès de plus de 500 000 d’entre eux chaque année.
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Comment traiter une diarrhée chez l’enfant ?
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Ann in the uk/shutterstock.com
Votre enfant a la diarrhée ? Inutile de vous précipiter vers les médicaments anti-diarrhéiques. La meilleure façon de prévenir le risque de déshydratation réside dans l’utilisation des solutés de réhydratation orale.
Les virus intestinaux sont fréquents, même en été. Et ils n’épargnent pas les plus jeunes. Alors si votre petit se met à avoir la diarrhée, son mal a probablement une origine virale. En effet, « en France une vaste majorité des diarrhées infectieuses est d’origine virale », indique l’Agence nationale du médicament (ANSM). Et « la plupart d’entre elles guérissent sans traitement médicamenteux ».
En revanche, s’il souffre d’une diarrhée sévère et prolongée, un enfant, surtout en bas âge est exposé à un risque de déshydratation. C’est pourquoi « la prise en charge repose sur l’administration de solutés de réhydratation orale », rappelle l’ANSM. « Les boissons énergétiques, les sodas, les jus de fruits et les boissons similaires ne répondent pas à ces critères et ne doivent pas être utilisés », précise le manuel MSD.
Les antidiarrhéiques de leur côté ne sont pas recommandés chez le nourrisson et le jeune enfant. Tout comme les anti-infectieux intestinaux comme le nifuroxazide (Ercefuryl et ses génériques). L’ANSM vient d’ailleurs d’annoncer que celui-ci ne devra désormais plus être utilisé pour les moins de 18 ans en raison d’effets indésirables graves parmi lesquels des réactions allergiques potentiellement fatales. De plus, ce médicament ne sera plus délivré que sur prescription médicale.
Pour autant, une diarrhée sévère peut nécessiter l’hospitalisation de l’enfant pour être réhydraté grâce à une sonde introduite par le nez et placée dans l’estomac (sonde nasogastrique) ou par perfusion. En cas de doute, consultez votre médecin.
A noter : La diarrhée est la deuxième cause de mortalité chez l’enfant de moins de 5 ans. Elle provoque le décès de plus de 500 000 d’entre eux chaque année. Retrouvez cet article sur DestinationSante.com
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Contre l’antibiorésistance, 2 nouveaux antibiotiques français
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Culture de bactéries dans une boite de Pétri. ©Inserm/Latron, Patrice
Deux nouvelles molécules antibiotiques dépourvues de toxicité et qui ne produiraient pas de résistance chez les bactéries exposées ? Voici la promesse encourageante résultant des travaux d’une équipe Inserm. Un espoir dans la lutte contre le fléau de l’antibiorésistance.
Les antibiotiques sauvent de nombreuses vies. Mais leur efficacité est largement mise à mal depuis plusieurs années par une antibiorésistance galopante. Une bonne nouvelle sur ce front provient des travaux d’une équipe française*. Le Pr Brice Felden et ses collègues « ont récemment identifié une nouvelle toxine bactérienne et l’ont transformée en antibiotiques puissants et actifs contre différentes bactéries responsables d’infections humaines », indique l’Inserm.
L’histoire d’une découverte
Comment sont-ils parvenus à ce résultat ? « En 2011, nous nous sommes rendu compte qu’une toxine fabriquée par les staphylocoques dorés, dont le rôle était de faciliter l’infection, était également capable de tuer d’autres bactéries présentes dans notre organisme », explique Brice Felden, directeur du laboratoire ‘ARN régulateurs bactériens et médecine’ de Rennes. Cette molécule possédait donc une double activité toxique et antibiotique. Les chercheurs se sont donné comme objectif de dissocier ces 2 activités.
Le résultat s’est matérialisé sous la forme d’une nouvelle famille de « peptidomimétiques » synthétisée. Les scientifiques ont ainsi créé et testé une vingtaine de molécules. Parmi elles, « deux se sont avérées efficaces contre le Staphylocoque doré et les Pseudomonas aeruginosa résistants sur des modèles murins atteints de sepsis sévères ou d’infections cutanées », indiquent-ils. Et ce, sans aucune manifestation de toxicité, que ce soit chez l’animal ou sur des cellules humaines exposés. « Nous les avons testées à des doses 10 à 50 fois supérieures à la dose efficace sans observer de toxicité », précise Brice Felden
Sans résistance ?
L’autre bonne nouvelle réside dans l’absence de résistance chez les bactéries exposées à ces nouvelles molécules. « Les bactéries laissées en contact pendant plusieurs jours chez l’animal avec ces antibiotiques n’ont pas montré de signes de résistances. » Toutefois, « la prudence reste encore de mise sur ce point car l’expérience a été réalisée sur des temps courts, jusqu’à 15 jours », précisent les chercheurs. Lesquels devraient en savoir plus rapidement puisque les essais cliniques de phase I chez l’humain sont prévus dès à présent.
*du laboratoire Inserm-Université de Rennes 1 U1230 ‘ARN régulateurs bactériens et médecine’, avec une équipe de l’Institut des sciences chimiques de Rennes (ISCR)
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Contre l’antibiorésistance, 2 nouveaux antibiotiques français
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Culture de bactéries dans une boite de Pétri. ©Inserm/Latron, Patrice
Deux nouvelles molécules antibiotiques dépourvues de toxicité et qui ne produiraient pas de résistance chez les bactéries exposées ? Voici la promesse encourageante résultant des travaux d’une équipe Inserm. Un espoir dans la lutte contre le fléau de l’antibiorésistance.
Les antibiotiques sauvent de nombreuses vies. Mais leur efficacité est largement mise à mal depuis plusieurs années par une antibiorésistance galopante. Une bonne nouvelle sur ce front provient des travaux d’une équipe française*. Le Pr Brice Felden et ses collègues « ont récemment identifié une nouvelle toxine bactérienne et l’ont transformée en antibiotiques puissants et actifs contre différentes bactéries responsables d’infections humaines », indique l’Inserm.
L’histoire d’une découverte
Comment sont-ils parvenus à ce résultat ? « En 2011, nous nous sommes rendu compte qu’une toxine fabriquée par les staphylocoques dorés, dont le rôle était de faciliter l’infection, était également capable de tuer d’autres bactéries présentes dans notre organisme », explique Brice Felden, directeur du laboratoire ‘ARN régulateurs bactériens et médecine’ de Rennes. Cette molécule possédait donc une double activité toxique et antibiotique. Les chercheurs se sont donné comme objectif de dissocier ces 2 activités.
Le résultat s’est matérialisé sous la forme d’une nouvelle famille de « peptidomimétiques » synthétisée. Les scientifiques ont ainsi créé et testé une vingtaine de molécules. Parmi elles, « deux se sont avérées efficaces contre le Staphylocoque doré et les Pseudomonas aeruginosa résistants sur des modèles murins atteints de sepsis sévères ou d’infections cutanées », indiquent-ils. Et ce, sans aucune manifestation de toxicité, que ce soit chez l’animal ou sur des cellules humaines exposés. « Nous les avons testées à des doses 10 à 50 fois supérieures à la dose efficace sans observer de toxicité », précise Brice Felden
Sans (...) Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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Menu Santé : les sushis et les makis, un fast-food… sain ?
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PHOTOCREO Michal Bednarek/shutterstock.com
Du poisson, du riz et des petites bouchées. En apparence, les sushis et les makis ont tout bon. Mais s’agit-il vraiment d’un repas healthy? Et comment les confectionner vous-mêmes et donc privilégier le home made, plus équilibré ? Pour le savoir, rendez-vous sur www.ma-cuisine-ma-santé.fr.
Vous avez le réflexe de manger un plateau de sushis et de makis, trempés dans le soja, un zeste de gingembre et/ou de wasabi… Bonne idée, les sushis et les makis sont en effet dépourvus des acides gras insaturés retrouvés en masse dans les frites, les fromages et les sauces industriels des burgers et des pizzas achetés au supermarché. Sources de protéines (poissons crus), d’acides gras saturés (saumon, thon, avocat), de glucides lents (riz), et d’eau (concombre), ils sont équilibrés !
Pourquoi rendent-ils accros ?
Les sushis et les makis éveillent sur vos papilles la saveur umami. Issue du japonais umai (délicieux) et mi (goût), cette sensation très agréable est éprouvée au centre de la langue. Au cœur de ce plaisir ? La présence de 3 acides aminés retrouvés dans les aliments que sont les viandes et les poissons : l’acide glutamique, l’acide guanylique, l’acide inosinique.
Associés entre eux, ils provoquent un effet décuplé : explosion de saveurs assurée ! C’est pourquoi le cerveau en redemande. Et il faut savoir que le glutamate, présent naturellement dans notre corps et dans certains aliments* comme les poissons, joue le rôle de neurotransmetteur. Idéal pour huiler la communication neuronale et améliorer la mémoire et la concentration. Cet apport ne passe donc pas inaperçu pour le cerveau qui sort boosté de ce repas…
En revanche, mieux vaut privilégier les produits faits maison. Dans les préparations industrielles, cet exhausteur de goût est retrouvé sous la forme du glutamate monosodique (E621). Ce dernier participe au stockage des graisses**. Ce glutamate industriel perturbe aussi le fonctionnement du pancréas et induit un risque de diabète de type 2. Enfin, la survenue d’allergies, d’atteintes rénales et d’effets neurotoxiques est aussi rapportée.
En cuisine !
Cliquez sur cette page pour trouver les fiches recettes de vos sushis et makis préférés. Ou munissez-vous d’une bible culinaire comme le « Petit Livre de – Sushi, makis, Yakitoris and Co en 130 recettes », Marie Chemorin, Editions First (2 janvier 2014), 160 pages, 8,55 euros.
A noter : Les poissons gras type saumon, sardines, maquereau et thon sont riches en mercure. C’est pourquoi l’Anses recommande de ne pas en manger plus de deux fois par semaine. La teneur en sel (sauce soja) et en sucre (sauce soja, riz blanc) n’est pas anodine. Enfin, l’apport en légumes reste limité. Les sushis et les makis suivent donc la règle des plaisirs : à apprécier avec modération !
*amandes, graines de courge, lentilles corail, parmesan, sauce soja, emmental, coquille St Jacques, petits pois, crabe, chou, poulet, boeuf **en résistante à la sécrétion de la leptine, hormone impliquée dans la régulation des graisses
RECETTE DE LA SEMAINE
Petit Déjeuner
– Thé rooibos
– 1 porridge au chocolat et à la banane de Laurence Benedetti
– 1 verre de jus d’oranges pressées
Déjeuner
– Maki au radis noir, betterave et dorade citronnée de Laurence Benedetti
– Poulet à l’estragon de Laurence Benedetti
– Courgette rôties à la féta de Laurence Benedetti
– Sushis aux fruits de Laurence Benedetti
Goûter
– 2 tranches de melon
– Quelques noisettes
Dîner
– Makis de saumon à la betterave de Laurence Benedetti
– Cassolette de poulpe aux légumes de Christophe Leborgne
– Charlotte mangue, mascarpone et vanille de Bianca Martins
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Menu Santé : les sushis et les makis, un fast-food… sain ?
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Du poisson, du riz et des petites bouchées. En apparence, les sushis et les makis ont tout bon. Mais s’agit-il vraiment d’un repas healthy? Et comment les confectionner vous-mêmes et donc privilégier le home made, plus équilibré ? Pour le savoir, rendez-vous sur www.ma-cuisine-ma-santé.fr.
Vous avez le réflexe de manger un plateau de sushis et de makis, trempés dans le soja, un zeste de gingembre et/ou de wasabi… Bonne idée, les sushis et les makis sont en effet dépourvus des acides gras insaturés retrouvés en masse dans les frites, les fromages et les sauces industriels des burgers et des pizzas achetés au supermarché. Sources de protéines (poissons crus), d’acides gras saturés (saumon, thon, avocat), de glucides lents (riz), et d’eau (concombre), ils sont équilibrés !
Pourquoi rendent-ils accros ?
Les sushis et les makis éveillent sur vos papilles la saveur umami. Issue du japonais umai (délicieux) et mi (goût), cette sensation très agréable est éprouvée au centre de la langue. Au cœur de ce plaisir ? La présence de 3 acides aminés retrouvés dans les aliments que sont les viandes et les poissons : l’acide glutamique, l’acide guanylique, l’acide inosinique.
Associés entre eux, ils provoquent un effet décuplé : explosion de saveurs assurée ! C’est pourquoi le cerveau en redemande. Et il faut savoir que le glutamate, présent naturellement dans notre corps et dans certains aliments* comme les poissons, joue le rôle de neurotransmetteur. Idéal pour huiler la communication neuronale et améliorer la mémoire et la concentration. Cet apport ne passe donc pas inaperçu pour le cerveau qui sort boosté de ce repas…
En revanche, mieux vaut privilégier les produits faits maison. Dans les préparations industrielles, cet exhausteur de goût est retrouvé sous la forme du glutamate monosodique (E621). Ce dernier participe au stockage des graisses**. Ce glutamate industriel perturbe aussi le fonctionnement du pancréas et induit un risque de (...) Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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Tout savoir sur le moustique tigre
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Maridav/shutterstock.com
Transmis par le moustique tigre (Aedes albopictus), le chikungunya, la dengue et Zika circulent en France métropolitaine. Le point sur le nombre de contaminations en 2018 et les réflexes à adopter cet été pour limiter la reproduction de cet insecte.
Présent en France métropolitaine depuis 2004, le moustique tigre est le vecteur des arboviroses les plus connues que sont le chikungunya, la dengue et zika. Ces insectes se reproduisent « dans nos jardins et sur nos terrasses, où ils aiment pondre dans les coupelles, jouets ou objets abandonnés, réservoirs d’eau non couverts », notent les auteurs du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).
En chiffre
En Métropole en 2018, les autorités ont enregistré 16 cas de chikungunya, 333 de dengue et 10 de Zika. « Du 1er mai au 30 novembre, 7 cas importés de chikungunya, 197 cas importés et 8 cas autochtones de dengue et 1 cas importé de virus Zika ont été confirmés. » Et 9 nouveaux départements ont été contaminés. Chaque année, la population exposée au moustique tigre augmente. Au 1er mai 2018, le moustique tigre était « implanté et actif » dans 42 départements de France métropolitaine.
Toujours en Métropole, entre 2010 et 2018 cette fois, « 12 épisodes de transmission autochtone ont été identifiés, 9 de dengue et 3 de chikungunya, qui ont entraîné au total 54 cas autochtones, 23 de dengue et 31 de chikungunya ». La Provence-Alpes-Côte d’Azur constitue l’une des régions les plus touchées.
Lutter contre la résistance aux insecticides
La prévention est essentielle pour gérer les potentielles épidémies à venir. Les outils existant à ce jour ? « Le plan anti-dissémination pour une surveillance renforcée » prévoit la déclaration de tous les cas importés, « revenant d’une zone où sévissent ces pathologies, dès leur suspicion ». Il est déployé « dans les départements métropolitains où le moustique Aedes albopictus est implanté, du 1er mai au 30 novembre ». Autre dispositif, la lutte anti-vectorielle (LAV) : les gîtes larvaires sont détruits ou traités à l’aide d’insecticide.
Mais ce système présente des failles. En effet, les symptômes des arboviroses ne sont pas spécifiques. Ainsi, la lutte anti-vectorielle a souvent été déployée pour des suspicions de cas qui se sont finalement avérés négatifs. Cette intervention augmente le risque de résistance aux insecticides.
Aujourd’hui, la priorité est de réserver ces LAV aux « seuls cas confirmés », de « renforcer la sensibilisation et la formation des professionnels de santé ». Mais aussi d’anticiper toutes les ressources humaines et logistiques nécessaires pour lutter contre l’épidémie. A ce jour, toutes les émergences de chikungunya et de dengue « ont été contrôlées ». Mais il faut rappeler que la population n’est pas immunisée donc très à risque de contamination.
Jardins, terrasses, anti-moustiques…
A l’échelle individuelle, nous avons tous un rôle à jouer pour limiter la propagation des moustiques tigres. Bien entretenir les terrasses et les jardins, « inciter les voyageurs à se protéger des piqûres de moustiques lors de leurs déplacements en zone à risque, mais aussi lors de leurs retours en France ». Et consulter un médecin à l’apparition du moindre symptôme (syndrome grippal, hypotension, céphalées, éruptions cutanées sur les joues, douleurs musculaires..).
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Transmis par le moustique tigre (Aedes albopictus), le chikungunya, la dengue et Zika circulent en France métropolitaine. Le point sur le nombre de contaminations en 2018 et les réflexes à adopter cet été pour limiter la reproduction de cet insecte.
Présent en France métropolitaine depuis 2004, le moustique tigre est le vecteur des arboviroses les plus connues que sont le chikungunya, la dengue et zika. Ces insectes se reproduisent « dans nos jardins et sur nos terrasses, où ils aiment pondre dans les coupelles, jouets ou objets abandonnés, réservoirs d’eau non couverts », notent les auteurs du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).
En chiffre
En Métropole en 2018, les autorités ont enregistré 16 cas de chikungunya, 333 de dengue et 10 de Zika. « Du 1er mai au 30 novembre, 7 cas importés de chikungunya, 197 cas importés et 8 cas autochtones de dengue et 1 cas importé de virus Zika ont été confirmés. » Et 9 nouveaux départements ont été contaminés. Chaque année, la population exposée au moustique tigre augmente. Au 1er mai 2018, le moustique tigre était « implanté et actif » dans 42 départements de France métropolitaine.
Toujours en Métropole, entre 2010 et 2018 cette fois, « 12 épisodes de transmission autochtone ont été identifiés, 9 de dengue et 3 de chikungunya, qui ont entraîné au total 54 cas autochtones, 23 de dengue et 31 de chikungunya ». La Provence-Alpes-Côte d’Azur constitue l’une des régions les plus touchées.
Lutter contre la résistance aux insecticides
La prévention est essentielle pour gérer les potentielles épidémies à venir. Les outils existant à ce jour ? « Le plan anti-dissémination pour une surveillance renforcée » prévoit la déclaration de tous les cas importés, « revenant d’une zone où sévissent ces pathologies, dès leur suspicion ». Il est déployé « dans les départements métropolitains où le moustique Aedes albopictus est implanté, du 1er mai au 30 novembre ». Autre dispositif, la lutte anti-vectorielle (LAV) : (...) Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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