Tumgik
#est-ce que c'est considéré comme une antiphrase?
shakeskp · 3 months
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L'expression "sans transition" est une transition
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claudehenrion · 6 years
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Etes-vous politiquement correct ?
  Cela fait un bon quart de siècle, depuis ''Les trois portes'', en 1995, que je mets en garde mes semblables contre cette peste ou ce cancer que ses thuriféraires ont appelé ''le politiquement correct'' (sans doute par antiphrase ou... avec un sens de l'humour qui dépasse le mien !). Les lecteurs de ce Blog savent depuis longtemps que je classe cette terrible pathologie parmi les plus mortifères actuellement attrapables, à égalité de capacité de nuisance avec l'islam devenu ''-isme'' et la perversité de cette partie de ce qui fut ''la Science'' qui, ayant volontairement perdu la conscience en chemin, n'est plus qu'une menace de plus contre l'humanité...
  De quoi parlons-nous ? D'une déformation misérabiliste du vocabulaire : les locutions et mots considérés comme offensants ou péjoratifs par on ne sait trop qui sont remplacés par d'autres considérés comme neutres et non offensants. (par les mêmes !)  Le langage politiquement correct est donc riche en euphémismes, en périphrases, en circonlocutions, voire en créations de mots et d’expressions nouvelles. Il s’agit bien d’un novlangue comme celui décrit par  Orwell dans ‘‘1984′‘.
  Cela fait bien longtemps que ma connaissance intime de l'univers des intellectuels américain et des référentiels de ceux qui se disent ''scholars'' (ce qui se traduit par ''clercs'' ou ''lettrés'', laudatif à leurs yeux, péjoratif aux yeux des autres !) a ouvert mes yeux sur ce phénomène, qui m'a paru incroyable lorsque j'y ai été confronté pour la première fois. Mais étant, à cette époque, ''Exchange Professor'' dans 11 des plus prestigieuses universités des Etats-Unis, j'ai pu me rendre compte de la vitesse de propagation de cette horreur, qui n'a d'autre finalité réelle que d'assassiner l'espèce humaine en tant que composée d'individus et non pas de robots esclavagisés, de fourmis ou d'abeilles. Leur but ? Un monde de zombies...                                                                                                                                       En fait, c'est l'opposé exact de la démocratie : seules les minorités sont à considérer, et les majorités sont à supprimer du paysage. On disait, en ce temps-là, que tout ce qui arrivait ou se passait là-bas finissait tôt ou tard par traverser l'Atlantique (par eux renommé ''the Atlantic river'' pour bien montrer qu'il n'était plus un obstacle), et la durée moyenne pour que ce ''transfert de technologie'' soit effectif était évaluée à cinq ans en moyenne. Et en gros, ce n'était pas faux... ce qui explique la violence de ma réaction, alors et depuis : faire tout ce qui était en mon pouvoir pour éviter que ce cancer ne produise des métastases en Europe.
  Je dois avouer que tous mes efforts, étalés sur tant d'années, n'ont servi rigoureusement à rien : si l'on met à part quelques réflexions, ici ou là, perdues au milieu d'un article de 400 lignes (ou 40 ! La sensation d'isolement est aussi grande !), j'ai toujours eu l'impression d'être la ''vox clamantis in deserto'', cette voix qui crie dans le désert dont parle la Vulgate (NDLR : il est vrai que comme ces mots sont utilisés pour désigner Saint Jean le Baptiste, je me sens et excellente compagnie. Mais tout de même (ou : justement !), j’ai souvent eu peur d’y perdre la tête...).           Et soudain, cette semaine, immense joie : le Figaro (quotidien et hebdomadaire) met sa force de frappe au service de cette belle cause : défendre le beau contre le laid, le vrai contre le faux, la vie contre la mort, notre survie contre leur néant...
  Il est certain que cela est loin de suffire : il s'agit d'un combat de longue haleine, car s'il a fallu plus de 40 ans à ces idées perverses (étym. : lat. per-vertor = (se) retourner contre soi) pour répandre leur venin létal, il devrait en falloir à peu près autant pour générer assez d'anti-corps pour faire cesser l'empoisonnement.           Mais on sait que l'établissement d'un bon diagnostic est toujours préalable à toute chance de triompher de la maladie (dans le cas présent : du mal !), et donc ce serait le signe d'un premier pas vers notre rédemption... Pourvu qu'ils persistent !
  Car ce qui est le plus grave, avec les tenants de cette théorie dévastatrice, c'est qu'ils font semblant de croire que, fondamentalement, la raison est de leur côté sur toutes les idées, aussi farfelues et ''contre nature'' qu'elles puissent être : les adeptes de ce ''prêt-à-penser'' sont persuadés qu'ils incarnent la Vertu (avec un grand ''V'', dans ce cas-là), et c'est en son nom qu'ils interdisent toute opinion contraire, tout libre arbitre, toute liberté de conscience et toute libre expression.           La phalange des ''progressistes'' s'est donné comme mission d'appeler ''Haine'' toute pensée venant du camp adverse, et de la dénoncer à temps et à contre-temps. Ces indigents de la pensée débordent de méchanceté chaque fois que cela correspond à la promotion d'un de leurs fantasmes : avec une répétitivité métronomique, tout adversaire est dit ''d'extrême droite'' (partout, ''la droite'' a disparu de l'échiquier politique... sauf à la qualifier de ''populiste'' et ''d’extrême droite''... Ils n'ont aucune pudeur, ces intégristes de la mort de l'Homme !).
  Depuis le temps maudit où Hollande nous entraînait dans son propre néant à coup de lois ''sociétales'' (cet anglicisme qui n'a pas de sens comme les socialistes l'utilisaient, ce qui est un comble : faire tant de dégâts autour de... rien !).                     Mais les Ayrault, Taubira, Valls, et autres stars du ''penser de traviole'' n'étaient pas à ça près ! Malheureusement pour nous, ces colporteurs de mal-pensance chronique se survivent à travers une rescapée de la disparition des responsables-coupables de feu-le PS, la Laurence Rossignol, qui ne rate pas une seule occasion de ravager tout ce sur quoi se pose son regard... surtout s'il y a dans le paysage le moindre homme blanc, conservateur, de droite, catholique et hétéro sexuel...  Conclusion : un grand ‘’merci’’ au Figaro ! Il n'y a plus qu'à enfoncer le clou !
H-Cl.
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