valsidaleudlar

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25 mai 2021

C’est jour de fête, je voudrais préparer une grande table ou serait servis un repas d’été qui sent bon le chant des cigales et le vin blanc frais… une table où seraient invités ceux que tu aimais, ceux que tu aurais aimés. Je voudrais partager ma félicité, le bonheur de t’avoir rencontrée… Je suis tellement triste parfois de ne pouvoir te présenter à ceux et celles qui enchantent mes journées,…

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Il y a douze ans,

Le monde était en espoirs, Obama allait être nommé président des États Unis d’Amérique. C’était une fin de journée sans nuage, le soleil d’hivers se donnait un air de printemps. Toute la planète ou presque se mettait en fête, pour s’inventer un meilleur avenir. Et pourtant c’est aussi le jour noir où seuls les mots d’Eluard m’ont retrouvé : « Nous ne vieillirons pas ensemble. Voici le jour en…

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20 janvier 2012

Il y a douze ans, Le monde était en espoirs, Obama allait être nommé président des États Unis d’Amérique. C’était une fin de journée sans nuage, le soleil d’hivers se donnait un air de printemps. Toute la planète ou presque se mettait en fête, pour s’inventer un meilleur avenir. Et pourtant c’est aussi le jour noir où seuls les mots d’Eluard m’ont retrouvé : « Nous ne vieillirons pas…

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perdu

Je n’ai plus envie que de mots, impossible de me concentrer, ma fièvre est trop forte, je ne suis plus qu’un corps brûlant, avide d’heures folles… seul l’écriture peut assouvir l’incendie qui me dévore… Je suis esclave de ta chaire, je croise et décroise mes jambes pour inventer les tiennes, et je le emmêle à mes lettres et mes blancs, le clavier n’est que le chemin qui me ramènera à la lumière…

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Détournée

je combats tes objections, je lutte pour remettre à feu nos passions… je ne peux te laisser à tes raisons, je suis esclave de ma déraison… je sais les risques que tu prends, et chaque instant partagé est une victoire sur tes obligations je sais la magie de nos corps à cœurs, de nos minutes volées, tu es source de mon obstination. je pose mes lèvres sur les portes dérobées, je glissent mes mains sur…

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20-01-2020

C’est étrange de retrouver ceux qu’on a aimé au jour où ils nous quitté.

Et d’avoir le cœur lourd, lent, qui sombre et ne bat presque plus en repensant aux bonheurs perdus.

Je voudrais savoir ne penser à toi qu’à l’aube des journées d’été. T’inviter à mes joies, mes folies, aux fêtes où tu aurais pu danser.

Apprendre à sourire quand je te retrouves au détour d’un détail de la vie de tout les…

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diffraction.

Alors que nous découvrons n’être qu’une poussière d’un univers, dont nous n’arrivons pas à entendre l’étendue, et que cet univers lui-même n’est presque rien dans une infinité de dimensions inaccessibles, que les astronomes nomment multivers, l’évidence nous rappelle que nous ne sommes rien.

Alors que le temps lui même, aussi immuable que paraisse son écoulement qui nous emprisonne au présent,…

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L’amour l’amant l’aimé

Tu es comme le matin. Je suis la lampe qui brille, Seule, à l’aube. Souris-moi, et je donnerai ma vie. Tu es le deuil de mon cœur, pour les boucles de ta tête Que ma tombe fleurira d’un tapis de violettes. Je me tiens, les yeux ouverts, sur le seuil de ton désir. Dans l’attente de ton regard, …mais, de moi, tu te retires. Merci. Que Dieu te protège, ô cohorte de douleurs, Car, lorsque je serai…

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Prose à propos du sexe des anges

Et pourtant tu avais bien des ailles, je les ai vues, cachées derrière tes yeux fermés

Je t’ai vu, dans mes ciels noirs, les éclairs et mes nuits d’orage.

Je t’ai vue, peinte mille fois, sur les tableaux des anciens, sensuelle et sauvage.

Et quand je sens tes plumes de soie, m’effleurer, je retrouve nos étés.

Je m’échappe de l’instant pour y retrouver mes éternités, ou peut-être le goût d’un de…

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L’olivier et la mer

Quand je suis parti, tu m’as souri, le soleil était levé, je ne m’étais pas douché, pour emporter avec moi le goût de ta nuit

Quand je suis parti, tu n’as rien dis, ou rien d’important, juste tes yeux, qui m’aimaient, l’olivier et la mer au bout de la vallée et le ciel tout bleu

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nos rêves

Nos rêves échappent au réel, je n’ai jamais compris pourquoi nous rêvons souvent de ce qui nous est impossible, de voler, d’être géant, de respirer sous l’eau, d’ubiquité, nous nous émancipons des règles de la physique, des règles du temps.

Les rêves donnent naissance à notre volonté de transformer, d’inventer le monde, de créer de nouveaux outils, de raccourcir le temps en allant à des vitesses…

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Dix ans

Il est grand, maintenant, l’enfant apeuré qui s’était fermé au monde. Il portait peut-être ton deuil à rebours, et c’est sur lui que je m’appuie parfois pour retrouver goût aux nouveaux jours.

Puisse-tu reprendre souffle quelques secondes, pour sourire à le voir, et effacer de ta mémoire la douleur de ne l’avoir connu qu’indifférent, distant aux autres, à tes bras aussi, il s’enfermait en…

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à revers

On ne peut jamais ne plus aimer ceux qu’on a aimé.

Les seuls êtres dont on peut se détacher sont ceux qui n’ont pas vraiment comptés. mais peux d’entre-nous auront connus cette félicitée, et la douleur qui lui répond à revers.

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Je n’existe pas

Un rêve ou tu es revenue, un rêve étrange comme un rêve, mélange d’images réelles déformées d’une part de magie, kaleidoscope de couleurs, de moments de textures, de rires et de peurs.

Un rêve ou je t’ai retrouvée, tu mangeais, et cette grande table composées des pleins de petites tables poussées les unes contre les autres, dans une coure, comme une fête des voisins qui recommence tous les soirs,…

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qu'est-ce que tu dis de ça ?

qu’est-ce que tu dis de ça ?

Sandrine Toujours avec nous, Toujours avant moi, Fille des années 70. Je pense à toi. Dessin de Sol qui t aimait. MLH

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missing

a robot a sentence meant to write a dot. mechanical string, a missing spring Pushed the rewind button, reversed landscapes, scenes that we shared I’m pulling out those pictures randomly Drowning back into our story Horses running in the green meadow, architectures of foreign lands, places, sunsets, strangers, a rainbow We were collecting the wonders of the world, the moroccan markets, the gran…

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En inversé

On dit chez moi que celui qui sait regarder la lune, Kamar, ne peut pas être vraiment mauvais; et pourtant j’ai le sang glacé; ce baiser interdit m’a damné je vis de ce faux espoir  les pieds en l’air, en inversé et je tente de te revoir  je ris, je danse, possédé  par cette transe oubliée On dit chez moi que celui qui rêve éveillé, Kalima, vit mille vies à la fois, sans jamais trouver sa vérité …

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