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#Musée de la Cour d’Or
miroir-de-sports · 3 months
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Un mariage du sport et de la culture
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Après sa réouverture le 10 février assortie d’une nouvelle identité visuelle, le MuséoParc inaugure sa mue olympique le week-end du 23 mars : l’exposition "Ô Sport, Des Jeux pour des Dieux" cochera alors toutes les cases des Jeux, antiques et modernes ; immersion sportive dès le hall d’accueil doté d’une piste d’athlétisme, scénographie signée Freaks architectes ; rencontres avec des athlètes antiques, collections d’objets avec le soutien du Musée Olympique de Lausanne. La Forêt Olymphonique de Stéphane Marin fera vibrer le toit-terrasse du musée d’allégories sportives sonores. Pendant les vacances scolaires de Pâques et d’été, il sera possible de découvrir des disciplines sportives antiques. Des ateliers trampoline seront proposés du 9 au 11 mai, à partir de 7 ans et sur réservation. Le 8 juin, le contre la montre par équipes de l’épreuve cycliste Côte d’Or Classic U19, prendra le départ du MuséoParc Alesia. Le vendredi 12 juillet à 12 h 48, sera le temps fort de la saison avec le passage de la Flamme Olympique à l’extérieur du musée et indoor sur la piste d’athlétisme conçue par Gerflor. L’arrivée de la Flamme sera précédée de Sol Invictus, œuvre chorégraphique d’Hervé Koubi, à laquelle la population sera associée dans un flash mob danse de la Flamme à laquelle participeront des jeunes du SCO Dijon.
Après ce moment d’exception, le Musée poursuivra sur sa lancée avec 3 soirées Cinéma à Alesia sur le thème du sport, les mardis 30 juillet, 6 et 13 août, en association avec un club sportif à chaque séance ; du 15 au 18 août, un spectacle de disciplines sportives antiques à base de lutte, pancrace, boxe, lancers, avec le Groupe Acta. Sont également programmées, entre le 23 mars et le 30 novembre, 6 conférences d’ArTeHis sur le thème des Jeux Antiques. Enfin au cours de la saison, en association avec le Conseil Départemental des Jeunes, des thèmes de l’exposition seront exportés hors les murs pour être présentés à des élèves de 6 collèges du département. En projet, un spectacle équestre en collaboration avec les élèves du Lycée La Barotte de Châtillon-sur-Seine.
Célébrez !
Une interprétation de la nouvelle identité visuelle du MuséoParc :
Universalité avec les 5 couleurs des anneaux olympiques et proximité avec les couleurs qui blasonnent la Côte d'Or. Un mariage du sport et de la culture.
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kohlanthai · 3 months
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Le réveil sonne un peu plus tôt chaque matin (et demain ça ne sera pas mieux) réveil à 7h pour tenter de visiter à peu près tranquillement le Grand Palais et Mini bouddha d’émeraude (66cm placé à 8m en hauteur). Mais on se fait refouler pour port de bermuda par bibi et mon sarong n’est pas accepté pour cacher mes jambes. Et puisqu’on nous désire si peu, on boude le bouddha pour lui préférer le musée national juste à côté et si on y perd pas mal sur le plan architectural, on y gagne un cours de 2h en français (retraité, bénévole ici) sur les religions hindouistes et bouddhistes, dont la Thaïlande a fait une forme de synthèse. On y apprend aussi l’évolution de l’art religieux en Thaïlande entre les 9ieme et 18ieme siècle, dont Sukkhotai et Ayuttaya, nos prochaines étapes, font figure d’âge d’or.
Il est déjà plus de midi quand on sort de là. Le temps d’un petit repas sur le bord du fleuve et d’une traversée, et nous voilà au Temple de l’Aube, sorte de stupa du Facteur Cheval à force de céramiques et de miroirs incrustés. Notre divertissement vient surtout de l’observation du défilé de touristes asiatiques en tenue d’apparat qui se prennent en photo en selfie, en groupe, à l’aide trépieds sous leur plus beaux jours (on n’a pas du tout compris l’engouement, même si on a essayé !).
Petit tour en fin de journée à Patpong en duo … quelques clubs fermés, un marché de nuit, des néons qui clignotent. Mais rien à se mettre sous la dent…Retour à la chambre !
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Messi Super Ballon d’Or ? Cristiano Ronaldo pourrait lui ravir la vedette...
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Lionel Messi a déjà une armoire à trophées bien garnie. Mais, un titre particulièrement important, le Super Ballon d’Or, manque encore à son prestigieux palmarès. Alors, le prodige argentin va-il réussir à s'adjuger ce dernier trophée ? Super Ballon d’Or pour Lionel Messi ? Un seul détenteur jusqu'à présent A qui ira le Super ballon d'Or entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo ? Le Super Ballon d’Or n'est pas un titre ordinaire. Créé en 1989, il vise à récompenser le meilleur joueur européen sur une période de 30 ans. Une seule personne a eu l'honneur de recevoir ce trophée jusqu'à présent : Alfredo Di Stefano. https://twitter.com/BarcaWorldwide/status/1718870850575941944 Le trophée a récemment été mis aux enchères en 2021, atteignant la somme de 200.000 euros, ce qui est dans une certaine mesure le témoignage de sa grande valeur dans le footbal. Avant cela, il était fièrement exposé au musée du Real Madrid, le club où Di Stefano a laissé une empreinte indélébile. Lire aussi : Messi Ballon d’Or 2023 : Lisez les réactions de Mbappé et Nasser ! Super ballon d'or : un nouveau défi pour Lionel Messi Lionel Messi, fraîchement élu favori pour le Ballon d'Or 2023, a accumulé 44 distinctions au cours de sa carrière éblouissante. Mais le Super Ballon d’Or est resté un rêve éloigné. Depuis quelques temps, de nombreux débats tournent autour de ce trophée, et le journal Diario As, envisage même la possibilité d'une édition 2029. Les fans de Lionel Messi ont exprimé leur souhait de voir leur idole être couronnée, bien que cette idée ait rencontré de multiples réfutations dans le monde du football. Voir également : A combien s'évalue la fortune de Lionel Messi en 2023 ? Lionel Messi vs Cristiano Ronaldo : L’éternelle rivalité La perspective d'une compétition pour le Super Ballon d'Or ravive la rivalité légendaire entre Messi et Cristiano Ronaldo. Les deux titans du football européen ont dominé la scène pendant plus d'une décennie, et le Super Ballon d’Or pourrait ajouter un autre chapitre fascinant à leur duel historique. Les plateformes de réseaux sociaux sont devenues un terrain fertile pour les débats. Messi et Ronaldo ne manquant pas de soutient pour ce saint Graal. ________ Passionné de ballon rond ? Retrouvez l'actu foot sur notre page Twitter et sur notre page Facebook ! Read the full article
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inachevees · 7 months
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24/09/2023
Fenêtre ouverte sur la cour de son immeuble. On entend des pleurs. C’est un vrai bébé qui crie ou c’est un bébé dans un film ?
(Plus tôt dans la soirée, ailleurs, NMM fume une mentholée à la fenêtre, cinquième étage ; même fenêtre où le chat est tombé sans presque rien de cassé, Benoît l’a vu tomber pourtant, du haut du cinquième étage jusqu’au sol.)
Et dans l’éventualité où il me quitterait, ce serait l’occasion (prétexte) de partir à Paris. Je pensais. Début août.
Une ville puis deux points : où il est question de stimulation.
Arrivée à Paris jeudi soir, tard. Vendredi : matelas pourri posé devant l’immeuble pour être récupéré par les encombrants, Antonin pour déjeuner puis café où Micka nous a rejoints, balade jusqu’au canal Saint-Martin et soirée dans un bar à Colonel Fabien plein d’étudiants en première année qui faisaient sans doute leur première soirée d’intégration (bière pas chère, apparemment). Samedi : fuite de la Techno Parade à Bastille pour marcher le long des quais jusqu’au Musée d’Orsay, visite avec Micka qui me sert de guide, m’explique les œuvres, on devait aller à Pompidou mais il rentre, finalement, je rejoins Antonin pour un café et un détour à Book Off où on croise J-E, Pierre, plus tard, et je rentre à la maison avant une crémaillère déplacée dans un bar. Dimanche : Petit Palais, expo qui ne m’intéresse pas, je sors rapidement pour téléphoner à ma mère dans le jardin pendant que Micka et ses amis s’éternisent, direction Flèche d’Or, marché de créateurs queers absolument inintéressant, on descend jusqu’à un jardin où des gamins jouent au volley, Micka va jouer un peu, on le regarde, Jeh, Emma et moi, je vais manger chez Agathe, je rentre à pied. J’oublie, de plus en plus. Je regarde dans la galerie de mon téléphone (les dates et les heures aident mais, parfois, je ne prends pas de photos). Je demande à Micka : on a fait quoi, déjà, vendredi après-midi ? Il cherche, me répond. Il s’endort.
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titou-nz · 1 year
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Vallée des Rois, Tombeau de Toutânkhamon - Égypte
Expositions
Les expositions consacrées à Toutânkhamon connaissent régulièrement un succès populaire considérable.
En 1967, une exposition du mobilier funéraire de Toutânkhamon au Petit Palais supervisée par Christiane Desroches Noblecourt à Paris a attiré plus de 1 240 000 visiteurs. En 2004, l'exposition « Toutânkhamon – L’Or de l’Au-delà » à Bâle a attiré près de 600 000 visiteurs, mettant à mal la capacité d'accueil du musée où se tenait l'exposition. En 2007, pour une exposition similaire à Los Angeles, on a vendu près de 500 000 billets en un mois.
En 2008, une reproduction grandeur nature du tombeau de Toutânkhamon a été faite à la Toni Areal de Zurich.
Du 27 mai au 5 juin 2011, la Foire Exposition de Limoges présentait « Le fabuleux trésor de la tombe de Toutânkhamon ». Cette exposition reconstituait chaque pièce de la tombe et plus de 1 000 objets retrouvés dans le tombeau étaient présentés au public (répliques réalisées à l'identique par les artisans des Ateliers du Caire dont les deux sarcophages extérieurs revêtus d’or, le sarcophage intérieur en or massif, le masque en or du roi, les deux chars de parade du roi, le trône d’or, les lits funéraires plaqués d’or et la momie du pharaon)
Cette même exposition s'est déplacée à Chambéry du 10 au 19 septembre 2011 à SavoiExpo lors de la Foire de Savoie, à Bruxelles du 20 avril au 27 novembre 2011 à Brussels Expo au Heysel et du 12 mai 2012 au 1er septembre 2012 au parc des expositions de la porte de Versailles.
Une exposition mondiale itinérante est organisée à partir de 2018, « Toutânkhamon, le trésor du pharaon », présentant 150 objets et pièces de mobilier funéraire du Trésor. Elle a débuté à Los Angeles (mars 2018 à janvier 2019) attirant 700 000 visiteurs puis s'est poursuivie à Paris à la Grande halle de la Villette (mars à septembre 2019) où avec 1 423 170 visiteurs, elle est l'exposition la plus visitée de France, devançant une autre exposition de ce trésor, l'exposition « Toutânkhamon et son siècle » qui avait attiré 1,24 million de spectateurs au Grand Palais à Paris en 1967. « Toutânkhamon, le trésor du pharaon » se poursuivra à Londres de novembre 2019 à mai 2020 avant de continuer dans d'autres métropoles, non encore précisées. Les objets rejoindront ensuite en 2024 le nouveau Grand Musée égyptien en cours de construction.
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rapportsdestages · 1 year
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c. Installations et interventions extérieures
            Le premier jour de mon stage, Mathieu et moi sommes allés à La Briqueterie, un petit musée construit sur les vestiges d’une ancienne tuilerie-briqueterie, pour régler un problème technique. En effet, il y a un endroit où ils diffusent une vidéo, qui se déclenche grâce à un détecteur de mouvement, et en voulant remplacer la vidéo, celle-ci ne se déclenchait plus. Mathieu a regardé sur la clé USB ou la carte SD où il y avait l’ancienne vidéo et le programme, et a comparé avec la nouvelle clé, et en fait tous les fichiers n’avaient pas été déplacés, alors le programme ne fonctionnait pas correctement. Ainsi, en copiant bien tous les fichiers, cela a fonctionné.
            Il y a un stade à Saint-Malo dans lequel il y a des enceintes JBL installées par Platine. Un matin nous y sommes allés avec Mathieu car il fallait modifier la matrice afin d’ajouter les enceintes dessus. Pour cela, Mathieu devait installer un logiciel qui s’appelle Yamaha MTX-MRX Editor sur son ordinateur. Il a essayé en installant la version la plus récente, mais il fallait la même version que la matrice. Ainsi, il a installé différentes versions une par une jusqu’à trouver la bonne et pouvoir contrôler la matrice. On a ensuite pu tester les enceintes : Mathieu parlait dans un micro HF en demandant de monter ou baisser le volume, et allumer ou éteindre les amplis. Tout fonctionnait et ça ne saturait jamais donc c’était une réussite.
            Un autre jour, nous devions aller à la cathédrale de Saint-Brieuc car il y avait un problème avec les micros. La personne en charge de la cathédrale nous a dit qu’il entendait parfois un larsen qui commençait à partir. Après vérification du câblage, nous avons remarqué que les micros étaient inversés par rapport à la console, mais en testant les micros, cela n’a pas créé de larsen.
            Au « Kasino » de Sables d’Or Les Pins, il y a une petite salle où il peut y avoir des concerts ou des spectacles. Nous sommes allés y installer des praticables neufs, un escalier et une jupe neuve. Les anciens praticables étaient en mauvais état et étaient plus petits en hauteur, alors la nouvelle scène était plus haute et plus belle.
            Lors de la troisième semaine, nous sommes allés à la patinoire de Langueux car une des lumières ne fonctionnait plus.
            Nous avons donc monté un échafaudage sur la glace afin de regarder quel était le problème. Il y avait une autre lumière identique, et lorsqu’on échangeait une certaine pièce, la lumière fonctionnait. Il fallait donc changer cette pièce.
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Échafaudage à la patinoire
            La première fois que nous sommes venus à la patinoire, il y avait cours, alors nous devions attendre, mais la salle de spectacle La Passerelle a appelé pour demander si on pouvait leur dépanner des enceintes. Nous avons donc pu aller au dépôt chercher les subs et aller à La Passerelle pour leur donner, avant de retourner à la patinoire.
            Arnaud et moi sommes revenus pendant la dernière semaine pour changer la pièce et également pour faire de la programmation sur Daslight, un logiciel de programmation lumière. Par chance, on a retrouvé le fichier Daslight avec les informations pour contrôler les lumières. Malheureusement, il n’y avait pas de « scène » toute faite, mais au moins il n’y avait pas à réassigner les lumières. Arnaud a donc créé plusieurs scènes pour qu’il y ait des effets déjà programmés, mais les lumières n’étaient pas terribles. En effet, quasiment chaque projecteur ne fonctionnait pas correctement : par exemple, il y avait un projecteur qui ne diffusait que de la lumière rouge, ou encore certains projecteurs ne faisaient pas comme les autres. De plus, lorsqu’on choisissait du magenta avec le logiciel (Daslight 1), les projecteurs diffusaient du rouge et du bleu séparément (Daslight 2).
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Daslight 1
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Daslight 2
            Pour un évènement ponctuel, le magasin Jean Hue & Socoda avait besoin d’un écran. Ainsi, nous leur avons loué et installé un écran sur un pied, avec un câble d’alimentation, un câble HDMI et la télécommande. Le lendemain, nous y sommes retournés pour tout démonter.
            Enfin, pendant la dernière semaine, nous sommes allés au Space Club, une boîte de nuit à Pléneuf-Val-André, pour installer des lumières : des lyres Showtec Phantom, des lasers, des machines à fumée LED, des sunstrips, etc.
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Lumières au Space Club
            Une seule journée était prévue pour ces installations, et seulement Mathieu devait venir, mais finalement il y avait beaucoup de travail, alors nous y avons passé 2 jours et Arnaud est venu aider. Le magasin a donc dû fermer car Jacques était en congé.
            Ainsi, en plus des lumières à installer, il y avait de la programmation à faire : il fallait assigner les différentes lumières et réglages aux touches et faders du contrôleur.
            Ce n’était pas facile : Arnaud avait déjà travaillé sur Daslight, mais il y a longtemps et sur une version plus ancienne. De plus, celui qui avait effectué la programmation précédemment n’était plus là ; les employés de la boîte de nuit ne pouvaient donc pas l’aider avec le logiciel.
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Programmation sur Daslight
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actualite-metz · 1 year
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Nuit Européenne des musées 2023 Metz – Musée de la Cour d’Or : programme, date, horaires Journal des spectacles Lire la suite
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french-maestro12 · 1 year
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Meilleures destinations d’Égypte en hiver
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Bienvenue en Égypte “la terre des civilisations et la mère du monde”, où l’histoire,l’authenticité , la race , la gentillesse, le beau sourire et l’hospitalité. Ici, vous ferez beaucoup d’excursions , dont des excursions récréatives , culturelles , historiques , religieuses et d’aventure. Pendant votre séjour en Égypte, vous explorerez quelque chose de nouveau sur l’histoire ancienne de l’Égypte ou la culture égyptienne. Lorsque vous décidez voyager en Égypte pour passer vos vacances, vous devez choisir le bon moment pour profiter de votre excursion. Au cours de cet article, nous mettrons en évidence les meilleures destinations touristiques égyptiennes que vous pouvez visiter en hiver.
*L’oasis de siwa:-
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L’oasis de siwa est une attraction touristique idéale pour passer vos vacances en hiver. Si vous aimez le calme , vous pouvez aller à cette oasis. C’est l’un des endroits touristiques tranquilles. Elle est situé au Sahara Occidental, en Égypte près de la côte méditerranéenne, elle est à 10-12 h du Caire.
-Que visiter à l’oasis de siwa?
Vous pouvez visiter beaucoup de sites touristiques à l’oasis de siwa comme le temple d’Amon et la montagne des morts . Par ailleurs, vous pouvez faire le tourisme thérapeutique où son sable contient des éléments naturels utilisés à des fins de médecine alternative
Quant à l’hébergement, L’oasis de siwa vous fournit beaucoup de lieux pour rester vos vacances comme Siwa Shali Resort, Dehiba Resort , Dream Lodge Resort et etc. - Quel est le coût d’un voyage à l’oasis de siwa? Le coût total d’un voyage à l’oasis de siwa commence à environ 1400 EGP durant 3 jours *Louxor et Assouan:-
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On sait que le climat de la ville de Louxor et d’Assouan est incroyable en hiver , ce beau climat contribue à la croissance du tourisme à Louxor et Assouan . Les touristes viennent à Louxor et Assouan pour échapper au froid de leur pays.
-Pourquoi le climat de Louxor et d’Assouan est-il incroyable? Parce que le soleil y brille pendant 8h , ce qui rend son climat chaud toute l’année. C’est l’un des avantages de la ville de Louxor et d’Assouan.- Les lieux d’hébergement:-
Dahabiya , croisière sur le Nil
Nubia Eco Village
- Quel est le coût d’une excursion à Louxor et Assouan? Le coût total d’une excursion à ces villes comme de 700 à 1800 EGP par jour *Alexandrie:-
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La ville d’Alexandrie se caractérise par son climat à chaque saison , mais le climat d’Alexandrie est différente et unique.
-Les meilleures activités à Alexandrie en hiver:- Dans la ville d’Alexandrie, il y a beaucoup de cafés et de restaurants que vous pouvez avoir besoin . Alors , vous pouvez aller à Costa , à Starbucks et etc. Et vous pouvez visiter ses attractions touristiques, telles que la citadelle de Qaitbay , le palais de Montazh , le musée romain , le musée national d’Alexandrie et etc. Il est à noter que le voyage à Alexandrie vaut d’environ 500 EGP par jour -Où restez-vous pendant votre voyage à Alexandrie? Vous pouvez rester au village Cleopatra Plaza , au village de Maamoura , au village de Canary à Alexandrie et etc. *Marsa Alam:-
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La ville de Marsa Alam est à 1/5 h de la ville de quseir. Marsa Alam est une ville située au sud-est de l’Égypte sur la Côte ouest de la Mer Rouge. Il est un important centre de pêche , de plongée et des croisières pour les amateurs de plongée et les chercheurs de confort et de calme. La région de Marsa Alam est caractérisée par de nombreux récifs coralliens colorés et fabuleuses et plusieurs réserves marines. Par ailleurs , il est une merveilleuse destination pour les amateurs de Safari. Marsa Alam est caractérisé par la beauté de sa nature. Il y a une gamme de montagnes , de vallées uniques et de mines d’or et d’émeraude antiques qui ont été creusées pendant les ères anciennes . Et il y a aussi beaucoup d’îles comme Zuberged Island, Khawar Island, Rocky Island et Shahab al-Fastun, Pour profiter de la vue des montagnes et des vallées, vous pouvez faire un safari en quad pour voir ces vues magnifiques.
-Les destinations touristiques les plus célèbres à Marsa:-
La réserve de Wadi El-Jamal
La plage d’Abu Dabab
L’île de Hamata
Port Ghalib
 le sanctuaire d’Abou Hassan Al-Shazli
-Les lieux d’hébergement:-
 Laguna Beach Resort
 Magic Tulip Beach Resort
Mon cher touriste, n’hésitez pas à faire un voyage en Égypte. L’Égypte mérite de visiter pour profiter de ses destinations touristiques. Votre excursion en Égypte sera un souvenir inoubliable.
écrit par : Mariam Sameh E-mail:[email protected] Mobile:-+201001422529 Site: www.egyptonlinetours.com
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voyageenterreinca · 1 year
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Colombie Cartagena Last but not least
Jour 32, 33, 34 et 35:
Nous voici de retour sur le continent donc on va profiter pour s’instruire un peu. Il n’y a pas moulte musée à Cartagena mais on peut faire la visite du musée de l’or dans l’ancienne réserve nationale, on voit que même si le travail sur les métaux a commencé chez nos amis péruviens, les Colombiens ont continué cet artisanat et comme Cartagena a été un port central pour le commerce on peut voir plusieurs époques et des créations de tout le pays. Puis c’est musée de la Marine où on apprends que les galions transitaient par Cartagena, que la ville entière a été façonnée par les batailles navales (avec les anglais principalement) et qu’il y a énormément d’or dans les fonds marins environnants. Le troisième musée est celui de l’histoire de la ville et pour faire simple les conquistadors ont commencés par tuer les populations autochtones récupérer le maximum d’or, pour ensuite gagner de l’argent avec la traite négrière puis la ville a été le siège d’un des trois tribunal de l’inquisition en Amérique du Sud (donc grosse ambiance…)
Le centre historique de Cartagena est donc une ville fortifiée, on a pu visiter un des forts encore existant et arpenter les remparts (un peu comme à la maison), faire une journée à la plage sur une presqu’île créée de toute pièce et on a fait 2 cours de Salsa 💃
Puis bien évidement on a testé moulte restaurants, bars, rooftop et même un super piano/bar.
Pour terminer dernière journée posée entre spa et piscine et bientôt direction l’aéroport pour rentrer !
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sarabertuzzi3a2 · 2 years
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Gustave Moreau
Edipo il viandante
1888
Olio su tela
Musée de La Cour d’Or – Metz Métropole
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thepriceisjustright · 3 years
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Les montagnes magiques 🏔🏔 pt. 3
Après cette parenthèse artistique et spirituelle, je m’arrête quelques instants pour observer et admirer les sauteurs de l’extrême s’élancer dans la vallée de Riscone. La sérénité qui transparaît lorsque ces géants de toiles colorées disparaissent à l’horizon laisse l’air rêveur.
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Mais la journée culture n’est pas terminée et je me dirige vers le second musée haut perché, le Lumen Museum of Mountain Photography. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un musée consacré à la photographie de la montagne, mais pas seulement. L’homme a toujours été fasciné par les montagnes, par ce qu’elles représentent, ce qu’elles inspirent et ce qu’elles appellent d’interdits et d’impossibles. Le Lumen a donc vocation à offrir un refuge, un sanctuaire photographique à cette fascination.
Le Lumen part d’un constat simple mais qui ne nous vient pas naturellement à l’esprit tellement il paraît caduque de nos jours. Pendant longtemps et jusqu’à ce qu’un pionnier y parvienne lors d’une expédition en ballon, les chaînes de montagnes et les sommets les plus hauts avaient exclusivement été photographiés d’en bas. Il a fallu attendre l’essor de l’aviation ainsi que l’amélioration des techniques et du matériel photographiques pour enfin pouvoir saisir ses géants d’en-haut, et même bien au-delà des nuages.
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Mais en parcourant les salles richement fournies, le visiteur découvrira une dialectique et un propos bien plus vastes.
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Au cours de ce voyage dans le monde de la photographie de la montagne, le visiteur se laisse porter par des présentations historiques et des installations très novatrices et renversantes. Mon coup de cœur étant sans aucun doute la Spiegelsaal : une salle recouverte de miroirs du sol au plafond dans laquelle sont projetées, sur une bande-son enivrante, des photographies de chaînes de montagnes aux allures hallucinogènes, effet kaléidoscope garanti.
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Pour les passionnés de photographie comme moi, tous les éléments d’un succès étaient réunis, mais je ne doute pas qu’il a su s’adresser à tous les publics à en juger par les compliments dithyrambiques du livre d’or laissé à disposition à la fin du parcours.
Après deux heures à flâner dans ces allées dont les murs sont parsemés de captivantes photographies, il m’est venue l’envie de mettre en application moi-même les inspirations qu’ont déclenché les artistes exposés à l’intérieur. Le commencement de la chaîne de montagnes des Dolomites s’offrent alors à mes objectifs sous une toute autre lumière. Et juste avant que les télécabines n’entament leur dernière descente de la journée vers la vallée, les sauteurs du vide s’élancent pour un ultime saut juste en dessous des nuages.
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Après cette escapade céleste, il était temps pour moi de revenir les pieds sur terre et en cette fin d’après-midi toujours aussi ensoleillée, je me dirige vers Brunico pour une petite balade dans cette ville aux accents italiens, suisses et autrichiens. C’est l’heure de la sortie des cours et les jeunes tyroliens voguent sur leurs vélos sur les parfaitement aménagées pistes cyclables le long de la Fiume Renza.
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Le soleil a déjà quitté ce versant de la montagne, et la vallée est plongée dans une délicate obscurité. Le froid devient tout de suite plus persistant alors je reprends la direction de mon chalet sur les routes sinueuses et bucoliques de la région de la Badia. À la tombée de la nuit, le sommet Pütia qui reste dans mon champ de vision depuis mon arrivée révèle encore plus sa majesté, éclairé ainsi par le clair de lune.
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blog59-world · 3 years
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Fatiha Tahar 2 h ·
Cette fois, le freluquet français a dépassé toutes les bornes. Raclant les égouts pour tenter d’engranger des voix en vue des prochaines élections, cet ersatz de président s’est permis d’insulter notre histoire et notre algérianité : réduction de moitié des visas pour les Algériens, paroles offensantes telles que «système politico-militaire construit sur la rente mémorielle», «système fatigué fragilisé par le Hirak», pays dont «l’histoire officielle totalement réécrite ne s’appuie pas sur des vérités mais sur un discours qui repose sur une haine de la France», et, cerise sur le gâteau, Macron se demande si la nation algérienne existait avant 1962… Rien de tel, n’est-ce pas, que de taper sur les bougnoules, les ratons, pour draguer l’électorat d’extrême droite. Ah, elle est belle la France avec ces Macron, Le Pen, Zemmour, et autres fachos qui se bousculent au portillon de l’Elysée ! On reste dans la lignée des Pétain et des Laval… Un rapide cours d’histoire me paraît nécessaire pour apprendre à ce petit énarque, fabriqué dans une obscure banque Rothschild et construit de toutes pièces par Jacques Attali, à y regarder à deux fois avant de s’attaquer à l’Algérie. Déjà, la réponse algérienne est cinglante : rappel de notre ambassadeur, interdiction aux avions militaires français de survoler notre territoire pour, notamment, se rendre au Mali, et révision des accords commerciaux. Ça lui apprendra, à ce godelureau, à tenir sa langue. Emmanuel Macron ose insulter l’histoire de notre patrie en s’interrogeant sur l’existence de l’Algérie avant 1962, pourtant quand Massinissa frappait la monnaie deux siècles avant J.-C. et disposait d’une armée, la Gaule n’était qu’un assemblage de tribus sauvages qui vivaient dans des huttes et se tapaient dessus à longueur d’année. Nous, nous avions l’empire romain comme voisin auquel nous avons donné des empereurs, des généraux, des gouverneurs… Macron parle d’histoire falsifiée et il oublie que la France a inventé des mensonges pour nous spolier de notre terre, alors qu’elle s’était endettée auprès de l’Algérie et était incapable de rembourser sa dette. Qu’à cela ne tienne, il suffisait d’envahir le pays et de faire main basse sur ses richesses. Et hop ! Plus de dette mais beaucoup de bénéfices pour la France qui n’a pas honte d’évoquer sa «mission civilisatrice» auprès des «indigènes». Quelle mission civilisatrice, Monsieur Macron ? Celle des enfumades et du massacre de millions d’Algériens depuis 1830 ? Celle qui consistait à ramener à Paris des coffres remplis d’oreilles, y compris ornées de boucles, vos maréchaux n’hésitant pas à enfoncer leur sabre au travers des femmes et des enfants ? Vos colons pouilleux ont volé nos terres et massacré notre peuple pendant plus d’un siècle et vous osez parler d’histoire mensongère ? L’Algérie n’existait pas avant 1962, vous demandez-vous ? Sachez que le premier site historique est en Algérie et non pas en France. Le premier roman, L’Ane d’or ou Les Métamorphoses, a été écrit en Algérie au IIe siècle par Apulée de Madaure, bien longtemps avant vos écrivains colonialistes comme Hugo ou Voltaire. A l’époque d’Apulée, vous en étiez toujours à la tradition orale. Ah, cette culture française qui se targue d’être supérieure ! Mais supérieure en quoi d’ailleurs ? En massacres sans doute, car l’histoire de France dégouline de sang. La guillotine est bien une invention française, si je ne m’abuse, et il n’y a pas si longtemps qu’elle a été remisée dans les musées des horreurs. Nous n’oublierons jamais le génocide que la France a commis à l’encontre de notre peuple et nous honorerons toujours nos martyrs qui ont botté les fesses de l’armée française. Au lieu de vous ingérer dans les affaires internes de notre pays comme si nous étions toujours un territoire français, occupez-vous de vos affaires, Monsieur Macron. Mais puisque vous vous permettez de nous donner des leçons, je vous dirai à mon tour que la France est ravagée par votre politique et celle de vos prédécesseurs. Vous avez échoué, Monsieur Macron. Votre bilan est négatif et votre peuple va vous
sanctionner. Ne cherchez pas à faire diversion avec l’Algérie, cela n’y changera rien. Bien au contraire, vous vous enfoncez un peu plus. Vous êtes en train de vous mettre à dos non seulement toute l’Algérie, mais aussi une bonne partie des Algériens installés en France – et ça fait quelques millions d’individus –, sans parler des militaires qui ne pourront plus survoler le territoire algérien et des hommes d’affaires qui vont perdre des contrats juteux. Je me demande comment vous allez gérer ce bazar. Puisqu’il est permis de se mêler des affaires des autres, allons-y gaiement. Prenons le cas des Gilets Jaunes qui sont sortis manifester contre la misère et que votre police a matraqués (au fait, votre système fatigué n’aurait-il pas été fragilisé par le mouvement des Gilets Jaunes ?). Des manifestants ont été éborgnés, des mains ont été arrachées, des bastonnades ont été commises en toute impunité Houari Brick
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lagrandebelleza · 3 years
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Objets et symboliques
Statue de Marforio au Capitole de Dubuisson Romane 6C et Boitte Loïk 6D
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Marforio est l’une des six statues parlantes de Rome. Celles-ci sont des satires inconvenantes et anonymes visant de nombreuses personnalités publiques romaines. On y retrouve régulièrement apposés des poèmes critiques, des mots d’esprit, etc. Ce phénomène existe depuis le XVIème siècle et continue de nos jours. C’est l’ancêtre du panneau d’affichage.  
Datant du 1er siècle après J-C, la statue de Marforio se situe actuellement dans la cour du Palazzo Nuovo aux musées du Capitole mais elle viendrait du temple de Mars, anciennement localisé dans le Forum d’Auguste. Quant à son nom, il proviendrait soit de “Mare in Foro” dont la traduction est “la mer dans un trou” soit de la famille Marfuoli qui habitait non loin de la prison Mamertine où on a découvert la statue.  
Lorsqu’on l’observe, on est directement happé par sa hauteur impressionnante. La fontaine est un véritable chef-d’œuvre pour les yeux des spectateurs. Devant la statue, on pense autant à la vie qu’à la mort ; nous, humains vivants et elle, figée comme morte. On y retrouve certains thèmes comme l’eau représentée ici sous la forme du dieu de l’océan, sûrement Neptune, et d’un fleuve, le Tibre. Une autre thématique est le coquillage que l’homme tient dans sa main droite. En effet, la coquille représente la sexualité. La pieuvre, quant à elle, symbolise la régénération grâce à ses tentacules que l’on peut apercevoir en son sein. Il est connu que lorsqu’une pieuvre perd un de ses tentacules, un autre repousse. Ensuite, les deux dauphins, situés de part et d’autre de la statue expriment, eux aussi, la régénération mais en plus la sagesse et la prudence. Les animaux projettent tous des gerbes d’eau de leur bouche, ce qui représente la source de la vie. Pour ce qui est de l’homme, en lui-même, sa stature musclée évoque force, énergie et vigueur. Sa barbe, pour sa part, suggère la sagesse, l’expérience ou encore la virilité et le courage. Finalement, le marbre utilisé, symbolise l’éternité tandis que sa fraicheur rappelle la mort et nous amène le sentiment d’un espace-temps figé.
Cette statue est marquante et ce, même avant le début du film. En effet, le héros, Jep Gambardella trône devant elle sur l’affiche du film, peut-être une volonté du réalisateur de mettre en avant la sagesse et la débauche de son personnage principal. Celui-ci est assis devant elle, comme un égal. Cela marque un contraste avec sa veste jaune représentant son déclin. Nous la revoyons ensuite lors de la dérive de Jep et de sa compagne dans les palais. Elle apparaît lumineuse alors que les Hommes restent dans la pénombre, une preuve de la supériorité de l’art et de la mort face aux êtres vivants. Grâce à cet effet de lumière, l’attention est portée sur la “Beauté” et non pas sur le héros.
Les clés de Roelandts Helena 6D et Pauline Deramée 6C
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La grande Bellezza est un film qui met en scène de nombreux objets avec des symboliques fortes. Ces symboliques sont parfois connues du grand public, parfois elles demandent une réflexion plus approfondie. Les clés, représentées à plusieurs occasions, sont un élément dont les messages sont nombreux et forts. On les voit, dans la scène, ouvrir les portes vers un jardin meublé d’une statue. Cette mise en scène peut laisser place à l’imagination du spectateur quant aux messages que délivre cet objet. Au cours des siècles, elles auront différentes significations propres à chaque peuple et croyance. Tout d’abord, dans la mythologie romaine, comme dans la plupart des religions, elles y sont importantes car elles sont associées à Janus, le dieu du passage et des portes. La religion chrétienne les considère comme l’accès au paradis, les posséder revient à posséder la vie éternelle. Les freudiens, eux, voient à travers ces clés un univers érotique où la serrure serait représentée avec le sexe féminin et la clé par le sexe masculin. Une vision des choses qui à sa place dans l’analyse de ce film, traite de la sexualité à diverses reprises.  A l’heure actuelle, la clé est davantage un symbole de connaissance, de richesse ou même de promesse. Celle-ci serait l’accès à l’intimité verrouillée par une porte.
Le tableau de la petite fille de Van Brusselen Sarah 6C
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Au sein du film, nous assistons plusieurs fois à des performances artistiques. Parmi celles-ci, nous y retrouvons Carmelina, une jeune fille de 12 ans, réalisant une toile face à un public épaté.
Malgré la facilité à réaliser ce tableau, celui-ci en révèle long symboliquement ainsi que sur la réalité de la vie.
A travers le tableau de la jeune fille, nous comprenons que celui-ci reflète la cruauté et l’indifférence du monde qui nous entoure. Il nous rappelle que la société nous ordonne d’entreprendre des actions déplaisantes et contrariantes sans tenir compte de nos pensées. Nous interprétons donc que chacun d’entre nous sommes assimilés à des“ poules aux œufs d’or ” dans le but d’amasser de l’argent pour autrui.  
La toile est composée de diverses éclaboussures de peintures qui soulignent également la rage et la souffrance. En effet, cet ensemble de traits colorés dévoilent la colère qui nous envahit lorsqu’on nous condamne à ne pas procéder à ce qui est de plus précieux à nos yeux, nous sommes contraints de suivre un chemin non désiré.
Cette peinture exprime donc l’absurdité et l’injustice de la vie à laquelle nous devons faire face chaque jour.
L‘Eglise de Honorine Cotton 6D
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Le chemin de la mort nous ramène souvent à notre transcendance et notre dernier travail sur soi, celui d’accepter de partir et de laisser notre place. C’est ce que rappelle souvent l’église à celui qui y rentre. Elle recèle le savoir de centaines d’années diffusées dans chacune des briques qui la composent. Elle nous rappelle que l’on n’est pas éternel, qu’un jour on finit par partir et même si notre transcendance ne se trouve pas en dieu, l’église nous écrase quand même et nous réduit à notre simple personne. Elle ne discrimine personne ; dans le film, elle accueille le cercueil du jeune tué dans un accident. Face à cette mort prématurée, la vérité est établie, on finit tous par mourir. Mais l’église n’est pas que la voie du trépas, elle est aussi un lieu de ressource, elle apporte la sérénité à notre esprit. Nous dévoilant et nous ouvrant le cœur, elle nous libère de nos émotions. Dans le film, elle touche de nombreux personnages, Jep notamment qui décide de changer de vie, de se consacrer plus à lui qu’aux futilités de la fête. Ainsi, alors qu’il disait qu’il ne fallait pas pleurer lors d’un enterrement, qu’il n’était qu’une scène, une pièce de théâtre simplement faite de mondanité. Les événements le rattrapent et face à l’imposante puissance de l’église, Jep laisse couler ses larmes réduisant ses sages paroles à de vains mots. Et l’église vient le bercer et le consoler pour le rendre plus fort et lui apporter un souffle de sérénité.
Le cercueil de Ambre Dellis 6C et de Honorine Cotton 6D
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Le cercueil est un peu notre deuxième enveloppe après notre mort. Ce coffre en bois y est d’ailleurs synonyme. Il permet de transporter le corps pour l’amener à la terre et lui offrir une protection dans le monde de l’au-delà jusqu’à la réincarnation de l’âme. D'ailleurs, cette réincarnation est aussi représentée par les fleurs blanches qui ornent le cercueil. Elles ajoutent une touche de pureté et de spiritualité pendant la cérémonie. Puis elles sont retirées pour que le cercueil soit emmené à la terre. La dernière touche de vie quitte le corps laissant place à la mort froide du bois sombre. L’ironie dans le film c’est que la mort touche la jeunesse, celle-ci qui est portée dans le cercueil par les personnes du troisième âge. Cela rappelle sans conteste notre société qui préfère garder un avis ancien tourné vers le passé plutôt qu’un futur qui sera dirigé par une jeunesse rejetée. Le cercueil dans cette scène ne représentera-t-elle pas tout simplement la jeunesse morte, suppliciée d’une société fermée et trop ancienne pour la comprendre et l’aider ?
Le Botox de Charly Stiers 6D
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Plusieurs personnes dont Jep se trouvent dans une sorte de salle d’attente où elles sont appelées les unes après les autres pour recevoir une injection de Botox. Des gens, victimes de leur état et nostalgiques de leur vieillesse, viennent utiliser ce procédé, soit pour paraitre plus beaux, soit pour ralentir l’évolution vieillissante de leur corps. En agissant de la sorte, ces personnes de milieux différents montrent, d’une part, leur non-acceptation de la mort qui s’affiche devant eux, et d’autre part, une remise en question de la vie, ceux-ci recherchant le bonheur voire un idéal leur permettant d’accéder à la jeunesse éternelle. En outre, chacune d’entre elles doit payer sept cents euros pour une injection, à l’exception d’une personne déjà venue antérieurement qui doit débourser mille deux cents euros : ce détail peut indiquer que, dans la vie, lorsqu’une seconde chance s’offre à nous, il faut la saisir et ne pas la gâcher, à ses dépens, ou bien qu’au contraire, il n'y a pas de seconde chance et, lorsque tu la rates, tu en paies le prix double. Au travers de ce produit, le Botox, nous pouvons percevoir un trait humain, celui de contourner les lois de la nature par la volonté de l’Homme d’échapper aux soucis de la vie comme l’addiction à l’alcool, la cigarette ou le sexe, ainsi qu’à l’inévitable, la mort.
La girafe et les flamants roses de Victor Verpoorten 6D et Clara Meurée 6C et Evaelle Adyns 6D
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Le cinéma de Sorrentino aborde régulièrement le thème de l’animal et plus particulièrement le thème la place de l’Homme ainsi que son insignifiance face à la Nature mère. Souvent synonyme de pureté et d’innocence, les animaux permettent d’accentuer le contraste face à ses personnages remplis de vices et de péchés. Chaque animal présent dans La Grande Bellezza possède une essence propre à sa race, son emplacement, son action ainsi que sa relation avec les héros contribuent à renforcer la discordance entre l’Homme et l’animal.
La girafe que nous pouvons observer après le spectacle de Romano symbolise pleinement l’absurdité et la désillusion. Ils ne s’en étonnent pas, comme si c’était normal que la girafe se trouve là, au beau milieu de la ville de Rome. L’absurdité de la vie fait que certaines choses incongrues passent inaperçues, ne nous étonnent plus tant on est blasé et qu’il n’y a plus de sens à notre existence.   De même la girafe peut être une métaphore de la disparition de l’amitié, de l’abandon. En effet, pour un tour de magie, l’artiste Arturo doit faire disparaitre l’animal et au même moment, nous assistons à une scène forte en émotions car nous devons nous séparer de Romano, un des plus fidèle ami de Jep, souvent dans l’ombre. Romano quitte Rome et dit adieu à Jep. La grandeur de la girafe peut également être associée à la carrière et à la renommée de Jep , alors quand celle-ci disparait en parallèle de Romano, on peut supposer que Jep ne serait pas celui qu’il est sans son bras droit.
Dans la mentalité générale, les flamants roses sont symboles d’exotisme dû aux innombrables représentations factices qui décorent nos jardins et nos maisons. Cependant, ces majestueux oiseaux sont d’une grande rareté et en voir de ses propres yeux à leur état naturel relève de l’exploit et d’une chance inouïe, comme un acte divin… le flamand rose est souvent associé à l’oiseau mythologique qui renaît de ses cendres, véritable figuration de la résurrection, le Phoenix. Lorsque Sorrentino nous filme ses plans très méticuleux et partage cette sensation d’accalmie, la présence d’autant de ces étranges oiseaux contraste avec la vieillesse et la sérénité de la sœur. A ce moment, le réalisateur nous berce vers une fin mélancolique et nous, spectateurs, commençons à digérer cette œuvre complexe avec une seule idée en tête, redécouvrir une nouvelle fois ce long métrage.
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Le siège en rotin de Victor Verpoorten 6D, Clara Meurée 6C et Evaelle Adyns 6D
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Le réalisateur Sorrentino est également connu pour ses touches provocantes dans ses films qu’il n’hésite pas à mettre encore en avant dans ce long métrage. Par exemple, le siège en rotin sur lequel est assise la Sainte durant la cérémonie religieuse peut être vu comme une provocation. En effet, ce siège fait certainement référence au film de Just Jaeckin ; Emmanuelle, le premier film érotique qui a marqué toute une génération. Dans ce dernier, on y voit une femme nue assise sur le même siège en rotin que celui présent dans La Grande Bellezza. Il y a un paradoxe entre le Sacré de la religion ainsi que la femme intouchable et la sensualité, l’érotisme que l’Eglise voit comme un péché tentateur. Cela permet également un retour à la réalité et remet la sainte au même piédestal qu’un simple humain. La sainte, certes, fait partie de la religion mais n’est pas pour autant un dieu et ce procédé nous permet de nous en rappeler.  
Les photos de Malou Hainaut 6D et Lisa Boutry 6C
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L’appareil photo nous permet de capturer la beauté de la vie à un moment précis. Les photos obtenues permettent de se remémorer des souvenirs et peuvent être une source de joie, elles peuvent procurer du bonheur et du bien-ê̂tre. Une photographie est une trace intemporelle des fragments de notre histoire, de notre vécu. Pourtant, elle peut aussi avoir l’effet inverse et nous faire ressentir de la tristesse ou de la mélancolie. Dans son film, l’auteur souhaite souligner le fait que la beauté nous dépassera toujours, qu’elle nous fera toujours ressentir des émotions, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Prendre des photos revient à̀ vouloir garder une trace, c’est refuser d’oublier.
Comme exemple, prenons l’homme lors de l’exposition qui nous montre son œuvre, il a pris des photos de lui chaque jour. Cela représente encore le temps qui passe, il faut une certaine dextérité pour avoir la discipline de se prendre en photo quotidiennement. Pour finir, on remarque une évolution du personnage, autant physiquement que mentalement, les traits sur son visage qui se durcissent, une certaine maturité notamment.
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chefdeguerreart · 3 years
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De quel manière les figure de la guerre ont été représentées et utilisées dans l’art ?
La représentation des grandes figures de la guerre, au cours de l’histoire, ont pu prendre différentes formes, de l’amphore jusqu’aux photographies en passant par des statues et des tableaux. Toutes ont comme point commun une représentation fascinante ou impressionnante de personnes liées à la guerre. Cela peut être des dieux, des chefs d’états modernes, des généraux célèbres ou d’empereurs. Il y aura toujours un objectif de rendre ces figures splendides et intemporelles. Le but étant de presque toujours se servir de ces représentations à des fins idéologiques, politiques ou sociales.
 Comme le montre l’étendu des dates de notre corpus, de l’antiquité à nos jours, montrer les figures de la guerre n’a jamais cessé. C’est un thème intemporel. Mais il sera possible de remarquer qu’un changement s’effectue en particulier de nos jours, car la connaissance des éléments historiques et l’opposition de la grande majorité des populations quant aux conflits révèlent une certaine limite quant à la perception des représentations de figures de guerre.
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Arès Ludovisi, vers 320, Musée national romain, palais Altemps
Il était impossible de parler des figures de la guerre sans parler de la plus fondamentale de toutes : le dieu de la guerre dans la mythologie grecque et romaine : Arès/Mars. Cette sculpture est une copie d’une autre sculpture du IVe siècle avant J-C faite par Scopas ou Lysippe, célèbres sculpteurs grecs. Elle a gardé le nom grec du dieu pour cette raison. Cette statue met le dieu dans une situation guerrière. Déjà, son glaive et son bouclier sont présents. Il est assis sur un tas d’armes, comme s'il venait de battre toutes les personnes à qui ces armes appartenaient. Il est représenté ici comme musclé, juvénile et très beau, comme la plupart des représentations des dieux de l’Olympe. La représentation des dieux permet aux peuples de concevoir physiquement ce qu’ils croient et leur donner ce genre de caractéristiques permet de maintenir une forme de sacralisation.
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L'Entrée d'Alexandre le Grand dans Babylone ou Le Triomphe d'Alexandre, Peinture de Charles Le Brun, 1661–1665, Lieu d'exposition : Musée du Louvre. Dimensions : 4,5 m x 7,07 m.
Cette peinture de Charles le Brun, illustre la grandeur et l’importance du pouvoir d’Alexandre revenant de conquêtes, surélevé sur son char, il est à l’honneur sur cette peinture, montré entrant dans Babylone, triomphant des conquêtes dont il semble se targuer, le bas-relief gravé sur son char, montrant ses conquêtes témoigne de son pouvoir important. Bien que n’étant pas au centre de la peinture, notre regard se porte directement sur lui, notamment grâce à la couleur du char qui attire le regard. On comprend qu’il s’agit d’une figure de guerre importante et puissante dans la hiérarchie. Le pouvoir de la guerre et la puissance des forces armées étant un atout de taille pour qu’un chef de guerre puisse asseoir sa légitimité de souverain, qui rapporte des richesses de ses conquêtes comme cela est montré ici.
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Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard, Jacques-Louis David, 1801, peinture à l’huile sur toile, Musée national du château de Malmaison. Dimensions : 260 × 221 cm
Ici, Napoléon Bonaparte est montré en souverain conquérant, en action, alors que pourtant encore seulement consul, il est sur son cheval qui se cabre dans l’action d’une bataille, le chef de guerre prend ici une grandeur plus importante sur son cheval, il est grandi grâce à ce dernier, si bien que Napoléon prend la totalité du cadre, tenue d’or au vent sur son cheval blanc, des couleurs de richesse et de pureté. Le chef de guerre est donc ici représenté conquérant, sur le champ de bataille, dominant et victorieux.
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Gilles de Rais : Huile sur toile de 1835 a été peinte par Eloi Firmin Féron, de 2,15 m x 1,4 m, cette œuvre à été commandée en 1834 pour la Galerie militaire de Versailles.
L'œuvre ici présente la figure de Gilles de Rais, ce dernier doté d'une pose digne en contraste avec la bataille en arrière-plan sur le pont. Il est équipé d'une armure intégrale, ceci montrant son statut de baron, au XVe siècles, seuls les nobles pouvaient acheter ce type d'armure. Cette toile, datant de 1835, est l'héritage d'un contexte, ce dernier étant le début de la Monarchie de Juillet, Régime politique se situant historiquement juste après la seconde restauration qui s'est achevé en une deuxième révolution nommée les “Trois Glorieuse”, le trône étant désormais occupé par un membre de la maison d'Orléans, Louis-Philippe 1er. Cette peinture, exposée à Versailles ayant pour but de rappeler une vision passée et glorifiée de la monarchie du XVe, s'en inspirant pour en ressortir le meilleur. De Rais étant une grande figure noble de par ses combats auprès de Jeanne d'Arc, malgré les crimes qu'il a commis à la fin de sa vie, on célèbre ici son héroïsme guerrier.
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1950, affiche de propagande de Nina Nikolaevna Vatolina traduction : “Merci à notre cher Staline pour notre enfance heureuse”
L'affiche de propagande du régime de l'URSS présente Joseph Staline, leader de son état de la mort de Lénine jusqu'à la sienne. Ce dernier prenant dans ses bras un jeune garçon et se voyant offrir des fleurs par une jeune fille, Staline est montré ici comme un père envers son peuple d'où son surnom de "petit père des peuples". De plus le texte en haut à gauche porte un slogan, qui une fois (approximativement) traduit donne "Merci à Staline, le géniteur pour une enfance heureuse", slogan usé régulièrement depuis 1936 et la célèbre photo d'Engelsin Markizova offrant des fleurs au leader soviétique. Outre sa propagande visant à faire un culte de la personne de lui-même, Staline reste une figure importante de l'histoire de guerre de l'URSS, il a en effet été acteur des importants conflits armés de sa nation: la révolution, la guerre civile, la deuxième guerre mondiale, etc. Joseph Staline est une figure d'autorité absolue, pouvant envoyer tous ennemis à une mort certaine en une parole.
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Evan Vucci, photographie, 1100x734 pixels, 2019
Ce document date de 2019, il est contemporain, il montre Donald Trump, président en chef des forces armées, étant le président des Etats-Unis, serrer la main à des soldats américains. La photo possède une composition sans équivoque, Trump est supérieur à eux et dans une position qui laisse penser à une forme d’admiration ou de supériorité. Les soldats sont tous vers lui, penchés vers l’avant et ont l’air heureux de le voir. Le drapeau américain est visible en fond et au premier plan. Il y a un autre drapeau d’un parti américain. Cette photo donne une impression de mise en valeur de la puissance militaire américaine, mais encore plus celle du président. Aujourd’hui, la plupart des pays ont leur chef d’état à la tête des armées, ils sont souvent à l’origine des conflits aussi. Ici, Trump renvoie une image quant à sa relation avec l’armé. Étant la première puissance mondiale, ce type d’image est important pour l’opinion publique mondiale et non seulement nationale.
Analyse transversale des documents choisis :
Exposer au sein de l'histoire de l'Art la figure de l'Homme de Guerre, de sa figure en elle-même est un thème récurrent, témoignage de l'histoire, à travers les âges la manière de les représenter, les supports et techniques de représentation ont évolué cependant ils dépendent de codes qui quant à eux restent très similaires. On dénote en premier lieu une certaine posture noble des figures représentées tel qu'avec Gilles de Raies par exemple le corps droit, ses appuyés uniquement sur ses Hanches ou son arme et ceux la tête haute. La représentation de la figure de la guerre jusqu'au 20e siècle semble être toujours accompagnée de la figuration de ses armes. Toutes les images du corpus prenant en compte l'attribut d'une arme, même la statue d'Arès avec son glaive en rond de bosse, excepté Staline et Trump. Ensuite, nous pouvons exposer le fait que la représentation des figures de guerre passe par deux autres éléments. L’attribution des couleur définissant les figures militaires, soit elles sont désignés par des couleurs ternes sur un fond clair afin de les faire ressortir du paysage tel qu'avec Staline ou bien la figure est elle-même magnifier d'apparat permettant de la mettre en valeur la figure tel qu'avec L'Entrée d'Alexandre le Grand dans Babylone. Nous pouvons expliciter une autre démarche dans la représentation des figures dans l'art, ceci est avec la structure des œuvres, tel qu'avec la peinture abordé précédemment dans laquelle Alexandre le Grand possède une figure perpendiculaire à tous les édifices de l'arrière-plan alors que les autres figures de corps se contorsionnent ou avec Napoléon, ce dernier étant positionné perpendiculairement à la montagne.
Représenter les figures de guerres a différents objectifs. Ce sont des personnes importantes pour le peuple, car il peut influencer leur vie et provoquer de grand changement, mais aussi pour l’état afin d’avoir l’opinion publique dans leur sens. Il est donc important de leur donner des icônes. Cela peut être une représentation d’un dieu comme avec l’Ares Ludovisi, à sa forme humaine, exposé au temple de Mars lors de sa première version, il est clair qu’elle existait pour participer à un culte. Culte que les soldats gardent en eux pour accepter de combattre et les motiver. Tout comme Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard qui a été fait dans une optique de créer l’admiration de ce chef de guerre. Ou encore le Triomphe d’Alexandre le Grand qui, des années après son existence, continue d’être admiré quant à ses exploits militaires. Plus récemment, on trouve encore des représentations à but admiratif pour les chefs de guerre, comme avec l’affiche de propagande de Staline. Cependant, il est possible de voir un changement conséquent dans la manière de montrer les figures de guerre. Bien qu’au moment de sa sortie, cette affiche était reconnue dans son but initial, une très grande partie de la population d’aujourd’hui perçoivent plus facilement quand il y a une tentative de sacralisation abusive de personne. Et cela, grâce à l’éducation. La photographie de Donald Trump serrant la main aux soldats américains est perçue comme une tentative de mise en valeur de Trump quant à son armée. Ainsi, les journaux ayant partagé la photographie l’ont fait, pour la très grande majorité, pour dénoncer son aspect iconisé avec les militaires. Ceci peut être dû au fait que la population ne veut plus voir de mise en valeur de militaire (indirectement de la guerre) car espérant une société de paix. Cela laisse peut-être à penser une manière différente de montrer les figures de guerre dans le futur voire la fin.
Il nous faudra donc distinguer de ces représentations de chefs de guerre dans l’histoire, l’aspect purement représentatif, la façon dont le dirigeant est montré, mêlant cela à l’utilisation faite de ces images, la photo de Trump étant utilisée par la presse et son service de communication, tandis que l’affiche de Staline a été produite en série afin d’être affichée partout pour appuyer le message que à véhiculer, tandis que la sculpture d’Arès Ludovisi, ou le Portrait de Gilles de Rai, on été conçus comme des beaux-arts, afin de faire une œuvre la plus noble possible.
Annexe
Arès Ludovisi : 
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Ar%C3%A8s_Ludovisi
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Mars_(mythologie) 
Le triomphe d’Alexandre :
- http://www.arcanes.eu/fr/oeuvres/le-triomphe-dalexandre/ 
- https://www.louvre.fr/oeuvre-notices/l-entree-d-alexandre-le-grand-dans-babylone
Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard :
- https://histoire-image.org/fr/etudes/bonaparte-glorifie 
- https://www.beauxarts.com/expos/bonaparte-franchissant-le-grand-saint-bernard-mythe-et-realite/ 
Portrait de Gilles de Rais :
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_de_Rais
Affiche de propagande Staline :
- https://histoire-image.org/fr/etudes/apogee-culte-staline 
Photo de Donald Trump avec des soldats :
- https://www.20minutes.fr/monde/2527751-20190528-face-chine-trump-affirme-puissance-militaire-redoutable-etats-unis
- https://www.franceinter.fr/monde/la-guerre-est-declaree-entre-donald-trump-et-les-militaires-americains
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coloursofmyroom · 4 years
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De retour de l’expo #11 : Paris romantique, 1815-1848 - Paris, Petit Palais
26 juin 2019
Il s’agit avant tout d’une déambulation dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : le découpage des salles ne relève pas d’une logique chronologique, ni vraiment thématique, mais avant tout géographique, selon une progression centrifuge. La visite commence donc par le cœur de la ville, qui est aussi celui du pouvoir : le palais des Tuileries. Entre le Consulat et le Second Empire, il s’agit en effet de la résidence permanente du chef de l’Etat. Si la vie de cour y est plutôt atone, quelques figures sont populaires : c’est le cas du duc d’Orléans (le fils de Louis-Philippe) et de la duchesse de Berry, veuve du duc assassiné en 1820. Une fille de Louis-Philippe, Marie d’Orléans, se distingue par ses talents artistiques. Formée par Ary Scheffer, elle s’oriente vers la sculpture : elle est notamment l’auteure de statuettes figurant Jeanne d’Arc, dont on peut admirer trois exemples. Amatrice du Moyen Age, elle décore son appartement dans le goût néogothique, tandis que ceux de sa famille sont meublés dans un style beaucoup plus éclectique, où le goût pour le Grand Siècle côtoie le style rocaille ou néo-Boulle, sous l’influence du décorateur Eugène Lami. A noter aussi : une toile de Viollet-le-Duc représentant un somptueux dîner aux Tuileries.
Toute en longueur, la deuxième salle nous transporte au Palais Royal. Construit en 1628 pour Richelieu, il devient ensuite la résidence de la famille d’Orléans. Un premier réaménagement à la fin du XVIIIe siècle en fait un lieu vivant et prisé, avant une complète rénovation entreprise sous Louis-Philippe. La scénographie reproduit la disposition des boutiques de luxe le long de la galerie d’Orléans, édifiée alors à la place des galeries de bois. Une gravure et deux très belles maquettes d’époque restituent l’élégance de ce lieu lumineux et moderne, doté d’un verrière métallique et de l’éclairage au gaz. On y trouve les articles de luxe les plus divers, que le visiteur peut admirer dans les vitrines le long desquelles il déambule. On dispose ainsi d’un bel aperçu de la mode et du luxe de l’époque : sacs à main, très jolis éventails (dont l’un orné de girafes), incontournables châles et chapeaux, gilets, cols-cravates et cannes qui font la tenue du dandy. J’y ai appris que la canne de Balzac avait fait sensation par ses dimensions hors normes... Les arts décoratifs ne sont pas en reste : porcelaine de Paris de Jacob Petit, très colorée et un rien kitsch, couleurs claires et mates des coupes opalines, en vogue sous la Restauration (il s’agit de verres au plomb mêlés à des colorants), ou encore pendules et cartels dorés aux styles éclectiques (orientalisant, néogothique, renaissance ou rocaille). Le Palais Royal est également un haut lieu de la gastronomie parisienne, grâce aux restaurants Véry, Véfour et des Frères Provençaux, dont la carte pléthorique est exposée, comportant un grand nombre de potages, hors d’œuvres, entrées, plats de viande et de poisson, rôts, entremets, desserts, vins et liqueurs !
Cette scénographie « mimétique » se poursuit dans la troisième section, consacrée au Salon, qui se tient dans le Salon Carré du Louvre depuis 1725. Le charme de la salle (carrée, donc) tient notamment à l’accrochage des toiles, à touche-touche. Presque toutes été exposées à l’un des Salons organisés, chaque année, pendant cette période. L’ingrisme, notamment représenté par Amaury Duval, et les scènes de genre et d’intérieur côtoient toutes les nuances du romantisme : l’orientalisme, le style troubadour, le goût pour le sujet historique, notamment pour la Renaissance, François Ier et Henri IV (voir aussi Cromwell et Charles Ier (1831) de Paul Delaroche, qui connut un grand succès par ses formats monumentaux, ses sujets anecdotiques et spectaculaires – voire, ici, macabres...), le mysticisme dépouillé (et presque pré-symboliste) d’Ary Scheffer (Saint Augustin et Sainte Monique), inspiré par les peintres mystiques allemands, le sens du sublime (impressionnant Trait de dévouement du capitaine Desse du peintre de marine Théodore Gudin). Le Christ au jardin des Oliviers de Delacroix (1826) domine l’ensemble, où se distinguent aussi Mazeppa aux loups d’Horace Vernet (1826), le Roland furieux (1831) de Jehan Duseigneur, œuvre manifeste du romantisme en sculpture et, pour ma part, l’onirique Rayon de soleil (1848) de Célestin Nanteuil. Dans un sous-bois pailleté de lumière, trois nymphes se fondent dans la clarté surréelle d’un rai de soleil, suggérant ainsi le rêve du jeune écuyer endormi... Le Salon y apparaît ainsi comme un lieu ouvert aux innovations, à un nouveau langage plus libre, plus exalté, plus « sentimental » - mais finalement très divers.
L’exploration des goûts et de la production artistiques du temps se poursuit dans une salle consacrée au néogothique, et particulièrement à Notre-Dame de Paris. Une incroyable pendule reproduisant la façade de la cathédrale ouvre la salle, où figure l’édition originale du roman de Hugo (1831) à côté d’une toile de Charles de Steuben, La Esméralda (1839). On peut aussi y admirer un étonnant polyptyque d’Auguste Couder, Scènes tirées de Notre-Dame de Paris. Réalisé seulement deux ans après la parution du roman, il témoigne de son succès massif et immédiat. Ce serait un peu l’équivalent d’une adaptation cinématographique, de nos jours... Notre-Dame est aussi le personnage central des aquarelles de l’Anglais Thomas Shotter Boys, qui mêle l’intérêt pour les vieux monuments à l’observation du petit peuple de Paris. Autre lieu parisien : l’hôtel de Cluny, où Alexandre du Sommerand installe en 1832 sa collection d’objets d’art du XIIIe au XVIIe siècle, rachetée à sa mort par l’État qui y ouvre un musée en 1843. Un beau choix de papiers peints, de meubles (chaises du salon du comte et de la comtesse d’Osmond), d’horloges, de coffrets, de candélabres et de divers bibelots en bronze doré, met en lumière la vogue des motifs gothiques, entre les années 1820 et la moitié du siècle : ogives, rosaces, pinacles, clochetons et quadrilobes issus des cathédrales font irruption dans le quotidien. L’inspiration n’est pas seulement formelle : des thèmes sont également empruntés au Moyen Age. Charles VI est ainsi présent deux fois dans l’exposition : dans les bras de sa maîtresse Odette de Champdivers, chez le sculpteur Victor Huguenin (1839), et dans un bronze d’Antoine-Louis Barye, Charles VI effrayé dans la forêt du Mans, qui connaît un vif succès au Salon de 1833.
L’aspect politique est brièvement évoqué dans la cinquième section, organisée autour du plâtre du Génie de la Bastille, qui se trouve au sommet de la Colonne de Juillet, élevée pour le dixième anniversaire des Trois-Glorieuses. L’expo insiste d’ailleurs sur la volonté d’apaisement et de concorde nationale menée par Louis-Philippe qui, en outre, achève l’Arc de Triomphe et érige le tombeau de Napoléon aux Invalides. Il est vrai que cette politique du consensus et du juste milieu demeure assez peu problématisée. C’est oublier un peu vite, me semble-t-il, que les romantiques ne furent pas que des dandys amateurs de Moyen Age, de théâtre et de jolies femmes, mais aussi des acteurs engagés dans leur époque, et que le « romantisme » est aussi, au sens large, une option politique. Le parcours se clôturera d’ailleurs sur une très rapide évocation de la Révolution de 48, uniquement présentée sous l’angle de la caricature (le Gamin des Tuileries qui s’enfonce dans le trône du roi, de Daumier) et de la désillusion (les pages ironiques de L’Éducation sentimentale sur le sac des Tuileries).
Il est vrai que chaque section, ou presque, présente des « portraits-charges » : la période apparaît ainsi comme un premier âge d’or de la caricature. L’allure excentrique des « Jeunes-France » est moquée : cheveux longs, barbes, vêtements colorés (le gilet rouge porté par Théophile Gautier à la première d’Hernani). La célèbre tête de Louis-Philippe en forme de poire côtoie le dessin beaucoup plus amer de Daumier où, sortant de leur tombe, les martyrs de 1830 soupirent avec dépit : « C’était vraiment bien la peine de nous faire tuer ! », en voyant les espoirs déçus des Trois-Glorieuses. De manière plus légère, les artistes sont la cible des petits bustes satiriques de Jean-Pierre Dantan : le plus irrésistible est peut-être celui de Berlioz, à la chevelure démesurée...
Si l’aspect politique est donc abordé avec parcimonie, la question sociale est à peine effleurée dans la sixième section, consacrée au quartier latin. Un tableau de Claude-Marie Dubufe (pourtant élève de David) représente ainsi deux jeunes Savoyards ayant quitté leur région, le temps d’un hiver, afin de s’engager comme ramoneurs à Paris. Mais la jeunesse qui est à l’honneur ici est davantage estudiantine. Les jeunes étudiants, accompagnés des « grisettes », ces « jeunes filles qui ont un état, couturière, brodeuse, etc., et qui se laissent facilement courtiser par les jeunes gens » (Littré), déambulent dans le Quartier Latin et fréquentent les bals publics. Ils sont le sujet principal des chansons de Béranger, le « poète national », des Scènes de la vie de bohème d’Henri Murger, des romans très populaires de Paul de Kock, et, surtout, des dessins plaisants de Paul Gavarni. Quelques toiles et caricatures évoquent les bals et les carnavals (notamment une Scène de Carnaval, place de la Concorde (1834) d’Eugène Lami, folâtre et enjouée), ou commémorent la fièvre de la polka, danse osée qui suscita, en 1844, une véritable « polkamanie » chez les jeunes gens.
 Selon cette logique centrifuge, les deux dernières salles évoquent des quartiers plus neufs et périphériques, mais qui jouent un rôle central dans la vie intellectuelle et artistique. Si la Chaussée d’Antin est le quartier de la haute banque et des « nouveaux riches », la Nouvelles-Athènes (dans le 9ème arrondissement, là où se trouvent les musées de la Vie romantique et Gustave Moreau), plus récente, attire un grand nombre d’artistes. Géricault, Scheffer (dont une toile montre l’atelier, qui est justement aujourd’hui le musée de la Vie Romantique), Vernet, Isabey ou Delaroche s’y installent. Mais cette section est davantage consacrée à la musique. Deux alcôves dotées d’enceintes diffusent notamment des œuvres de Liszt, l’un des personnages principaux de cette salle. Il est aussi bien le sujet de portraits-charges caricaturant la virtuosité du pianiste, qui faisait courir tout Paris, que du portrait en pied d’Heinrich Lehmann, qui en capte la ferveur ascétique et l’aura toute romantique... Au milieu trône un piano Pleyel semblable à celui sur lequel jouait Chopin. Ainsi se dessine la géographie d’un Paris d’émigrés, celui de Chopin et de Liszt, mais aussi de Mankiewicz, de Heine et de la princesse Belgiojoso, patriote italienne dont le salon était l’un des plus courus. La section se clôt sur l’évocation de deux figures féminines très en vue dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : Marie Duplessis (la Dame aux Camélias de Dumas fils, qui meurt en 1847) et Olympe Pélissier, maîtresse d’Eugène Sue et d’Horace Vernet (dont elle était aussi la modèle) et seconde épouse de Rossini.
De la Nouvelle-Athènes on passe aux Grands Boulevards, quartier des théâtres. On y apprend que cette longue artère présentait des visages divers. De la Madeleine aux alentours de la Chaussée d’Antin, le boulevard traversait un quartier cossu et tranquille. La Chaussée d’Antin marquait le début du «Boulevard» par excellence, cœur palpitant du Paris de la mode, formé des boulevards des Italiens et Montmartre. On y trouvait de riches magasins d’orfèvrerie ou de porcelaine, les cafés, restaurants et glaciers les plus réputés (Café de Paris, Maison Dorée, Café Riche, Café Anglais, Tortoni, Café Hardy) et les grands théâtres subventionnés (l’Opéra, le Théâtre-Italien, l’Opéra-Comique, le Théâtre-Français). La présence de huit théâtres populaires, spécialisés dans les mélodrames, vaut au boulevard du Temple le surnom de «boulevard du Crime», qui disparaîtra dans les travaux d’urbanisme haussmanniens du début des années 1860.
Caricatures, portraits et objets témoignent de cet incroyable engouement pour le théâtre. Les truculents tableaux de Louis-Léopold Boilly en témoignent d’une manière piquante : voir L'Entrée du théâtre de l'Ambigu-Comique à une représentation gratis (1819). plus particulièrement du succès (et, déjà, de la médiatisation) des grandes comédiennes (Mademoiselle Mars ou Marie Dorval) et des grands comédiens (Frédérick Lemaître ou Talma). Un tableau amusant figure L’acteur Bouffé représenté dans ses principaux rôles (1848) : Victor Darjou a démultiplié la silhouette de l’un des acteurs les plus populaires du temps, Hugues Bouffé, en le représentant dans une vingtaine de rôles. Le monde du spectacle recouvre aussi l’opéra (le docteur Véron dirige l’Opéra de Paris de 1831 à 1835, lançant la vogue de l’opéra à la française) et la danse. Là encore, quelque figures se détachent : les chanteuses Laure Cinti-Damoreau, Maria Malibran et Henriette Sontag, dont les portraits ornent une série de vases de la Manufacture Darte, ou Marie Taglioni, grande ballerine romantique, qui porte à la perfection la jeune technique des pointes.
L’exposition est donc surtout didactique : les œuvres exposées le sont davantage dans un but documentaire qu’esthétique. C’est parfois un écueil : ainsi, dans la salle consacrée à Notre-Dame, un petit portrait de Mérimée n’est là que pour illustrer le propos sur la naissance des Monuments Historiques. Mais soyons juste : la salle dédiée au Salon est exceptionnelle, les pièces d’arts décoratifs remarquables et j’ai découvert ces artistes qui se font, par le pinceau, le burin ou le crayon, chroniqueurs de la vie parisienne, dans de plaisantes scènes de genre ou de mordantes caricatures : Jean Pezous, Paul Gavarni, Jean-Pierre Dantan, Louis-Léopold Boilly... La remarquable, scénographie, ambitieuse et soignée (les couleurs et l’éclairage de chacune des salles évoquent le cours de la journée, du petit matin aux Tuileries à la soirée sur les Boulevards) fait agréablement passer un propos roboratif mais passionnant. Même s’il ne fait qu’effleurer les questions politiques et sociales (qui, une fois encore, relèvent des deux axes de l’exposition, l’histoire du romantisme et l’histoire urbaine), il dresse un portrait vivant et enthousiasmant, servi par un grand nombre d’œuvres variées et de qualité, du Paris de la première moitié du XIXe siècle.
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Le goût des belles armes au XVIe siècle était commun à toutes les grandes cours européennes. Les Valois se sont également intéressés à la production d’armes d’apparat. Le casque et le bouclier de Charles IX (1550-1574) ont été réalisés par l’orfèvre Pierre Redon et sont un des rares témoignages des armes de luxe de la Renaissance française.
Paris, France, Musée du Louvre.
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🎨 Cette immense huile sur toile (202 x 144 cm) de Blaise Alexandre Desgoffe (1830-1901), datée de 1876, représente grandeur nature le casque (ou morion) et le bouclier de Charles IX ainsi qu’une arquebuse à rouet du xvᵉ siècle, un missel enluminé, la paire d’éperons d’or du sacre des rois de France, la main de justice dite de Charles V, et au second plan la grille d’entrée en bronze (battant gauche) de la galerie d’Apollon au musée du Louvre.
La Gazette des Beaux-Arts 1877.
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