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#alternatiba strasbourg
chasbook · 4 years
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2020
Et si... L’exposition
“Et si... le monde d’après ne ressemblait pas au monde d’avant ?”
Ce projet a été conçu par Alternatiba, rassemblant 60 auteur·rice·s et illustrateur·rice·s autour de diverses thématiques, imaginant ce à quoi pourrait ressembler un monde futur plus équitable, écologique et solidaire. Échanger, consommer, partager, résister, s’épanouir... L’association propose d’explorer les réflexions et pistes qui s’offrent à nous pour agir dans le sens du bien commun. Un site web et un livre au format pdf y sont dédiés.
Alternatiba Strasbourg, quant à elle, a choisi d’en concrétiser une partie en l’adaptant en exposition. J’ai donc créé un gabarit format A2, basé sur la charte graphique originale de Magali Etcheverria, que nous avons décliné pour 13 thématiques avec Marjorie Ober. En partenariat avec la ville de Schiltigheim, les 26 panneaux ont été installés dans 5 parcs, ainsi visibles du 31 juillet au 31 octobre en suivant un parcours itinérant. Ils ont également servi de support de sensibilisation au cours du Camp Climat 2020 local, dont les formations se sont déroulées du 20 au 23 août dans des locaux municipaux.
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encontrefr · 5 years
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Une”radicalité” dans la marche pour le climat? Retour sur le 21 septembre à Paris
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Le ton avait pourtant été donné longtemps à l’avance, en prévision du samedi 21 septembre, « jour de rentrée »  officiel des mouvements sociaux français.
 Cela devait être une « mobilisation historique », du nom de l’événement facebook rassembleur et informateur[1], avec une ligne directrice commune: « contre le système », ce qui pouvait se résumer de la manière suivante : « contre la destruction de la planète, contre le mépris des élites, contre les réformes en cours, contre les fins de mois difficile, contre toutes formes de discrimination, contre l’autoritarisme... ». Bien sûr, comme on pouvait s’y attendre, encore une fois après de nombreuses interdictions, ce fut une manifestation avortée. Comme le souligne un article d’Acta, « on le savait mais depuis le 1er mai dernier, manifester est devenu impossible. Pas interdit, impossible. Quiconque a essayé d’aller à Madeleine ou sur les Champs Élysées samedi 21 septembre s’en est rendu compte. On le savait aussi mais le déploiement policier à Paris était hallucinant. Aussi important que le 8 décembre. »[2]
Initialement, le 21 septembre était prévu de la manière suivante : deux événements organisés distinctement, deux temps. D’un côté la matinée de rentrée des gilets jaunes (qui pour une fois ne portait plus le nom de « gilets jaunes », ce qui interroge sur la définition du mouvement, à l’heure où le gilet n’est plus forcément porté par peur de la répression) était adressée plus globalement à « tous ceux qui veulent que ça change ». L’appel à cette journée de rentrée était signé conjointement par plus de 100 collectifs, associations ou groupes parmi lesquels une grande majorité d’organisations départementales de gilets jaunes, mais aussi les collectifs Adama, désarmons-les, des groupes antifa (Action Antifasciste Paris Banlieue, le Comité Antifasciste Lyonnais), des pages facebook d’information (cerveaux non disponible), des médias investis dans la lutte (Acta), mais aussi et surtout, en tout cas, pour ce qui nous intéresse ici particulièrement, des groupes écologistes tels que Youth for climate (Paris et Brest), Rennes en lutte pour l’environnement, Désobéissance écolo Paris, Extinction Rébellion (de différentes villes françaises ), Deep Green Resistance Paris ou encore, entre autres, le collectif éco-féministes de Strasbourg. De ce côté, le rendez-vous était fixé dès 9h30, sur les Champs avec une ligne directrice : s’unir contre le système, pour « une justice sociale, fiscale et environnementale » mais aussi, trois mois exactement après la mort de Steve, tué par la police lors de la fête de la musique à Nantes le 21 juin 2019, lui rendre hommage, comme aux derniers noms qui résonnent encore « Zineb, Adama, Zied, Bouna, Rémi », tous tués par la police.
De l’autre côté, l’après-midi, une marche pour le climat « classique » , organisée par une coalition d’associations écologiques, 350.org, ANV-COP21, Alternatiba ou greenpeace.  Bien qu’il y ait eu pour cette marche pour le climat plus de 90 organisations signataires, dont certaines avaient appelé à la participation aux deux événements, les grandes ONG citées ci-dessus n’ont pas appelé à une participation au rendez-vous du matin-même sur les Champs. Il faut dire que la répression étant bien exercée et bien intériorisée, en particulier depuis un an, le rendez-vous sur les champs était interdit : nous étions bien loin d’un «  fin du monde, fin du mois même combat » souvent scandé il y a six mois. À vrai dire, ce slogan, quand il était entendu dans les marches pour le climat pouvait porter à dérision, lorsque l’on sait que les manifestations des gilets jaunes et pour le climat ne sont jamais croisés, en étant organisées dans un périmètre différent à l’intérieur de la ville de Paris.
Ainsi, cette journée du 21 septembre pourrait se résumer de la manière suivante : une tentative échouée une fois de plus face à un Etat sur-puissant. Mais ce serait une analyse pessimiste qui laisserait de côté une bonne nouvelle : une  première radicalisation de la marche pour le climat.
Dans un article de lundi matin[3], le chapô résumait bien toute l’affaire : « La marche climat du 21 septembre, organisé par une “inter-orga climat” comprenant Alternatiba et Greenpeace, n’a pas tourné comme ses organisateurs l’avaient souhaité. Alors qu’ils se félicitaient depuis plusieurs mois sur des banderoles de la convergence entre “fin du monde” et “fin du mois”, la présence effective des gilets jaunes à cette marche climat a gêné aux entournures ».
Car cette fois-ci, la marche pour le climat était différente. La « coalition »,  du matin, bien qu’elle constituait de loin une entité difficilement définissable ou quantifiable, où le nom de gilet jaune n’était plus si évident (Cf. événement du 21 septembre qui indique «  Mobilisions-nous sans étiquettes, ça ne doit pas être un tel ou un tel qui se mobilise, mais bel et bien le peuple entier contre le système »)  était en partie présente à la marche pour le climat.
Dans ce sens, Tristan Petitdent indique  dans son article évoquant la continuité d’un cortège de tête : « Ce fut un débordement immédiat, sans même avoir besoin de se concerter : spontanément, les habitué.e.s des manifs et les Gilets Jaunes se sont placé.e.s devant, en disant simplement «“on est là, la politique c’est nous, la conflictualité, c’est nous aussi”. On a pu voir aussi de jeunes écologistes en rupture avec la pacifisme collaborateur des organisations  officielles les rejoindre. La police ne s’y est d’ailleurs pas trompée en tabassant à tout va, en noyant la totalité sous les gaz, en interpellant à la volée ».
De ce fait, découle un traitement médiatique «  mainstream » qui évoque « des blacks blocs » et des « gilets jaunes » « infiltrés », comme si nous étions revenus en 2016, où le cortège de tête était constitué de «  casseurs infiltrés ». Comme si, l’année écoulée et les stratégies d’émeutes propres aux regroupements des gilets jaunes n’avaient pas suffi à décrédibiliser l’utilisation du mot «  black block » à tout va, en évoquant un groupe unique : dans la plupart des articles des médias « mainstream » traitant du sujet, les «  black blocs » et les «  gilets jaunes » sont encore des unités sémantiques clairement séparés, néanmoins, l’utilisation du terme « ultra-jaune » semble avoir été adopté et démontre une fois de plus cette stratégie de différenciation opérée.[4]
Le problème réside principalement dans le fait que le discours étatique (Cf. les tweet de la préfecture de police) est repris par les principales organisations écologistes organisatrices de la marche, évoquant, comme les syndicats, les partis et les médias traditionnels, une sorte de manifestation volée.
Pour la première fois, une manifestation pour le climat a été confrontée aux violences et à la répression policières. Il en découle une alternative pour les manifestants habitués aux manifestations pour le climat : se ranger derrière le discours des organisations « traditionnelles » calqué sur celui de maintien de l’ordre des syndicats «  traditionnels » ou se rallier aux «  autres » organisations écologistes s’organisant derrière la volonté de «  changer le système ». Finalement, c’est peut-être un combat sémantique qui se joue, en plus d’un combat entre partisans et opposants d’une croissance verte ou d’un débat stérile entre responsabilité individuelle/responsabilité institutionnelle…
Et c’est ainsi que la sphère du militantisme écologique a trouvé un intérêt puissant, le 21 septembre dernier.
Ces prémices ont trouvé leur principale illustration un peu plus tard, dans la journée du 5 octobre 2019 :  une « dernière occupation avant la fin du monde » signée par extinction rébellion, des gilets jaunes, le comité Adama, cerveaux non disponibles, désobéissance écolo Paris, Comité de libération et autonomie queer (ancien CALQ), young for climate Paris ou encore terrestres, qui s’illustra par l’occupation du centre commercial Place d’Italie et par d’autres occupations qui se prolongent (Châtelet etc) .De la, par une semaine d’actions organisée par extinction rébellion découle  de nouveaux questionnements, principalement sur l’utilisation revendicatif du terme «  Non-violence » du collectif.
[1]Page facebook 21 septembre « mobilisation historique »
[2]« il y a ceux qui s’indignent et ceux qui se révoltent » par Tristan Petitdent, acta.zone, le 25 septembre 2019
[3]« la manifestation du climat du 21 septembre a-t-elle infiltré  par le black block ? » par Maëlle Chouchan et Norbert Makhouf , lundi matin, 3 octobre 2019
[4]«  Gilets jaunes, marche pour le climat, journée du patrimoine… un samedi sous surveillance à Paris » par Aline Leclerc et Nicolas Chapuis, Le monde, 20 septembre 2019
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faaod · 5 years
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Samedi 18 mai - MARCHE CONTRE MONSANTO...Liste des 37 mobilisations en France (actualisation continue) :- Agen (cours Gambetta - 14h00) : https://www.facebook.com/events/302032110468463/- Blois (préfecture - 16h00) : https://www.facebook.com/events/2443602878992610/- Bordeaux (quai Richelieu - 14h00) : https://www.facebook.com/events/622729458193606/- Boulogne-sur-Mer (place de la Résistance - 14h30) : https://www.facebook.com/events/683046425484347/- Bourges (place André Malraux - 14h00) : https://www.facebook.com/events/294685071453440/- Caen (campus 1 de Caen - 16h00) : https://www.facebook.com/events/456116515134422/- Chalon-sur-Saône (place Saint-Vincent - 15h30) : https://www.facebook.com/events/359297658023092/- Chatellerault (place de l'Europe - 14h00) : https://www.facebook.com/events/595280740947857/- Digne-les-Bains (mairie -10h) : https://www.facebook.com/coquelicotsdigne/posts/808226709550314- Draguignan (Parvis MSJ - 14h45) : https://www.facebook.com/events/2265022273757700/- Foix (allée Villote - 10h)- Gap (place Alsace-Lorraine - 15h00) : https://www.facebook.com/events/601036380390137/- Langouet (Cambuse - 15h30) : https://www.facebook.com/events/417429688825081/- Lannion (rond-point Coppens Bowling - 14h30) : https://www.facebook.com/events/2173398556304621/- Laon (zone commerciale Chambry - 10h00) : https://www.facebook.com/…/pcb.81104607926…/811045539260566/- La Roche-sur-Yon (place de la Vendée - 14h00) : https://www.facebook.com/events/3048841901823569/- Le Havre (parc Hauser - 14h00) : https://www.facebook.com/events/1681697098803916/- Le Mans (place de la République - 15h00) : https://www.facebook.com/events/831346970559868/- Lille (place de la République - 14h30) : https://www.facebook.com/events/321608911852047/- Lisieux (place François Mitterrand - 10h30) : https://www.facebook.com/events/427740404440741/- Lorient (place de l’Hôtel de Ville - 11h00) : https://www.facebook.com/events/2299283540106158/- Lyon : contactez Alternatiba ANV Rhône- Mantes la Jolie (Hôtel de Ville - 14h00) : https://www.facebook.com/events/2345479382444012/- Marseille (métro Vieux-Port - 14h00) : https://www.facebook.com/events/593145207852798/- Montpellier (jardins du Peyrou - 10h00) : https://www.facebook.com/events/903544733332730/- Paris (place de la République - 14h00) : https://www.facebook.com/events/783827831995144/- Peyrehorade (usine Monsanto, place Nauton Truquez - 10h30) : https://www.facebook.com/events/581316552355606/- Rochefort (esplanade Jean-Louis Frot - 10h30) : https://www.facebook.com/events/2303394986653681/- Saint-Andiol (usine Monsanto au 158 chemin de Roque - 11h00) : https://www.facebook.com/events/1298820796934906/- Saint-Malo (Pôle culturel la Grande Passerelle (gare SNCF) - 14h00) : https://www.facebook.com/events/2258652964387246/- Saint-Nazaire (les Dragons - 15h00) : https://www.facebook.com/events/416639808884806/- Sassenage (square de la Libération - 14h00) : https://blogenssite.wordpress.com/…/7eme-marche-mondiale-c…/- Strasbourg (place de la République - 15h00) : https://www.facebook.com/events/606049046577126/- Thonon-les-Bains (place des Arts - 11h00) : https://www.facebook.com/nous.voulons.des.coquelicots.thonon.74/posts/375170146541835- Toulouse (square Charles-de-Gaulle - 11h00) : https://www.facebook.com/events/2041571862620472/- Tours (11 boulevard Heurteloup - 14h00) : https://www.facebook.com/events/397730334402576/- Trèbes (usine Monsanto - 14h00) : https://www.facebook.com/events/835913850102527/Liste des mobilisations en Suisse :- Bâle (Barfüsserplatz - 13h00) : https://www.facebook.com/events/269954800610090/Liste des mobilisations au Canada :- Toronto (Old City Hall Cenotaph - 11h00) : https://www.facebook.com/events/347591242502059/Dimanche 19 mai : Thouars (place Lavault - 11h30) : https://www.facebook.com/events/2369159573327042/
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