Tumgik
#draguer
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Maybe this will make him a little happier…#draguer @remjie_malham #friend #squishable #alteregoplaguedoctor @squishables https://www.instagram.com/p/Cl2WhISMD-Q/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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denton-cray · 1 year
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Est-ce que ça te dérange quand Kaya est avec d'autres hommes ?
Disons que ça dépend comment ces hommes se comportent. A leurs risques et périls si ils tentent quelque chose.
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daltoncity · 1 year
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Ils manquaient de femmes, au Far West...
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C'est moi ou le cow-boy à l'air particulièrement enthousiaste?
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Je pensais que dans le célibat, c'est le sexe qui me manquerait le plus.
Turns out ça ça va, c'est un truc qui peut se débrouiller tout seul, le vrai manque c'est le contact physique.
Ce qui me manque le plus c'est de serrer quelqu'un contre moi, sentir sa peau chaude sur ma peau, sa respiration et son coeur quand iel s'endort.
La douche ensemble et dormir nu l'un contre l'autre, c'est ça qui me manque le plus.
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lesangdesrats · 1 year
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Okay si je suis représentante du personnel je veux un badge
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vogelpik · 4 months
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yeah that apple juice vodka was a shit idea. Man.
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dopawovupe · 2 years
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Rencontres sur le net mode d'emploi
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meirimerens · 3 months
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did you know that the french word "drague", verb "draguer", meaning "(to) flirt", "(to) chat someone up", to attempt to seduce often in awkward ways, sound identical to the english word "drag". i think it's funny in a context of "dragging to hell". [THIS IS AN ONEIROTECTS POST]
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 133
Franck et les filles
Il est 13h quand j'émerge. Emma déjà prête me regarde dormir du fond d'un fauteuil du salon. Je m'étire langoureusement et lui fais signe de venir. Elle refuse de la tête. J'insiste. Elle me dit l'heure et me demande comment s'est passé la soirée. Je lui dit que nous avons fait un tour en voiture et fini à l'Indiana à se faire draguer par des minettes.
Douche, maillot, bermuda, polo et baskets et nous descendons au restaurant. Franck nous voit arriver et nous fait de grand signe pour que nous les joignons à lui et son grand père. Il salut Emma et me dit bonjour avec un grand sourire. Le grand père me remercie pour la bonne soirée que j'ai fait passer à son petit fils, il ne l'avait pas vu aussi gai depuis leur arrivée. Emma se tourne vers moi et je répond à sa question muette par un léger haussement des épaules doublé de mon sourire le plus innocent. Ça ne la trompe pas un instant. Récit de la soirée par Franck édulcoré du passage pipe et sodo. ;
Franck me dit au café qu'il avait appelé les filles et qu'elles nous attendaient vers 16h. Je vais négocier avec Emma (que je baise avec des mecs ne la dérange pas, avec des filles je ne sais pas encore). Je lui explique le topo, notre relation de la veille, Franck et moi et le fait que je veux qu'il s'essaye aussi aux femmes. Question très féminine, " elles sont jolies ? ". Je lui confirme que nous n'allions pas baiser des thons et j'ajoutai qu'elle (Emma) était de toute façon hors concours et d'ajouter " Maman ". Ce dernier mot m'a valu la claque que je méritais et que j'attendais. De son coté elle sait que je lui suis attaché et que c'est surtout pas une jeune meuf qui pourra me séparer d'elle. J'ai mon " autorisation ".
Dans une sacoche je fourre serviette de bain, kpote et gel. Je retrouve Franck dans le hall, il m'y attendait depuis un bon 1/4 d'heure. Nous allons à pieds chez les filles c'est à 10mn. Il profite de ce moment pour me demander des conseils vite fait. Je lui dis de ne pas s'inquiéter et de calquer son comportement sur moi.
Pas la peine de sonner, elles nous guettaient et viennent nous ouvrir quand on est encore à 5 m du portillon. Elles sont en bikini très petits. Elles nous entrainent dans la maison pour arriver à une piscine à moitié dehors. Franck et moi quittons nos quelques vêtements et nous exposons nos musculatures avantageuses. Les filles ne nous soupçonnaient pas aussi bien foutu ce matin en boite. Plongeons, courses poursuites, maillots qui glissent et nous voilà tous les 4 à poil dans le bassin. Franck ne peut s'empêcher de bander. Les filles se collent à nous cherchant baisers et caresses. La pelle, Franck y a mis un peu trop d'enthousiasme mais s'est rapidement adouci. La fille dans mes bras est mignonne mais c'est le corps de Franck qui me fait bander. Je sors la mienne de l'eau et la couche sur une des méridienne. Franck suit aussitôt. Nous passons une bonne heure et demi à les faire jouir avec la langue et la bite, échangeant nos partenaires. Pendant les échauffourées, j'ai mis plusieurs fois discrètement un doigt dans le cul de Franck et à ce que j'ai pu voir pour son plus grand plaisir. ;Nous laissons des filles fatiguées mais qui en redemandent. Sur le retour, je dis à Franck qu'il pourra se les faire toutes les deux jusqu'à la fin de son séjour vu comme elles sont chaudes. Il me dit qu'il réessayera mais qu'il avait préféré notre entrevue particulière.
Nous rejoignons Emma au bord de la piscine. Elle nous demande si le filles valaient le coup. Franck rougit, il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit au courant. Je lui dis que j'avais mis le pied de Franck à l'étrier et qu'à partir de maintenant il s'en occuperait tout seul. Je me penche et lui roule un patin si profond que j'en bandais presque. Quand j'ai fait tomber le short mon maillot était très avantageux. Avec Franck et Emma nous avons aligné les longueurs, repoussant les mémés sur le bord du bassin.
Ce soir là, Emma nous accompagna à la boite de nuit. Nous y avons retrouvé les deux blondes qui ne nous ont pas trop collées vu l'intimité que dégageait mon attitude avec Emma. ;Elles ont juste insisté auprès de Franck pour décrocher un nouveau rendez vous. ;J'ai dû de mon coté virer deux, trois bellâtres qui insistaient lourdement auprès d'Emma. Franck était tout content de sa soirée. Un passage aux toilettes lui a permis de me demander quand nous allions nous retrouver. Je l'ai calmé et lui ai dit que cette nuit était à Emma. Un moment déçu, il me dit avec un sourire que le lendemain il y aura muscu. Je lui fais rapidement un bisous sur les lèvres et nous retournons danser. Avec Emma nous avons fait l'amour avant de nous endormir.
Le matin suivant, muscu comme promis la veille. Réveillé tôt (enfin 10h) en short et marcel de sport, je tape à la porte de Franck et j'ai la surprise le la voir s'ouvrir sur un jeune dépeigné, en caleçon lâche, les yeux gonflés de sommeil. Je le pousse et avant qu'il n'en soit revenu, le place sous la douche et ouvre grand le robinet d'eau froide. Hurlements, il se débat mais je suis quand même plus fort que lui et je sors mouillé de l'histoire mais vainqueur. Pour aller à la salle, je lui emprunte un short et un t-shirt secs. Je les remplis plus que lui et je suis à la limite de l'indécence question short. Tant pis, mon coté exhibitionniste trouve cela très drôle. Nous trouvons quand nous entrons quelques mecs entre 30 et 50 ans en train de se donner bonne conscience sur les appareils de cardio. Notre arrivée provoque un découragement général. Pour les complexer encore plus, nous zappons l'échauffement et passons direct au développé couché. Raisonnable, je décide de séries en poids croissant et nous nous échauffons quand même sur les premières barres. Quand nous sommes sur les séries à plus de 80 Kg, ils nous laissent seuls. Pourquoi ?? Dégoutés peut être ?? ;Une bonne heure et quelques exercices plus tard, nous allons nous doucher les cabines ne sont pas communes mais très grandes chaque. Nous profitons que nous soyons seuls pour n'en partager qu'une. Juste rincés, je me suis fait violé par Franck. Sucé jusqu'à ce qu'il arrive à avaler mes 20cm (après une série d'étranglement juqu'à ce qu'il rythme sa respiration), il s'est préparé l'anus de ses doigts. Puis après m'avoir roulé une pelle et posé une kpote sur mon bout, il s'est empalé dessus. A parti de ce moment là, je n'ai pu résister et je l'ai enculé debout alors qu'il se tenait arque bouté contre le carrelage. Ses coups de rein me disait tout le bien que je lui faisait. Ses fesses ronde dans mes mains sont un bonheur de muscle. Franck se donne tellement que je doute qu'il ne devienne qu'un banal hétéro. Mes bras passés sous les siens, je le décollais du mur et le maintenais contre mon torse, mordillant son cou. J'ai joui dans son cul comme il explosait contre la porte vitrée. Nous avons continué par notre douche, parlant de choses et d'autres enfin surtout Franck qui me disait combien il avait apprécié cet assaut. A notre sortie, deux mecs nous ont regardés, étonnés. Avec naturel, j'ai attrapé Franck par le cou et lui ai roulé un patin avec la langue. Puis nous sommes passés dignement devant eux. La porte franchie nous avons éclatés de rire comme des sales gamins qui ont fait une blague. Nous en riions encore quand nous avons rejoint Emma auprès de la piscine où elle nous avait commandé un petit déjeuner reconstituant. J'ai été obligé de lui raconter. Comme elle me demandait si ce n'était pas les deux types qui arrivaient et que c'était bien eux, elle a attendu qu'ils la regarde pour m'attirer à elle et me m'embrasser sur la bouche. Une fois décollés, nous les avons regardé. Ils ne semblaient plus savoir où ils habitaient. Sans plus se préoccuper d'eux, nous avons Franck et moi fini notre petit déjeuner.
Avec Emma nous nous sommes promenés l'après midi sur Guérande et ses marais salants. Nous avons testé l'océan à notre retour. Trop froid ! retour à l'hôtel et à ses piscines.
Franck me cherchait pour me dire que les filles l'avaient appelé et nous avaient invité pour la soirée. Je refusais de l'accompagner et lui dit qu'il savait tout ce qu'il fallait savoir pour assurer maintenant. Ça l'a un peu refroidi mais comme j'insistais, il s'est finalement décidé à y aller seul.
Nous n'avons vu revenir Franck que le lendemain matin vers 11h. comme j'étais avec Emma au bord de la piscine, il nous y a rejoint. Après les salutations, il n'a pu se retenir et nous a raconté sa soirée et sa nuit. Nous avons mieux compris la tête de déterré qu'il arborait ce matin là. A elles deux, elles l'ont littéralement vidé de la moindre goutte de sperme. Il nous a même dit qu'il avait réussit à sodomiser la plus salope des deux. Comme je lui demandais si c'était meilleur que nous, il m'a répondu " différent ". Je l'ai poussé dans le bassin, nous nous sommes fait engueuler par le surveillant car il était tout habillé. Cela ne l'a pas empêché de mater Franck dans ses vêtements collés sur sa peau ! Je l'ai accompagné se changer. Dès que la porte de sa chambre s'est refermé, il m'a sauté dans les bras et nous avons échangé un baiser, de sa part plutôt passionné !
Comme je lui en demandais la raison, il m'a dit, pour rien, juste qu'il m'aimait. Douche glacée entre mes omoplates !! alors que lui se dévêtait devant moi avec un naturel déconcertant. Malgré ce que je venais d'entendre ou peut être à cause de cela, je bandais comme un âne. Cette fois c'est moi qui l'ai " violé " pour son plus grand plaisir. Son corps jeune et musclé me rend actif et surtout ne me laisse pas sur ma faim. Avec lui pas de désir d'être sodomisé, juste l'envie de le prendre, lui. Allongés sur le lit sa tête au creux de mon épaule, j'ai réfléchi à la façon de lui parler. Ok j'ai été le type qui l'a révélé au sexe, ça l'a impressionné, c'est normal mais il n'a pas encore vu tout ce que le monde lui réservait ... Après avoir écouté sagement mon discourt, il m'a sauté dessus ses jambes me bloquant le bassin, ses mains fixant mes poignets au matelas. il m'a regardé fixement dans les yeux et doucement a rapproché son visage jusqu'à poser ses lèvres sur les miennes. Ma queue s'est raidie direct et placé comme il était s'est enfoncée sans barrière dans son cul. Comme je voulais sortir de lui, il m'a dit qu'avant moi il était vierge et que moi j'était clean. Ça plus ce qu'il m'avait dit plus tôt, j'ai cédé. Il m'a fait l'amour avec brio. Alternant les assises brusques et profondes avec un travail du gland par son anneau, du grand art pour un néophyte. Ma bite était tout à son bonheur dans l'intimité de son boyau. Au chaud, suffisamment lubrifié pour que j'y glisse sans heurts mais avec un anneau encore bien nerveux, il m'a emmené tout droit vers la jouissance. J'ai quand même réussi à l'éjecter au moment ou j'explosais me répandant sur son dos plutôt que dans son cul. alors que mon sexe sortait de lui il a juter et m'en a mis partout. Je lui ai pris la tête et lui a dit de nettoyer avec sa langue. Chose faite 5mn plus tard. Il n'a pas détesté le goût de son sperme.
Nous avons rejoint la civilisation avec beaucoup de retard pour le déjeuner. Au café, son grand père m'a pris à part et ma demandé ce qu'il me devait pour m'être occupé de son petit fils, il ne l'avait jamais vu aussi bien dans sa peau. Il savait que j'étais Escort boy et savait que nos services étaient tarifés. J'ai eu beau lui dire que Franck était une distraction " hors contrat " et que cela m'avait fait plaisir aussi, il n'en démordait pas. seul le retour d'Emma et Franck a clos notre discussion. J'ai consacré notre dernière journée exclusivement à Emma. J'ai juste indiqué à Franck les " hommes de service " pouvant être éventuellement gay. Notamment l'un des surveillants de la piscine dont le slip avait tendance à gonfler quand Franck et moi étions dans le bassin. Plus tard dans la journée, c'est le grand père qui est venu me voir. Il m'a demandé si je pouvais continuer à être en relation avec son petit fils pour l'aider et le guider au besoin. Je l'ai regardé bien en face et lui ai dit que ce ne serait peut être pas dans le sens qu'il désirerait. Que je me l'étais déjà fait et que si je le revoyais ce serais de nouveau le cas. Très cool le papy m'a tendu une enveloppe en me disant que je ne lui apprenait pas la vie et que si cela rendait Franck heureux alors ce n'était pas un problème. J'aime c'est gens respectueux des désirs et des choix des autres. J'acceptai sans réfléchir plus.
Avant notre départ, nous avons échangé (avec Franck) nos n° de téléphone et une pelle bien vorace.
Pendant le retour, Emma s'est moqué gentiment de moi et de mon âme de saint Bernard. Comme je me rabaissais en dénonçant mon coté vénal, elle m'a dit que ce devait être pour cacher le coté hyper sensible de mon caractère. Venant d'une autre personne j'aurais pris cela pour de l'ironie.
Quand j'en ai parlé à Marc le soir même, j'ai eu droit au même couplet, avec en plus une demande de description complète de l'animal, on ne se refait pas !
Vers 22h appel de Franck pour me dire que oui le maitre nageur aimait les garçons. Je lui ai dit que OK il avait attendu 18 ans pour se décoincer mais que ce n'était pas une raison pour sauter sur tout ce qui bouge.
JARDINIER
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james-kojirou · 1 year
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James est toujours mal à l’aise dans les situations qui impliquent qu’il se fasse draguer 🥰🤭
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nayelleya · 13 days
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14 et 15 mai 2024
Je venais de quitter ma mère au téléphone lui disant que j'allais certainement rentrer à l'auberge ou bien me faire un trajet de métro et rentrer à pieds (j'adore me faire des tours de métro sachez-le).
Dans la station, je remarque un garçon qui m'a interpellé : son charme, ses nombreux tatouages et ce qu'il dégageait. J'écris directement à une amie "Je viens de trouver l'amour de ma vie, il est juste à coter de moi". Le métro arrive, peu de place on se serre tous, lui et moi comprit. Deux stations plus loin le métro se vide un peu, je savais que j'avais beaucoup de temps devant moi avant le terminus alors je décide de sortir mon livre "Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau. Je le vois se pencher, tentant de lire le titre. Alors, tout naturellement je lui montre ce que je lis. Puis il me dit "Tu lis ça pour la fac ou pour les cours" EN FRANÇAIS ? Je lui réponds que c'est pour le plaisir, lui me dit que personne ne lit du Rousseau pour le plaisir, que ce n'est pas possible.
On commence désormais à faire connaissance, me demandant qu'est-ce que je fais dans un métro à Vienne et à cette heure-ci (il devait être 21h30). On discute pendant deux trois arrêts jusqu'à que le chauffeur annonce que le métro a un soucis et que nous sommes tous obligés de descendre à la prochaine station. On se dit que c'est le destin, qu'on doit continuer cette conversation. Alors, on marche, on parle de nos vies, de nos auteurs préférés, de nos lectures.
On tombe sur un bar, par chance il fermait dans 30 min mais on a pu quand même commander. Heureusement, cet inconnu parle français car sa mère est née en France, qu'il a été au lycée français à Vienne et qu'il avait fait deux ans de prépa à Paris. Mais ce qui voulait dire qu'il était bilingue allemand (merci la vie j'en pouvais plus de commander et de commander en anglais surtout). Dès qu'on s'assoit, il sort son carnet et écrit directement la date du jour, mon prénom, la ligne de métro où on s'est rencontrés et écrit "couleur de cheveux inconnu" (nous n'avions pas réussit à déterminer si j'étais rousse ou si j'avais les cheveux rouges).
Je passe les détails sinon ce post ferait 10000 lignes. On finit par partir du bar, on marchait et il me lance un "Mais en fait on est dans Before Sunrise, on vit un rêve Leyan, je suis sûr que demain quand on va se lever rien de tout ça n'aura exister". Je lui avoue que je n'ai jamais vu ce film, film qui raconte l'histoire de deux inconnus qui se rencontrent dans le train et l'américain demande à la française si elle veut rester avec lui à Vienne le temps d'une nuit. C'était totalement nous, sauf que nous, l'amour était platonique. Comme il m'a dit "C'est la rencontre de nos deux âmes, pas de nos deux corps". Et, je pense que c'est la chose la plus merveilleuse que nos corps ne se soit pas rencontrés. De toute façon, on ne c'est pas parler pour se draguer. C'était spéciale.
Finalement, on se décide d'aller regarder le film dans le hall de mon auberge. Trop de bruits. Il réserve une chambre privative juste pour qu'on regarde le film. On a parler durant tout le film, on coupait le film pour se dire que par moment c'était vraiment nous. Après l'avoir vu, on s'est demandés "Et qu'est-ce qu'on fait quand le soleil va se lever ?". On a beaucoup réfléchit, on s'est dit que le meilleur moyen de continuer ce rêve ce n'était pas de prendre nos contacts. Juste un rendez-vous après ses examens de médecine. Il m'a écrit un poème de Pablo Neruda en espagnol, pour me montrer que je n'ai pas rêver de cette rencontre juste spectaculaire. Personnellement, je lui ai laissé une petite lettre, le remerciant d'avoir une âme aussi pure et saine. On avait l'impression de se connaître depuis toujours et en même temps pas du tout c'était très étrange. Je l'ai laissé dormir, je suis partie au lever du soleil. J'espère qu'il a prit mon message, qu'il a prit cette lettre. J'espère qu'il va venir au rendez-vous. Si un de nous deux ne peut pas finalement, on s'est dit qu'on allait se recroiser un jour de façon anodine, c'était sûr et certain. J'ai quand même mit à la fin de ma lettre "Et si on ne se revoit pas, souviens toi que tu as un visage pour être aimé". Car, c'est totalement vrai. Cet inconnu à un visage pour être aimé (et puis aussi lui rappeler qu'il doit lire du Paul Eluard).
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aurevoirmonty · 2 months
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« Pour résumer les choses, je citerai cette dame passée récemment dans mon émission : “Ils font chier avec MeToo parce que maintenant, il n’y a plus que les connards qui osent nous draguer.” C’est très drôle, très vrai et en même temps très inquiétant. Notamment chez les jeunes garçons, qui sont de plus en plus nombreux à se sentir coupables de leurs pulsions. Certains se réfugient dans un statut “non binaire” comme ils disent, manière de se mettre en retrait de la sexualité, ce qui peut parfois confiner à la psychose d’ailleurs. J’ajoute que beaucoup de réprouvés du sexe sombrent dans l’addiction au porno. »
Brigitte Lahaie
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clhook · 6 months
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Hier j'étais au don du sang et un type essayait de me draguer et déjà d'où tu dragues au don du sang mon gars j'étais pas réceptive parce que je suis fiancée hihi puis il a dit qu'il avait 21 ans donc dsl petit enfant je ne suis pas pédophile puis encore après il a dit qu'il était en école de commerce lol ça c'était le dernier clou dans ton cercueil mon ami
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bruh-anator3000 · 1 year
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Me: hey you have a second part of a Viktor fic you need to finish up bc we like this story and other people do too!
My brain: vik...
Me: yeah, viktor!
Brain: vik...viking...
Me: what
Brain: VIKjng.. Dag
Me: no
Brain: daggruurr... me write...
Me: stop
Brain: gRaaaA DRAGUER
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lesdamesmures · 2 months
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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rockypaladdin · 2 months
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vous pensez quoi de mon outfit pour aller draguer des mecs en boîte
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