Tumgik
#est-ce que c'est vraiment impossible pour que les gens comprennent qu'on sait quand une chose est moralement corrompue?
dolentsnows-archive · 2 years
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inspisstuff · 3 years
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Amoureux
Lorsque je te dis que je suis amoureux de toi, voilà le sens que je donne à amoureux.
Être amoureux, c'est savoir que personne n'est parfait et, même ainsi, être convaincu que, d'une certaine manière, cette personne l'est. Il est impossible que ce soit parfait et vous le savez, mais ça l’est quand même. Et c'est beaucoup.
Être amoureux, c'est savoir que personne ne mérite d'être sur un piédestal, d'être idéalisé ou idolâtré parce que cela n'a tout simplement pas de sens et pourtant, d'une manière ou d'une autre, mettre cette personne sur un piédestal, idéaliser et idolâtrer, le faire avec plaisir et sentir que c'est la bonne chose à faire. C'est être fier d'admirer cette personne, car pour vous, elle ne mérite rien de moins.
Être amoureux, c'est prier, même si vous savez ne pas mendier. Être amoureux, c'est être dépendant, dans le bon sens, de cette personne et de son rire, de ses lèvres, de ses yeux, de ses baisers et de tout le reste, même de ses défauts. Et la vérité est que dépendre de quelqu'un, en soi, n'est pas mal. La plupart feignent l'indépendance ou le désintérêt comme si c'était une mauvaise chose, mais dépendre est la simple conséquence du véritable amour, c'est juste, par définition, l'essence et la nature de vraiment aimer. Il n'est donc pas possible d'aimer sans dépendre, pas quand il s'agit d'un véritable amour.
Les gens vous disent depuis que vous êtes petit que vous devriez avoir de la dignité, que vous ne devriez jamais supplier personne, que vous ne devriez pas dépendre, que vous ne devriez pas avoir besoin. Je pense que ce sont des idiots. Je pense que ceux qui disent cela sont vraiment méprisables et qu'ils ne comprennent pas la vie. Il me semble qu'ils sont réprimés, qu'ils ne sont pas sûrs d'eux-mêmes ou, du moins, qu'ils n'ont jamais expérimenté les bienfaits de vraiment aimer. Car même si ça fait mal à la fin, ou quoi qu'il arrive, on ne regrette jamais d'avoir aimé et d'être aimé, du moins quand c'est le vrai amour.
Maintenant, je comprends qu'on ne pose pas la question à n'importe qui, évidemment. Mais c'est que cette personne, dont vous tombez vraiment amoureux, n'est pas n'importe qui ! Aussi, gardez à l'esprit que très rarement on tombe vraiment amoureux. De telle manière que je crois que dans ces cas, il vaut la peine de faire une ou une autre petite exception à celle de la dignité et de jouer le rôle difficile, car c'est idiot et n'a aucun sens, quand votre corps et votre esprit vous demandent de ne pas tenir retour. Quand même si c'est très ringard, vous avez besoin de dire à cette personne des surnoms tendres, de la serrer dans ses bras, de prendre soin d'elle, de la protéger, de la rendre heureuse, de lui faire le petit-déjeuner à son goût et de l'amener au lit, de lui donner un petit bisou sur la joue. 
Quand il s'agit d'un véritable amour, plus rien n'a d'importance. Rien, mais rien, n'a plus d'importance. Vraiment ! Rien d'autre ne compte. Je le répète parce que c'est difficile à croire, mais quand on est amoureux, vraiment amoureux, seul compte l'amour, vous comptez et cette personne compte. Vous deux. Rien de plus. Vous deux et rien que vous deux. Si quelque chose d'autre compte encore, ce ne peut pas être le véritable amour.
Être amoureux, c'est changer. Changez de racine. Vous ne pouvez pas vous empêcher de changer. Ce n'est pas un choix, ce n'est pas un pari, c'est juste un fait inévitable du véritable amour. C'est vouloir être ce que cette personne veut que vous soyez, ainsi que ce que vous voulez être vous-même. L'autre personne compte autant pour vous que vous-même. Leur point de vue et leurs sentiments deviennent aussi importants pour vous que votre propre point de vue et vos propres sentiments.
Être amoureux, c'est penser à se marier, oui, à se marier. Peu importe votre âge, si vous êtes vraiment amoureux, vous devez rêver de vous marier. Et cela ne suffit pas, vous devez également pratiquer vos dialogues lors du mariage. "J'accepte, mais ..." et soyez un héros pendant un moment. Vous montez dans le train en regardant la fenêtre, sérieux et en écoutant de la musique à l'extérieur, mais à l'intérieur vous avez imaginé mille fois ce que serait votre discours de mariage et, évidemment, le regard illuminé de cette personne qui à la fin dit quelque chose ringard pour vous et fait toujours quelque chose de plus ringard. Ce sont les genres de pensées qui résident dans la tête d'une personne qui est amoureuse, vraiment amoureuse.
Être amoureux, c'est aussi penser à avoir des enfants avec cette personne, peu importe votre âge et quoi qu'il arrive. Je ne crois personne qui est amoureux ou amoureux jusqu'à ce qu'il admette avoir pensé à avoir des enfants avec cette personne. Je ne le croirais pas parce qu'il ne le serait pas. Même si c'était un garçon de 8 ans, s'il me dit qu'il veut épouser cette fille et avoir des enfants avec elle, je crois qu'il est amoureux et, même s'il a 45 ans et me dit que cela n'a jamais traversé son esprit, sans aucun doute il ne peut pas l'être. Du moins pas vraiment.
Être amoureux, c'est être un désastre, sans aucun doute, et être heureux de l'être. C'est être conscient que vous êtes en désordre, que d'une manière ou d'une autre, cela ne vous arrête pas.
Pour tomber amoureux, j'estime, il faut deux choses essentielles, à savoir : il faut être idiot, il faut être rêveur. Ce qui précède pourrait se résumer, dans un monde extrêmement rigide, strict, objectif, scientifique et obsessionnel (qui grâce à Dieu n'est pas le nôtre, qui est un peu plus incertain et désorganisé) comme « les éléments essentiels de l'amour » ou quelque chose du genre.
La vérité est que pour tomber amoureux, il faut être fort et plein d'espoir. Tout le monde ne peut pas tomber amoureux. Tout le monde n'est pas prêt ou fait pour tomber amoureux. Certains sont trop faibles, d'autres trop forts. Certains sont trop réalistes, d'autres trop rêveurs. Cela demande un mélange presque parfait, un équilibre. Si vous avez trop peur, vous ne pourrez peut-être pas tomber amoureux, car la peur vous empêchera de vous jeter. Si vous êtes trop courageux, vous ne pourrez peut-être pas le faire non plus, la confiance vous empêchera de vous lancer.
Être amoureux est difficile car il faut lâcher prise, faire confiance, avoir le courage de prendre des risques. Tout le monde sait que tomber amoureux devient vulnérable et, par conséquent, beaucoup ne s'emballent pas. Beaucoup ne s'en prennent pas à cette personne qui les rend fous parce qu'ils ne veulent tout simplement pas devenir fous. Certains ne découvrent même pas que quelqu'un les rend fous car ils ne se donnent même pas l'occasion de bien les connaître, car ils ne veulent pas sortir de leur zone de confort, chaude et douce, mais pas autant que l'amour, ce qui est plus chaud et plus doux, mais pour y arriver, vous devez risquer de perdre la chaleur confortable de la zone de confort. Tout le monde ne suit pas cette personne qui la rend noble, réelle, authentique, faible, idiote, heureuse, triste, meilleure, ou même n'ose la découvrir... Tout le monde ne tombe pas amoureux.
Tomber amoureux, c'est vouloir être meilleur chaque jour. C'est avoir un désir infini. C'est vouloir être la meilleure version de vous pour le partager avec cette personne, pour lui donner le meilleur. Être vraiment amoureux, c'est être prêt à mourir. Certains diront que c'est très stupide de donner sa vie pour quelqu'un d'autre, mais ceux qui tombent amoureux (vraiment) n'en doutent pas une seconde et ils savent que c'est stupide et ils le font toujours, parce qu'ils sont stupides. Parce que l'amour est un idiot. Être amoureux, c'est se sentir puissant, vivant. C'est se sentir fier. Être amoureux, c'est sentir que le monde est à vous et que si vous êtes avec cette personne, ils sont indestructibles, invincibles, inévitables. Être amoureux, c'est sentir que vous et cette personne êtes les seuls au monde. Il n'y a personne d'autre. Ils partagent un monde, ils partagent tout. Ils peuvent tout faire.
Être amoureux, c'est atteindre le maximum de générosité, de philanthropie, d'empathie et d'extase.
A toi. Pruny
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mentalement-parano · 5 years
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Et tu sais y'a des filles comme ça qui se prennent la tête sur tout, qui réfléchissent beaucoup trop et qui ont peur des choses qui paraissent les plus simples ou évidentes. Y'a ces filles complètement paumées, et trop connes et trop naïves, qui sont juste terrassées par le manque qui se trouve au fond d'elles. Tu vois ces filles qui rentre dans la vie des gens et qui font en sorte de laisser des traces, oui laisser des traces parce qu'elles finiront par se barrer. Elle vont se réveiller un matin avec l'impression que leur tête va exploser d'avoir trop penser et sur une impulsion débile elles vont décider de tout arrêter. Pas parce qu'elles ne ressentent plus rien, ou parce qu'elles en ont marre, juste parce qu'il y a un petit truc qui a tout déréglé, et qui les a fait fuir. Elles sont craintives, et elles sont destructrices, elles font du mal, et elle en sont conscientes, et le pire, c'est que ça les déchire encore plus que si elles étaient restées.
Mais voilà, ces filles elles suivent leur instinct, et on sait à quel point il est mauvais parfois, tout le temps. Il fait faire les mauvais choix, en fait ces filles sont des mauvais choix. Au départ on les croit douces et caractérielles à le fois, puis plus on creuse son chemin dans leur petite âme, moins on comprend ce qu'il se passe. Et le pire c'est qu'on voudrait les aider, mais c'est impossible, pas vrai ? Souvent on tente tout, on se donne complètement, mais elles montrent rien, aucun signe qu'on sert à quelque chose dans leur putain de tristesse maladive, alors on lâche prise, on abandonne, et ça soulage, mais ça crève à la fois. Et pourtant, on sert, rien que quand on leur parle, on les fais rire, on entame timidement des conversation sur leur problèmes, quand on parle de sois un peu, on les aide, elles montrent rien pourtant, elles sont toujours là, à se plaindre, et ça nous démunit. On se sent impuissant, inutile. Et pourtant.
Puis elle s'attache ces filles, elle s'attache vraiment, quand elles aime, crois moi c'est pour de vrai, et elle sont capables de faire croire le contraire au moment de leur départ croyant que ça te fera moins mal. Elles vont te dire qu'elles pensaient t'aimer, mais qu'elles se sont tromper, elles vont te dire qu'elles avaient besoin d'affection et qu'elles se sont rabattus sur la seule personne capables de leur en donner. Et malheureusement le plus souvent une des personnes les plus chères à leurs yeux. Elles vont te faire avaler ces mensonges, pour que tu les détestes, pour que tu les oublis plus vite, elles croit avoir la solution ces filles, mais elles sont le problème. Pourtant je le sais qu'elles s'attachent, et qu'elles aiment, oui elles aiment maladroitement, et de travers, mais elles aiment.
Le truc, c'est que ces filles, elles supportent pas qu'on puisse s'attacher à elles, elles supportent pas mais en plus de ça elles comprennent pas. Bah oui, elle se déteste, alors comment quelqu'un pourrait faire pour les apprécier rien qu'un peu. Alors elles ont pas confiance, et ça les embrouille, et ça leur fait peur, et elle se disent que c'est pas vrai, ou alors elles se disent que c'est vrai mais que tu te rendras compte bien trop tard qu'on ne peut pas aimer ce genre de fille. Alors, ces filles, elles vont partir, au moindre signe d'affection elles vont prendre peur, et elles finiront par partir si elles sont trop sûre.
Je crois que ces filles elles ont besoin du doute, elles ont besoin de ne pas être sur, elles ont besoin de quelqu'un qui se méfie d'elles, autant qu'elles se méfient de tout et surtout d'elles-mêmes.
Putain mais ces filles elles sont bien trop connes.
Elles vont te laisser tranquille pendant quelque temps, mais elles t'oublieront pas, elles n'oublieront jamais ce qu'elles t'ont fait. Et le jour où elle supporteront plus, elles reviendront avec un long texte maladroit et désordonné, qui doit probablement rien vouloir dire, mais juste remplis de vérité. Parce qu'elles voudront forcément qu'à un moment donné, tu saches tout. Elles attendront, peut être deux jours, peut être trois mois, ou peut être dix ans, mais tu sauras la vérité.
Et elles vont se rabaisser, et se mettre en victime, alors que se sont elles qui font des victimes.
Alors à ce moment là, ces filles, elles voudront pas forcément que tu les pardonnes, ni même que tu acceptes ce qu'elles ont fait, elle ne t'obligeront pas à répondre, mais ce qu'elles aimeraient, c'est juste que tu comprennes, que tu les comprennes.
Elles voudraient que tu comprennes qu'elles savent ce qu'elles ont fait, et qu'elles savent ce qu'elles sont, et qu'elles sont désolées.
Puis aussi, ces filles, elles auraient voulus que tu les crois quand elles te disaient qu'elles étaient bancales, et instables, et ces filles, quand elles ont décider de partir, fallait juste les rassurer et leur dire que ça allait aller, leur laisser un peu d'espace, mais de pas les laisser.
Ces filles là, elles te répéteront jamais assez qu'elles sont désolées.
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flognarde · 4 years
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Gabriel Jefferson
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Il voulait juste vivre tranquille Gab. P'tit gosse des rues, il avait pas la plus belle des vies devant lui mais, au moins il avait la chance de pouvoir en faire quelque chose. Parfois il suffit d'un rien, d'un type qui voit un truc qui fallait pas et tout se casse la gueule. Maman avait toujours un œil sur lui mais, cette après midi elle avait besoin d'un peu de repos. Il devait rien lui arriver, après tout c'était déjà assez la merde comme ça. Entre les sales types du quartier et les avis d'expulsions, elle avait tant a faire. Oui vraiment, elle pouvait pas imaginer que cette journée serait la fin. Voila que la vérité éclate, si petit et pourtant il se rend déjà compte d'a quel point le monde est pourri. Gabby, il reverra plus maman avant un moment. Juste entrain de jouer dans l'allée, il pensait pas que le drôle de type qui voulait lui parler voulait le garder. Une fois dans le van, il avait toujours pas capter que sa drôle de vie allait s'arrêter.
Il avait six ans quand sa vie a prit fin, quinze quand il renaît. Coupure, il joue la carte de celui qui ne se souvient de rien alors qu'on le retrouve dans une ruelle perdue. Le corps bousillé et le cœur dans un état semblable. Totalement traumatisé. Pourtant alors qu'on se rend dans sa chambre d'hôpital pour lui retirer quelques infos, il rit au nez des flics.
Gabriel, il refuse d'en parler, disant simplement qu'il se souvient de presque plus rien et que de toute façon maintenant, ça sert plus a rien. Le porc et ses sous fifres sont plus la pour être accusés, il a fait le sale boulot voyant que personne ne viendrai le sauver. Pas de preuves, pas de procès, pas de questions, juste une mère en larmes qui n'ose même pas le prendre dans ses bras. Y a un truc de cassé. Personne le reconnait, adieu le petit qui court partout, qui regarde le monde avec fascination. Gabriel, il sourit plus pour les mêmes raisons. Il savoure plus rien tout en prétendant le contraire, sauf que maman est toujours la pour assister à ces mensonges. Elle sait lorsqu'il trompe son monde, elle, elle sait pourquoi son fils agit comme ça sauf qu'elle en parle pas. Elle sait ce que c'est, que d'avoir des souvenirs qui nous transforment à jamais. Dans la nuit, elle l'admire dormir son tout petit, glissant sa main dans ses cheveux blond tout en retenant ses larmes.
Ce qu'elle en veut au monde, mon dieu ce que la haine la dévore. Elle se tient si droite malgré tout, elle encaisse en souriant elle aussi. Des faux joyeux. Elle, joue a la bonne mère, après tout il est plus le seul a courir dans ses jupons maintenant. Elle est si belle, si douce, si drôle, si forte, la jeune maman. Lui a prit exemple sur elle pendant toutes ces années. Il est devenu celui que rien n'atteint, qui prend tout a la rigolade même les pires horreurs. Sauf que la vérité c'est qu'il est incapable d'oublier. Il aurait jamais du s'en aller. Le plan était parfait, aucune faille, sauf que personne n'avait pensé que le tout petit avait de quoi se défendre. Ça a mit du temps pour qu'il comprenne, pour qu'il apprenne mais, il savait qu'un jour ce don allait lui sauver la vie. Neuf ans de souffrance, neuf ans a encaisser, a s'entraîner en secret pour cet instant fatidique. Il a pas eu besoin de se salir les mains, il l'ont fait a sa place. Pratique, de pouvoir s'immiscer dans le crane des gens, de contrôler ce qu'ils peuvent penser et surtout, ce qu'ils peuvent faire.
Sauf que c'était pas gratuit, c'est pas comme ça d'un simple claquement de doigt qu'il devient le plus fort de la pièce. Effort surhumain, il a du s'endurcir pour que son corps supporte le choc, tester des trucs sur ses bourreaux sans qu'ils n'en sachent jamais rien. Oui vraiment, c'est pas facile d'encaisser un don pareil avec tout ce bordel a coté. Pourtant sans ça, il y serait encore. Sa belle bouille l'a pas sauvé, quand maman est parti voir les flics l'enquête a prit du temps. Qu'est ce qu'on s'en branle de la disparition d'un énième gosse des rues ? Elle le savait, ça comme le fait qu'elle ne le reverrai surement jamais. Le cœur en miette en le voyant revenir dans sa vie. Aujourd'hui c'est eux contre le monde. Pas de grands discours, pas de questions qui blesse, juste quelques gestes tendres qui respirent l'amour.Il l'aide a s'occuper des plus petits, au courant que tous les papas sont plus de la partie. Il se tient si droit Gabriel pour quelqu'un que la vie a autant esquinté. Fier et sur de lui, difficile d'imaginer qu'il a tant sur le cœur. Il l'aide a s'occuper des plus petits, au courant que tous les papas sont plus de la partie. Il se tient si droit Gabriel pour quelqu'un que la vie a autant esquinté. Fier et sur de lui, difficile d'imaginer qu'il a tant sur le cœur. Beau parleur, il a apprit qu'il pouvait s'en sortir en jouant de ses charmes, l'habitude de désormais le faire a l'excès. Passant pour un dragueur invétéré, pourtant Gabriel n'a que bien rarement dans son lit quelqu'un qui lui plait vraiment. Couchant pour arriver a ses fins, pour devenir le petit protégé des gens de la haute. Le jouet parfait.  
On l'aime tant lui et sa belle gueule, ce p'tit gosse de la rue si désinvolte. Ça rend bien dans un tableau de chasse.  L'art de se foutre dans des situations impossibles, faut croire qu'il aime un peu trop s'en prendre dans la gueule. Addict aux emmerdes. Un vieux reste de sa vie volée. Mythomane, Gabby, il aime s'inventer milles et une vies. Jamais la même histoire. Il est ce qu'on a envie qu'il soit. Tout pour plaire, il sait jouer avec les mots comme personne. On lui donnerai le monde sans regrets. Parfois il se demande ce qu'il est vraiment. Il tient bon parce qu'il le faut, encore bien jeune pour avoir tant a porter. C'est toujours plus simple de jouer au con qu'a celui qui comprend un peu trop bien comment le monde fonctionne. Plus peur depuis une éternité de faire couler le sang. Il mène tout le monde en bateau et sort les poings lorsqu'on commence a voir clair dans son jeu. Gabriel, il sait juste plus ou donner de la tete. Il sait plus comment se comporter, juste l'impression de n'avoir jamais pu grandir. Il se sert de ce qu'il a apprit mais, tout ce qu'il a pu apprendre fait mal au cœur. Incapable de savoir ou se trouve ses limites, se demandant parfois si n'est pas mort ce jour la, dans ce petit van.
News : actuellement Gabriel met fin a toutes ses relations ambigus. Créer un contexte autours de cet aspect de sa vie ne sera bientôt plus possible.
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sparkingmoon-blog1 · 7 years
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Day 2 - mardi 9 mai 2017
Premier réveil en Inde, youhouuuu ! Enfin si on peut parler de réveil car en réalité je viens de passer une nuit blanche sans être capable de fermer l'œil … du coup je ne me sens absolument pas reposée mais en tous cas bien plus sereine qu'hier ! C'est dingue comme tout devient beaucoup plus inquiétant la nuit ! Ma chambre étant située à côté même de la réception, j'ai eu le droit aux chants hindous et prières vers trois heures du matin, puis à des cris d'animaux (je ne saurais toutefois dire s'il s'agissait d'oiseaux, de chiens ou … de cafards géants qui sait) de manière continue jusqu'au petit matin. Vers 7h30 alors que je suis toujours emmitouflée dans mon sac à viande et que je n'ose pas sortir la tête de ma cachette, mon cher réceptionniste vient m'apporter le petit dej’ … ca c'est franchement chouette (même si je n'ai malheureusement pas pu me résoudre à faire honneur à son omelette aux herbes suspectes … je me suis rattrapée sur une bonne mangue achetée sur un petit marché ambulant). Ce matin j'ai l'impression de me réveiller dans un monde parallèle. Je prends l'excessive gentillesse de mon hôte avec beaucoup de méfiance, c'est dommage, je suis pourtant ouverte aux rencontres, surtout quand je voyage mais je préfère prendre mes marques et rester prudente, surtout après mon aventure d'hier soir. Et je pense avoir bien fait car après avoir pris une dizaine de photos de mon passeport, le réceptionniste me demande de le suivre pour qu'il m'emmène en personne à la station de bus … merci bien mais non merci, hop je file à pied. Si j'ai dû dormir avec un pull tellement la clime était forte cette nuit, le contraste avec la chaleur extérieure est flagrante. L'air de la ville, mélangé de poussière est étouffant et la chaleur écrasante. Je n'ose pas prendre de photos car je sens que le moindre de mes gestes est observé. Attention en traversant la route ! Oui non, ne pas traverser la route. Heu … quelle route enfaite ? C'est très déstabilisant mais je suis vraiment heureuse de pouvoir vivre cette expérience et me dire que ce n'est que le début ne fait qu'accentuer ma hâte d'en découvrir encore plus !!
Après être enfin arrivée à la “bus station” (enfaite un simple panneau avec quelques gribouillis en hindou), j'arrête tous les bus pour demander la destination à qui voudra bien me répondre à l'intérieur. La communication n'est pas évidente, beaucoup ne parlent pas anglais et ceux qui le comprennent ont un accent tellement fort que je dois souvent m'y reprendre à plusieurs fois avant de finir par rendre le armes en remerciant le chauffeur et en me dépêchant de sauter du bus avant qu'il ne redémarre. Le troisième est le bon, un petit papy indien me prend sous son aile, on échange quelques brides de conversation et me voilà arrivée à l'aéroport. “Saute !” Me crie-y-il alors que le bus n'est même pas arrêté. Bienvenu en Inde, ici une chose est sûre il ne vaut mieux pas avoir le mal des transports, ca grouille dans tous les sens, c'est génial (enfin génialement dingue surtout). Si j'avais su … j'aurais dû me renseigner pour passer mon code de la route ici, ca ne doit pas être trop compliqué, c'est simple il n'y a pas de panneaux de circulation, et ce qui concerne les priorités ou limites de vitesse semble bien appartenir au domaine de l'hypothétique.
Mon avion pour Goa part à 15h25, je pars une petite semaine dans le sud pour m'acclimater à cet univers indien avant de partir à la conquête du Rahjastan, peut être la semaine prochaine. Si vous prévoyez de prendre l'avion à Bombay, surtout n'arrivez pas à la dernière minute mais prévoyez large, voire TRÈS large. L'aéroport est une véritable ville qui comporte deux terminaux, eux même divisés en deux zones bien distinctes : departures and arrivals. Dans tous les cas, impossible de franchir l'enceinte des bâtiments sans présenter son billet et son passeport, les contrôles sont très strictes et très nombreux, et le parcours pour atteindre la porte d'embarquement bien fastidieux. Toutefois l'aéroport est bien aménagé, il fait frais et les indications sont relativement claires, ce qui est agréable !! En attendant mon vol je savoure le meilleur café frappé de toute ma vie ! Passer des 10 petits degrés nantais aux 40 de Bombay c'est quelque chose !! Je passe donc une petite heure en compagnie de Kavin, un canadien backpacker qui arrive d'Afrique du Sud et qui semble tout aussi perdu que moi bien qu'il en soit à son troisième voyage en Inde. Il est vraiment chouette, et après m'avoir donné plein d'astuces et de bon plans sur Goa où il est resté un mois, on prévoit de peut être se retrouver au Rahjastan pour un bout de voyage ensemble dans une ou deux semaines.
Bon Heu ça cause ca cause mais … j'ai soif ! Eau non potable WARNING WARNING alors je vous laisse les pandas et pars à la chasse d'une bouteille d'eau avant d'embarquer. 🐼
Bien arrivée à Goa, encore trois heures de bus (avec moult changements) et j'arriverai enfin à Arambol. Mais alors le bus en Inde ... c'est un peu comme la foire aux chameaux, tu sais pas lequel prendre et ils se ressemblent tous ... ce qui est fabuleux en Inde qu'est qu'on te répond TOUJOURS oui, quelque soit la question ... bon alors c'est vrai que je viens juste de comprendre qu'un hochement de tête ne voulait pas dire oui mais était un signe de négation .... d'accord ça peut aider ...Résultat : tu montes dans un bus sans trop savoir où tu vas atterrir. Une fois à bord tout ce que tu as à faire c'est de prier pour que le chauffeur ait de bons réflexes et ne soit pas sorti la veille. C'est un peu comme les attractions 4D du Futuroscope, quand tu as l'impression de foncer dans une poubelle en feu avec ton bolide et que tu l'évites à la dernière seconde. Et Ben là c'est pareil, quand la mauvaise idée de regarder devant te traverse l'esprit, tu te rends compte que trois voitures à contre sens (enfin en sens inverse parce qu'il n'y a pas tellement de sens) se dirigent dangereusement vers toi. La seule différence c'est qu'ici les bruits de carcasses de voitures qui se heurtent ne sont pas rares. Et alors dans les embouteillages ... on change de jeu, ça devient les auto tamponneuses rythmées à coup de Klaxon, de cris et de sifflements, joyeux bordel ! Tout est bon pour arnaquer les touristes : 20rps le ticket au lieu de 10 (hehe on ne me la fait pas à moi), un petit mensonge sur La destination du bus pour avoir un passager de plus ... bref j'ai réussit à atteindre la station d'Arambol dans le nord de Goa vers 20h après 4 bus, une mangue écrasée dans ma poche et un dernier trajet en mode Tetris dans une camionnette où nous devions être une bonne cinquantaine (bus limités à 17 places ...). La porte est fermée avec une petite chaîne ou cordelette, s'ouvre à la volée pour laisser sauter les gens et récupérer d'éventuelles autres personnes avant de repartir aussi vite. Première conclusion : on a beau se plaindre de louper le bus ou de devoir marcher trois arrêts ... il fait bon vivre en France ! Bon j'arrive complètement pommée (pour changer), il fait nuit, les rues ne sont pas éclairées même si je suis dans un assez gros village et il n'est pas habituel pour une fille de se promener seule à cette heure ... je préfère demander mon chemin aux femmes que je croise, certaines sont très accueillantes, d'autres beaucoup plus froides et méfiantes. Au bout de trente minutes de marche un petit peu hasardeuse, je m'adresse à un marchant de bananes qui ne connaît pas ma destination. Je le remercie et repars avant qu'il ne m'interpelle quelques secondes plus tard : une mobylette venait de s'arrêter, l'homme me dit de monter, qu'il travaille dans l'auberge où je vais ... heuuu ... ouiiii .... nooooon .... je sais pas. Non, après ton aventure d'hier essaie d'éviter les galères un peu ... je refuse poliment et reprends la route. Il insiste, me dit qu'il a mes coordonnées et sait que je suis française, je finis pas le suivre et 5 min de moto plus tard ... nous voilà effectivement à l'auberge, à 100 mètres de la plage. Énorme soulagement. Musique et cocotiers en guise d'accueil. Ma chambre est super ! Je ne pouvais pas rêver mieux !!!! J'ai un petit robinet et un sceau qui me font office de douche, des toilettes, un ventilateur et une superbe vue. Première chose : me couvrir de spray anti moustique. Je n'ai pas prévu de traitement contre le paludisme (bon d'accord mauvaise organisation comme d'habitude) et le climat tropicale de goa est particulièrement propice à ces petites bêtes ... alors on va être prudente. Après une bonne douche (froide mais tellement agréable) et une panne d'électricité, je tombe comme une mouche emmitouflée dans mon sac à viande. Bonne nuit les pandas 🐼
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lilysokay1219-blog · 6 years
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Et tu sais y'a des filles comme ça qui se prennent la tête sur tout, qui réfléchissent beaucoup trop et qui ont peur des choses qui paraissent les plus simples ou évidentes. Y'a ces filles complètement paumées, et trop connes et trop naïves, qui sont juste terrassées par le manque qui se trouve au fond d'elles. Tu vois ces filles qui rentre dans la vie des gens et qui font en sorte de laisser des traces, oui laisser des traces parce qu'elles finiront par se barrer. Elle vont se réveiller un matin avec l'impression que leur tête va exploser d'avoir trop penser et sur une impulsion débile elles vont décider de tout arrêter. Pas parce qu'elles ne ressentent plus rien, ou parce qu'elles en ont marre, juste parce qu'il y a un petit truc qui a tout déréglé, et qui les a fait fuir. Elles sont craintives, et elles sont destructrices, elles font du mal, et elle en sont conscientes, et le pire, c'est que ça les déchire encore plus que si elles étaient restées.
Mais voilà, ces filles elles suivent leur instinct, et on sait à quel point il est mauvais parfois, tout le temps. Il fait faire les mauvais choix, en fait ces filles sont des mauvais choix. Au départ on les croit douces et caractérielles à le fois, puis plus on creuse son chemin dans leur petite âme, moins on comprend ce qu'il se passe. Et le pire c'est qu'on voudrait les aider, mais c'est impossible, pas vrai ? Souvent on tente tout, on se donne complètement, mais elles montrent rien, aucun signe qu'on sert à quelque chose dans leur putain de tristesse maladive, alors on lâche prise, on abandonne, et ça soulage, mais ça crève à la fois. Et pourtant, on sert, rien que quand on leur parle, on les fais rire, on entame timidement des conversation sur leur problèmes, quand on parle de sois un peu, on les aide, elles montrent rien pourtant, elles sont toujours là, à se plaindre, et ça nous démunit. On se sent impuissant, inutile. Et pourtant.
Puis elle s'attache ces filles, elle s'attache vraiment, quand elles aime, crois moi c'est pour de vrai, et elle sont capables de faire croire le contraire au moment de leur départ croyant que ça te fera moins mal. Elles vont te dire qu'elles pensaient t'aimer, mais qu'elles se sont tromper, elles vont te dire qu'elles avaient besoin d'affection et qu'elles se sont rabattus sur la seule personne capables de leur en donner. Et malheureusement le plus souvent une des personnes les plus chères à leurs yeux. Elles vont te faire avaler ces mensonges, pour que tu les détestes, pour que tu les oublis plus vite, elles croit avoir la solution ces filles, mais elles sont le problème. Pourtant je le sais qu'elles s'attachent, et qu'elles aiment, oui elles aiment maladroitement, et de travers, mais elles aiment.
Le truc, c'est que ces filles, elles supportent pas qu'on puisse s'attacher à elles, elles supportent pas mais en plus de ça elles comprennent pas. Bah oui, elle se déteste, alors comment quelqu'un pourrait faire pour les apprécier rien qu'un peu. Alors elles ont pas confiance, et ça les embrouille, et ça leur fait peur, et elle se disent que c'est pas vrai, ou alors elles se disent que c'est vrai mais que tu te rendras compte bien trop tard qu'on ne peut pas aimer ce genre de fille. Alors, ces filles, elles vont partir, au moindre signe d'affection elles vont prendre peur, et elles finiront par partir si elles sont trop sûre.
Je crois que ces filles elles ont besoin du doute, elles ont besoin de ne pas être sur, elles ont besoin de quelqu'un qui se méfie d'elles, autant qu'elles se méfient de tout et surtout d'elles-mêmes.
Putain mais ces filles elles sont bien trop connes.
Elles vont te laisser tranquille pendant quelque temps, mais elles t'oublieront pas, elles n'oublieront jamais ce qu'elles t'ont fait. Et le jour où elle supporteront plus, elles reviendront avec un long texte maladroit et désordonné, qui doit probablement rien vouloir dire, mais juste remplis de vérité. Parce qu'elles voudront forcément qu'à un moment donné, tu saches tout. Elles attendront, peut être deux jours, peut être trois mois, ou peut être dix ans, mais tu sauras la vérité.
Et elles vont se rabaisser, et se mettre en victime, alors que se sont elles qui font des victimes.
Alors à ce moment là, ces filles, elles voudront pas forcément que tu les pardonnes, ni même que tu acceptes ce qu'elles ont fait, elle ne t'obligeront pas à répondre, mais ce qu'elles aimeraient, c'est juste que tu comprennes, que tu les comprennes.
Elles voudraient que tu comprennes qu'elles savent ce qu'elles ont fait, et qu'elles savent ce qu'elles sont, et qu'elles sont désolées.
Puis aussi, ces filles, elles auraient voulus que tu les crois quand elles te disaient qu'elles étaient bancales, et instables, et ces filles, quand elles ont décider de partir, fallait juste les rassurer et leur dire que ça allait aller, leur laisser un peu d'espace, mais de pas les laisser.
Ces filles là, elles te répéteront jamais assez qu'elles sont désolées.
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